Tumgik
#bim bam là
mllenugget · 5 months
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Iconic.
(English translation in alt)
────────────────────────────────────────── Support all the admins that spoke out (& do your daily click) ──────────────────────────────────────────
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broomcolate · 5 months
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Day 7: Free day
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Bim, bam, là
I love you, je crois qu'c'est ça
@aphfrukweek
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theoppositeofadults · 4 years
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ma mère n’est toujours pas vaccinée, ce qui m’énerve, et à chaque fois qu’elle avait un rendez-vous, c’était annulé et il y a très peu de créneaux vers là où on habite
j’ai donc pris les choses en main, bim bam boum, j’ai checké très régulièrement le site de la santé.fr, et j’ai enfin trouvé un créneau bientôt, qu’elle allait prendre de toute façon, mais en plus c’est à un endroit qui l’arrange, un jour qui l’arrange, et avec le vaccin qu’elle voulait 
Sophie secrétaire d’exception, le retour
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montag28 · 4 years
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Specialmente in un’epoca come questa, in cui tutto è permeato dalla precarietà, dieci anni fermi in uno stesso luogo sono un po’ troppi, un po’ per tutto. Che sia un posto di lavoro o un blog. Però il blog non dà da mangiare, per cui, ecco.
Per cui, niente. Mi manca l’emozione di quando a otto anni entravo in una stazione dei treni, mi mancano gli occhi con cui guardavo il ferro lucente dei binari e le traversine ancora in legno e le pietre ferrose della massicciata. I tabelloni a caratteri mobili e gli annunci con la voce umana. Le ruote dei treni, le molle degli ammortizzatori, i bulloni, le leve e i manicotti delle locomotive, i pantografi, le scritte. E le livree delle carrozze: rosso carminio e grigio chiaro, blu notte, verde bottiglia, marrone, grigio chiaro con due strisce orizzontali, una lilla e l'altra arancione tenue. Il vecchio logo “a foglia” delle FS; o quello ancora precedente, stupendo, “a televisore”. La bellezza ineguagliata degli scompartimenti a sei posti, con le cappelliere enormi e la volta tappezzata col linoleum e le tendine e la luce regolabile e i poggiatesta: cabine eterogeneamente popolate eppure intime, complici, così lontane da questi enormi corridoi moderni, impersonali e un po’ cafoni, che incitano al baccano o all’isolamento. A lato degli scompartimenti correva invece il corridoio lungo e stretto, tutto finestrini, con i piccoli sedili a ribalta e qualche passeggero in piedi, che stava lì a fumare, a guardare fuori o a camminare in cerca della ritirata, che poi era il cesso. I cartelli delle stazioni in cui si transitava durante il viaggio: azzurri con la scritta bianca a lettere tutte maiuscole: Peschiera del Garda, Milano Lambrate, Rho, Santhià, Chivasso, Torino Porta Susa. Ne sopravvivono ancora, qua e là. Seguire le traiettorie dei fili elettrici. Farsi cullare dal sussulto del treno sulla strada ferrata, scandito dagli intervalli regolari delle giunture della rotaia. Potrei andare avanti per molte parole ancora, corrispondenti a molte frasi per molte righe, equivalenti a molti altri minuti. E poi rincominciare. Da cento cose diverse e poi altre mille: il cortile dell’asilo, il mio defunto amico ciliegio, altri affetti umani e attualmente ancora in vita; le previsioni meteo del colonnello Bernacca, quark e bim bum bam, il primo canestro della mia vita nel campetto di Cagliari dove mi portava mio cugino o il suono che hanno i pattini quando ci freni sulla pista da hockey. Scriverei e scriverei: a volte ci riesco ancora. Il valore è quello che posso permettermi, come sempre: da blogger, nel migliore dei casi. Scriverei e scrivo, qui, su un quaderno immateriale vecchio di dieci anni e più che ogni tanto mi viene voglia di abbandonare, saggiamente. 
Bisogna combattere la nostalgia, ogni tanto, per quanto seducente. E anche le abitudini, seppur rassicuranti. Staccarsi, lasciar andare. E cambiare, che è forse la necessità delle necessità: per un bambino è fisiologico e scontato. Alla mia età bisogna sforzarsi di comprenderlo, prima ancora di passare all’azione.
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Y’a un HIC
J’ai vu Mélo c’est plus possible, elle n’arrête pas avec ses bruits, son CLAC la langue et CLIC son bic et SCRATCH le bras et SNIFF le nez, TAP TAP les ongles sur son bureau SLUUUUUUUURP le café qu’elle aspire comme une pompe à essence, après GLOU-GLOU le petit verre d’eau, SCROUNCH le spéculos qu’ils nous ont mis, et là HIC figure-toi HIC qu’elle a même HIC eu le HIC hoquet j’ai dû lui BOUH ! Et puis son cleps qui GRR qui OUAF qui PSSSS partout qui pue qui PROUT, j’te jure ça me ARG, encore un peu et je la PAF je sais pas je la BIM PAN BAM DING BOUM et AHHHHHHHH !
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ceciestnotresang · 4 years
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Les sanglantes aventures de Super Plus et Super Flux
Cours de 3h, je commence à avoir mal au ventre et bim bam boum, mes règles sont là et pareil pour une fille de ma classe qui les a eues au même moment , on s'est senties liées dans la poisse.
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gay-impressionist · 5 years
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J'ai appelé (!!!) un restaurant pour faire une réservation et j'ai même pas stressé :o Normalement je hais parler au téléphone et je l'évite à tout prix mais là je me suis dit que ça irait plus vite alors je l'ai fait (alors que j'aurais pu envoyer un mail) et bim bam boum j'ai eu une résa sans bégayer ni stresser
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wehadtodayandstuff · 5 years
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19. Le néant
There were your eyes in the dark of the room
The only ones shining
The only set I had met in years
Sharon Van Etten - Give Out
Je ne te surprendrai pas trop en te disant que ma vie sentimentale, c’est le néant. Du genre néant désertique dans un univers d’anti-matière où toute forme de vie est impossible. Ou un univers radioactif où tout contact entre les seuls survivants est totalement proscrit, sous peine de réduire la planète en cendres. Ce genre de néant. Ce type de célibat. Et ce, depuis tellement d’années que j’ai arrêté de compter de peur de commencer à en fêter les anniversaires. Oh, je ne m’en plains pas. C’est même plutôt un choix, finalement. Ou alors c’est un choix d’essayer de me convaincre que c’est un choix pour ne pas avoir à affronter la vérité évidente que ce n’est jamais vraiment un choix. Bref, je te perds. On s’en fiche. Le fait est que j’étais seul. Ce qui est cool, parce que j’aime être seul. J’aime avoir mon espace, mes habitudes, mes passions et hobbies, mon emploi du temps. J’aime me lever et me coucher aux heures que je choisis, manger des chocapic comme repas si ça me chante, et penser à moi en premier. Ça peut paraître égoïste, moi j’appelle ça le manuel de la survie en 10 étapes dont une seule compte vraiment. Et en même temps, je pourrais tirer un trait sur tout ce que je viens de dire et t’énoncer exactement l’inverse. Ouais, je sais, paradoxal et contradictoire. Blâme l’être humain qui est venu se fourrer à l’intérieur de moi sans permission. Je ne sais même pas pourquoi je te raconte tout ça, d’ailleurs, à l’écrit, on peut aller tellement loin que l’on se perd toujours en chemin. Revenons à nos moutons du néant. Seul. Pendant un bout de temps. Et comment faire autrement ? C’est tellement compliqué de rencontrer des gens. Les applications de “dating” me dépriment au plus haut point et représentent le diable incarné dans un corps d’Apollon qui prend des selfies. Dans la rue, on baisse la tête et on marche droit devant. Ou on regarde son téléphone. Ou on est simplement trop occupé pour s’intéresser à ce qui nous entoure. Dans les lieux publics, on s’évite du regard. Il y a un million de techniques pour ça, je pourrais en donner des cours. On ne prend plus le temps de lever les yeux et d’observer, de se regarder. Pourtant, tout passe par le regard. Et je viens seulement de le réaliser. 
Là où je veux en venir, c’est que j’ai rencontré ma paire d’yeux. Pas celle que je croise tous les jours dans le miroir, celle-là, elle me gonfle. Non, celle qui était au fond de la pièce. Celle qui faisait mine de rien, qui se baladait incognito. J’étais assis à l’autre bout du café à déguster mon cappuccino frappé et à relire pour la énième fois l’Attrape-Coeurs dans la langue de Shakespeare. Je ne demandais rien à personne, si ce n’est qu’on me laisse apprécier ce moment de détente en solitaire. Holden Caulfield s'apprêtait à commander son scotch et soda servis séparément que le serveur ne lui apporterait jamais puisqu’il est mineur, ce qui me donna soif. Je pris donc une gorgée de mon breuvage glacé tout en ne décollant pas les yeux du livre, ce qui, crois-moi, demande des années d’expérience et quelques livres cobayes dont je terrai le sort. Pour reposer le verre, par contre, je préfère faire attention, je levai alors les yeux, le posai et par réflexe, je fis le tour de la pièce du regard. Et là… boum. Ou bam. Ou bim. Choisis l’onomatopée qui te convient le mieux, mais j’ai croisé son regard. Un vrai regard. De ceux qui valent mille mots. De ceux que tu ne rencontres qu’une fois. De ceux qui font disparaître tout ce qui existe autour de toi, a pu exister, ou existera jamais. Quelques secondes valaient toutes les horloges à coucou soprano du monde. De la douceur, de la mélancolie, de la gêne, une joie dissimulée et une authenticité remarquable. De la lumière naturelle. Pas d’artifices, pas de filtres. Elle a vite détourné les yeux pour reprendre, elle aussi, sa lecture. Moi, je suis resté figé, toujours dans son regard. Ses yeux dans le néant. Ma bouée de secours. Je ne savais pas si elle avait ressenti la même chose, mais j’étais déterminé à le savoir.
C’était la première fois que je t’ai vu. Et je voulais t’en faire part, aujourd’hui. Je voulais te le raconter, parce que je n’ai jamais pris le temps de le faire. Je voulais que ce soit ton présent l’espace d’un instant. Et parce que, dans un sens, j’aime que la fin, ce soit aussi le début. Que les deux s’emmêlent, qu’on ne les distingue plus. Que toute notion de temps soit écartée. Tu n’es plus là, mais cet éclair dans le néant est gravé en moi, et il le restera.
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paulysson1 · 2 years
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L'amour c'est dangereux,
Je pourrai être cet ange-heureux,
Cela me rend malade,
J'y crois mais t'es pas fiable,
De me dire que du soleil tu attise ta flamme,
Et beaucoup de peine me laisse sans larmes,
Et toi tu es aussi froide qu'une lame.
Et bam !
Vient le coup de surin sur ma poitrine,
Déjà je vois les pompiers qui, bordel, me réanime,
Je tombe dans l'abîme.
Et bim !
Avec toi c'est pas pareil,
Je vois bien que ça décline,
Marre d'être branché à l'appareil,
Pas assez de sucre, besoin d'insuline.
Est-ce que l'on peu se mettre en veille ?
Avant que même la vie devienne vieille,
Mais je t'aime et c'est pas demain la veille,
Que le courage de dire non viendra à la contemplation de mes plus indésirables pulsions.
Et boum
C'est le bruit de l'éclaboussure,
Une crevasse dans le cœur, une blessure,
Du sentiment des centimètres,
Mais sans s'y mettre,
Comme un crash en voiture,
Qui clos les portes du futur.
Patatra
Je cracherai comme un lamas,
Prends moi, tout ce qui soit et qui en est,
D'ailleurs, qui en est né ?
Tout celà c'est abusé,
J'ai trop offert,
La porte je vais l'ouvrir,
Là, je ne peux plus subir,
Laisse-moi la fin pour le dernier soupir.
P.amis
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tiredwriterr · 2 years
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Ok du coup!! Sehan et Jack proviennent de mon histoire Rayon de Lune
Le synopsis c'est globalement qu'ils se retrouvent toutes les nuits au même endroit, dans un parc, mais pas à la même heure, donc ils se sont jamais rencontrés jusque là
Mais bim bam boom, un évènement va faire qu'une nuit ils viennent à la même heure et ils vont enfin se croiser!!
Y'a 7 chapitres (dont 1 qui est l'introduction) et chacun a pour nom une phase de la lune (la nouvelle lune, le premier croissant, etc)
et oui je me sens super smart d'avoir fait ça
C'est du fluff, avec un peu d'angst sinon c'est pas drôle, c'est cringe parce que c'est deux ados de 17 piges qui sont socialement awkward et çA MFAIT UN PEU TROP PENSER À NICK ET CHARLIE DE HEARTSTOPPER ALORS QUE J'AI ECRIT CETTE HISTOIRE AVANT DE CONNAÎTRE 😭 MÊME MES PERSONNAGES LEUR RESSEMBLE JE VEUX CANER
Bref, j'ai jamais publier l'histoire parce que je trouve ça justement trop cringe, genre eurk être soft c'est cringe-malaise comme dirait antoine daniel
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oxymorttt · 6 years
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Bim bam shoot dans mon coeur
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T'es passé dans ma vie
Telle la team Rocket
T'as tout chamboulé
Tout désorganisé
Passage éclair
Ne pars pas
On s'est à peine effleuré
À peine touché
J'ai encore ton odeur sur ma peau
Ton souffle court sur mes clavicules
Envie que tu sois encore là
Reviens vite mon coeur
Tu me manques déjà
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younigirlpower · 3 years
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Il y a des jours comme ça où tu démarre dans le flou et là bim bam boum🎉 l'univers t'envoi un signe majestueux pour te dire: "mais ouvre les yeux, c'est là devant toi à ta portée de main, il te reste plus qu'à le saisir..." C'est exactement ce qui c'est produit en plein direct avec vous🌟 ce rayonnement céleste, nous as totalement ébloui✨ Merci à toi l'univers de tous ce que tu m'offre au quotidien🙏🍀✨ (à Ingrid - Beauty MUA) https://www.instagram.com/p/CXa0D_qsoJ7/?utm_medium=tumblr
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complies · 4 years
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Pourquoi j'ai quitté l'Église Catholique épisode 3 : la voix des femmes et ma vocation
En parallèle de mes réflexions sur c'est quoi une Église, au travers de ma thérapie psychanalytique (commencée en 2014, en plein milieu de ma relation toxique avec l'abuseur), j'ai commencé à m'interroger sur ce que l'Eglise attendait de moi en tant que femme et quelle était ma vocation.
Car, ce qui m'interroge, c'est que les saintes mariées se comptent sur les doigts d'une main. Dans celle que je suis capable de citer de tête il y a Marie la mère de Jésus, mais on en reparlera dans l'épisode 4, Sainte Monique la mère de Saint Augustin qui a converti son mari super païen et Zélie Martin, la mère de Ste Thérèse de Lisieux. Voilà débrouille toi avec ça.
Cette question m'a semblé encore plus importante à l'issue d'un pélé des mères (qui est très mal nommé) où le prédicateur (hum hum) nous a conseillé de choisir un personnage biblique pour nous inspirer dans notre vie.
Et moi, aux prises avec mes questionnements sur comment je trouve un équilibre entre ma vie de foi perso, ma vie de femme désirante, ma vie de mère et ma vie professionnelle, ben spontanément personne ne m'est venu à l'esprit. J'ai commencé par me dire que j'étais trop ignorante donc que j'allais relire l'Ancien Testament (on était en 2017 et la merveilleuse Bible des Femmes n'existait pas encore). J'ai commencé par le Cantique des Cantiques car être une femme désirante en marche vers la sainteté catholique est un point qui me posait beaucoup de problèmes. Donc l'idée que j'avais du Cantique des Cantiques par les sermons que j'avais lu ou entendu et mes études de lettres, c'est que c'était un texte très sensuel où un homme et une femme parlaient de leur vie érotique dans des termes spirituels. Bon je vous la fais courte, ça m'a pas du tout parlé. Mais ce que ça m'a révélé c'est que j'avais soif de lire la parole biblique d'une femme. Mais écrite par une femme. Parce que là le Cantique des Cantiques c'est très clairement écrit par un homme, on retrouve tous les poncifs typiques des écrits nuls des hommes avec leur male gaze quoi, ce qui ne m'inspire pas du tout. En même temps c'est légèrement la base du féminisme de chercher à rendre plus visible les discours et les récits des femmes, racontées par elles-mêmes.
En recherchant donc quels livres de l'Ancien Testament avaient pu être écrits par des femmes, j'ai découvert qu'on soupçonne que plusieurs femmes aient écrit le livre d'Isaïe, qui est mon livre préféré. Bon le problème par rapport à ma thématique "comment on devient sainte en étant une femme désirante" c'est que le livre d'Isaïe est très poétique mais ne parle pas de ça quoi.
Et puis soudain un Samedi saint, j'ai compris ce que je devais lire. Dans l'Evangile du jour, Marie-Madeleine se rend au tombeau pour s'occuper du corps de Jésus. Et là petite épiphanie personnelle, je me dis "mais attends Marie-Madeleine elle a vécu en femme désirante auprés de Jésus, elle a surmonté ça et en plus elle a écrit un évangile, mais ça serait pas exactement ce que tu cherches ?"
Donc pour l'Avent suivant, je me suis achetée l'Evangile de Marie-Madeleine et je l'ai lu. Je n'en ai parlé qu'à très peu de gens car en tant que femme catholique ça me semblait un acte très transgressif de sortir du canon de la Sainte Église.
Avant de vous parler des conséquences que cette lecture a eu sur ma foi, je vais revenir sur une petite anecdote, mais qui est super importante pour prendre la mesure de la révélation que j'ai vécue à la lecture de l'Evangile de Marie-Madeleine.
Un jour, je regarde une émission de KTO sur des livres religieux car sur leur page Facebook ils ont annoncé parler d'un livre sur les mystiques du XXème siècle. Bon si tu lis ce Tumblr régulièrement, ça va pas te faire un choc majeur si je te dis que je suis mystique (c'est Ste Thérèse d'Avila la sainte patronne de ce blog quoi). Donc, toujours dans ma quête d'être une femme désirante mystique mère, ce qui dans l'Église Catholique t'est présenté comme étant totalement incompatible, la preuve tu connais aucune sainte qui ne l'ait jamais été (je rappelle que pour les catholiques romains, Marie la Mère de Dieu est perpétuellement vierge donc n'est pas une femme désirante au sens que je donne à cette expression et que c'est le seul modèle qu'on te donne à toi femme mariée catholique romaine), bref, donc, dans ma quête je me dis que cette émission va peut-être parler d'une femme comme moi.
Et bien non pas du tout. Toutes les mystiques du livre sont célibataires, moniales ou non. Je ne termine même pas mon visionnage tellement je suis en colère. Je ne comprends pas que personne ne soit foutu de trouver un exemple de femme mariée mystique.
Bon donc ensuite je lis l'Evangile de Marie-Madeleine. Et l'appareil critique fourni avec car pour ne rien vous cacher, je n'ai pas tout compris à la première lecture.
La première chose qui me frappe avec ce texte, c'est qu'on dirait un journal intime. Et là bim bam boum j'ai une nouvelle épiphanie. Si je veux trouver une trace écrite de femme mystique mariée, je ne vais pas trouver de livre. Car aucune d'entre nous n'a de chambre à soi pour en écrire un (ce billet à été écrit entre 5 et 6h du matin). Mais pendant des siècles, nous avons écrit. Des journaux intimes. Qui sont considérés comme des écrits mineurs, inintéressants pour les grands génies littéraires presque tous masculins. Bon donc je me note ça dans mon grand cahier des sujets de thèse à explorer quand mes enfants seront plus autonomes (non mais je sais que ça n'arrivera pas hein mais vous avez compris l'idée générale).
Bon mais la révélation principale c'est que l'Evangile de Marie-Madeleine ne parle pas tellement de sa relation sensuelle avec Jésus (apparemment c'est plutôt l'Evangile de Thomas pour les passages olé olé) mais ENTIÈREMENT de sa relation mystique avec Jésus.
Et là ça a réparé un truc en moi. Je me suis rappelée de cette colère au visionnage de l'émission de KTO. Je suis sûre que des femmes mariées mystiques ont existé et existent, au XXème siècle et avant. Pourquoi ? Mais parce que j'en suis une.
Et que très clairement l'Eglise catholique me l'a caché. Elle a passé son temps et mon temps à me faire douter de cette vocation, à me donner l'impression que mes aspirations sont illégitimes et que Dieu ne parle pas aux femmes comme moi. Voire que les femmes comme moi n'ont jamais pris la parole.
Si je veux pouvoir accomplir ma vocation, je dois me libérer de ces discours toxiques, je n'ai absolument pas le choix, je dois quitter cette Église.
J'ai eu une dernière confirmation, dont je vous ai parlé ici, lorsque mon fils est revenu du catéchisme avec un travail sur les prophètes de la Bible. Évidemment que des hommes. Dans le même temps j'étais en train de lire un chapitre de la Bible des Femmes sur les prophétesses dans la Bible. Et alors quoi ? Tout ce travail de déconstruction que je suis en train de faire, qui me permet de vivre pleinement ma vocation, est-ce que je peux accepter de le mettre sous le tapis pour mes enfants ? Non je refuse que mes enfants aient à faire le même travail, ils recevront l'éducation religieuse et spirituelle que je n'ai pas eu. Gagnons du temps quoi, il y a tellement à faire et nous manquons déjà tellement de temps pour accomplir la Volonté de Dieu.
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theoppositeofadults · 4 years
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heureuse de vous annoncer que j’ai réussi à faire un créneau !!! je n’y croyais plus mais je conduisais mon date (il voulait qu’on prenne le bus, hmmmm i think not, le bolide est là!!!) et il fallait qu’on se gare et je n’avais littéralement pas le choix parce que sinon il allait me juger et mon père m’a dit d’arrêter de passer le volant à tout le monde donc je me suis dite “Sophie !!! arrête d’être conne” et j’ai repensé à cette vidéo instagram “comment faire les créneaux” que j’avais vu la semaine dernière et j’ai braqué, contre-braqué, bim bam boum, belle gosse
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06 novembre. Seine-et-Marne
Dans ma tête les souvenirs qui s’entrechoquent pêle-mêle et bim bam ça résonne fort et plouc plouc ça tourne en boucle : la mélodie infernale des souvenirs, les remords, les regrets, les angoisses qui refont surface. Tout mon corps me gratte. Y’a les plaies qui se ré-ouvrent. Le monde est si grand, il y a tant de choses à explorer et je reste assise dans ma grande maison vide. 1 fois par jour je sors je marche sur la route, pas une voiture ne roule. Les feuilles des arbres qui tombent, jolies sont les couleurs de l’automne, le ciel est bleu ça sent bon la vie dehors. Ça sent bon la vie dehors et je suis enfermée dans ma grande maison vide. Je sens mon cœur se dessécher. Il est tout sec et je ne parviens plus à l’illuminer. Je reste assise à surveiller des écrans ; l’écran de mon ordinateur attentive aux mails qui ne viennent pas, l’écran de mon téléphone alerte quand aux notifications qui ne sonnent pas. Je me sens seule et oubliée dans cette grande maison vide. Je suis là depuis des mois et des mois. Mon ombre se confond avec les murs. Je me sens seule et laide. J’espère qu’il m’attendra, j’espère qu’il ne m’oubliera pas. Que quand tout ça aura une fin, lui sera toujours là.
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ecrivures · 5 years
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24/03/2020
À fond sur l'auto-route des VROUM VROUM moteurs aux constants aguets aguerris c'est sûr voilà que ma voiture devait être à ce moment l'engin véhiculé le plus rapide du monde et de l'univers tout entier compris, slalomant entre ces autres corps mobiles sur roues qui respectaient copieusement les vitesses limitatoires quoique j'en soupçonnasse quelques uns de jouer à chat avec les règles mais bref qui suis-je pour juger.
L'objectif de cette course de dingue m'était de se rendre à un festival des festivités, je ne sais plus où mais c'est l'amoureuse que j'allais y rejoindre en tout cas pas de temps à perdre l'enjeu se déroulait sur un week-end du vendredi au dimanche et nous étions déjà samedi alors zou sans réflexion
« TU VAS VOIR ON VA S'MARRER COMME DES BEUVRÉS LÀ-BAS » hurlai-je à mon pote imaginaire assis à la place du mort.
Les vitesses moléculaires s’accroissaient au rythme de mon sang bouillonnant d'adrénaline, et, toute formulation langagières foireuse venant d'être ici déposée, il me fallait admettre que l'angoisse d'une fin soudaine planait de plus en plus amplement vers les dessus de ma conscience pulsionnelle. Donc des fois j
BAM !
Pare-choc avant contre pare-choc arrière c'est les folies qui se trament et BIM ENCORE une autre tiens ça cabosse ça tonneaute vroum vroum les moteurs se calment et on se retrouve sur quatre roues déglinguées carrosserie de partout enfoncée au milieu de cette auto-route toujours la même.
« MINCE C'EST CHAUD ON A FAILLI CREVER » hurlai-je encore à mon pote imaginaire assis à la place du mort à qui j'ai décidé d'arrêter de parler d'ailleurs on va dire il est mort.
On pourrait s'en clamer des « ouf » mais non, plus loin sur la route la même un peu plus loin là-bas, comme les faits exprès de ce qui arrive quand c'est pas le moment, une voiture de la police qui a certainement usé de techniques visuelles à l'aide de ses rétro-viseurs et qui ne s'avère pas dupe de l'action : hop elle fait demi-tour comme ça et se ramène pleins gyrophares sirènes sur vers les lieux du crime.
Je me dis ça pue un peu, toute faute pour moi vaut mieux agir que prévenir.
Sur la droite : sortie de la route menant à une forêt. J'use les dernières forces du véhicule amoché par la vie et y dirige l'ensemble de nos corps meurtris de chocs accidentés. Je gare le bordel au bord du sentier boueux, à la lisière, et c'est sûr ils vont débarquer ici sous peu les méchants alors je sors et vais m'enfoncer dans les bois trouver vite comme il faut une planque idéale.
Ni vu ni connu, miteuse cabane isolée perdue entre multiples arbres oubliés des temps d'un jour. Parfait c'est parfait, j'en ouvre la vieille porte en bois rouillée de fer, me fond à l'intérieur on ne bouge plus attendons et, quand calmé, repartirons. Le stop routier terminera ensuite mon trajet.
Ça va c'est plutôt peinard, un peu confiné l'ambiance espace clos et serré, mais une banquette lit d'hôpital trouée rongée longe le mur en bois je m'y assois et fais passer le temps sur mes songes.
La situation pourrait être pire.
Bien pire.
Et'suffit d'y penser pour que ça arrive : voilà que je prend conscience de la présence d'une ÉNORME guêpe sur la porte. Vivante la guêpe, bien sûr.
Ah ça j'aime pas, ça, avec leur abdomen venimeux et leurs yeux jugeurs ces machins là je déteste ils ne me plaisent absolument mais alors vraiment pas du tout.
Puis allez qu'elle se met à voler la guêpe, absurdité de son vivant, certainement à chercher la sortie mais alors pourquoi y est-elle entrée pardi ? Et chaque fois ça fait des feintes, s'approche de moi sans que j'en comprenne de raison, puis retourne vers la porte à provoquer ces bzzbzzzdddggzzgbbdzzzggbzbzzzzbzz bruits assourdissants et répugnants. L'espace est vraiment trop restreint rien pour me mettre à l'aise c'est sûr on est un être de trop dans cette pièce de bois rongé mais je me refuse à effectuer quelconque acte meurtrier mortel. Tout de même restons polis.
Alors je tends la main vers la poignée de porte, mais chaque fois qu'elle s'y approche l'autre abrutie dangereuse s'excite et vole dans tous les sens ça stoppe net le geste initial. Gardons espoir cependant que les  tentatives se réitèrent.
Je parviens enfin à entrouvrir l'allée vers une sortie. Bien sûr, la chose n'est pas du bon côté de la cloison et préfère s'y heurter plutôt que SE SERVIR DE SES SENS et sentir l'air à suivre pour s'échapper. Toujours la même rengaine.
Ça dure un temps interminable, à l'aide d'une planche de bois trouvée à terre je fais les nouvelles tentatives d'inviter l'insecte volant à se diriger vers l'ouverture, mais non, même lorsqu'elle se trouve devant la voilà qu’elle retourne vers les confins du plat bois miteux. Et toujours ces coups de pression à me venir dessus puis repartir, c'est l'enfer.
Bon, je tourne la tête et vois à l'autre bout de la pièce, soit à même pas deux pas de moi, une autre porte qui donne vers un autre extérieur. Provoquer un courant des airs, en voilà une bien bonne d'idée, alors je m'y évertue m'y dirige et ouvre péniblement cette autre porte qui donne vers un autre extérieur.
On est d'accord que le suspens de la situation ne serait pas à son comble si l'astuce avait fonctionné à merveille, au lieu de ça la chose persiste en faisant à présent des allers-retours dans la cabane, me frôlant à chaque fois sans foi ni loi établie.
Et couronnons le tout, plutôt que celle-ci de sortir, voici qu'une autre plus grosse encore entre, à son tour, au sein de ce confinement qui me plaît de moins en moins serein.
Là on y est c'est le danger du ressenti je deviens fou à les voir toutes deux effectuer le même manège des allers-retours constants en me tournant autour par la même ÇA VA PAS LE FAIRE !
Voilà que j'échappe aux flics méchants et j'écope de guêpes moches et monstrueuses, comme quoi pas un.e pour rattraper les autres, similarité de ces corps qui nous exercent la pression de leur présence sans cesse et gros tourments.
Alors, à situation triste réflexes tristes, de cette planche que je tiens en mains la violence d'un geste s'effectue, j'éclate la deuxième entrée en scène qui désormais est encore moins belle à voir étalée sur le mur.
Était-ce la bonne idée peut-être pas en tout cas retour en arrière impossible, plus question de s'arrêter la vengeance de l'autre risque d'être terrible je m'évertue à lui réserver le même sort sans aucune fierté mais qui sommes-nous pour juger encore une fois.
Sauf que je la rate plusieurs fois celle-là, l'espace clos freinant l'ampleur de mouvements efficaces, et plus je la rate plus elle s'agite,  un combat sans fin semble s'engager mais, malheur aux petites choses, elle finit par trouver le même sort que sa sœur défunte peu avant elle.
Rien ne s'arrêtera là me dis-je instinctif, c'est comme les polices quand y'en a une d'autres arrivent, mortes de surcroît, alors il me faut placer les morbides cadavres au-dehors et on en parle plus.
Sauf qu'à quoi bon après tout, guêpes mortes, flics partis, c'est à moi de m'en extraire désormais et d'aller poursuivre le périple de ma route jusqu'à l'objectif initial m'étant  imposé, ce festival des festivités qui me fera tout oublier.
J'y suis parvenu à force de pouces et de routes dans les après-midi du samedi.
Festival des festivités, fête festivalière... une pas si bonne ambiance jadis espérée à dire vrai.
Pour sûr la peine n'en valait pas tant d'efforts, et, en plus de ça, pompom sur le bottin ou cerise sur le crottin, voilà que je m'y suis fait larguer.
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