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#armée britannique
carbone14 · 13 days
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Char Matilda II du 7th Royal Tank Regiment – Opération Compass – Campagne d'Afrique du Nord – 19 décembre 1940
Photographe : Capitaine Geoffrey John Keating - No. 1 Army Film and Photo Section, Army Film and Photographic Unit
©Imperial War Museums - E 1416
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De 1947 à 2023, un conflit complexe. 1947 : après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de juifs européens dont de nombreux survivants de la Shoah émigrent vers la Palestine alors sous mandat britannique. À bord du navire Exodus 1947, ils sont interceptés par des navires de la marine britannique et renvoyés en Europe. Cet incident suscite l'indignation internationale et joue un rôle essentiel pour convaincre le Royaume-Uni qu'une solution négociée par les Nations unies est nécessaire pour résoudre la crise en Palestine. Le Comité spécial des Nations unies approuve un plan de partage, le 29 novembre, qui accorde 56,47 % de la Palestine à un État juif et 43,53 % à un État arabe. La ville de Jérusalem est, quant à elle, placée sous statut international.
1948-1949 : David Ben Gourion, président du Conseil national juif, lit publiquement la Proclamation d'indépendance d’Israël, le 14 mai. L’État juif prend alors le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, selon l’ONU. Cette déclaration précède d'un jour l'expiration du mandat britannique sur la Palestine. Pour les Palestiniens, cette date marque la Nakba (catastrophe) un exode forcé qui annonce leur déplacement et leur dépossession. Plusieurs centaines de milliers de Palestiniens ayant entendu parler de massacres dans des villages, tels que Deir Yassin, fuient vers l'Égypte, le Liban et le territoire jordanien. Les armées de l'Égypte, de la Syrie, du Liban, de la Jordanie (ex-Transjordanie) et de l'Irak attaquent Israël, le 14 mai, déclenchant la première guerre israélo-arabe. Les armées arabes sont repoussées durant les derniers mois de l'année. Un groupe de réfugiés arabes chassés de leur maison par des attaques en Galilée marche le long d'une route reliant Jérusalem au Liban, le 9 novembre 1948.
1949 : un cessez-le-feu est déclaré entre les parties prenantes au conflit durant la première partie de l'année. La Jordanie prend le contrôle de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, l'Égypte contrôle la bande de Gaza. Les lignes de cessez-le-feu deviennent, quant à elles, les frontières d'Israël plus favorables que celles du partage de l'ONU.
1956 : la deuxième guerre israélo-arabe a lieu après la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte. Israël, le Royaume-Uni et la France forment une alliance, et l’État juif occupe la bande de Gaza et la péninsule du Sinaï. L'armée israélienne, sous la pression des États-Unis et de l'URSS, retirera plus tard ses troupes.
1959 : l’organisation palestinienne Fatah est créée dans la clandestinité à Gaza et au Koweït par Yasser Arafat et ses partisans. Elle va devenir par la suite la principale composante de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP).
1964 : la Ligue des États arabes crée l'Organisation de libération de la Palestine à Jérusalem. L’OLP regroupe toutes les organisations palestiniennes de l’intérieur et des camps de réfugiés à l’extérieur.
1967 : la troisième guerre israélo-arabe, ou guerre des Six-Jours, est déclenchée par Israël. Entre le 5 et le 10 juin, l’État juif obtient une victoire éclatante sur les pays arabes voisins. Ce bref conflit entraîne aussi un redécoupage spectaculaire de la carte du Moyen-Orient : Israël s'empare de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est, de la bande de Gaza, de la péninsule du Sinaï et du plateau du Golan.
1973 : l’Égypte et la Syrie lancent, le 6 octobre, une offensive contre Israël pour reconquérir le Sinaï et le Golan. C’est le début de la quatrième guerre israélo-arabe, ou guerre du Kippour – car lancée lors de la fête juive du Yom Kippour. Israël repousse finalement les armées et le conflit se termine à la fin du mois, mais les deux parties subissent de lourdes pertes.
1978 : les accords de Camp David sont signés, le 17 septembre, par le président égyptien Anouar el-Sadate et le Premier ministre israélien Menahem Begin. Selon les termes de cet accord, l’Égypte regagne la péninsule du Sinaï qu’elle avait perdue lors de la guerre des Six-Jours. Anouar el-Sadate devient le premier leader arabe à reconnaître l’État d’Israël.
1979 : un accord de paix israélo-égyptien est scellé à Washington à la suite des accords de Camp David.
1982 : le ministre israélien de la Défense, Ariel Sharon, lance l’armée dans une opération militaire controversée au Liban, baptisée "Paix en Galilée". L’objectif affiché est de chasser les troupes de l’OLP du sud du Liban. Mais l’armée israélienne poursuit son offensive jusqu’à la capitale libanaise, Beyrouth. La déroute de l’OLP de Yasser Arafat laisse les camps de réfugiés palestiniens au Liban pratiquement sans défense. Du 16 au 18 septembre, des milices libanaises phalangistes chrétiennes se livrent à des massacres dans les camps de Sabra et Chatila, situés dans une zone sous contrôle israélien. Ces massacres, qui ont fait l'objet d'une enquête israélienne connue sous le nom de "Commission Kahane", vont conduire à la démission d’Ariel Sharon.
1987 : la première intifada (“soulèvement” en arabe) débute dans la bande de Gaza et s’étend rapidement à la Cisjordanie. Surnommée la “guerre des pierres”, cette révolte contre l’occupation israélienne dure jusqu’en 1993 et coûte la vie à au moins 1 000 Palestiniens. C’est aussi durant ce soulèvement que naît le mouvement islamiste Hamas, qui refuse la moindre légitimité à Israël.
1993 : après d’intenses négociations secrètes à Oslo, Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Itzhak Rabin signent à Washington les accords d’Oslo. Ces accords prévoient la création de l'Autorité palestinienne, qui obtient le contrôle administratif de la Cisjordanie et de la bande de Gaza et à la tête de laquelle Yasser Arafat sera élu en 1996. Le 13 septembre, Itzhak Rabin et Yasser Arafat échangent sur la pelouse de la Maison Blanche
une poignée de main historique en présence du président américain Bill Clinton.
1995 : Itzhak Rabin est assassiné le 4 novembre par un extrémiste juif lors d’un grand rassemblement pour la paix à Tel-Aviv. 
2000 : le chef du parti de droite israélien Likoud, Ariel Sharon, se rend sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem, le 28 septembre. Cette visite est considérée comme une provocation par les Palestiniens. La seconde intifada, également appelée “Intifada al-Aqsa”, débute le lendemain. Elle va durer jusqu’en 2005, faisant pendant cinq ans 3 000 morts côté palestinien et 1 000 côté israélien.
2001 : Ariel Sharon est élu Premier ministre d’Israël et rompt tout contact avec Yasser Arafat. Ce dernier est confiné dans son quartier général de Ramallah par l’armée israélienne.
2002 : le gouvernement d’Ariel Sharon déclenche l’opération “Rempart”, le 29 mars. Israël commence la construction d'un mur de 8 mètres pour séparer Israël de la Cisjordanie. C’est aussi cette année-là que le Conseil de sécurité de l’ONU mentionne pour la première fois, dans plusieurs résolutions, la coexistence de deux États – Israël et la Palestine. Enfin, l’armée israélienne lève le siège de Ramallah.
2004 : le cheikh Ahmed Yassine, cofondateur et chef spirituel du Hamas, est tué par une frappe d'hélicoptère israélienne, le 22 mars. Huit mois plus tard, le 11 novembre, Yasser Arafat décède des suites d'une maladie dans un hôpital parisien. La mort du président de l’Autorité palestinienne est, depuis, sujette à controverse : certains experts font état d’une mort naturelle et d’autres envisagent la possibilité d’un empoisonnement au polonium 210.
2005 : Mahmoud Abbas est élu président de l’Autorité palestinienne. Après 38 années d’occupation, Israël se retire de la bande de Gaza.
2006 : le Premier ministre israélien Ariel Sharon est victime d’une attaque cérébrale, le 4 janvier – il tombe et reste dans le coma pendant huit ans avant de décéder le 11 janvier 2014. Ehud Olmert lui succède au poste de chef du gouvernement, ainsi qu’à la tête du nouveau parti Kadima qu’il avait fondé en novembre 2005. Le 12 juillet, une guerre de 34 jours démarre entre le Hezbollah libanais et Israël, à la suite d’attaques à la roquette du groupe islamiste chiite, ainsi que de l’enlèvement et de la mort de plusieurs soldats israéliens. Israël déclenche en retour une offensive, provoquant la mort d’au moins 1 000 Libanais (et plus de 100 morts côté israélien). L’État hébreu fait aussi face à sa pire défaite militaire depuis sa création, en 1948.
2007 : après des mois de luttes intestines entre le Fatah et le Hamas, ce dernier prend le contrôle de Gaza. La violence dans la région se poursuit. Aux attaques palestiniennes à la roquette, Israël répond par des raids. Le 29 mars, la Ligue arabe relance son "initiative" de paix au sommet de Riyad, en Arabie saoudite.
2008 : l’armée israélienne lance une offensive militaire sur Gaza pendant trois semaines, le 27 décembre. Nommée opération “Plomb durci”, c’est une offensive aérienne puis terrestre. C’est aussi à ce jour l'attaque israélienne la plus meurtrière jamais menée contre le territoire côtier palestinien : près de 1 400 Palestiniens – principalement des civils – sont tués, contre 13 côté israélien. Un rapport de l’ONU accuse alors Israël de “crime de guerre”.
2011 : Israël déploie le Dôme de fer, le 27 mars. Ce système de défense antimissile permet aux forces israéliennes d'intercepter les roquettes de courte portée régulièrement tirées par le Hamas depuis Gaza.
2012 : l’armée israélienne lance une deuxième opération militaire contre les groupes armés à Gaza, le 14 novembre. Le commandant en chef du Hamas, Ahmed al-Jaabari, est tué durant cette opération “Pilier de défense” qui dure huit jours. L’organisation islamiste riposte aux frappes israéliennes en tirant des roquettes sur Jérusalem pour la première fois. Plus de 170 Palestiniens et six Israéliens sont tués.
2014 : trois adolescents israéliens sont enlevés et assassinés au mois de juin. Les autorités israéliennes rejettent alors la responsabilité sur le Hamas. Ce climat d'extrême tension conduit l’armée israélienne à déclencher, le 8 juillet, une nouvelle opération militaire (“Bordure protectrice”) sur Gaza la troisième en moins de six ans. Israël mène des frappes aériennes et une opération terrestre sur sept semaines, le Hamas réplique avec des tirs de roquette. Cette opération fait près de 2 200 victimes côté palestinien et 73 côté israélien.
2018 : des dizaines de milliers de Palestiniens se rassemblent près de la frontière israélienne, le 30 mars, pour protester contre le blocus israélien de la bande de Gaza. Les manifestations se poursuivent pendant plusieurs mois, au cours desquels les troupes israéliennes tirent à balles réelles sur les manifestants. Au moins 189 Palestiniens ont été tués et plus de 6 000 blessés au cours de ces manifestations entre la fin mars et la fin décembre 2018, selon la Commission d’enquête internationale indépendante mandatée par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
2021 : en mai, des fidèles palestiniens affrontent la police israélienne dans l'enceinte de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem après des semaines de tension croissante. Le Hamas lance un déluge de roquettes sur Israël après avoir exigé que les forces israéliennes se retirent de l'enceinte. Israël répond par des frappes aériennes sur Gaza, déclenchant un conflit de 11 jours et causant la mort de plus de 200 personnes. 
2022 : Israël bombarde Gaza de frappes aériennes, le 5 août, tuant un militant de haut rang d'un groupe du Jihad islamique et déclenchant des tirs de roquettes en représailles depuis l'enclave palestinienne. Au moins 40 Palestiniens sont tués au cours des trois jours de combat qui suivent.
2023 : les forces israéliennes tuent neuf Palestiniens du Jihad islamique et des civils lors d'un raid dans une ville de Cisjordanie occupée, le 26 janvier. Les militants palestiniens ripostent en tirant deux roquettes, ce qui déclenche des représailles de la part d'Israël. Aucune autre victime n'est signalée. 
2024 : le 7 octobre, le Hamas lance une attaque surprise sans précédent sur plusieurs fronts contre Israël, des combattants infiltrant la frontière lourdement fortifiée en plusieurs endroits par voie aérienne, terrestre et maritime. Les forces israéliennes répondent par des frappes aériennes et des renforts militaires à la frontière de Gaza.
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etiennedaho · 10 months
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LETTRE A JANE B.
Ma Jane
Grace à ton talent, ton élégante beauté libre, ton humour piquant, macabre et britannique, tu as accompagné nos adolescences moroses. Nous voulions être toi, ou Serge, ou Françoise, ou Jacques. Des lumières dans la nuit. La vie a fait que nous nous sommes rencontrés, aimés et que je suis vite devenu un « ami de la famille ».
J’ai aimé ta voix unique, haut perchée et si singulière, ton écriture libre, poétique et culottée, tes engagements. Toujours honnête. Toujours légère. Toujours trop modeste et généreuse, attribuant tes réussites aux autres. Toujours.
Peut-être que certaines personnes, qui préfèreraient te ranger définitivement dans un rôle de muse charmante, réaliseront enfin que tu es une artiste complète à la curiosité en alerte. Qui aurait pu réaliser ton film « Boxes » ou écrire ta pièce « Oh Pardon tu dormais »? Incarner Johnny Jane dans le film « Je t’aime moi non plus » ou « La fausse suivante » dirigée par Chéreau?
Il y a trois ans, Jean-Louis Piérot, toi et moi, avons constitué une armée à 3, pour réaliser ton dernier album qui a été un moment de grâce. Bluffés que nous étions par tes textes, nous avons accompagné ce chapitre de ta vie sur disque et sur scène. Défiant toutes les lois de la médecine, guerrière devant l’éternel, tu as surmonté tes souffrances, sans une plainte et avec le sourire, pour remporter chaque soir de triomphales victoires, devant un public ému aux larmes. Une leçon. Il y a quelques jours tu me disais vouloir remonter sur scène et repartir sur les routes. Refaire cet Olympia que tu avais du reporter. Confiante en l’avenir.
Tu vas retrouver tes parents, Kate, Serge, tes amis et tes chiens. Et tu vas terriblement nous manquer. Amour. Ton Daho
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claudehenrion · 1 year
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8 mai 1945 – 8 mai 2023... ( I ) : L'effondrement d'un monde...
  Quelle tristesse ! Quelle horreur ! Au lendemain du feu d'artifice de joie, d'union et de patriotisme des britanniques qui ont étalé la communion entre un peuple et ses dirigeants –ce dont nous avons oublié... jusqu'à la possibilité–  la contemplation morose de ce roitelet (officiellement en exercice, mais déchu dans le cœur de ses sujets… qui lui tournent le dos et le vouent aux gémonies) a été un moment de torture pour tous ceux qui aiment encore la France, ou plutôt le souvenir de ce qu'elle a été --et malgré ce qu'elle est devenue ou, pire encore, ce qu'elle risque de devenir : les Champs-Elysées sont, depuis hier, la plus sinistre avenue du monde.
La joyeuse ''casserolade'' prévue (NDLR : elles sont toutes méritées. Et même si elles déplaisent à celui qui en est le seul responsable, elles sont ''la vie'' –qui n'est pas que silence, policiers, et acceptation résignée de ce qui est intrinsèquement mauvais !)– même si elle était peut-être un peu ''hors sujet'' dans les conditions et la symbolique de cette date, a cédé la place au spectacle terrible d'une ville morte, qui rappelait ce qu'elle était en d'autres ''8 mai'' --en 1943 ou 1944, par exemple, sous la botte humiliante de la Wehrmacht et la férule cruelle des Waffen SS. Une image s'est imposée ou, plutôt, s'est opposée : le Général De Gaulle descendant les Champs dans une foule ivre de bonheur, le 8 mai 1945... Sic transit gloria mundi !
Ce 8 mai 2023, nous avons retrouvé, hélas, à quoi pouvait ressembler ''Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé !''... Devons-nous souhaiter, espérer et désirer de voir aussi, bientôt...''Paris libéré ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle’’, pour évoquer la mémoire du Général De Gaulle ? Le cœur dit ''Oui''... et le plus vite possible, mais la raison dit ''Non, à aucun prix : rien n'est jamais plus inutile, plus néfaste, plus coûteux... qu'une révolution''. Je crains que ''demain'' ne soit donc pas la veille de notre réveil en tant que ce que nous sommes, avons été, et voudrions être. Devant un tel désastre, organisé, fabriqué, artificiel, inutile, masochiste et pervers, le légalisme dit de baisser le front, dans la honte et la souffrance... en espérant que, le moment venu, il restera encore quelques petites choses à sauver de ce qui fut ''notre France''. Les plus anciens s’en souviennent.
En allant plus loin dans cette réflexion... on se dit que, pour en arriver à une telle hostilité et à de tels rejets réciproques, il en a fallu, des mensonges, des horreurs, des bobards par containers entiers, et des déceptions résultant d’effroyables jugements, d'analyses tordues ou de décisions prises à l'opposé de ce qu'il fallait ! On s'en doutait, et certains le disaient tout haut, dans l'indifférence générale et de légers sourires méprisants dans les insupportables ''dîners-en-ville''. Mais voilà : l'immensité de la rupture entre le peuple français et ceux qui auraient dû être ses représentants (qui passent leur temps à lui ''enfiler'' le contraire de ce qu'il veut, de ce qu'il faudrait, et de ce qui serait ''bon pour lui'') nous saute soudain au visage : il devient difficile de faire semblant de ne pas le voir, de disserter sur des sujets sans connexion, ou de continuer à réciter les mêmes mensonges... En fait, personne n'a fait le tour des griefs qui doivent leur être reprochés –et qui n'ont rien à voir avec la litanie des faux problèmes dans lesquels ils rêveraient de nous emberlificoter : Hannah Arendt expliquait que ''les régimes totalitaires prennent le pouvoir sur les peuples en les arrosant d'informations contradictoires jusqu'à ce qu'ils n'aient plus aucun moyen de savoir où est la vérité. Dans tous les régimes de Gauche, sous Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, Tito, Hodja (et plus près, la dynastie nord-coréenne des Kim), le citoyen ne savait jamais où il pouvait aller et où il devait ne pas aller...''
Je vous propose donc de consacrer cet éditorial et celui de demain à visiter cette ''omertà land'' que les soi-disant ''élites'' (NB : qui voudraient bien sauver leur pouvoir et leurs prébendes) et une presse subventionnée, corrompue et pourrie par son idéologie ''gauchie'' –qui tente de faire passer pour autant de vérités dites intouchables ce qui est à l'opposé de la pensée majoritaire des français, excédés. La totalité de ces ''bobards par système'', rituellement faux et dits incontournables, que des chroniqueurs trop bien payés présentent comme les seules vérités... n'est ou ne sont qu'autant de mensonges démontrés, avérés, ''certifiés''... Un exemple ? La France a dépensé 400 milliards d'Euros en mesures liberticides, répressives et inutiles ... et elle serait incapable d'en trouver entre 13 et 17 pour les retraites ?
Dans le répertoire de ces mensonges qui, à force d'être répétés, ont acquis pour certains une réputation d'exactitude –totalement imméritée--, j'ai dû procéder à des arbitrages, tant ils sont nombreux et tous azimuts. J'ai gardé la crise du covid,  évidemment, mais aussi tout ce qui a trait à l'immigration (dont nous parlons souvent. Nous n'insisterons donc pas), les ravages (budgétaires et autres) faits par une fausse écologie qui n'est qu'un vrai écologisme, le carnaval de la culpabilité humaine promue dans, à cause de, par les fantasmes du Giec, et cet autre ''scandale du siècle'' qui est le passage au ''tout électrique'' pour les bagnoles et le transport terrestre, le mythe indémontrable d'une ''extrême Droite'' fantasmée par la Gauche, et, last but not least, ce nouveau scandale qu'est le troc de notre eau douce devenue si rare contre du pétrole, qui est sans doute la plus belle –traduire : la plus minable-- démonstration de l'irresponsabilité criminelle de notre caste politique, dont la courte vue annonce et prépare des catastrophes sans nom.
Pour conclure la lamentable commémoration de ce ''8 mai'' qui devait être un jour soit de liesse soit de recueillement –mais pas un nettoyage par le vide-- voici une information qui montre la différence entre de vrais leaders politiques et nos amateurs restés à l'âge ingrat : Madame le Ministre de la Justice de Slovénie, Madame Domenika Švarc Pipan, a annoncé hier que, après l'accord de la Cour Constitutionnelle, son Gouvernement allait rembourser la totalité des amendes indûment perçues à l'occasion des faux délits ''pour avoir enfreint les règles relatives au covid''. Ces politiciens  honnêtes ont droit à toutes les majuscules, car pendant ce temps, la France, seul pays du monde civilisé à se comporter comme un état-voyou, refuse de rembourser les soi-disant ''suspendus'' qui sont, en fait, des ''condamnés par la doxa, sans raison ni procès'').  Mais lorsqu'on se dit que des argousins nous ont volé 135 € pour nous être assis sur le sable d'une plage ou pour être 3 dans une boutique, il y a de quoi haïr les fauteurs de ces abus de pouvoir...
Demain, nous continuerons notre périple dans les asiles qui sont comme une définition de l'Absurdie macronienne dans laquelle nous sommes condamnés à survivre et à subir, sinistrement, sans espoir, en regardant de vieilles photos de nos Champs Elysées tels qu’ils étaient il y a peu... Avant le cauchemar... (a suivre).
H–Cl.
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Rappel de l’histoire – vraie – des Xhosas lors de la colonisation de l’Afrique du Sud par les Britanniques dans la deuxième moitié du dix-neuvième siècle (d’après FG)
Les Xhosas étaient la seconde peuplade de la région après les Zoulous.
Ils résistèrent aux colonisateurs mais subirent plusieurs défaites.
Ils finirent par développer un sentiment d’infériorité.
Cette situation émotionnelle se révéla par la suite éminemment propice à la propagation d’une prophétie.
Une fille de quinze ans, Nongqawuse, prétendit avoir entendu une voix lui dire que les Xhosas devaient tuer tous leurs bovins, cesser de cultiver leurs champs, détruire leurs céréales et autres aliments, et même démolir leurs instruments agricoles.
Elle prétendait qu’une fois ce sacrifice accompli, la magie ferait naître une nouvelle ère d’abondance, plus prospère, et que l’ancienne gloire des Xhosas serait restaurée.
Les guerriers tués dans les combats se relèveraient de leurs cendres et rejetteraient les Britanniques à la mer.
En l’occurrence, Nongqawuse réussit à convaincre son oncle Mhlakaza, sorcier de son état.
D’autres versions prétendent que c’est le sorcier qui aurait influencé sa nièce.
Toujours est-il que Mhlakaza devint le chef du mouvement d’extermination du bétail. Il finit par persuader le roi Sarhili.
Dans un acte symbolique, le roi tua son bœuf favori.
L’hystérie s’étendit.
Certains prétendaient voir les ombres des guerriers morts surgir de la mer.
Les gens s’aveuglaient et se trouvaient des preuves à l’appui de ce qu’ils voulaient désespérément voir devenir la réalité.
Le bétail fut massacré à un rythme tel que même les vautours n’avaient plus le temps de le dévorer.
La résurrection des morts était prévue par la prophétie lors de la pleine lune de juin 1856.
Évidemment rien ne se produisit.
Qu’à cela ne tienne, elle fut de nouveau annoncée par le grand sorcier Mhlakaza comme devant se réaliser 2 mois plus tard.
Toujours rien n’advint.
On imputa donc l’échec de la prophétie à une extermination incomplète du bétail.
On avait gardé quelques vaches laitières.
Une petite minorité d’incroyants avait refusé de tuer son bétail.
Plusieurs fois reportée tout au long d’une année entière, la résurrection resta un fol espoir aux antipodes de la dure réalité.
L’échec répété ne pouvait que signifier le manque de foi des Xhosas qui n’avaient pas tué tout le bétail.
Non seulement on l’abattit jusqu’au dernier mais avec lui les poules et les chèvres pour faire bonne mesure.
Toute nourriture avait disparu au printemps 1857.
La disette s’installa.
Rendus fous par la faim, certains des Xhosas devinrent cannibales.
La population mourut de la famine ou, trop affaiblie, de la maladie.
Les croyants mouraient en accusant les incroyants d’être la cause de l’échec de la prophétie.
Ils accusaient aussi les rares missionnaires installés depuis peu.
Eux aussi avaient gardé leur bétail.
Un quart seulement de la population avait survécu un an plus tard.
Ce que cinquante ans de conquêtes armées et de guerres coloniales britanniques n’avaient pu réussir, seulement deux années d’une croyance religieuse mystique et fanatique l’offrirent aux colonisateurs sur un plateau d’argent.
Les Britanniques s’installèrent et trouvèrent chez les survivants Xhosas une main-d’œuvre docile et efficace...
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jloisse · 9 months
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🇬🇧🇺🇦🇷🇺 Un véhicule blindé de transport de troupes Spartan de fabrication britannique a été démilitarisé avec succès par des artilleurs des forces armées russes.
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dostoyevsky-official · 7 months
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Dans le contexte européen d’une « vague » fasciste, et profondément hostiles à la Pologne, ces jeunes militants [de l'OUN] sont bientôt séduits par une idéologie qu’ils qualifient simplement de nationaliste, qui puise à des sources intellectuelles ukrainiennes tout en s’inspirant des expériences de l’Allemagne nazie (et de l’Italie fasciste), avec laquelle ils cherchent l’alliance. La fascisation de l’idéologie nationaliste est notamment explicite dans le « programme » de l’OUN adopté en août 1939, appelant à une « natiocratie », une société conçue sur un modèle corporatiste, rejetant le capitalisme comme le communisme, unie derrière un chef, militarisée, avec un parti unique, un contrôle étatique de la presse et de la culture, et incluant la discrimination systématique ou l’expulsion des minorités. [...] Que ce soit par la dénonciation de l’exploitation économique des Ukrainiens par les Juifs ou par la consolidation de l’image du « judéobolchévisme », l’OUN formule et diffuse activement un antisémitisme virulent à la fin des années trente, même si Himka souligne qu’il reste secondaire par rapport à la primauté idéologique accordée à l’hostilité contre les Polonais. [...] Allemands et nationalistes ukrainiens organisent ensemble des rafles et pogroms, au cours desquels les milices nationalistes jouent un rôle déterminant tout au long de la chaîne de violences – l’identification des victimes, les rafles, les brimades et humiliations, l’acheminement sur les lieux d’exécution – jusqu’aux massacres perpétrés par les Allemands. [...] Himka analyse précisément trois liens entre ces forces de police et l’OUN-UPA : d’une part, le grand nombre de membres des milices nationalistes qui rejoignent les polices de collaboration, encouragées par l’OUN ; d’autre part, la politique systématique d’infiltration des écoles et unités de police, y compris au-delà de la Galicie et Volhynie ; enfin, le recrutement massif de déserteurs de la police dans les rangs de l’UPA en 1943. Les nationalistes voyaient dans la police le noyau d’un futur État ukrainien et n’avaient pas d’objection idéologique à leur participation au génocide nazi des Juifs. Ils étaient particulièrement intéressés par les possibilités ainsi offertes de former et armer la jeunesse nationaliste aux dépens des occupants, quitte à baser leur nouvelle armée insurrectionnelle sur des hommes formés et socialisés avant tout au génocide. [...] Himka démontre que le tournant idéologique de l’été 1943 était un choix de circonstance, dicté par des impératifs tactiques et surtout, un discours purement d’affichage à destination des Britanniques et des Américains : l’OUN-UPA avait réalisé la nécessité de démocratiser son programme, si elle voulait compter sur l’appui occidental contre les Soviétiques, et de paraître renoncer à l’antisémitisme à cause du contrôle qu’exerçaient supposément les Juifs en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le programme adopté par l’OUN-B en août 1943 n’était cependant pas à usage interne. Au contraire, le discours interne, qui passe par la propagande et par des ordres secrets, continue d’appeler à l’extermination de tous les « ennemis » de l’Ukraine, y compris les Juifs. [...] En 1943-1944, en Volhynie l’OUN-UPA a continué à tuer les Juifs survivants, en totale indépendance des politiques nazies ; ceux-ci pouvaient être ciblés parce que considérés comme alliés des Polonais que l’UPA traquait, en tant que membres d’unités de partisans soviétiques, mais aussi en tant que Juifs tout simplement, y compris en massacrant les Juifs réunis dans des camps de fortune en forêt.
Masha Cerovic, « John-Paul HIMKA, Ukrainian Nationalists and the Holocaust. OUN and UPA’s Participation in the Destruction of Ukrainian Jewry, 1941-1944 », Cahiers du monde russe, 63/3-4
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news-paw-haiti-509 · 5 months
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La Grande-Bretagne envoie un autre navire de guerre dans le golfe Persique
Le destroyer HMS Diamond rejoindra un groupe de navires de guerre de la Royal Navy au Moyen-Orient. Londres estime que les forces armées britanniques doivent renforcer leur présence dans la région pendant le conflit palestino-israélien. Les autorités du pays sont également préoccupées par l’épisode de la saisie du cargo Galaxy Leader par les Houthis yéménites. Les navires de guerre…
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rhoal · 10 months
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12 07 2023
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basilepesso · 11 months
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"Sur place, les gendarmes ont découvert le corps sans vie d'une fillette de 11 ans. La jeune fille et sa famille sont britanniques selon une source à la gendarmerie. Le père de l'enfant a également été découvert grièvement blessé, avec un pronostic vital engagé, selon la magistrate. Les jours de la mère, également blessée, n'étaient pas en danger. La seconde fille du couple, âgée de huit ans, a elle été retrouvée saine et sauve "mais en état de choc", a souligné la procureure.Selon les premiers éléments de l'enquête, "le voisin des victimes, un retraité de nationalité néerlandaise, âgé de 71 ans, a surgi soudainement, armé d'une arme à feu" et a tiré sur la famille qui était dans le jardin.
D'après le parquet, si les motifs de ce drame ne sont pas encore connus, "il apparaîtrait qu'un conflit opposerait depuis plusieurs années les deux voisins à propos d'une parcelle de terrain jouxtant les deux propriétés".
D'après une source chez les gendarmes, le voisin a fait usage de son arme, une carabine, et a tiré à travers une haie. Il s'est ensuite retranché chez lui, en compagnie de son épouse, selon la procureure. "Après intervention du négociateur de la gendarmerie et du GIGN, le mis en cause et son épouse ont fini par se rendre. Ils ont été interpellés vers 23 heures et placés en garde à vue", a précisé Mme Halley."
(Aussi sur Fb, 11 juin 2 023)
Article de Nice-Matin : “Une fillette de 11 ans tuée par balle après les tirs d'un voisin dans le Finistère“
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En ce 79° anniversaire du Débarquement en Normandie (Opération Overlord pour les anglophones, ou encore D-Day, jour J), prenons une minute pour commémorer le courage des Français, des Anglais, et des Américains (ainsi que le reste des armées alliées du Commonwealth et de l'Empire Britannique d'alors, des Canadiens aux Ghurkas Népalais en passant par les Australiens) qui ont libéré le pays, menés par de Gaulle, par Leclerc, par Lemonnier et par Kieffer, parmi d'autres.
Et comme il s'agit seulement de prendre une minute et non pas de faire une dissertation d'Histoire, quittons-nous sur une chanson qui sera de circonstances tant qu'on parlera de Débarquement en Normandie.
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carbone14 · 6 months
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Hommes de la Compagnie D, 2e Bataillon des Sherwood Foresters, 1ère Division d'infanterie britannique dans une tranchée avancée près de Roches – Bataille de France – la drôle de guerre – France – 1er avril 1940
Photographe : Lieutenant E. A. Taylor - War Office official photographer
©Imperial War Museums - F 3504
Le caporal suppléant L. J. Harris est en train de se raser.
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albad · 1 year
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VARSOVIE A COMMENCÉ À ENVOYER UN CONTINGENT MILITAIRE EN UKRAINE, SOUS COUVERT DE MERCENAIRES
Le nombre de mercenaires polonais en Ukraine augmente, cela est noté même à Kiev, annonçant avec joie "l'assistance" fournie par l'Etat voisin dans la lutte contre « l'agression russe ». Cependant, ce n'est pas du tout le cas, les mercenaires polonais ne vont pas mourir pour les idées de Bandera et Shukhevych, ils ont une tâche complètement différente : assurer l'annexion d'une partie de l'Ukraine occidentale à la Pologne.
« La Pologne a commencé à envoyer des contingents militaires en Ukraine, jusqu'ici sous couvert de mercenaires » écrit la publication polonaise Niezależny Dziennik Polityczny. Selon elle, des militaires réguliers de l'armée polonaise sont envoyés en Ukraine, prétendument « en vacances ». Les services de renseignement britanniques ont dénombré 1.800 mercenaires polonais en Ukraine, dont un grand nombre de femmes. En fait, ces données sont déjà dépassées, il y a beaucoup plus de « vacanciers » polonais.
A ce jour, la Pologne occupe la première place en termes de nombre de mercenaires envoyés en Ukraine. Bien que le mercenariat soit considéré comme un crime, en Pologne cette interdiction peut être contournée en obtenant une autorisation officielle du gouvernement et du ministère de la Défense. Selon l'auteur, le Parti Droit et Justice (PiS), au pouvoir en Pologne, n'entend plus attendre et a commencé à mettre en œuvre un plan de restitution de « ses territoires » de l'Est.
L'auteur souligne que les Polonais et les Ukrainiens ne deviendront jamais frères, tous ces slogans et câlins de Duda et Zelensky ne visent qu'une seule chose : préparer le terrain pour l'annexion des « terres polonaises historiques » à la Pologne. Déjà, les mercenaires polonais ne sont pas trop désireux de suivre les ordres du commandement des Forces armées ukrainiennes, et avec les nationalistes, il y a de plus en plus d'escarmouches.
Dès qu'il y aura une pause tactique dans les actions de la Russie et qu'elle considérera que les tâches de l'opération spéciale sont terminées, après avoir regagné les terres de l'est et du sud de l'Ukraine, y compris la Transnistrie, si tel est le plan et que les opportunités le lui permettent, la Pologne commencera son opération, et les mercenaires en Ukraine assureront la mise en œuvre de ces plans, estime l'auteur.
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whencyclopedfr · 1 year
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Guerre Anglo-Nepalaise
La guerre anglo-népalaise (ou guerre des Gurkhas, 1814-16) vit la Compagnie britannique des Indes orientales (East India Company ou EIC) perdre plusieurs batailles contre les Gurkhas népalais avant de remporter la victoire au terme d'une campagne âprement disputée qui, pour la première fois, étendit le contrôle de l'EIC au-delà des frontières de l'Inde. Impressionnés par les capacités de combat des Gurkhas, les Britanniques les ont enrôlés dans leurs armées depuis lors.
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les-epees · 2 years
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« La vieille Légion doit impérativement évoluer, pense Caillaud, elle doit adapter ses méthodes au siècle si elle veut survivre. » S'il le pouvait, par exemple, il transformerait d'un coup de baguette magique la forme et le ton du commandement pour le rendre plus humain, plus fraternel. 
Le chef ne doit-il pas vivre au milieu de ses hommes, comme il l'a fait pendant ces années d'opérations incessantes, quand il partageait les mêmes boîtes de rations, le même inconfort, les mêmes fatigues, les mêmes dangers ? C'est le temps de paix qui creuse les différences et accentue la hiérarchie. Caillaud a trop fait la guerre pour la souhaiter, mais il veut que renaisse la chaude ambiance des opérations pendant lesquelles l'éclat des galons s'estompe tandis que la compétence et le courage donnent à chacun la place exacte qui lui revient.
Caillaud rêve d'une armée révolutionnaire, le qualificatif ne lui fait pas peur. Et la devise de la République « Liberté, égalité, fraternité » correspond tout à fait à son état d'esprit, plus proche de celui des SAS britanniques que des armées de gros bataillons. Pour lui, l'esprit révolutionnaire n'exclut ni la rigueur ni le panache, ni le rituel, bien au contraire, mais c'est d'abord la volonté permanente de remettre en cause l'acquis antérieur et de se pro jeter dans l'avenir. Ouvert à ses hommes et à son peuple, l'officier doit être ouvert au progrès sous toutes ses formes. Comme capitaine, en Indochine, Caillaud n'hésitait pas à pratiquer l'autocritique dans sa compagnie. Etonnant facteur d'efficacité.
Pierre Sergent, 2e REP, Paris. Presse de la Cité. 1984. 286 p
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Vaccins stérilisants / castration chimique
Les partisans de Gates qualifient de «théorie du complot» la suggestion selon laquelle Gates, ou toute autorité de santé publique réputée, utiliserait des «vaccins qui sauvent des vies» pour rendre subrepticement les femmes stériles. Toutefois, l’une des premières initiatives philanthropiques de Gates a été un projet de 2002 visant à administrer des vaccins contre le tétanos à des femmes pauvres dans 57 pays. Or, pour des raisons que nous sommes sur le point de découvrir, les critiques suggèrent de manière crédible que ces vaccins auraient été secrètement mélangés à une formule développée par la Fondation Rockefeller pour stériliser les femmes contre leur gré.
Le 6 novembre 2014, quatre ans après que Gates se soit engagé lors d’une conférence TED à utiliser des vaccins pour faire baisser le taux de natalité, des chercheurs en médecine et des médecins associés à la Conférence des évêques catholiques du Kenya (KCCB) et à la Kenya Catholic Health Commission ont accusé l’OMS, l’UNICEF et la GAVI de mener secrètement un programme de stérilisation de masse contre les femmes kenyanes, sous couvert d’éradiquer le tétanos. Le Washington Post a rapporté des
accusations similaires de la part de la Kenya Catholic Doctors Association (KCDA).
Les médecins catholiques ont eu des soupçons en raison des écarts flagrants de l’OMS par rapport aux protocoles habituels de vaccination contre le tétanos. Normalement, un seul vaccin contre le tétanos procure une décennie d’immunité. Les hommes et les femmes y étant sensibles de façon identique, les deux sexes sont systématiquement vaccinés. Or, l’OMS avait demandé aux médecins kenyans d’administrer le vaccin en cinq fois, à six mois d’intervalle, et uniquement aux filles en âge de procréer.
«L’argument selon lequel l’OMS avait l’intention de cibler uniquement le ‘tétanos maternel et néonatal’ semble étrange compte tenu du fait que les hommes sont à peu près aussi susceptibles que les femmes d’être exposés à la bactérie, qui se trouve dans la terre partout où il y a des animaux», a observé une étude de 2011 sur la controverse, évaluée par les pairs. Les médecins catholiques ont également remarqué d’autres caractéristiques inhabituelles de cette campagne. Pour commencer, l’OMS a, de manière suspecte, lancé sa campagne de vaccination non pas à partir d’un hôpital ou d’un centre médical ou de l’un des quelque 60 centres de vaccination locaux, mais a distribué les vaccins à partir du luxueux hôtel New Stanley de Nairobi – un lieu de villégiature très huppé hors de portée de la plupart des médecins et responsables de la santé publique. À un coût considérable, une escorte policière a accompagné les vaccins jusqu’aux sites de vaccination, où les officiers de police ont strictement supervisé leur manipulation par le personnel infirmier, et ont exigé des cliniciens qu’ils retournent chaque flacon vide aux responsables de l’OMS dans le seul hôtel cinq étoiles de la capitale, sous la surveillance d’officiers armés.
Quatre ans plus tard, en octobre 2019, l’Association des médecins
catholiques du Kenya a accusé l’UNICEF, la GAVI et l’OMS d’avoir rendu des millions de femmes et de filles stériles. Lesdits médecins avaient en effet produit des analyses chimiques de vaccins confirmant leurs allégations.
Trois laboratoires de biochimie indépendants accrédités à Nairobi avaient testé des échantillons du vaccin antitétanique de l’OMS et trouvé de la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) alors qu’elle n’avait rien à y faire. En octobre 2014, des médecins catholiques avaient obtenu six flacons supplémentaires et les avaient testés dans six laboratoires accrédités; ils avaient trouvé de la hCG dans la moitié de ces échantillons.
En 2019, un groupe de chercheurs indépendants du Kenya et de Grande-Bretagne, dirigé par le Dr Christopher Shaw, neurologue de l’université de Colombie-Britannique, a étudié les accusations et a conclu que «la campagne ‘antitétanique’ du Kenya a été raisonnablement remise en question par l’Association des médecins catholiques du Kenya comme étant une façade pour cacher une opération de réduction de la croissance démographique.» Les chercheurs médicaux ont qualifié le programme de l’OMS de «violation éthique de l’obligation de l’OMS d’obtenir le ‘consentement éclairé’ de ces jeunes filles et femmes kenyanes».
Le personnel médical catholique a porté des accusations similaires à l’encontre des projets de l’OMS concernant le tétanos en Tanzanie, au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. Après des démentis indignés de toutes ces accusations et des dénonciations obligées de ses accusateurs, l’OMS a admis à contrecoeur qu’elle développait des vaccins stérilisants depuis des décennies. Elle a néanmoins châtié les médecins kenyans et les responsables communautaires qui avaient signalé la présence du vaccin contaminé en annulant des contrats relatifs à des travaux futurs.
L’histoire sordide des vaccins stérilisants
Ce n’était pas la première fois que les autorités médicales catholiques accusaient l’OMS de mener une campagne de stérilisation furtive contre les femmes africaines. Dès novembre 1993, des publications catholiques avaient accusé l’organisation d’ajouter des abortifs puissants aux vaccins antitétaniques pour stériliser les femmes de couleur dans le monde entier.
L’OMS avait démenti ces accusations explosives.
L’équipe de recherche de Shaw a montré que les scientifiques de l’OMS et de la Fondation Rockefeller avaient entamé des recherches sur les vaccins
«anti-fertilité» pour le «contrôle des naissances» dès 1972, en enrobant la hCG avec de l’anatoxine tétanique, qui agit comme un véhicule pour l’hormone. Cette année-là, lors d’une réunion de l’Académie nationale des sciences des États-Unis, des chercheurs de l’OMS avaient annoncé qu’ils avaient réussi à créer un vaccin «contraceptif» qui diminuait la βhCG essentielle à une grossesse réussie et provoquait une «infertilité» au moins
temporaire. Des expériences ultérieures ont prouvé que des doses répétées pouvaient prolonger indéfiniment l’infertilité.
En 1976, les scientifiques de l’OMS avaient réussi à mettre au point un vaccin fonctionnel de «contrôle des naissances». Les chercheurs avaient déclaré triomphalement que leur formule pouvait provoquer «des fausses couches chez les femmes déjà enceintes et/ou la stérilité chez les receveuses non encore fécondées». Ils avaient observé que «les inoculations répétées [prolongeaient] l’infertilité». Plus récemment, en 2017, les chercheurs de l’OMS ont planché sur des vaccins anti-fertilité plus puissants, utilisant l’ADN recombinant. Les publications de l’OMS expliquent que l’objectif à long terme de l’agence est de réduire la croissance démographique dans les «pays moins développés» instables. La campagne contre le tétanos au Kenya a eu lieu peu de temps après que Gates ait promis 10 milliards de dollars à l’OMS dans le but affiché de réduire la population avec de «nouveaux vaccins». L’année suivante, sans doute pour marquer son
engagement en faveur du contrôle de la population, Gates a mis à la tête du Global Development de sa fondation son vizir le plus influent, Christopher Elias. Avant cette nomination, le Dr Elias était président et directeur général du PATH, l’organisation à but non lucratif de Gates, qui s’associe à des sociétés pharmaceutiques pour distribuer des vaccins aux pays pauvres en persuadant les gouvernements – riches comme pauvres – de verser de l’argent
aux multinationales pharmaceutiques dans lesquelles Gates a investi. Elias a dirigé le projet innovant de Depo-Provera injectable, le «Sayana Press» du
PATH, conçu pour contourner les règles de sécurité américaines tout en réduisant la fertilité des femmes noires africaines. Cette invention a valu à Elias le prix de l’entrepreneur social de l’année 2005, décerné par la Fondation Klaus Schwab. La Fondation Gates a accordé de nombreuses subventions au PATH, dont une en novembre 2020 (après qu’Elias soit passé à la BMGF) «pour soutenir le développement clinique des vaccins COVID-19 par des fabricants chinois».
Avant le PATH, Elias avait été responsable en chef de la division des programmes internationaux du Population Council, chargé de freiner la fécondité dans toute l’Asie du Sud-Est. John D. Rockefeller III a fondé le Population Council en 1952 lors d’une conférence qu’il avait convoquée pour le grand sacerdoce du contrôle de la population, comptant le directeur de la nouvelle Planned Parenthood Federation of America et plusieurs eugénistes bien connus. Déplorant que la civilisation moderne avait réduit le fonctionnement de la sélection naturelle en sauvant davantage de personnes «faibles» et en leur permettant de se reproduire, ce qui avait entraîné «une tendance à la baisse de la qualité génétique», le groupe avait convenu de créer une organisation consacrée à la «réduction de la fertilité». Si Rockefeller a officiellement lancé le Council en lui accordant une subvention de 100000 $ et en a été le premier président, les deux présidents suivants ont été Frederick Osborn et Frank Notestein, tous deux membres de l’American Eugenics Society. Les NIH et l’USAID faisaient partie des bailleurs de fonds de «lancement», et les gouvernements américains et étrangers sont rapidement
devenus les principaux financeurs du Council.
Le Council fait des recherches pour promouvoir l’utilisation de la
contraception artificielle et de l’avortement, ainsi que des recherches biomédicales pour découvrir et développer de nouveaux médicaments et
technologies contraceptifs. Il a collaboré avec la Fondation Ford et l’International Planned Parenthood Foundation pour développer des programmes à grande échelle de stérilets à l’étranger, malgré les
avertissements de ses propres chercheurs quant aux effets secondaires graves.
Plus tard, le Council a joué un rôle capital dans le développement du
Norplant, l’implant contraceptif hormonal extrêmement dangereux.
L’historien Donald T. Critchlow a écrit que le Population Council «cultivait ses relations avec les élites et évitait la controverse publique en se présentant
comme une organisation neutre et scientifique».
L’Agence américaine pour le développement international (USAID) a noué un partenariat de plusieurs décennies avec le Population Council et a cultivé
des alliances à long terme avec la Fondation Rockefeller et l’OMS, en faisant des recherches sur le contrôle de la fertilité comme moyen de réduire la population mondiale, en particulier en Afrique subsaharienne. En 2014,
Gates et Elias avaient un collaborateur fiable au sein du programme fédéral: le directeur de l’USAID, Rajiv Shah, qui avait, avant cette nomination, travaillé une décennie pour la Fondation Gates, dirigeant le programme de
vaccination de la GAVI pour les enfants africains.
Le Dr Shah a rejoint la Fondation Gates en 2001 et a supervisé son alliance avec la Fondation Rockefeller concrétisée par l’Alliance for a Green Revolution in Africa. Il a dirigé l’International Finance Facility for Immunization. L’IFFI est une agence véreuse qui finance les projets mondiaux de vaccins de Bill Gates dans les pays en développement via un système d’émission d’obligations diaboliquement innovant: il accumule d’énormes dettes dans les pays pauvres pour financer les vaccins intéressés de Gates. Grâce à un tour de passe-passe, l’IFFI enrichit les partenaires pharmaceutiques de Gates avec des obligations financières occidentales en faisant supporter les coûts aux générations futures des pays pauvres. Avec cette escroquerie, Shah a récolté 5 milliards de dollars pour la GAVI. À l’USAID, sa principale tâche a été de réorganiser l’agence pour refléter sa nouvelle orientation en matière de biosécurité, en vertu du décret présidentiel de 2009 d’Obama. Shah a quitté l’USAID pour devenir président de la Fondation Rockefeller en 2017. Il entretient des liens profonds avec les agences de renseignement et les cartels pétroliers et chimiques. Il siège à la fois à la Commission trilatérale et au Council on Foreign Relations, deux organisations mondialistes qui ont été largement pensées par l’alliance Rockefeller/Kissinger. Shah est membre du conseil d’administration de l’International Rescue Committee, une organisation à but non lucratif liée à la CIA depuis longtemps. Dans son livre de 1991, Covert Network: Progressives, the International Rescue Committee and the CIA, Eric Thomas
Chester, professeur d’économie à l’université du Massachusetts, dénonce l’IRC comme étant une façade de la CIA. Bill Casey, un espion de longue date, qui, en tant que directeur de la CIA de Ronald Reagan, a aidé à gérer l’affaire Iran-Contra dans les années 1980, a présidé l’IRC de 1970 à 1971.
L’IRC opère dans 40 pays en faisant de «l’aide humanitaire». Selon son PDG actuel, David Miliband, ancien ministre britannique des Affaires étrangères, le rôle de Shah au sein du conseil de haut niveau est de «suivre les questions politiques et non sanitaires liées aux impératifs de prévention et de préparation à une épidémie potentielle d’envergure planétaire». (…)
(in Robert Kennedy Jr, The real Fauci, Gates and Big Pharma)
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