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#chrétienté
francepittoresque · 9 months
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25 décembre 496 : baptême du roi Clovis ➽ http://bit.ly/Bapteme-Clovis Clovis fut le premier roi catholique de la chrétienté, et sa conversion après la bataille de Tolbiac qu’il remporta en invoquant l’aide de Dieu, le servit tant par l'influence qu'il eut ainsi sur le peuple gaulois, que par l'appui du clergé dont le pouvoir était alors immense
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L'icône ukrainienne : voyages artistiques de la foi et de l'identité culturelle
L'icône ukrainienne : voyages artistiques de la foi et de l'identité culturelle
Vidéo d’introduction du crédit : Vidéo de l’Église religieuse de Vimeo de Pixabay Le texte ci-dessous est l’extrait du livre L’icône Ukrainienne (ISBN: 9781639198986), écrit par Liudmila Miliayeva, publié par Parkstone International. Chez les Slaves orientaux comme chez tous les autres peuples chrétiens, la seule source du culte des icône (c’est-à-dire des images peintes) fut Byzance, cet…
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enfantsdusilence · 18 days
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La foi au delà de la chrétienté
Par Maurice Bellet La foi chrétienne après le christianismeMaurice BelletInterview de Maurice Bellet La foi chrétienne après le christianisme Psychanalyste et prêtre, philosophe et théologien, Maurice Bellet, décédé en 2018, a produit une œuvre considérable et originale : plus de quarante livres, qui mobilisent les registres les plus variés au service d’une même passion pour l’homme et pour…
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pierre-hector · 5 months
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La gnose contemporaine, par Christian Lagrave
Christian Lagrave nous présente un panorama historique (non exhaustif) des auteurs gnostiques, des mouvements et enchevêtrements gnostiques dont par exemple le New Age est issu, des concepts et termes gnostiques repris aujourd'hui par nombre d'influenceurs des réseaux sociaux via les chaînes de coaching, de développement personnel et autres, par psittacisme et par ignorance.
‣ Chaîne Youtube « Alesxandre Lebreton », « Les dangers de la Gnose contemporaine, par Christian Lagrave (gnosticisme) », pub. 4 oct. 2017, https://www.youtube.com/watch?v=Ncgzy4GF5Mk (cons. 25 avr. 2024).
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cramazouk · 9 months
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Dieu matérialiste contre Dieu Providence
N'ayant aucune connaissance théologique ou sur l'Histoire des religions, je ne sais pas situer les différents courants opposant leur idée de Dieu.
J'ai néanmoins trouvé en quelques minutes quelques termes permettant de différencier des approches radicalement différentes. Elles peuvent trouver leur justification dans une lecture littérale des textes sacrés (vieux de milliers d'années). Mais il faut se rendre compte que cette approche est loin d'être la seule, ce qui est logique vu qu'on a une conception du monde aujourd'hui très différente avec notamment l'approche scientifique de la compréhension de la matérialité.
Un aspect qui m'intéresse le plus de critiquer, c'est la question du Dieu créateur et omnipotent. Et ce qui en découle et qui s'appellerait la "théologie de la providence".
C'est vraiment une façon d'aborder Dieu qui est peut-être la plus représentée culturellement.
Tout cela découle d'un mythe du Dieu créateur. Dieu serait le créateur du monde. Je trouve que ça joue pour beaucoup dans l'idée d'un Dieu personnifié, doté d'une intention personnelle, d'une conscience. La théologie de la providence, que je trouve vraiment tout autant absurde, c'est celle qui dit que Dieu serait derrière chaque chose qui se produit. Donc évidemment, même derrière les malheurs qui nous touchent, il y aurait une intention cachée de Dieu, un mystère qui donnerait sens à ces horreurs.
Personnellement, et je pense qu'on sera nombreux à être d'accord, je trouve que cela ne fait au contraire AUCUN SENS. Dans les œuvres cinématographiques ou les séries, on voit justement souvent des personnages rejeter Dieu pour cette raison, voire se tourner vers Satan, car ils trouvent parfaitement indigne d'amour un tel Dieu. Et bien souvent, on les comprend. Quel sens y aurait-il à faire subir ces atrocités aux gens ? Elles se produisent souvent par accident, mais aussi et bien souvent à cause de l'organisation sociale des êtres humains. Aucune sagesse cachée ne saurait donner sens à cela.
Mon optique est plutôt de voir Dieu comme une conséquence du monde. Un tel monde, capable de produire de telles horreurs, notamment celles engendrées par les systèmes d'organisation humains, nécessite un rapport transcendant au monde pour trouver la force de l'affronter. A ce compte, Dieu devient un soutien des victimes et des opprimés, et n'est plus leur bourreau.
Dieu qui n'est plus créateur n'a plus non plus à se justifier par des preuves scientifiques impossibles à trouver. Dieu comme conséquence du monde peut en revanche, en quelque sorte, s'observer dans le cerveau lors des expériences mystiques.
Dieu est aussi selon moi une conception humaine du monde et de la conscience, une façon d'aborder la multiplicité de la conscience et de trouver des repères moraux.
Il parait aussi plausible de s'imaginer que le caractère universel de certaines expérience sur Terre produit la possibilité universelle de Dieu dans la conscience.
1-) Dieu, dans notre boussole intérieure, est cellui qui en nous donnant l'opportunité de ressentir l'amour, nous invite à le répandre. Iel nous invite donc au soin, que ce soit des autres mais aussi de soi-même, loin de l'idée réactionnaire du Dieu culpabilisant. Dieu aime toutes les singularités de la nature, tout ce qui est vecteur d'amour sous toutes ses formes, et ne saurait jamais nous conseiller de nous désaimer, de nous faire du mal, de se négliger. Iel invite donc aussi à la miséricorde. C'est d'une logique implacable quand on sait que ne pas se négliger ou se désaimer est parfaitement nécessaire pour trouver la force de faire tout ce qui suit. Dans cette même logique d'amour, Dieu invite à la reconnaissance envers ce qui génère l'amour : nos actes guidés par l'amour, les bonheurs produits par les actions des autres, les bonheurs surgis de la magie de ces amours multipliés.
2-) Dieu, dans notre boussole intérieure, est cellui qui inspire de se comporter positivement même face aux épreuves les plus dures, de ne pas répandre l'injustice et la violence envers les innocents, voire même envers ceux qui nous ont fait offense, car eux-mêmes pourraient changer si l'on rompt le cycle. Ce dialogue en soi-même est nécessaire car nous sommes aussi souffrant.es et donc capables d'injustices et de violences.
Dieu est cette partie de nous qui est conscient.e de cela est nous invite à ne pas nourrir la violence, à lutter pour arrêter son cycle.
3-) Dieu, dans notre boussole intérieure, est cellui qui nous invite à la responsabilité, questionnant nos actes ou notre absence d'actes tandis qu'on sait la violence qui se produit autour de nous. Iel sait que nous capables de jouer un rôle pour la résolution des choses. Non pas un rôle simple et individuel d'ailleurs, mais un rôle qui s'inscrit dans un ensemble plus grand, relié aux autres, donc jouer un rôle social dans la transformation globale.
On voit bien dans tout cela, que Dieu est un guide intérieur, une partie de la conscience, une façon de se concevoir, qui n'implique aucune chose "extraordinaire", au delà de l'extraordinaire que revêt la vie de beau et d'éprouvant à la fois.
Même de cette manière, Dieu peut-être vu comme créateur ou omnipotent, dans la mesure où il conseille des actes aux Hommes et que ces actes peuvent transformer le monde.
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clyde-wy · 11 months
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Versets d'Apocalypse
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neshimah · 2 years
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Jésus-Christ affirme, dans ce verset, être venu apporter l'épée et non la paix. L'épée est, évidemment, spirituelle. Par sa venue, il donne un coup d'épée dans le mensonge et la perversion des religieux de son temps pour ramener les fidèles dans la foi authentique originelle comme l'épisode des marchands du temple le démontre.
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lounesdarbois · 5 months
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Mais vous avez perdu les pédales ? Quand on est une association qui s'appelle "Notre-Dame de CHRÉTIENTÉ" on produit ça comme communication externe pour exprimer la Tradition? Un putain de spot de BDE féministe dans une École de Commerce de 2005? Le vêtement, le phrasé, l'élocution, sans parler du reste, où sommes-nous exactement ? À la caisse du magasin d'une aire d'autoroute ?
Rien n'est plus ringard que d'essayer de "faire jeune". Ce pèlerinage qui était une belle procession grave de gens d'élite, aux corps exercés, aux vêtements appropriés, est devenu une kermesse de hurleuses vengeresses dans une ambiance de bordel de merde. La fréquentation a doublé oui mais à quel prix?
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anaalnathrakhs · 1 year
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j'ai eu le malheur d'être dans la pièce commune chez moi pendant que mon père écoute sa radio du matin, et j'ai envie de m'arracher les oreilles putain, y'a un politique, j'ai pas saisi qui et je veux franchement pas savoir, il est venu déblatérer un discours mais monstrueux sur l'abaya.
il commence par te dire que les élèves qui en portent vont se faire "exclure", je sais pas si ça veut dire qu'elles sont refusées à l'entrée ou si ça s'applique sur d'autres jours aussi (ce qui serait vraiment incroyablement astronomiquement débile, mais bon, on s'attend à tout), excellent début déjà, refuser des élèves à l'entrée c'est vraiment la mission de l'éducation nationale et ça fait plaiz de voir que les politiques ont ça à coeur surtout /s
ensuite on lui demande si ça va pas causer des frictions avec la population des élèves, le mec il dit "bah faut respecter l'autorité aussi, il faut réinstaurer un respect du prof" comme si c'était putain de NORMAL de suggérer que les décisions des politiques en charge sont juste pas contestables. "ta gueule et obéis" c'est pas du respect vous êtes juste en train de faire des rêves mouillés d'un monde où tout le monde marche à la baguette au rythme de vos décisions géniales et objectivement bénéfiques. y'a aucun irrespect à résister à une décision politique avec laquelle on est pas d'accord, c'est vraiment juste une tournure de phrase qui essaye de faire passer les pauv petits élèves débiles pour des singes au zoo qui font chier les profs juste parce que, de présenter leur résistance comme une faille morale, les accuser de pas respecter l'opposition. dégueulasse à tous les étages.
et puis après il sort des trucs incroyables genre "la fille en abaya qui vient au lycée pour faire du prosélytisme" formulation plus ou moins exacte mais bref. ça se voit que non seulement il y croit (politiquement en tout cas) que l'abaya c'est la même chose que d'être nonne, mais en plus il te villifie des putains d'ADOS, comme si même porter un truc qui serait objectivement un signe religieux ostentatoire c'était faire du prosélytisme. tu l'entends entre les ligne "oouuuuh les méchantes filles musulmannes qui viennent répandre l'islam dans les écoles" quand on défend ça avec un pseudo féminisme, une pseudo défense des mineurs vulnérables.
il peut expliquer au calme sa petite logique qui va à l'encontre de tous les principes d'égalité et d'accès à l'éducation et d'aide aux mineurs qu'on s'est visiblement fait chier à mettre en place pour rien, et ça passe crème. admettons l'ado en abaya elle est vraiment forcée par ses parents de porter ça pour des raisons religieuses. bon. ça doit arriver aussi, les parents religieux abusifs ça existe partout. en quoi est-ce que ça l'aide de lui refuser l'entrée à l'école ? en quoi est-ce que ça l'aide d'entraver son éducation et sa vie sociale, on rappelle deux trucs extrêmement important particulièrement pour les enfants avec des parents qui les contrôlent trop par exemple ? en quoi est-ce que ça l'aide de la FORCER à retirer un truc qui lui est imposé par l'autorité parentale ET potentiellement l'autorité religieuse en plus, comme ça tranquille, et surtout de faire en sorte que les parents soient bien au courant qu'ils ont le choix entre mettre leur fille à l'école ou contrôler son comportement, son habillement, etc ?
admettons l'ado en abaya n'est pas forcée par ses parents mais est religieuse elle-même, et porte l'abaya par conviction de principes de modestie. c'est toujours pas du prosélytisme, c'est juste de l'islamophobie. une catho qui s'habille conservateur avec des vêtements de type "européen" elle est complètement tranquille dans un établissement scolaire, personne la fait chier. oui le concept de modestie est controversé et occupe une position particulière dans le débat sur les droits des femmes, mais justement les femmes ont désormais et encore le droit de choisir comment elles vivent et comment elles s'habillent. c'est pas du féminisme de leur donner un règlement de tenues féministes à respecter. et je réitère, au delà de modifier la définition de prosélytisme pour vouloir dire "être visiblement musulman dans un lieu public", si vraiment il y avait un élève qui essayait de convertir les gens de manière répétée, est-ce que c'est vraiment une solution constructive de le refuser à la porte ? c'est vraiment par là qu'on commence ? au lieu de faire un travail perso avec lui comme on le fait ou devrait le faire pour les élèves qui ont des comportements inappropriés dans leurs interactions avec les autres ?
bref j'ai envie de péter la radio, bonne journée
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vicnormansstuff · 2 months
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Les collaborateurs de l'ennemi se sont emparés de vos cervelles d'oiseau. Ne les écoutez plus. Apprenez à les reconnaître et à les chasser de vous-mêmes, si vous en possédez encore la force. Le monstre est là, échoué sur nos côtes mais bien vivant. On vous adjure, et tout à l'heure encore le pape d'une chrétienté malade, d'ouvrir largement vos portes. Moi, je vous dis, je vous supplie, fermez-les, fermez-les vite, s'il en est encore temps ! Soyez durs, insensibles faites taire votre cœur mou […].
Jean Raspail, Le Camp des Saints, 1973.
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ltalaynareor · 7 days
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La victoire du roi
La bataille de Montgisard, le 25 novembre 1177 vit la victoire du roi Baudouin IV de Jérusalem contre le sultan Saladin. Environ 500 chevaliers, 500 hospitaliers, 80 templiers et 4000 croisés se sont opposés aux 25000 ou 30000 hommes de Saladin. Baudouin n'avait que 16 ans. Grâce à cette victoire, on le compara bientôt aux plus grands héros de la Chrétienté.
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francepittoresque · 2 years
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25 décembre 496 : baptême du roi Clovis ➽ https://bit.ly/35AOJMC Clovis fut le premier roi catholique de la chrétienté, et sa conversion après la bataille de Tolbiac qu’il remporta en invoquant l’aide de Dieu, le servit tant par l'influence qu'il eut ainsi sur le peuple gaulois, que par l'appui du clergé dont le pouvoir était alors immense
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lepartidelamort · 5 months
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Avant le pèlerinage (Première partie)
Réconcilier foi et identité
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Sommaire :
• Publicité contre réalité • Foi, identité, Église • Séparation • Réformer notre mode de vie • Les padres de la palabre • Vive le prolétariat chrétien
La croissance du nombre d’inscrits au pèlerinage de Chartres s’explique par les concessions libérales que l’association Notre-Dame de Chrétienté fait au modernisme, et se paiera par une dégradation liturgique puis par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l’ascèse d’un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. « Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année ! C’est le grand retour de la chrétienté ! » exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et les déplaceurs de pions sur carte d’état-major. Non pas. C’est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l’extérieur par le monde, très affadie de l’intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pèlerinage traditionnel ? Les JMJ.
Il suffit d’examiner assez longtemps ce que l’on voit dans le présent pour en tirer des enseignements sur l’avenir. Le monde peut se lire. L’apparence, la forme, la surface, sont les expressions de vérités profondes. Par exemple, la crétinisation de l’école se mesure plus sûrement à l’effondrement de l’apparence vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires à la fin de l’année. Si l’on croit que le terme professeur est adéquat pour qualifier une dame extravertie en surpoids habillée en jean et en n’importe quoi, c’est que tout est fichu et que les mots n’ont plus de rapport avec les actes.
En matière de pèlerinage de Chartres, la forme, avec le temps, depuis le temps (41 ans !) devrait se diriger chaque année vers davantage de tenue, de tradition, vers davantage de savoir-faire, vers davantage d’affermissement sur ses bases… mais elle va vers moins de tradition, moins d’énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l’on voit. Que voit-on ?
Nous attendons cela. Mais nous recevons ça.
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Le pèlerinage de Chartres est une procession solennelle de la chrétienté héritée du haut Moyen Âge. Il est devenu depuis quelques années, à force de conduite pépère le « pèlé de Pentecôte », c’est-à-dire un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières chez mémé en combishort Coachella qui marchent devant des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, qui eux marchent derrière. Trois journées mondaines « sympas » pour lycéens qui s’ennuient, pour les Versaillais qui disent « wesh », pour les instagrameuses en quête d’une « expérience ».
La tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa culture, au niveau d’un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n’ira plus à l’église.
Assez d’analyse dépassionnée « avec du recul », et de cette intelligence de resquilleur « plus intelligent que cela » au vocabulaire de statisticien de l’OCDE. En matière de religion, les standards de la vie religieuse pratique sont le seul sens du sacré, la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable : le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la beauté de la musique, l’usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d’une forme aux soubassements plus profonds, invisibles et sacrés, comme la cathédrale de Chartres bâtie sur des kilomètres de galeries souterraines en partie inconnues. Abaissez vos standards culturels, vous profanez votre religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa culture fuit dans l’abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les seules frontières qui le protègent de l’égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
« Chacun fait ce qu’il veut » signifie chacun pour soi, signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu’il veut est un slogan de gauche produit par l’oligarchie de l’extrême droite financière anti-Blancs, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles : « Diviser pour régner » et « L’ordre par le chaos ».
Qu’est ce qui a perdu les Arabes ? Le sucre (lire l’explorateur Thesiger). Qu’est-ce qui a perdu les Blancs ? Le fun. C’est à dire l’anti-sobriété, le pas-sérieux, la mondanité, le cabotinage, l’alcool, la satiété, la médiocrité des standards de vie, la radinerie, la mesquinerie, la gynolâtrie, l’impiété, la déloyauté et la délation, le friendzoning.
Ce pèlerinage, qui devait être le cœur inviolable d’une micro-chrétienté fertile en naissances s’étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle très ouvert et détendu de tous les dégazages de fonds de cuve du monde. Nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
Foi, identité, Église
Foi et identité sont le père et la mère des enfants français enlevés à leur famille par la Gueuse et remis aux Thénardier. Le couple Thénardier, au sens littéral menteur et arracheur de dents, fut inventé par Victor Hugo dans Les Misérables, peut-être comme le symbole d’autre chose, d’autres gens, comme souvent dans les romans à clé.
La foi sans l’identité donne le catho de gauche et tout ce que Chesterton nommait idées chrétiennes devenues folles. L’identité sans la foi donne l’extrême droite bourgeoise et sa compétence si connue qu’elle n’est plus à démontrer. La foi, c’est la fidélité religieuse, et l’identité, c’est la loyauté nationale, c’est père et mère, c’est ciel et terre. Tous les ennuis de la France dès le XVIIIe siècle ont augmenté à mesure de l’avancée de l’irréligion et tous les ennuis de la religion chrétienne dès les années 1960 sont advenus à la faveur de l’avènement d’une bourgeoisie libérale-libertaire antinationale.
L’Église est une Hiératique, c’est-à-dire un ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l’expérience, c’est-à-dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux. Naissance, mariage, mort, et jusqu’aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pour quoi faire ? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l’autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler. L’ordre garantit la paix sociale et « la paix, c’est la tranquillité de l’ordre », dit Aristote. Qui méprise cette antique maxime condamne lui-même son entourage au bordel, au dérisoire, au fun, à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en « Nicolas, 30 ans ».
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L’Église est une armée spirituelle qui ose dire aux soldats des deux sexes ce qu’ils doivent manger, comment ils doivent s’habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. C’est écrit dans l’Évangile et les textes du Magistère. On connait à l’opposé les fruits pourris de l’arbre de la liberté lorsque celle-ci est comprise au sens du libéralisme politique. On comprend par ricochet la sagesse d’une discipline qui forme l’homme au combat de la vie. Cette armée n’enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l’Église ne nous poursuit pas de ses oukases, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu’elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d’autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d’échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Séparation
La maladie dont nous crevons, c’est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d’immigration. Le point nodal de tous les remèdes, c’est la génération endogame séparée du monde, c’est-à-dire la sainteté, étymologiquement la « séparation », considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l’autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C’est ainsi que vivaient les terroirs français. C’est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-Américains, et tant d’autres formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l’on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale, c’est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti pris d’existence grégaire, par une forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un esprit de cette forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd’hui un millier de Blancs à Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
La religion est le seul moyen de peuplement bio qu’ont les Blancs hors du néofascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l’irréligion. En cas de doute, on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l’a fait Patrick Buisson durant les 10 dernières années de sa vie, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les Français était précédée d’apostasies générales, alors que sa prodigalité ne s’est observée que dans les temps et les régions d’enthousiasme et d’assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire qui propose « soit la pute, soit la voilée », la troisième voie se mérite par une ascèse, c’est-à-dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà un début de test minimal du « respect de la messe », le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d’hèsychaste, l’imagine-t-on en pantalon ? Ou maillot à capuche ? Ou oisif ? Ou obèse ? La religion est un hiératisme complet qui ordonne les aspects matériels de notre être social pour nous revitaliser. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L’entraide matérielle. Les bases de la chrétienté se trouvent dans cette humilité-là, et pas du tout dans les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n’y a pas de « catholicisme traditionnel » possible en sweat à capuche ni combishort, nulle part, jamais. La médiocrité qui nous agace dans le monde devient carrément révoltante dans le territoire moral séparé du monde qu’est l’Église. Car si les tratras abaissent leurs standards, qu’en sera-t-il des modernos ? Et des protestants ? Et des athées ? Et des LGBT ? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la « transition », par la démission en douce, par la décontraction graduelle à chaque génération des hommes qui laissent entrer en eux la honte que le monde veut leur inspirer de leur propre éducation. Loi de Volkoff : « Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard. » L’abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches, est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin, on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit même jusqu’au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. « Eux sont trop extrêmes, mais moi j’ai su rester raisonnable, voyez mon sens de la mesure. »
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Réformer notre mode de vie
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à nous délivrer, à nous décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l’intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage, c’est la vraie pratique religieuse, plus que la retraite, plus que la messe, c’est le vrai test religieux auquel on ne peut mentir, d’ailleurs notre vie sur cette terre est un pèlerinage. D’abord, les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d’entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Un chrétien, une chrétienne, doivent aimer jeûner et savoir tirer leur force physique de ces privations mêmes, la prière aidant. Avant notre ère, le poète romain Horace comparait sa nation comme à un chêne vert durement émondé à la hache « qui, mutilé, haché, tire force et courage des coups mêmes du fer » (Odes, IV, 4, 57-60). Exit les bouches inutiles, les dondons, les « dames très gentilles ». Les vieux minces, eux, marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage, les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes la preuve qu’une vie est possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long terme.
À ces jeunes, je parlerais ainsi. Méfiez-vous des chefs catholiques, des « lanceurs », des officiers, des dames patronnesses et des sermons abstraits. Vous ne trouverez pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé « exagérée » la pudeur islamique féminine alors que c’est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l’Église, justement exactement le seul. La doctrine non sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l’amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n’ont plus cours en période d’invasion migratoire aiguillée par la thune blanche « redistribuée » et de la fesse blanche pornographique, deux fameuses pompes aspirantes. En période d’invasion la « charia blanche » est le plus petit acte de légitime défense qu’un peuple colonisé ait le droit d’opposer au pouvoir prédateur, et le premier article de ce code de loi est la modestie du vêtement, voire l’uniforme obligatoire. S’entendre dire comment s’habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale, surtout en France pays du quant-à-soi, pays de légèreté, d’inconséquence. La sobriété et même l’austérité sont des jougs faciles. Les refuser nous a accablés des fardeaux écrasants de la radinerie et de la mesquinerie, ces deux grands vices nationaux que nous porterons aussi longtemps que nous ne voudrons être ni sobre ni austère.
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Mais puisque les enfants de l’électorat Villiers, les jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela, peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour ceux (2003), qui s’inquiète « pour nos sœurs qui seront les mères de demain ». Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l’être collectif gisent dans les hurlements de ces aborigènes que dans n’importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique (notion de « sagesse des primitifs » qui « rase de plus près la lisière de l’idéal » dit Baudelaire). « Pour nos sœurs qui seront les mères de demain » est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Français envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l’être collectif, le sens de la génération, le sens de l’honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d’avec d’éventuels actes de prédation, il recèle peut-être un avertissement aux « consentantes » qui entendent se vendre aux prédateurs, et enfin une menace adressée aux violeurs.
Il faut transposer Pour ceux pour nous. La modestie chrétienne du vêtement est la marque distinctive de la vraie foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d’une « mise hors monde » de la chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir elle-même et pour propager l’influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leurs fesses.
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Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de culture, c’est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d’engueuler un plus lâche que soi, d’engueuler tous ces permissifs chefs de palabre, ces montreuses de cul, ces tratras-hurleuses-n’importe-quoi-en-jean qui font baisser le niveau, prélats grotesques, infectieuses Karen « dame pachyderme ». Aucune pitié pour se mettre tous contre eux s’ils refusent de se réformer : plus ils seront évincés vite des églises et plus la jeunesse chrétienne sera saine, sainte, nombreuse, heureuse, immaculée, immaculable.
Les padres de la palabre
Les brebis perdues, ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n’ont guère comme horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l’alcool, le porno, le jeu vidéo, le paiement de rançon au colonisateur (impôts, taxe carbone, pécho du shit), le chômage, la philosophie de l’absurde, la Magalax, le « French Dream »… Évidemment qu’ils commencent à se demander pourquoi ils sont venus au monde, ces braves gamins ! Messieurs les clercs, arrêtez de leur casser les couilles. Expédiez votre messe en trois-quarts d’heure tôt le matin puis consacrez votre temps à l’avenir des jeunes Français. Ou fermez vos gueules. Votre mission est de ramener ces brebis perdues qui peuvent encore porter du fruit, elles ont priorité sur les autres et préséance absolue sur vos chronophages bigotes et autres quémandeurs tartuffes plaintifs. Ce sont les mariages futurs de vos jeunes et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d’explication ramènent toujours au point de départ : dénatalité, dénatalité, dénatalité.
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Vous vous perdez en « dîme de la menthe » dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l’être collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s’exercer votre zèle, c’est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c’est tout, vous comprenez ? C’est cela une révolution christique vécue, vérifiable, la vraie négation de l’esprit du monde par les actes. Les actes, messieurs les apôtres jacasseurs. Le reste est absolument accessoire. Par surgeons de micro-chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s’étende en rameaux de familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d’entraide, en progression par cliquets sur le monde stérilisé de l’athéisme stupide. Et combien d’entre vous se font encore plus stupides que certains athées fielleux ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières (Les Décombres), ces clercs se repassent des histoires d’anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias « par le truchement de », leurs organigrammes vérolés d’impotentes en surpoids « fées du logis » qui commandent à des adolescents castrés, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés ? Mais s’ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la tradition qu’ils prêchent et l’énormité très « libérale » de leurs gaffes, alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d’anarchie libérale ?
Un désastreux sens de l’esthétique donne d’avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d’ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le Ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu : des épouvantails. Pour tous ces rabâcheurs d’abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l’esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux ! C’est le concret seul, l’incarrrrrnation qui préside à nos vies. L’habit fait le moine, d’ailleurs les porteurs de bure le savent bien. On finit toujours par penser comme on vit.
Enfin un idéal féminin désastreux ne l’oublions pas. D’où ces gâchis, ces potentiels sous cloche à fromage, ces jeunes filles tournées vieilles filles, et leurs sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D’où cette méconnaissance entretenue d’une féminité réconciliée, une féminité troisième voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine, les États-Unis formant d’ailleurs au pèlerinage de Chartres le seul chapitre à peu près regardable avec ceux des scouts et des Français de plus de 50 ans. Les catholiques américains sont exemplaires en matière d’organisation, de vêtement, de chant, de mode de vie. Est-ce parce qu’ils sont chez eux en première ligne dans le combat contre la Bête ?
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Le sens esthétique, le sens de l’ingénierie sociale, le sens de l’honneur, le sens de la virilité, le tact, la conscience de soi… c’est tout un comme l’unicité de Dieu en ses multiples déploiements, or nos hauts dignitaires n’ont aucun d’entre ces prémices. Désastreux déshonorants gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d’une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre, que faites-vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers de la première heure remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous rompez en une seconde l’équilibre, et la prise repart liquide dans le monde. Le pèlerinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade... Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage ! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversions massives à partir d’un seul converti, de repeuplement à partir d’un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits : « Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j’ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j’ai tout mon temps pour cela ? »
Chers voisins de chapitre, vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards, servir la femme au lieu d’être servi par elle… grand bien vous fasse puisque vous aimez cela. Ces relâchements donnent prise aux assauts toxiques, ces apathies enhardissent les prédateurs qui aiguisent leurs canines à proportion de vos instincts détrempés qui s’émoussent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l’avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se recentre : sobriété, gravité, discrétion, redoublement de charité interne, redoublement de l’euphémistique vertu de prudence à l’extérieur. Vilains clercs font le contraire, méchants avec les bonhommes, bonasses avec les profiteurs et les mondaines graisseuses. Et on ne leur réplique rien par crainte de leur habit ? Mais qui, seul, devons-nous craindre au juste ?
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
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Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
Ce sujet-clé de l’avenir des familles françaises, du visage que prendra le monde de demain, de la guerre pour la génération, sera le thème de la seconde partie de notre étude qui paraîtra après le pèlerinage de Pentecôte. Weininger, Schopenhauer, Soral, Félix Niesche, ont critiqué la féminisation du monde et ses conséquences. Attali a au contraire célébré l’avancée d’un progrès destructeur qui masquerait la prise de pouvoir de la femme comme catégorie ontologique au service de la Syna (mais ce faisant, Jacadi valide Weininger). Vous saurez bientôt tout sur la figure générique de la GDE, la Grosse Dame Tartuffe. L’homme du ressentiment de Nietzsche serait-il en fait la bonne du curé ? Quel archétype Balzac avait-il percé à jour dans Le Curé de Tours ? Une paresseuse qui ne veut être ni Marthe ni Marie est-elle vraiment votre sœur en Christ ? À suivre...
Lounès Darbois
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pierre-hector · 10 months
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Politique et Mondialisme
�� Ça n’existe plus Marx, c’est fini. C’était un épisode pour lancer le mondialisme. Maintenant, Marx est éliminé, on ne pense plus à Marx et tous ces gens-là… C’était une forme de révolution qui n’a plus de raison d’être puisque la Révolution est maîtresse de tout, maintenant. C’était un combat révolutionnaire qu’il fallait mener, mais on n’a plus à le mener puisque le mouvement révolutionnaire triomphe de partout, aujourd’hui. [Les révolutionnaires] sont les maîtres du monde, donc ils n’ont plus à se battre contre une ennemi qui n’existe plus. Autrefois, il y avait une droite qui commandait la gauche, mais en France, il n’y a plus de droite, il n’y a plus que de la gauche ! Ils sont les maître du [[peuple]], ils font tout ce qu’ils veulent, et puis, en face d’eux, il n’y a plus personne. Le combat droite-gauche n’existe plus parce que la gauche est toute puissante et qu’elle a tout pris, et que la droite a disparu. Les vrais combattants de droite qui se voient dans une société chrétienne ne peuvent plus rien faire. Le pape a abandonné sa partie complètement, c’est une révolutionnaire comme les autres, le clergé a tout abandonné… [Les révolutionnaires] sont tout puissants, ils sont les maîtres du monde, et en face d’eux, il n’y a plus personne... quelques petits groupes épars ici ou là, puis c’est tout. Tout puissants, [les révolutionnaires] sont à l’aise et n’ont plus rien à craindre. M. Macron peut faire tout ce qu’il veut, il est maître du pouvoir, on peut faire des manifestations dans la rue, cela ne servira à rien ; lui, il sait très bien qu’il ne risque plus rien, maintenant, il est tranquille. En face de lui, d’eux, il n’y a plus personne ; il y avait un combat révolutionnaire qui existait avant, mais qui n’existe plus, qui a été complètement annihilé. Droite et gauche, cela ne veut plus rien dire… toutes possibilités de réactions saines, ils les ont détruites. On ne voit pas qui pourrait se lever aujourd’hui et dire : “je vais essayer de redresser la France autrement.”, non, ce n’est plus possible. Quant à [ceux de] la droite néo-païenne, c’est abominable… et puis, eux, ce sont de vrais gnostiques, en plein dans la gnose. Ce n’est pas eux qui feront quoi que ce soit, ils sont incapables de rien faire. Ils empêchent la droite de se réaliser. Il n’y a plus de droite en France, il n’y a plus qu’eux [les néo-païens], mais ils sont les complices des autres. Ils servent à bloquer toute résistance de droite, ils tiennent la droite et l’empêchent d’agir, rendre ses membres impuissants, inefficace... » (Étienne Couvert)
‣ (à 00:35:11) Chaîne Youtube « ExoChrist », « Étienne Couvert - La gnose en question », pub. 21 mai 2023, https://www.youtube.com/watch?v=WkXSJpC2ULU (cons. 16 nov. 2023).
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aurevoirmonty · 4 months
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« L’empire s’oppose au morcellement de la Chrétienté provoquée par la Réforme et exalté par la Révolution (…) L’occident n’est pas seulement unité de culture, mais aussi tend à revenir unité politique jadis réalisée (…) est à nouveau la planche de salut pour les hommes de la nouvelle génération s’ils ne veulent pas être submergés par les internationales de toutes sortes ».
José Antonio Primo de Rivera, Œuvres complètes (1942)
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notrebellefrance · 1 month
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Conques
L’histoire de Conques remonte au Moyen Âge. Un haut lieu de la spiritualité, ce village au charme unique possède déjà un oratoire dédié au Saint-Sauveur dès le Ve siècle, un endroit qui a été réaménagé par Pépin le Bref, puis par Charlemagne. Vers 730, l’ermite Dadon a construit un monastère dans le village. Les époques situées entre 864 et 875 ont fortement marqué l’histoire de Conques : Ariviscus, un moine du village, a réussi à rapporter les reliques de Sainte-Foy dans une église abbatiale. L’arrivée de ces reliques dans le village a occasionné différents miracles. De nombreux pèlerins se ruent dans le village bâti autour d’un oratoire primitif pour trouver la guérison. Les années qui ont suivi, Conques devient une référence de la Chrétienté jusqu’au XIIIe siècle. Sa puissance économique était grandissante. Mais un déclin s’est produit entre XIV et XVe siècles. À partir de la Révolution, le village a été abandonné. Mais en 1837, Prosper Mérimée l’a redécouvert. Les habitants ont su conserver certains joyaux architecturaux comme le grand portail et le trésor. L’église, par contre, a fait l’objet d’un réaménagement. En 1873, le culte de Sainte-Foy et le pèlerinage ont été ré-initiés grâce à la requête de l’évêque de Rodez auprès du restaurateur de l’ordre canonial de Prémontré, le père Edmond Boulbon. L’année 1911 est marquée par la construction du musée où est conservé le célèbre trésor du Moyen Âge.
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