Tumgik
#Ça fait comme ci comme ça
mllenugget · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Iconic.
(English translation in alt)
────────────────────────────────────────── Support all the admins that spoke out (& do your daily click) ──────────────────────────────────────────
75 notes · View notes
Text
L’anglais m’empoisonne le cerveau je suis de retour sur une phase où dès que j’essaye de lire un de mes livres en anglais j’ai envie de le jeter à travers la pièce, j’ai presque envie de les racheter en français mais c’est ridicule d’acheter deux fois le même livre ;-; je vais voir si je peux aller à ma bibliothèque locale demain pour me faire un carte à ce point ci 😭
4 notes · View notes
superiorkenshi · 2 years
Text
Pov t'es parent dans une autres villes arrive à te faire faire une crise d'angoisse 🥲
5 notes · View notes
olympic-paris · 12 days
Text
saga: Soumission & Domination 269
Emma, juillet 2013
Comme Ernesto est arrivé en France, nous passons voir ma " mère ". Elle adore quand nous lui faisons l'amour tous les trois, ensembles.
Nous débarquons chez elle, moi en moto et PH avec Ernesto dans la SL. Elle nous dit avoir annulé tous ses rendez vous pour les jours à venir et nous invite à rester un peu de temps avec elle. Marc et Hervé sont à l'étranger, il n'y a donc pas d'impératifs pour nous faire rentrer à la maison.
Le premier jour, nous ne pouvons attendre le soir pour jouir de nos corps. A peine arrivés, elle nous entraine dans une nouvelle chambre. Un immense lit à baldaquin trône au milieu. Je lui demande les dimensions. Il fait 4m x 3 ! Un éclairage doux provient du ciel de lit avec un modulateur de puissance caché dans un des montants. Le fond de la pièce est consacré à la salle d'eau, derrière un grand panneau vitré transparent. Emma me dit que les installations du Blockhaus l'avaient inspirée.  On peut y voir un espace douche avec 4 diffuseurs Italiens et flexibles, séparé des lavabos, 4 aussi dans une seule vasque étirée sur le mur, par un autre panneau vitré.
Nous l'attrapons et la lançons direct sur le lit. Nous la rejoignons et l'épluchons de ses quelques vêtements. Autour d'elle, nous faisons un strip-tease en limite de déséquilibre, le matelas assez souple ne nous aidant pas. Quand nous sommes enfin à poil, elle peut admirer nos corps parfaits (n'ayons pas peur des mots, ha ha) et nos sexes raides d'excitation. Nous passons les deux heures qui suivent à nous faire du bien. Emma est l'axe sur lequel nous sommes arrimés tous les trois. Ça n'empêche pas de nous pénétrer aussi entre nous après ou même pendant que nous l'honorons. Bien sur, nous passons par l'inévitable " un dans chaque trou ", ce qui a toujours l'effet de la faire jouir un maximum surtout si c'est Ernesto qui lui rempli le vagin !  Ce qui est sympa du lit, c'est une grille, composée de gros barreaux métallique assez espacés, qui pet descendre à la hauteur désiré. Nous nous y accrochons tous à un moment ou un autre. Soit pour se retenir alors qu'on se fait labourer le cul, soit pour se tenir debout alors qu'un autre des participants vous suce la bite. Positionnée assez bas, elle me soutient le torse à l'horizontal, alors que je me fais enculer par Ernesto (miam que ses 24cm sont bon !) et que PH et Emma me pompe la bite et les boules en alternance. Y'aura encore à faire pour épuiser le potentiel de l'accessoire. Ernesto qui est aussi " clean " que nous (analyses et comportements), fait qu'on baise tous sans kpote et que nous profitons de son sperme comme du notre. C'est plus pratique lors des touzes comme celle-ci ! Et il n'y a plus de retenue lors de nos jouissances à tous. Après avoir mené Emma à la quasi-inconscience à la suite d'orgasmes multiples et rapprochés, nous explosons à notre tour, recouvrant de sperme blanc nos corps luisants de sueur. Exténués, nous restons 1/2 heure allongés, amorphes.
Alors que nous prenons nos douches ensembles, PH remarque que la pièce manque de miroir et suggère d'en faire recouvrir les murs et le plafond afin que l'on puisse s'admirer en train de faire l'amour. Emma trouve ça un peu " violent " mais Ernesto rebondi sur l'idée et affirme que ça pourrait être assez excitant. Je propose à Emma de m'en occuper ou de donner le taf à faire à Pablo. Après tout il est déjà plus qu'un simple cuisinier et soulagerait aussi le majordome de feu son mari qui commence, comme sa cuisinière, à prendre de l'âge.
Nous sortons de la chambre en maillots de bain pour quelques minutes de détente dans sa piscine. Nous y retrouvons Pablo qui nage à contre courant. Il ne nous aperçoit que quand l'eau explose autour de lui sous l'effet combiné de nos trois entrées façon " bombe ". S'ensuit une bagarre et comme nous sommes trois contre un, nous arrivons à le coincer contre le rebord. Après quelques bisous, il nous repousse sentant derrière nous Emma rentrer dans l'eau à son tour. Il s'apprête à sortir mais Emma lui demande de rester quelques instants. Il s'assoit sur la margelle de la piscine et je n'ai d'yeux que pour son paquet moulé par son slip de bains comme par une deuxième peau. Dans le lointain j'entends Emma discuter de lui donner plus de responsabilité dans la maison, avec notamment la gestion des travaux divers. Je n'entends pas la réponse mais j'annonce aux autres que je raccompagne Pablo à son appart pour le convaincre. Je sors de l'eau, l'aide à se relever et le pousse dehors. Derrière nous j'entends des " obsédé ", " faites vite, on a faim "...
C'est vrai que j'ai une envie folle de me faire baiser par lui. C'est limite si j'arrive à me contenir jusque chez lui. Et là, je le viole carrément. Bon il était d'accord puisqu'il bandait. Sa bite dure comme de l'acier m'a défoncé la rondelle sans ménagement. Premièrement, lui aussi était excité (mon cul l'a toujours satisfait) et deuxièmement, il était très énervé de se trouver si excité ! Heureusement que ma rondelle avait le souvenir de la queue de son frère (copie conforme) et que j'étais chaud comme la braise car il m'a arraché le maillot et enfilé direct (avec kpote quand même), moi plié en deux sur le dossier de son canapé. J'adore me faire dominer grave de temps en temps. Accroché, ses mains enserrant ma taille, il m'encule avec la sauvagerie qui va de paire avec son excitation. Ses coups de gland dans ma prostate me font bander à mort moi aussi. Mais seul le frottement du mien sur le cuir du canapé me soulage un peu.
Il accélère sans se soucier de mon confort, je lui suis juste un réceptacle aux pulsions que j'ai déclenchées. Je le sens monter en pression et accélère le phénomène en faisant pulser mon anneau sur sa grosse tige. Cela provoque des saccades dans ses va et vient qui l'achèvent rapidement. Son dernier coup de rein le fait me pénétrer jusqu'à l'os.  Le dernier passage de son gros gland me fait jouir et je laisse de grosses trainées de sperme sur le cuir noir alors que je sens en moi les secousses inhérentes aux éjaculations de Pablo.
Je reste quelques instants encore plié sur le canapé alors que Pablo se retire. J'ai une brève impression de vide et de " frais ", le temps que ma rondelle se referme. Je m'éclipse quand j'entends l'eau couler dans la douche. Je vais directement à la chambre pour me doucher et m'habiller avant de rejoindre les autres qui m'attendaient pour dîner.
Nous passons un bon moment. Emma nous fait parler de notre année, de nos examens et de ce que l'on va faire cet été. Elle-même a prévu de se rendre en Grèce au soleil et de profiter des " pâtres " locaux. Ernesto lui assure qu'elle n'aura que l'embarras du choix. Un de ses clients Espagnol y a passé une quinzaine et lui a dit que le plus difficile c'avait été de choisir. Avec plus de 50% des jeunes au chômage, il y avait un vivier de " putes " impressionnant.
Rôles inversés, c'est moi qui lui dis de bien faire attention. Il ne faut pas qu'elle prenne de risques. On a beau être pd, on l'aime bien mon Emma ! Elle se récrie que dans les hôtels où elle descend, les risques sont faibles. Ernesto est d'accord avec moi et il insiste lui aussi. C'est PH qui trouve la solution en disant que nous allions lui enseigner quelques parades et ripostes de Krav Maga. Après tout elle n'est pas si vieille et sa pratique journalière de sport fait une bonne base de départ.
Les deux jours qui suivent voient passer l'alternance de baises et de combats. Et plus de l'autre que de l'un. J'appelle même Jona à la rescousse pour vérifier que les bases que nous lui avons enseignées sont bonnes. Il arrive avec François, après un bon café, ils passent à l'évaluation. Quelques corrections et ils nous rassurent quant à ses capacité à repousser un à deux protagonistes qui auraient l'impudence d'insister alors qu'elle ne le désire pas ou plus ! Je commence à bien connaitre ma " mère ". Du coup je pousse mes deux mecs (PH et Ernesto) à partir. J'ai bien compris que mes deux Escorts, eux, vont rester sur place.
Alors que nous leur disons au revoir, François me parait un peu gêné. Je l'embrasse et lui glisse qu'il ne doit pas l'être, il n'y a pas de malaise. Qu'ils lui fassent plaisir et qu'ils en prennent aussi au passage, cela leur fera un bonus avant leur stage.
Ils sont trop honnêtes ! Quand ils appellent deux jours plus tard, ils me disent qu'elle leur a donné à chacun une prime en liquide. Je leur dis que les " pourboires " n'entrent pas dans la comptabilité de la boite. Faut que j'insiste pour qu'ils l'acceptent. J'aime bien mes p'tits mecs. Ils sont efficaces et honnêtes. Je leur laisse même une des RCZ pour leurs déplacements de l'été.
Alors que nous préparons notre voyage pour l'Espagne comme depuis deux ans, le client qui m'avait pris Jona et François me fait défaut. Alors que je leur dis que c'est sans conséquence pour eux, le paiement étant fait à la réservation, Jona me propose d'accompagner ma mère si cela nous arrange. Moi, cela va me rassurer c'est certain !
J'appelle aussitôt Emma qui est ravie de ce désistement. Elle s'occupe de réserver deux places de plus dans l'avion et rappelle l'hôtel pour prendre une suite à deux chambres afin de ne pas se gêner. Elle m'avoue que ça la rassure elle aussi. Je lui dis de s'appuyer sur eux deux et même de les charger des contacts avec les mecs qu'elle aura repérés. Elle me dit qu'elle se débrouillera. Je rappelle mes deux Escort et leur confirme leur engagement pour les 15 jours à venir et les conditions (protection rapprochée de ma mère). Ils m'assurent que ce n'était même pas la peine de le préciser. Ils allaient faire comme si c'était la leur sauf pour le sexe bien entendu !
Nous partons pour l'Espagne avec un arrêt d'une petite semaine à Bordeaux pour revoir les 4 " médecins " que nous avions connu au Grand Prix de France au Mans.
PH et moi sommes en moto. Ernesto prends la SL et nos quelques bagages. Marc nous rejoindra directement en Espagne avec Hervé.
PH s'est occupé de réserver une villa pour une semaine, sur le bassin d'Arcachon. Nous y recevrons nos amis et la leur laisserons le dernier WE.
Nous roulons ensembles. Ernesto accompagne nos pauses détente et seulement détente ! Enfin essence et déjeuner aussi. La circulation est fluide puisque nous avons décalé notre départ au dimanche matin. Nous nous faisons quand même poursuivre et arrêter avant l'arrivée. Deux motards sans bagages et pas de la région, cela intrigue la maréchaussée. Du coup, les motards de la gendarmerie ne comprennent pas quand La SL s'arrête au près de nous. Explications, les deux motards sont aussi des passionnés de moto et nous nous les mettons dans la poche, surtout quand on leur explique que nous allons retrouver des potes rencontrés au GP de France. Eux même y étaient, coté forces de l'ordre bien sur ! Ils se font une pause sur notre dos. Les mecs sont jeunes encore (dans les 30-35 ans) bien foutus, leurs jodhpurs moulent des cuisses plutôt musclées et des paquets proéminents. Un des deux me grille alors que je mate le paquet plutôt bien enveloppé de son pote. Alors que je m'attendais à une réflexion désagréable, il me fait un clin d'oeil complice ! Du coup je lui renvoi mon sourire qui tue. Quand il passe à mes cotés, je sens une de ses mains se poser un bref instant sur mon cul.
On comprend mieux la longueur du contrôle quand l'un regarde sa montre et nous dit qu'ils ont fini leur service. Je n'hésite pas et sans même regarder PH ou Ernesto je les invite à passer nous voir. Je leur donne l'adresse de notre location et mon n° de portable. Ils nous promettent de venir prendre l'apéritif, le temps de rendre les motos officielles et de se changer. En attendant nous faisons la fin de l'autoroute, précédés par nos deux nouveaux amis. Ils s'amusent même à nous ouvrir la route à fond la caisse gyrophares et sirènes hurlantes. Bon moment d'ivresse à rouler sans risque aux limites de nos engins ! Ils nous font même passer le péage gratuitement !
Nous filons sur Arcachon alors qu'ils rejoignent leur base.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
52 notes · View notes
Text
Tuto : créer des lignes fluides
Version requise : Photoshop, pas besoin d'une version récente.
Durée de la video : 9.44min avec 3 techniques expliquées (vous avez les time-code dans les explications ci-dessous)
Infos : français et sous-titrée + tutoriel détaillé écrit ci-dessous. J'espère que la qualité ira, elle a été réduite quand j'ai fait le sous titrage :(
Si vous avez des questions ou si ça manque de clarté, n'hésitez pas !
Exemples de rendu (toutes les lignes) :
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Aujourd’hui, je vous présente 3 techniques que j’utilise pour créer des lignes fluides, comme dessinées à la main, sur mes avatars. L’objectif est de vous montrer les différents outils utilisés - il y en a surement bien d’autres mais déjà, en voici 3 - pour que vous puissiez vous les approprier et les utiliser pour vos propres styles et graphisme !
(0 à 0.50s : introduction + je vous montre des avatars sur lesquels j'ai utilisés ces effets)
(0.50) Technique 1 : le pinceau
Avec l'outil pinceau, vous pouvez dessiner les effets et tracés que vous souhaitez ! Mais souvent, les tracés peuvent être un peu trop abrupts ou présentés des angles/cassures non voulues. 
Pour les éviter, ça se joue dans les réglages :
(1.18) Créer un calque vide pour pouvoir dessiner dessus et éviter de le faire directement sur une photo/image. Ainsi, vous pourrez plus facilement supprimer l’effet si à la fin vous n’aimez pas.
(1.40) Dans le panneau ds outils, choisir l’outil pinceau et dans les caractéristiques du pinceau, opter pour “pinceau arrondi net” 1 ou 2px d’épaisseur (pour qu’il soit assez fin), 100% dureté (pour qu’il ne soit pas flou). Dans le “flux”, choisissez 100% (ou un peu moins, le flux correspond à la pression de votre pinceau).  Dans le “lissage”, opter pour 80 à 100%. C’est le lissage qui va lisser (lol) votre courbe et la rende plus fluide. Si le lissage est à 0%, vous aurez des cassures dans votre courbe (voir à 3min le rendu)
(3.25) Dessiner la ligne voulue. Je vous montre plusieurs idées d'usages.
(4.40) Pour la couleur de votre ligne, vous pouvez soit la choisir dès le début soit ensuite lui appliquer un style à votre calque “incrustation de couleur” (l'icône fx dans le panneau “calques”)
Rendus exemple : la ligne fluide autour du texte ; la ligne qui contourne ; la vague ; les lignes qui entourent la photo centrale de Rachel. Mais vous pouvez aussi créer une silhouette de personnage, faire des effets “doodle” en changeant l’épaisseur du trait, entourer des mots...
(4.50) Technique 2 : le filtre “onde”
Effet plus hasardeux mais qui peut créer des rendus très cools et intéressants comme je vous montre sur l’avatar de Sydney Sweeney
(5.10) Créer une ligne avec l’outil “trait” + ou - grande - (à vous de faire vos tests) en 1 ou 2 px. Le rendu ne sera jamais pareil en fonction de la longueur, angle, l'épaisseur....
(5.24) Aller dans Filtre > Distorsion > Onde. Une fenêtre s’ouvre, choisir “convertir en objet dynamique”. Cela vous permet de revenir sur votre effet onde tant que vous le voulez alors que si vous choisissez "pixeliser", vous serez bloqué·e.
(5.32) Une fenêtre “effet onde” s’ouvre. On ne voit pas la ligne sur la prévisualisation de droite car on est sur un calque vierge (même si on peut changer ça en ajoutant avant un calque fond noir en dessus du calque ligne, puis en créant un objet dynamique en sélectionnant les 2 calques fond + ligne. Mais parfois, le hasard, c’est cool aha et j'avais du ma à expliquer à l'oral).
(5.50) S’amuser avec les différents réglages, en changeant les chiffres et appuyer sur “ok” pour voir le rendu ! Comme vous avez créé un calque dynamique, vous pouvez revenir sur votre effet en cliquant sur “Onde” où y'a un petit oeil à côté, apparu dans votre calque ;) 
(6.05 à 7.00) Vous pouvez mettre les mêmes chiffres que la vidéo pour débuter (générateur : 1 ; Longueur d'onde Min 47, max 60 ; Amplitude Min 51, Max 52 : Echelle 100% les deux) et ensuite, jouer sur chacun des réglages pour voir les rendus. C’est assez hasardeux mais j’aime beaucoup ce que ça créé : des épaisseurs différentes, + ou - de courbes... Parfois ça rend rien aussi !
Rendus exemple : les lignes sur les côtés du texte ; la ligne en diagonale de cette texture
(7.11) Technique 3 : la plume
Outil que j’utilise le moins sur Photoshop mais qui a le mérite de donner plus de contrôle au tracé, si on n’est pas à l’aise avec le pinceau et le dessiné à la main de la technique 1 !
(7.30) Définir le style de votre pinceau (nous on l’a déjà fait en amont mais il faut choisir son épaisseur, son style, sa dureté...)
(7.30) Créer un calque vide pour pouvoir créer votre tracé à la plume dessus.
(7.40) Choisir l’outil plume présent dans votre barre d’outils à gauche.
(7.45) La plume va créer différents points : en appuyant une fois, vous créer un point. Puis en mettant un autre point et en tenant appuyé votre curseur, vos pouvez créer des courbes grâces aux poignets. Créer le tracé que vous souhaitez. 
(8.30) Quand votre tracé est fait, clic droit dessus > Contour du tracé. Une fenêtre s’ouvre, choisir  “outil = pinceau” > Ok.
(8.50) Effacer le tracé plume en appuyant sur supp du clavier ou autre. Tadam votre tracé est bien là !
Rendus exemple : la ligne diagonal
Super outil sur la plume par Geoffrey creative lab sur youtube (sous-titré fr)
195 notes · View notes
rollinginthedeep-swan · 6 months
Text
En ajout au texte important de @crococookie juste ici
Je voulais reblog et poster à la suite mais mon texte est vraiment trop long.
Poster ça, ça m'angoisse énormément. J'ai toujours peur qu'on m'interprète de travers. J'ai donc hésité longuement mais j'ai envie de rebloguer parce que même si j'ai pas été diag de troubles dys liés à la lecture et l'écriture (ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas, l'errance médicale, tout ça) je suis terriblement étourdie. Et si je me décide à l'écrire, c'est parce que l'an dernier, une personne a osé me demander de me relire et de corriger mes fautes, sur un paragraphe que j'ai écris rapidement en étant au téléphone un jour où j'étais sollicitée toutes les deux minutes. Avec les troubles qui me sont propres, mon vécu et j'en passe, j'ai mis du temps à me réconcilier avec l'orthographe et la grammaire. Le scolaire ne m'a pas aidé (du tout).
C'est le RP qui l'a fait.
Attention, il n'y a aucune agressivité dans ce poste (je pense que maintenant vous avez assez pigé mon mood de meuf pacifiste qui lève le drapeau blanc et veut qu'une chose : LA PAIX BORDEL.) , je partage juste mon expérience et mes conseils sur le sujet des fautes et du rapport à L'orthographe dans la commu RP. C'est aussi un petit appel à la bienveillance et à une direction vers un comportement plus chill envers vos partenaires qui font des fautes.
L'autre raison qui me pousse à poster, c'est parce qu'à la minute où j'écris je n'arrête pas de me relire. Et ça montre bien que je suis encore marquée par mes débuts dans la sphère du RP.
J'aimerais beaucoup vous dire que c'est exclusivement grâce à la bienveillance d’autrui, mais ce serait mentir. En quinze ans et surtout au début, j'ai eu le droit à des commentaires assez (trop) désagréables. C'est la capacité des autres à ne rien laisser passer qui a heurté ma confiance en moi et qui m'a donné l'impulsion de ne plus leur donner aucuns prétextes pour me reprendre. Et vous savez, je ne leur en veux même pas, à ces personnes. Je leur pardonne même assez facilement et je suis persuadée qu'iels ne sont pas tous-tes malveillant-e-s. L'humain est plus complexe que ça.
Ce qui m'a poussé à ne plus vouloir faire de fautes, c'est mon foutu caractère et ma tendance à vouloir contredire les personnes qui ne laissent rien passer. (Parfois ça peut être un problème, d'autre, un vrai coup de pied aux fesses pour faire face aux détracteurs. Et là, notez toujours qu'on parle de mon expérience personnelle avec mon profil à moi. Je ne parle pas pour tout le monde. Pitié, ne demandez pas à une personne dys de 'faire un effort', c'est validiste et grossier. Et si vous avez du mal, on a beaucoup de personnes concernées qui sont là pour donner des sources et aider à comprendre.)
Je fais encore des fautes d'étourderie aujourd'hui. Je vous raconte pas le nombre de fois où j'édite des postes parce que j'ai vu une boulette d'étourderie. (Rien que ce matin j'ai dû éditer un petit poste d'intrigue parce que j'ai réalisé que j'avais oublié un fuc$$ng mot pour que ma phrase fasse sens.) Y a un truc que je peux conseiller pour les gens maniaques de l'orthographe (dont je fais partie, faut pas croire) : S'il-vous-plaît (vraiment, je demande gentiment) attendez qu'on vous demande ? (En supposant que ça puisse arriver.) C'est frustrant et même blessant. Et si on vous demande : Ne pas jouer les profs avec des formules telles que : 'Ceci ne s'écrit pas comme ça, mais comme ci'. Vous partez ainsi du principe qu'on ne sait pas. Et même si c'est le cas, n'oubliez pas que les troubles dys existent et que vous ne connaissez ni la personne ni son vécu. Derrière l'écran, c'est toujours un être humain.
J'rp par exemple avec une personne Dys qui me pond les textes les plus élaborés et qui passe un temps fou à se relire. Chaque profil est différent. N'oubliez pas qu'on est aussi souvent crevé-e-s de nos semaines et que même s'il y a des gens qui pondent des textes sans fautes hyper facilement, c'est pas le cas de tout le monde et derrière, on peut se retrouver à être nombreux-ses à complexer, à vouloir poster des trucs parfaits parce qu'on a encore le souvenirs de ces remarques qu'on ne veut plus affronter. Même si derrière, on a les partenaires les plus adorables et les moins regardants de la sphère. Ça peut gâcher le plaisir d'écrire, alors que le RP est un loisir. Pas un job. On ne va pas publier nos écrits, on le fait pour se changer les idées et s'amuser. Un rappel constant de nos étourderie ne va rien arranger, ça ne va rien changer. Même si vous pensez sincèrement bien faire, et quand c'est le cas - parce qu'on ne peut pas espérer que ça le sera toujours malheureusement - merci de vouloir aider, même si c'est maladroitement. (Mais écoutez les conseils svp)
Bref, restons indulgent-e-s et humain-e-s, on a une passion commune vraiment géniale. <3
Si vous avez tout lu, merci d'avoir pris le temps pour ce pavé qui complète un poste à lire absolument !
Des bises,
Swan (qui va lutter contre l'envie de relire et éditer ce texte pour la cinquantième fois.)
61 notes · View notes
sh0esuke · 4 months
Text
" Batcomputer "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Jason Todd / Red Hood
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Ça n'était pas une obsession, mais ça allait au delà d'un simple crush.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟔,𝟓𝟔𝟑.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Tumblr media Tumblr media
Peu importait le nombre de fois que je me faufilais ici, la grandeur de la Batcave ne cessait de m'impressionner. Toute cette surface inexplorée, ces nombreux trophées qui décoraient l'endroit, j'étais sans arrêt laissée bouche bée. C'était peu croyable qu'un tel endroit puisse exister, qui plus est sur la propriété de Bruce Wayne. La pièce géante et le dinosaure avaient attiré mon attention la première que j'étais venue ici, deux gigantesques objects qui autrefois eurent menacé la vie de Batman. À présent, c'était plutôt les électroniques mis à disposition, ainsi que la sélection de véhicules non loin de là. Entre avions, voitures, camions et motos, il avait l'embarras du choix. Les ordinateurs de Batman étaient de véritables bêtes, des créations bien trop en avance sur leur temps.
C'était la raison de ma venue ici.
J'étais penchée sur le clavier, le dos cambré, mes doigts tapotant sur celui-ci. J'effaçai la composition de mon mot lorsque je me trompai, retapai le tout, et en même temps je regardai ce qui était présenté sur la dizaine d'écrans devant moi. Articles, caméras, vidéos, interviews, c'était à n'en plus finir.
Je me sentais chanceuse. Après tout, si je me trouvais ici, je le devais à Dick. Après de nombreuses supplications et des promesses faites en l'air dont je ne me souvenais plus, il m'avait amenée dans la Batcave afin que je puisse profiter des avancées technologiques de son père. Mon ordinateurs était moins performant. C'était à peine si j'avais accès à certains sites, plus d'un m'étaient fermés. Mais ici ? C'était comme si j'étais une sorte de déesse. Je voyais absolument tout, à travers n'importe quoi. Dick avait disparu, il m'avait laissée seule. Outre moi, personne ne se trouvait dans la Batcave. Le Batcomputer m'était ainsi présenté, livré à lui-même.
C'était ce dont je fus persuadée, avant de sentir quelqu'un à côté de moi.
Une tasse se déposa sur le bureau, une main abîmée y était rattachée. Elle était fumante, d'elle se dégageait une délicieuse odeur de sucrée, elle m'en donna l'eau à la bouche.
« Mademoiselle. »
J'arquai un sourcil, me redressai.
« Monsieur Alfred, bonsoir. Je ne savais pas que vous étiez ici.. »
Il se recula, de son regard il me scruta.
« Lorsque quelqu'un s'introduit dans la Batcave j'ai tendance à m'y rendre. » déclara-t-il. « Puis-je connaître la raison de votre visite ? Monsieur Bruce ne rentrera pas avant une petite heure. »
« Oh, euh⸺ Oui. »
Me grattant la nuque, je zieutai la porte de sortie ⸺sa direction du moins.
« Je suis à la recherche de Poison Ivy. »
« Voilà qui est bien curieux, aux dernières nouvelles mademoiselle Isley réside à Arkham. »
« Oh. Hein ? Vraiment ? Harley Quinn, alors. »
Nerveusement, je me saisis de la tasse. Je laissais mon corps retomber sur la chaise de Batman, croisant les jambes et apportant l'élixir sucré à mes lèvres. J'étais certaine que parler davantage ne me sauverait pas. Je m'enfonçais plus qu'autre chose.
« Mademoiselle, comment vous êtes-vous introduite ici ? »
« Dick m'a ouvert la porte. »
« Plaît-il ? »
« Si si, je vous assure. C'est moi qui lui ai demandé. »
« Ainsi dans le but de retrouver mademoiselle Quinn ? »
« Ivy, ou elle, oui. »
Je terminai de prendre ma gorgée, elle était un peu plus chaude que prévu. Je repris ensuite la parole. Le thé m'avait définitivement détendue.
« Je n'ai pas accès à leurs dossiers d'Arkham, et le dark web c'est du charabia pour moi, alors je me suis dis que je pouvais venir ici. Vous savez, comme tout le monde, et puis Batman m'a déjà fait venir ici un paquet de fois, je pense pas que ça le dérangera. »
« Les conditions étaient différentes. » contesta-t-il. « Vous n'avez pas été invitée, c'est dérangeant. »
« Je sais ! Je suis désolée. »
Le majordome zieuta les écrans, il pivota de manière à lever la tête et les observer plus simplement. Ils étaient tous allumés, présentant des photographies et documents à propos de Poison Ivy. J'abandonnai ma tasse sur le bureau au même moment. Reculant la chaise de mes pieds, je croisai mes bras contre ma poitrine.
« Que cherchez-vous ? »
J'étais persuadée que ma couverture allait tenir. J'étais crédible, extrêmement crédible, il me suffisait de gagner suffisamment de temps et mon plan réussirait. Une heure avant que Batman ne rentre ? C'était presque trop beau pour être vrai.
« Mademoiselle ? »
« Hein ? »
Je clignai des yeux, les sourcils plissés.
« Oui ? Vous avez dit un truc ? »
« Que cherchez-vous, exactement ? »
« Euh, des informations..? »
« Si vous désirez retrouver mademoiselle Quinn, il vous faudra bien plus que fouiller ses dossiers en tant que psychiatre. » observa-t-il. « Ils ne vous mèneront certainement pas à sa nouvelle cachette. »
Les nombreux écrans changèrent lorsqu'il se mit à taper sur le clavier. Ma curiosité était piquée, après tout c'était la première fois que je voyais le majordome de Batman toucher à un électronique. Les seuls fois où je l'avais vu il s'était contenté de nous saluer et de nous mener à la Batcave. Je ne savais pas qu'il était aussi utile aux Waynes. Sa rapidité et efficacité me laissèrent bouche bée. En un instant, il me montra des caméras de surveillances projetant Harley Quinn. J'étais abasourdie. J'allais jusqu'à me lever et me rapprocher de lui. Les images étaient plus que récentes, elles étaient prises en live. Sur celles-ci, je pouvais voir la blonde mener une petite armée d'hommes dans un garage, elle se tenait sur un grand conteneur boisé. Mes yeux s'écarquillèrent.
J'étais embarrassée.
« Est-ce bien ce que vous cherchiez ? Je vous envoie l'adresse du port, veuillez patienter. »
Une seconde plus tard, mon téléphone vibra. Je l'extirpai de mon pantalon taille basse et l'allumais.
« Merci... »
Jetant un énième coup d'œil vers la sortie, je me pinçai les lèvres.
Ça n'était pas surprenant que j'aie été attrapée la main dans le sac, après tout, qui oserait s'introduire dans la base secrète du Batman ? C'était de la pure folie. J'avais cependant espéré qu'une demie heure ne s'écoule avant que cela se produise.
« Bien, ce sera tout, j'imagine. » parla Alfred. « Je vous raccompagne. »
Il récupéra ma tasse, commençait à reculer. Plongeant mes mains dans les poches de ma mini veste de velours, je fis la moue. J'avais compris que je n'étais pas la bienvenue. Ça restait compréhensible. Je lui obéis donc, marchant juste derrière lui jusqu'à devancer la Batmobile et nous dirigeant vers les escaliers métalliques. Je conservais mon expression contrariée tout le long. J'étais vraiment déçue.
Celle-ci se fana à la vue de Dick.
« Alfred ! »
« Oh⸺ »
Vêtu de ses habits de civil, il nous rejoignit. Alfred et moi nous arrêtâmes, lui laissâmes le temps d'arriver à notre hauteur, juste en bas des escaliers.
« Monsieur Richard, quel plaisir de vous voir. Êtes-vous aussi à la recherche de Poison Ivy ? »
« Quoi ? Non, non. » il s'étonna et me pointa du doigt. « Je suis ici pour elle. »
« Moi ? »
« Bah, ouais. Je t'ai fait entrer ici, tu te souviens ? Ça serait impoli de ma part de pas venir voir comment tu t'en sors. »
« J'imagine. »
« Je la raccompagnais, monsieur Richard, elle a tout ce qu'il lui faut. N'est-ce pas, mademoiselle ? »
Je baissai la tête.
« Oui c'est bon.. »
Plutôt mourir que de dire la vérité. Même avec un couteau sur la gorge, j'aurais refusé d'avouer mes véritables intentions, je préférais largement jouer la carte de la super-héroïne idiote. Et puis, une idiote, ça je l'étais... Une stupide fille guidée par ses sentiments.
« Alfred, ça ira. Je m'en charge. »
« Vous êtes certain ? Il me paraissait que⸺ »
Plus aucun son ne survint.
Je relevai la tête et vis Dick et Alfred échanger des messes basses, mon ami chuchotait quelque chose à l'oreille du majordome et, à la vue de ses yeux écarquillés, je fronçai les sourcils.
Mes mains s'attardèrent dans le bas de mon dos, elles se touchaient, mes doigts se trituraient le temps qu'ils finissent de se moquer de moi. J'étais penchée dans leur direction, presque sur la pointe des pieds. Ça n'était pas leurs chuchots qui me dérangeaient, après tout Alfred avait élevé Dick, ça faisait sens qu'ils aient leurs sujets de discussion, mais c'était l'expression du majordome qui me perturbait. Il était.. Il était si surpris. Ses joues étaient colorées d'une fine couche de rose et il n'arrêtait pas de me dévisager. La tasse dans ses mains s'était même mise à trembler, elle était prête à sauter de son socle. Je ne pouvais qu'être curieuse. Moi aussi je voulais savoir. Et, à vrai dire, j'avais peur qu'ils aient percé ma couverture, je voulais m'assurer que Dick ne parlait pas de moi. Je voulais⸺
« Je, hum, je vais vous laisser. »
Alfred se racla la gorge.
« Monsieur Bruce ne va pas tarder à rentrer, excusez-moi. »
« Merci, Alfred. » parla mon ami.
Je marchai dans sa direction, ignorant le majordome qui s'en allait à toute vitesse, immédiatement, je me saisis de son poignet, j'y enroulai mes dix doigts. Mon regard croisa le sien.
« Eh, qu'est-ce que tu lui as dit ? »
Il me sourit.
« Poison Ivy ? Sérieusement ? »
« Quoi..? »
La manière avec laquelle il me regardait, celle avec laquelle il parlait, tout me mettait en garde.
J'avais l'habitude de ses moqueries, d'aussi loin que je me souvienne, Dick avait toujours été un garçon avec un grand humour. Lors de mes débuts en tant que héroïne indépendante, Batman ayant cru que j'étais une vilaine, ou une espèce de fan dérangée, avait cherché à me faire abandonner. Il avait appelé Nightwing pour cela. Il fut forcé de me suivre aux quatre coins de Gotham, m'assistant dans ma chasse aux vilains. Malgré tout, je n'avais pas lâché l'affaire et, de part ma mutation génétique, j'avais réussi à me faire une place parmi ses collègues en collants. Je restais plus jeune que Dick, mais avec son humour et acrobaties, il avait tout de suite su me plaire. Je m'entendais bien avec ses autres frères, mais lui c'était différent. Ainsi, j'étais bel et bien habituée par ses taquineries. Néanmoins, dans une telle situation, je ne pouvais pas dire que j'appréciais être leurs cibles.
Il se gratta la nuque et rit.
« C'est ça ton excuse pour voir mon frangin ? Qu'est-ce que tu lui as dit ? Qu'elle t'avait volé une orchidée ou un truc du genre ? Et tu pensais qu'Alfred goberait ton histoire ? »
« Aah ! Tais toi ! » je m'empressai de crier. « Et puis de quoi tu parles déjà ? Je suis amoureuse de personne ! »
« Vraiment ? C'est bizarre ça. »
« N'importe quoi.. »
« T'as pourtant l'habitude de patrouiller dans les mêmes endroits, tu flirtes constamment dès que tu le vois et je compte plus le nombre de fois où tu lui as demandé de faire équipe avec toi pour attraper l'Épouvantail ou Harley. »
Humiliée. J'étais Humiliée.
Je relevai mes mains dans le but de fermer sa bouche toutefois Dick fut plus rapide et se saisit de mes poignets. Il les emprisonna d'une main. Je détournai donc le regard.
« J'ai vu juste ? »
« Non. »
« Ah ? Tu continues de nier ? C'est bien dommage.. »
De son autre main, il me toucha le bout du nez. Puis me relâcha et s'éloigna.
« Ta perte. »
« J'ai pas menti. » mentis-je. « J'avais des recherches à faire. »
« Sur lui ? »
Effarée, j'ouvrais grand la bouche.
« Hein ? Mais t'es malade ? » m'exclamai-je. « Je vais pas le surveiller ! Jason peut faire ce qu'il veut, c'est sa vie. »
Le rictus de Dick s'agrandit.
« Que⸺ Pourquoi tu souris ? »
« Jason ? »
« Oui, Jason. Je viens de te le dire, je le surveille pas. » me répétai-je, exaspérée.
Je n'avais pas percuté.
Ce fut deux secondes plus tard que je me rendis compte de ma bêtise. Sans attendre, mes yeux s'ouvrirent en grand, j'apportai mes mains à mes lèvres et lâchai un petit cri angoissé. Dick éclata de rire.
« J'ai dit Jason ? Ah ! Oh⸺ Je voulais dire⸺ Oh mon Dieu ! Je voulais dire autre chose ! »
Je n'étais pas dans mon état normal. J'étais folle. Je sombrais dans la folie.
J'avais bataillé comme un beau diable pour accéder au manoir de Bruce Wayne, j'y avais passé une semaine en tout, à persuader Dick sans rien révéler. À la force de mon sang, de ma sueur et de mes larmes. Mes véritables intentions étaient restées cachées. Cependant, avec l'arrivée de Alfred et tout ce qui avait suivi, ma couverture avait commencé à craqueler et, à présent, voilà qu'elle était mise à nue. La Batcave ? Bien sûr qu'elle m'intéressait ! Mais si j'étais ici avant tout, c'était uniquement pour lui. Dick avait-il vu clair dans mon jeu depuis le début..? Je peinais à y croire. Pour l'instant j'étais bien trop occupée à me cacher derrière mes mains et à geindre pour y réfléchir.
« J'ai rien dit.. T'as mal entendu, ça doit être ça... »
« Bien évidemment. » rit-il de plus belle. « T'es totalement pas amoureuse de lui, j'ai tout imaginé. »
Pour répondre, je levai mon pouce en l'air.
« T'as tout pigé. »
« Ou sinon, tu peux juste lui envoyer un message et tenter ta chance. »
Sa main se posa sur le sommet de mon crâne, de celle-ci, il me força à relever la tête. Ses yeux se plongèrent dans les miens, j'en oubliai la chaleur qui émanait de mon corps ou les battements fou de mon cœur. Je battis des cils, lui me sourit.
« Tu sais qu'il habite pas ici ? Tu espérais quoi, le croiser à la Batcave ? »
« Non.. »
Parfaitement.
C'était tout à fait ça.
« Prends son numéro, je te le donne. Je suis certain qu'il sera content. »
Mes mains tombèrent sur son torse. De manière exagérée, je m'y accrochai, suivit d'un long gémissement. Même mes genoux menaçaient de lâcher. J'étais envahie par un profond sentiment de honte, mélangé à de la frustration. C'était insurmontable, je doutais de pouvoir m'en relever. Dick m'observait avec amusement. Pour lui, cela ne signifiait pas grand chose. Ça ne devait pas être la première fois qu'il voyait une fille perdre pieds pour son frère. Mais pour moi.. C'était la fin de mon existence.
« Aah, je déteste ma vie ! J'oserais plus jamais regarder Alfred dans les yeux ! Je vais me terrer dans ton jardin, laisse moi.. »
Il me tapota me dos.
« Ça va aller, tu t'en remettras. » chuchota-t-il. « C'est pas comme si tu t'en cachais.. Presque tout le monde sait que tu en pinces pour lui. »
« Adieu. »
C'était la phrase de trop. Les larmes aux yeux, je tombais à même le sol. Posée sur mes genoux, j'apportai mes mains à mon visage, je le cachai derrière mes paumes et mes doigts, ainsi, je bloquai entièrement ma vue et empêchai Dick de me regarder. Je n'aurais pas supporté de le voir dans un tel moment.
Révélation après révélation, j'avais l'impression qu'un poids d'une tonne venait de me tomber dessus.
« Ma vie est fichue. » marmonnai-je. « Je regarderai plus personne dans les yeux, tu sais quoi ? Je vais aller vivre dans une grotte. »
Un cri étouffé m'échappa.
Il était impossible que Jason m'aime en retour, je ne faisais que me ridiculiser auprès de sa famille. C'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Avec Dick en tant qu'ami, je savais que je ne verrai jamais la fin de cette histoire. Je ne pouvais rien y faire. Mon cœur battait pour lui, lors de mes patrouilles, je rêvais de le croiser. Je désirais bosser avec lui, me battre à ses côtés, même si cela ne durerait qu'une mince soirée. N'importe quoi. Même des miettes. Il était si... Il était fantastique. Il m'ôtait les mots de la bouche. Je le voyais faire du coin de l'œil, toujours là à l'observer lorsque nos chemins se croisaient, et je ne me lassais jamais d'entendre criminels ou héros conter ses nombreux exploits. Il était une espèce de légende, une contradiction, un oxymore dont la splendeur me hantait même jusque dans mes songes.
Était-ce de ma faute si je me retrouvais prise dans ses filets..? Il était juste si mystérieux... Même Batman lui-même refusait de m'en dire plus à son sujet.. J'aurais accepté des bribes. Juste une info' ou deux, ou de quoi constituer un dossier et des analyses poussées.
« Eh ! »
Dick claquait des doigts.
« Tu m'écoutes ? C'est quoi ce sourire béat que tu nous sors, tu m'inquiètes. »
« Qu⸺ »
« Ma parole... »
Accroupi devant moi, il passa sa main dans sa chevelure. Mes yeux se plissèrent.
« Ça te tuerait d'être honnête ? Te fais pas de bile, je te jugerai pas, c'est promis. »
« Plutôt mourir. » je sifflai.
« Alors tu comptes faire quoi ? » il m'interrogea. « Tu veux lui tourner autour jusqu'à la fin de ta vie en espérant qu'il te remarquera, ça me paraît audacieux. »
« Non.. » je murmurai et secouai la tête. « Et puis qu'est-ce que ça peut te faire, hein ? C'est pas de toi dont je suis amoureuse que je sache... »
« Effectivement. » sourit-il. « Mais vois-tu, quand il s'agit de ma famille je suis assez protecteur. Surtout envers Jason. »
« Pourquoi ? »
« Ça, c'est quelque chose que tu devras voir avec lui. Aller, viens. »
Il se releva et me tendit sa main. Je m'en saisis sans attendre, et le suivis.
« Qu'est-ce que tu fais ? »
Dick ne me lâcha pas, il refusait, à la place de continuer notre discussion dans la Batcave, à l'abri de tous, il nous fit sortir du sous-terrain. Nous empruntâmes le passage secret au travers de l'horloge et, passant à côté de Alfred qui s'en allait à l'étage, nous nous en allions en direction de la porte d'entrée. Dick marchait calmement. Il me guidait sans mal. Au travers de son langage corporel, je le sentis toutefois légèrement pressé, une pointe d'excitation dans le regard. Ma main toujours pressée dans la sienne, l'idée de m'en défaire ne me vint pas à l'esprit.
Dick s'arrêta finalement. Devant les deux immenses portes, il ralentit le pas, se débarrassa de ma main et me toisa. J'en fronçai les sourcils. La porte de sortie était juste là.
J'ouvris la bouche, prête à parler, cependant Dick me devança.
« J'ai une question à te poser. » dit-il.
Ses bras se croisèrent contre son torse, il me bloquait le chemin.
« Mhh ? »
« Je sais que tu n'es pas à l'aise, et que c'est un sujet délicat pour toi. Je vois bien dans quel état ça te met de parler de lui.. Mais j'aimerais connaître tes intentions. »
« Mes intentions..? »
« Si tu aimes Jason, je veux savoir à quel point. » il clarifia.
« Euh, je⸺ »
Mes mains s'accrochèrent à mes bras, l'expression offensée sur mon visage parlait pour moi-même.
« Dick, écoute c'est⸺ Je⸺ Je suis pas sûre que ce soit l'endroit pour en parler. Et puis je vois pas pourquoi tu en fais autant... »
« Fais-moi confiance. » il me sourit. « Parle. »
« Eh bien.. »
Détournant le regard, je grimaçai.
« Ça me fait bizarre.. » confessai-je. « Je pourrais pas te décrire ce que je ressens exactement, je sais juste que dès que je le vois j'ai envie d'être auprès de lui. Il est si... »
Je soupirai lourdement. Quant à Dick, il étouffa un rire, l'arête de son nez pincée par son index et pouce.
« Je sais que vous êtes frères, mais tu l'as déjà vu sans son masque ? Non, oublie, tu l'as déjà vu avec son masque ? » je m'exclamai, les yeux pétillants. « Je dois avoir l'air stupide à l'observer à la moindre occasion. Il est juste wow. J'en reste bouche bée. »
« Attends. Son masque ? »
« Me lance pas sur le sujet, je t'en supplie. »
« Je vois. » rit-il. « Et c'est tout ? »
« Oh par pitié, si seulement. »
Mes mains s'accrochèrent aux côtés de mon visage, de mes doigts, je m'agrippai à mes cheveux. Trop de pensées se bousculaient dans ma tête, je surchauffais.
« Dick je te promets je suis tout à fait normale le concernant. Simplement je.. »
« Tu..? »
« J'ai pas les mots. »
Mes bras tombèrent.
« Je sais jusque que j'ai envie de plus. »
« J'ai envie de plus qu'être une simple collègue en collants moulants. » repris-je avec détermination. « Je veux savoir sa couleur préférée, je veux passer mes soirées à le voir, entendre sa voix, admirer encore plus la manière adorable dont ses yeux se plissent quand il rigole. Je le veux. »
Mes propos semblèrent l'avoir pris de court, Dick arquait un sourcil.
« Ça m'a l'air audacieux. »
« Ça l'est. C'est débile aussi. » j'acquiesçai. « Je sais pas si il m'apprécie. Il est tellement mystérieux.. »
« Et donc..? »
« Hein ? »
« Tu le veux ? » répéta-t-il.
« Tu sais ce que j'aimerais ? Réellement ? »
J'allongeai mes bras devant moi.
« J'aimerais qu'il me tombe dans les bras. J'ai envie.. bordel, j'ai envie de l'avoir rien que pour moi. Je suis certaine qu'il est adorable. Il ferait le parfait petit-ami. Et rigole pas ! Je sais que c'est bizarre, je peux pas m'en empêcher. »
« Je rigole pas, promis. »
Et pourtant.. Dick avait beau se cacher derrière sa main, je l'entendais pouffer. Il était mort de rire, complètement hilare.
« Mais quand même... T'es sûre que c'est ce que tu recherches ? » reprit-il.
Passant sa main sur sa nuque, il m'offrit cette fois-ci un regard un peu plus sévère. L'atmosphère s'alourdit simultanément. Je rétractai mes bras auprès de moi, j'apportai mes mains devant moi, contre mon ventre.
« Tu l'as déjà vu faire, t'as dû comprendre qu'il a des problèmes lui aussi. Il est pas facile à aimer, mon frangin. »
« Tu déconnes ? »
Dick me questionna du regard.
« T'essaies de faire fuir toute chance qu'il se case ou quoi ? » m'étonnai-je.
« Je suis réaliste. » il contesta. « Jason est violent, il est instable. Je doute qu'il soit un match pour quelqu'un comme toi. »
« Sur ce point je suis d'accord. »
« Vraiment ? »
« Pas sur le fait que ce soit un énorme taré, non, ça; j'adore. » déclarai-je. « Mais ton point sur nos différences. »
Je ne le connaissais pas bien. Si Red Hood était le fils adoptif de Batman, alors il devait avoir grandi dans la richesse lui aussi, quelque chose que moi je n'avais jamais vraiment connu. Je n'avais pas quinze mille jets privés ou une armée de véhicules. N'était-il pas trop bien pour moi..? Le choc de culture entre nous deux serait fou.. Supposant qu'il veuille de moi en premier temps.
J'avais peur de ne pas être à sa hauteur. Jason me paraissait hors d'atteinte, j'avais beau moi aussi combattre le crime, je ne faisais que lui courir après. Jusqu'à maintenant, je n'avais jamais réussi à l'atteindre. Ça me faisait peur.
« Jason est plutôt normal, tu sais. » me signala Dick. « Outre son amour pour les armes à feu, j'ai jamais connu quelqu'un qui a autant les pieds sur terre. »
« Alors.. »
Mes yeux s'ouvrirent.
Pressant mes mains l'une contre l'autre, entremêlant mes doigts au passage, je ne pus résister à l'envie de le questionner davantage. La façon dont il vantait son frère ne faisait qu'attiser ma curiosité. Il le dépeignait tel que je l'avais imaginé. Perfection.
« Il a une copine ? »
Dick fit non de la tête.
« Oh. Et.. Est-ce que... »
Soudain embarrassée, je me pinçai les lèvres.
« Tu sais ce qu'il pense de moi..? »
« Pourquoi tu lui demandes pas toi-même ? Propose lui un truc, je t'ai envoyé son numéro. »
« Jamais ! Autant me jeter dans la fosse aux lions tant que j'y suis, ah ! »
« Tu me perds.. Je pensais que tu le voulais ? »
« Dick, mon petit Dick. »
Je m'approchai de lui, déposai mes mains sur ses épaules.
« C'est à peine si j'ose le regarder dans les yeux, qu'est-ce qui te fais croire que j'aurais les boules de lui proposer un rencard ? »
« Bonne question..? »
« Je pourrais pas. Jamais. » conclus-je.
Il roula des yeux.
« Je rigole pas ! » je grondai, frustrée. « La dernière fois que nos regards se sont croisés j'ai foncé dans un mur ! »
Il s'étouffa. Dick se mit à tousser bruyamment contre son poing, le visage froissé par la confusion. Cela me mit davantage dans l'embarras. J'aurais peut-être dû garder ce souvenir pour moi...
« Je peux pas.. Ou alors... Je sais pas. Je sais pas, Dick. »
J'abandonnai ses épaules pour aller toucher mes joues, détournai en même temps le regard. Elles étaient brûlantes.
« Il me rend trop nerveuse. J'oserai jamais. »
« Je l'aime vraiment, tu sais. Il m'intéresse. » je repris peu après, le fixant de nouveau. « C'est la première fois que je ressens ça pour quelqu'un. »
« Je m'en doute. Je t'ai jamais vu dans un tel état. » il acquiesça.
« N'en parle à personne, d'accord ? Je me sens pas prête à dire quoique ce soit. »
« Quoi ? »
« Dick. »
Il soupira, visiblement contrarié.
« Bon, d'accord. Comme tu veux, ta perte. » céda-t-il en levant les mains en l'air.
« Ça m'évitera une énième humiliation face à lui, je t'en serai pour toujours reconnaissante, mon ami. » insistai-je gracieusement, à deux doigts de m'incliner.
Dick roula des yeux au ciel, visiblement, il n'était pas convaincu. C'était néanmoins le cadet de mes soucis. J'étais encore nouvelle dans le monde des super-héros, je ne voulais pas tout gâcher à cause de mes sentiments. Jusqu'à présent, trouver une excuse pour voir Jason avait fonctionné, m'en contenter n'était évidement pas assez, j'aurais aimé plus, mais ainsi était la vie. J'espérais qu'avec le temps quelque chose voie le jour entre nous. Un peu comme Batman et Catwoman. Leur alchimie était folle, peut-être suivrions nous le même chemin. Je m'imaginais déjà sienne, coincée dans son étreinte, gloussant et l'embrassant vivement. Dick pouvait dire ce qu'il voulait, mes tripes ne me mentaient pas. J'étais persuadée qu'en forçant les choses je perdrais l'opportunité de voir quelque chose éclore entre nous.
Ça ne me dérangeait pas de patienter.
Tant que je pouvais le voir, tant que le son de sa voix me parvenait aux oreilles le temps d'une soirée. C'était tout ce que je réclamais en échange de mon silence.
Se raclant la gorge, Dick s'approcha des portes d'entrée. La sortie du manoir était juste devant, il venait enfin de libérer le passage, son interrogatoire arrivait à son terme.
« Je te raccompagne ? »
« Je patrouille ce soir, ça ira. »
« T'es pas obligée tu sais, il me semble que Red Robin et Robin s'en chargent déjà. »
« Ah ! Parce que tu les penses capable de passer Gotham au peigne fin ? » ironisai-je.
« Parce que toi si ? »
« Certainement pas. Mais si on s'y met à plusieurs les rues seront plus sûres. »
Je marchai jusqu'à lui.
« Et puis j'ai besoin de me changer les idées. »
Dick hocha la tête. Il me laissait passer en première, n'ouvrant que la porte de gauche. Il me suivait ensuite.
Il n'était pas très tard, j'aurais peut-être même le temps de rendre visite à Harley Quinn et ses nouveaux petits copains si je me dépêchais, histoire de la faire rejoindre son amoureuse à Arkham. C'était sûrement ça qu'elle cherchait. Cette pensée me vint alors que j'admirai ma montre. Je ne tardai pas à la ranger sous ma manche.
Je relevai la tête. Deux ombres me firent face.
« Dick, au sujet de Jason je⸺ »
Mon expression se fronça.
Ma mine s'effondra.
Sortant du manoir, Dick prit moins de temps que moi à le remarquer. Un peu comme si... Un peu comme si il s'y était attendu.
« Salut Dick. »
« Oh, salut Jason. »
Je reculai d'une marche. Mon corps pencha vers l'arrière, il tangua dangereusement.
« T'as enfin reçu mon message ? »
« Tu m'écris pendant que je me bats contre Double Face, j'ai pas quinze bras. »
Jason. Jason était là.
Calé contre la porte fermée du manoir, vêtu de son costume de Red Hood, il était bel et bien là. Lui et Dick se tenaient côte à côte. Jason n'avait ni retiré son masque ni sa capuche, ses yeux étaient d'un rouge sang, identique à la couleur du reste de ses vêtements. Malgré tout, je pouvais sentir la lourdeur de son regard sur moi alors qu'il décroisait ses bras de son torse. Il me pesait sur les épaules. J'en étais assommée.
« Vous en avez mis du temps à sortir de là, j'ai cru que j'allais devoir venir vous chercher moi-même. » râla-t-il.
Je déglutissais.
« On avait des trucs à régler. » expliqua Dick.
« Je m'en doute. »
Il nous avait entendu ? Quelle question.. Bien sûr qu'il nous avait entendu ! J'avais mal aux tympans. Mon cerveau frétillait dans tous les sens puisque tous mes neurones étaient en ébullition. Ils sursautaient, tanguaient au bord d'un gouffre dangereusement profond. Je n'étais moi-même plus apte à penser. L'écho des pulsations de mon cœur se percutait jusqu'aux veines de mes poignets. Je palpitais dans tous les sens. Du bout de mes doigts jusqu'à ma jugulaire... J'étais asphyxiée. J'angoissais. Il était là, un simple mètre nous séparant. Je peinais à y croire.. Depuis combien de temps attendait-il ici ? J'avais bien remarqué sa moto garée juste en bas, venait-il d'arriver ? Peut-être qu'il n'avait pas entendu assez de notre conversation pour se faire sa propre idée..
Pétrifiée, il m'était impossible de faire quoique ce soit, mon corps ne me répondait plus. J'étais bien trop abasourdie par ce que j'avais en face de moi.
Dick donna un coup de coude à Jason. Il lui chuchota une phrase au creux de l'oreille, et celui-ci haussa un sourcil ⸺du moins de ce que je compris, son masque cachant cette partie de son visage. Jason se décolla rapidement de la porte et s'écarta de son frère. Quant à ce traître de Dick, lui se contenta de me sourire. Un flamboyant sourire qui me poignardait en plein cœur.
« Je vais vous laisser, j'ai⸺ Je dois aider Alfred avec la vaisselle. »
« Eh ! » je l'interpellai.
Dick se faufilait déjà derrière la porte ouverte.
« Bonne soirée ! »
« Dick, merde ! T'es pas sympa ! »
« Bisou, bisou ! »
Sa réponse fut accompagnée d'un salut de sa main. C'était la seule chose que j'apercevais avant qu'il ne referme la porte et ne disparaisse totalement. Puis rien. Dick ne revenait pas, Jason n'avait pas disparu, et moi je refusais de bouger. C'était à peine si j'osais regarder ailleurs.
J'avais l'impression que si je bougeais un muscle il allait se mettre à parler. Peut-être que si je restais ici il s'en irait, ou alors je deviendrais invisible.
« Qu'est-ce que tu fous ? »
Eh merde.
« Mhh ? »
Jason me pointa du doigt, il fit tourner son index dans un geste circulaire, me désignant.
« T'as peur ? Je vais pas te mordre. »
Embarrassée, j'hochai la tête. Je bougeais un peu, croisais mes jambes.
Mes pupilles se perdaient sur son corps, j'étais bien trop gênée pour lui faire face. Je ne pouvais même pas lui répondre de vive voix, malgré tout, ça ne m'empêchait pas de l'admirer. Son costume de Red Hood m'avait toujours plu. Ça lui donnait l'allure nonchalante d'un héros et d'un criminel à la fois. La capuche et le masque y étaient pour beaucoup. Jason était si imposant, une véritable montagne de muscles. Il..
Il m'ôtait les mots de la bouche.
Mon bas ventre s'emballait à sa simple vue. À l'instar de papillons frôlant les recoins de mes organes, ils paniquaient, autant par manque d'air que d'excitation. Exactement comme moi.
Jason m'appela.
« Écoute.. »
Un soupir s'échappa depuis le dernière son masque. Il semblait prendre son courage à deux mains avant de, quelques secondes plus tard, abandonner. Jason finit par repousser sa capuche, me dévoilant sa chevelure corbeau à l'éclat blanchi. Puis, il se chargea de son masque qu'il rangeait dans la poche de sa veste. Il me dévoila ainsi ses beaux yeux. Sa paire de lèvres. Son nez.
Immédiatement, ma respiration se coupait. Elle se coinçait dans ma gorge.
J'en avais mal à la poitrine.
« Je⸺ Jason... »
Il réduisit l'écart nous séparant. Sa main se saisit de la mienne, Jason tira dessus sèchement, il m'attirait contre lui. Nos nez manquaient de se frôler.
« Tu le pensais ? »
« Que⸺ De quoi ? »
« Ce que t'as dit à Dick à mon propos. Tout ce que tu lui as dit. »
« Oh, mon Dieu. Tu as tout entendu ? »
Mes yeux s'étaient ouverts en grand.
« Du début à la fin. » il acquiesça. « Réponds-moi, tu le pensais ? »
J'étais intoxiquée par son odeur. Son parfum avait envahi mes poumons et s'y était logé jusqu'à s'introduire dans le tissus de ma chair. Mon corps tout entier était enivré par ce doux nectar. Je perdais le fil de notre conversation. Ne songeant qu'à lui, qu'au son de sa voix. Mon bas ventre pétillait de désir. Mes paupières s'ouvraient et se fermaient à répétition. À le sentir si proche de moi, j'en devenais vaseuse.
« Oui. »
Il grogna.
« Je sais que⸺ On ne se connaît pas très bien, » insistai-je. « on est très différents même. Tu me plais, Jason, c'est tout ce que je sais. »
« Moi ? »
Je battis des cils.
« Toi. »
« On dirait que c'est mon jour de chance. » plaisanta-t-il, un sourire arrogant dessiné sur ses lèvres.
« Je voulais pas que tu l'apprennes comme ça, merde, je sais même pas si je voulais que tu l'apprennes un jour. » paniquai-je. « Mais, c'est que.. »
« Moi aussi. »
Sa main libre se saisit de mon menton. Il m'attirait à lui, nos bouches se frôlèrent de justesse.
« Mhh ? »
Le temps de percuter, nous nous étions tant rapprochés que je sentais à présent son souffle caresser ma lèvre supérieure. Il était doux. Finement chaud, il contrastait avec la fraîcheur de l'air qui planait autour de nous. Mon regard ne quittait plus le sien. Mes yeux s'étaient perdus dans ses pupilles, je craignais de ne plus en trouver la sortie. D'un bleu pétillant, ils se mariaient avec le ciel noir doré d'étoiles qui nous surplombait, accompagné par les rayons de la lune braqués sur nous. Idem pour le teint de sa peau. Ainsi éclairé, il ne m'eut jamais paru aussi splendide. Ou alors c'était peut-être notre proximité. Ou ses mots. Je n'en savais rien.
Ce dont j'étais persuadée en revanche, c'était que je ne voulais plus jamais le quitter. Rester auprès de lui, l'admirer, lui parler, c'était des choses que je désirais faire jusqu'à mon dernier souffle.
« Je savais que je t'avais tapé dans l'œil, mais pas à ce point. » grogna Jason.
Il raffermit sa prise sur mon visage, le regard instable. Quant à nos mains elles refusaient toujours de se séparer, ça n'était pas inconfortable pour autant, au contraire.
« Et si je t'invitais prendre un café, mhhh ? Histoire de faire les choses proprement. »
« Ton chez toi ou le mien ? » je le questionnai.
Un rictus taquin naquit sur ses lèvres.
« Pourquoi pas chez moi ? Personne nous y dérangera. »
« Qu⸺ »
« Pose pas de questions, tu comprendras rapidement. » il répliqua. « T'as prévu un truc là tout de suite ? »
Je secouai la tête. Un peu trop vite à mon goût..
« Je suis libre. Toute la soirée. »
« Ah bon ? Je pensais que.. Tu sais quoi, oublie. »
J'eus beau le questionner du regard, il n'élabora point. Jason me devançait, il se dirigeait jusqu'aux escaliers et, nos mains toujours reliées, en descendit les quelques marches. Il me guida calmement. Je le suivis de près.
Sa moto était juste à côté, je voyais où il venait en venir, pour autant, ça ne me rassurait pas. J'étais plus nerveuse qu'autre chose. Ce fut avec appréhension que je m'en approchais, c'était la première fois que je me tenais aussi près d'elle. Jason extirpa du siège un casque et me le tendit, quant à lui, il récupéra son masque depuis sa poche. La moto n'était pas très imposante, rayée à certains endroits, maladroitement garée, comme si Jason s'était empressé d'en descendre. Des traces de pneus verticales dérangeait le sol composé de petite pierre. D'ici, je la sentais chaude. Mes pensées se confirmèrent en déposant la paume de ma main sur le siège de cuir. Au devant, juste au dessus du phare, le symbole rouge sang de Batman y avait été peint. Curieuse, je fis le tour du véhicule.
« T'es déjà montée sur une moto ? » me demanda Jason, masqué.
« Non, jamais. »
« Tu plaisantes.. Pas vrai ? »
« Non. » ris-je.
Je lui faisais à présent face, la moto nous séparant.
Ses beaux yeux me manquaient déjà..
« T'as peur ? » il insistait.
Je secouai la tête.
« Je te fais confiance. »
Jason me tendit sa main en guise de réponse, je m'en saisis et, sans attendre, me fit grimper dessus. Je m'assis sur le derrière du siège.
« T'es bien installée ? »
« Mhh, c'est bon. »
« Accroche toi à moi. » dit-il en montant à son tour.
« Hei⸺ Comment ? »
L'idée de passer mes bras autour de sa taille me paraissait folle. Mes mains se mirent à trembler rien qu'à cette idée.
« Comme ça. »
Jason passa ses bras dans son dos et se saisit durement de mes poignets, il les emprisonna autour de ses doigts. Je lâchai un cri de surprise. Puis, il me força à passer mes bras autour de sa taille, il les y fixa et démarra la moto un instant plus tard. Le moteur vrombit. Chaque partie du véhicule se mit à chauffer, ébranlée, je ne pus m'empêcher de me cramponner à lui. Mes doigts s'accrochèrent à sa veste. Je frôlais de près son estomac. Malgré ma familiarité avec ce genre d'engins, me tenir sur l'un d'entre eux aux côtés du garçon de mes rêves me rendait tout sensible. La chaleur du véhicule se mêla à la mienne, j'en frissonnais.
« C'est... »
Jason tourna la tête.
« T'es bien ? Confortable ? »
« Oui. »
Absolument pas.
« Cool. Je vais démarrer, me lâche surtout pas. »
Si j'avais su que me tenir sur sa moto avec lui au volant serait aussi intime, j'aurais peut-être reconsidéré la chose. Mon regard se perdait sur l'horizon, le jardin de la propriété de Bruce Wayne ne m'avait jamais semblé aussi intéressante... Notre position n'avait rien de sensuel. Mal interpréter la chose était la dernière de mes envies. C'était complexe à le décrire, mais l'endroit où se situaient mes mains ⸺sur son corps⸺ la proximité de nos bassins et la tension qui régnait entre nous, en plus de la promesse d'un rendez-vous nocturne... C'était la chose de trop.
Je voulais détester Dick de m'avoir piégée. Il l'avait fait d'une telle facilité.. C'en était aberrant. Il avait vu clair dans mon jeu depuis le début et, malgré ma maladresse, n'avait pas hésité à forcer cette rencontre. Je lui en voulais d'avoir fait tout ce cinéma et de s'être joué de ma détresse. Cependant, j'étais si comblée. J'étais ravie à un tel point que je fus incapable de réprimer le sourire qui s'était installé sur mes lèvres. Tandis qu'il nous fit sortir de la propriété de son père, Jason ne le remarqua pas.
Je me contentais de plaquer ma poitrine à son dos, de même pour mon visage ⸺malgré le casque. Profondément, j'inspirai son odeur.
La rapidité avec laquelle il conduisait me donner l'impression de voler, nous filions dans l'air à la vitesse de l'éclair. Le moteur accompagnait le tout de ses vrombissements. Je n'osais pas rouvrir mes paupières pour le moment. J'appréciais le contact du vent avec mon corps, il était d'une froideur délicieuse, il passait au travers de mes organes, me conférant ainsi une impression de fraîcheur inégalable. C'était plus qu'agréable. Sans parler de mon pauvre cœur qui pulsait dans ma poitrine. Ses battements faisaient échos jusque dans les extrémités de mes doigts. Ils étaient paniqués, lourds, puissants. Je m'accrochais davantage à la veste de Jason, ignorant la symphonie qui se jouait dans ma poitrine. Je ne pus y échapper, mais fis mine de rien.
Je le laissais me mener à son chez lui, aveugle, charmée par l'idée que je me faisais de lui. Ignorante des mises en garde de son frère, je ne fis que me cramponner à lui et rouvrir enfin les yeux.
J'admirais la vue que j'avais sur Gotham, l'esprit déjà bien occupé à imaginer le chemin que prendrait cette soirée. Elle qui avait si bien commencé... Je me demandais de quelle manière elle se conclurait.
31 notes · View notes
sabinerondissime · 2 months
Text
Tumblr media
J'aime les hommes plus jeune que moi. Beaucoup plus jeune. La moitié de mon âge parfois. Mais quand une femme dit cela, elle est immédiatement jugée. Les femmes pensent que c'est une honte de craquer pour des hommes qui ont l'âge de mes fils. Les hommes pensent que je veux juste m'envoyer en l'air avec quelqu'un de plus vigoureux qu'un homme de mon âge. Je me suis faite appeler couguar assez souvent. Chacun juge selon son ressenti. Mais mon ressenti à moi est celui ci. De la même façon qu'un homme peut préférer une blonde à une brune, où qu'une femme va choisir un homme grand plutôt que petit, je n'ai pas choisi vers qui j'allais être attirée. J'avais seulement 18 ans que mon petit ami avait déjà 2 ans de moins que moi. A 20 ans, en regardant les hommes de 50 ans, je savais qu'ils ne m'attireraient jamais, sauf cas exceptionnel. Car je parle là de l'attirance physique, pas de celle qui se créée lorsqu'on apprécie une personne quel que soit son âge. Si un homme de 30 ans me drague, il a plus de chances d'attirer mon attention qu'un homme de 50 ans ou plus, sauf si celui ci est suffisamment intéressant pour me séduire. Mais en aucun cas, je ne suis attirée vers les jeunes hommes pour une question de sexe. Car pour moi, le sexe n'est qu'un aboutissement, pas une recherche. C'est une étape obligée quand on a envie de vivre une relation. Je n'ai aucun attrait pour les one shot. Avec l'âge, bien entendu, je plais de moins en moins aux hommes de 30 ans. Ou alors ils veulent seulement avoir une expérience avant de passer à autre chose et ça c'est hors de question. Je trouve cela tout à fait normal et je me suis faite une raison. D'ailleurs, il me serait difficile aujourd'hui d'envisager une relation comprenant du sexe avec un homme aussi jeune (comme avec un plus vieux d'ailleurs !) . Mais bref, voilà ! J'aime les hommes beaucoup plus jeune que moi, comme d'autres aiment les femmes maigres ou très rondes. Comme d'autres encore aiment les hommes glabre plutôt que les poilus. Simplement parce que c'est dans ma nature.
22 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Aujourd’hui, retour dans le brutalisme, mais cette fois-ci du vrai, du pur, avec le hameau du Ménel à Meximieux (01). Commandé par EDF, dessiné en 1966-67 par René Gagès (1921-2008) et son pote Gabriel Roche, ce petit coin de béton est sorti de terre en 1970 pour loger les cadres et les agents de maîtrise de la centrale nucléaire du Bugey. Les logements, qui vont du T4 au T6, sont répartis sur un, deux ou trois niveaux et ont tous leur accès particulier. Bien qu'étant un quartier « neuf »,  il a été réalisé dans le style village traditionnel, avec la possibilité de s'isoler. Aujourd’hui, le hameau a été rebaptisé « Lotissement du Ménel ». Ça fait pas rêver, mais bon, c’est bien comme ça que les gens s’imaginent le « paradis » de nos jours.
20 notes · View notes
kilfeur · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
D'une certaine manière, on voit justement comment Aurora serait si elle était reine. Elle parle mal aux servantes contrairement à Amalia qui justement les respecte et les chérissent. J'imagine que ça doit être quelque chose de similaire dans son royaume à elle pour qu'elle se comporte ainsi. Et justement on voit une relation plus cordiale entre son père et elle que j'avoue avoir été agréablement surprise. Car je trouvais que son père semblait l'utiliser comme un pion. Mais non bon après il y aura peut être d'autres choses qui nous seront révélés par la suite.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En revanche, le dialogue d'Armand m'a fait tiquer dans le sens que je pense qu'elle aimait l'Armand qu'elle voulait voir. Je crois que toujours que leurs affections étaient sincère à leur manière mais qu'à sa mort, ça l'a secoué un bref instant ! Voulant tendre sa main vers la graine d'Armand mais en voyant le geste d'Amalia, comme si elle l'empêchait de s'approcher (bien que je pense pas qu'Amalia s'était rendue compte qu'elle était là) elle a choisi de fuir, préférant suivre l'ordre de son père. Selon elle, elle est la reine légitime par le feu d'Armand mais aussi par le bébé qu'elle porte. Surtout que vu qu'ils parlent de leurs grossesses quand ils sont seuls montre qu'il y a des chances que cette grossesse soit vrai.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Sinon j'ai bien aimé le mariage car ça symbolise justement la possible réconciliation des deux peuples suite au conflit ! Le changement pour les deux peuples étaient brusque et je pense que ce mariage aide justement à mieux installer ce début d'entente en douceur cette fois ci. D'ailleurs mon ami avait justement ajouté que ce conflit est surtout amené par les vieux et non les jeunes adultes comme on peut le voir dans ce chapitre. Par contre la scène, de l'empoisonnement ouais je le voyais venir. Bien qu'Amalia, j'imagine que le fait d'avoir été empoisonné en saison 1, lui a permit de l'empêcher de l'être à nouveau.
In a way, we see precisely how Aurora would be if she were queen. She speaks ill of the servants, unlike Amalia, who respects and cherishes them. I imagine it must be something similar in her kingdom if she behaves this way. And we see a more cordial relationship between her and her father, and I must admit I was pleasantly surprised. I thought her father seemed to be using her as a pawn. But no, well, maybe there'll be more to come later.
On the other hand, Armand's dialogue made me tick in the sense that I think she loved the Armand she wanted to see. I still believe their affections were sincere in their own way, but when he died, she was shaken for a brief moment! Wanting to stretch out her hand towards Armand's seed, but seeing Amalia's gesture, as if preventing her from approaching (although I don't think Amalia realized she was there) she chose to flee, preferring to follow her father's order. According to her, she's the rightful queen not only because of her late husband, but also because of the baby she's carrying. Especially since the fact that they talk about their pregnancies when they're alone shows that there's a good chance this pregnancy is real.
Otherwise, I liked the wedding because it symbolizes the possible reconciliation of the two peoples following the conflict! The change for both peoples was abrupt, and I think this wedding helps to establish the beginning of a gentle understanding this time. Moreover, my friend had just added that this conflict is mainly brought about by the elderly and not the young adults, as can be seen in this chapter. On the other hand, I could see the poisoning scene coming. Although Amalia, I imagine, had been poisoned in season 1, which helped prevent her from being poisoned again.
34 notes · View notes
clhook · 10 months
Text
J'ai choisi ma robe de mariée et je voulais la commander à la boutique mais franchement la meuf qui s'en occupe ça se voit trop qu'elle me méprise et me prend pour une bouseuse... c'est une créatrice assez haut de gamme de robes (donc hors de prix lol) mais elle a fait une ligne de prêt à porter avec des robes moins chères donc je voulais taper là-dedans parce que j'adore ce qu'elle fait mais déjà pendant les essayages elle était hyper froide avec ma mère et moi, je lui avais donné le nom du modèle que je voulais essayer elle m'avait sorti un truc qui avait rien à voir alors j'ai dit "ah pardon c'est pas celle-ci" elle m'a dit "bah si" sur un ton cassant et moi j'étais là "ben non madame j'ai passé des heures à baver sur la page de la robe sur le site je sais comment elle s'appelle" donc elle a vérifié et j'avais raison mais elle s'est excusée à peine vraiment du bout des lèvres ça se voit trop qu'elle en a raf de la collection prêt à porter mais du coup pourquoi en faire une ptdr si tu veux garder ta clientèle de richou parisien ????????????? bref donc je l'ai appelée pour dire que je voulais commander, elle m'a envoyé un mail avec la facture les CGV tout ça en disant que la fabrication débute lorsque le virement est reçu mais j'ai pas compris si je devais tout payer ou seulement verser un acompte donc j'ai répondu à son mail en demandant ça + un délai indicatif de fabrication si elle peut me le donner et elle m'a pas répondu alors que ça fait une semaine... et j'attends qu'elle réponde parce que bah la somme complète c'est une grosse somme pour moi, même si ça représente genre un quart du prix des robes sur mesure qu'elle fait donc c'est que dalle pour elle, j'ai pas envie de la rappeler parce que quand elle me parle je me sens trop comme une paysanne humiliée par la reine mdr franchement si j'étais pas aussi emballée par la robe j'irai voir ailleurs directos !!!!!
58 notes · View notes
assigneegarcon · 4 months
Text
Tumblr media
Je vous cacherai pas que c'est difficile, ces temps-ci. J'ai toujours reçu toutes sortes de menaces depuis que j'ai commencé ces BDs il y a dix ans, mais depuis quelques mois, le climat politique mondial envers les personnes trans fait que c'est pire que d'habitude. En plus de tous les messages haineux, je reçois entre 5 et 20 menaces de mort par jour. Je n'ai même plus le goût de modérer les commentaires sous mes BDs, je sais que ce sera en majorité des transphobes m'implorant de me suicider. Je ne dors que sommairement la nuit, de crainte que mon adresse ait été découverte et qu'on s'en prenne à ma famille.
J'essaie très fort de continuer à publier en français malgré tout, parce que j'y crois. Mais il y a constamment une voix qui murmure que ça sert à rien et que je perds mon temps, qui m'est peut-être compté.
Il y a aussi le fait que c'est devenu beaucoup plus difficile d'en vivre. Il y a l'inflation, mais aussi le fait que de faire des tournées de conférence comme je l'ai toujours fait, ça devient beaucoup trop dangereux. Dans les derniers mois, mes évènements ont été la cible de plusieurs groupes haineux, il y a eu des bagarres dans les bibliothèques où je parlais, des milices faisant des saluts nazis, des menaces physiques dans des évènements où il y avait des enfants. Alors que mon mari et moi essayons d'avoir un enfant, ce serait irresponsable de continuer.
Je joue donc le tout pour le tout. Dans les prochaines semaines, je vais redoubler d'ardeur pour promouvoir mon compte Patreon, qui permet de soutenir les artistes. J'hésite tout le temps à le faire, puisque les temps sont difficiles pour beaucoup de gens. J'espère que je vous embêterai pas trop avec ça! Il y a présentement 60 personnes qui me soutiennent, et j'espère doubler le nombre.
C'est par ici -> www.patreon.com/sophielabelle
Il y en a également deux autres, en anglais, l'un où je parle de cueillette sauvage et de jardinage en Finlande ( www.patreon.com/afroginthebog ) et l'autre pour 18 ans et plus où je publie des nouvelles queers ér*tiques ( www.patreon.com/pastelsexytimes )
Bon mois des Fiertés! xx Sophie
21 notes · View notes
urween · 4 months
Text
"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
bannière par @/saradika-graphics
2 404 mots
Description à la troisième personne
Tumblr media
Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”. 
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
Partie deux disponible !
° x-men masterlist
Tumblr media
bannières faites par @/saradika-graphics
28 notes · View notes
nayelleya · 4 months
Text
14 et 15 mai 2024
Je venais de quitter ma mère au téléphone lui disant que j'allais certainement rentrer à l'auberge ou bien me faire un trajet de métro et rentrer à pieds (j'adore me faire des tours de métro sachez-le).
Dans la station, je remarque un garçon qui m'a interpellé : son charme, ses nombreux tatouages et ce qu'il dégageait. J'écris directement à une amie "Je viens de trouver l'amour de ma vie, il est juste à coter de moi". Le métro arrive, peu de place on se serre tous, lui et moi comprit. Deux stations plus loin le métro se vide un peu, je savais que j'avais beaucoup de temps devant moi avant le terminus alors je décide de sortir mon livre "Rêveries du promeneur solitaire" de Rousseau. Je le vois se pencher, tentant de lire le titre. Alors, tout naturellement je lui montre ce que je lis. Puis il me dit "Tu lis ça pour la fac ou pour les cours" EN FRANÇAIS ? Je lui réponds que c'est pour le plaisir, lui me dit que personne ne lit du Rousseau pour le plaisir, que ce n'est pas possible.
On commence désormais à faire connaissance, me demandant qu'est-ce que je fais dans un métro à Vienne et à cette heure-ci (il devait être 21h30). On discute pendant deux trois arrêts jusqu'à que le chauffeur annonce que le métro a un soucis et que nous sommes tous obligés de descendre à la prochaine station. On se dit que c'est le destin, qu'on doit continuer cette conversation. Alors, on marche, on parle de nos vies, de nos auteurs préférés, de nos lectures.
On tombe sur un bar, par chance il fermait dans 30 min mais on a pu quand même commander. Heureusement, cet inconnu parle français car sa mère est née en France, qu'il a été au lycée français à Vienne et qu'il avait fait deux ans de prépa à Paris. Mais ce qui voulait dire qu'il était bilingue allemand (merci la vie j'en pouvais plus de commander et de commander en anglais surtout). Dès qu'on s'assoit, il sort son carnet et écrit directement la date du jour, mon prénom, la ligne de métro où on s'est rencontrés et écrit "couleur de cheveux inconnu" (nous n'avions pas réussit à déterminer si j'étais rousse ou si j'avais les cheveux rouges).
Je passe les détails sinon ce post ferait 10000 lignes. On finit par partir du bar, on marchait et il me lance un "Mais en fait on est dans Before Sunrise, on vit un rêve Leyan, je suis sûr que demain quand on va se lever rien de tout ça n'aura exister". Je lui avoue que je n'ai jamais vu ce film, film qui raconte l'histoire de deux inconnus qui se rencontrent dans le train et l'américain demande à la française si elle veut rester avec lui à Vienne le temps d'une nuit. C'était totalement nous, sauf que nous, l'amour était platonique. Comme il m'a dit "C'est la rencontre de nos deux âmes, pas de nos deux corps". Et, je pense que c'est la chose la plus merveilleuse que nos corps ne se soit pas rencontrés. De toute façon, on ne c'est pas parler pour se draguer. C'était spéciale.
Finalement, on se décide d'aller regarder le film dans le hall de mon auberge. Trop de bruits. Il réserve une chambre privative juste pour qu'on regarde le film. On a parler durant tout le film, on coupait le film pour se dire que par moment c'était vraiment nous. Après l'avoir vu, on s'est demandés "Et qu'est-ce qu'on fait quand le soleil va se lever ?". On a beaucoup réfléchit, on s'est dit que le meilleur moyen de continuer ce rêve ce n'était pas de prendre nos contacts. Juste un rendez-vous après ses examens de médecine. Il m'a écrit un poème de Pablo Neruda en espagnol, pour me montrer que je n'ai pas rêver de cette rencontre juste spectaculaire. Personnellement, je lui ai laissé une petite lettre, le remerciant d'avoir une âme aussi pure et saine. On avait l'impression de se connaître depuis toujours et en même temps pas du tout c'était très étrange. Je l'ai laissé dormir, je suis partie au lever du soleil. J'espère qu'il a prit mon message, qu'il a prit cette lettre. J'espère qu'il va venir au rendez-vous. Si un de nous deux ne peut pas finalement, on s'est dit qu'on allait se recroiser un jour de façon anodine, c'était sûr et certain. J'ai quand même mit à la fin de ma lettre "Et si on ne se revoit pas, souviens toi que tu as un visage pour être aimé". Car, c'est totalement vrai. Cet inconnu à un visage pour être aimé (et puis aussi lui rappeler qu'il doit lire du Paul Eluard).
20 notes · View notes
valentine1994 · 7 months
Text
Dispute avec mon copain hier, qui a finie par moi faisant mon sac et claquant la porte à 1h du matin. Deux jours avant qu'on soit sensés signer un contrat pour un appartement ensemble. Ça m'a pris 2 minutes, je pouvais pas faire autrement. J'avais dit "J'ai envie de rentrer chez moi", à quoi il avait répondu "Fais-le alors, mais saches que je t'arrêterai pas et que j'appèlerai pas." Alors j'ai bondis hors du lit - il faut protéger sa fierté... Le seul truc qui aurait pu m'arrêter c'est le fait que j'avais déjà pris ma dose de mélatonine. Bref, je me retrouve à sangloter sur la route, avec mon petit sac sur le dos. Je voyais des couples qui sortaient de leurs Ubers et rentraient chez eux main dans la main, tous beaux. Moi je faisais peur, je le sais parce que j'ai vu mon reflet dans le miroir de l'ascenseur. J'étais plus en colère contre moi-même que contre lui. C'est ça le plus douloureux dans l'histoire. Des disputes on en a eues, mais cette fois-ci le coupable est à l'intérieur de moi, c'est mon anxiété sociale et la façon dont elle me paralyse, me gâche la vie. C'est elle qui est responsable du petit drame d'hier.
Ça a commencé par une soirée Monopoly avec ses soeurs. Ça rend la dispute presque drôle. À chaque fois que je rencontre sa famille je suis paralysée par l'angoisse, et le fait de parler suédois avec eux arrange pas les choses. Les mots sortent pas, je suis silencieuse et m'en veux d'être silencieuse. Je me force à parler et tout ce que je dis est maladroit, les larmes me montent aux yeux, je veux rentrer chez moi, respirer à nouveau. Bref, hier ça avait malgré tout bien commencé, même si j'étais fatiguée après une journée de boulot. Ça a mal tourné quand elles ont mis de la techno, monté le son et se sont mises à danser autour du Monopoly. Là mon corps tout entier s'est paralysé et j'ai fixé le plateau de jeu pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Dans la voiture sur la route du retour mon copain m'a à peine adressé la parole et la paranoia a commencé à faire son petit bonhomme de chemin dans ma tête. Je pouvais rien dire parce que sa soeur était dans la voiture avec nous. Mais je savais qu'il trouvait que j'avais été désagréable avec ses soeurs. C'est super important pour lui que ça se passe bien avec ses amis et sa famille, que je sois intégrée.
"L'intégration", le concept autour duquel ma vie tourne depuis que je suis arrivée en Suède. J'ai essayé de m'intégrer dans ma coloc, au boulot, à l'université, avec sa famille et ses amis. J'essaie de parfaire mon suédois à côté des études et du boulot, je m'adapte, je regarde personne au supermarché et je dis pas "bonne journée au revoir" à la caisse du supermarché. Je dis juste "merci" comme tout le monde et je me casse. Je coupe plus la parole, j'attends mon tour pour parler et quand je le fais je regarde tout le monde dans le groupe. J'ai des opinions modérées. Je me place à un mètre de distance des autres quand je fais la queue et je marche jamais sur les pistes cyclables. J'ai perdu mes couleurs, et pour régler ça je suis une thérapie cognitivo-comportementale dans un CMP suédois. Je paie 200€ par mois pour faire du yoga avec des jeunes mamans qui travaillent dans le domaine de la culture et adorent la France, c'est à dire Aix-en-Provence et Paris. Mais hier j'ai fais l'erreur d'être silencieuse à la table du Monopoly, et maintenant mon copain est inquiet, il se demande si je réussirai un jour à m'intégrer.
Hier il m'a demandé de prendre mes responsabilités. Je sais pas si c'est le fait d'avoir fait l'armée, d'être capricorne ou tout simplement suédois qui le fait dire ça. Peut-être un mélange des trois. Selon lui, il faut avoir besoin de personne dans la vie. Il vis pourtant à 10 minutes de chez ses parents et a un papa qui est allé le chercher chez le médecin la semaine dernière, avant de lui faire des courses. Tous ses amis sont des amis d'enfance sur qui il pourra compter toute sa vie. Ce que je veux dire c'est qu'il a un filet de sécurité immense en dessous de lui. Et maintenant je vais comparer sa situation avec la mienne, je sais que je devrais pas comparer mais je vais le faire. Je suis partie à l'étranger toute seule et ai réussi à m'en sortir toute seule et la semaine dernière je devais noter le numéro de téléphone d'une personne de confiance quelque part, et j'avais que lui. Hier quand je faisais ma petite crise d'angoisse silencieuse devant le Monopoly j'attendais juste une main sur mon épaule, parce que je sais qu'il a vu. Mais j'ai eu que du silence en retour, et dans le lit il était presque collé contre le mur pour être trèèèès loin de moi. Il est presque midi et je sais qu'il appèlera pas aujourd'hui, et demain on doit signer le contrat. Ou plutôt, il doit signer le contrat parce qu'ici c'est pas mon pays.
27 notes · View notes
th3lost4uthor · 2 months
Text
Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (10.2/15)
Hum… Professeur ?
Oh, Dérelian ! Tiens, tant que tu es près de l’armoire à pharmacie, pourrais-tu m’apporter les deux bocaux de- ?
D’Arnica et d’Aloe Vera ? Tss… Vous… Vous êtes encore blessé durant votre séance de recherche avec ces… Méchasmes.
Ce n’est pas leur nom… Et tu le sais très bien.
Pourtant ils sont bien faits de métal et propage leurs miasmes de mort sur-
Ça suffit ! Je ne veux plus entendre ce mot, en particulier dans ta bouche. Notre peuple s’apprête à rentrer dans une nouvelle ère grâce à cette rencontre tombée du ciel – pour une fois, j’en remercierai presque la Déesse, haha ! Les Enfants d’Erasme n’ont fait que se montrer compréhensifs et ouverts à l’échange depuis leur arrivée : jamais nous n’avions autant progressé en si peu de temps.
Ce n’est pas le cas de tous…
Ah… Je vois. Tu veux parler des « récolteurs », hum ?
Cet « Orgonax »… Il a failli réduire notre dernière récolte à néant avec son rayon. Et les Collines du Printemps n’ont plus de vert que leur nom depuis qu’ils ont commencé à… aspirer le Wakfu. C’est comme si… Tout était mort et plus rien ne pourrait jamais pousser là-bas. Plus rien ne pourrait y vivre.
Dérelian ?
… ?
Sache que… Je compatis à ta douleur. Moi aussi, cet Orgonax et ses, hum, frères, ne m’inspirent pas confiance. Mais, ils ne sont pas tous comme lui. De plus, tant que Zinit les tient à l’œil, nous ne risquons absolument rien.
Hum…
Et puis, tu connais ton vieux professeur, hein ? Il a beau avoir plusieurs millénaires au compteur, il sait encore se défendre ! Ou alors est-ce que tu douterais de lui ?
Haha !
.
.
Mais… Promettez-moi de faire attention à vous quand même.
Je te le pro-
Non ! Jurez-le-moi. Faites-le sincèrement.
Ahh… Dérelian. Je te l’ai dit, je ne risque rien : Aroh n’est pas…
Comme les autres ?
… Aroh est… différent.
Tss.
Bon… Dérelian ?
Regarde-moi s’il-te-plaît ?
Hum ?
Je te promets que je ferai attention.
Et… que vous reviendrez en un seul morceau cette fois-ci ?
Promis, juré, si je mens je me coupe la barbe ! Allez, maintenant efface-moi donc cette moue renfrognée, car un mauvais flux de Wakfu, et tu resteras coincée avec elle toute ta vie !
Héhé, bon, c’est d’accord.
.
Faites attention, professeur…
.
.
Revenez à la maison sain et sauf.
Tumblr media Tumblr media
C’est ça ! Tu te débrouilles de mieux en mieux, Qilby.
Merci, Aroh. Et je dois dire que toi aussi, tu parviens de mieux en mieux à former tes phrases. Elles ont perdu ce petit côté…
Coincé ? Comme pour indiquer quelque chose d’exagérément compliqué ?
Oui, oui on peut dire ça, haha !
.
.
Dis…
Oui ?
Est-ce que tu n’as jamais eu envie de… de partir ?
Que-Quoi ? Jamais je ne pourrais abandonner ma famille ! Jamais, je- !
Non, non ! Je ne pensais pas à ça ! Simplement à … Voyager ?
C-c’est-à-dire ?
Eh bien… À chaque fois que j’évoque nos escales à travers le
Tumblr media
, le… Krosmoz ? C’est cela ?
Hum, hum…
Eh bien, à chaque fois que j’évoque nos voyages, tu sembles si… rêveur, Qilby. Comme si… Comme si tu aimerais toi aussi en faire partie.
S-si jamais je me suis trompé, je te pris de bien vouloir me pardonner ! J-je voulais j-juste savoir si- !
Non. Non, tu… Tu as raison.
Tumblr media
Je crois que… Je crois qu’ici, sur cette planète, j’entends… À rester comme ça, indéfiniment, je… je ne trouverai pas ma place. Je crois que- Non, je sais que…
Je sais que je ne peux pas rester.
Mais…
J’aime ma famille ! Je l’aime sincèrement ! Et je ne veux pas qu’ils…
L’un n’empêche pas l’autre, Qilby.
C-comment ça ?
Si jamais c’est ce dont tu as besoin, les tiens devraient pouvoir le comprendre, non ?
Et puis, rien ne t’empêcherait de revenir de temps à autres ? Nous autres, Enfants d’Erasme, n’avons pas l’habitude de retourner sur des planètes que nous avons déjà visitées car cela mettrait alors en péril leur processus de régénération. Mais jamais encore n’avions-nous rencontrer des créatures telles que les Éliatropes capables de maîtriser cette énergie ! Nous pourrions alors voyager un peu, avant de revenir voir ta famille, échanger à nouveau avec eux, avant de repartir ?
Oui, ça- Mais, et Shino- ?
Ta sœur serait la bienvenue parmi nous, Qilby : Zinit a plus de force qu’il n’en faut pour porter un dragon en plus de plusieurs tonnes de métal !
Tu- ?
Oui, je lui ai déjà demandé, et il est d’accord. Pareil pour les autres ; même si, tu t’en doutes, Orgonax n’a pas été facile à convaincre. Heureusement, cette grosse brute ne peut rien me refuser !
Il faut dire que… cette idée me taraude depuis un petit moment et… je cherchais juste le bon moment pour, enfin… Te demander si… Qilby ?
Qilby ?!
Tumblr media
Qilby, répond- !
Aroh ?
Tumblr media
- oui ?
J’aimerai… beaucoup ça.
Voyager…
.
Avec vous tous.
Avec toi.
Tumblr media
Shin’ ? Tu es là ?
Dans la cuisine, mon frère ! Tu tombes bien ! J’étais justement en train d’expérimenter une nouvelle forme de crème pour mes « Bouchées à la Dragonne » et je me demandais si tu voudrais bien… ?
Oh, mais bien sûr, c’est toujours un plaisir que de goûter à tes créations, tu le sais ! J’aurai également besoin de te parler un moment si tu es disponible après cela ?
Quelle question ! Pour toi, j’ai tout le temps du monde, Qilby.
Héhé, merci soeurette. C-c’est à propos d’Aroh, je…
Shinonomé ?
La crème peut attendre. Assis-toi, Qilby. Je t’écoute.
.
.
Et c’est ainsi que… Qu’Aroh m’a proposé de les accompagner pour voyager à travers le Krosmoz.
Hum…
M-mais il m’a assuré qu’ils r-reviendraient sur notre planète régulièrement ! Enfin, p-pas trop pour éviter de la v-vider de son Wakfu, hein ? Mais assez pour que… je puisse être là ? Bon, je raterai peut-être un a-anniversaire ou deux, mais j’ai déjà assisté à des milliers, donc… ? Je devrai au moins être là pour chaque réincarnation !
Et tu p-peux même venir, Shin’ ! Bien sûr que tu es libre de c-choisir : je sais à quel point tu aimes notre famille ! Tu l’aimes autant que moi, mais- ! C’est juste que… j’aimerai beaucoup que… Tous les deux on- ! Enfin… Comme on en a toujours rêvé, Shin’, imagine un peu… !
Shin’ ?
Je t’en prie, Shin’, d-dis quelque chose. Tu sais que j-j’ai horreur de ça quand tu-
Qilby ?
O-oui ?
Je vais être honnête avec toi, mon frère.
Comme je l’ai toujours été et le serai toujours…
Au début, j’avais peur que ces créatures ne soient… qu’un nouveau passe-temps pour toi. Que tu n’y voies qu’une nouvelle source de divertissement pour cette tête aussi débordante d’imagination mais aussi insatiable que la tienne.
Merci ?
Mais aujourd’hui, je vois qu’elles t’ont apporté plus que quiconque pourrait le faire… Plus que moi-même.
Shin’…
Non, écoute-moi, Qilby. Ils…
Ils ont rempli le vide de ton cœur, Qilby.
Ce Aroh… Je vois à quel point il te rend heureux.
Je ne t’avais pas vu sourire ainsi depuis des siècles, mon frère !
Je sais que notre… situation, à tous les deux, n’a pas été des plus faciles à vivre. Nous faisons figure d’exception parmi nos frères et sœurs. Et tu as été si… courageux Qilby. À chaque naissance, chaque incarnation, chaque… perte.
Mais je vois aujourd’hui à quel point cela t’a coûté.
Alors, si jamais tu penses que cela est la meilleure solution,
pour toi, pour notre famille…
Va, Qilby.
.
.
Shin’… ? M’accompagneras-tu ?
Voyons, mon frère, tu devrais le savoir depuis le temps.
Là où tes pas te guideront,
mes ailes me porteront.
Tumblr media
Qu’est-ce qu’ils croient ? Hein ?! Qu’on va se laisser faire ? Qu’on va les laisser vagabonder sur nos terres et piller le Wakfu, notre Wakfu, comme s’il s’agissait de vulgaires grains de blés ?! Nous avons passé tant d’années et d’effort à construire ce monde ! À nous y faire une place ! Et eux, ils… ! Ils… !
C-chibi, calme-toi, tu-
Oh, je t’en prie, Mina ! Ne me fais pas croire que toi aussi tu es tombée sous leur charme ? Que toi aussi tu veux aller batifoler dans les montagnes avec eux comme s’ils s’agissaient de nos plus chers et tendres amis ?
Chibi, mon frère, parle donc moins fort, tu veux ?
Et alors ?! Tu croies que j’ai peur d’eux, Glip ? Au contraire, qu’ils s’amènent ! Si Mina et Phaéris n’étaient pas intervenus ce matin, j’en aurai déjà transformé un en pièces détachées ! Le mois dernier, ils ont vidé un lac de moitié, et celui d’avant, ils ont rasé une prairie entière !
Je comprends ta colère, Chibi, mais… Tu voies bien qu’ils ne font que se nourrir ? Que tenter de… survivre ? Et puis, il nous reste encore bien plus qu’il nous en faut pour-
Ah ! Le discours que j’attendais ! La disculpation par association ! « Mais nous aussi nous avons besoin de puiser dans le Wakfu pour vivre, Chibi ! », « Nous devons même tuer des animaux et des plantes, Chibi ! », « Tant que nous posons des limites et les faisons respecter, tout ira bien, Chibi ! »…
Et jusqu’à aujourd’hui, nous sommes toujours parvenus à les-
ILS ONT TUÉ YUGO !!
.
Chibi… Tu sais bien que ce n’est pas…
C’est du pareil au même.
Chi-
Ça suffit !
Je ne veux plus en parler.
.
De toutes manières, vous allez voir. Ce ne sera pas long avant qu’ils ne montrent leur vrais visages… Même lui ne pourra plus jouer à l’aveugle plus longtemps.
Chibi, ta voix.
Lâche-moi la grappe, Glip ! Tu ne peux pas nier que depuis leur arrivée, on ne l’a jamais vu autant hors de son fichu labo ! Et lui qui était si… inquiet de tout, voilà qu’il veut que nous fassions ami-ami avec des créatures qui pourraient nous écraser d’un simple doigt. Ils… ravagent nos terres, puisent dans notre Wakfu, et lui… Il ne fait rien, ne dit rien. Il s’amuse à dessiner des symboles à même la boue avec le plus petit de ces… « Méchasmes ».
Mais il est également intervenu pour vous sauver toi et Efrim, ainsi que pour sceller une alliance entre nos deux races. Qil-
Ça suffit !
.
.
Qilby a trahi la mémoire de Yugo en s’alliant avec ces monstres.
.
Qilby nous a trahis.
Tumblr media
Vous… n’y voyez donc pas d’inconvénients ?
Ta cause -Aroh- Plaidé Avoir
Zinit -Reconnaissant- Tes efforts -Être-
Merci, je… Merci. Je sais bien que cela n’a pas dû être un choix aisé, pour vous comme pour votre peuple, mais… Votre bienveillance me touche, Zinit.
Enfant de l’étoile Bleue -Une question- Demeurer
Qu-Oui ? Qu’y-a-t-il ?
Toi -Enfants d’Érasme- Toujours -Défendre-
Mais -Ta famille-
Oh ! Shinonomé vous porte également dans son cœur et-
Tumblr media
Dragon Rubis -Shinonomé- Problème -Pas Être
Et -Qilby- Savoir
Frères et Sœurs -Enfants de l’Étoile Bleue- Éliatropes
Peur et tristesse -Leurs âmes- Se noyer
Enfants d’Érasme -Méchasmes- Devenir
J-je suis désolé… ! Il faut les comprendre, ils- !
Leur Cœur -Perdu- Être
Zinit -Voir-
Zinit -Pardonner-
Mais -Enfants d’Érasme- Imparfaits -Être-
Enfants de l’Étoile Bleue -Ressembler-
Nous… Nous sommes tous différents…
Qilby -Intelligent- Être
Zinit -Pardonner- Pouvoir
Mais ce ne sera pas forcément le cas pour les autres…
.
Dernière question -Répondre-
J’avouerai qu’après notre discussion, je ne suis pas certain de pouvoir accéder à cette requête, mais… je ferai de mon mieux.
-Sage réponse-
Zinit -La colère- Contenir
Aroh -La paix- Avec Qilby -Chercher-
Mais… ?
Paix -Éphémère- Toujours -Être-
Enfants d’Érasme -Tensions- Sentir
Quand -Guerres- Éclater
Un camp -Choisir-
Je… Nous ne sommes pas obligés d’en arriver jusque-là, n’est-ce pas ? Ce n’est qu’une question de temps et de… confiance ? Aroh et moi étions justement en train de réfléchir à organiser un grand rassemblement dans les jours à venir ! Je suis certain que nos plus jeunes pourraient nous aider à convaincre leurs parents que-
Efforts -Parfois- Pas assez -Être
Mais…
-Qilby-
… ?
Pas toujours -Notre faute- Être
-Parfois-
Peur -Gagner-
.
-Parfois-
Un camp -Choisir- Devoir
Tumblr media
Mina ?
Ah ! Qilby, c’est toi ? Par la Déesse, tu m’as fait peur !
Haha, pardonne-moi ! Tu paraissais tellement absorbée par ces roses que j’ai bien cru que tu pouvais les entendre.
Tu ne devrais pas autant négliger la parole des fleurs, mon frère, tu pourrais être surpris par toutes les choses qu’elles ont à raconter…
Je n’en doute pas un seul instant. En particulier, celles-ci. Peut-être, l’histoire d’un chevalier chevauchant un dragon au souffle puissant et d’une princesse à la robe d’azur, qu’en penses-tu ?
Humpf, j-je suppose.
Oh, ne te fâche donc pas Mina, je plaisante. Je voulais juste… détendre l’atmosphère, c’est tout.
Et pourquoi cet effort ?
.
J’ai besoin de tes conseils, Mina.
.
.
Voilà. Tu as toute l’histoire à présent.
Je vois… Et ?
Et ? Honnêtement, je… Je ne sais pas.
D-dois-je accepter ? Dois-je partir ?
Vous êtes ma f-famille, Mina, vous tous. Mais je crains que cette décision ne soit… mal interprétée par certains. Et si Shinonomé part avec moi, alors… Vous serez livrés à vous-mêmes. Que faire si jamais une catastrophe ou une é-épidémie survenait ? Pourrez-vous les surmonter sans nous ? Si l’un de vous risquait de… de mourir. Si je ne suis pas là alors que j’aurai pu… ! Dis-moi, Mina, est-ce qu’en faisant cela…
Est-ce qu’en choisissant de partir, je… je vous trahirais ?
.
.
Nous sommes différents. Toi et Shinonomé : vous n’êtes pas comme nous autres. Vous vous souvenez de tout ce qu’il s’est passé… avant. N’est-ce pas ?
Tu- ?
Ha, disons que c’est une intuition. Ou, qui sait, peut-être « l’infinie sagesse » dont m’a fait cadeau notre Déesse… ? Quoiqu’il en soit, il semblerait qu’elle et le Grand Dragon vous aient faits différents de nous autres, voilà ce que je retiens, Qilby. Vous êtes différents.
Mais… Cela ne change rien au fait que nous formons une famille, Qilby. Grand-frère Qilby peut-être ?
Mina…
Et au sein d’une famille, l’on s’entraide. On échange, on communique. Il arrive parfois que nous ne soyons pas d’accord, mais l’on cherchera toujours à surmonter ces difficultés, car on sait, au fond de nous, que l’on ne peut pas vivre seuls.
Pourtant, parfois… Il arrive des moments où l’on ne peut plus réparer ces fissures, car elles ont fini par devenir trop nombreuses… Trop profondes. Et c’est alors que nous devons-
Non… Pitié…
Hum ?
Ne me demande pas ça…
Q-Qilby, mais enfin… ?
Ne me demande pas de choisir, toi aussi ! Ne me force pas à choisir ! Je- ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas !
Qilby…
Pitié, Mina… Tout mais pas ça…
.
Qilby?
Hum?
Chibi, Glip, Nora, Yugo et moi-même… Nous sommes condamnés à oublier notre passé. C’est la raison pour laquelle, je pense, certains sont aussi attachés au présent. Ils veulent défendre ce que nous possédons aujourd’hui, car ils ne savent pas ce que nous avons déjà pu perdre hier. Ils ont peur que nous perdions tout ce que nous avons mis à construire… Mais toi, Qilby, tu sais déjà tout cela, hum ? Tu l’as déjà, en quelques sortes, perdu.
Mais je ne veux pas vous- !
Je sais, je sais… Ce que je veux dire, c’est que ton don t’a offert le passé. Le problème, c’est qu’il t’y enchaîne… au point que tu ne puisses plus y voir ni présent, ni avenir.
Alors… Que dois-je faire, Mina ?
Ce n’est pas à moi de te donner une réponse, Qilby. Moi aussi, j’ai oublié. Moi aussi, j’ai peur. J’ai peur de voir notre peuple courir au-delà du danger, j’ai peur de voir ceux que j’aime périr… J’ai peur de te voir partir, toi aussi, Qilby.
Cependant… Plus encore, j’ai peur de te voir souffrir. Et je vois bien que… Cette « situation » ne te convient pas, ou du moins plus autant qu’elle a pu te convenir autrefois. Nous avons changé, mais toi, tu es resté le même. Ce voyage dont tu parles… Il comporte de nombreux risques, autant pour vous deux que pour nous. Mais voilà ce qu’ils sont : des risques. Et… Je te croie capable de les surmonter, Qilby, car de nous tous…
.
Tu es le seul fait pour voyager.
.
.
Merci… Ma petite luciole.
Tumblr media
Où dois-je mettre cette caisse ?
Oh ! Par ici, s’il-te-plaît ! Et fais attention, elle contient du matériel relativement lourd et-
Qilby, dois-je te rappeler que je peux soulever jusqu’à dix fois ton propre poids ?
Tss, ça va, pas la peine de frimer !
Tu veux dire que je ne dois pas… « Rouler des mécaniques » ?
Hahahaha !
.
Bon, je crois qu’avec ce dernier chargement, tout sera prêt.
Oui, qui aurait cru que ton laboratoire contenait autant de-
P-professeur ?
Dérelian ?!
.
.
Vous aviez promis de… Vous m’aviez promis !
Je ferai attention à moi, et puis, je-
Pourquoi avoir caché que vous- ?! Alors c’est comme ça que vous avez décidé de partir ?! Dites-moi au moins que vous aviez prévu de- !
Dérelian… Tu sais que je ne pouvais pas-
Menteur ! Vous auriez pu m’en parler ! Vous auriez même DÛ m’en parler !
Jeune fille, je vous assure que Qilby ne-
Toi, le monstre ne me parle pas !
Dérelian !
C’est à cause de vous, pas vrai ?! C’est à cause de toi qu’il veut nous quitter !
Vous… Vous m’aviez promis que…
Dér- Qu’est-ce que tu fais !?
Si vous avez décidé de vous comporter en lâche, alors je me donne le droit de faire de même !!
Non !
.
.
A-aroh… ! S’il-te-plaît… !
Qil-by ? Et la fille… ?
Dérelian, elle… Elle est…
Je vois.
Tumblr media
Il faut croire que… L’élève tient du… professeur, hé ?
C-ce n’est pas le moment de p-plaisanter ! Dis-moi ce que je dois faire ! C-c’est quoi ce liquide violet ? Pourquoi est-ce qu’il y en a a-autant ?
L-le boitier… Prends… Prends-le…
Très bien, l’espèce de cristal ? C’est fait, j-je l’ai ! Maintenant, q-qu’est-ce que j’en fais ?
A-aroh ! Dis-moi comment je peux t’aider ! Qu’est-ce que j’en fais ?!
Tumblr media
AROH ! COMMENT ?! DIS-LE-MOI !!
.
Tumblr media
.
.
Adieu, à toi aussi…
Tumblr media
-trois blessés. Dix morts.
T-tant que ça ? Mais enfin, hier il-
C’est terminé, Mina.
Chibi ?
Glip, ordonne l’évacuation des Quartiers Nord. Condamnez la Galerie de l’Hiver et allez mettre nos Dofus en lieu sûr. L’Arcaneum devrait faire l’affaire.
.
.
Encore… ? C-c’est le quatrième depuis ce matin… !
Mina. Il va falloir riposter.
M-mais… Ce ne doit être qu’une effroyable méprise, nous-
Mina !
C’est terminé, Mina.
.
Et Qil- ?
Ne prononce pas son nom !
.
Ils ont demandé un… « tribut » pour le sang des leurs. Ce « Aroh »… Peu importe ses intentions initiales, il faut regarder la vérité en face : sa mort nous coûte bien plus que sa vie ne nous a jamais apporté !
Tu as raison Chibi. Quels sont tes ordres ?
Glip… ?
Il a raison Mina, nous ne…
Nora, alors toi aussi tu- ?
Nous ne pouvons pas continuer ainsi. À laisser les nôtres se faire massacrer !
Ne devrions-nous pas alors demander à… à Qilby ?
Et pour quoi faire, hein ?! Cela va faire deux semaines qu’il n’est pas sorti de son foutu trou à rat ! Même Shinonomé n’est pas parvenue à l’en faire sortir !
Peut-être, mais…
C’est trop tard, Mina.
.
Nous avons tenté d’établir la paix…
.
.
Mais la paix est faite pour être rompue.
Tumblr media
Qilby -Jusqu’ici- Venir
La peine -Dans tes yeux- Zinit -Lire-
Le feu -Sous la Montagne- Sentir
Le Dragon Rubis -Shinonomé-
Elle est morte.
.
J’ai… J’ai échoué, Zinit. Je ne suis pas parvenu à… à choisir. Mais avant de partir, je voulais…
Partir -Toi- Vouloir
Mais -Nulle Destination- Avoir
-Qilby-
Zinit -Ta rage- Voir
Ta peine -Compatir-
Mais -Dernière chance- Exister
.
.
Alors vous voulez dire que… Ce cube. Le…
Chacun -Sa place- Avoir
Orgonax – Le Corps
Zinit – La Tête
-Aroh-
Le cœur…
.
Nous pourrions… ! Oui ! Cela devrait fonctionner ! Il y a juste encore assez d’énergie pour- ! Mais… et vous ? Et les vôtres ?
Enfants d’Érasme -Seuls- Survivre
Demain -Un nouveau Zinit- Naître
Zinit -À vos côtés- Dernier voyage -Mener-
Et Orgonax… ?
Il… Il ne s’arrêtera pas, n’est-ce pas ?
Aroh -Son cœur- Être
Protéger -Sa mission- Demeurer
Je comprends. Alors… Nous ne cesserons jamais de fuir. Nous ne… trouverons jamais la paix. Mais si c’est le seul moyen, alors…
Un espoir -Exister-
Vraiment ? J’ai du mal à le concevoir.
Ton cœur -Meurtri- Être
Mais -Avenir- Enfants de l’Étoile Bleue -Avoir-
Étudier -Orgonax- Devoir
Vaincre -Orgonax- Pouvoir
Cela est-il… possible ? Et, pensez-vous seulement que cela soit… juste ? Après tout ce que nous… ce que j’ai- ?
Qilby
Tumblr media
Désolé -Mon coeur- Être
Car -Seul- Désormais -Toi- Rester
.
.
Nos Routes -Aujourd’hui- Se séparer
Mais -Notre cœur- Avec toi -Demeurer-
.
Et -Le tien-
Avec -Nous-
Tumblr media
Qilby !! Qilby ! Les lumières du Cadran Sud ont encore sauté : on manque d’énergie ! Il faut absolument qu’on- !
Je sais, Chibi, je sais !
Et le Cube ? Où ça en est ?
Tes… Tes plans ont fonctionné. Il est stable à présent.
Ah ! Enfin une bonne nouvelle sur ce maudit rafio !
Un peu de respect, je te prie. Il s’agit de-
Je ne veux même pas entendre ce nom, c’est clair ?
Chi- !
Il est un peu tard pour ce genre de considérations, Qilby. Retourne à ton poste.
.
Chibi ! Qilby ! Je crois qu’on a encore perdu en vitesse par rapport à tout à l’heure, vous devez venir voir ça !
Hum… Je prends la salle des machines.
Très bien, je m’occupe du tableau de bord.
.
J’ai f-froid… J’ai s-si froid… !
Je sais, petite étoile, je sais… Tiens, prends donc cette couverture et va te blottir avec les autres là-bas. Ça va aller.
D-dites, P-professeur Qilby, pourquoi est-ce qu’il fait si noir dehors ?
Eh bien, c’est ce que l’on appelle… le vide du Krosmoz.
M-mais le Krosmoz n’est pas censé être p-plein de Wakfu ?! Pourquoi on ne peut presque plus le s-sentir ? Est-ce que c’est le vide qui l’a m-mangé ?
Est-ce que n-nous aussi le vide, il va n-nous… ?
Hey… Kamide, c’est ça ?
Hum ?
Dis-moi, Kamide... Est-ce que l’on t’a déjà montré la constellation du Grand Dragon ?
.
.
Et là ?! Et là ?!
Là, il s’agit de l’étoile du Casterneau. Vous voyez, les trois trainées lumineuses qui s’opposent à l’étoile du Pic ? Et bien l’on raconte qu’un jour, un Casterneau, le cœur ampli d’ambition, souhaitait cueillir la plus belle fleur de la montagne la plus haute et dangereuse qu’il soit, ce pour l’offrir à sa dulcinée…
C’est quoi une dulci-nez ?
Dulcinée, son amoureuse.
Moi je l’savais !
Pas la peine de t’la ramener, Bwananas !
Haha, du calme, du calme !
Et après ?! Après ?!
Alors, incapable de voler jusqu’au sommet, il décida de construire un barrage gigantesque pour aller chercher son bien. Cependant, pris dans son élan, et rejetant une à une les fleurs qu’il croisait lors de son ascension, il finit par monter si haut… ! Si haut… ! Si haut qu’il finit par percer le ciel pour atterrir parmi les étoiles !
Waaahh…
Et aujourd’hui encore l’on raconte qu’il cherche à travers cette infinité dans l’espoir de trouver celle digne de sa chère et tendre…
.
.
Hey… Shin’ ?
Comment… ?
Comment faisions-nous au départ déjà ?
Tu sais, quand… Nous étions que tous les douze ?
Je me souviens… Des repas ensemble, des bains à donner, des couches à changer… Des moments de jeux, mais aussi ceux de… Enfin bref.
.
Mais, c’est étrange, Shinonomé, car même si… si nous avons pu sauver pas mal des nôtres. Si notre famille est parvenue à survivre, je…
.
Tu me manques, Shinonomé.
~ Fin de la partie 2/3 du chapitre 10
12 notes · View notes