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#cirque du deux
someawesomeamvs · 2 years
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Warning: Flashing lights, spoilers
Title: Cirque du Deux
Editor: Rivkah94
Song: Circus
Artist: Britney Spears
Anime: Princess Tutu
Category: For fun/Dance
Award: Anime Detour 2022 - Best Upbeat
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salient-stitches · 2 years
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AND WE ARE BACK!
I am pleased to inform any of to whom it may concern, that cirque du deux is indeed back! In a new coat nontheless, but it is back. The server will be avaidable soon, but for early access.. don’t hesitate to message! 
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cirque-du-deux · 10 months
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Hey so random question: Is the Mirthful Faith discord/community still a thing? And if so, would you guys be cool if it was an alter that's part of a DID/OSDD system could join?
Hello!
I'm so terribly sorry for not reading this sooner but yes! Anyone is welcome!
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(Source de la Cozanne, Vauchignon, lieu-dit, cirque du Bout du Monde)
traité provisoire pour une hydrographie poétique, les sources insaisissables des cours d'eau
il existe des rivières aux sources incertaines ; ainsi la Cozanne n’a toujours pas dévoilé son origine ; la grotte où elle pourrait prendre naissance au lieu dit le cirque du Bout du Monde, possède en effet différents points d’eau possible, dont notamment une cascade jaillissant du calcaire Bajocien, en cette petite vallée verdoyante où elle apparaît frêle et limpide, sonore et gracile (dans ses Impressions de voyage, Alexandre Dumas père en parlait en ces termes : « le sol se fend tout à coup sur une longueur d'une lieue et demie et sur une largeur de cinq cents pas, laissant apercevoir à la profondeur de deux cents pieds à peu près, une vallée délicieuse, verte comme l'émeraude et sillonnée par une petite rivière blanche et bruissante… » ) ; mais cela n’empêche pas son écoulement épanouie sur une courte terre de Cote-d’Or et de Saône-et-Loire et même dit-on, en sa vallée inférieure, d’étendre ses enchantements remarquables ; il existe donc des eaux dont la terre garde encore le mystère ; des eaux qui savent, qu'elles viennent d’un monde inconnu à l’homme
© Pierre Cressant
(samedi 6 mai 2023)
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ernestinee · 2 months
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Ces 10 derniers jours :
- j'ai assisté à la proclamation des résultats de mon fils
- j'ai traversé une partie de Marseille en talons
- j'ai assisté au plus beau mariage du monde (celui de ma meilleure amie)
- j'ai passé deux jours au paradis avec une cinquantaine de personnes que je ne connais pas
- j'ai partagé une chambre avec trois personnes que je ne connaissais pas et ça a vidé ma jauge sociale
- Le lendemain de Marseille, je suis partie en camp de cirque.
- j'ai fait les courses et la cuisine pour 130 ados artistes pendant 7 jours avec une équipe incroyable et contre toute attente, ça a rempli ma jauge sociale !
- j'ai cuisiné dans la boue avec les pieds trempés
- j'ai commencé mes journées à 5h30 pour finir à minuit et demi
- j'ai dormi sous tente
- j'ai sympathisé avec les profs du coup j'ai eu plein d'opportunités pour essayer leurs cours
- j'ai bivouaqué une nuit dans les arbres
- j'ai fait de la danse verticale
- j'ai fait un salto en trapèze volant, c'était hyper impressionnant
- j'ai jonglé avec un jongleur que j'admire
- j'ai fait de l'acro-porter
- j'ai assisté à des spectacles, des répétitions, des entraînements, des réunions
- j'ai reçu des bisous, des câlins, des mercis en veux-tu en voilà
❤️
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carraways-son · 6 months
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Samedi
La journée fut intense. Je m'en remets en suivant la lune dans le ciel, puis dans le rideau. Elle sera pleine lundi. La télé reste allumée, son coupé. J'écoute la musique nerveuse d'un rocker que plus personne n'écoute, Gene Vincent, dont la fièvre trépidante, toujours douloureuse, à vif, relativise ce jugement de Charles Bukowski (dans Correspondance) : "La musique rock se préoccupe plus de bruit et d'illusion que d'une réelle entrée aventureuse dans le grand cirque du monde". Ce n'est pas grave, j'aime les deux.
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aloysiusrpg · 7 months
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MESSAGE IN A BOTTLE (forum camping/low fantasy)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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pompadourpink · 1 year
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The Onion #2 - Maternity leave
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La nouvelle ministre des solidarités et des familles Aurore Bergé a déposé ce matin une proposition de loi visant à réduire de 2 mois le temps de grossesse. Une période de gestation jugée “trop longue” et “pénalisante pour les entreprises” que cette réforme devrait enfin permettre d’équilibrer un peu. “7 mois c’est largement suffisant” a déclaré Aurore Bergé lors d’une conférence de presse. “Les enfants auront déjà 2 bras, 2 jambes, tout ce qu’il leur faut pour vivre convenablement” poursuit-elle, avant d’ajouter : “D’accord, leurs os seront mous, mais grâce à ça ils pourront avoir une belle carrière au Cirque du Soleil.”
This morning, the new Minister for Solidarity and Families, Aurore Bergé, tabled a bill to reduce the length of pregnancy by 2 months. A gestation period deemed to be "too long" and "penalising for businesses", this reform should finally provide some balance. "7 months is more than enough," declared Aurore Bergé at a press conference. "Children will already have 2 arms, 2 legs, everything they need to live a decent life," she continued, before adding: "OK, their bones will be soft, but thanks to this they'll be able to have a great career at Cirque du Soleil."
Une proposition controversée néanmoins saluée par Patrick Martin, le nouveau patron du MEDEF. “C’est une très bonne nouvelle pour tout le monde !” confie-t-il à nos confrères du Figaro. “Grâce à ça, les mamans pourront revenir plus rapidement au travail, et après avoir passé toutes leurs journées allongées, ça leur fera enfin du bien de pouvoir passer toutes leurs journées assises.”
This controversial proposal was nevertheless welcomed by Patrick Martin, the new head of the MEDEF. "It's great news for everyone," he told Le Figaro. "Thanks to this, mums will be able to get back to work more quickly, and after spending all their days lying down, it will finally do them good to be able to spend all their days sitting up."
Pour pallier le retard physique des nouveaux-nés, le gouvernement s’est également engagé à fournir un pack “Croissance” aux jeunes parents, comprenant : une couveuse “Pat Patrouille”, deux béquilles “Peppa Pig” ainsi que 3 tubes de vitamine C “Boiron”. Un pack indispensable pour “compenser les 2 mois de développement manquant” et pour que “les nouveaux-nés soient, certes, à moitié formés, mais également en pleine forme”.
To compensate for the physical backwardness of newborn babies, the government has also pledged to provide young parents with a "Growth" pack, comprising: a "Pat Patrouille" incubator, two "Peppa Pig" crutches and 3 tubes of "Boiron" vitamin C. This pack is essential to "compensate for the missing 2 months of development" and to ensure that "newborn babies are not only half-formed, but also in great shape".
Suite à la vague d’indignation provoquée par ce projet de loi, Aurore Bergé a déclaré “entendre la colère des parents” et se dit même prête à déposer un nouvel amendement visant à augmenter de 72 heures la durée moyenne des accouchements, afin que les femmes puissent “profiter encore un peu plus du plus beau jour de leur vie”.
Following the wave of indignation provoked by this bill, Aurore Bergé said she "understood the anger of parents" and was even prepared to table a new amendment aimed at increasing the average length of childbirth by 72 hours, so that women can "enjoy the happiest day of their lives a little more".
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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swedesinstockholm · 2 months
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7 juillet
dans mon lit, à berlin. je viens de dire bonne nuit à n. dans le couloir on s'est serrées dans les bras et elle m'a dit i'm so happy that you're here! quand je suis arrivée y avait un paquet de chips aux lentilles qui m'attendait sur mon étagère dans la cuisine parce qu'elle se rappelait que je les aimais. je l'ai quasiment fini devant les élections ce soir sur le rebord de ma fenêtre avec mon ordi sur les genoux. quand j'ai vu les résultats j'ai dit oh putain, maman a envoyé des émojis fête, m. a envoyé un selfie en pleurs et moi j'étais trop engourdie pour ressentir des émotions fortes. j'avais juste l'impression que les choses rentraient dans l'ordre, que c'était normal, évidemment qu'on pouvait pas avoir de gouvernement d'extrême droite, ok l'axe de la terre s'est un peu décalée ces derniers temps, mais il faut pas exagérer non plus. n. était au théâtre alors je suis sortie me promener toute seule pour prendre l'air, j'ai marché pendant une heure avec les mains dans les poches en souriant comme une bienheureuse. j'ai croisé une française qui écoutait les infos sur son téléphone en marchant dans la rue, puis j'ai croisé deux autres français à vélo qui disaient c'est fou comme les gens traversent pas au rouge ici en parlant de moi. je les ai regardés en leur faisant un gros sourire et ils ont pas compris ce qui se passait. j'avais déjà l'impression d'être la nouvelle moi, je regardais les gens assis en terrasse et je me disais what took you so long??? c'est donc ça la vraie vie? alors que bon aussi bien dans un mois je suis de retour à la maison suite à une crise d'insurmontabilité ou je sais pas quoi.
8 juillet
aujourd'hui je suis allée à ikea à pied (une heure et demie) pour acheter une lampe de chevet pour la mezzanine et une fois rentrée je me suis aperçu que j'avais pris la mauvaise. c'était la première fois de ma vie que j'allais chez ikea toute seule je crois. j'ai aussi acheté une grande serviette de bain rayée avec des jolies couleurs pour mettre sur le canapé moche. dans la ringbahn avec mon sac ikea bleu sur l'épaule j'ai vu le fernsehturm au loin en longeant le tempelhofer feld comme une confirmation que j'habitais bien à berlin et j'étais contente. ce matin en me levant j'ai fait les courses parce que j'avais rien à manger, même si n. m'avait gentiment posé son beurre et sa confiture sur mon étagère dans le frigo, bébé, j'ai enfilé mon short et j'ai affronté la chaleur et la foule pour aller chez lidl à côté et puis au magasin bio, j'ai acheté que des trucs sains et j'ai mangé la même chose qu'à la maison en écoutant france inter dans ma chambre. ce soir j'ai mangé avec j. dans la cuisine. c'était ma première interaction sociale de la journée. on a parlé de choses un peu profondes, donc je l'aime bien.
je me demande quand même comment je vais faire pour me faire des amis. je sais pas pourquoi je m'étais imaginé que ça allait être super facile, mais j'avais oublié que j'étais moi. j'ai téléchargé bumble mais je fais que swiper vers la gauche tout le monde a l'air chiant là-dessus. peut être que je devrais tenter la méthode r.: aller voir des concerts/lectures/performances/etc, repérer les artistes qui m'intéressent, les ajouter sur ig, les stalker pendant un moment, et puis un jour leur écrire. peut être que c'est comme ça qu'on rencontre des gens cool. il m'a envoyé des memes toute la journée mais il m'a pas demandé comment c'était à berlin ni rien. samedi soir, la veille de partir, j'ai dit que j'avais trop envie de faire une rando et il m'a dit qu'il était chaud pour en faire une et j'ai dit mais je pars à berlin demain! en me forçant à mettre un point d'exclamation au lieu d'un smiley triste. alors qu'évidemment ça se serait encore terminé en pleurs cette histoire. si j'étais pas partie à berlin j'aurais dit oui et tout le cirque aurait recommencé du début. hier n. m'a demandé si j'avais rencontré personne depuis lui et j'ai dit ohlala non. when i fall in love, i fall hard. je lui ai parlé de mon plan d'émuler constance debré (aller nager, écrire et vivre monacalement) et elle a ajouté and have lots of sex! et je me suis demandé si elle savait que j'étais vierge, en essayant de me rappeler lesquels de mes textes elle avait lus. en plus toutes les piscines sont fermées jusqu'à le rentrée.
9 juillet
quand je me suis levée ce matin y avait un papier sur le wc qui disait KEIN WASSER alors j'ai enfilé un short et j'ai accompagné n. au centre commercial d'à côté pour aller faire pipi à la bibliothèque. on a pris l'ascenseur pour monter au quatrième étage on a traversé un parking et finalement on a fait pipi dans les vestiaires de la salle de sport parce que la bibli était pas encore ouverte. j'ai rempli mes deux gourdes au lavabo et j'ai dit à n. ça ça me serait jamais arrivé au luxembourg. après avoir déjeuné j'ai tenté d'aller travailler à la bibli mais les quelques tables étaient prises et il y faisait une chaleur étouffante alors je suis rentrée je me suis mise en culotte et en soutien-gorge et je me suis installée sur ma mezzanine. j'y ai passé la journée. j'ai pas trop réussi à travailler parce que j'avais chaud et ça me donnait envie de dormir donc j'arrivais pas à me concentrer et j'arrêtais pas de scroller fb pour voir les annonces des 150 groupes berlinois que j'ai rejoint hier à la recherche d'un truc intéressant, un tapis, un concert, un job, une soirée queer, une personne avec qui j'ai envie d'être amie, n'importe quoi.
à une heure j'ai regardé les infos sur la deux pour avoir un repère mais j'ai arrêté avant la fin parce que quelqu'un écoutait de la techno à fond dans la cour et j'entendais rien, alors je suis allée me préparer à manger et je suis remontée sur ma mezzanine et j'ai commencé à regarder de curb your enthusiasm jusqu'à la fin de la saison. au milieu j'ai fait une pause pour me lancer dans une recherche de magasins de produits américains à berlin parce que dans un épisode larry david fait que manger des bâtons de réglisse rouge et ça m'a donné envie. dans la série ils font croire qu'elle vient d'allemagne mais la réglisse rouge c'est un truc purement américain. à chaque fois que j'en vois dans une série je meurs d'envie d'en manger. j'ai noté deux adresses et dès que j'ai mon pass je me mets à la recherche de réglisse rouge. il me faut des petites missions comme ça, ça m'évite de passer des journées molles comme aujourd'hui. j'ai aussi commencé à écrire une lettre de motivation en allemand via chatgpt pour un minijob comme surveillante/médiatrice dans un musée d'art contemporain tout près.
vers neuf heures je suis enfin descendue de mon perchoir pour aller faire un tour mais c'était moins bien que dimanche parce que je me sentais seule et moche et les rues que j'ai prises étaient bof. ça fait deux jours que je me promène à travers la ville dans mon petit short à carreaux noirs et blancs alors que mes cuisses-réservoir n'ont jamais été aussi énormes, mais j'adore ce short, j'adore les shorts courts et j'adore me promener avec les jambes à l'air. chaque pas que je fais me semble révolutionnaire parce que je renonce pas à mon envie, à mon plaisir de me promener en short court, même si je me sens moche. ça c'est la prochaine étape. et curb your enthusiasm est terriblement grossophobe, même si larry david est censé jouer un personnage de goujat désagréable qui dit tout haut ce que les autres pensent tout bas, la série est clairement grossophobe et ça me fait chier. ce qui ne m'empêche pas de l'adorer. je suis rentrée par la grande avenue sous les néons des enseignes des restos turcs en chantonnant downtown de petula clarke (linger on the sidewalk where the neon lights are pretty how can you lose the light's so much brighter there you can forget all your troubles forget all your cares) mais j'étais renfrognée et j'ai pas du tout oublié my troubles and my cares. en rentrant je suis tombée sur n. et on a discuté sur son lit en mangeant des cerises et du chocolat blanc et là oui je les ai oubliés parce que j'étais plus seule.
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Du roc de la castration dans la clinique analytique…
Dans son séminaire L’envers de la psychanalyse, Lacan avance que Dora bouche sa revendication pénienne en adorant madame K., sous la forme de la Madone de Dresde qu’elle allait contempler. Elle se laissait ainsi littéralement "envelopper" par madame K. (terme qu’utilise Lacan) au même titre que "l’objet viril par la gaine féminine"...
La grandeur de Lacan fut d’avoir su rester fidèle à l’esprit de Freud, dont il convient de faire toujours retour à la lettre, notamment pour y relire l’indétermination quant au caractère fini ou infini de l’analyse, relative à l’impasse sexuelle, dont ce qu’il appelle le «complexe de castration» régule l’accès du sujet au désir.
Outre que cette impasse sexuelle concerne au premier chef l’analysant, elle n’est pas sans questionner le désir de l’analyste, devenant par là même la question éthique par excellence dans la direction de la cure.
Que constate-t-on dès lors au cours de l’analyse?
Que la résolution du complexe de castration, quels que soient les efforts déployés au cours du travail analytique, reste le plus souvent incomplète, en butée au réel du roc de la castration, remettant sans cesse en scène l’énigme de la sexualité.
Le névrosé, constatant les difficultés d’accès à son désir (insatisfait pour l’hystérique, impossible chez l’obsessionnel...) se livre alors à des contorsions relationnelles avec son entourage (qui en pâtit), tenant par dessus tout à sa différence d’avec les autres (qui s’adonnent à des jouissances vulgaires, même s’il lui arrive de les envier), et finit par se trouver pris sous la pression de devoir arrêter sa cure prématurément, bien avant son terme logique, sans que la question de la résolution de son rapport à la castration ait pu commencer à se poser...
C’est le cas le plus courant...
Aussi ne s’étonnera-t-on pas que dans le marigot psychanalytique, où les protagonistes seraient censés, plus que d’autres, avoir terminé leur cure, soit le plus souvent resté en friche ledit "complexe de castration" qui présente l’impasse sexuelle du névrosé sous deux aspects:
• chez les femmes, par le Penisneid, c’est-à-dire l’envie, ou plutôt la revendication du pénis, avec toutes les sous-jacences de colère et d’agression qui s’y trouvent impliquées, comme le souligne Lacan, et qui la rendent littéralement enragée et
• chez l’homme, par la révolte, le hérissement contre la disposition passive ou féminine à l’endroit d’un autre homme et qui, du fait de l’angoisse de castration que celle-ci suscite, est la source de l’arrogance.
Or, Lacan y insiste tout au long de son enseignement: la névrose n’est pas à faire ressortir de l’ordre des "maladies" mais bien de l’éthique, dans le champ même de la relation que le sujet entretient avec son désir, désir qui est toujours désir de l’Autre, qui a trouvé sa forme à partir de la question: che vuoi? adressée au désir de l’Autre.
C’est donc toujours au désir de l’analyste qu’il revient in fine de soutenir dans la cure, jusqu’à son terme logique, cette question que le névrosé, par-delà la prévalence de la demande, adresse au désir de l’Autre, et qui recèle la clé du rapport au désir.
Cela signifie que le psychanalyste aura accepté d’orienter la cure dans une direction qui n’évitera pas au sujet d’avoir à se confronter à l’angoisse du désir de l’Autre, c’est-à-dire à son manque radical, sa castration, son irréductible incomplétude, contre laquelle il se défendait grâce à un fantasme qui induisait selon les cas un désir insatisfait ou impossible.
Tout ce cirque, bien entendu, afin de maintenir intacte la relation à la demande d’amour de l’Autre maternel, au sens du génitif objectif comme du génitif subjectif...
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messageinabottlerpg · 6 months
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MESSAGE IN A BOTTLE. (forum camping éphémère)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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solhrafn · 8 months
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Les îlots de liberté
Depuis que la neige tombe, c'est un allègement. Tout le monde panique, je reste calme. Le monde s'arrête de tourner, j'ai la place pour exister.
Ces dernières 48 heures j'ai pu exploiter la "catastrophe naturelle" qu'est cette petite chute de neige pour me créer un îlot de liberté. D'habitude ces moments sont bien plus courts et consistent souvent en un simple détour sur le chemin du travail.
Ici j'ai pu marcher avec ma fille puis suis encore ressorti (seul cette fois) pour aller faire les courses au lieu de prendre la voiture. Pas que je ne sois pas capable de conduire sur la neige, mais parce que c'était le meilleur prétexte dont j'avais besoin. J'ai embarqué l'appareil photo et ai pris le temps, tout en ne le perdant pas de vue.
(En passant, je n'avais jamais vu de super-marchés si vides, même au début de Covid il y avait plus de monde, j'avais le magasin pour moi tout seul, c'était très appaisant).
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Rebelotte ce matin, trente minutes sur un sentier aux abords d'un champs. Un 4x4 est venu vers moi, le fermier. On a parlé de la neige et du beau temps et il m'a invité à descendre sur ses terres pour continuer à prendre des clichés. Je l'ai remercié et ai photographié quelques arbres enneigés.
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Les îlots de liberté ces deux derniers jours ça aura été le froid sur mes joues, le vide dans les rues, le léger crépitement de la fine neige tombant sur les feuilles mortes des haies et le scintillement des flocons à la lueur des réverbères. Cela aura été le bruit de la neige qui se tasse sous mes pieds. Crotch, crotch, crotch.
Mon pays a pris des airs de Scandinavie.
Il me faut plus de ces moments. Quand le cirque du quotidien ne s'arrête pas de tourner et que le temps vient à manquer, je n'arrive plus à rien contempler, alors qu'à chaque fois que je m'octroie un îlot de liberté, c'est tout ce qui semble vraiment compter.
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alexisgeorge24 · 8 months
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5 janvier:
Départ avec mon gros sac pour une visite à la journée de la péninsule Llao Llao (que je prononce "chao chao" sans même avoir à réfléchir; l'accent argentin m'entre dans la peau). Superbes points de vue notamment depuis le Cerro Campanario, où depuis les nombreuses "playas" ("plachasse"; c'est bon je parle comme Messi). Le temps est un peu couvert et j'ai des panoramas sur des énormes lacs noirs entrecoupés de montagnes vertes aux sommets rocheux et acérés; combos qui me fait penser aux fjords norvégiens. Je finis mon parcours au village "Colonia Suiza" (colonie Suisse), fondé par des familles suisses fin XIXe et qui aujourd'hui attire un tourisme de presque masse. Comme par hasard, après avoir planté ma tente au camping, je tombe sur un couple suisse que j'avais rencontré au Pérou il y a 3 mois. On a beaucoup d'aventures à se raconter et on partage l'apéro et le dîner.
Bilan: 26km, 1000m d+
6 janvier:
Randonnée depuis Colonia Suiza avec petit sac jusqu'aux cerro Goye puis cerro Bella Vista. Les vues sont toujours tout aussi imprenables qu'hier sur les lacs et la montagne à la différence qu'aujourd'hui je suis tout seul pour contempler le tableau. De retour au village on m'informe que les bus font grève... je me fais donc prendre en stop par un groupe d'amis argentins qui me dépose à 10km de Bariloche. Puis je finis en taxi étant donné qu'il y a un stoppeur tout les 200m avec cette grève (ils sont superieurs au nombre de chauffeurs gentils et compatissants).
Après la douche c'est évidemment une bière qui m'attend dans ce paradis houblonné, suivi d'un repas au restaurant vegan que je connais désormais très bien.
Bilan: 13km, 1300m d+
7 janvier:
Départ à 08h00 en bus pour le hameau de Pampa Linda au pied du Cerro Tronador. Le nom fait peur et à juste raison. Je pose la tente au camping et j'enchaîne direct une marche vers ce sommet recouvert de glaciers. J'atteins le début du sentier en stop et 600m d+ plus haut j'ai une des plus belles vues de mon voyage ! C'est le moment où j'essaie de décrire ce que j'ai vu en sachant pertinemment qu'y mettre des mots c'est forcément déformer, pixeliser, simplifier, banaliser, bref, c'est ne pas respecter la nature. Mon point de vue se situe sur une crête coupant en deux symétriquement un cirque dont le "U" est un énorme glacier perché sur des falaises rocheuses et verticales. Des cascades jaillissent de partout du bas du glacier formant un mini "Iguazu" et plus loin un lac bleu laiteu. Le glacier craque, des morceaux tombent des falaises en faisant un bruit de tonerre dans cet amphithéâtre de roche toutes les 10 minutes (on comprend mieux le nom du sommet, "Tonerre"). En bas, c'est la vallée tracée par la riviere et bordée par une epaisse forêts. Au loin, c'est la suite des Andes, avec tous les sommets qui vont avec. La vue est tellement impressionnante que j'y resterai 3h! Le temps de faire le tour de tous les points vue et attendre que le ciel se dégage. Sur le chemin du retour je m'arrête au bord du lac de glacier et retourne au camping en stop. Je me pose à l'auberge pour charger des batteries et commander un sandwich pour le lendemain. En marchant vers ma tente pour aller dormir, j'aperçois des vaches (à cornes) qui sont dans le camping à 20m de ma tente. Je me dis que ça serait un gros foutage de gueule si elles l'ont (encore) défoncée.... eh bin ça n'a pas raté... tente trouée et bouse à 5m de ma tente.... je suis furieux et je le fais savoir au gérant du camping. Après maintes échanges, il accepte de ne me rembourser que 30eur (30% du prix du toit qui est troué mais qui me laisse 100% dans la merde...). Maintenant je vais devoir faire extrêmement attention à mes bivouacs pour ne pas exposer à des vents forts ma tente rafistolée avec du scotch industriel.
Bilan: 8km, 700m d+
8 janvier:
Le Cerro Tronador est majestueux et j'ai envie de le voir sous d'autres angles. Je grimpe alors au dernier refuge au pied du glacier en traversant la forêt puis en longeant une crête rocheuse au dessus du début du glacier. J'ai aussi de beaux points de vue sur les cascades d'hier mais de l'autre côté du cirque. Malheureusement il fait moche et je n'ai que quelques éclaircies pour apercevoir de près le glacier. Sur le retour je vais au pied de la cascade; c'est magnifique. De retour au camping, je fais une sieste et j'entame le début d'une marche de 3 jours qui aboutit à Bariloche (Colonia Suiza plus précisément). Je monte dans une vallée qui offre des balcons avec vue sur le Tronador qui est complètement découvert. Je pose et cache ma tente à 50m du camping pour ne pas avoir à le payer.
Bilan: 34km, 1800m d+ (ça aurait été compliqué sans la sieste)
9 janvier:
Au réveil je fais un AR jusqu'au Mirador del Doctor, une formation rocheuse en forme de barre longitudinale qui domine en son extrémité le lac Frey et un bras du Lac Nahuel Huapi (l'énorme lac de Bariloche). Puis je reprends mon gros sac et continue mon chemin. Vers 12h je ne sais pas pourquoi, je me sens d'un coup épuisé, les gestes deviennent difficiles et ça ne m'aide pas du tout puisque les 2 cols que je franchis sont couverts de neige. Heureusement que je croise un autre randonneur dans le sens inverse pour me rassurer sur leur accessibilité; je sais au moins que des traces sont faites dans la neige pour que je les suivent. Les vues sont un peu aériennes, je n'ai pas le vertige mais des efforts de concentration sont nécessaires à chaque pas pour ne pas en faire un de travers. À bout de force j'arrive dans une vallée qui offrent de beaux spots de bivouac. Je monte le mien près d'une petite cascade qui se finit dans une piscine cristalline. Dommage que l'eau soit glaciale; je n'y lave que mes pieds et mon visage.
Bilan: 20km, 1200m d+
10 janvier:
Dernier tronçons pour rejoindre la civilisation. Je commence par traverser un col bien enneigé mais qui n'offre pas de complications, la neige et ferme et je suis des traces de pas. Au niveau du col, tout comme les précédents d'ailleurs, le Cerro Tronador domine toute la région et se laisse apprécier par ce beau temps. Puis je descends vers ce que je vais appeler "La Merde Verte". Encore cette foutue forêt qui a avalé le sentier et face à qui je dois me battre pour trouver mon chemin. Et évidemment les taons sont de la partie, ne me laissant aucun moment de repos. Dès que je m'immobilise (pour faire mes lacets ou prendre ma respiration), ils se jettent sur moi. Je pète les plombs et me mets à gueuler comme un fous contre cette nature que j'ai envie de brûler. 500m plus loin je répète un plomb. Sous le coup de l'émotion je décide que j'ai en ras le cul. J'ai repéré une petite rivière qui suis mon chemin, je m'y approche, enfile mes chaussons de plongée et continue dans la rivière. C'est beaucoup mieux... tellement mieux que lorsque j'arrive à un lac, je décide de garder mes chaussons et de le traverser en suivant le bord. J'aurai fait peut être 2km comme ça. Puis le sentier est de nouveau visible et je renfile mes chaussures. Je poursuis vers un autre col, complètement dégagé de Merde Verte et de neige. Ici, soit je descends direct vers Colonia Suiza, soit je passe par le Cerro Lopez qui me rallongera pas mal l'itinéraire. Au moment où j'hésite, un couple de français monte de Colonia Suiza pour aller au Cerro Lopez. C'est un signe, je dois les suivre; je n'ai plus l'excuse du "c'est dangereux tout seul". On marche ensemble en sympathisant et arrivés au pied de la dernière monté, on est impressionné par sa pente; 55%. Là où j'ai chuté au Monténégro c'était à peu près 45%. Mais ici il y a bien un "chemin" balisé, c'est des grosses pierres et non des éboulis, et je ne suis pas seul. Aucune crainte donc. Arrivés au sommet on a une vue incroyable sur, d'un côté une chaîne de montagne aux pointes enneigés avec le Tronador en maître, de l'autre côté les lacs et la vallée de Bariloche. Su-blime. La descente se fait dans l'impatience de retrouver le confort. On arrive sur la route à 21h, après 13h de marche. On ne capte pas, donc pas possible de commander un Uber. On va en stop à Colonie Suiza d'où on trouve notre Uber. Arrivé à mon hostel, on m'informe qu'il est complet!!! Je dois donc marcher 2km de plus pour en trouver un autre. Douche, puis enfin, à 23h30, pinte de bière avec pyramide de frite....
Bilan: 20km, 1800m d+
11 janvier:
Journée repos. J'en profite pour rafistoler ma tente, faire une lessive, organiser un mariage, retirer de l'argent via WU (où j'apprends que j'ai gagné 30% de pouvoir d'achat; le taux étant passé de 1000 à 1300). L'après-midi je prends un bus pour Esquel, 200km au sud de Bariloche et aux portes du Parque Nacional los Alerces que je visiterai en 2 jours. Le soir je mange dans un restaurant-grillade. J'en pleure. J'ai mon 1er asado et mon 1er pinguino (vin de table servi dans une carafe en forme de pingouin, typique de Patagonie et que je retrouve avec nostalgie). Les quantités sont énormes, la qualité parmis les meilleures de mon séjour, 10eur.
Bilan: 500gr de bœuf
12 janvier:
Le matin je prends un bus qui m'emmène au parc, au Lago Verde, où je pose ma tente au camping. Puis je monte au seul sommet du coin accessible, le Cerro Alto El Petiso. Au début du sentier une pancarte indique "Cerrado". Mais sur le moment j'oublie mon espagnol et je ne comprends pas que ça veut dire "fermé". Je poursuis donc sur un chemin dans la forêt bien entretenu puis j'arrive à une rivière que je dois longer sur 2-3km en la traversant une 15aine de fois. Puis j'attaque une crête qui m'emmène au sommet en ne mettant que très peu les pieds dans la neige. Évidemment je suis tout seul. Vue superbe sur le glacier Torrecilla, les lacs et les Andes qui ici rappellent les Alpes. Je redescends les troncons de neige en faisant de la luge sur les fesses, c'est rapide, ludique et anesthésiant. Sur le chemin du retour je longe les lacs avec un joli Mirador sur le glacier. Le cadre est idyllique, les rivières qui mesurent 1-2km reliant les lacs entre eux, sont verts avec des eaux cristallines. C'est très sauvage, calme, peu de monde, on pourrait y habiter dans une cabane, y couper du bois, pêcher la truite, distiller son propre whisky, discuter avec les oiseaux et carper son diem.
Bilan: 21km, 1500m d+
13 janvier:
J'éteins mon réveil qui sonne à 5h45 (j'ai été ambitieux) et réalise que j'ai accumulé de la fatigue. Je dors jusqu'à 10h00, soit 13h de sommeil. C'est bien de dormir en fait. Petites ballades au programme pour profiter un peu plus du parc mais rien d'exceptionnel. J'avoue que je ne pense qu'au restaurant de ce soir et compte les heures qui me séparent de mon T-bone. De retour à l'hostel, je joue avec ma faim en prenant mon temps avant d'aller manger. Je passerai 2h au devant mon assiette savourant chaque bouchée. Vers la fin la serveuse me demande même si je souhaite faire réchauffer au feu la pièce. Quel bonheur ces restaurants argentins.
14 janvier:
Journée dédiée à l'attente de mon bus pour Los Antiguos à la frontière chilienne. La matin j'en profite pour continuer à m'occuper du mariage et l'après-midi je prends mon bus. Coucher de soleil magistrale sur la pampa et les collines pré-Andine.
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ernestinee · 2 months
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La journée commençait bof parce qu'on avait prévu de faire "un truc" aujourd'hui mais on ne savait pas trop quoi, et c'est souvent comme ça que ça commence mal parce que moi je veux bien à peu près n'importe quoi pourvu qu'on passe par un magasin de bouquins ou de jeux, mais l'homme veut absolument visiter qqchose et bien manger et l'ado veut absolument faire les magasins sans être accosté par un vendeur, manger en vitesse et être de retour assez vite du coup ce matin je sentais venir la journée de merde au point que l'ado a failli rester seul à la maison et à la dernière seconde il a vu ce qu'il devait réchauffer pour manger à midi du coup il a décidé de venir, je ne sais pas comment je dois le prendre, mais il devait encore se laver alors on a pris le train suivant mais même celui-là on a failli le rater, ensuite j'ai râlé parce que "vous n'êtes pas foutus de prendre un peu sur vous alors soit je suis avec l'un OU l'autre, soit je passe des journées de merde quand vous êtes là tous les deux mais y a jamais moyen de passer une journée normale à trois, vous êtes deux boulets, bordel" bon ça les a fait réfléchir apparemment et la journée s'est bien passée jusqu'à un certain moment.
On a visité Train World à Schaerbeek, c'était énormissime, l'histoire des trains en Belgique depuis les locomotives à vapeur jusqu'aux années 70/80, des vrais vieux trains dans lesquels on pouvait rentrer, des vieux objets, des anciennes affiches, tout ça tout ça bref l'ado a trouvé ça mieux que ce qu'il pensait (il pensait que c'était un vieux musée poussiéreux avec des miniatures de trains), l'homme était content pcq sa proposition avait plu, et puis on a pris le tram vers le centre-ville, il y avait l'air-co donc génial, on a mangé un petit truc et on s'est baladé en faisant des photos, la Rue Neuve n'est plus que l'ombre d'elle-même mais il y a une chouette dynamique à Anspach, Ste Catherine, Les halles et vers la Grand Place. On est en pleine période des plaisirs d'été du coup il y avait des animations de rue et des acrobates sur la Grand Place. Elliott a reconnu un acrobate d'une troupe de cirque dont il suit l'actualité. Il est rentré dans des magasins, a trouvé sa pointure sur les nouvelles Nike mais a eu la flemme de dépenser ses sous alors il est sorti en râlant bah oui la vie est chère que veux-tu, et après ça il a eu faim, il a été fatigué, il a eu mal aux pieds (tu sens venir le truc où je lui dis que ok je mets la moitié sur les Nike parce qu'il se plaint subitement de ses pieds ?) (jamais de la vie mais bel essai) moi j'ai fini mon film de 72 photos, j'en ai entamé un nouveau et cette fois je n'ai pas mis un Kodak, j'ai mis un lomography avec un effet un peu patiné on verra ce que ça donne mais c'est aussi 72 photos, ça va prendre une blinde pour les faire, j'ai trouvé 5 cartes pour ma collection dans Weward malgré que ça les ennuyait de me suivre dans des rues pour trouver ces cartes et on a mangé un mochi près de la grand place, il était délicieux et j'avais envie de parler japonais au gars du mochi mais j'ai pas osé et pourtant je voyais bien qu'il galérait en français et pourtant je sais commander trois mochis en japonais, comprendre un prix, remercier et dire au revoir du coup j'étais un peu déçue de moi-même. Après on a chacun eu fini nos pellicules et ça tombait bien parce que l'ado commençait à saturer de marcher sans autre but que des photos et des cartes Weward (pour ça il était d'accord avec son père) on a déposé les pellicules au labo, je me suis acheté une dragonne colorée pour mon Pentax 17 et on a repris le train vers la maison. L'ado s'est assoupi 5 minutes sur mon épaule et a décrété que "ah finalement ça va j'étais juste un peu fatigué" et vous avez remarqué comme moi qu'on n'est rentrés ni dans un magasin de livres, ni de jeux.
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philoursmars · 1 year
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Bon, n'étant pas très mobile, difficile de créer des posts avec de nouvelles photos. Je reviens donc à mon projet de présenter l'intégralité de mes photos, projet interrompu à l'année 2017. Je vais donc essayer de clore cette année 2017. Et elle sera close par Marseille aux vacances de Noël.
les deux premières : le Pharo et le Monument aux Héros et Victimes de la Mer
La Cathédrale de la Major
la terrasse du Musée Regards de Provence
le cirque implanté au J4, près du MuCEM
des graffiti sur le chemin de ronde du Fort Saint-Jean
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whileiamdying · 1 year
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Harper's Bazaar N°6 en kiosque ce 24 août 2023
PAR LA RÉDACTION PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 12H39
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On le sait parce qu’elle l’a souvent dit dans des interviews, c’est un mot qui la laisse de glace. Mais combien de fois, au cours de son hallucinante carrière, Catherine Deneuve a-t-elle été qualifiée d’icône ? Combien de fois lui a-t-on demandé ce que ça faisait d’être dans la peau d’un tel symbole? Avec ce phrasé pressé, précipité, comme en cavale, et qui n’appartient qu’à elle, elle balaie l’image d’un revers de main. Elle a coutume de dire: “Je ne suis pas un monument.” Au fond, on comprend pourquoi l’actrice n’est pas à l’aise avec cette auréole. Elle fige, elle givre, elle grave dans le marbre de la légende, elle paralyse presque.
Catherine Deneuve, comme l’eau vive, est trop éprise de mouvement, de découvertes, de fugues. De surprises pour elle-même et pour les autres. Qui aurait imaginé qu’elle endosse la veste en tweed de Bernadette Chirac dans une comédie décalée ou qu’elle s’improvise patronne de cirque dans le prochain film du duo grolandais Kervern-Delépine ? Si les chefs-d’œuvre qu’elle a inspirés, ses pas de deux enchanteurs avec Demy, Truffaut, Buñuel, Polanski, Téchiné, Rappeneau & co, tout comme son blond mythique ou sa prétendue froideur sont des fétiches taillés pour l’“iconisation”, elle ne craint pas les sorties de route, les premiers films, les contre-emplois, les zones d’inconfort. Elle les embrasse même, avec la brûlure de vivre, sans jamais froisser sa trajectoire étoilée, sans cesser de s’appartenir.
À croire que son aura est pare-balles. Alors que tous les Harper’s Bazaar du monde célèbrent de concert le thème des “icônes” avec une couverture chorale sur Kendall Jenner, force est d’admettre que le sens de ces trois syllabes reste vaporeux. Certes, il est question de force d’incarnation, de don de la nature, de talent, de photogénie, de magnétisme, de rencontre avec son époque, d’un peu d’éternité aussi, mais pas que… Il y a du supplément d’âme, du mystère et du quasi mystique. Tout ça au shaker produit une formule magique et intimidante dont Catherine Deneuve, visiblement seule à vouloir l’ignorer, est la souveraine incarnation. Nous avons rêvé de Catherine Deneuve en couverture de Harper’s Bazaar France, nous vous l’offrons à vivre...
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