Tumgik
#et ça fait vroum
mllenugget · 5 months
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Iconic.
(English translation in alt)
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mel-et-ses-histoires · 5 months
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Alors,
Petit point lecture et serie.
J'ai commencé la serie Fallout d'Amazone. Pour ce qui ne connaissent pas c'est une adaptation d'une tres vieille serie de jeux vidéo (1994, au mon dieu je suis vieille) qui, pour faire simple, est un jeu de role dans un univers post apo : le monde s'est arrêté au niveau culturelle et politique aux années 50,gros conflit entre les USA et la Chine jusqu'à ce que pleins de bombes atomiques viennent faire des bisous à toutes les grandes villes.
200 ans plus tard les USA sont une terre radioactive et désolée ou des gens survivent comme ils peuvent. Certains abri antiatomiques ont permis a des groupes de survivrent sous terre pendant des générations sans trop savoir ce qui se passent a l'exterieur. Le jeu était violent, tres libre niveau choix moraux et c'était tres bien. C'est un jeux qui m'avait beaucoup beaucoup marqué pour son univers.
Du coup la serie repose sur exactement les même bases et c'est une série que je n'attendais pas du tout du tout du tout du tout du tout du tout.
Car en fait les adaptions en film ou serie de jv il y en a déjà eu pas mal et c'était pas souvent top top (pas de budget, pas d'écriture, on considère que la cible est un ado debile de 14 ans). Donc je n'en attendais rien. J'etais légitimement en droit de me dire que la serie serait tres gentille niveau moralité (des gentils tout gentils, des méchants tout mechants, on tappe pas sur les enfants toussa), sans trop de violence ou quelque chose de trop "propre".
J'ai commencé a regardé et en fait c'est une très bonne surprise. Niveau effet speciaux ils ont fait le bon choix : pas trop de budget donc on fait pas semblant d'en avoir. Un peu de FX et le reste en effet reel.
Il y a de la violence. Dont de la violence gratuite, car dans cet univers il n'y a pas de raison qu'il n'y en ai pas. Le personnage principal n'est pas une princesse, elle est ultra naive mais c'est justifié mais si il faut découper une tete a la tronçonneuse ( oui oui) elle souffle un coup, sort un "oki doki" et vroum vroum.
Parce ce que dans ma méfiance j'avais oublié quelque chose : la serie The last of Us a montré qu'on pouvais faire une adaptation de jv sans que ce soit comique ou pour enfant, qu'on pouvait essayer de fairz ca aec serieux.
Donc, je n'ai pas fini la serie donc pas d'avis définitif mais pour l'instant j'ai l'impression qu'on ne se moque ps de moi et qu'on me parle pas comme une debile quand je regarde donc ca me vas.
Niveau lecture je suis (encore) en train de (re) lire Les annales de la compagnie noire, une longue serie de romans qui racontent les perigrinations d'une troupe de mercenaires. Les perso ne sont pas des gentils, ceux qui les engagent non plus, ceux qu'ils combattent encore moins. Il y a plus de morts que dans un marriage à Westeros d'autant que l'histoire se deroule sur quelques dizaines d'annes.
Et voila ti pas qu'une nouvelle m'arrive : une adaptation en jeu de role papier est en préparation !
C'est pas beau tout ça ?
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Aujourd'hui, dévidons le fil d'une épopée mécanique, celle du Garage St Christophe, un foutu nom pour un endroit où les miracles sont aussi rares que l'amour dans un mariage de cinquante ans. C'est ici qu'officiait autrefois Gérard, un artiste de la clé à molette, dont le génie résidait dans sa capacité à confondre une bougie d’allumage avec une bougie parfumée. Un jour, Robert, un aventurier de l'asphalte, s’y arrête avec sa voiture qui crachote comme un tubard à la réforme. Gérard, le genre de type à te vendre un parapluie en plein désert, diagnostique un changement de pneu. Robert en reste comme deux ronds de flan : « Vous plaisantez ?! Ma bagnole a la bronchite, et vous voulez changer ses godasses ? ». Gérard, pas démonté pour un sou, lui répond : « Tout est connecté mon cher, c'est le papillon qui bat des ailes à Pékin et provoque une tempête à New-York ». Robert, déboussolé par tant de poésie, finit par hocher la tête. Gérard s’attelle à la tâche avec la précision d'un boxeur dans une cristallerie. Résultat ? La voiture est toujours là, sous un amas de pièces et de revues de mécanique datant des années 70. Ici, les clients venaient avec l'espoir d'un miracle, mais repartaient souvent à pied. Dans le village, chacun.e avait une histoire à raconter sur ce garage. « Tu vois cette bagnole ? Gérard a essayé de la réparer avec une vieille chaussette et du fil de fer. Elle a roulé trois mètres et elle a pris feu. » Au bar d’en face, le comptoir avait une forme incurvée tellement Gérard s’y accoudait. « J'ai ressuscité une vieille Renault aujourd'hui. » « Ah ouais ? Et elle roule ? » « Non. Mais maintenant, quand tu tournes la clé, elle fait 'vroum' avant de mourir. Pourquoi réparer ce qui va finir par se casser de toute façon ? Le mouvement perpétuel, c'est pour les horloges suisses, pas pour les bagnoles. » Entre deux lampées, il laisse échapper un rire qui se perd dans le brouillard de la fumée de cigarette. Une voiture, finit-il par dire en allumant une autre clope, c'est comme un alibi. Ça tient la route jusqu'à ce que les choses se mettent à chauffer.
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bloodigutz · 1 year
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"please just have one coherent fucking thought"
my brain, at all hours:
Et ça fait bim, bam, boum
Ça fait pshht et ça fait vroum
Ça fait bim, bam, boum
Dans ma tête y'a tout qui tourne /ly
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steorn · 2 years
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ÇA FAIT BIM! BAM! BOUM ÇA FAIT pssh ET ÇA FAIT VROUM!!
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Get to know me better (updated version)
Tagged by @eunseokki (sort of)
Name: Mathilde
Gender: Female
Sexuality: Bi 💗💜💙
Hogwarts house: Gryffindor
Favourite animals: Cats and goats too !
Current time: 2:31 pm
Cats or dogs: I love love love dogs but as you said cats hit different 😔🐱💖
Dream job: Something that has to do with environment and sustainability and travelling lol I recently thought about becoming a reporter and doing documentaries about different places around the world :) that's my dream job
When did I make ths blog: May 2019 (already a year ago 😳)
Reason for my url: I love cherry blossoms, they bloom in April, which is also my birth month and I am a smol person #mustprotect so I added "little" in front (the real reason is that aprilcherryblossom was already taken but please send love nonetheless)
Birthday : 5th April
Height: 172,5 cm / 5'8
Last song I listened to: Bim Bam Toi by Carla (this song has become a meme in France lol but it's somewhat addictive)
Last movie I watched: The Matrix (it was my first time watching and I really liked it !)
Just like Rachel I won't tag anyone, do the tag if you want and say I tagged you !
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ekman · 2 years
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C’est qu’il leur faut leur dose quotidienne de catastrophisme, à tous ces connards. Réchauffement démentiel, covid sournois, inflation weimarienne, Russes cannibales... allez, allez ! Qui en veut ? En voilà, c’est gratos ! C’est tellement drôle de les lire sur les rézossociaux, conscientisés à mort, prêts à laisser tomber les entrecôtes, les voyages à Bali et leur auto fumante. Ils étaient “Charlie”, ils portaient leur masque bleu en étendard et maintenant, c’est le drapeau ukrainien qui masque l’affligeant fanion de leur ignorance. Trop mignons. En vérité, arrivé à un certain stade de développement, l’homo occidentalis réalise jusqu’à quel point il a contribué à saccager le jardin d’Eden juste en faisant ses courses chez Intermarché. Bien sûr, il ne se le dit pas comme ça, mais il se sent tellement coupable d’avoir échangé une nature qu’il a toujours imaginé douce et amicale contre l’illusion du confort et de l’aisance faciles. On l’aide bien d’ailleurs, puisqu’on lui vend dorénavant des hochets zéro carbone en lui mentant sur toute la ligne. Mais il s’en fout : ce qui compte le soir venu, c’est de pouvoir fermer les yeux dans son petit lit Ikea sans cauchemarder à un monde qui brûle et s’effondre avec sa famille au milieu des flammes. La publicité domestique ses terreurs, elle est d’ailleurs là pour ça. Il n’y a pas de Grand Remplacement, mais que des voisins blacks super sympas qui font plein de petits métis recomposés entre deux barbecues sans charbon. Pas du gros Congolais à dos argenté, non. Du café au lait tout propre, avec une bite normale et une dentition sans crocs ni carries. On laisse le marron très foncé à Omar Sy, le nouveau Lupin. Lui, c’est un colosse bien sympathique et pas bête, c’est sûr. Pas un voisin potentiel, mais une figure cinématographique. On peut donc prendre la liberté de trouver “trop cool” son faciès de pub Banania, d’en faire le copain anti-raciste préféré des Français. Il faut dire qu’il a aussi un cœur “gros comme ça”, le frangin qui paye ses impôts en Californie. Pareil pour l’auto à moitié électrique “qui vous offre le meilleur des deux mondes”. Sauf que l’enfumé gagne trois cents kilos de batterie et de quincaillerie à étincelles pour vingt-cinq kilomètres de roulage électrique effectif. Il a perdu un tiers de volume de réservoir, et un autre tiers de volume de coffre. À la fin du mois, son budget carburant a bondi de 25 %. Mais il est content, d’une certaine façon. Il se dit “tant pis, on ira à Royan en train”. C’est ça, la nouvelle route du progrès. Susciter la terreur pour aider le péquin à tourner la page d’une consommation facile et bon marché, c’est la recette de nos amis de la Finance. On redessine un univers totalement factice, fait de bisounourseries plus ou moins écolo-bio et pas agressives pour un sou. On s’aime, on communique, on fait des “hugs” comme ces débiles d’Américains dégénérés. Tout est fluide, facilité, entendu, compris et digéré avec le sourire béat du saint dans la Lumière. On a quitté le monde du “vroum” pour l’univers du “fwizzz”. Tout va déjà mieux. Moins de fumée, de particules, de bruit, d’invective, d’obligations, de responsabilités, de devoirs. Juste penser à rembourser les crédits. Ah oui: pas déconner avec ça. La banque vous a d’ailleurs vendu une assurance pour qu’en cas de malheur, on ne jette pas votre famille à la rue après lui avoir tout pris. Drôle de penser que l’assurance rapporte plus à la banque que le prêt “qu’elle vous a consenti” – merveilleuse formule ! Ce monde est devenu la banlieue de l’enfer... “en plus chaud”, ajouta Yannick Jadot. J.-M. M.
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lalignedujour · 2 years
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Le festival de jonglage était trop cool. Le bénévolat au marché était trop cool. L'après-midi seul à écouter des nouvelles musiques francophones était trop cool. Le sciage de bois était trop cool. Le sport du soir était trop cool. Le moment de tendresse ensuite était trop cool. Et même ce matin, la sortie à Intermarché était trop cool. En ce moment, tout est trop cool.
Quand je fais des commandes en ligne, je fais souvent le pingre. Pour économiser 3€, je choisis plutôt la livraison en point relais à 12,6km de chez moi. Et donc quelques jours plus tard, je me maudis en devant y consacrer une demi-demi-journée. Je dois prendre mon vélo, arpenter la nationale, me faire doubler par des 38 tonnes. Mais en fait, c'est pas de la pingrerie, c'est plutôt imposer une activité au futur-moi.
Le parking d'Intermarché, on dirait un tapis de petites voitures, mais en grandeur nature (il y a un mini-rond-point, et une mini-rampe d'accès). J'y navigue comme si j'étais une petite voiture (parfois, je fais "vroum").
Sur place, je me mêle aux gens normaux qui font leurs courses en supermarché, les gens que je vois jamais au marché, aux festivals, parce qu'ils sont soit dans leurs maisons, soit dans leurs voitures, soit à Intermarché. Donc c'est trop cool de les croiser - je ne les hais pas, tout au plus, je les méprise. Pas question de prendre de la bouffe, je vais prendre une ramette de papier, des gants de vaisselle parce que parfois je dois rincer brûlant et bah faut pas forcément se brûler les mains dans la vie, et des élastiques pour cheveux pour former les drapeaux agenre (il est pas ouf) et pansexuel (il est pas mal) sur mes poignets lors de la Pride. (Comme des badges, je dois avoir une petite problématique de légitimité.) Je demande à une employée s'il y a des boules quiès, probablement à un rayon parapharmacie. Elle m'indique, je la remercie, je trouve, je la recroise dans la file d'attente de la caisse, je lui dis que j'ai trouvé et je la remercie.
Elle ouvre une caisse et me fait passer en prem's car j'ai pas grand chose. Et derrière, ça se chamaille. Elle fait un peu l'arbitre, demande à ce qu'on ne se batte pas. Je demande si ça arrive souvent, elle me dit au moins une fois par jour, avec les retraité·es. Elle se moque un peu. Je forme une hypothèse selon laquelle on a besoin d'un niveau constant d'enjeu dans sa vie, et c'est sans doute la raison pour laquelle les personnes qui en ont moins ailleurs se créent des problèmes pour ensuite les régler / se plaindre. Ses yeux se fixent sur moi, ça a l'air de l'intéresser. J'ai l'impression que j'aurai compté dans sa journée comme elle aura compté dans la mienne : un peu. Interaction de 40 secondes trop cool, je repars avec un sourire.
En sortant, un monsieur décroche son vélo électrique. On se salue car on a tous les deux un véhicule alternatif (une communauté naturellement unie par un sentiment de minorité, en somme). On discute quelque-chose comme 90 secondes et ça nous file tous les deux la patate ! Comme souvent quand je prends le temps de discuter, il me dit que les gens prennent pas assez le temps de discuter. Je lui dis que c'est agréable parce que quand on aura fini de discuter, je vais être sur mon vélo, je vais repenser à l'échange et ça va m'alimenter. Et on se quitte assez vite, soudainement. Comme un échange dans le Sud : vite initié, vite intimité, vite terminé. Allez bonne journée ! Bonne journée à toi ! Je repars avec un double-sourire.
Sur le retour, un camion de livraison va pour s'engager sur la Nationale. Je reconnais mon livreur dpd, celui qui est un peu timide. (Je connais aussi mon livreur gls, et mon livreur chronopost, c'est souvent le même prix en fait en livraison à domicile, donc j'ai rarement le prétexte de la pingrerie pour m'offrir une sortie.) Il me laisse la priorité, je lui fais un grand coucou, il me fait un grand coucou, on dirait qu'il est content de me voir. Triple-sourire au moment où il me double.
Plus loin, je vois au dernier moment un hérisson écrasé (récemment). Je ne peux pas l'éviter complètement et je sens sont museau sous mes roues, ou plutôt sous mes fesses.
Puis, le même camion se réinsère sur la Nationale. Il me relaisse la priorité, je lui refais un grand coucou, il me refait un grand coucou.
Je crois que je compte pour ces personnes comme elles comptent pour moi : un peu, et c'est déjà beaucoup.
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yumeka-chan · 3 years
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Bim bam boum
ça fait pshit et ça fait vroum?
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lynaex-blog · 5 years
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Qui connaît ??
Ça fait bim bam boum
Ça pshhtt et ça fait vroum
Eh ça fait bim bam boum
Dans ma tête y’a tout qui tournent ! 🤩
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[Avis du 01/05/19]
Après la chasse aux œufs de la semaine dernière nous nous sommes organisés en catimini une petite chasse aux crédits. Ce premier mai fut donc l'occasion pour moi de déflorer un paysage totalement vierge de mon CC, les bouches du Rhône et le sud avec un grand S.
Direction Martigues donc, a bord de la Minijul-Mobile (et avec ce dernier accessoirement) pour récupérer notre Gaga, local et guide de cet errance provençal. Il aura à cœur de nous faire découvrir les joyaux de la région. Les calanques ? La bonne mère ? Le mont ventoux ? Les baux de Provence ? Non. Ok Corral et Magic Park Land. Ça recommence ces conneries.
Nous voici donc partis pour une journée dédiée au western, cowboys et autres indiens.
Ok Corral est un parc plutôt réussi et mignon dans l'ensemble même si on se bouscule pas pour refaire chacune de ses "grosses" attractions. La théma western est poussée et respectée dans l'ensemble du parc. Même si au fond le western c'est tout sauf original, il est l'exemple même du petit parc régional qui grossit d'année en année et qui semble avoir une base de clients fidèles.
On y retrouve quasiment tout le catalogue Zierer avec en tête de gondole la montagne russe Pionneer ouverte l'an dernier. J'y ai beaucoup aimé la particularité du train, la possibilité d'avoir deux expériences différentes sur un même chassis (Motocoaster cheval ou classique assis). Un gadget qui devrait donner de chouettes idées aux parcs moyens du calibre de OKC. Innovation rajoutant du cachet sur un layout malgré tout assez faible, court et déjà vu, dommage. Le fait d'avoir mis Pionneer en hauteur sur une colline surplombant le parc est aussi une bonne idée presque "Shambalesque" (question skyline toute proportion gardée).
Ensuite on retrouve Gold Rush, un semi junior boomerang  Gerstlauer en circuit fermé (en forme de bite). Toujours rigolo et efficace et assez soigné dans son intégration même si on s'y verrait mal enchaîner les tours, malgré tout ca reste du junior avec les limites qu'on leur connaît.
Le troisième crédit sera un large tivoli Zierer, un classique chez les classiques. Toujours aussi peu agréable et un peu vieillot mais c'est le pain quotidien de nombreux parcs français. On respecte les aînés malgré tout en ridant poliment mais sûrement.
Une merguez-frite plus tard nous voici partis pour notre deuxième friandise de la journée, un endroit magique bénis du ciel, Magic Park Land. Catastrophe intégrale, rien ne va. Que du forrain de mauvais goût peint à a l'aérographe. Et non content de polluer notre champ de vision ils se permettent de virer leur pomme sans prévenir personne. -1 pour ma gueule. Bravo le veau. Il reste donc Formula 1, une wild mouse Fabbri de l'enfer théma racing jacky vroum vroum (Passion palpable du côté de Meiz) et Strom, un espèce de zyklon à harnais de nos amis Pinfari. Autant vous dire qu'on a glingué assidûment sans poser de question ou remettre en question notre mode de vie et qu'on a fuis directement ce lieu maudit.
Me voici donc à 481 unités, je m'approche doucement mais sûrement du cap symbolique des 500. Reste à voir avec qui et où il sera franchi... Stay tuned. (Teasing nulach).
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zehub · 2 years
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Trois raisons de boycotter les feux d’artifice
Et ça fait bim bam boum, ça fait pshitt et ça fait vroum ! À péter tout l’été, les feux d’artifice n’en ont pas fini de polluer. Feux de forêt, particules fines et oiseaux tués, Reporterre répertorie les défauts des pyros. Chaque 14 juillet, c’est le même dilemme. Peut-on aller voir les feux d’artifice en toute innocence ? Les spectacles pyrotechniques sont régulièrement montrés du doigt pour les multiples pollutions qu’ils génèrent. Tiraillé entre envie d’émerveillement et conscience écologique, Reporterre (...)
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quebec-newyork-2022 · 2 years
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'paraît qu'il faut s'exposer au soleil pour réduire les effets du décalage horaire. Y a du soleil. Ouf. Le selfie tous sourires devant chez Richard donc, suivi d'un peu de magasinage.
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L'occasion de croiser un gros camion de pompiers qui fait vroum, des nuggets de poulets dinosaures, la collection Oreo complète, des tablettes de 'fromage' et le Coca local.
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Les garçons ont choisi des chips au ketchup épicées pour l'apéro pendant que les adultes faisaient crudités/saucisson ; poulet et patates douces n'ont pas suffi à achever certains qui ont pris un peu de crème glacée...
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À 21h tout ce petit monde était endormi.
À 4 heures 'y en avait un qui chouinait qu'il n'arrivait plus à dormir, une qui éternuait en boucle, et les deux autres pas trop gênés.
À 7 heures, là ça devient compliqué, un peu de bruit dehors, ça gigote. Gros p'tit dèj en prévision...
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efoueboush · 2 years
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À sens eunuque
À sens eunuque
Télépathie activée Cérébrale activité Mon cervelet a de la vitalité Pour s'enfuir de l'universelle fatalité
Je me tue à la tâche Un mortel ça meurt sans feu Pour l'instant, mon existence me fâche J'anticipe l'approche de mon coup de vieux
C'est les castrés qui ont le plus de couilles Ils n'ont plus rien à perdre Tel Sleepy Hollow, ce sont des légendes, ils savent se défendre Et même ce Brom Bones ne pourra les chasser, garde ta citrouille!
Elles devaient avoir du fun, ces femmes lesbioniques Cruel coup du destin et ça nique même la logique Ils leur manquait le doigt de Dieu, ces pauvres hommes Des pêcheurs sans canne à pêche et eux, c'est tout comme
On peut pas chasser sans cul Cette quête humaine continue Sache qu'un coït interrompu à cause d'un condom perdu Peut tout de même entraîner une grossesse non voulue
Avant l'action, trouve ton moyen de contraception La discussion peut te laisser perplexe Bien que nécessaire pour protéger ton sexe Sans arrière-pensée, vous pourrez ainsi crier à l'unisson
Si j'étais un deux de pique Au moins je serais frimé Il en va de mon côté érotique Puisque de tous, il est primé
Je n'imaginerais pas perdre ce membre Toujours là pour me détendre Et c'est le pourquoi du Drapeau blanc J'essaie d'essayer, c'est un paradoxe qui n'a pas d'bon sens
Le lexique du sexe Se cherche à coups d'index Avec mes doigts, c'est majeur Le Kamasutra, a été fait pour pomper le plus de coeurs
C'est un "Pourquoi" avec un gros "cul" Je suis à nu Le combat entre le mental et le physique est foutu "Fourré" dis-je, je serai jamais assez cru
On peut s'allumer, on peut se réchauffer Chauffer un char qui, sur sa voie, illumine Malmené, sans trop s'accrocher dans le plancher Ce pauvre tuyau d'échappement, pogné dans l'asphalte comme une épine
Vroum, ça va vite Contrat d'gars, je te cite Rouge, couleur de Satan Cet ange déchu, en aura crossé du monde depuis la nuit des temps
Malédiction, excitation sans pénétration Bénédiction, au moins il n'y a pas de couille dans le potage Irréversible, ils n'auront aucune réparation Pour récupérer leur attirail, il aurait fallu le plus grand des mages
Castration barbare C'est enlever à Dieu, son art Stérilité ou vasectomie Peut-être qu'un jour, pour les enfants il n'y aura plus de nid
Penses-y à deux fois si tu veux amener la vie dans ce monde surpeuplé Abstiens-toi et le tour est joué Que ferais-tu si la vie était un jeu vidéo? Personnellement, je pratiquerais mon rodéo
Peut-être pas monté comme un taureau Je ne suis qu'un modeste bipède Celui qui saute quand même dans ce rouge cerceau Pour bientôt partir et laisser sa marque indélébile tel ce vieux Archimède
Compte toi chanceux, sur tes deux têtes met ta tuque Il ne faut pas céder, il faut s'aider Faire avec ce qu'on a, c'est ça l'truc Il n'a rien de mal à s'entre-posséder
D'ici là, la diversité nous rendra unique Après l'acte, le tabac sera à fumer ou à chiquer Même pour baiser, l'humain peut, tes pensées trafiquer La triste réalité, c'est que la confiance des hommes, ne se fera que dans les mains des eunuques
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dominus-invictus · 3 years
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Boum boum, coeur en boum boum. Tes yeux m’tirent des dum-dum. Sur toi, l’bonheur m’fait des « coucou ». J’suis dressé dans l’noir à m’presser dans toi… Ta peau dans la lumière Comme un tableau de diamants Et mon coeur en miettes… Il est en miel, ton amant... peine... On va s'aimer dans mille pièces. J’te f’rai vroum-vroum en y allant. Mais s’te plait laisse ta main dans la mienne... La chute de tes hanches m’obsède. Chut, le silence nous observe... Matin, seul, fatigué ; j’ai l’vague à l’âme. Même pas là, tu m’possèdes. J’t'aime de malade, c’est obscène. À voguer dans ton Styx vers le Valhalla... Faites que la nuit soit assez longue Pour caresser, t’embrasser langue... Deux coeurs se brisent Et s’aiment en s’épuisant. Démon fera danser l’ange Et quand aura passé l'ombre… Sous ton emprise... J’suis plus seul, c’est puissant. Boum boum, coeur en boum boum. Tes yeux m’tirent des dum-dum. Sur toi, l’bonheur m’fait des « coucou ». J’suis dressé dans l’noir à m’presser dans toi… Coeur explosé, boum boum… Décor sombre et lunaire, Deux corps qui se balancent... Nos deux coeurs se versent là. Prends ma peine et berce-la. J’glisse sur ta peau comme une allumette. Ça va faire boum-boum, sûrement, Donc s’te plait laisse ta main dans la mienne… Non, non, nous, j’veux jamais qu’on cesse. J’suis qu'un gamin, j’te l’concède... Sous tes seins, je navigue sur les vagues à l’âme. J’veux qu’on s’aime et qu’on saigne, moi. J't'aime de malade, c’est obscène là... J’suis noyé dans le Styx vers le Valhalla... Faites que la nuit soit assez longue Pour caresser, t’embrasser langue... Deux coeurs se brisent Et s’aiment en s’épuisant. Démon fera danser l’ange Et quand aura passé l'ombre… Sous ton emprise... J’suis plus seul, c’est puissant. Boum boum, coeur en boum boum. Tes yeux m’tirent des dum-dum. Sur toi, l’bonheur m’fait des « coucou ». J’suis dressé dans l’noir à m’presser dans toi… Coeur explosé, boum boum… J’suis sous ton emprise, ma reine. Sans toi, j’disparais… Regarde-moi, J’suis seul au monde. J’suis seul au monde… J’veux jamais qu’ça s’arrête. Me lâche pas, jamais. Garde-moi, J’suis seul au monde. Seul au monde… Boum boum, coeur en boum boum. Tes yeux m’tirent des dum-dum. Sur toi, l’bonheur m’fait des « coucou ». J’suis dressé dans l’noir à m’presser dans toi… Coeur explosé, boum-boum...
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ecrivures · 5 years
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24/03/2020
À fond sur l'auto-route des VROUM VROUM moteurs aux constants aguets aguerris c'est sûr voilà que ma voiture devait être à ce moment l'engin véhiculé le plus rapide du monde et de l'univers tout entier compris, slalomant entre ces autres corps mobiles sur roues qui respectaient copieusement les vitesses limitatoires quoique j'en soupçonnasse quelques uns de jouer à chat avec les règles mais bref qui suis-je pour juger.
L'objectif de cette course de dingue m'était de se rendre à un festival des festivités, je ne sais plus où mais c'est l'amoureuse que j'allais y rejoindre en tout cas pas de temps à perdre l'enjeu se déroulait sur un week-end du vendredi au dimanche et nous étions déjà samedi alors zou sans réflexion
« TU VAS VOIR ON VA S'MARRER COMME DES BEUVRÉS LÀ-BAS » hurlai-je à mon pote imaginaire assis à la place du mort.
Les vitesses moléculaires s’accroissaient au rythme de mon sang bouillonnant d'adrénaline, et, toute formulation langagières foireuse venant d'être ici déposée, il me fallait admettre que l'angoisse d'une fin soudaine planait de plus en plus amplement vers les dessus de ma conscience pulsionnelle. Donc des fois j
BAM !
Pare-choc avant contre pare-choc arrière c'est les folies qui se trament et BIM ENCORE une autre tiens ça cabosse ça tonneaute vroum vroum les moteurs se calment et on se retrouve sur quatre roues déglinguées carrosserie de partout enfoncée au milieu de cette auto-route toujours la même.
« MINCE C'EST CHAUD ON A FAILLI CREVER » hurlai-je encore à mon pote imaginaire assis à la place du mort à qui j'ai décidé d'arrêter de parler d'ailleurs on va dire il est mort.
On pourrait s'en clamer des « ouf » mais non, plus loin sur la route la même un peu plus loin là-bas, comme les faits exprès de ce qui arrive quand c'est pas le moment, une voiture de la police qui a certainement usé de techniques visuelles à l'aide de ses rétro-viseurs et qui ne s'avère pas dupe de l'action : hop elle fait demi-tour comme ça et se ramène pleins gyrophares sirènes sur vers les lieux du crime.
Je me dis ça pue un peu, toute faute pour moi vaut mieux agir que prévenir.
Sur la droite : sortie de la route menant à une forêt. J'use les dernières forces du véhicule amoché par la vie et y dirige l'ensemble de nos corps meurtris de chocs accidentés. Je gare le bordel au bord du sentier boueux, à la lisière, et c'est sûr ils vont débarquer ici sous peu les méchants alors je sors et vais m'enfoncer dans les bois trouver vite comme il faut une planque idéale.
Ni vu ni connu, miteuse cabane isolée perdue entre multiples arbres oubliés des temps d'un jour. Parfait c'est parfait, j'en ouvre la vieille porte en bois rouillée de fer, me fond à l'intérieur on ne bouge plus attendons et, quand calmé, repartirons. Le stop routier terminera ensuite mon trajet.
Ça va c'est plutôt peinard, un peu confiné l'ambiance espace clos et serré, mais une banquette lit d'hôpital trouée rongée longe le mur en bois je m'y assois et fais passer le temps sur mes songes.
La situation pourrait être pire.
Bien pire.
Et'suffit d'y penser pour que ça arrive : voilà que je prend conscience de la présence d'une ÉNORME guêpe sur la porte. Vivante la guêpe, bien sûr.
Ah ça j'aime pas, ça, avec leur abdomen venimeux et leurs yeux jugeurs ces machins là je déteste ils ne me plaisent absolument mais alors vraiment pas du tout.
Puis allez qu'elle se met à voler la guêpe, absurdité de son vivant, certainement à chercher la sortie mais alors pourquoi y est-elle entrée pardi ? Et chaque fois ça fait des feintes, s'approche de moi sans que j'en comprenne de raison, puis retourne vers la porte à provoquer ces bzzbzzzdddggzzgbbdzzzggbzbzzzzbzz bruits assourdissants et répugnants. L'espace est vraiment trop restreint rien pour me mettre à l'aise c'est sûr on est un être de trop dans cette pièce de bois rongé mais je me refuse à effectuer quelconque acte meurtrier mortel. Tout de même restons polis.
Alors je tends la main vers la poignée de porte, mais chaque fois qu'elle s'y approche l'autre abrutie dangereuse s'excite et vole dans tous les sens ça stoppe net le geste initial. Gardons espoir cependant que les  tentatives se réitèrent.
Je parviens enfin à entrouvrir l'allée vers une sortie. Bien sûr, la chose n'est pas du bon côté de la cloison et préfère s'y heurter plutôt que SE SERVIR DE SES SENS et sentir l'air à suivre pour s'échapper. Toujours la même rengaine.
Ça dure un temps interminable, à l'aide d'une planche de bois trouvée à terre je fais les nouvelles tentatives d'inviter l'insecte volant à se diriger vers l'ouverture, mais non, même lorsqu'elle se trouve devant la voilà qu’elle retourne vers les confins du plat bois miteux. Et toujours ces coups de pression à me venir dessus puis repartir, c'est l'enfer.
Bon, je tourne la tête et vois à l'autre bout de la pièce, soit à même pas deux pas de moi, une autre porte qui donne vers un autre extérieur. Provoquer un courant des airs, en voilà une bien bonne d'idée, alors je m'y évertue m'y dirige et ouvre péniblement cette autre porte qui donne vers un autre extérieur.
On est d'accord que le suspens de la situation ne serait pas à son comble si l'astuce avait fonctionné à merveille, au lieu de ça la chose persiste en faisant à présent des allers-retours dans la cabane, me frôlant à chaque fois sans foi ni loi établie.
Et couronnons le tout, plutôt que celle-ci de sortir, voici qu'une autre plus grosse encore entre, à son tour, au sein de ce confinement qui me plaît de moins en moins serein.
Là on y est c'est le danger du ressenti je deviens fou à les voir toutes deux effectuer le même manège des allers-retours constants en me tournant autour par la même ÇA VA PAS LE FAIRE !
Voilà que j'échappe aux flics méchants et j'écope de guêpes moches et monstrueuses, comme quoi pas un.e pour rattraper les autres, similarité de ces corps qui nous exercent la pression de leur présence sans cesse et gros tourments.
Alors, à situation triste réflexes tristes, de cette planche que je tiens en mains la violence d'un geste s'effectue, j'éclate la deuxième entrée en scène qui désormais est encore moins belle à voir étalée sur le mur.
Était-ce la bonne idée peut-être pas en tout cas retour en arrière impossible, plus question de s'arrêter la vengeance de l'autre risque d'être terrible je m'évertue à lui réserver le même sort sans aucune fierté mais qui sommes-nous pour juger encore une fois.
Sauf que je la rate plusieurs fois celle-là, l'espace clos freinant l'ampleur de mouvements efficaces, et plus je la rate plus elle s'agite,  un combat sans fin semble s'engager mais, malheur aux petites choses, elle finit par trouver le même sort que sa sœur défunte peu avant elle.
Rien ne s'arrêtera là me dis-je instinctif, c'est comme les polices quand y'en a une d'autres arrivent, mortes de surcroît, alors il me faut placer les morbides cadavres au-dehors et on en parle plus.
Sauf qu'à quoi bon après tout, guêpes mortes, flics partis, c'est à moi de m'en extraire désormais et d'aller poursuivre le périple de ma route jusqu'à l'objectif initial m'étant  imposé, ce festival des festivités qui me fera tout oublier.
J'y suis parvenu à force de pouces et de routes dans les après-midi du samedi.
Festival des festivités, fête festivalière... une pas si bonne ambiance jadis espérée à dire vrai.
Pour sûr la peine n'en valait pas tant d'efforts, et, en plus de ça, pompom sur le bottin ou cerise sur le crottin, voilà que je m'y suis fait larguer.
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