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#chaussure cassée
ernestinee · 5 months
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Ce soir je suis sur scène 😱 et mes chaussures plates sont cassées, je jongle sur des talons de 9cm 😱
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pompadourpink · 2 years
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Les autres pronoms
Possessive pronouns (mine, ours)
Masc. sg.: le mien, le tien, le sien, le nôtre, le vôtre, le leur 
Fem. sg.: la mienne, la tienne, la sienne, la nôtre, la vôtre, la leur
Masc. pl.: les miens, les tiens, les siens, les nôtres, les vôtres, les leurs
Fem. pl.: les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs
Ex: tu pensais que tu avais pris tes lunettes mais c'étaient les miennes - you thought you had taken your glasses but they were mine
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Demonstrative pronouns
They replace demonstrative determiners followed by a noun
They can be one of three types: prepositional (c'est celle de Laure - it's Laure's), relative (les robes en soie sont celles que je préfère - silk dresses are the ones I prefer), or nominal (j'ajoute à cette lettre celle de mon fils - I add to this letter the one of my son).
Singular - celui (m), celle (f): celle en bleu - the blue one
Plural - ceux (m), celles (f): ceux-là sont mieux - those are better
Neutral - ceci - this (rare), cela - that, ça - this (short for cela): ça ira - that will be fine, c’/ce*: c’est un chien - this is a dog, ce sont des chats - those are cats
N.B. Adverbial particles -ci (short for ici) and -là are added to indicate the distance. Celui-ci means this one (close), celles-là those ones (far away).
*Do not mix up the masculine singular demonstrative determiner ce that is followed by a singular masculine noun (ce chat est blanc - this cat is white) and the demonstrative pronoun ce that is followed by est/sont (is/are) or a relative pronoun (c'est ce qu'il m'a dit - that is what he told me; ce sont les chaussures qu'il a choisies - those are the shoes he chose)
N.B. C'est is used with a noun: c'est un gentil garçon - he's a nice boy, an adverb: c'est si joli - it's so pretty, or a masculine singular adjective when talking about a situation or activity: c'est facile - it's easy. Il/Elle est is used with adjectives when talking about living beings or things: elle est grande - she's tall, in expressions: il était une fois - there one was, before a past participle: elle est partie - she's gone.
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Relative pronouns
Relative pronouns represent the nouns placed in front of them
Que/qui
subject (qui), when talking about living beings or things and describing them, placed before a verb: la fille qui porte un pull rouge aime la glace - the girl that is wearing a red jumper likes ice cream
indirect object (qui), when talking about people, after a preposition, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille à qui tu as parlé aime la glace - the girl you talked to likes ice cream)
direct object (que), when talking about living beings or things, placed before either a determiner and a noun or a pronoun (la fille que tu aimes aime la glace - the girl you love likes ice cream)
Quoi
object, when talking about things, often vague (something, nothing): c’est ce à quoi j’ai pensé toute la journée - that is what I thought about all day long
Dont
possessive phrase (complément de nom): je bois dans une tasse dont la anse est cassée - I’m drinking from a mug that has a broken handle
indirect object, equivalent of "of which": le livre dont je t’ai parlé est sorti - the book I told you about is out
adjective object: les filles sont allées à un concert de Rihanna, dont elles sont fan: the girls have gone to a Rihana’s concert, whom they are fans of
adverbial phrase of place: la chambre où je dors est la plus grande de la maison - the room I sleep in is the biggest in the house
adverbial place of time: septembre est le mois où je suis née - September is the month in which I was born
Compound relative pronouns
Auquel, duquel, lequel (marriage of prepositions à, de, le and of simple relative pronouns)
subject - rare, literary: j’ai appelé ma mère, laquelle m’a informée de ton accident - I called my mum who told me about your accident)
object, about things or animals: les chaises sous lesquelles je suis cachée sont en bois - the chairs under which I am hidden are made of wood; c’est l’endroit duquel il est parti - this is the place from which he left; les hommes auxquels elle parle sont allemands - the men she is talking to are German
Neutral relative pronouns
They are built by adding ce, which can be roughly translated as "the thing", to dont, que, qui and used when the antecedent isn't mentioned or when it's a clause often after a comma.
Ce qui is the subject of the verb that follow: je ne sais pas ce qui est tombé - I don’t know what fell down (word by word I don't know the thing that has fallen), j’ai eu un accident, ce qui explique pourquoi je suis en retard - I got in an accident, which explains why I’m late
Ce que or ce qu' is used as a direct object and is generally followed by a subject and a verb: ce que je te demande, c’est d’être à l’heure - what I’m asking you is to be on time (word by word the thing that I ask of you it is to be on time), c’est ce que je voulais dire - that’s what I meant
Ce dont is used as the preposition de’s object: ce dont j’ai peur, c’est qu’il revienne - what I'm afraid of is that he will come back (word by word the thing of which I'm afraid, it is that he comes back), c’est précisément ce dont je veux te parler - that is precisely what I want to talk to you about 
N.B. To stress a point, we can use ce qui/que/dont + c’est/ce sont: ce qui me plaît le plus, c’est ta robe - what I most like is your dress.
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Movie: Pierrot le fou - Jean-Paul Godard, 1965
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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caffeacolazione · 10 months
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calendario dell'avvento - 24 cose da fare prima di natale
5- gettare le amate vecchie scarpe rotte
Calendrier de l'Avent - 24 choses à faire avant Noël
5- jeter les vieilles chaussures cassées bien-aimées
advent calendar - 24 things to do before christmas
5- throw away beloved old broken shoes
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chicinsilk · 7 months
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US Vogue March 1, 1967
Yves Saint Laurent Haute Couture Collection Spring/Summer 1967. Twiggy is wearing an off-white shantung vest-jacket suit. Ascot and shirt cuffs: black and white silk polka dots. Dormeuil silk. Saint Laurent earrings. Roger Vivier shoes for Saint Laurent.
Yves Saint Laurent Collection Haute Couture Printemps/Été 1967. Twiggy porte un tailleur gilet-veste en shantung blanc cassé. Ascot et poignets de chemise : pois en soie noir et blanc. Soie Dormeuil. Boucles d'oreilles Saint Laurent. Chaussures Roger Vivier pour Saint Laurent.
Photo Bert Stern vogue archive
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leleaulait · 7 months
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Ce matin j'ai voulu me faire un petit dej à base de crêpe et de pâte à tartiner (vous le sentez le régime que je tiens pas du tout la ?) Sauf que, en prenant le pot de pâte à tartiner de 700gr il est tombé sur mon gros orteil... j'ai hurlé de douleur, il est sûrement cassé.... Du coup je peux plus me balader, je peux plus enfiler mes chaussures, et j'ai passé la journée avec une poche de froid dessus parce que je douille ma race.
Je voulais juste manger une crêpe 😭
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soul-and-blues · 1 year
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  Bienvenue à toi, le cabossé le morcelé le mésadapté l'désespéré Bienvenue à toi qui me ressembles Moi qui ai choisi la plume Parce que je préfère les mots Aux gens Aujourd'hui, je prends le micro Pour redonner une voix À tous ceux qui comme moi Comme des centaines, voire milliers Ne trouvent plus leur place ici Entre les surfaces Les dogmes Les cases  
Toi L'humain L'exception Le singulier Toi Le parjure Le laissé pour compte Le fêlé, le fracassé Le dérangeant, le dérangé Selon le regard Ou le cadre, D'la société qui t'a marginalisé.
Toi Qui cherches, Souffres, Danses sur un fil Toi qui s'adresses à la foule Comme au silence Qui cries détresse en filigrane Qui trouves cailloux Aux chaussures du chemin Qui trouves néant Aux croisées du Destin
Toi Qui frimes Brilles dans la Nuit Dans les réverbères embrumés Dans les verres à noyer
Toi qui fumes D'incendies, dévasté Incandescent de douleurs Braises de tous les leurres Toi qui oublies de lever les yeux
Quand le rêve prend l'eau Que les jours fendent bitume Quand le soleil te brûle les yeux Et que le froid te crame les mains Toi qui comme moi Ne trouves pas sa place Ni sa chanson dans ce monde Qui tourne en rond Qui vois des claques dans Les mains qui s'offrent Et des nez cassés Dans les fenêtres ouvertes
Toi Enchaîné à ta solitude Emmuré dans tes illusions Dans ce tourbillon qui noirci Chaque heure, chaque souffle Regarde-moi Regarde-nous Ta différence Et tes couleurs Trouvent leur écho Dans le tableau Dans la grisaille qu'une majorité À accepter sans broncher.
Toi Âme précieuse par sa singularité Cœur sensible, tant de fois blessé Toi, Fracturé en tous tes corps Parce qu'ensemble Ils sont si lourds à porter Regarde-moi Regarde-toi Je te tends l'oreille Viens y poser ton refrain Je te Vois, sans pareil
Nous sommes peu, Mais certainement pas vains ! Chaque Vie a son sens Encore plus celles qui y vont contre Viens poser ton rythme à la danse Qui s'enrichit de la différence Cries ton appel Il est ta force Ouvre tes ailes Brise l'écorce De cet arbre sans racines
Tu es Lumière Dans cette forêt trop dense Troque tes chimères Que s'amorce, ensemble, Une vie plus prospère Où ce qui te plombait Deviendra tremplin de toutes les chances....
MzP
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les-portes-du-sud · 1 year
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Corbeaux 25.08.2023
5 heures du matin.
Les premiers rayons chauds du soleil sont déjà aveuglants dans les yeux, se reflétant sur la surface lisse de la glaçure blanche comme neige, qui était encore hier un chemin de pierre menant à un labyrinthe de dalles de granit, saupoudrées de neige et clôturées par des clôtures de tiges de fer noir. Le ciel azur au-dessus de nous étendait affablement ses cirrus, qui ressemblaient davantage à un éventail de plumes d'Archimède. Des paires d’arbres dénudés particulièrement hauts se balançaient et grattaient parfois ces nuages avec leurs doigts longs, fins et osseux. Et tout autour - le silence, le silence profond..... Des corbeaux et des aigles royaux étaient assis sur les fils électriques, ils avaient les ailes coupées, quelque part un hibou ou un grand-duc criait d'une voix rauque. Ces corbeaux et aigles royaux tombaient des fils, le courant circulait et crépitait. Un des oiseaux est tombé et a commencé à sautiller le long d'une route,....Mais ici, il est soudainement interrompu par le bruit sourd des chaussures des hommes et le grincement d'un vieux portail. Un visiteur inattendu, à une heure si matinale, était accueilli par le rire d'un autre corbeau qui descendait de quelque part au-dessus et se perchait maladroitement au bord d'un promontoire fait de pierre blanche. L'homme inspira profondément et regarda autour de lui. Il se dirigea vers les profondeurs de ce labyrinthe endormi. En chemin, il scrutait les faces des pierres tombales, et à chaque pas son cœur battait plus vite et plus anxieusement, sa respiration s'accélérait, de la vapeur froide soufflait de sa bouche entrouverte. L'inconnu marchait lentement, craignant de glisser, et gardait les mains dans les poches de son manteau. Un petit frisson lui parcourut le dos alors qu'il atteignait enfin sa destination, une petite et modeste pierre tombale recouverte de neige avec un bord gauche cassé. Les vandales ont fait de leur mieux... L'homme s'est approché de la pierre et, ôtant son gant de cuir noir, a délicatement brossé la neige. On pouvait maintenant voir que cette pierre tombale était faite de marbre gris foncé avec des grilles de veines blanches à certains endroits. L'homme s'est accroupi et a pelleté la neige à la base de la pierre de marbre. Là se trouvait une petite plaque de métal avec une photographie usée cachée là. Le visiteur s'arrêta un instant, Lisa ..."
Il ôta son masque rouge-bleu, se pencha et pressa doucement ses lèvres sur la photographie froide de la jeune fille blonde, après quoi il commença à parler de manière incertaine et calme avec sa défunte amante. Il venait vers elle tous les dimanches matin, même les affaires urgentes ne le faisaient pas retader et à chaque fois il enlevait son masque devant elle, regrettant mille fois de ne pas l'avoir fait alors qu'elle était encore en vie.
Les-portes-du-sud
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Et c'est l'heure du récit de notre troisième jour dans la jungle ! Google drive ayant décidé de ne pas enregistrer mes modifications sur ce jour, la journée sera moins décrite que les autres, j'ai déjà oublié pas mal de choses …
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C'est le chant des gibbons qui me réveille ce matin, ce qui est quand même nettement plus agréable que les poules ! Mon masque pour les yeux ayant efficacement caché la lumière du jour, j'ai pu dormir jusqu'à 6h, et de façon bien plus efficace que la veille. Je pense que le hamac de Sakal et le mien étaient un peu trop proches : quand j'ai commencé à me tortiller hier soir, je l'ai entendu se lever, défaire ses liens et les renouer un peu plus loin … oups! La nuit étant toujours aussi fraîche, j'ai alterné entre position fœtale qui permet de se réchauffer et position allongée qui fait du bien aux articulations mais où il fait trop froid pour que ce soit confortable. A noter que je n'ai pas mal au dos du tout malgré les circonstances, surprise agréable !
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La journée se passe comme habituellement : on marche un peu, on fait une pause, on recommence, et on s'arrête deux heures pour midi avant de recommencer.
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(Oh comme elle a été bien éduquée cette jeune fille!)
L'après-midi, on s'amuse à monter et descendre une montagne, c'est assez épuisant ! On croise par contre tout un tas de jolies fleurs roses (souvent par terre) très jolies.
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On croise sur le chemin des dizaines de bosquets de bambous géants (qui atteignent dix mètres de haut en 2 ans, avant de mourir vers 3 ans en libérant les jeunes pousses) qui s'accrochent dans les sacs quand on passe à quatre pattes dessous, je commence d'ailleurs à avoir les genoux en bouillie, et suis très heureuse d'avoir mis un protège sac !
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Pendant une pause avec un petit point de vue, je m'installe sur un rocher non loin de Mr Cho pour profiter du paysage et d'un filet d'air frais. Au bout de quelques secondes, je sens une morsure au mollet : une fourmi rouge a décidé de sauvagement m'attaquer ! Toute une ribambelle de copines se trouvant sur mes chaussures, je suppose qu'il y a une fourmilière dans le coin, mais impossible de la trouver. Mr Cho prend un petit bâton, le balance dans les airs à côté de moi … et les fourmis ont fait leur nid dans une feuille pliée encore accrochée à la branche ! Je fuis de façon tout à fait peu valeureuse une fois la photo prise, une petite pensée pour Chloé au passage.
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On traverse également une zone remplie d'arbres couchés, déracinés l'année dernière par une grosse tempête. C'est non seulement impressionnant, mais aussi assez mal pratique, puisqu'on doit soit passer dessous, soit passer dessus, et ça commence à faire beaucoup d'escalade ! En descendant d'un des derniers troncs, je pose mal mon pied sur une branche cachée et me tord la cheville gauche, celle que j'ai abîmée l'été dernier :( Heureusement, rien d'aussi grave, je la sens encore trois jours plus tard mais on est probablement plus sur une petite foulure que sur une entorse !
Nous nous posons ce soir auprès d'une plus grande rivière (tout aussi froide que ses copines hein), et décide que je préfère mouiller mes chaussures et les avoir encore trempées demain matin que risquer de m'achever la cheville dans les roches instables (sans regret!)
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En discutant le soir, Sakal nous raconte que lors d'un trek, un touriste a essayé de sauter de la cascade du premier jour et s'est cassé la jambe… il a donc fallu le ramener au village en le mettant dans un hamac pour le transporter. Pratique !
J'ai commencé ce trek frustrée par notre avance lente, m'attendant à retrouver un peu le rythme et l'efficacité qu'on avait eu en Malaisie. Une fois mes attentes realignées, j'apprécie en fait vraiment ces quelques jours : nos guides vont à leur rythme, font une pause quand ils le souhaitent, regardent le paysage, nous montrent plein de choses au lieu de foncer tête baissée vers l'objectif. On profite de toute la journée (et de la nuit, ce qui donne l'occasion de regarder un peu les étoiles !), et on se sent tout petits devant la nature :)
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bathorybitch666 · 2 years
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Imagine Luke Evans your boss
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Notre patron M. Evans prend enfin sa retraite et lègue son entreprise à son fils Luke. -Mon fils Luke prend enfin ma place dans cette boite et j'espère que vous allez appréciez sa présence. Tout le monde sourit et applaudit le nouveau patron Luke Evans quand je le vois qu'il me sans arrêt. Chacun se présente en privé quand vient mon tour. Il me regarde avec un sourire et me demande de m'asseoir. - Mon père m'a beaucoup parlé de toi tout à l'heure. Tu es une femme très intelligente et que depuis que tu travailles ici, la boitte va de mieux en mieux grâce à tes bonnes idées. -Merci, M. Evans. - Parle moi de toi, je veux tout savoir de toi. Je me présente et parle de mon entrée dans la boîte. Quelques mois ont passé et je vois que notre nouveau patron continue de me regarder avec un beau sourire. - Un macchiato aux noisettes sans sucre. Dit une voix très douce, je me retourne et vois M. Evans me donner le café. Je lui souris en le remerciant puis il me demande si je vais bien. Je lui dis que tout va bien en buvant mon café. - M. Evans, nous travaillons ensemble depuis 3 mois et vous m'apportez mon café tous les matins. Pourquoi ?. Il s'appuie contre mon bureau et sourit. - Peut-être que j'aime apporter du café à mes employés qui le méritent. J'aimerais aussi que tu restes après le travail car j'ai quelque chose à te demander. Je lui dis qu'il n'y a pas de problème et que j'irai directement à son bureau en fin de journée. Le soir même en me rendant au bureau de M. Evans, je constate surtout que son bureau est ouvert. Il lève les yeux de son dossier et sourit. - Oh !! tu es déjà là, super. - Vous m'avez demandé de venir après le travail donc je suis là. Il se lève et marche vers moi. - Je voudrais t'inviter à dîner ce soir. Tu accepte ?. - Je... Pourquoi pas. Après tout, ça me ferait du bien de sortir de chez moi le vendredi soir. Il sourit et m'annonce qu'il viendra me chercher à 19h00. A la maison, je me dépêche de prendre une douche et de me préparer pour le dîner. J'enfile une jolie petite robe noire et me maquille légèrement, puis j'entends la sonnette retentir et me précipite pour l'ouvrir. Je vois Luke avec une rose à la main et bien habillé. Il me sourit, m'offre la rose et me baise la main. Mon cœur bat tellement qu'il finira par sortir tellement de ma poitrine tellement mon patron est beau, je sais aussi que toutes les femmes qui travaillent pour lui sont sous son charme. - Tu es si belle. J'espère que tu es toujours d'accord pour dîner avec moi ?. - Je me suis habillé pour sortir avec vous ce soir, M. EVANS. - Appelle moi simplement Luke et nous apprendrons à nous connaître. Il sourit et me propose d'aller à son restaurant favori. Il m'offre son bras comme un gentleman et me fait un clin d'œil en même temps. Nous entrons dans le restaurant lorsque le serveur reconnaît Luke. - Bonsoir Monsieur Evans, comme d'habitude une table pour vous ?. - Non, ce soir je suis en compagnie d'une charmante jeune femme. Dit-il en souriant. Nous allons nous asseoir et commandons notre plat quand je vois que Luke me regarde en train de boire son verre de vin en souriant. - Qu'est ce qu'il y à ?. Je dis en souriant. - Tu es très belle. Dit il en me voyant rougir. - Et tu es encore plus jolie quand tu rougis. Je me mets à rire et le remercie. La soirée se passe à merveille et tout en prenant notre café, on voit un couple se faire un beau bisou. On les regarde quelques secondes en souriant quand il me dit qu'ils sont mignons tous les deux. Je souris en le regardant. Peu de temps après, il m'invite à boire un verre chez lui en me regardant avec des yeux doux. J'accepte en lui prenant le bras alors que j'ai failli tomber. Je baisse les yeux et réalise que mon talon est cassé. - Oh non ma chaussure. Mon talon est cassé. Luke me regarde et une idée lui vient. Il me porte dans ses bras et nous emmène jusqu'à sa voiture. Après 20 minutes de trajet, nous arrivons devant une grande maison. Je sors de la voiture pieds nus quand il vient vers moi et me prend une seconde fois dans ses bras. A l'intérieur, il m'allonge doucement et me regarde prêt à m'embrasser. Il m'invite à m'asseoir et me propose un petit cocktail qu'il a préparé pour nous deux.
- Tu as une magnifique maison et j'aime beaucoup la vue sur ton jardin avec la piscine. - Merci, mais ma future ex-femme fait tout pour me dépouiller de ma fortune. - Tu es divorcé ?. - Pas encore, cette garce refuse de signer les papiers. Elle signe si j'accepte de lui donner 80% de ma fortune et de lui laisser l'entreprise que mon père m'a léguée. Dit-il en venant s'assoir près de moi.
- Oh, je suis vraiment désolé, je te souhaite beaucoup de courage.
Il sourit et me remercie.
- J'ai quand même engagé le meilleur avocat du pays. Dit-il en prenant une gorgée de son verre. Il prend ma main et nous emmène dans le jardin quand je sens sa main caresser mon visage puis se penche et embrasse ma joue. - Et c'est pour ça que je t'ai emmené dîner avec moi parce que tu es une femme extraordinaire et si gentille. Mais mon père a oublié de me dire quelque chose. Je le regarde en lui demandant ce que c'était. - Il a oublié de me dire que tu es extrêmement belle et tellement magnifique. Dit-il en se penchant et en m'embrassant passionnément. Il me demande d'attendre et entre dans la maison et revient quelques minutes plus tard avec une bouteille de champagne et deux coupes. - Cette bouteille est assez chère et la boire seule n'est pas amusant du tout. Alors autant le boire avec une jolie femme. Dit-il en ouvrant la bouteille et en nous servant une coupe. Après quelques gorgées, Luke s'approche de moi, me caresse le visage et rapproche son visage du mien. Nous nous embrassons passionnément quand il prend mes bras pour les mettre autour de son cou. Je sens sa langue entrer dans ma bouche et glisser ses mains sur mes hanches en m'embrassant toujours langoureusement. Je glisse ma main contre sa poitrine et sens ses muscles malgré le fait qu'il porte une belle chemise. Je l'entends gémir doucement alors qu'il mordille tendrement mon oreille. Luke me serre plus fort et entre ses doigts dans mes cheveux. Il dénoue ma robe et la laisse glisser jusqu'à mes pieds. Il commence à embrasser mon cou jusqu'à ce qu'il mordille doucement ma peau tout en retirant ma culotte en soie. Il m'embrasse langoureusement en enlevant ses vêtements et me soulève dans ses bras pour nous faire entrer dans l'eau chaude de la piscine. Nous commençons à faire l'amour passionnément.
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sadistiicangel · 6 months
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• SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES •
CHAPITRE 3: Attention... Ça tourne !
°°°
Trois jours plus tard… Trois long jours qui avaient paru une éternité.. Syana se réveilla. Difficilement.. et avec bien des douleurs mais sans aucun "souvenirs" ne lui paraissant “réels” pour les jours passés... Et pourtant, son corps lui faisait bien comprendre que tout l'était. Mais... Sans comprendre ce qu'elle avait pu vivre, subir. La seule vague de souvenirs qu'elle avait était… ces choses lui étant arrivé. Ces étrange choses. Ces événements passés et ce… monstre?
Cette chose s'en étant pris à elle.
Mais, était-ce réel ou dans sa tête ? Son ventre lui faisait si mal au point même que bouger trop soudainement ou manger était horrible, tout comme pour son bras. Cette sensation, comme s'il avait été arraché puis remis comme à une poupée. Ou bien même sa gorge. Quelle horreur. Une horreur bien trop réelle pour être imaginée. Avait-elle fait quelque chose de mal pour avoir aussi mal ? Pour subir autant de choses ? Ou était-ce le simple fait d'exister et être comme elle était qui lui valait tout cela ?
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Un long soupire passa ses lèvres alors qu'elle restait assise, serrant sa peluche requin contre elle, ne sachant que faire de plus. Mais— ah! En plus.. avec tout cela… elle n'avait en rien pu faire ses courses- Gaah… La bleutée baissa la tête en faisait une petite moue, riant alors nerveusement, en se disant même qu'elle était… véritablement maudite. Elle qui n'aimait pas sortir, si c'était ce qui l'attendait à chaque fois maintenant, elle préférait encore crever de faim. Penser à une chose aussi stupide que ses courses après ce qu'elle venait de vivre…
« Yuyu… Dommage que tu peux pas faire les courses à ma place, hein- … Oui je sais, "Grunk!" Tu veux ta salade— … »
La voix encore cassée et douloureuse, elle parlait comme elle le pouvait; en de petits soupirs douloureux. Elle regarda son cher lapin vadrouiller ainsi, faire ses zoomies habituels avant de venir flop contre son petit dodo. La vie de lapin comme lui devait être formidable. Un long soupir passa ses lèvres, se transformant en un grognements de douleur avant de tousser péniblement. Elle avait mal, certes, mais elle pouvait le supporter, comme d'habitude. Elle ne savait plus comment ces douleurs étaient “réellement” apparues, de façon réalistes et non aussi stupide comme son esprit le lui disait.., Aka… avoir été maltraité par une chose inhumaine, mais tout irait bien. Comme d'habitude, n'est-ce pas-?
Se relevant sur ses deux pieds, elle alla se saisir de son sac, étant à moins d'un mètre, sortant alors une petite boîte à médicaments. Hmm… un Doliprane suffirait pour le moment, au moins le temps de sortir faire ce qu'elle espérait être des courses. Elle l'avala en se pinçant le nez, tirant la langue ensuite. Décidément, c'etait toujours chiant à prendre. Dire qu'en à peine quelques semaines et voulant simplement sortir, sa vie entière était passée de banale à beaucoup trop mouvementée. C'était à peine croyable.. Elle regarda alors son lapin ainsi au sol, un léger sourire aux lèvres, se décidant à aller nourrir son petit gremlin albinos.
Ceci fait et un moment plus tard, ayant attendu que son médicament fasse un minimum effet, la voilà chaussures aux pieds, veste mise, et avec un magnifique écusson au coude, un chat… elle ne se souvenait pas en avoir mis un à cet endroit, mais ça donnait un certain style! Même si… au bras ou elle avait mal, c'était une étrange coïncidence mine de rien. Elle souffla lentement, prenant son petit porte-monnaie et son sac, hésitant un long moment, étant devant sa porte d'entrée, les yeux fermés. Devait-elle… y aller ? Quelque chose, une soudaine peur, semblait la retenir, l'empêcher… C'était totalement idiot, que pourrait-elle avoir de plus que ce que son esprit lui remémorait inlassablement, comme un rêve lucide. Ce monstre, cette chose, elle avait simplement dû la rêver, l'imaginer de toutes pièces depuis son esprit farfelu, oui… Elle devait simplement être…
Paranoïaque.
Ahah..
Ces choses qu'elle avait dû imaginer à la place de la réalité, pour combler sa peur de la foule ou d'être au contact d'autres gens, sans doute… Hah.
Enfin, c'est ce qu'elle aurait espéré. La voilà fuyant à nouveau la réalité, espérant s'en sortir sans dégât… Pourquoi toutes ces choses lui arrivaient comme ça, d'un coup, du jour au lendemain -?! Elle n'avait rien demandé, elle n'avait rien souhaité de tel-...
Elle…
Elle avait souhaité.
Ce stupide vœu fait face à ce magasin. C'était… impossible ! Elle refusait de croire que parmis tous les gens de l'univers, son vœu avait été réalisé, surtout de cette façon. Elle avait demandé une vie plus "vivante", non de mourir bêtement lors d'une sortie !
Serrant la clanche de sa porte, elle ravala péniblement sa salive, cette dernière passant bien mal, tout en étant au bord des larmes. Et si .. si elle était comme cette chose qu'elle avait vu-? Elle se cogna la tête d'un coup, contre sa porte, geignant alors de douleur en se frottant le front avec sa main.
« Mais quel con put- Gaaah….- Aïe aïeuh—… Pas possible d'être aussi co- Une douleur en plus, trop cool—! Ahah ..»
Ses jérémiades fini, elle regarda par le judas de sa porte, une moue au visage. Personne…
Pourvu qu'elle ne rencontre personne cette fois. Elle n'avait qu'à passer deux arrêts, et elle pourrait faire des courses, en toute sécurité ! Syana fit signe à son cher Yuyu, qui devait se poser bien des questions sur la santé mentale de sa maîtresse parfois, avant d'y aller. Clés en poche, la voilà partit, bien rapidement, comme pour éviter quoi que ce soit, éviter tout monde possible…
Éviter de revivre ce que son esprit tentait de lui remémorer. Si ces choses étaient véritablement… vraies.
Maintenant en ville, ayant décidé de marcher et de non prendre un quelconque bus ou tram, elle remettait en question son choix.
Pourquoi je suis sortie.
Pourquoi j'suis aussi con.
Pourquoi je suis pas resté bêtement et simplement dans mon lit à la place de me trauma encore plus -?!
Se disait-elle tout en marchant. Se frottant le front dû à son précédent, et idiot, geste.
À son grand malheur, elle fut en plein.. "embouteillage de monde-?", comme elle appelait la chose. Ses écouteurs dans les oreilles, elle regarda à droite, à gauche, agitant ses doigts dans les poches de sa veste comme à son habitude au rythme de ce qui lui passait en tête, voulant éviter une crise de n'importe quel genre. Panique, peur, énervement... tout. Mais être dans un tel nœud de gens, venant de tout les sens, c'était impossible d'avancer -?! Impossible. Dire que quelque jours avant, les rues qu'elle prenait quotidiennement était littéralement vide.
Le karma, le monde entier, était contre elle, impossible autrement- elle avança, se faufilant entre les gens, voulant au minimum avancer, ce sortir de cette longue rue.
« … Chance sur mille… un milliard, Sya'... Bordel, pourquoi toujours moi…-? »
Elle chercha alors un potentiel endroit calme, ou elle pourrait se reprendre, se calmer, être un peu hors de cette foule qui lui faisait perdre contrôle de tout en elle… Mais être bousculé tél un chiffon, telle une feuille au vent, et réfléchir en même temps n'étaient pas deux choses qui allaient ensemble pour elle. Pris de panique, elle se tourna à mainte reprise, tournant en rond encore et encore... se cognant à plusieurs personnes avant, d'enfin, faire face à un mur. En effet, à force d'être bousculé de la sorte, son chemin avait totalement… dévié. Un mur en coin. Elle était totalement bloqué à présent ! Entre ces murs, et les gens passant en trombes derrière elle. Mais la chose la plus étrange, comme si elle ne semblait pas en avoir eu assez, était qu'elle voyait des gens. Non pas derrière elle en tournant la tête, surtout vu ce à quoi elle faisait face, mais… derrière ce mur auquel elle faisait face. Des hommes en uniformes blanc, faisant passer des gens sous un étrange…. Bâton ? Elle ne savait absolument pas ce qu'était cette chose, mais quelle qu'elle soit, la plupart des gens semblant y passer .. n'en sortaient pas.
Qu-...
Elle recula alors, prise de peur et semblant se poser bien des questions à nouveau. Voir au travers d'un mur était impossible ! Mais.. bien du monde semblaient la fixer à présent, ayant reculé au point d'être à nouveau dans la foule, alors que quelque seconde avant, tout le monde l'ignorait tel un fantôme. Se tournant lentement, son regard ambrée regarda rapidement de droite à gauche, les gens la fixant, elle fut prise de court et d'une panique impossible à exprimer, quand une femme la pointa du doigt tout aussi soudainement, hurlant un;
« Regardez-la ! Elle en fait partie! Sa réaction le prouve– T-Tuez la—!! »
Ne comprenant rien à rien, elle secoua vivement et négativement la tête, disant qu'elle ne faisait partie de rien, elle recula doucement, sa voix se déchirant en un horrible silence. Les mots restent coincé dans sa gorge alors que les larmes lui venait aux yeux. C'était quoi encore, comme histoire -?! Pourquoi devrait-on la tuer en plus de cela-?! Elle partit dans le sens inverse à ces gens, un étrange frisson parcourant son corps, dérapant comme si le sol glissait, elle jura entre ses dents.
Faire partie de quoi ?
La tuer pour quelle raison ?
Qu'avait elle fait de mal a cet instant ?
Pourquoi et comment avait-elle pu voir… au travers d'un mur-?!
Dans l'incompréhension totale de cette suite d'événements, elle sentait que sa tête n'en pouvait plus, tout comme elle. Son corps étant déjà étrangement faible depuis plusieurs jours, elle ne savait que faire, hormis fuir.
Enfin…
C'est ce qu'elle aurait aimé faire-
Fuir.
Sa tête heurta un corps, jurant aussitôt en se mordant la langue, elle recula, prête à fuir à nouveau, à détaler au sol s'il le fallait, avant de sentir quelqu'un lui agripper le poignet mais non brutalement, plutôt… doucement, comme pour lui dire de se tenir en place. Surprise mais aussi effrayé de ce geste, elle tourna doucement la tête, les yeux rougissant de larmes, tremblante de tout son long, elle osa regarder la personne qui venait de l'arrêter…
Encore une fois, sa simple sortie finissait ainsi- c'était… une horrible habitude qu'avait pris sa vie décidément. Mais elle fixa cette main, son regard remontant doucement pour voir cette personne, voyant un homme habillé de noir; un long trench-coat bordeaux sur les épaules, index contre ses lèvres à lui en signe de ne pas faire de bruits. Il lui fit signe de la suivre, la tirant avec lui, évitant avec brio et aisément tout ce monde. C'était incroyable…
L'homme devait avoir… la vingtaine, qui sait, à vue d'oeil. Les cheveux mi-longs d'un magnifique châtain foncé, coiffés en arrière, une longue tresse à l'avant d'un côté de son visage. Les yeux noisette si elle avait vu malgré la vitesse. Elle ignorait tout de cet homme, mais… il ne semblait pas avec ceux en blanc ni même de l'avis de la tuer comme les autres l'avait si expressément hurlé, ceux la poursuivant alors, mais dont le bruit semblait s'éloigner au fut et à mesure que l'inconnu la guidait plus loin. Peut-être aurait-il des réponses…Hein ? Peut-être pourrait-il l'aider à comprendre tout celà, pourquoi et comment sa vie avait tant changé-? Non .. c'était idiot de penser comme ça, de ce dire qu'un simple Inconnu allait avoir les réponses à ses stupides questions. Comment ces choses si étranges n'arrivaient qu'à elle… Réfléchissant bien trop, elle ne réalisa pas de suite que leurs fuite était finie, et que cet homme l'avait emmené devant un arbre. Immense. Si grand qu'il était digne d'un bâtiment haut de dix étages. Enfin… au minimum. Vu le tournis que celà lui donnait, ce devait même être plus ! Elle le regardait, son nœud en plein milieu lui faisant penser à la façon dont elle les dessinait il y a bien longtemps. Mais le plus surprenant pour le moment était ces choses répartit sur les longues branches. Elle pencha la tête, tendant son bras libre comme pour les toucher sans y parvenir, n'en revenant pas, avant de voir cet homme, bras croisés contre son torse, la fixer, l'air sérieux mais à la fois surpris. Agréablement surpris…
« Donc tu peux le voir. Bien. Si ces hommes t'auraient attrapé tu aurait pû dire adieu à ta vie. Comme les autres quoi. Heureusement que ma patrouille se faisait à ce moment.
-C… C'est… censée être… rassurant…?
- Oui. Entre.
- Huh…? S-Stop–! »
Un soupire d'exaspération passa les lèvres de l'homme au manteau, il la prit par les épaules pour la pousser bien rapidement avant de la faire passer au travers de l'arbre, par ce nœud. Tout aussi étrange que ces propos, Syana hurla de surprise avec sa voix encore faible, finissant a l'intérieur, à genoux. Les mains au sol et tremblante de cette surprise. C'était… digne d'un conte de fée tout ça, c'était pas la réalité -! Elle regarda autour d'elle, tournant sur elle-même tout en tapant le sol rapidement, comme pour s'assurer de la chose, la vue semblant la choquer au point de faire une dizaine de tours sur elle-même pour admirer tout cela.
À l'intérieur, cet "arbre" ressemblait en tout point à un immeuble, où tout du moins, diverses pièces reliées par des escaliers. Des étagères aux murs les plus proches ainsi que divers livres, des milliers de livres et ce genre...d'aquariums cylindriques, vides, mais bien présents dans le fond de la pièce. Elle ne savait que dire, hormis…- si… y avait-il des murs ici-? Ou est-ce que ses yeux lui jouaient encore des tours à ne pas les voir par elle ne sait quelle magie —?!
Son cœur battant à une vitesse bien trop élevée, elle crut tomber en arrière, avant de se cogner , à nouveau… et donc de voir un homme derrière elle, vêtu d'un costume étrangement stylisé, une capuche sur la tête.Dos à celui-ci et étant toujours au sol, elle releva la tête pour le regarder…
Cet homme-ci devait avoir sans doute la cinquantaine, ou plus âgé quoi. Des cheveux courts et blancs cendrés, malgré cette capuche les couvrant. Des yeux d'un magnifique vert pâle, digne de pierre de jade, donnant un magnifique contraste. Le plus surprenant étant cet air si apaisant et réconfortant qu'il affichait et dégageait.
La jeune aux oreilles pointues le regarda, se tournant et relevant aussitôt comme par réflexe, détestant être dos aux gens. Qui- Qui était-il-..? Pourquoi avait-elle cette impression de l'avoir déjà vu… Cette étrange impression alors qu'elle ne le connaissait absolument pas…
« Merci, Nathan. Je te suis reconnaissant de ton aide ici. …Mademoiselle, vous êtes en sécurité ici. Puisque cela fait la seconde fois que nous nous rencontrions, je me présente… Je me nomme Garance et je suis celui à la tête de cette “organisation” dirons-nous. Je vous prie de me suivre..
-Seconde… fois ? Huh…? -Elle pencha la tête en haussant un simple sourcil- Et …Si je… r…re…refuse…?
- Tu souhaites peut-être retourner dehors et ne rien comprendre ? Comme tu l'as si bien fait jusqu'à maintenant ? Vas-y alors, hop. -Il lui fit un signe de la main- Allez. Nous ne connaissons pas ton rang donc tu as une possibilité sur trois d'être tué ou de crever comme un chien coûte que coûte.
- Nathan ! Il suffit. »
Avait fait franchement le dénommé Nathan, avant de se faire réprimander, sa langue étant aussi affûté qu'un couteau, et sa franchise… digne de la sienne quand elle ne connaissait pas quelqu'un ou qu'elle était dans son dis mauvais "mood".
Hah…
Mais, elle regarda l'homme à la capuche, le suivant tout simplement. Mourir-... Ce mot lui résonnait à présent en tête. Pourquoi devrait-elle mourir comme un criminel -? Elle n'avait rien fait pourtant ! Rien à avouer ou même à culpabiliser. Elle fut conduit face à l'un de ces étranges aquarium, qui avait attiré son regard peu de temps avant. Regardant ce dernier, elle tourna pourtant la tête à sa droite, là où l'homme était debout, le fixant dans la plus grande incompréhension…
« Assieds-toi je te prie. Calme toi et imagine toi plonger dans une immense bulle. Une bulle où tu es en sécurité. Aussi épaisse qu'un char d'assaut et loin de tout… Peux-tu y arriver ?
-.... Huh-? Hmmh…- Je… Hmn-
- Doucement, doucement… parfait-... Maintenant, pose les mains sur la paroi, ton front également et… Ahah— parfait nous y voilà, ouvre les yeux, doucement…
- …Qu- Ah-! HAH— QU-?! »
Écoutant cet homme à la voix douce, mais semblant se méfier de lui malgré cela, elle fit comme indiquer, mais au moment même ou son front toucha cette parois... elle eut l'impression de fondre au travers, d'entrer dans quelque chose de si confortable et apaisant. Ce qui se confirma quand elle ouvrit à nouveau les yeux sous la demande de ce Garance, voyant une douce lumière émanant tout autour de l'aquarium. Prise de surprise, elle hoqueta à nouveau, regardant autour d'elle, ses cheveux flottant comme dans de l'eau, alors qu'aucun liquide n'était présent à l'intérieur, d'autant plus qu'elle pouvait respirer à plein poumons…surprenant, fascinant… le calme se faisant sentir ainsi, elle souffla, de bonheur, les yeux brillants. Où qu'elle soit, elle aurait bien voulu avoir la même chose chez elle! Même si son tout petit appartement n'aurait sans doute pas la place. Du coin de l'oeil, elle pu apercevoir les deux hommes parler, se signer plusieurs gestes, le calme aux visages, avant que le plus âgé, celui à la capuche, ne lui tapote l'épaule, signe de sortir. Ce qu'elle fit, à contrecoeur, face à cette sérénité qu'elle avait pu ressentir..
« Puis-je savoir ton prénom ?
-….. -Elle recula de quelques pas, serrant son haut à elle-
- N'aie crainte, allons... S'il te plaît— Nous ne te feront rien de mal, au contraire... Nous allons t'aider et répondre à ce que tu souhaites. Nous sommes tous similaires ici, et tu es des "nôtres" si je peux me permettre de te dire.
- ….. Syana-... Syana Rheim…
- Syana… Merci. Ton rang est le cinq, tu semble détenir un pouvoir te permettant de voir au travers de tout; Humains, murs, portes, qu'importent les choses. Un pouvoir impressionnant je dois l'avouer... Mais, je suppose que tu n'en avais pas conscience... N'est-ce pas ?
- …. N… Non- c'est… impossi- C-Comment…–?
- Je vois… toutes ces choses étranges y sont liés et ces "hommes en blancs" que tu as dû voir sont ceux devant arrêter les gens comme nous, ceux à "pouvoirs". Je sais que cette histoire doit te paraître folle et irréelle, digne d'un rêve, mais je peux t'assurer que ce n'est que la vérité. Alors … je t'écoute; as-tu des questions ?
- P…Pourquoi tout ça est apparus d'un coup… ? Pourquoi moi...? Un jour j'étais normale et tranquille .. et a-après… tout était comme ça, je pouvais voir ces…. Ces horreurs, au travers des murs, et des choses bizarres arrêtent pas de m'arriver.. tout les jours- je… je comprends rien-! J'ai l'impression de devenir folle-
- Malheureusement tout est réel…. Tout. Ce monde, ces choses, nous… tout existe. Je suppose également que tu as dû avoir un élément déclencheur, quelque chose qui t'as fait sortir de ton quotidien. Ou bien même un désir. Quelque chose aussi petit et impossible soit-il, non… ?
- Uh… Je… voulais simplement une vie moins ennuyeuse- être un peu plus… normale— et quand je suis passé devant ce magasin, je l'ai souhaité et le jour d'après… BAM ! J.. J'ai rien fait de mal, je vous promets monsieur Garance ! Je… je voulais pas, je- J—
- … Je vois. -Garence pencha la tête tout en se tenant le menton- Je vois Syana, calme toi ma chère… nous t'aideront, je te le promets. Nathan, je compte sur toi pour l'aider. Ton pouvoir est de loin le plus utile de tous les membres ici et tu es l'un des plus informés et fort ici-même.
- … Je n'ai de toute façon pas le choix hein, alors soit. J'accepte.
- Je… je veux rentrer, ça recommenc— … mal… à la têt-... »
Mais la pauvre bleutée n'avait pas pu en dire d'avantage ni entendre plus, son mal de tête revenant ainsi que ses douleurs, elle ne réalisa que trop tard qu'elle venait de tomber au sol, ou sur quelqu'un... Comment pouvait-elle le savoir dans cet état, un malaise. Toutes ces choses… tant de nouvelles choses…. Pouvait-elle véritablement compter sur ces gens ? Contrairement aux autres, elle n'avait pas eu cet étrange sentiment de malaise, de mal être. Cette envie de fuir et de se cacher loin… ces gens semblaient… différents, et ils l'étaient, en soit. Oui. Tout comme elle, elle n'était pas si… normale, banale, bien que toujours digne d'un fantôme par moment…
Peut-être que ces gens pourraient l'aider, en tout, et ne pas rester dans l'incompréhension.
Elle espérait…
Ce tournant était quelque chose qu'elle n'aurait jamais prévu, et qu'elle n'avait pas su gérer…
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FIN DU CHAPITRE 3.
© sadistiicangel – 2024. All art and writting by sadistiicangel ! Do not copy / steal / trace/ repost anything please. Thx.
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lonesomemao · 7 months
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CHAMPS FERTILES
PLAINTE
Commissariat de police
Le plus près de chez vous
Le commissaire accueille une femme étrange
Je porte plainte
Contre qui ?
Mon mari
Comment s'appelle-t-il ?
André il est PDG
PDG de quoi
Et bien c'est logique
Des chaussures André
Que vous a-t-il fait ?
Il m'a cassé les pieds
En quoi ?
Il veut que je porte
Ses chaussures d'homme
De mes talons-aiguille
Il en a assez
En quoi ?
Ca le fait fantasmer
Et dans le mauvais
Ah
Et puis mon mari
Il est Pied Noir
Oui
Je suis Piémontaise
Alors le rapport ?
Il joue au gros Jules
Est-ce qu'il vous frappe ?
Non pire il me casse les pieds je vous dis
Et il a su
Quoi ?
J'ai un amants égyptien
Et il porte des chaussures en croco
Mais com elle sont étrangères
Pas André ça a refroidi mon mari
Dans un échange plus que mordant
Autour des crocodiles du Nil
Voyant sa photo il l'a fermée
Puis là-dessus
Ses chevilles ont gonflé
Il s'est pris pour Crocodile Dundee
En prenant son pied
Mais sans moi
Qui suis ici
Je porte plainte
Il le prend sans moi
Et le commissaire veut prendre la plainte
Il ne peut
C'est une main courante
Vendredi 16 février 2024
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gillougarou · 1 year
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COUTEAUX DE LANCER, MESURES, ET PLUS SI AFFINITÉS.
Avertissement :
Pas de faux espoirs, on casse, on se blesse, on fatigue.
Donc, chaussures fermées, pantalon, veste, surtout quand on apprend à 1 mètre de la cible.   Lancer seul, ou les autres loin derrière car les objets volants et pointus partent en haut, en bas et sur les côtés.
Un petit coup  de disque abrasif léger pour arrondir les bords brut de coupe : quand les couteaux se télescopent vous devenez précis, mais les échardes sont là.
Une meuleuse et ses disques (avec les EPI) pour refaire les pointes.
Les cibles : priorité à des cibles faites dans le sens du bois (des tranches) si des copains connaissent une scierie ou des arbres abattus… bois tendre de préférence,
Perso je renforce les tranches de pin avec un tendeur de vigne et un fil de fer, histoire de durer plus longtemps.
Une craie de couleur vive pour simuler des spots plus petits à atteindre.
J’ai commencé pendant le confinement, après avoir cassé les empênes des fléchettes avec ceci:
Fer plat de 2,5cm sur 27 cm épaisseur 3mm , 3 coups de meuleuse, pas de trempe sur du fer doux mais sur un volet usagé, pas de problème.
Ensuite, j’ai acheté des Smith et Wesson de 20 cm, un  peu léger mais solide, puis des SW de 25cm, des colds steels en 25 et 30 cm.
C’est extra pour débuter en lancer en rotation et pour le lancer sans rotation  dit « skanf » par son inventeur, Yuri Fedin  et popularisé par sa fille Olga Fédina.
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omagazineparis · 1 year
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Touchez du doigt la beauté : comment choisir la bonne longueur d'ongle pour ses mains et ses pieds
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Les ongles sont la touche finale qui sublime vos mains et vos pieds. Un ongle bien entretenu est un gage d'élégance et de féminité. Cependant, il est essentiel de choisir la bonne longueur d'ongle pour un look harmonieux et adapté à votre style de vie. Dans cet article, nous vous dévoilons les secrets pour trouver la longueur parfaite et mettre vos mains et pieds en valeur. Les facteurs à considérer pour choisir la bonne longueur d'ongle La forme de vos doigts et de vos pieds Avant de choisir la bonne longueur d'ongle, il est important de prendre en compte la forme de vos doigts et de vos pieds. Des ongles trop longs ou trop courts pourraient créer un effet disproportionné et peu harmonieux. Par exemple, des ongles longs sur des doigts courts peuvent les faire paraître encore plus courts, tandis que des ongles trop courts sur des doigts longs peuvent les allonger davantage. Votre style de vie L'un des éléments clés pour choisir la bonne longueur d'ongle est de tenir compte de votre style de vie. Si vous avez un travail manuel ou que vous pratiquez un sport nécessitant l'utilisation de vos mains, privilégiez des ongles courts et pratiques. À l'inverse, si vous avez une vie plus tranquille et aimez vous faire plaisir avec des manucures élaborées, vous pouvez opter pour des ongles plus longs. Vos goûts personnels Enfin, il est essentiel de prendre en compte vos goûts personnels pour choisir la bonne longueur d'ongle. Vous devez vous sentir à l'aise et belle avec vos ongles, qu'ils soient courts, longs ou intermédiaires. N'hésitez pas à tester différentes longueurs pour trouver celle qui vous convient le mieux. Les différentes longueurs d'ongles et leurs avantages Ongles courts Les ongles courts sont pratiques, faciles à entretenir et adaptés à un mode de vie actif. Ils sont parfaits pour les femmes qui aiment la simplicité et l'élégance discrète. Vous pouvez opter pour une manucure naturelle ou ajouter une touche de couleur pour sublimer vos mains. Ongles mi-longs Les ongles mi-longs offrent un bon compromis entre praticité et esthétique. Ils sont adaptés à celles qui souhaitent un peu plus de longueur sans sacrifier le confort. Les ongles mi-longs permettent également de réaliser des manucures plus élaborées, tout en restant faciles à entretenir. Ongles longs Les ongles longs sont synonymes de glamour et d'élégance. Ils sont parfaits pour celles qui aiment afficher un look sophistiqué et féminin. Cependant, il est important de bien choisir la bonne longueur d'ongle pour éviter les désagréments liés à une longueur excessive, tels que les ongles cassés ou les difficultés à réaliser certaines tâches quotidiennes. Les ongles longs demandent également plus d'entretien et de soin pour conserver leur beauté. A lire aussi : Les accessoires indispensables pour une manucure et une pédicure réussies Astuces pour bien choisir la longueur d'ongle pour vos pieds Adapter la longueur à la forme de vos orteils Pour choisir la bonne longueur d'ongle pour vos pieds, prenez en compte la forme de vos orteils. Si vous avez des orteils courts, privilégiez des ongles légèrement plus longs pour les allonger visuellement. En revanche, si vous avez des orteils longs, optez pour des ongles plus courts pour un rendu harmonieux. Tenir compte de vos chaussures Les chaussures que vous portez peuvent influencer le choix de la longueur d'ongle pour vos pieds. Si vous portez souvent des chaussures ouvertes, vous pouvez vous permettre d'avoir des ongles légèrement plus longs. Cependant, si vous préférez les chaussures fermées, des ongles trop longs pourraient provoquer des douleurs et des inconforts. Le confort avant tout N'oubliez pas que le confort est primordial pour choisir la bonne longueur d'ongle pour vos pieds. Optez pour une longueur qui vous permet de vous sentir à l'aise, sans gêne ni douleur. Pour choisir la bonne longueur d'ongle pour vos mains et vos pieds, il est essentiel de prendre en compte plusieurs facteurs, tels que la forme de vos doigts et de vos orteils, votre style de vie et vos goûts personnels. N'hésitez pas à expérimenter avec différentes longueurs et manucures pour trouver celle qui vous convient le mieux. L'important est de se sentir belle et à l'aise avec ses ongles, tout en respectant les contraintes liées à son mode de vie. En suivant ces conseils, vous pourrez afficher des mains et des pieds sublimes et harmonieux en toute circonstance. Read the full article
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cannibalcoyote · 1 year
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Réalité Insensée(French)
Il était tôt un jeudi matin quand elle a reçu la terrible nouvelle que son mari était mort.
Elle se demandait pourquoi il n'était pas rentré chez lui la nuit dernière, attendant même près du téléphone, l'appelant finalement mais ne recevant jamais de réponse.
Elle venait de raccompagner ses enfants, Lisette et Alonso, dans leur longue allée jusqu'à l'autobus scolaire qui les attendait, les saluant doucement en s'éloignant bruyamment, laissant finalement son sourire et sa main tomber alors que l'autobus s'éloignait. Retournant à la maison, elle se rendit compte que les oiseaux étaient particulièrement calmes, ce qui rendait le silence inconfortable, car elle était prise au piège de ses pensées incessantes; même la brise qui secouait les feuilles tombées n'était pas aussi forte que d'habitude. Elle a lissé ses cheveux noirs tressés sur le côté avant de tirer mal sur les manches de son pull bleu-gris, enroulant étroitement ses bras autour de son corps comme elle a commencé la marche de retour à la maison, en écoutant attentivement le craquement sous ses chaussures, Son esprit errait toujours dans la confusion quant à l'endroit où se trouvait son mari, Ryker. À quelques pas de son porche, elle ralentit sa marche en entendant le bruit d'une voiture, ses pas faiblissant légèrement pendant qu'elle se retournait, révélant le modèle noir et blanc remarquable d'une voiture de police de Belmont, Ohio conduisant vers elle. L'éblouissement sur le pare-brise du ciel gris rendait impossible de voir qui conduisait, la laissant incertaine de se sentir trop joyeuse ou désemparée par son apparence surprise.
Plus elle se rapprochait, plus son cœur battait vite, prenant des respirations moins profondes tandis qu'elle regardait la voiture s'arrêter à quelques mètres. Ses mains se tordant inconsciemment en attendant que la portière de la voiture s'ouvre, se sentant soudainement mal à l'aise, même s'il faisait assez froid. Elle savait que son mari était en danger en raison de son travail, et savait qu'il pourrait être blessé ou tué à n'importe quel appel; mais rien ne la préparerait pour le regard abattu sur le visage des agents alors qu'il sortait de la voiture.
Ryker était de garde avec son partenaire pour une introduction par effraction dans une zone résidentielle, le criminel était sorti par l'arrière et avait fait le tour de la maison pour venir derrière eux alors qu'ils entraient par la porte cassée, tirant à plusieurs reprises dans l'arrière avant de courir. La police était actuellement à sa recherche, mais il n'y a que deux témoins, un qui l'a aperçu alors qu'il commençait à défoncer la porte, et un voisin qui a vu ce qui se passait et a appelé les flics.
Pendant que l'agent expliquait ce qui s'était passé, son esprit s'est évanoui, le bruit déjà atténué de la forêt disparaissait complètement et cette chaleur inconfortable disparaissait soudainement, laissant son corps plutôt vide. Elle s'est rapidement retrouvée forcée de revenir à la réalité lorsque l'agent a tendu la main pour lui toucher l'épaule, ce n'était ni impoli ni importun puisque cet agent était vraiment bon.
amis avec elle-même et Ryker, mais le contact soudain et inattendu choqué assez pour secouer son épaule et prendre un peu de recul. Il retira immédiatement son bras, le regard tourné vers le bas vers le sol, tandis qu'elle se réveillait un regard regrettable alors qu'elle réalisait ses actions.
Elle a finalement dit, "Je suis désolée Carter, je-je me sens juste un peu dépassée en ce moment." Sa voix timidement silencieuse, un léger bégaiement alors qu'elle essaie de comprendre et de contrôler toutes les émotions qui la traversent soudainement. Un regard de compréhension se lave sur son visage avant de hocher la tête solennellement et de retourner à sa voiture, "Au revoir Saden." Carter a parlé, offrant un bref, triste sourire avant de monter dans sa voiture et de conduire.
Il y avait beaucoup de pensées se précipitant dans la tête de Saden, toutes les nouvelles ne pas lui frapper complètement encore. Son esprit s'emballant, elle rentra lentement dans sa cabine, verrouillant la porte avant de poser son front durement contre le bois taché, se donnant un moment de paix avant de pousser et de se diriger vers le téléphone pour faire quelques appels.
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La maison est sombre, dégageant une aura troublante et déconcertante ; le soleil ne s'étant pas encore levé et aucune lumière à proximité, pourtant voici un garçon avec son uniforme d'école et son sac à dos qui ferme tranquillement la porte d'entrée. Il commence à s'éloigner rapidement de sa maison, l'atmosphère anxieuse qui l'entoure se dissipe lentement plus il s'éloigne, ses épaules tendues et son regard sur le bord diminuent à une simple légère paranoïa.
Il a une cicatrice au-dessus de son oeil, sa couleur un peu rouge le rendant évident contre sa peau pâle. Il a eu cette cicatrice en même temps qu'il a perdu sa mère et sa demi-sœur, l'accident de voiture a été brutal, seulement lui et un des autres passagers de voitures ayant survécu.
Il détourne les yeux des phares aveuglants qui passent de temps en temps sur le trottoir, sa paranoïa disparaissant de plus en plus près de l'étang de Bingham. Il trouve un endroit loin de la route, posant son sac vers le bas comme il observe les cygnes endormis et les canards. Un petit sourire embellit ses traits tandis qu'il se souvient quand lui et sa mère, Liz, venaient ici tôt le matin pour parler et regarder le lever du soleil avant l'école; son sourire disparaissait aussi vite qu'il était arrivé car il se rend compte qu'il ne peut venir ici seul maintenant. Il pouvait toujours demander à son beau-père Alec de venir avec lui, mais il redoutait toute réponse d'Alec, surtout maintenant qu'il était le seul à survivre à l'accident de voiture.
Dans une tentative de secouer ses pensées loin du passé, il regarde en arrière aux cygnes, admirant leur beauté contre l'eau sombre. Les premiers rayons du soleil commencent à briller contre le ciel sombre, une légère brise le faisant frissonner car il n'a pas de veste uniforme puisque cela coûte de l'argent supplémentaire. Alors qu'il s'assoit et se penche contre un arbre, il fait un clin d'œil à la douleur qui s'enflamme dans son dos avant de la secouer et de tirer son sac vers lui, de déboutonner le métal qui gèle et de tendre la main, de sortir une chemise contenant des devoirs non finis; beaucoup d'entre eux avaient des froids et des larmes même s'il les gardait soigneusement dans un dossier. Dégageant un soupir las et exaspéré, il commença à travailler, en commençant par son nom, 'Archer Carlisle', ses mains froides rendant plus difficile l'écriture et un regard d'aggravation clignote à travers ses yeux car il sait qu'il ne fera pas tous ces devoirs avant l'école; peur de le remplir à l'idée d'avoir à parler à Alec de la mauvaise note, même si son travail inachevé et déchiré était la faute d'Alec. Avec un autre soupir, il se remit au travail, essayant d'en finir le plus rapidement et le plus précisément possible.
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Cela fait une semaine qu'on m'a parlé de sa mort, je savais déjà que je ne pouvais pas rester dans notre confortable maison de l'Ohio, surtout depuis que Ryker l'a construite; le simple fait de passer la porte a provoqué un sentiment nauséabond de me laver en sachant que je ne le reverrai jamais.
L'enterrement était hier après-midi... La robe noire que je portais est maintenant un tas de cendres grises dans le foyer. Ma fille Lisette est partie avec moi, c'était une journée venteuse avec une goutte de pluie saupoudrant le sol à l'extérieur; il semble que le monde pleurait même la perte, mais c'est probablement juste moi mettant du sens dans des choses simples. Mon fils Alonso prit la mort de son père très fort, je sais à quel point ils étaient proches, et voir mon fils pleurer fit une déchirure à travers ma façade de force, mais je dus rapidement l'essuyer pendant que j'embrassais mon fils qui pleurait. Ses cris duraient pendant une heure, Lisette se mit à pleurer aussi quand elle vit la forme tremblante d'Al être réconfortée par la mienne. Cette nuit-là, je suis resté avec eux dans leur chambre, assis sur le tapis entre leurs deux lits, une main saisie dans chacune des miennes pendant que je leur racontais des histoires pour les endormir. Quand j'ai su qu'ils dormaient, j'ai continué à leur tenir les mains, en penchant ma tête contre le mur en bois tandis que je regardais vers le plafond, la lumière de la lune créant des ombres de branches d'arbres contre le mur opposé. Je me suis simplement assis là, en pensant aux appels que j'ai faits le jour où j'ai reçu les nouvelles; d'ici la semaine prochaine, ce qui reste de ma famille sera dans notre chalet écossais, loin d'ici, loin de lui.
Je dois encore dire aux enfants, je ne sais pas comment leur dire que nous nous éloignons de tout ce qui nous rappelle leur père. Je ne peux qu'espérer qu'ils ne me mépriseront pas pour cette décision, mais le simple fait de rester dans cette maison me fait errer dans une direction où je ne me permettrai pas d'entrer.
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La cloche sonne fort quand je me précipite dans la porte de fermeture de ma salle de classe, jetant un coup d'œil autour de la pièce, je vois tout le monde déjà assis et le professeur qui me regarde de façon pointilleuse. En baissant les yeux, je redresse mes devoirs et je dépose les pages mal finies dans le panier avant de passer devant le bureau de mon professeur pour atteindre mon siège, en évitant son regard et celui de tous les autres à tout moment.
Je sais que je ne devrais pas avoir peur de mes professeurs, mais M.Curraigh a la même voix sévère qu'Alec, et je ne peux m'empêcher d'être anxieux chaque fois que j'entre dans sa classe ; ses règles strictes et sa stature intimidante ne m'aident pas vraiment à différencier les deux.
Monsieur Curraigh me regarde de son ordinateur, j'avale nerveusement et je mélange légèrement dans mon siège en regardant le papier que je mets délicatement sur mon bureau. Le bavardage tranquille de la classe avait repris il y a quelques instants, mais a été rapidement arrêté à nouveau quand Mr.Curraigh a poussé sa figure penchée hors de son bureau et tranquillement strié vers l'avant de la classe.
« Monsieur Carlisle, voulez-vous expliquer à la classe pourquoi vous étiez en retard? Encore une fois." Sa première phrase nonchalante contrastait beaucoup avec sa dure énonciation de 'nouveau'. Inconsciemment, je baisse la tête car la classe est silencieuse, d'autres classes peuvent rire, mais elles savent qu'il ne faut pas déconner dans cette classe.
Je secoue la tête 'non' ne faisant pas entièrement confiance à ma voix pour répondre sans bégayer.
"Je ne vous entends pas, Archer. Expliquez à la classe pourquoi vous étiez en retard." Sa voix aiguë et accentuée résonnait contre le calme et ne laissait aucune place pour éviter sa question. Je sais qu'il me regarde en attendant sa réponse. Je le regarde enfin, répondant tranquillement, tandis que mon regard vacille constamment entre lui et le plafond.
"J'ai trop dormi, monsieur, je ne laisserai pas ça se reproduire." J'ai essayé de présenter un visage calme pour espérer l'empêcher de m'appeler à nouveau, mon esprit intérieur est criant avec des pensées de savoir s'il acceptera l'excuse ou non. Une seconde passe avant qu'il retourne au tableau blanc et commence à écrire, tout le monde le copie rapidement dans leurs carnets, la conversation semble oubliée. Un soupçon d'inquiétude continuait de me faire penser qu'il savait que mon excuse était fausse, mais je n'ai pas eu le temps de la contempler, car je prenais déjà du retard sur les notes, et ma récente blessure au poignet ne va pas me servir non plus.
Le cours a finalement pris fin, la plupart des gens étaient emballés et attendaient à la porte la cloche, seulement quelques personnes étaient assises à leurs bureaux. Je rentre les devoirs assignés dans leur dossier, en plaçant mon carnet dans mon sac ainsi. J'atteins le dossier quand une autre main le saisit en premier, une main n'appartenant à aucun élève. Je garde les yeux levés avant de regarder rapidement le bureau, c'est Mr Curraigh qui tenait mon dossier de devoirs, il était appuyé contre le bureau pendant qu'il parcourait le dossier maintenant ouvert.
"Vous savez, votre organisation et vos soucis ne s'additionnent pas quand vous rendez des papiers déchirés." Il déclare alors qu'il ferme lentement le dossier, le tenant pour que je le prenne, ce que je fais suivre rapidement avec, le plaçant silencieusement dans mon sac.
"Tu veux me dire la vraie raison pour laquelle tu sembles toujours être en retard ?" Monsieur Curraigh s'interroge, sa voix normalement forte et sévère maintenant plus silencieuse et contenant un soupçon d'inquiétude. Ça fait quelques instants et je n'ai pas encore répondu quand il dit,
Archer, si vous avez une vraie raison pour laquelle vous êtes en retard, je comprends, mais je ne peux plus accepter ces fausses excuses. C'est la 10e fois que vous êtes en retard. Si vous ne pouvez pas me donner une vraie raison, alors je dois vous mettre en détention. » Sa voix n'a jamais été très stricte ou dure tout au long de la phrase, ayant plus d'un ton d'avertissement à lui, mais tout ce que je peux rassembler comme une réponse est de secouer mal à la tête 'non' que je lève pour rencontrer son regard. Mr.Curraigh attend simplement une seconde avant de relâcher un soupir exaspéré et de pousser hors du bureau.
"Ne soyez pas en retard pour la détention Monsieur Lisle's." Est-ce tout ce qu'il dit avant de revenir à son bureau, la cloche sonne et les étudiants se précipitent hors de la porte, moi-même suivant immédiatement que de ne pas être en retard à ma prochaine leçon. Mes pensées pour le reste de la journée sont embrouillées par la façon dont Alec va réagir quand je rentrerai tard à la maison, comment il va réagir quand je lui dirai que j'ai obtenu la détention à nouveau. L'effroyable piscine dans ma poitrine, ce qui la rend tendue et l'air suffoquant pendant que je me promène à travers la journée.
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Le premier jour dans notre nouvelle maison, c'était un chalet que mes parents possédaient et dont j'ai hérité. Loin de l'Ohio, loin de Ryker, tout le chemin à Glasgow, en Écosse, situé dans une belle région avec des champs verdoyants et un mur de pierre soigneusement l'entourant.
Lisette et Alonso avaient pris le mouvement mieux que je m'y attendais, il semblerait qu'ils voulaient s'enfuir autant que moi. J'avais appelé à l'avance pour m'assurer que le chalet était prêt pour quand nous sommes arrivés, et un ami de mes parents vient pour surveiller mes enfants puisque je dois aller à mon travail dès que possible. Se précipitant hors de la maison, je donne vivement à l'ami un câlin, indiquant rapidement le temps que je serai à la maison avant de courir plus à mon véhicule Volkswagen de location. Mes sacs sangle torsion que je tente de situer tout dans la voiture, je le pousse rapidement dans le siège du passager avant d'ajuster les rétroviseurs et de se diriger vers mon nouveau travail.
Les nuages gris qui jonchent le ciel me rappellent beaucoup de chez moi, mais cette ville animée est exactement ce dont j'ai besoin pour m'éloigner de ma vie de petite ville. Conduire sur le côté gauche est assez étrange, quelque chose qui va prendre un certain temps pour s'habituer.
Lorsque je me gare dans le stationnement, je remarque que l'école approche de la fin de la journée, et j'espère ne pas me faire virer avant même de commencer. En trébuchant rapidement à travers la porte du bureau, je redresse ma posture et ma chemise avant de marcher à la réception et de dire que je suis le nouveau professeur de sciences. La femme sourit avant d'appeler quelqu'un, je suppose que le principal ou peut-être un autre professeur.
Après avoir attendu environ 2 minutes, la porte du bureau s'ouvre bruyamment, un grand homme aux cheveux bruns épais et à la stature intimidante s'avance, faisant un petit clin d'œil à la femme avant de s'approcher de moi. Je me lève et lui serre la main.
"Bonjour, je suis Mr Curriagh ou Aric, je suis là pour vous escorter jusqu'à votre classe." Sa voix a un accent épais, quelque chose que je vais devoir utiliser aussi maintenant que je vis en Écosse. Sa posture intimidante semble contraster avec le sourire amical qu'il offre.
"C'est un plaisir de vous rencontrer Aric, je suis Saden." Je lui réponds poliment avant de me laisser sortir du bureau et descendre le couloir.
"Alors, vous êtes le nouveau professeur de sciences?" Il exprime une légère curiosité, continuant à naviguer dans les salles vides.
"Oui, qu'enseignes-tu?" Je me demande, marcher plus vite pour suivre son rythme rapide.
"Oh moi ? J'ai toujours été un homme de littérature." Sa réponse fait apparaître un petit sourire, le fait que les gens ici sont si gentils et accueillants est quelque chose que j'adore. Nous nous arrêtons après un autre moment de marche.
"Eh bien, c'est votre classe, bien que vous soyez arrivé un peu en retard." Il explique alors que nous regardons les étudiants faire leurs valises. Bien sûr, le premier jour de mon travail me manquerait.
"Ne vous inquiétez pas de manquer votre classe, vous pouvez passer pour aider à la détention ou explorer le terrain." Aric déclare qu'alors qu'il scintille des yeux de la fenêtre vers moi, je suis sur le point de répondre lorsque la cloche sonne fort, faisant écho à travers les salles vides avant que les portes de la salle de classe s'ouvrent et que les élèves sortent. Nous nous tenons tous les deux près de la fenêtre de ma classe jusqu'à ce que les couloirs se calment à nouveau, seulement quelques étudiants se tiennent debout, tandis que certains viennent de finir de remballer.
Aric se retourne pour me parler à nouveau quand son regard se tourne vers quelque chose derrière moi, son cri soudain me surprend, et je me retourne rapidement pour voir le coupable.
Un jeune garçon aux cheveux bruns foncés s'arrête immédiatement, les yeux écarquillés pour se faire crier dessus, le bras tendu autour de son livre agrippé contre sa poitrine.
"Archer. La détention est dans l'autre direction." Aric déclare alors qu'il se dirige vers l'élève. Je m'attendais à ce que n'importe quel élève soit nerveux d'être appelé par un professeur, mais cet élève, Archer, semblait carrément terrifié.
Avant qu'Archer ne soit capable de répondre, Aric recommence à parler. "C'est la deuxième fois que vous essayez de sauter la détention, Archer." Donnant une légère pause comme il attend une réponse, après en avoir reçu aucune, il a lâché un soupir d'irritation avant de dire, "Venez avec moi Archer." Commencer à marcher vers moi, Archer est à quelques pas derrière, les yeux braqués sur le sol.
"Je suis désolé de couper court à votre visite, mais je dois escorter cet étudiant à la détention." Aric déclare alors qu'il jette un coup d'oeil vers Archer.
"Ça va, Aric, ça te dérange si je viens ? Mon premier jour m'a manqué." Je m'interroge, en regardant Archer, ses yeux n'ayant pas bougé du sol tout le temps. Aric hoche brièvement la tête avant d'ouvrir la voie à la détention. Je suis rapidement, en essayant de suivre, en écoutant Aric décrire les parties de l'école que nous traversons.
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Qui est cette personne? Est-elle la nouvelle enseignante? Elle a dit qu'elle avait manqué son premier jour ici, et notre nouvelle enseignante en sciences n'a pas pu se présenter.
Je lève la tête, les yeux fixés sur elle pendant que je réfléchis pour savoir si je dois poser ma question ou non. Enfin céder à la curiosité, je demande, "Êtes-vous le nouveau professeur de sciences?" Ma question semble les surprendre tous les deux de leur petite discussion, Monsieur Curraigh maintenant silencieux alors que j'attends sa réponse. Elle se tourne vers moi et m'offre un sourire amical avant de répondre, "Oui c'est moi, vous pouvez m'appeler Mme Monroe." Sa réponse est gentille mais courte, et sa voix semblait vaciller légèrement quand elle a dit son nom de famille, me faisant pencher la tête si légèrement dans la confusion à cause de sa réticence à prononcer son nom de famille.
"C'est agréable de vous rencontrer Mme Monroe, mon nom est Archer." Je réponds, ma voix semble plus confiante et plus forte que mon ton normal, bien que j'y ai à peine pensé. Pour le temps qu'il restait de la promenade à la détention, je l'ai passé à parler à Mme Monroe, je ne sais pas pourquoi, mais elle semblait plus facile à parler, cela aurait pu être de sa position non timide et de sa taille, ou peut-être qu'elle m'a rappelé ma mère, qui sont toutes deux plausibles.
Nous parlions du livre que je tenais quand M.Curraigh s'est arrêté, la salle où se trouve la détention juste devant nous. Je tends la main pour saisir la poignée, oubliant momentanément ma blessure au poignet jusqu'à ce que je libère un grognement de douleur, tirant immédiatement mon poignet en arrière et le tenant contre ma poitrine comme la dure agonie saisissante qui inonde mon système, me rappelant d'hier.
Monsieur Curraigh et Madame Monroe semblent tous deux choqués par mon brusque accès de douleur, Madame Monroe est sur le point de dire quelque chose mais je n'ai pas le temps de penser, trébuchant en arrière je tourne légèrement et m'enfuis. Je vais au seul endroit où je me sens en sécurité, Bingham's Pond, ou Swan Pond comme ma mère avait l'habitude de le dire; juste se rappeler que provoque une vague d'angoisse pour balayer à travers mon corps, toutes ces choses qui continuent de se produire sont trop accablantes. D'abord je perds ma mère et ma sœur dans un accident de voiture, puis mon beau-père (qui m'a déjà détesté) me blâme pour cela, et maintenant j'ai un professeur qui me rappelle exactement ma mère, je ne sais tout simplement pas comment je devrais me sentir ou répondre à ces situations plus. Je suis tellement pris dans ces pensées prolifiques et ces douleurs douloureuses que je n'entends pas les pas qui s'approchent de moi. C'est la main soudaine sur mon épaule qui m'a fait trembler devant la présence d'une autre personne. En tournant rapidement la tête, je m'attends à voir un Mr Curraigh en colère ou peut-être Alec, mais je suis plutôt rencontré par le sourire triste de Mme Monroe alors qu'elle s'accroupit à côté de moi. Tendre sa main pour mon poignet, je m'esquive, mais après une seconde, je lui permets de voir mon poignet, ignorant la conséquence possible qu'elle pourrait remettre en question la façon dont j'ai subi cette blessure.
C'est le léger élargissement de ses yeux qui m'a fait suivre son regard, j'ai choisi de ne jamais regarder mes blessures, donc voir mon poignet enflé et meurtri fait que mes yeux s'élargissent aussi. Elle touche légèrement mon poignet et je retire immédiatement, la douleur brûlant à travers mon bras. Elle semble s'asseoir là dans un moment de réflexion, comme si elle contemplait ce qu'elle devrait dire.
"Archer. Comment est-ce arrivé ?" Voilà, la seule chose que je ne voulais pas entendre. Je secoue la tête et regarde ailleurs, seulement maintenant réalisant que quelques larmes avaient coulé sur mon visage, les essuyant rapidement avec ma main libre. Je n'entends pas de réponse à mon refus, alors je regarde en arrière, en voyant Mme Monroe retenir des larmes aussi, même si je ne sais pas pourquoi. Secouant la tête, elle se pousse du sol, et tend une main pour moi, que je prends lentement. Maintenant debout, je me dépoussière avec ma bonne main, tenant mon sac à dos en attendant ses questions.
Tout ce qu'elle fait, elle semble secouer la tête vers elle-même, avant de me faire signe de la suivre. Elle me ramène à l'école, sans jamais me parler ni me regarder, juste regarder en avant, presque vide. Elle m'emmène à la salle de médecine et me dit d'attendre à la porte pendant qu'elle s'éloigne pour converser avec une infirmière. Je me demande ce qu'elle veut dire. Croit-elle que mon beau-père a causé ces blessures? Croit-elle qu'un autre élève m'a fait cela? Dois-je m'enfuir tant que j'en ai encore l'occasion ? Mes pensées sont brusquement arrêtées alors que Mme Monroe et l'infirmière marchent vers moi, ma nervosité s'élevant vers une autre personne maintenant présente.
J'ai essayé de ne pas prêter attention aux poussées de douleur pendant que l'infirmière enveloppait mon poignet dans un sac de glace, le froid glacial me faisant frissonner car le temps dehors était déjà froid. Après quelques minutes de glaçage de mon poignet elle sort un bandage de compression, enveloppant doucement mon poignet et ma main, la douleur a diminué, mais maintient une douleur constante qui entoure tout mon bras. Quand elle a fini, elle me donne des instructions à faire tous les jours, et une note pour la classe vu que c'était mon écriture.
En marchant jusqu'à la porte, j'aperçois Mme Monroe qui attend là, son sourire amical remplacé par un regard sérieux et sévère, qui rend mes pas un peu plus hésitants. Nous quittons la salle de médecine et sortons dans le couloir calme et désolé, son visage toujours sérieux alors que nous nous arrêtons tous les deux.
"Comment avez-vous eu cette blessure Archer." Ce n'était pas une question, mais quelque chose qui exigeait une réponse, que j'étais extrêmement réticent à donner. En inclinant mon visage loin d'elle je secoue encore la tête 'non', ne voulant pas lui dire la vérité, mon esprit criant que cela causerait plus de douleur que de bien, que même si elle me croyait personne d'autre ne le ferait.
"Archer, si tu ne me le dis pas, je devrai dire au bureau d'appeler ton père." Elle affirme que sa voix perd une partie de sa fermeté alors qu'elle essaie de me faire répondre.
Entendre son appel Alec mon père provoque tous ces sentiments à exploser, ma colère coule librement, et je ne peux pas m'empêcher de réagir chaotiquement, "IL N'EST PAS MON PÈRE!" Mon cri résonne dans le couloir, le silence laissé dans son sillage est inconfortable, toute cette confiance motivée par la colère quitte rapidement mon corps en expirant. Elle n'est pas stupide, elle va comprendre ce qui se passe, je vais être emmené loin de chez moi, le dernier endroit qui me rappelle maman et ma sœur.
Sa posture semble se raidir après avoir entendu ma réponse, je ne peux qu'espérer qu'elle ne sera pas en colère contre mon accès.
"Je ne vais te le demander qu'une fois de plus. Qui a fait ça." Sa voix était mortellement silencieuse, la deuxième phrase étant sévèrement énoncée et ne laissant aucune place aux excuses. Je lui fais enfin face, bien que ma tête soit encore baissée, mes yeux vacillant vers elle de temps en temps alors que je contemple ce que je m'apprête à dire.
"....Alec." Ma voix est presque un murmure, même si je sais qu'elle l'a entendu, et savoir que quelqu'un d'autre est au courant de ce secret me fait me sentir... vulnérable.
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sensibles-banalites · 2 years
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Monde intérieur
Écrire comme un fugitif
Se cacher pour trouver les mots
Escalader la réalité par le texte
Sans que personne ne le sache
En cavale mener une double vie
Celle qu’on se raconte et celle qu’on palpe
Celle du rêve et celle de la pesanteur
Celle dans le ventre et celle qui s’observe
Cela fait-il de moi une menteuse ?
Une petite cachotière pour sûr
Tant de sentiments contenus qui restent
Impossibles à exprimer
A la lumière des terriens entiers
Ceux qui sont bien dans leurs chaussures
Ouvrir la porte aux inconnus familiers
La fermer à double tours pour les siens
Et prier pour qu’ils ne découvrent jamais
Le pot aux roses cassé
Ils pourraient s’apercevoir
De la gangrène qui ronge,
De l’être vide et de l’incertitude
Qui aime l'inconstance, dis moi ?
Je veux que l’on croie que
Je suis quelqu’un sur qui
L’on peut compter
N’importe où et n’importe quand
Car j’ai besoin de toi, terrien
C’est ta force qui me maintient en vie
Alors en douce dans mon jardin secret
Je fais pousser mes faiblesses
Je les arrose d’un brin de poésie
En espérant un jour voir éclore
La paix intérieure
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bathorybitch666 · 2 years
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Luke boss 2
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Imagine Your boss Luke becomes your lover and it's hot
En me suis réveillant ce matin, j'ai remarqué que le lit était vide.
-Luke ?.
Dis-je en me levant et en tirant la petite couverture pour la mettre autour autour de moi. Je descends quand j'entends des bruits dans la cuisine. Luke est là en train de cuisiner et il ne porte qu'un bas de pyjama. Il se retourne et me sourit en me voyant.
- Bonjour beauté. As tu bien dormi ?.
Je réponds d'un oui en marchant vers lui. Il commence à poser sa poêle sur la plaque chauffante et m'embrasse doucement sur les lèvres en me souriant.
- Je suis désolé mais je dois rentrer chez moi pour me changer.
Dis-je doucement.
- Ne t'inquiète pas ma chérie. Nous irons chez toi et ensuite nous irons au bureau. En attendant, voici des bonnes crêpe réalisée par le chef Luke et un bon café pour sa dame.
Je commence à rire et goûte les crêpes que Luke a faites. Il me regarde en attendant une réponse.
- Elles sont délicieuse mon cœur. Oups, je suis désolé, je voulais dire Luke.
Dis je rouge de honte. Luke prend ma main dans la sienne et me sourit en me disant qu'il adore son nouveau petit surnom.
- Nous ne sommes pas en couple et je ne peux pas t'appeler comme ça.
- A mes yeux, tu es déjà ma petite amie. Je suis tombé amoureux de toi au premier regard.
Je le regarde et commence à lui dire que je suis amoureuse de lui aussi et que je suis heureuse d'être sa petite amie. Un peu plus tard Luke se gare devant mon garage et me suit jusqu'à chez moi.
- C'est tout petit mais je suis tellement bien.
Dis-je en jetant mes chaussures cassées à la poubelle. Il me prend dans ses bras et m'embrasse l'oreille en me disant que si ça marche entre nous, on aura l'opportunité d'avoir une grande maison rien que pour nous deux. Je me tourne pour lui faire face et le regarde, glissant mes bras autour de son cou. Je monte dans ma chambre pour prendre de nouveaux vêtements que Luke m'a déjà suivis. Il me regarde et s'approche de plus en plus, enlevant sa chemise blanche. Je le regarde, admirant ses mains qui enlèvent sa chemise et dénouent son pantalon. Il retire son boxer et attrape ma main pour que je puisse le toucher.
- Luke, nous allons être en retard au travail.
- Ne t'inquiète pas poupée. Je suis le patron et je décide qui a le droit d'être en retard ou non et aujourd'hui tu as le droit d'être en retard.
Dit-il en prenant mon menton entre son pouce et son index.
- Regarde dans le tiroir de ma table de chevet.
Dis-je en ronronnant. Il me regarde et s'exécute. Il y a dans le tiroir de l'huile de massage et une paire de menottes. Il les prends et me regarde.
- Je vois que Madame veut être attachée.
Dit-il en me serrant contre lui. Il me cache les yeux avec sa cravate et enlève mes vêtements un par un. Il me demande de m'allonger sur le lit et de lever les bras. Je sens les menottes froides autour de mes poignets et les doigts de Luke glissant légèrement le long de mes bras et jusqu'à mon ventre. Je sens son poids sur le lit et ses lèvres explorent chaque partie de mon corps jusqu'à mon vagin.
- HMMM quel délicieux parfum.
Puis sa langue glisse contre mon fruit défendu.
- Et quel délicieux nectar.
Dit-il en continuant de me dévorer la chair. Je gémis de plaisir en prononçant son nom.
- Continue de crier mon nom bébé. Mouille pour moi ma belle petite salope.
Dit-il en me mordant ce qui me fait hurler de plaisir.
- Oh Luke, s'il te plaît, ne t'arrête pas.
Il continue à me dévorer jusqu'à mon premier orgasme. Il détache mes menottes et enlève la cravate de mes yeux. Je vois son regard d'homme dominant et il me voit me mordre la lèvre inférieure et lui faire signe de venir vers moi. Il ouvre mes cuisses une deuxième fois et continue de me lécher en me regardant. Il glisse sa langue sur mon ventre et remonte jusqu'à mes seins et les suce doucement. Je bascule Luke sur le côté et j'embrasse sa mâchoire carrée, sa poitrine, son ventre, son bas-ventre pour finir avec sa queue dure. Je le masturbe doucement et commence à lui faire une pipe agréable. Je l'entends gémir doucement et sens ses mains sur ma tête. Il pousse ses hanches contre ma tête en profondeur tout en me parlant de désir.
- Suce moi un peu plus fort.
Dit-il en me caressant les cheveux. Il me tourne sur le côté et se glisse en moi et pousse doucement en levant ma jambe. Je l'entends gémir et sens ses dents mordre ma clavicule. Il penche la tête en arrière, ferme les yeux tout en se mordant la lèvre inférieure.
- Oh mon bébé comme c'est chaud.
Dit-il en poussant de plus en plus fort. Je me met à quatre pattes quand Luke me prit par derrière, accélérant toujours le mouvement. Des bruits de claquement de chair se font encore plus entendre. Je l'entends grogner comme un animal sauvage quand c'est à mon tour de crier un peu plus fort.
- Tu es une vrai petite garce, tu mérites une bonne fessée.
Dit-il en me giflant le cul et en me tirant les cheveux. Je crie en souriant en lui demandant de continuer. Quelques minutes passent quand c'est à mon tour de m'asseoir à califourchon sur lui. Je le glisse en moi. Il grimace de plaisir et continue de me regarder avec dominance en gémissant.
- Baise moi plus fort ma pute.
Dit-il quand je ressens mon deuxième orgasme, puis un troisième orgasme. Un quatrième arrive, ce qui fait crier Luke alors qu'il sent mes ongles s'enfoncer dans sa peau, le laissant avec des égratignures.
- Wooow bébé, tu es une vraie fontaine. Merde je suis tout trempé.
Dit-il à bout de souffle. Je me lève et me dirige vers la salle de bain.
- Où vas-tu ?.
Me demande-t-il en se redressant.
- Prendre une douche.
Dis-je en me mordant la lèvre et en lui faisant signe de me suivre.
- Oh la chaude.
Dit-il en se levant et en courant vers moi. Deux heures passent et nous voici au bureau. Luke m'embrasse et me laisse travailler en paix.
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