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#buée
roxannebee · 2 months
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Les mots d'amour du miroir.
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gbrlclvc · 6 months
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dixvinsblog · 1 year
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Laurent Sallé - la buée de mon écho…
Le silence du rayon tissela respiration d’une étincelleLe patchwork d’un murmuredépollinise la ramurede ton ombreOr la vague de l’attente ferlela rosace de ton sourireparmi une goutte d’arc-en-cielsur la commissure de ton soufflequi cautérise la buée demon écho…
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unesimplevie · 5 months
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" Je suis toujours étonné de voir le peu de liberté que chacun s'autorise, cette manière de coller sa respiration à la vitre des conventions, et la buée que cela donne à empêcher de vivre, d'aimer".
Christian Bobin
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lafilledesoie · 11 months
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Être dans la nature ainsi qu'un arbre humain, Étendre ses désirs comme un profond feuillage, Et sentir, par la nuit paisible et par l'orage, La sève universelle affluer dans ses mains!
Vivre, avoir les rayons du soleil sur la face, Boire le sel ardent des embruns et des pleurs, Et goûter chaudement la joie et la douleur Qui font une buée humaine dans l'espace!
Sentir, dans son coeur vif, l'air, le feu et le sang Tourbillonner ainsi que le vent sur la terre. - S'élever au réel et pencher au mystère, Être le jour qui monte et l'ombre qui descend.
Comme du pourpre soir aux couleurs de cerise, Laisser du coeur vermeil couler la flamme et l'eau, Et comme l'aube claire appuyée au coteau Avoir l'âme qui rêve, au bord du monde assise...
Anna de Noailles, Le vie profonde
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sous-le-saule · 10 months
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Je suis en vie
Dans les fictions, les flics disent toujours que les 48 premières heures après une disparition sont cruciales. Cela faisait 50 heures que j’avais signalé la disparition d’Alice.
Je restais là, planté devant le lavabo, avec l’eau chaude qui coulait depuis je ne savais combien de temps, incapable d’une tâche aussi simple que me débarbouiller le visage.
Une partie de moi, lointaine, s’étonnait de ne pas être en état d’arrestation. La femme et, 15 ans plus tard, la fille ? Qui pouvait croire une coïncidence pareille ?
Mais, au fond, cela importait peu. Je voulais juste savoir si Alice était encore en vie. Sa mère aurait-elle eu ce légendaire instinct maternel qui lui aurait fait dire : « Elle est en vie, je le sens » ? Moi, je ne sentais rien, et j’en avais honte.
Je ne savais qu’une chose : Alice ne m’aurait pas fait ça.
La police pensait le contraire, évidemment. Une ado avec des problèmes à l’école, une dispute récente avec son père, et aucun indice ne laissant supposer un enlèvement ? Ca sentait la fugue à plein nez. Ils m’avaient demandé si des affaires manquaient dans sa chambre, et j’avais avoué, mortifié, que j’étais incapable de leur répondre. Son sac à dos, oui, mais ça ne voulait rien dire. Comment pouvais-je savoir s’il manquait de l’argent ou quelques vêtements dans cette chambre d’adolescente en désordre permanent et dans lequel j’avais gentiment été prié de ne plus mettre les pieds depuis ses treize ans (« mon intimité, papa, tu comprends ? »).
Ils m’avaient posé des questions pleines de suspicion sur notre relation mais je ne savais pas si c’était le traitement normal réservé au père ou si c’était à cause de la disparition de sa mère.
Elle aussi, sans une trace. Pour autant que je sache, elle était à la maison avec Alice. Quand j’étais rentré du travail, la petite pleurait dans son berceau, seule. Le désordre qui régnait dans la maison depuis sa naissance n’était pas pire que d’habitude. La porte était verrouillée. Aucune valise ne manquait, le passeport de Joanne était toujours là, et il n’y avait de mot nulle part.
Je l’avais cherchée. Pendant des années, je l’avais cherchée. Dans les hôpitaux, chez les membres de sa famille et tous les amis que je lui connaissais, dans la ville et puis dans d’autres, collant des affichettes avec sa photo, sur internet… J’avais longtemps été suspecté. Le mari, évidemment. La thèse du suicide avait fini par prévaloir. Dépression post-partum. Elle s’était probablement jetée dans le fleuve. On retrouverait le corps un jour, ou pas. Mais dans le regard de certains, je voyais bien que le doute subsistait.
Et voilà que je refaisais exactement les mêmes recherches, les mêmes démarches, et je ne comprenais pas comment il était possible que ça m’arrive une fois de plus, ni comment j’allais surmonter l’épuisement sans nom qui me gagnait.
Je me mis à pleurer, devant ce fichu robinet que je ne parvenais même pas à fermer. A pleurer comme un gosse, avec la morve et les gros sanglots qui déchirent la poitrine. Parce qu’Alice devait être morte. Parce qu’elle ne m’aurait pas infligé ce doute en sachant par quoi j’étais passé avec sa mère. Elle n’était pas cruelle. On s’entendait bien. Même si on avait nos désaccords. Principalement sur le fait qu’Alice continuait les recherches alors que je trouvais qu’elle, qu’on, devait aller de l’avant maintenant. C’était ça, notre dispute. La dernière fois qu’on s’était parlé.
Je poussai un cri animal et frappai du poing sur le lavabo. Ca ne pouvait pas être les derniers mots que ma fille avait entendus de ma bouche. Je relevai la tête, prêt à fracasser le miroir embué quand quelque chose arrêta net mon geste.
Il y avait une lettre écrite dans la buée. Un J. Puis un E, à l’envers. Des lettres maladroites s’ajoutèrent laborieusement, comme si les écrire demandait un effort considérable. Longtemps, je restai figé face au miroir, partagé entre la certitude que j’avais fini par perdre l’esprit et la crainte que le moindre mouvement ne fasse disparaitre le message.
« Je suis en vie »
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atchoumthecat · 1 month
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When you're waiting for your friend the squirrel to come visit you, but you fall asleep on the job. 😹😹😴
A very cute bonus is the little fog on the window.
Quand tu attends que ton pote l'écureuil vienne te rendre visite, mais que tu t’endors sur le job. 😹😹😴
Un bonus trop mignon la petite buée sur la vitre.
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abdou-lorenzo · 4 months
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Pas un mot, comme transi, ainsi soient-ils !
Les cœurs battant chamade, ils regardaient
Leur nouveau visage que déjà ils aimaient,
Cette imploration les força à baisser les cils.
Ils restèrent debout dans le cadre obscurci,
De la porte d'entrée qu'ils n'osaient pas franchir,
Lui s'agenouilla sur la marche de l'avenir,
En fermant vite celle du passé et il prit...
Sa main, Une rose tremblait à son corsage,
Le bonheur souriait dans la buée du soir,
Tout s'était tu, le rossignol et l'aigle noir,
Le temps perdu à jamais la fleur de l'âge.
Un absolu silence rendait plus profonde
Cette heure unique, et cependant émerveillés,
Ils entendirent au loin tous les violons du monde
Chanter leurs retrouvailles après tant d'années !
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Quand mon cœur sera sec comme rose sèche,
Les lirez-vous encore mes poèmes d'amour ?
Qui rêve d'un monde sans saisons revêches...
Qu'importe ! si je ne dors que quelques heures,
Sourd à l'actualité mais fidèle aux belles histoires,
Dans ma peau de poète sans mémoire,
Les seules qui reviennent ne parlent qu'au cœur.......💞✨✨
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contremineur · 7 months
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J’ai toujours été un peu mélancolique, et cette tristesse s’incruste même quand je change de couleur de cheveux ou de vernis à ongles, même quand je me blottis contre un homme, comme une bête sauvage qui fait semblant d’être apprivoisée dans un lit, sous un arbre, au parc, dans l’espace restreint d’une banquette arrière, avec de la buée dans les fenêtres. I've always been a little melancholic, a sadness that creeps in even when I change my hair colour or my nail polish, even when I curl up against a man, like a wild animal pretending to be tamed in a bed, under a tree, in the park, in the cramped space of a back seat, with condensation on the windows.
Mélodie Nelson, first line and my translation of La mécanique des désirs (Editions Château d'Encre 2022)
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rechab · 1 year
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Le déroulement conforme de l'émission - ( RC )
Le procès dure depuis plusieurs séances ;l’homme à tête floue est isolé dans une boîte en verre,revêtu d’une tunique jaune.On a soutiré de lui quelques motstransformés en buée indéchiffrable.La cage a été arrosée,l’eau reste sur la paroi,et on n’entend que des bruits indistincts.Les réponses aux questions sont mal formuléesQuand le niveau d’eau montera, nous accentuerons la pression,resserrerons…
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gbrlclvc · 6 months
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 46
Dimanche matin,
Les voisins (Bruno et Arnaud) passent nous chercher pour faire un footing dans " nos " bois.
Marc les fait entrer et leur dit que puisque la piscine vient d'être remise en fonctionnement, il avait plutôt envisagé un peu de natation. Ils sont d'accord mais n'ont pas les maillots de bains avec eux. Marc leur assure que ici cette pièce de tissu est facultative et même fortement déconseillée (rapport aux marques de bronzage). Il fait encore un peu frais mais le soleil est là et le chauffage de l'eau provoque une buée au dessus de l'eau. Je vais contrôler la température, 28°, c'est bon !
Mises à poil à la salle de muscu et par l'escalier extérieur, nous remontons le long de la maison juste couverts de draps de plage jusqu'à la piscine. Arnaud et moi sommes les premiers à laisser tomber les serviettes sur une méridienne et à sauter dans l'eau. Nous sommes vite rejoints par Marc et Bruno. Même si ce n'est pas un bassin olympique, les 10m de long nous permettent une bonne dépense physique et y crawler une heure vaut bien une course à pied. Histoire de fanfaronner devant nos aînés, Arnaud et moi ajoutons un bon 1/4 heure de nage avant de les rejoindre sur la terrasse. Comme nous venions de nous installer prêt à bronzer, Marc nous demande de les enduire de protection solaire. Un rapide aller et retour aux sanitaires du sous sol et nous commençons à étaler la crème sur nos mecs. Chacun le sien, applications, massages, pas un cm² de leur dos ne nous échappe. Après nous être mutuellement enduits, nous avons repris notre séance de bronzage. Installés un peu à l'écart, j'ai pu continuer à connaître Arnaud. Jusqu'à présent nous n'avions abordé ensemble que l'aspect sexuel des choses ! Il est en terminale et compte l'année prochaine entamer son droit pour devenir comme son oncle, avocat. Comme nous sommes situés à quelques Km d'une grande ville universitaire, il ne sera pas obligé de partir d'ici ce qui satisfait tout le monde ! Nous sommes rappelés pour la deuxième face. Les bites à moitié bandantes de nos males, gonflent au maxi sous l'effet de nos mains étalant la protection solaire. Marc me fait pivoter et me demande de l'enjamber afin qu'il me bouffe l'oignon. Bruno l'imite avec Arnaud. Alors que nous nous faisons assouplir l'anus à grands coups de langue, nous suçons les bites qui ne devraient pas tarder à nous défoncer. Sur ordre, nous avons pivoté et nous sommes venu nous asseoir sur leurs pieux. C'est toujours aussi bon de recevoir la pine de Marc dans le cul. Arnaud semble du même avis concernant celle de Bruno. Sans changer de position, nous avons lustré leurs bites par de nombreux aller et retour jusqu'à ce qu'ils nous remplissent de leurs purées. Nous avions les cuisses brûlantes des efforts réalisés et nous nous sommes affalés, dès nos jouissances, sur leurs torses.
Midi étant passé depuis plus d'une heure, Marc leur proposa de rester déjeuner, salades et glaces. Alors que Bruno se faisait prier, ne voulant pas abuser de notre gentillesse, Arnaud avait déjà pris ses repères et venait avec moi préparer le repas à la cuisine. Seulement vêtus de tongs, je couvrais nos nudités de tablier de cuisine. Sexy la vue arrière !
Un bruit de motos dans la cour. Je vais ouvrir la porte et je vois notre trio motards qui descend de leurs engins (Eric, Phil et Luc). Je hurle à Marc resté sur la terrasse de l'autre coté de la maison qu'Eric and Co étaient là. Marc, traverse la maison avec le drap de bain en paréo pour les accueillir. Alors qu'il descendent de moto et quittent leurs casques, nous nous embrassons les uns les autres. Eric nous dit qu'ils étaient partis se balader dans la campagne et qu'il s'était aperçu qu'ils n'étaient pas loin de chez nous. du coup ils étaient passés chez le boucher du village et apportaient 2 énormes cotes de boeuf à mettre au BBQ. Lorsque je fis la bise a Eric, ce dernier me mit la main au cul, commentant ma tenue d'un " mais t'es mignon comme ça " puis, alors qu'un de ses doigts encore ganté de cuir enfonçait mon anus, d'un "y'a pas longtemps que Marc t'a enculé non ? ". Sur le pas de la porte Arnaud matais avec de grands yeux nos trois amis. D'un coup de menton vers lui, Luc me demande qui c'est. Je leur dis que deux de nos voisins sont venu passer la journée et que nous avons décidé de la passer au bord de la piscine. Le mot " piscine " a stimulé Luc et Phil qui ont traversé la maison tout en se déshabillant pour finir par ôter leurs slips sur les margelles juste avant de plonger nu dans l'eau. Eric qui était resté en arrière avec nous, a pu se rendre compte qu'Arnaud portait le tablier comme moi lorsqu'il nous suivit avec Marc à la cuisine déposer la viande. Marc en deux mots lui brossa le tableau. Marc et Eric rejoignirent Bruno puis alors que j'étoffais la salade composée pour faire face à l'afflux de convives, nous avons vu se pointer Phil et Luc, serviettes autour des reins, ramassant leurs combis et autres pièces vestimentaires. Envoyés par Marc, ils me demandaient comment aider. Je les envoyais chercher le BBQ et le charbon de bois remisé dans les communs pendant que j'apportais le plateau apéro sur la terrasse. Lorsque tout le monde fut là, Marc fit les présentations en re précisant que nous étions dans une zone " naturiste ". Eric se mit au diapason et alors que le charbon de bois chauffait, nous avons pris l'apéro tous dans le plus simple appareil. Arnaud ne pouvait s'empêcher de mater les nouveaux venus. Ses yeux passaient des jeunes à la grosse (bien qu'encore au repos) bite d'Eric. Est ce nos deux culs mis en valeur par les tabliers où la vision de 4 jeunes corps bien foutus mais nos aînés se mirent à bander. Les yeux d'Arnaud faillirent sortir de sa tête quand la batte de base-ball d'Eric lui colla aux abdos. Marc nous demanda de nous occuper d'eux. Je me jetais sur la bite de Bruno laissant celle de Marc à Arnaud. Phil et Luc s'attelèrent à celle d'Eric. Bruno s'était vite mis dans l'ambiance et ne refusa pas mes attentions. Commentaires admiratifs de Bruno sur le physique d'Eric et surtout sa queue. Luc voyant qu'Arnaud ne cessait de les mater, se releva et poussa Arnaud à le remplacer alors qu'il embouchait Marc. Sous les conseil de Phil, il apprit quelques trucs supplémentaires sur l'art de la pipe. Quand j'avais remis en route la piscine, j'avais pris soin de recharger les tiroirs des tables de jardins de tubes de gel et de Kpotes en quantité. J'enkpotais Bruno, me mettais un peu de gel et à 4 pattes lui demandais de m'enculer. De son coté Eric avait ceinturé Phil et enkpoté entreprit de l'empaler sur son pieu. Arnaud resté dans le trio hallucinait de voir disparaître dans le cul encore blanc de Phil la grosse bite noire d'Eric. Marc pas en reste limait Luc. Ayant envie de mettre moi aussi ma bite dans un cul, j'appelais Arnaud et le plaçait à 4 pattes devant moi puis mes mains sur ses hanches le faisait reculer jusqu'à ce que mon gland touche son anus. Là ce sont les coups de bite de son oncle dans mon cul qui m'ont propulsé progressivement dans le sien. Trop bon de se faire enculer quand soi même on sodomise un mec !
C"est dans cette organisation que nous avons tous joui les uns après les autres parfois simultanément.
Cet intermède sexuel repoussa le déjeuner à plus de 16h. Comme des bêtes affamées, nous avons fait un sort tant aux cotes de boeuf qu'a la salade composée et aux glaces.
Après seulement, j'entraînais Phil, Luc et Arnaud nous laver au sous sol. Douches où nous avons initié Arnaud à nos câlins post coïtaux, massage des corps, caresses, baisers et tendre roulages de pelles, séchages mutuels... Quand les " adultes " arrivèrent, nous en étions à rafraîchir la pilosité d'Arnaud. Ce dernier n'avait pas oser contrecarrer nos décisions le concernant et se faisait épiler les aisselles, les avants bras et les jambes du peu de poils qui y avait alors que je lui rasais les couilles laissant juste un triangle châtain pointer vers sa bite. Marc m'engueula d'avoir fait ça sans demander à Bruno ce qu'il en pensait. Ce dernier gentiment désamorça la " crise " en me remerciant de lui avoir aussi bien préparé son neveu et qu'il aimait bien son nouveau look. Je respirais mieux tout d'un coup ! Tout d'un coup Arnaud réalisa que tout ses potes du lycée allait voir ça après le cours de gym quand ils passaient à la douche. Luc qui se souvient de sa propre année de terminale lui souffla de dire à ses probables détracteurs que sa " copine du moment n'aime pas les poils " et que comme ça elle acceptait de lui bouffer les couilles sans rechigner. Comme la plupart de ses collègues non jamais baisés ou alors sans beaucoup de pratique ça les fera taire. Nous sommes remontés profiter des derniers rayons de soleil leur laissant la salle d'eau. Couchés sur nos draps de bain, étalés en rayons, nos 4 têtes regroupées au centre d'un cercle imaginaire, nous avons répondu aux nombreuses questions que se posait Arnaud. Depuis quand nous étions homos... et surtout il questionna Phil pour savoir comment c'était de prendre Eric dans son cul. Il ouvrit des yeux ronds quand je demandais à Phil et Luc des nouvelles de leurs clients. A leur dernier rendez vous ils s'étaient tous enfilés en brochette. Phil se faisait enculer par Luc lui même sodomisé par le jeune frère qui recevait dans son cul la bite de son aîné. Luc me demanda quand aurait lieu la prochaine touze à la maison, car ça lui manquait. Je du expliquer en quelques mots à Arnaud la composition de notre petite " association " de passionnés de sexe.
Après que tous soient repartis chez eux, dans le calme retrouvé, je disais à Marc que j'avais été obligé d'affranchir Arnaud sur notre groupe et une partie de ses pratiques. Il me dit que c'est ce qu'ils avaient fait avec Bruno lorsqu'ils s'étaient retrouvés sous les douches, et qu'il n'avait pas été difficile de le convaincre de se joindre à notre prochaine touze.
JARDINIER
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alexar60 · 9 months
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Avis de tempête
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La météo avait prédit qu’il y aurait des orages localisés. En effet, je voyais le ciel se noircir brusquement. Cette noirceur assombrit rapidement la rue. Il faisait affreusement chaud. Je restai sur le seuil de la porte à observer cet orage qui, logiquement, devait refroidir l’atmosphère.
Mais l’horreur arriva très vite. Une forme sombre se propagea dans la rue provoquant un vacarme strident. Des centaines, des milliers de rats abandonnaient les égouts et couraient dans la même direction. Je fermais la porte pour les empêcher d’entrer. Puis, j’observais cette horde de rongeurs envahir la route. Certains passaient sous les portiques afin de fuir par les jardins. En face, mes voisins regardaient la scène avec des regards ébahis remplis de terreur.
Le calme revint jusqu’au premier grondement. Je compris qu’ils voulaient échapper à l’orage. Ils sentaient certainement qu’il se changeait en tempête ou en tornade. Le silence régnait entre deux éclairs. Le ciel devint tout-à-coup noir. La pluie commença de tomber en averse avant de se transformer en grêle.
Des grêlons de la taille d’une boule de pétanque fracassaient les pare-brise ainsi que les toits des voitures garées dans la rue. Un orage ? Non, je n’avais jamais vu une pareille pluie ! J’entendais les vitres exploser, les tuiles des toits éclater au choc des boules de glace. Moi qui me plaignais de cette chaleur, j’eus subitement froid. Je montais prendre un pull tout en vérifiant les dégâts sur le vasistas de la salle de bain. Il n’était que fêlé en plusieurs endroits. La grêle ne dura que cinq longues minutes. Cinq longues et terrifiantes minutes. Je pensais que cela se finirait bientôt.
L’orage grondait de plus en plus. Les éclairs allumaient un ciel si noir qu’on crut être en pleine nuit. Il n’était pas encore dix-sept heures quand soudain, des flocons tombèrent à profusion. La poudre blanche recouvrit rapidement la rue, les toitures ainsi que les carcasses de voitures sur les trottoirs. Nous étions le vingt août et il neigeait. L’orage tonnait encore et il neigeait en même temps. Je n’en croyais pas les yeux, pas plus que certains voisins qui sortirent regarder cette étrange tempête de neige. De plus, un froid glacial apparut rapidement, envahissant la rue. Je pouvais voir la buée sortir de leur bouche et de leurs narines avant qu’ils ne rentrent.
L’orage grondait toujours. On avait l’impression d’être au milieu d’un concert de déchainement de la nature. La poudreuse tombait tellement que je ne voyais plus les maisons en face. Je commençais à greloter alors que j’étais protégé chez moi. Je fus heureux que ma femme et les enfants soient en vacances chez mes beaux-parents.  Je pris mon portable pour les prévenir du temps dérèglé dont j’étais témoin. Seulement, le réseau était coupé. Alors, je me contentais de quelques photos.
La neige arrêta de tomber comme elle était arrivée. Par contre, le tonnerre continuait de hurler dans le ciel. Il était de plus en plus fort, de plus en plus proche. Je regardais les éclairs continuer d’illuminer le ciel. Et c’est là que j’ai vu ce que je n’aurais jamais cru voir. J’avais lu des articles à son sujet. J’ai écouté des podcasts. Je me suis intéressé à son histoire, à sa légende. Mais jamais, je pensais la voir en personne.
Cela commença par des silhouettes lointaines encore plus noires que la nuit. Elles avançaient à un rythme effréné. Grâce aux éclairs, j’aperçus d’abord la forme des chevaux, puis celle des cavaliers. Mais c’était bien elle, la chasse sauvage ! Elle fendait l’air déjà abimé par l’orage qui persistait. Elle passa au-dessus des premières maisons de la rue. Je compris que les sabots des chevaux noirs provoquaient ce bruit de tonnerre. Je vis les yeux des cavaliers sans percevoir leur visage. Ils étaient jaunes tels des étoiles dans le ciel. La forme de leur corps ne ressemblait à rien de comparable. C’était une fumée scintillante et opaque. Elle laissait une trainée de poudre derrière le passage des chevaliers.
Je fus saisi de terreur en entendant le hennissement des montures. Ils me glacèrent le sang. Mais ce n’était rien à côté du haro crié par chef de la horde. La chasse passait et je n’avais pas vu le gibier. Ce ne pouvait être les rats ! Non, cette troupe macabre chasse le maudit ou le criminel mais pas un animal si méprisable qu’un rongeur. Je regardais passer cette chasse volante, me demandant si je risquais ma vie en sortant pour la contempler. L’orage passa aussi vite que le groupe de chasseurs. Déjà, il s’éloignait, me laissant abasourdi. Un voisin ouvrit sa porte. Il marcha dans la neige qui commençait à fondre. Il regarda l’état de sa voiture. J’allais le rejoindre lorsqu’un bruit de neige écrasé résonna dans la rue.
Un homme courait d’un pas fatigué. Il gardait la bouche ouverte cherchant à reprendre son souffle. Comme vêtements, il portait des haillons. Il courait au milieu de la route cherchant à fuir. Ses yeux contenaient énormément de tristesse, et on ressentait l’épuisement sur ses épaules. Il courait pieds nus sans s’arrêter, sans parler. Tout-à-coup, le tonnerre revint.
La chasse était derrière ce pauvre homme. Elle le traquait sans merci, sans se reposer. C’était son calvaire, sa punition. Et d’après les légendes, cela ne s’arrêtera jamais. L’orage résonna en même temps que le galop des chevaux. Je remarquai leur aspect squelettique. J’espérais qu’ils n’aperçoivent pas mon voisin. Ce dernier leva la tête pour les regarder passer au-dessus de lui. Mais un chasseur descendit et le transperça d’un coup de lance le thorax. Il s’effondra net. La chasse s’éloigna, le grondement aussi. Puis, le silence arriva en même temps que le soleil.
Nous sortîmes en même temps, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Nous nous précipitâmes pour aider notre voisin. Mais c’était trop tard. Il n’avait aucune trace de perforation, seulement des marques noires sur les vêtements. Plus tard, nous apprenions qu’il avait officiellement été touché par la foudre.
Personne n’oublia cette tempête extraordinaire. Toutefois, personne n’en parla par peur des superstitions....par peur que la chasse réapparaisse et nous traque en représailles…jusqu’à la nuit des temps.
Alex@r60 – août 2023
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soyashi3173 · 3 months
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Que vous soyez en couple ou non (ou toute autre sorte de relations diverses et variées), je vous souhaite à tous une bonne St-Valentin! ❤️
Et pour l'occassion, je vous livre un petit WangXian version UA (rock?) tout juste sorti de la douche (après avoir fait quelques galipettes dessous, qui sait 😏🔥) et Wei Ying qui s'amuse à faire un coeur avec la buée sur le miroir, hé hé 💖
J'espère qu'il vous plait surtout que j'aime le rendu pour une fois et... QUE JE L'AI FINI UN JOUR EN AVANCE! Et pas en retard pour une fois! Je suis encore étonnée qu'il n'a pas neigé le jour d'après lol😂
En tout cas, les amoureux ou non, passez tous une superbe journée pleins d'amours et de bonheur 💞
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est-ce · 1 month
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la buée des buées l'offense maussade la forêt force le par cœur-erreur la plage de corps le rideau de nos nuages la démarche calculée l'Étreinte de l'alligator la fin du dire.
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