Tumgik
#cétait
bibliobouc · 1 year
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La vie d'un pigeon
Les arnaques à la petite semaine
C'était pour lui
Les croyances les plus improbables
C'était pour lui
L'argent avancé jamais remboursé
C'était pour lui
Les rendez-vous manqués
C'était pour lui
Les galères en soirée
Cétait pour lui
Les pannes de voiture
C'était pour lui
La copine qui le quitte pour son meilleur ami
C'était pour lui
Le gars qui se fait plumer au jeu
C'était (encore) lui
Le dindon de la farce
C'était (toujours) lui
C'était la triste vie de Léon
Le pigeon
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tellmesmthngidk · 2 months
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Je ne sais pas par où commencer. Par la fin sans doute, car tout est fini. Tout vient de se finir. Le 17 juillet, à 00h ou le 16 juillet à minuit j'ai ouvert la porte pour que tout se finisse. Rien n'a de fin si tout continue dans les souvenirs. Sans doute. Mais le réel se fini, seul les souvenirs et les fantasmes survivent.
J'ai envie d'écrire tout ce dont je me souviens. Les courts métrages après l'orage, les rues vides à cause de la pluie, la nourriture laissé sur le bort d'une fenêtre pour courir. Courir en se donnant la main. Se donner la main, à Paris la nuit, sous la pluie, en sortant de boite pendant que le jour s'est levé. Les marches, les heures à marcher dans les rues à discuter, à se connaitre, à se découvrir mais pas trop, à se protéger mais continuer de ce voir. Le café, l'expresso dans le même café encore et encore, le café dans le bar à 23h parce qu'il ne boit pas, le café qui se renverse le matin sur la plaque de cuisson. Manger, indien ou des pâtes à la sauce tomate ou des ramens. Entendre sa voix, sans m'y attendre les murmures en espagnol ou en italien, les discussions en anglais. Parler, pendant des heures, ne pas vouloir partir pour continuer encore et toujours à parler, jusque 03H, jusque 02H. Jusqu'à ce que mes jambes me fassent mal. Visiter tous les quartiers de Paris en 1H de marche. Wong kar wai et les films que l'on a vu, qu'il a revu pour moi. Sa main sur mes cuisses, dans les miennes, ses mains sur moi, ses yeux sur moi. Nos âmes qui s'entremêlent quand on ne peut se quitter du regard, quand on ne pas s'arrêter de s'embrasser. Les regards qui suffisent pour dire j'ai envie de toi. Les gestes en suspend. Se retenir de dire qu'il est à moi, le fait qu'il murmure que je suis à lui. Le fait qu'il me trouve toujours belle. Désirable et désirée. Qu'il soit ce que je considère comme l'être désiré. Le je t'aime après in the mood for love. La musique, encore et toujours, qui jamais ne s'arrêtait comme une bande son original. Tyler, Kendrick, Sade. Sans doute d'autres mais j'y pense à chaque fois que l'un d'elleux se lancent. Le premier baiser, dans une voiture, tard le soir, la question fatidique "est ce que je peux t'embrasser". Le soulagement. Puis les fois où l'on ne s'embrasse pas. Le simple fait de le vouloir suffisait à combler. La "semaine" "chez lui". Le baiser sur la joue. Les lunettes pour lire les sous titres.
L'incapacité à être plan cul, l'incapacité à dire que l'on se manque. L'impossibilité de créer quelque chose. La peur de se perdre. Se dire aurevoir sans un mot et préférer dire merci. Parce que merci contient tellement plus de choses, il contient les baisers au coin de lèvres, les mains serrées plus fort, les comportements enfantins, les audios, les appels, les sourires, la lumière dorée sur les corps, le froid de l'hiver, la canicule de l'été. Le parc, le piquenique, les discussions dans la voiture, les messages d'anniversaire, les promesses non tenues.
Ne jamais voir la mer, ne jamais découvrir une autre ville, ne jamais faire un musée ensemble.
J'ai peur, j'ai peur d'oublier tellement de choses, j'ai envie de tout écrire en détail, de tout me rappeler. Je sais qu'il se rappelle de beaucoup. J'ai envie de tout écrire. Mais je sais que mon cerveau me fait déjà défaut. Je sais que j'ai oublié des choses, des mots qui m'ont porté. Je suis terrifiée de celle que j'aurais été si j'étais tombée amoureuse. SI je m'étais laissé allé plus encore que ce que j'ai donné. Je suis si heureuse de lui avoir donné autant. Je suis soulagée de ne pas être allée plus loin (même si cétait déjà trop pour lui je crois).
Je suis fière de ce que je suis encore capable de donner même après ma rupture.
Je suis soulagée que ce soit fini, malgré les regards brillants, les mots murmuraient lors des dernières caresses et baisers, l'incapacité de ce dire aurevoir. Faire l'amour pour se dire adieu, quelle idée. Dire merci pour dire aurevoir, quelle idée.
J'écrirais encore beaucoup dessus, je le sais. Maintenant, il faut laisser les gens et les sentiments partir.
Marée basse, je me retire et je pense à moi. J'ai des choses à soigner je crois.
Merci à lui.
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mysteresurterre · 3 months
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Le savoir mène à la folie - épisode 2
Episode précédent
___
La nuit tombe sur les Docks et sur le petit appartement de Hadnel. Le groupe des cultistes de notre Souveraine Cachée se sépare après cette première journée d'enquête.
Calder et Hallabeth s'enfoncent plus loin dans les rues des Docks et rejoignent la taverne "le tonneau à moitié plein" ou "à moitié vide" dépendant de quel côté de la rue on voit sa pancarte. Il ne faut pas très longtemps pour entendre des membres de l'ordre des Licornes Dorées se plaindre des agissements des Salamandres Espiègles. Calder et son bagout amène Bressaline à se confier.
D'après elle, les Salamandres Espiègles reprochent aux Licornes d'avoir enlevé une des leurs ! Une accusation qu'elle réfute avec véhémence en expliquant que tout cela sera réglé lors d'une joute le lendemain. De bonne humeur, elle passe des billets pour la tribune et des places assises le lendemain, jour du fameux match.
Elle ajoute aussi que des personnes auraient vu traîner des membres de la garde dans les Docks, alors même que ce sont les ordres de chevalerie qui y font régner la loi.
Pendant ce temps, Jesk et Hadnel s'éloignent vers le Bazar Bleu pour aller y chercher des médicaments. Le lajhan y rencontre un azurite qui revend des potions et remède et s'en tire à bon prix en promettant ses services et une oreille ouverte au marchand. La transaction terminée, Jesk s'en retourne chez lui et monte de nombreux étages qui l'amèneront jusqu'à l'université (abrégée UMDS).
Le lendemain matin, Jesk pose des questions aux adjoints et attachées de l'UMDS. Des drows qui connaissent les recoins et bien des secrets concernant leurs maîtres, mais ce n'est pas cela qui intéresse Jesk en premier lieu. Non, ce que Jesk veut savoir, c'est si un ou une drow aurait récemment disparu parmi le petit personnel. Il lui faut un certain temps, mais une de ses collègues dans les services de recherche finit par parler d'un drow en corvée qui a disparu dans la section de recherche sur les résidus divins. D'autres rumeurs courent sur l'altercation entre le Duc Envol-d'une-Nuée-de-Cygnes et l'église solaire - concernant le distillat lunaire qui est produit au coeur de l'UMDS.
Matinal aussi, Hadnel prend soin du rescapé qu'il a chez lui, puis s'en va faire son office à l'église de Lymié qui se trouve sur les Docks. Une fois cela fait, il s'en va en direction de la taverne de l'ordre de Calder. Son chemin est calme, comme les docks tous les matins. Calmes mais sales des excès de la nuit. Au détour d'une rue, il voit une silhouette baignant dans une flaque de sang. Son coeur de Lajhan ne fait qu'un bond et il s'empresse auprès du corps... Il est trop tard pour le sauver, mais les marques de piqûre au bras et le teint rougeâtre de la peau laissent peu de doute : cétait un junkie. La plaie béante juste au niveau du coeur laisse elle aussi bien peu de doute : ce drow a été assassiné ! Hadnel s'en va prévenir les Belettes Tapageuses, l'ordre de Calder.
Calder n'a pas vécu sa meilleure matinée, mais ce n'est pas sa pire non plus. Hallabeth n'est pas là quand il se réveille et contemple le bois d'une table pour tout plafond. Un bon broc d'eau sur la figure et le voilà prêt à partir. Il rejoint son ordre, Hallabeth qui arrive sur le chemin et enfin Hadnel qui l'attend à la taverne de son ordre.
On ramène le corps du junkie et une boîte d'alumettes de la "Fumerie de la lune rousse", un point de vente connu du District Rouge, est dans ses affaires.
Pas le temps de traiter plus avant ce meurtre, la joute entre les Licornes et les Salamandres va débuter. Le spectacle est étrange et joyeux. Un chevalier agit en tant que "cheval" et l'autre juché sur ses épaules porte la lance. En quelques passes, les Licornes Dorées confirment leur réputation et prennent l'avantage, sauf que les Salamandres ne sont pas là pour jouer à la régulière. Alors que leur défaite approche, leur jouteur brise sa lance pour révéler une pique de fer sous le bois et l'enfonce dans le cou de son adversaire. Le sang gicle et le chaos s'empare de la place...
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masivechaos · 3 months
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quel genre de villages où t’as des livres en anglais ???? je vais chialer ngl
dans le limousin en plus mdrr cétait la bonne surprise
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lauragerlain77 · 5 months
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Le plan à 4 du métro
 Le plan à 4 du métro
(100% histoire vraie)
Je viens vous raconter une histoire totalement rocambolesque qui m'est arrivée il y a environ 13 ans, alors que je passais encore beaucoup de temps dans le métro parisien.
J'avais pour habitude de traîner deux fois par semaine dans un bar qui s'appelle le Pop In, dans le 11ème. 
Des groupes venaient jouer quasiment tous les soirs, et j'y ai découvert pas mal de pépites.
Là bas, j'y ai aussi baisé, dans la salle de concert, en plein show, quand tous les regards étaient tournés vers la scène. Mais ça, c'est une autre histoire...
Je me rendais donc là bas, nous étions en plein hiver (décidément j'adore l'hiver pour faire des rencontres!) et j'étais affublée d'un de mes fameux bonnets aplatisseur de cheveux (laissez tomber, truc de fille). Mais pourquoi je parle de ça me direz vous? 
Je regardais dans le vague au travers de la fenêtre de la rame, rêvassant à je ne sais quelle partie de baise à venir. Oui parce que mes motivations étaient claires: pourquoi je traînais seule dans un bar si ce n'était pour me faire baiser...?
Je n'ai pas eu besoin d'aller jusque là ce soir là ...
Sorti de nulle part, un type je dois dire assez original s'assit en face de moi et me sortit une des disquettes les plus drôles que j'ai jamais entendu:
"Salut! J'ai trente secondes pour te dire que je te trouve magnifique et que la vie est courte et que j'adore ton sourire! Je descends là et on ne se reverra sans doute jamais"
Comme il me plaisait et que son approche était hyper directe comme j'aime, je lui ai bien sur donné mon numéro en lui disant que je me rendais au Pop In.
Par sms, il me dit que ce n'était pas son coin, que c'était dommage.
Le temps de commander un verre là bas et le voila qui débarquait! Monsieur était joueur visiblement...
La première chose qu'il me dit était que j'étais beaucoup plus belle sans mon bonnet! 
J'ai beaucoup ri, sa remarque était tellement naturelle!
Nous prenions un verre à une table et je sentais déjà ses yeux me déshabiller.
Il était grand, brun, avec une barbe, et semblait tout froissé, tout abimé. J'appris plus tard qu'il était totalement défoncé, mais ça c'est encore une autre histoire.
L'excitation était montée très rapidement. Ce mec avait annulé sa soirée pour me rejoindre dans ce bar à l'opposé de là où il était censé aller; il avait déjà gagné.
Je n'ai jamais su son nom. Ou peut-être que si. Mais je l'ai oublié. Pourtant nous nous sommes revus après ça. Plusieurs fois. Mais il restera le mec du métro.
Parce que, bien sûr, il vivait près de chez moi! 
Mais nous ne sommes pas allés chez lui ce soir là. Il ne m'emmena pas très loin, chez deux amis à lui.
Mes souvenirs sont plutôt flous, comme un grand brouillard. J'avais bu plus que de raison.
J'étais très excitée, et je me foutais de savoir ce que je faisais là, chez ces types.
Je voulais juste écarter les cuisses et prendre du plaisir.
Assis tous les quatre sur un grand canapé, tout le monde avait l'air bien défoncé, qu'on se le dise.
Cette soirée allait partir totalement en couilles jusqu'au bout!
Le type du métro me collait comme pas possible, à m'embrasser dans le cou, à mettre ses mains partout sur moi.
Nous avons alors commencé à nous embrasser passionnément. Je grimpais sur lui. 
Comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Je me frottais contre son sexe en érection pendant qu'il me caressait les fesses.
La température montant très vite, il voulu qu'on se mette à part.
Cétait sans compter sur mon mal de cœur dû à l'excès l'alcool: j'eus besoin de m'allonger.
J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. Il m'allongea sur un autre canapé (Oui. C'était la maison des canapés là bas).
Le haut de ma robe remontait pour laisser entrevoir une certaine partie de mon anatomie.
Les deux autres types que je ne saurais nommés s'approchèrent alors et s'assirent au niveau de mon bassin.
Ils passaient leur temps à s'échanger des regards affreusement lubriques.
L'un d'eux remonta un peu plus ma robe et se mit à me caresser très doucement.
D'abord la cuisse. Puis il remonta lentement et passa un doigt entre mes lèvres.
"Regarde comme elle est belle!" dit-il à son ami, qui avait déjà sorti son sexe de son pantalon.
Ils se léchaient les lèvres comme des animaux assoiffés, tout en me caressant chacun leur tour.
Ils prirent chacun une de mes jambes pour la mettre sur eux et pour m'écarter au maximum.
Ils passèrent tour à tour leurs doigts sur moi, puis en moi. Je n'en pouvais plus, j'avais trop de désir et je ne savais pas quoi en faire.
Le mec du métro leur murmura un truc à l'oreille, et ils se mirent alors à se masturber en me regardant. J'étais là, je ne faisais rien si ce n'est comater à moitié les cuisses écartées, et eux se branlaient en me regardant.
Ils s'étaient agenouillés entre mes jambes et aimaient chacun leur tour enfoncer leurs doigts en moi et écarter mes lèvres. Ils me regardaient gigoter dans tous les sens, ça leur suffisait. 
Tour à tour, ils se vidèrent sur mon bas ventre très rapidement. Quelle excitation! J'adorais ça
 Le mec du métro, visiblement heurté, s'interposa et m'attrapa violemment par le bras pour me lever de là. 
Dans la salle de bains, il me sortit un truc du genre "non, il n'y a que moi qui peut t'avoir"
Il me pencha sur le rebord du lavabo et remonta ma robe pour admirer mes fesses qu'il se mit à caresser puis à embrasser.
Il déboutonna son pantalon et me retourna pour que je le suce. Je m'exécutai...
Très vite, il me remonta à son niveau et me souleva contre le lavabo. Il s'enfonça en moi presque immédiatement.
Il était dur. Nous étions très excités tous les deux. J'aimais être un tel objet de désir que trois hommes bandaient pour moi en même temps.
Ses gestes étaient frénétiques, trop excité par ce qu'il venait de voir, il jouit en quelques mouvements.
Et je m'écroulais épuisée, entre fatigue, alcool et excitation.
Plus tard, ils me ramenèrent tous les trois à la gare de Villiers. Sur le chemin, le type du métro n'avait de cesse de garder sa main sur ma cuisse. Comme pour dire, celle là elle est à moi.
Arrivés à destination, nous sortîmes tous de la voiture, nous embrassant langoureusement pour nous dire aurevoir. Puis les deux autres types voulurent prendre mon numéro.
La soirée partit en bagarre générale quand le type du métro refusa que je le leur donne.
Coups de poing et engueulade totalement ridicules pour une affaire encore plus ridicule.
Heureusement, ils se calmèrent rapidement.
Je ne revis jamais ces deux types là.
Par contre, le type du métro et moi avons commencé à développer une relation un peu particulière...
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lemodelepose · 8 months
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25 euros de l'heure, minimum.
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Quand j'ai commencé en 2013, cétait 20 euros. Mais voilà, si on l'indexe sur la hausse de l'inflation, on passe à 25 euros nets.
Bien sûr, certains ateliers municipaux (les ABA de Paris, par exemple) payent moins, mais c'est toujours ça de pris, ça te fait un réseau, ce sont des ateliers hyper safes et c'est un bon début pour commencer à poser de façon sereine.
Bien entendu, certains ateliers payent davantage, notamment ceux qui sont en banlieue et qui proposent un défraiment.
Tu veux poser ou accueillir un modèle, mais tu ne sais pas comment faire ? 👉 Pas de panique, Kelly, alias @lemodelepose est là pour tout t'expliquer !
Je t'invite à parcourir les autres posts découvrir les bonnes pratiques à adopter en atelier de modèle vivant et autres tutos pour les gens désirant se lancer dans cette activité.
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jakez19 · 11 months
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ma4567890 · 1 year
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les gens d une contrée déménagent
dans une belle et grande contrée, il y avait des gens que quand ils déménagaient, ils laissaient devant les maisons des déchets et des matelas comme s'ils s en fichaient qu ils nuisaient a l environnement et a la planete terre, jusqua se quils prennent conscience que cétait mal se quils faisaient l a, ils ne se sentirent pas biens et coupables et ils regretterent les gestes quils ont posés, ils déciderent alors d appeler les personnes qui ont les camions 1800 got junk? pour quils aillent ramasser le ramassis de débris de toutes sortes, ils s en allerent le coeur et la tete légere vers leurs nouvelles demeures fin
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somegirlsfromk · 1 year
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SHINee "SHERLOCK" (ORCHESTRA VERSION - SM CLASSIC) 🎻
Retour vers le passé, du temps où SHINee était complet, cétait il y a plus de 11 ans.Pour les 15 ans du groupe, voici la version orchestrale de “Sherlock”. Version original: See you.
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randomnameless · 1 year
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"Mais on vient à la grande question, est-ce que les persos sont d'abord écrits pour être des S-supports, ou on les écrit d'abord, et ensuite on en fait des S-supports?" c'est évidemment la seconde option vu le nb de personnage qui ont de l'alchimie avec l'Avatar (au sense ironique) quoique Nel à l'air d'avoir été écrite selon la première idée vu que elle était dans le canon amoureuse de son Alear et que elle a plus d'affinité avec Alear que le reste du cast réuni... mais bon cétait pareil pour Léo Corrin et Intsys a même essayer de les pousser avant de laisser tomber donc je leur donne 3 mois pour que leur strategie avec Nel foire.
Ca sera à voir dans son unité de FeH -
C'est vrai qu'en général je pencherais pour la seconde option - mais parfois je me demande vraiment, avec certains persos, si IS n'a pas décidé de faire un dating sim avec un peu de scénar, jeter un peu de caractérisation pour pas faire trop moche, et rendre leur copie, FE16 me vient à l'esprit avec toutes les tropes mais c'est vrai que c'est un peu de la triche, étant donné que dans FE16, mis à part une demi-douzaine de persos, le reste peut passer au Moulinex pour finir en purée adrestienne, vu qu'il faut qu'on puisse les recruter pour jouer avec Dedel.
Par contre, même si c'est pas pensé pour faire de S support avec l'avatar, je maintiens que Monica de Nopes a été faite simplement pour avoir un nouveau laquais qui bave devant Dedel.
Est-ce qu'on sait au moins pourquoi elle l'adore autant, mis à part le "tu m'as sauvée après m'avoir condamnée à mort je t'aime trop!" ?
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les-toupies-h · 1 year
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---> A cet endroit, cétait une aubaine
> Proposition visuelle d'écriture - Photofiction > Photographie de Fabio Sozza
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toniolibero · 2 years
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Pollutions et risques technologiques : quel avenir pour la vallée de la chimie ? Retour sur le débat proposé par Medicacités Lyon
Pollutions et risques technologiques : après le scandale des perfluorés, quel avenir pour la vallée de la chimie ? Cétait le thème du débat organisé par Mediacités Lyon à la Maison de l’Environnement de la Métropole de Lyon le 1e mars 2023. Preuve que le sujet préoccupe, l’amphi de la structure a fait salle comble pour écouter les différents interlocuteurs : Pierre Athanaze, vice-président de…
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jii-blog · 2 years
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Chaque fois je pense à finir ma vie je me rappelle que je l'ai fait avant et que quand ça n'a pas marché j'étais tres choquée le lendemain..j'avais la honte..je pouvais pas parler..mon corps était lourd comme si je suis vraiment morte. Je sentais comme un enfant qui vient de sortir à ce monde..avec ses grans yeux et ses pas instables..il est entrain de découvrir encore la vie. Cétait tres difficile de réaliser que tout ça existe encore et que moi j'existe. Chaque respiration..chaque envie de manger..chaque preuve de vie et d'existence me dégoutait. Donc j'ai peur de suicider et que ça ne marche pas encore une fois, j'ai la honte de le faire, et je ne veux pas que ça soit la dernière chose que j'ai fait. Mais j'en ai marre et les mots sont ridicules. Rien n'a de sens et personne comprendrera.
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abbyew20 · 2 years
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Ce matin c'était porridge avec myrtilles , coco râpée et sirop d'agave sur le ...
Ce matin c’était porridge avec myrtilles , coco râpée et sirop d’agave sur le …
Ce matin c’était porridge avec myrtilles @picardsurgeles 🍇, coco râpée 🌴 et sirop d’agave sur le dessus 🍯 Pour le porridge j’ai juste mélangé 50g de flocons d’avoine, 200g de boisson végétale avoine et une cuillère à café d’arôme vanille liquide, dans une petite casserole à feu moyen jusqu’à ce que la texture soit bien crémeuse 🥄 . Une tuuuuerie ! 😍
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magaratimes · 4 years
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#ActualiteCD. | Parc des Virunga: 21 éco-gardes ont été tués ces 12 derniers mois, c’était une année difficile pour le parc (Emmanuel Demerode)
#ActualiteCD. | Parc des Virunga: 21 éco-gardes ont été tués ces 12 derniers mois, c’était une année difficile pour le parc (Emmanuel Demerode)
Le problème le plus immédiat et le plus grave auquel fait face le parc, c’est l’insécurité. Le directeur provincial de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) au Nord-Kivu, Emmanuel Demerode l’a dit ce mardi 2 mars 2021 à l’occasion de la tenue à Goma du 4e forum sur le programme Alliance Virunga. Ce programme regroupe différents acteurs de la société civile, du secteur…
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