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#comment rompre avec son copain
assogba · 2 years
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Rituel de séparation avec photo,rituel pour rompre une relation a distance.
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE RAPIDEMENT RUPTURE SORT ENVOÛTEMENT DE MAGIE NOIRE VAUDOU SÉPARATION Grace à ce Puissant Rituel Vaudou du Grand Maitre Marabout ASSOGBA , provoquer une rupture devient un jeu d’enfant avec le rituel de séparation avec photo. Il n’est pas question ici d’une simple cassure qui peut se raccommoder. Il s’agit d’une rupture franche et nette sans possible retour en…
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christophe76460 · 1 year
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Bruno et Cédric étaient, dans leur jeune âge, deux camarades inséparables. Ils habitaient la même rue, fréquentaient la même école, étaient dans la même classe. Ils s’entendaient très bien et pourtant, ils étaient si différents ! Quand Cédric avait une difficulté dans une matière scolaire, il savait qu’il pouvait compter sur Bruno qui n’hésitait pas à l’aider. Et quand Bruno avait un problème mécanique sur sa bicyclette, il pouvait compter sur Cédric pour la lui réparer.
Ils ne pouvaient pas s’imaginer pouvoir vivre un jour l’un sans l’autre.
Pourtant, la vie les sépara…
Cela a pesé lourd sur le cœur de chacun lorsqu’un gros camion de déménagement fut devant la porte du logement de Bruno et que sa famille partit bien loin…
Quelques années plus tard, Cédric est électricien dans une grande entreprise. Le soir, il est seul dans une chambre qu’il loue, et il s’ennuie… Il pense de temps en temps à son vieux copain Bruno, se rappelant les bons souvenirs d’enfance, mais il ne le voit plus du tout et ignore même ce qu’il fait.
Pour rompre la solitude qui lui pèse de plus en plus, Cédric commence à fréquenter le café d’en face, puis il se fait quelques amis – malheureusement peu recommandables – qui lui expliquent comment gagner de l’argent bien plus facilement qu’avec un tournevis d’électricien. Cédric se laisse convaincre et entraîner, et c’est ainsi qu’un jour, il se retrouve menottes aux poignets, ayant été pris en flagrant délit de vol.
Le jour du jugement est arrivé. Encadré par deux policiers, Cédric est introduit dans le tribunal, une salle froide dans laquelle sont assises plusieurs personnes. Il n’y fait tout d’abord pas très attention car, plongé dans ses réflexions, il sait qu’il va être condamné à une lourde peine, peut-être à une amende qu’il sera incapable de payer.
Tout à coup, son sang se glace dans les veines. Il voit… il voit là-bas, assis derrière une longue table, trois hommes en robe noire, celui du milieu… c’est Bruno ! Oui, c’est bien lui, c’est Bruno !
Cédric voudrait l’interpeller : « Bruno, c’est moi, ton copain, tu ne me reconnais pas ? »
Mais non, il ne peut pas faire cela. Et puis, après ce qu’il a fait, il préférerait ne pas être reconnu !
Lentement on énumère son nom, âge, profession, adresse et les charges retenues contre lui. On écoute les témoins, les avocats, puis le verdict est rendu selon les rigueurs de la loi. Cédric doit entendre la sentence prononcée par son ancien camarade : de la prison avec sursis et une amende plus lourde que ce qu’il avait imaginé. Cédric est anéanti, se disant qu’il ne pourra jamais s’en sortir.
Quelques heures ont passé. Cédric est remis en liberté et le voici dans sa chambre, perdu dans ses sombres pensées, quand soudain, il entend frapper à sa porte. C’est Bruno ! Pas le Bruno en robe de juge, les yeux sévères et dont la voix résonne sinistrement dans la salle du tribunal, mais le Bruno à la voix douce et aux yeux reflétant l’amitié, la même amitié que celle d’autrefois. Quelques échanges de mots, puis Bruno demande, d’un ton grave : «Que penses-tu faire maintenant ?»
L’espace d’un instant, Cédric est tenté de lui lancer à la tête : « Je vais essayé de payer l’amende que tu m’a collée ! ». Mais il réalise qu’il mérite cette sentence, de plus il n’a pas le temps d’être désagréable car déjà Bruno enchaîne :
« Écoute, j’ai acheté une maison entourée d’un immense jardin. Tu me connais, je ne suis pas fort en jardinage. Ce serait vraiment super si tu voulais venir t’en occuper. Tu habiterais là car, dans cette même propriété, il y a une maisonnette qu’on pourrait aménager, et ce serait alors un peu comme autrefois. »
Cédric qui a toujours aimé s’occuper du jardinage, lève la tête et rencontre les yeux de Bruno qui le regarde interrogateur, comme autrefois lorsqu’il lui demandait de réparer sa bicyclette.
« Mais… et l’amende ? » balbutie-t-il.
« L’amende ? elle est payée ! Je viens de signer un chèque correspondant au montant que tu dois ! »
* * *
Je ne peux pas affirmer l’authenticité de cette histoire ancienne mais, qu’elle soit réelle ou romancée, elle illustre bien celle de chacun de ceux qui ont mis leur confiance en Jésus Christ.
Dieu déclare que nous sommes tous condamnables parce que « tous ont péché » (Romains 3 v.23)
« Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché » (Ecclésiaste 7 v.20)
« Mais, direz-vous peut-être, je n’ai jamais fait de mal à personne et je peux passer la tête haute devant les juges ». Oui, sans doute, devant la justice des hommes à qui nous pouvons cacher ce qui n’est ni vu ni connu, mais pas devant la justice de Dieu qui connaît tout, y compris nos pensées les plus secrètes. « Il n’y aucune créature qui soit cachée devant lui mais tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous avons affaire » (Hébreux 4 v.13)
Quelqu’un oserait-il déclarer qu’il n’a jamais enfreint un seul des commandements de la loi divine tels que « tu ne convoiteras pas… », « tu ne diras pas de faux-témoignage… » ou ceux que Jésus rappela quand un docteur de la loi l’interrogeait pour l’éprouver : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est là le grand et premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent la loi entière et les prophètes. » (Matthieu 22 v.37 à 40). Chaque jour et même plusieurs fois par jour, nous transgressons les droits de Dieu par une mauvaise pensée, une hypocrisie, un regard de convoitise, un mensonge, une pensée d’orgueil etc. Par tout cela, Dieu est offensé et, à cause de sa sainteté et de sa justice, il se doit à lui-même de nous condamner. Ce Dieu qui a les yeux trop purs pour voir le mal (Habakuk 1 v.13) ne peut pas se renier lui-même en passant sur un seul péché.
Cette condamnation est sans appel. Les œuvres, l'argent, les sacrifices, ne feront pas fléchir le juge. Malgré toute sa bonne volonté, l'homme ruiné ne peut absolument pas échapper à sa condamnation qui est la mort éternelle, « car le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6 v.23)
N'y a-t-il donc pas d'espoir d'échapper au jugement mérité ? Du côté de l'homme, non. C’est alors que Dieu se révèle comme le Dieu sauveur. Il est venu jusqu’à nous dans la personne de son Fils unique, Jésus Christ qui paya à notre place le prix immense du péché en souffrant et mourant sur la croix.
Si Bruno a payé l’amende de son ami Cédric en signant un chèque, Christ a payé notre dette, non avec de l’argent ou de l’or, mais par son sang précieux (1 Pierre 1 v.19). Il a donné sa vie pour nous, et il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis (Jean 15 v.13).
C'est ainsi que Celui qui condamne parce qu'il est saint et juste, nous délivre et nous sauve parce qu'il nous aime. Mais à la condition que nous acceptions à la fois son verdict et son salut.
Non seulement Bruno a payé l’amende de Cédric, mais il l’invite à venir vivre chez lui, dans sa propriété.
Non seulement Jésus a payé notre dette à la croix, mais bientôt, il reviendra et prendra tous ses rachetés pour les introduire dans son ciel et être toujours avec lui.
Ami lecteur, Jésus est-il votre Sauveur ? L’avez-vous reçu comme tel, par la foi ?
Sinon, il reste votre Juge.
[http://www.la-verite-sure.fr/page152.html](https://l.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.la-verite-sure.fr%2Fpage152.html%3Ffbclid%3DIwAR057oGJEOib75W01BN7NaNl1OWHxaEzzzUD8WWiBr9chGohLjDGsvgNeD4&h=AT0Pj8K3uhVFPJCJ75tglGXm3EwAZEbwGbTBYwJfouPyp7gXvSMC4Gh9AOjuOKnRbTU_ggSGd75cVJTpR06oxPP8KEm2PcjpU47bPjmFoAHoim8pFX6X_i3HHGPUZclhfPUYK-I_hwnQ1-AuWypj&__tn__=-UK-R&c[0]=AT0osdZF5gAUxjFLQasyJivBtmFhXjwSW6K7wqg6t2Ys7XL9-gRxU0DGD3Nkya7JOgBIr5NMCevgnkGslp11s7UxuK7SDjl8lqGemkFy7VXWcgWTST-zXaxfI2crFXDYmK2j)
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beatlesonline-blog · 2 years
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a-room-of-my-own · 3 years
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Tilly, c'est l'anon copain dépressif ici! Je te promets c'est la dernière fois. Je lui ai demandé pourquoi il fait pas la thérapie, il a enfin avoué la vraie raison: il a peur de se faire suivre et rompre avec moi. Car il sait plus qui il est après des années de dépression et de l'alcool quotidiennement. Il a peur d'être mieux un jour et ne plus m'aimer. Il dit qu'il veut mourir tout le temps sauf quand je suis là. Que même les jours sans de l'alcool il m'aime encore. Mais qu'il sait pas trop qui il deviandra après tout ça et donc il a peur. Je lui ai dit que je veux qu'il soit bien même si cela veut dire qu'on ne sera plus ensemble, mais j'ai du mal à comprendre comment ses sentiments pourraient changer si drastiquement. Il dit que c'est pas qu'il croit que ça se passera, juste qu'il a peur, et que c'est peut-être à cause de la dépression qu'il pense à ça. À ton avis on peut cesser d'aimer qqun car on va mieux? À mon avis si on va mieux on aime les gens encore plus. Certes, les priorités peuvent changer, ça c'est bien en fait, mais pas le sentiment.
La raison profonde de son refus de faire une thérapie n'est à mon avis pas celle-là. Dans ce que tu me dis, je comprends qu'il est très angoissé et qu'il a des idées noires. C'est probablement son angoisse qui lui fait penser ça, il a peut-être très peur d'être seul. Ce que tu lui as dit était tout à fait bien, la priorité c'est qu'il se soigne. Et aussi, mais ça c'est plutôt pour toi, tu ne peux pas avoir la responsabilité de le soutenir à bout de bras.
Il n'est pas forcément en état de l'entendre donc il vaut peut-être mieux ne pas lui en parler pour l'instant, mais tu peux lui dire que pour toi c'est essentiel qu'il voit un thérapeute, parce qu'il a besoin d'une aide que tu ne peux pas lui apporter, ou pas totalement. Tu peux le soutenir, mais pas le soigner.
Il faut bien comprendre un truc aussi c'est que la dépression est paradoxalement "confortable" parce qu'en sortir demande énormément d'efforts et d'aller en quelque sorte contre ses instincts. Quand elle est installée, la démarche de soin peut même être anxiogène.
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panelun · 6 years
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Les forts et les purs (partie 4 et fin)
Bon, bon. J’en profite pour faire un erratum : l’histoire ne se passe pas dans les années 70 mais probablement au début des années 50.
Ceci dit…
À leur retour de vacances, Guy disparait à nouveau. Plus personne n’a de nouvelles de lui jusqu’au jour où le narrateur trouve une lettre dans sa chambre.
C’est à toi que j’écris, car il me semble que je n’aurais pas encore le courage de parler directement à Michel. Pourtant, c’est à lui que je devrais écrire.
Après cette introduction qui sent bon pour notre interprétation non-canonique, Guy raconte son histoire. En vérité, c’est un petit noble suédois qui a quitté son pays lors de l’avancée des soviets (toujours ces saletés de communistes ! Et pas un mot sur le nazisme : on ne reviendra pas sur la sympathie de cette maison d’édition pour la droite de la droite…) Ses parents ont été tués lorsqu’il a quitté son pays avec son frère. Les enfants ont ensuite été recueillis en France.
Or, le jour de la libération en 44, un maquisard a accusé son frère d'avoir dénoncé des résistants aux allemands et l’aîné a été fusillé. Un homme avoua à Guy que le responsable de ce meurtre était Jean-Pierre Harlant, le frère de Michel. 
Depuis, Guy ne rêve que de revanche, mais Jean-Pierre Harlant étant mort, sa dette ne pouvait être remboursée qu’en reportant sa colère sur son frère : donc Michel. La rencontre de Guy et de ce dernier a tout changé. Il explique alors en quoi sa rencontre avec les scouts l’a rendu heureux et lui appris ce qu’était l’amitié, mais surtout …
Je savais, bien avant l’Alsace, que je ne pourrais plus jamais tuer Michel, parce que je l’aimais trop.
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Il finit sa lettre en demandant à ce qu’on ne cherche pas à le retrouver.
Le narrateur montre la lettre à Michel, et quelques jours plus tard…
— Parfait ! Dit Michel sobrement en consultant sa montre-bracelet. Jean-Claude et moi allons essayer de ramener Guy Morlovsky.
Courageux et buté comme pas deux. Michel décide donc de refuser la demande de son chéri et de le ramener par la peau du cul au nom de l’amour. 
Michel leur explique son plan. En effet, il sait déjà où se trouve Guy. Ce dernier est aux mains de gens peu recommandables qui exploitent les enfants et leur font… couper du bois en Alsace.
… Mais bien sûr…
Michel, donc, prépare  le sauvetage de Guy, mais ne veut pas appeler la police car il craint qu’il soit placé dans une maison de redressement pour avoir collaboré (même de force) avec des criminels. 
 Le narrateur s’étonne tout de même de le savoir si bien renseigné sur la géographie des lieux et les occupations de leurs ennemis.
— Qui te fait penser que Guy soit dans ce secteur ? dis-je enfin pour rompre un silence qui pesait.
— Différent recoupements… Je ne te l’ai pas dit, mais il y a plusieurs semaines que je suis le gosse à la trace.
Le retour du stalker. C’est vraiment une manie dans ces romans ! Ce gamin a passé plusieurs jours à chercher son copain qui ne voulait pas être retrouvé !
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Bref. Ils se rendent sur place. Michel ne prend pas de pincettes, entre de front dans le cabanon et tombe nez à nez avec le maquereau qui détient les gosses. Guy est au fond de la salle et Michel exige de récupérer son chéri, mais l’homme prend une carabine et s’apprête à les abattre. 
Au même moment, Guy sort un pistolet de sa poche et menace l’homme, qui lui tire deux fois dessus. Guy s’effondre.
Michel se jette sur l’homme, le maintient et demande au narrateur de l’attacher.
Les gosses s’étaient précipités vers Guy. Michel me laissant finir d’immobiliser le prisonnier, bondit auprès d’eux.
Avec soulagement, il constate que la blessure n’est pas grave et discute un peu avec Guy. Les dialogue, portant sur des problèmes très concrets, sont entrecoupés de petits détails comme :
Michel sourit. Le ton de chaleur, que mettait soudain dans sa défense le petit chat sauvage, lui plaisait.
Il l’appelle “petit chat sauvage” maintenant… 
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Il se passe des choses sans grand intérêt. Michel n’arrête pas de féliciter Guy et Guy, cessant de se comporter comme une tsundere, rougit comme une jouvencelle. Puis ils se rendent à l’hôpital. Il s’avère que le garçon n’a qu’une blessure superficielle. À leur retour, Michel emmène Guy et le narrateur chez lui.
Il saisit Guy à l’épaule valide et lui dit :
— Guy, il faut que je te fasse souffrir encore un court instant.
Ah ! J’avais bien dit qu'il aimait la violence !
Michel a, en vérité, conservé les lettres de son frère. Il veut faire lire à Guy la dernière d’entre elles. Guy apprends ainsi que Jean-Pierre n’était pas responsable de la mort de son frère et que tout ça n’est qu’un gigantesque malentendu.
Guy s’était lentement laissé glisser sur les genoux. À l’instant où Michel avait lu le passage concernant la mort de son frère, ses yeux s’étaient fermés et des larmes avaient coulé sur ses joues.
Michel dit doucement :
— Je suis sûr maintenant que notre rencontre n’est pas de celles qui peuvent s’expliquer par des causes naturelles. Vois-tu, Guy, j’avais en somme un message pour toi, un message impératif, et je suis un mauvais messager. Pour être plus fidèle, je t’ai fait souffrir encore… C’est une réparation de plus que je te devrai.
 Alors Guy leva lentement la tête. Au travers de ses larmes brillait un pâle sourire. Il dit :
— C’est écrit dans ton cahier : Dès la première heure de notre rencontre, Michel, tu avais réparé.
Donc, ils ont été réunis par le destin.
Pendant ce temps, le narrateur :
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Enfin l’histoire se termine quand, quelques jours plus tard, Michel offre à Guy son médaillon porte-bonheur. En échange, Guy lui offre la médaille qu’il portait au cou et qui lui venait de son frère. 
Michel a gravement accroché la petite médaille à son cou et Guy a dit en souriant :
— Ceux qui nous aimaient sont heureux. 
Les nuages crevèrent. Devant nous la route fut brusquement baignée de soleil. L’orage avait contourné l’horizon. 
Et c’est sur cet échange de médailles qui ressemble à un échange d’alliances, béni par l’approbation de leurs grands frères, que l’histoire se termine.
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Conclusion : toujours pas aussi gay que Le Prince Eric, mais en même temps, les romans érotiques gays ne sont pas aussi gay que Le Prince Eric, alors…
Mais on peut supposer que Les forts et les purs peut être une histoire d’amour masquée par la naïveté du narrateur, ce qui n’était pas le cas de Le Prince Eric puisque l’auteur insiste sans cesse sur le fait qu’ils sont justes “amis”, même s’ils ont envie de se sauter dessus à chaque instant.
Mais ce serait très étrange, surtout venant d’une maison d’édition catholique destinée à la jeunesse.
Enfin, comment voulez-vous que j’explique autrement ce que je viens de lire ? Hein ? 
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Un collège de REP en 2019
Cela fait longtemps que je n’ai pas relaté mes aventures de prof par ici. La faute à ma vie de maman qui faisait moyennement ménage avec les exigences de mon métier. La faute à la passion, la fougue, qui n’y étaient plus tellement. Déjà. Entrée en 2009 dans l’Education Nationale, désillusionnée en 2018.
Ce serait excessif d’affirmer que je suis au bout du rouleau, que j’en ai assez, que la corde est sur le point de se rompre, comme notre collègue qui a mis fin à ses jours très récemment. Je n’en suis pas à là. Cependant, c’est son acte qui m’a donné envie de reprendre le clavier où je l’avais laissé et de témoigner de l’évolution de mon collège de REP, en seulement un an.
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Mon bahut est censé accueillir 700 élèves au maximum, c’était le nombre affiché lorsque j’y ai été affectée en 2014. Section générale, SEGPA, ULIS, classe d’accueil, l’offre est variée et la demande en constante augmentation.
En cette rentrée 2018, nous comptions 800 élèves. La classe d’accueil, destinée à intégrer doucement les élèves non-francophones, parfois non-scolarisés de surcroît, à notre système, est saturée. En 2014, elle comptait moins de 15 élèves. Cette année, ils sont 26, de plusieurs âges, plusieurs horizons donc plusieurs langues. Bien trop, ce qui fait qu’on les envoie au plus vite en section générale, dans des classes de francophones souvent natifs, scolarisés depuis la maternelle. Le choc est rude. Mais comment notre collègue qui gère à elle seule cette classe pourrait-elle faire autrement? Ce n’est pas comme si de nouveaux arrivants venaient frapper à sa porte tout au long de l’année... Ah, en fait si. Ma collègue joyeuse, pétillante, enthousiaste en 2014, s’autorise parfois d’aller pleurer dans les couloirs maintenant. Elle est épuisée, souvent arrêtée, son corps l’enjoint de se calmer. Elle n’a jamais été formée pour mais elle porte cette classe cruciale sur ses frêles épaules depuis bien longtemps...
La SEGPA, censée accueillir les élèves se heurtant à d’importantes difficultés scolaires, néanmoins non porteurs de handicap, de retard mental ni de troubles psychiatriques, est moribonde. C’est le seul effectif en baisse. Dans notre collège, contrairement à tous les autres de notre bassin, les parents rechignent toujours plus à y placer leurs enfants. En même temps, je ne peux leur jeter la pierre, lorsque je vois ces classes passer. Quinze spécimens animaliers aussi surprenants qu’agités. Témoins vivants des erreurs d’orientation. En discutant avec mes collèges profs des écoles, en charge de ces classes, j’ai compris qu’en réalité s’y trouvent précisément les élèves qui n’ont rien à y faire, mais qu’on n’a pu placer ailleurs: faibles QI, troubles psy sérieux (psychose, paranoïa, possibles troubles de la personnalité). Les rares élèves ayant le profil ne peuvent s’y épanouir, écrasés par les autres, dont plusieurs relèveraient de réelle prise en charge médicale, mais qu’on nous laisse sur les bras, y’a pas d’place ma bonne dame! Alors oui, je comprends que les parents de gamins qui finissent leur 6è avec 5 de moyenne générale préfèrent les voir errer en voie générale jusqu’en 3è où il sortiront du collège avec 2 de moyenne...
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Ces élèves-là finissent donc en voie générale, comme leurs copains handicapés relevant d’ULIS mais qui, eux, n’ont aucune place. L’Unité Locale d’Inclusion Scolaire, est saturée, partout! Et, là, impossible de pousser les murs, on n’accueille pas les élèves souffrants de vrais retards ou autres handicaps par groupes de 25! Alors bon, on les laisse patienter, parfois plusieurs années, en voie générale... Là encore, je n’accuse personne, ils font ce qu’ils peuvent, mes valeureux collègues d’ULIS.
Quand je suis arrivée dans mon collège, les classes accueillaient en moyenne 21-22 élèves, comme ce qui est préconisé en REP. C’était bien, il ne fallait pas plus pour pouvoir prétendre personnaliser un temps soit peu notre enseignement. J’arrivais à faire un peu de pédagogie différenciée, à les faire globalement tous progresser, à ce que mes 3è obtiennent leur Brevet. Dans nos petites salles prévues pour ces effectifs, le climat était plutôt serein. Mais ça, c’était en 2014. Cette année, je suis professeur principal d’une 5è qui compte pour l’heure 27 élèves. Dont 3 relevant d’ULIS. 2 dont les parents ont refusé une orientation en SEPGA. 2 dyslexiques sévères en attente d’AVS ou, à défaut, de pouvoir utiliser un ordinateur. Et enfin, 1 fraîchement sorti de classe d’accueil qui baragouine à peine dix mots de français. On s’éclate...Ou pas. On tasse tout ce beau monde dans une salle un poil petite, il faut le dire, on se relève les manches et on fait semblant de proposer des cours qui feront progresser toute la classe. Encore, je ne dois pas me plaindre, ils sont assez faciles mes 5è, pas de gros soucis disciplinaires à part S., souffrant de retard mental, qui insulte et cogne tout ce qui bouge. Il passe autant de temps exclu chez lui qu’en cours. Il est incapable de mesurer les conséquences de ses actes, relativement peu apte à vivre en communauté, tout simplement. Mais obligé d’être scolarisé quelque part, ramenant glorieusement une moyenne générale de 1.38, que lui demander de plus? C’est aussi pour ça qu’ils sont 27, mes 5è, parce qu’ils sont relativement calmes au regard d’autres classes. Les nouveaux, on me les confie, ils auront moins peur...
Parce qu’ailleurs, c’est le souk total. Cette année, on l’a senti venir dès septembre avec des soucis disciplinaires qu’on n’avait habituellement jamais avant novembre. En septembre, normalement, les élèves restent tranquilles, ils découvrent leur classe, leurs profs, la vie scolaire. Mais cette année, on a été plongés dans le bain direct, et elle était froide l’eau! La faute aux effectifs saturés sans personnel qui suit. La faute aux parents qui lâchent l’affaire ou, au contraire, protègent leurs doux anges contre les vilains profs sans chercher à vraiment connaître la vérité. La faute aux deux CPE dont l’une brille par son incompétence depuis 4 ans et l’autre est une stagiaire si douée qu’elle repart pour une nouvelle année de stage. La faute aux surveillants qui, au lieu de faire régner un temps soit peu l’ordre, font des check avec les élèves et ne mettent jamais un pied dans la cour ou les couloirs. La faute à tout le monde et à personne à la fois. Le bateau prend l’eau. Les conseils de discipline (merci à la direction de rester présente et ferme) s’enchaînent, le rythme est incroyable. Cette semaine, 2% des élèves sont exclus du collège. C’est énorme, mon principal n’a jamais vu ça. Les “petits” tracas sont pluri-quotidiens, les gros incidents hebdomadaires. Et le pire dans l’histoire, c’est qu’on râle, on sature, mais on s’habitue.
On s’habitue aux classes totalement ingérables, cette année j’en ai deux sur quatre. Des classes incapables de se concentrer plus de deux minutes d’affilée, à qui il faut demander sans relâche de se taire, d’avoir leurs affaires, d’au moins faire semblant de bosser. Des 3è dont 8 sont en dérochage avéré, les 17 autres ne comprennent pas trop ce qu’ils font là, ont un niveau CM2 et que je suis censée porter jusqu’au brevet, avec mon sourire et mon entrain désormais connus. A l’entrée en classe, ils font autant de bruit qu’en récréation, il faut déjà les sommer de se taire, chose autrefois plutôt spontanée. Une fois le silence durement obtenu, qu’ils sortent leurs affaires, rares sont ceux qui ont classeur ET trousse complète ET feuilles pour écrire. Alors on se retourne, on demande à être dépanné, et le volume sonore repart. Après 10 minutes, on se lance enfin. On rappelle le cours précédent, 6 suivent et s’en souviennent, les autres attendent ou griffonnent leur classeur, “Bidule trop ma bestaaah”. Je lance la première activité, reformulations claires des consignes, trois fois en moyenne. Avec interruptions diverses à base de “Madame, j’ai pas compris” ou “Truc, rends-moi mon stylo sale bâtard- Madame c’est pas moi- vas-y rends mon quatre couleurs!” du machin d’1m95 qui dort au fond. Et puis, le miracle, 2 minutes de silence. Généreuse récompense de la prof “qui tient ses classes”, de celle qui a la réputation d’être “gentille mais maniaque du silence”. Après 2 minutes, la concentration décline dangereusement, déjà les bavardages reprennent. On met en commun le travail et on rédige le cours. Certains lèvent la main pour s’exprimer, la plupart, du haut de leurs 15-16 ans parlent à la volée comme des 6è fraîchement arrivés, on se croirait sur un marché. Quid de leurs 3 années précédentes de collège? Ah mais je me doute que noyés dans des classes surchargées, bien pires qu’hétérogènes, avec des profs fatigués, ils ont du zapper quelques règles élémentaires. Bon, à moi de rectifier le tir mais en fin de collège, ils ont la mémoire courte. Quand je leur demande fermement de se taire parce que sinon on ne va pas s’en sortir, enfin que certains d’entre eux, en revanche, vont finir par sortir de mon cours, cela dure au mieux 4 minutes. L’heure se déroulera dans un fond sonore permanent, une concentration proche de zéro alors ne parlons pas de compréhension, hein... Quand ça sonne, c’est fréquent que j’entende des “déjà?” surpris, murmurer des “en français au moins on travaille” alors que moi, je suis au bout de ma vie (ah oui, je suis enceinte, ce qui contribue à ma mort lente mais inéluctable au fil des heures) et ai la furieuse sensation de n’avoir fait que brasser l’air trop chaud de ma salle surchargée. Mais bon, je ne me heurte à aucun souci disciplinaire sérieux, j’ai du bol quand même!
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Dans les couloirs, on se donne des baffes, on se pique les sacs, on se balance contre les murs. Pas un surveillant à l’horizon, ce sont les dames de service qui font la police. J’enrage. Elles aussi sont surchargées, trop peu nombreuses, et elles n’ont pas à faire bénévolement le boulot de ceux qui restent cloîtrés en vie scolaire. Je râle au passage “Machin, enlève ce bonnet!”, “Truc et Muche, la cour de récréation, c’est par-là!”. Je me réfugie en salle des profs où on est vite au courant des petits tracas et gros incidents. “J’ai dû en exclure quatre de classe à cette heure-ci, insolence, objets qui volent, agitation, propos sexistes...”. Exclusions avec rapport d’incident dont les parents n’auront au mieux, rien à faire; au pire, même pas connaissance car la vie scolaire, saturée et guère impliquée, a d’autres chats à fouetter. Ça, ce sont les petits tracas. Les gros incidents, au nombre de un à deux par semaine, ce sont plutôt des gamins qui se démontent littéralement la face dans la cour ou devant la grille, à se tabasser au sol, contre un mur, à s’envoyer à l’hôpital. Ce sont les profs qui se font filmer puis déposer sur les réseaux sociaux à leur insu. Les autres profs qui saturent et en viennent aux mains avec des élèves qui n’attendaient que ça, réussir à faire “virer du prof”. Enfin, ce n’est pas pire que ceux qui s’interposent physiquement dans les bagarres d’élèves car, là encore, il n’y a pas un surveillant à l’horizon. Voilà comment on en arrive aux conseils de discipline innombrables, aux exclusions définitives dont les concernés sont vite remplacés par des exclus d’autres collèges. Voilà comment débarquent des parents indignés du manque d’humanité des vilains profs qui, objectivement, font ce qu’ils peuvent dans une situation tendue depuis septembre. Voilà comment je croise au détour d’un couloir désert une collègue qui pleure car elle n’en peut plus, malgré des 15 ans de bouteille dans le bahut. Voilà comment j’attends mon congé maternité comme le messie alors qu’en 2016, j’étais atterrée de mon arrêt précoce. Comme tant d’autres, j’ai perdu l’entrain, la foi, et je suis épuisée. Malgré, pour l’heure, ma chance d’être à l’écart des gros incidents.
Vous voulez que je vous dise, cette complainte n’a aucune prétention à dénoncer une situation rare, c’est bien cela le pire. On n’est qu’un collège de REP saturé parmi tant d’autres! On n’est que les témoins impuissants d’une détérioration généralisée des conditions d’enseignement qui dure depuis un paquet d’années. Ce que je raconte est d’un banal consternant. Mais, au moins, il explique mon silence ici.
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orus123 · 2 years
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comment faire revenir son ex mari -voyant medium orus
comment faire revenir son ex mari -voyant medium orus
comment faire revenir son ex mari -voyant medium orus comment faire revenir son ex copain -faire revenir son ex mari Ce n’est pas toujours facile de rompre avec quelqu’un que l’on aime. Si vous êtes dans cette situation, vous pourriez vous demander comment faire revenir son ex mari, comment reconquérir son ex femme ou comment reconquérir son ex copain. Il existe de nombreuses méthodes pour…
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payetoncouple · 7 years
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"Tu as tout fait pour me faire fuir, aujourd'hui tu pourrais écrire un livre sur comment faire fuir son copain." "Tu m'as rendu malade à tel point que je croyais devoir aller chez le psy." "Je croyais que t'allais changer." "Avec mon statut, j'ai besoin d'un autre genre de filles."
ce qu'il m'a dit pour rompre pour la 4e fois en 4 ans de relation. Le motif de la rupture: je ne voulais pas le faire pour cause religieuse. Il le savait. 
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princessdarka · 7 years
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Koopaï  le garde du corps chap 7
Koopaï ne bouge pas.
Son clone maléfique non plus.
Ils se regardent dans les yeux pendant que Mario, Luigi et Kappi se battent avec leurs clones respectifs. Koopaï fait un pas à sa droite sans briser le lien avec l'unique œil visible de la créature noir, qui fit de même. Ils se mirent à tourner en un cercle parfais sans rompre le contact visuel et en évitant les projectiles des combats voisins, avant que le globule noir lève et observe sa « main ».
Koopaï se met au garde à vous, près à endurer un coup. D'un mouvement rapide, le clone balance son bras, créant une puissante vague d'air que le kooopa gris réussit à éviter. Un mur des gradins à été détruit par cette attaque, qui à eu pour effet de tourner tout les regards vers le gris et son clone.
Pour une fois Koopaï se fiche des regards que l'ont lui lance et conte attaque en lançant son maillet sur sa cible. La créature se prend le coup de plein fouet. Il n’eut pas le temps de ce remettre du coup que Koopaï l'attaque à de multiple reprise, mais la créature attrape le koopa par l'épaule et le force à regarder dans l’œil. Koopaï ne ressent plus rien, n'entend plus rien mis a par des cris étouffer avant de tomber sur un sol d'herbe d'un temps passer que Koopaï connaissait bien. Trop bien …
Une foret. Une ombre géante, 2 balles de lumière, une jeune créature et un enfants. Un petit enfant. Koopaï sait parfaitement qui est ce dernier. C'était lui. Et cette scène, il la voit en rêve tout les soir.
C'est la scène ou il à eu sa cicatrice.
Il la revoit, cette silhouette sombre et froide, le frapper.
Encore.
Et encore.
Et encore.
Jusqu'à entendre un craquement et des voix crier.
Il ne voit à présent que les ténèbres.
K....paï ...
Koo...aï …
-Laissez-moi … cinq minutes …
-KOOPAÏ !!!!!
Koopaï ouvre brusquement les yeux. Il était dans les airs pour une raison qu'il ne comprend pas.
Il a une vue d'ensemble du stade : Les inviter du roi, le professeur et ses « enfants », l'orphelinat et la bande de Kappi le regardent avec de grand yeux horrifier et le Globule noir a disparut.
-... Whao. C'est haut !
-REDESCENDS ESPÈCE D'ANDOUILLE !!!
-J'AIMERAIS BIEN T'Y VOIR TOI !!! ET COMMENT JE SUIS ARRIVER LA D’AILLEURS ?
-PLUS TARD POUR CA !!!
- TOUT VA BIEN KOOPAÏ ?!
-JE VAIS BIEN MADAME KAMMYNE ! Je ne sais juste pas comment redescendre, marmonne t-il.
-RESTE LA ! ON VIENT TE CHERCHER !!
-OU VOULEZ VOUS QUE J'AIE M.GOOM ?!
Bowser Jr commence à donner des ordres.
-Mme. Kammyne, allez à l'orphelinat ! Goom, préparez de quoi chercher mon copain d'aventure ! Kammi ou je sais pas quoi, tu reste ici !
-Les Koopalings je vous pris, allez accompagnez les enfants, continu Cherry.
Tous survirent sans exception les ordres
-Bon, comment on fait pour le redescendre ? Demande Luigi
Et comme réponse, Koopaï se sent retomber vers le sol.
-... Crap. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH !!!!!
L’atterrissage était tout sauf en douceur. Tous se ruèrent vers le jeune koopa tout tremblant.
-Ça va gamin ? Demande Mario
-J-J'ai une t-tête à aller b-bien ?
-J'avoue même à moi tu ne me l'avait pas faite celle là !!
-F-Ferme là Kappi.
Avec l'aide de Cherry, le koopa se relève avec quelques difficulté
-Alors … Tu es blesser au genou, au poignée droit et tu es couvert de poussière, analyse Bad Mario en sortant un plumeau à la dernière réplique.
-Range ton plumeau bro, ce n'est pas un meuble.
-Et encore moins un frigo.
Tous regardèrent Luirio avec une tête blasée.
-Bien. Maintenant, les explications …
Cherry et Nova @ask-the-koopa-family  
Bad Mario, Luirio et Luiria @rikrio67
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entrelesdraps · 7 years
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Neko et Salvia
Il y a peu de personnes anciennes dans ma vie. J’ai beaucoup déménagé, mais jamais développé d’aptitude à garder le contact. 
Hors famille, Neko est donc ma relation la plus ancienne. On s’est rencontrées au lycée. C’est par elle que j’ai compris que j’aimais les filles. Nous sommes sorties ensemble quelques mois, vraiment peu de temps au final... mais y’a des histoires qui marquent, notamment quand elles sont celles des premières fois. 
Nous fûmes très amoureuses et très complices. Lorsqu’elle m’a quittée, j’ai été dévastée comme on peut l’être à 16 ans, mais j’ai tout fait pour qu’on reste amies, parce que mon amour allait au delà de ça.Bon an, mal an, ça a marché. Elle a fini par rompre avec le connard pour lequel elle m’avait quittée. Je suis sortie avec le connard en question, parce que vraiment, pourquoi faire des choses intelligentes quand on peut faire n’importe quoi ? 
Mais ça a marché : nous sommes restées amies. J’ai réparé le cœur de la moi de 16-17 ans. J’ai aimé d’autres personnes, des filles, des garçons, et elle a vécu sa vie. On a du se revoir une ou deux fois par an après le bac, la distance étant ce qu’elle est. J’ai continué à l’aimer, mais bien entendu, plus comme avant. Un peu pour me protéger, un peu parce qu’en 15 ans, c’est quand même pas mal de passer à autre chose. Et j'ai toujours pensé que de son côté, il en était de même en pire (j’ai ponctuellement de grosses difficultés à concevoir qu’on puisse me désirer ou m’aimer, on va dire). 
J’ai toujours eu une petite voix dans ma tête qui me disait que quand même, on ne serait pas contre une soirée qui dérape n’est-ce pas. Parce que Neko, c’est resté une des plus belles personnes que je connaisse. Belle à s’en faire péter la rétine (on sent que mon objectivité adolescente est intacte, là ?), et aussi belle en tant que personne (et beaucoup, beaucoup plus au fil des années). 
Bref. On situe donc Neko ici : meilleure amie du lycée, j’aimerais bien y refaire des bisous un jour (mais j’ose pas trop y penser).
Or, elle ne pouvait venir à la Grosse Teuf d’anniv que j’organise mi-novembre, elle a donc proposé de venir le 11. Avec beaucoup de points d’exclamation, parce qu’elle rentre d’un an à l’étranger (style bout du monde, pas style Allemange) et qu’elle a des milliers de choses à raconter. 
Quelques jours avant, elle me dit qu’elle viendra avec Salvia, un de ses copains. Je le connais un peu, par elle, il m’avait laissé une bonne impression il y a genre ? Sept ans ? Quoi qu’il en soit, pas de souci.
Déjà, “un de ses” copains : Neko est devenue polyamoureuse. Tadaaaaaa. Je note l’info en rouge souligné trois fois dans ma tête.
Vendredi soir, on parle jusqu’à 5h du matin. Au moment de me dire bonne nuit, Neko m’avoue qu’elle a très envie de m’embrasser... et on s’embrasse.
Quinze ans dans la face : on pouffe à qui mieux mieux*, elle m’avoue que ça lui trotte depuis un moment, je renchéris, on pouffe. Je pars me coucher avec le cerveau en ébullition.
Samedi matin, je me réveille et j’entends le clic clac du salon grincer de façon explicite. Je me tapis en ricanant sous ma couette pendant que ma ptite voix me dit “avoue, t’as juste envie d’aller toquer à la porte et de les rejoindre”.
Samedi est la journée de la glande par excellence, on papote en buvant du thé et on boit du thé en papotant. On passe du temps avec une amie de Salvia, on dîne au resto avec L. (une amie à moi). On s’embrasse par-ci par là avec Neko (et on pouffe). 
Juste avant d’aller dormir, on discute du lycée, et on se dit des choses très jolies, qu’on aurait été incapables de dire à l’époque et qui auraient pourtant fait tant de bien. Je suis partagée entre l’envie de l’inviter sous la couette et le besoin de processer un peu ce qui est en train de se passer... comme je suis trouillarde ET crevée, je garde mes envies pour moi.
Et dimanche matin, je me réveille alors que le clic clac du salon a recommencé à chanter. Je mords très fort la couette en écrivant à R. que j’ai DÉFINITIVEMENT envie d’aller proposer de les rejoindre, il me menace d’envoyer un screenshot de la conversation à Neko. Je refuse et reste dans mon pieu, mais du coup, y’a un moment où je me rends compte qu’il va sérieusement falloir assumer mes désirs et les exprimer, et que dans ce cas précis, ça va me demander par mal de courage. Soit.
En attendant, on reprend sensiblement le programme de la veille, beaucoup de thé et de papote. Je finis par lui avouer mes idées du matin, tout en piquant un fard  de premier ordre car ma capacité de débauche n’a d’égale que ma timidité mal placée. 
“Mais tu aurais trop dû ! J’ai failli venir te chercher en vrai !”
Okay. Noté. C’est le grand chantier dans ma tête, y’a une gosse de 17 ans en train de se demander ce qui est en train de se passer, une de 31 qui lui tapote la tête en lui disant de laisser les grandes personnes parler, le feu à tous les étages et des papillons dans tous les coins du ventre. 
Dimanche soir, 3h passées. Salvia s’est empaffé dans le clic clac, Neko et moi ne sommes pas plus fraîches, et ils ont de la route à faire lundi. 
Donc on décide que c’est l’extinction des feux, alors qu’en vrai sérieux, à aucun moment on a eu l’intention d’aller se coucher. Elle vient me dire bonne nuit dans ma chambre, et il est de plus en plus évident que personne ne va dormir.
Nous glissons sur mon lit. C’est toujours la foire d’empoigne dans ma tête : en vrai j’ai beaucoup de mal à savourer parce que je suis traversée par des émotions de tout bord. Ce sont des retrouvailles que je me suis interdites de désirer, et je suis très intimidée, face à cette femme qui en vrai, m’impressionne beaucoup. Et en même temps c’est cool, très cool, tellement cool que je suis incapable de me concentrer. Du coup je me retrouve presque timide et hésitante, une version de moi-même relativement inédite au lit.
Ça s’estompe doucement, je tais les idées que je me fais pour juste écouter son souffle et redécouvrir la personne auprès de moi. C’est un peu fou, car en 15 ans rien n’a changé... et rien n’est pareil. Nos corps ne sont pas radicalement différents, mais un peu quand même, ne serait-ce que parce qu’on s’est ornées l’une comme l’autre de tatouage avec le temps. Mais au final c’est comme toute première fois avec quelqu’un, et on finit par trouver le chemin qui va bien.
Et ça va bien. Ça fait une éternité que je n’ai pas été en tête à tête avec une fille, c’est infiniment doux et amusant. On se regarde beaucoup, on échange de jolis mots, on se “j’ai envie de faire ça....” “ouiiiiiii”. Une chose en entraînant une autre, nos vocalises réveillent Salvia, qui passe la tête par la porte de ma chambre, nous signale qu’on l’a réveillé, se marre et nous demande si on veut de la compagnie.
“Ouiiiiiiiii”
Et on a de la compagnie.  Pour le coup, Salvia j’en ai pas parlé, mais t’inquiète, il me plaît bien. Il est plutôt soyeux dans son genre, fort bien élevé, et c’est très intéressant de discuter avec lui (ok, quand on me demande pleeeein de renseignements sur les Iles Feroé, ça me plait un peu en général. et il a vécu dans mon quartier du Bout du Monde il y a quelques années, c’est bizarre, dans ma tête ça crée des liens). 
On continue donc de faire connaissance dans le feu de l’action... c’est complètement étrange et parfaitement excitant. Neko s’extasie de nous voir nous embrasser, il s’extasie de nous voir nous toucher, et moi je ne suis jamais autant aux anges que quand je vois des gens se donner du plaisir. Je plonge avec délices dans ces moments où les sensations viennent de partout à la fois, où je ne sais plus à qui sont les mains qui caressent, ni le souffle dans le cou, ni les dents qui mordillent les doigts, ni les doigts qui... 
Et on s’amuse longtemps. On fait des pauses, on se câline, on papote, on se marre, on reprend les hostilités, on réveille les voisins, et il fait 18°C dans la chambre au lieu de 15°C en temps normal.  En allant chercher à boire, par la fenêtre de la cuisine, le vois le ciel qui s’éclaircit. Il est presque 8h du matin, tout le monde oscille entre l’envie de continuer et l’épuisement, mais cette fois c’est bon, la fatigue a gagné. Je fais chauffer de l’eau, prépare du thé, ramène les viennoiseries que Salvia est allé acheter dans l’après-midi, et c’est le petit déj au lit le plus doux qui soit. 
Salvia rend les armes et va se pieuter, Neko reste un peu blottie sous la couette pour papoter, avant de le rejoindre. Deux heures de sieste, un petit déj et quelques ronronnements plus tard, il est temps de partir, ce qui ne fait envie à personne... 
                                                       ***
Et maintenant ? 
Et maintenant je regrette DE NE PAS AVOIR LANCÉ LES HOSTILITÉS PLUS TÔT. Ça aurait laissé plus de temps pour s’amuser quoi...
Plus sérieusement, cela remue une foule de choses, en un dialogue permanent entre le passé et le présent. En général je m’occupe moyen du passé, c’est donc un peu inédit. Et en même temps je savais que si quoi que ce soit devait se passer avec Neko, ça entraînerait une remise en perspective de genre, toute ma vie sentimentale, tant qu’à faire. C’est l’avantage de l’expérience : je sais très bien comment fonctionne mon cerveau.
Déjà cela me fait mesurer tout le chemin parcouru. On s’est connues gamines, inexpérimentées et totalement givrées. On se retrouve femmes, riches de plein d’expériences et beaucoup, beaucoup plus matures. Et c’est cool. C’est cool de se retrouver comme ça, c’est cool de se dire qu’on a grandi et que le résultat est plutôt concluant.
Ensuite, que faire de ça ?  Eh ben “pas de la merde”, déjà, ce serait pas mal. On est raccord sur les grandes lignes de notre vision et nos attentes vis à vis de nos relations. Il n’est de toute façon pas question de repartir comme en 40.... enfin comme en 2002 (de rien pour le coup de vieux). On a envie de se revoir, et plus qu’une fois par an c’est certain. Je n’ai en vrai pas méga envie de réfléchir où ça va : j’ai retrouvé une amante, et ça me va bien comme ça **
Et Salvia ? Ben Salvia, j’ai bien envie de lui rendre une ptite visite chez les Namnètes, pis il est le bienvenu au Bout du Monde. Avec Neko, sans Neko, selon les emplois de l’espace-temps des gens, parce que ça joue pas mal aussi. Comme je passe pas très loin de chez ces deux-là pour aller fêter Noël en famille, j’ai bon espoir de faire un crochet-câlins sur la route. 
Je ne sais pas comment conclure ce billet. C’était un week end très, très riche, qui a remué plein de choses que je décante encore maintenant. Et je suis très, très heureuse de ce qui en est sorti, beaucoup plus sereine que ce que j’aurais cru. Alors, même si ça ne respecte pas la chronologie de mes ptites aventures, je crois que c’est le billet parfait pour rouvrir le blog, non ?
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*ce qui est un peu marrant parce que depuis quelques années, je ricane plus que je ne pouffe, on est bien d’accord
** et je me surveille comme le lait sur le feu pour éviter de passer en mode drama à la première occasion, parce que franchement, j’ai pas le temps pour ça
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umi-klouh · 7 years
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MASTERPOST (de ma vision de) ALLER A QUOTIDIEN
Spoiler alert : c’était trop bien !!
 Allez je tag au début comme ça vous êtes pas obligées de tout vous taper… @clemeill @kleindoeil évidemment… @simpledaugherty @misguided-bliss @juliet-jte @raegulusblack @sarahbms @dom-museum donc en gros : @lepetitq ^^ et aussi @liledgyacrobat @flying-elliska @reverlimpossible @je-suis-un-mii @guileastos91 comme punition pour avoir liké mon dernier post à propos de ça Je vous préviens: CA VA ÊTRE LONG
Tout a commencé quand j’ai lu le post de
Non, c’est pas vrai…
Je vais repartir aux origines, alors, puisque vous êtes tous là, derrières vos écrans à vous demander… (si si, ne mentez pas, je le sais !) (merci de ne pas me contredire ❤)
Bref. Lorsque le Petit Journal a commencé, comme rubrique du Grand Journal, j’étais au lycée, ça me plaisait bien. Je suivais un peu comme je pouvais, mais régulièrement. Et puis les années passant, les études, les études pas chez mes parents et sans télé, bref je regardais moins, en fait plus du tout. Même depuis 2012, j’habite chez moi, mais je regardais de loin, si je tombais dessus tant mieux mais c’était tout (je regrette de ne pas m’être plus accrochée d’ailleurs !). Et en 2016, horreur, cette émission que je ne regardais pas mais que j’aimais vraiment s’arrêtait ! Non, impossible ! Du coup quand j’ai appris sa relocalisation sur TMC, j’ai commencé à plus regarder, quand je le pouvais bien sûr (mes horaires de boulot rendant le direct un peu compliqué). Et à partir de décembre/janvier, je me suis rendu compte que quand même, c’est une bonne émission et que vu que je ne regarde ou écoute ni les JT, ni les infos radios, ni rien du tout, c’est peut-être une bonne façon de m’ouvrir à l’actualité. Donc je me suis mis à regarder tous les jours, en replay (because horaires de boulots toujours). Et à m’accrocher, et à adorer. Par curiosité, j’ai tapé un jour “quotidien” dans la recherche de Tumblr et ai découvert tellement de choses ! Et depuis, c’est parti de là, j’ai commencé à lire des choses sur l’actu (doucement hein…) avec des blogs sur la politique (ou lolitics, mais c’est un début…), sur Quotidien et ses débats, je me suis abonnée à Twitter, et même à Insta pour suivre les journalistes et faire ma fangirl (et pour suivre d’autres gens aussi, quand même).
Mais un jour, @simpledaugherty​ a raconté son expérience, d’être allé à Quotidien, et quelques jours après @clemeill​ a complété le tableau… Et l’idée a fait son chemin ! A une amie fan de Vincent Dedienne, j’ai lancé l’idée : “et si on y allait ?” Elle était motivée, alors hop hop hop on a regardé les jours et tournage, comparé avec nos emplois du temps et sélectionné la seule date avant la fin de l’année où ça allait être possible : le mercredi 14 juin 2017. On savait d’emblée que King V (aka Vincent Dedienne of course) ne serait pas là, vu qu’il avait un spectacle le soir même, mais bon, on ne peut pas tout avoir…
Je nous ai donc inscrit, avec mon petit cœur qui battait, franchement c’était ridicule ^^ et on a attendu les confirmations, très impatientes, et les jours précédents on a fangirlé à MORT en se disant que si on se racontait des conneries maintenant, on se tiendrait bien le jour J (spoiler : fail)
Qui serait là, qui ne serait pas là ? LA grande question ! Avec pour ma part la certitude que je ne serais pas déçue, de toute façon je verrais au moins le fonctionnement, a priori Yann serait là, et Étienne aussi ! (j’ai eu chaud, 2 jours après il n’était pas là !) Bref de toute façon il y aurait des raisons de se réjouir.
Jour J, arrivée au bâtiment vers 17h15-30, on n’est pas les 1ères mais pas les dernières, mon amie signe son papier de droit à l’image sur mon dos, on boit parce qu’il fait CHAUD et qu’on n’aura pas le droit dedans. Entrée, vérification de nos noms, on nous prend nos cartes d’identités, puis déjà vestiaire ! A 5 mètres de l’entrée en fait ça m’a surpris 😊 dernier texto vite fait à mon copain qui finit le boulot trop tard pour venir. Passage au détecteur de métaux ou je sais pas quoi, où le type me chambre en disant que je peux pas passer (avec un sourire tellement grand que crédibilité zéro mais bon, on se marre). Ensuite l’attente d’environ 1h dans une grande salle avec une acoustique pourrie, en plus tout le monde est un peu excité donc on parle tous bien fort… Avec mon amie on compte les Stan Smith (en fait on a abandonné au bout de 7 paires dans 7 m²), elle s’impatiente et trépigne, on fangirle parce qu’on arrive pas à s’en empêcher, on voit passer Élisabeth Quin de 28’, on se demande les métiers des gens qu’on voit passer, et “n’empêche comment t’en arrives à bosser pour la télé !!” “bah comme n’importe quel autre job hein"… bref que des conversations passionnantes ponctuées de regard sur nos montres.
Vers 18h50 (en gros), on nous fait rentrer dans le studio qui est JUSTE A COTE de là où on était en fait, je m’attendais à marcher un peu dans des couloirs… J’arrive quand même à recroiser M. Détecteur qui fait semblant de vouloir m’empêcher de passer 😉On nous place, on se retrouve dans les gradins derrière Yann, tout à sa droite.
Le chauffeur de salle, le fantastique Rémi (si je ne me goure pas), se pointe, se présente, et nous fait rire. Bon, c’est son job, mais ça marche bien ! Il nous explique comment tout va se passer, le sommaire de l’émission, nous annonce les invités (que je ne connais pas mais pas grave), les journalistes, nous vend un duplex d’Hugo que j’attends toujours, fait une pause dramatique après avoir annoncé la présence de Martin pour que les filles puissent rigoler tranquilles et qu’il puisse se foutre de notre leur gueule gentiment, et nous dit qu’il n’y aura pas de live ce soir. Ensuite il nous explique les applause, les rires, nous dit de nous lâcher, qu’on est là pour l’ambiance tout ça. Je comprends que ce soit un peu bizarre les applaudissements sur commande, mais vu que je trouve l’ambiance sympa quand je regarde l’émission, je me dois de jouer le jeu ! En revanche, les rires ne m’ont jamais paru forcés, en fait on est tous dans l’ambiance donc on rigole plus facilement, c’est l’impression que j’ai eue. Puis Yann arrive, fait le tour des gradins avec un petit sourire et un "bonjour” timide (il est petit, je le savais mais purée il est petit ^^), il déconne avec les gens d’en face et se fait remaquiller un peu (la laque pour cheveux sent FORT). Il oublie ses papiers sur son bureau et déconne “c’est loin…. Jsuis fatigué… c’est dur…” et finit allongé sur le bureau pour les attraper… Bonne ambiance 😊
Eeeeeet ça commence ! Alors là vous m’excuserez, je regarde le replay en même temps pour rien oublier et raconter tout dans le bon ordre sinon ça va être le bordel (déjà que j’ai remonté tout mon texte au moins 5 fois pour rajouter des trucs, et l’émission a même pas commencée !) Alors déjà, le tournage commence vers 19h05, c’est diffusé en léger différé. Pré-générique, on applaudit à tout rompre et donc on entend rien ^^ Comme on est carrément de l’autre côté, je ne vois rien non plus, mais c’est pas bien grave 😊 On aperçoit Nora, ma copine est super contente elle l’aime beaucoup aussi (en même temps, un mercredi on avait toutes nos chances !)
Générique, ils s’installent et BAM qui c’est qui passe à la télé ??
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Bon en fait je m’en fous de passer à la télé, c’était pour que vous voyiez où je suis assise.
Le pauvre gars à ma gauche était tout serré entre un hautparleur et mes genoux, et nous a entendu dire des conneries pendant chaque pub ^^ Mon amie, à ma droite.
Alors déjà, précisions : quand on applaudit, on n’entend plus ce qui se dit sur le plateau (vive le replay !), et comme @clemeill​ le racontait, il est vrai que j’avais l’esprit je sais pas, distrait ? par je sais pas quoi mais les chroniques, tout ce qui se racontait sur les écrans, pffiou je ne m’en souviens pas vraiment. Je n’arrivais pas à me concentrer dessus dès que c’était un peu trop sérieux (ça craint) et pour me rattraper je dirais que c’était parce que je regardais ce qu’il se passait en plateau, les journalistes, les caméramans, Rémi (qui doit rigoler très fort et applaudir de façon bien visible pour qu’on le capte bien de notre côté ^^)
On voit les prompteurs, on remarque effectivement qu’ils ne lisent pas exactement ce qui est écrit, et tant mieux parfois ^^
Paul est drôle, comme dit (encore une fois, mais je n’ai pas fini de la citer) @clemeill, ils sont TOUS tellement plus beaux en vrai… (fangiiiiiiiiiirl)
Je me rends compte qu'heureusement que je regarde le replay, parce que j’ai réellement loupé tellement de trucs ^^
Pendant les chroniques de leurs collègues, on voit bien que les autres n’ont pas (tous) vu les reportages, ils semblent vraiment intéressés et réagissent comme nous aux vidéos (indignations, rires, étonnements, etc.)
Camille est tellement plus belle, même sur le grand écran ! Et j’ai le même haut qu’elle, j’hésitais à le mettre d’ailleurs ça m’a amusé 😊
(hors sujet : indépendamment de sa politique, Najat Vallaud-Belkacem est BELLE)
Taubira à propos de Camille (+NVB) : "elle est aussi pugnace que toi et moi finalement, des femmes fortes !“ mon petit cœur plein de fierté a fondu.
Azzeddine fait rire tout le monde, j’ai l’impression de regarder une bande de potes… Je m’en remets toujours pas d’être là !
Fin de la 1ère partie, Rémi nous dit gentiment qu’on peut se lever pour se dégourdir les jambes (juste se lever ceci dit, pas se déplacer…) et nous annonce qu’il a décidé qu’on pourrait applaudir les prochains invités en criant aussi (parce qu’il était pas sûr, ce sont quand même des militaires et il savait pas comment les accueillir). J’ai l’impression qu’on fait durer la pause moins longtemps que la vraie pause pub, mais comme on est en différé de toute façon, ça ne doit pas avoir d’importance.
Allez la 2ème partie commence. On parle de foot, le public n’est pas hyper footeux visiblement, mais on a tous vu ou au moins entendu parlé de cette reprise d’Oasis lors du France-Angleterre de la veille au Stade de France. Yann qui ne sait pas comment nommer les militaires c’était assez mignon en fait… Les 2 avaient pas l’air de tellement savoir où se mettre les pauvres, ils ne doivent pas être habitués ! Mais ils étaient bien intéressants et malgré leur retenue et leur sérieux, assez contents de ce qu’ils avaient fait. Yann essaye d’interviewer des rock-stars mais ce sont des militaires ! Le décalage est marrant parce qu’ils se laissent faire quand même. J’aime bien le chef d’orchestre qui doit être bien doué « j’ai fait une petite orchestration » allez hop pif paf en 2 secondes pff je suis jalouse des gens doués… ^^
Yann commence à parler de Bayrou, et utilise enfin cet entonnoir qu’on voyait traîner sous le bureau depuis le début de l’émission sans trop savoir à quoi il allait servir. Modif de prompteur à ce moment : Yann dit "en gros les Béarnais sont relous”, croyez-moi c’était moins poli sur le prompteur…
Éric et Quentin m’ont fait beaucoup plus rire que d’habitude, je mets ça sur le compte de l’ambiance générale (la plupart du temps je zappe carrément leurs « reportages », même si leurs stories m’amusent parfois pas mal)
Re-pub, on a MAAAAAAAAL aux fesses je vous jure j’étais prévenue mais des petits coussins ça les tuerai pas franchement… Bref on se lève TOUS et on bouge un peu avant la reprise.
Anniversaire de Donald Trump, c’est foufou, on applaudit quand ils diffusent la chanson du coup ils se foutent de notre gueule en disant qu’on est fan… Je vous jure que ça nous a tous stoppé net ! Les “cadeaux” pour Trump nous font rire malgré le fail de Yann, Martin avec son gel douche “golden shower"…
Le prochain invité est un alpiniste-etc complètement barjo qui fait tellement de sport que je suis fatiguée rien qu'à voir les vidéos! Il s’appelle Kilian Jornet. Il est sympa et parle vraiment bien français. Il est drôle quand il parle de ce qu’il aime, qu’il se faisait chier au camp de base après avoir gravi l’Everest, alors il est remonté (!!!) et qu’une fois il est parti en vacances avec sa copine à la plage, et ils ont tenu genre 2 jours avant de craquer et de partir skier. Bref invité agréable !
Citations de Kilian Jornet :
"le mal des montagne il faut pas le ressentir sinon t’es vite mort”
En réponse à Yann “ça fait quoi d’avoir le vide à droite et à gauche ?” : “bon c’est sympa ! si tu restes sur l’arête, t’es pas sur les côtés, c’est plutôt bien”
Entretien avec le patron du musée Picasso à Paris, Laurent Lebon. Bon c’était intéressant j’ai appris des choses, mais j’ai pas grand-chose à débriefer là…
Encore de la pub ! on est ravi on peut se lever ^^
Pour la dernière partie, en générale la meilleure on est au taquet !
Rémi nous a briefé pour bien applaudir Nora, et Yann en a remis une couche ^^
J’adore regarder l’équipe pendant les 4Q sur la canicule, moment d’absurde et donc de rires et de sourires de l’équipe ! Etienne Ray-of-sunshine Carbonnier a un sourire plus grand que sa tête et c’est adorable, Yann fait le pitre…
Séquence le Petit Q. Je trouve ça déjà long de chez moi, mais là j’ai l’impression que c’est vraiment, mais alors vraiment très, très long… L’équipe regarde distraitement, Martin est totalement effaré (ceci dit, je sais pas si c’est par le contenu ou par le manque d’intérêt de cette chronique, en tout cas ce jour-là)
Nora !! Je sais pas pour les autres jours, mais en tout cas là elle n’a pas de notes devant les yeux (euuuuh en fait sur le replay, je vois un papier devant elle donc j’ai rien dit, elle doit en avoir.) Après Rémi nous a dit qu’elle faisait ça un peu au feeling donc c’est peut-être que les questions des gosses qu’elle a sous les yeux (mais je pense pas qu’elle fasse de la totale impro quand même ! ou sinon je suis impressionnée encore plus…) Quoi qu’il en soit Rémi nous a demandé de bien rire si on trouvait ça drôle, parce que ça l’encourage, en gros. Mais il a pas eu besoin de nous le rappeler trop, c’était drôle de toute façon. Les questions sont sur le bac, et le bac, on s'en souvient tous, et ce qu’elle dit se rapproche de pas mal d’entre nous je suppose ^^
“hey Nora, c’est quoi une langue morte ?” gros blanc “ah bah ça ça dépend du contexte » crise de rire en différé le temps que tout le monde percute, c’était très drôle ^^
"Comment on fait pour être bon à l’oral ?” “mais ça dépend aussi du contexte !”
C’était chaud ce soir ^^ ces questions “à double sens” me font tellement marrer ! enfin surtout la réaction de Nora face à ces questions !
Mercredi Transpi, je suis trop contente de voir ça en vrai ! C'est tellement de la faute d'Amélie, elle m'a complétement contaminée, et d'ailleurs quand on ovationne Etienne, j'applaudis tellement sincèrement 😊 bref, rien que le sourire d'Etienne vaut tout l'or du monde !
Éric et Quentin dans leurs stories me font encore rire, une fois n'est pas coutume ! (pourtant en regardant le replay, je ne ris qu'une fois ou 2…)
Et ça y est c'est la fin… Les journalistes partent rapidement, Yann lui fait un petit tour pour dire au revoir à tout le monde et déconne avec les gens d'en face (#jalousie). Ensuite on retourne vers les vestiaires. Vu notre position, nous sommes dans les derniers. Dans la file d'attente nous sommes bien placées pour voir la sortie des journalistes, j'ai le temps d'apercevoir les cheveux de Martin (qui a filé discrètement ^^) et de saluer Paul. Le temps de récupérer nos affaires (et de croiser M. Détecteur qui fait encore semblant de pas retrouver nos cartes d'identités ralàlà jte jure ^^) et nous sommes dehors, j'aperçois Azzedine et Nora. Ma copine -cette lâcheuse qui est pourtant fan de Nora- n'ose pas venir avec moi mais merde je suis une adulte qui assume ses choix alors je vais les voir et leur demande si Etienne est parti. Ils me le confirment, donc je me sens un peu con et je les remercie pour cette soirée. #very-very-awkward mais #no-regrets quand même, j'aurais eu plus de regrets de pas leur avoir demandé ^^ Et puis ils m'ont probablement oublié dès le lendemain alors…
Avec ma copine on squatte un sushi dans le coin, puis on rentre. Perso j'ai des étoiles plein des yeux, je ne demande qu'à y retourner. Mon amie est pareille et veut amener tous ses potes la prochaine fois !
Qui sait, Vincent et Hugo seront peut-être là !
Pour finir sur cette semaine très “Quotidien”, le samedi suivant avec mon copain, nous sommes allés voir Vincent Dedienne en spectacle au Théâtre de l'Atelier à Paris… Oooooo que je vous le conseille !! C'était formidable ! Il est tellement drôle et émouvant et drôle et must-be-protected-at-all-cost (oui ceci est un adjectif à part entière.) Bonus pour nous, il est de 1989, soit 1 an de plus que moi, et même seulement 9 jours de plus que mon copain. Tout ça pour dire qu'au niveau des références de la vie de tous les jours, ou de son enfance, on était sur la même longueur d'onde. Bon, au niveau références culturelles on fait pas le poids, mais le voir parler de théâtre avec passion, même si on pige que dalle, ça fait plaisir.
Je finis (enfin!) d'écrire ce texte le 4/07/17, ça fait un peu réchauffé… Mais ça me permet de prolonger un peu cette saison de Quotidien!
Je n'ai donc sérieusement regarder qu'à partir de janvier, et il y a eu des hauts et des bas. Trop d'invités “TF1” à mon goûts (Arthur, Denis Borgniart, les gens de the Voice ou de Koh Lanta…) J'ai bien conscience qu'ils n'ont peut-être pas eu le choix, mais ça ne m'intéresse pas. Après, ce genre d'émission n'est pas fait pour que tous les invités intéressent tout le monde tout le temps, mais quand même, là ça faisait “promo-promo”.
J'espère que l'année prochaine va confirmer tout ce que cette émission a de bon, et corriger ces défauts. J'espère que Martin va recommencer à barouder dans le monde ENTIER. J'espère que Willy Papa aura une chronique plus courte, qu'ils vont trouver quelqu'un de bien pour remplacer Camille (j'ai mis du temps à m'habituer à son style, mais maintenant je vais la regretter), que Paul continuera d'être Paul (vu son twitter, je ne m'inquiète pas, il vient de “ne pas” lancer un concours de légendes de photos de Macron dans la Marine), qu'Hugo continuera de rire à gorge déployée aux chroniques de Vincent, que Vincent continue d'être lui et de nous faire rire et réfléchir, que Pana continue d'être absurde, que Val continue ses combats, que Nora continue de répondre aux questions, qu'Azzedinne continue de tenter des blagues, qu'Etienne continue évidemment de sourire, que Martin continue de nous faire réfléchir, que Marc Beaugé continue de tester des vannes et de se foutre de la gueule de Yann, et que Yann continue de rassembler tout ce monde-là. J'espère que de nouveaux talents arriveront aussi…
Quotidien, merci pour cette année, maintenant je vais pouvoir (essayer de) rattraper 6 mois de séries en retard…
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christophe76460 · 5 years
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C’est quoi, la procrastination ? C’est une nouvelle maladie...?
Pas exactement. 
Dans un précédent article, je vous ai montré comment j’ai réagi face à ce fléau difficile à éradiquer, comment j’ai banni le mot “demain” de mon vocabulaire.
Quelle est cette mauvaise habitude qui peut nous gâcher la vie et celle des autres ?
Signes avant-coureurs d’un problème de santé ?
J’ai été une adepte de la procrastination pendant une période douloureuse de ma vie, il y a quelques temps déjà. Cette tendance à tout reporter au lendemain ce que l’on peut faire le jour même. Que l’on justifie toujours, d’ailleurs ! 
Pour se donner bonne conscience, on évoque alors :
Trop de fatigue
Trop de boulot
Pas assez d’énergie
Pas le temps
Pas envie
Etc.
Anémie, dépression, burn out : à ne pas prendre à la légère. En ce cas, il faut agir et vite. Plus on traîne, plus c’est difficile de s’en sortir.
Absence d’organisation ou de structure ?
Quand cette fâcheuse tendance met en péril notre emploi du temps, notre travail et les autres, jouant avec l’équilibre de notre famille, ou le nôtre, il est urgent de se remettre en question et d’apprendre à s’organiser et se structurer. 
Oui, c’est possible d’apprendre ! Comme c’est possible de se soigner...
Pour agir en conséquences sans attendre des années pour entreprendre un changement profond, posez-vous les bonnes questions :
Que préférez-vous (franchement ?) ressentir :
Le sentiment satisfaisant d’une journée pleinement accomplie ?
Le plaisir de recevoir compliments et reconnaissance ?
ou
La désagréable sensation de “n’avoir rien fait de la journée” ? 
La pénible impression de courir partout sans efficacité ?
Parce que quand l’heure des bilans sonne, que constate-t-on ? Que rien n’est achevé ni accompli !
La procrastination est la plus dangereuse ennemie du chrétien. S’il ne la combat pas, il y a de fortes (mal)chances qu’il reste un ouvrier peu efficace dans le royaume de Dieu mais pas seulement. En se répercutant dans tous les autres domaines de sa vie : famille, travail, couple, relations, santé… il s’ensuivra vraisemblablement échecs, absence de résultat, dévalorisation, vie médiocre et peu épanouie.
Voulez-vous la vie en abondance pour laquelle Jésus est mort sur la croix et ressuscité ?
Quand notre quotidien s’enlise
Ce n’est pas très important si on reporte des tâches domestiques, des petites rendez-vous anodins, un peu de bricolage. Pas très grave non plus, si on répond tardivement à des mails, si on laisse passer du temps (mais pas trop) pour rappeler ses parents… Pour déclarer ses impôts, payer ses factures… même si ce retard génère des intérêts… Bah, tant pis.
Sauf si le bateau prend l’eau. Et que tout déborde de partout. L’activité de la veille s’ajoute à celle du jour, de l’avant-veille aussi, de l’avant-avant-veille aussiiiiii !!! Il y a des conséquences au retard, au laisser-aller, comme du désordre, de la tension nerveuse, de l’impatience, des intérêts, des agios, de la souffrance… Rien ne va plus !
Il y a de l’électricité dans l’air, vous avez les nerfs à vif, envie de pleurer, de fuir, de tout envoyer balader… Votre vie ne vous convient plus ! Les enfants pleurent, votre conjoint(e) râle et s’énerve, votre patron est excédé, et vous, vous n’en pouvez plus !
Quand vous ressassez des scénarios un peu catastrophiques (cela dépend pour qui), vous êtes mort(e) de honte, et de tristesse aussi.
Vous soupirez, avec une once de culpabilité, que vous auriez dû changer l’ampoule de votre garage depuis longtemps, résultat : votre femme (ou votre mari) a shooté dans la porte et son petit orteil a triplé de volume…
Pire… Vous avez oublié (“je le ferai demain !”) de signer le carnet de sortie de votre petit dernier et il est resté à la garderie pendant que ses petits copains profitaient d’une classe-nature dans les bois.
Vous avez tellement reporté le dentiste que votre carie vous laboure la tête entière !
D’autres situations vous reviennent en mémoire ? Moi aussi...
Mais il y a plus grave encore...
Et Dieu, dans tout ça ?
Le plus grave, même si la famille, le travail, sa maison c’est important...
...c’est quand s’installe aussi la procrastination dans notre vie spirituelle…
Quand on ne prie plus, quand on ne lit plus la Bible parce qu’on est complètement raplapla, c’est la situation idéale et préférée pour notre adversaire qui va se régaler pour mettre la pagaille dans notre vie complète. Il rôde, cherchant qui dévorer, rappelez-vous !
Son terrain de prédilection ? Notre âme, qu’il assaille par ses accusations mais aussi parce qu’elle est considérablement affaiblie par notre manque de ravitaillement.
Pourtant, on a de bonnes excuses : 
Pas le temps de lire ma Bible, je me suis levée 45 mn avant de partir.
Pas le temps de prier + de 5mn, il faut que je m’occupe des enfants.
Pas envie de méditer ce soir à la réunion, je tombe de sommeil.
Pas envie d’aller au culte, ras-le-bol de me lever tôt, et puis, j’ai le ménage à faire.
Aïe, aïe. C’est un sujet qui fâche. Et c’est une procrastination qui coûte cher, car il se peut qu’à cause de cette “vilaine habitude” :
Nos vies restent stériles ou monotones si on n’inscrit pas Dieu dans notre planning quotidien.
Nos prières ne dépasseront pas le plafond de notre chambre.
Notre paix, notre joie s’envolent.
Rien ne va plus...
Parce que je suis passée par toutes ces phases… dans le report à demain ou en pratiquant le “retard chronique” ou encore commencer ma journée de travail… demain !...
… j’ai décidé d’instaurer 4 principes dans mon quotidien pour vaincre cette dangereuse ennemie.
À découvrir la prochaine fois.
Partagez vos témoignages dans les commentaires ci-dessous, si vous êtes adepte de la procrastination. Il n’y a pas de honte à cela, avec Jésus, on vient à bout de tout !
Lisa Giordanella
Lifestyle
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sampecan-blog · 5 years
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Circuit Balzac
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1.    Jardin de la Préfecture
Un vieil homme qui m’a doublée tandis que je me tenais debout au coin devant le jardin. Il portait des lunettes, un jean, une veste rose, un parapluie, et un sac réutilisable. Comme il marchait dans la rue, il continuait à se retourner et me regarder. Il pensait probablement que j’étais sinistre. Je pense qu’il est célibataire,  peut-être un veuf mais certainement seul.
2.    Hôtel Particulier de la Famille Mame
Je vois une femme indienne qui porte une robe bleue, des baskets blanches, et un bob noir. C’est une mère qui travaille qui n’a aucun de temps à gaspiller. Comme elle marche, une voiture roule sur le trottoir à côté d’elle et elle ne cligne même pas des yeux. Elle va au marché acheter quelque chose pour le dîner pour sa famille, du poulet et des légumes. Elle se soucie de faire une cuisine saine mais elle est une maman drôle donc elle achètera des carrés au chocolat pour le dessert.
3.    Pension Le Guay
Je reconnais ce coin. Nous avons eu une classe là la semaine dernière au Café Molière. Trois jeunes hommes et une jeune femme marchent de l’autre côté de la rue. Ils ont l’air de hippies. Au moins deux d’entre eux portaient une salopette. Un homme portait une casquette en denim à l’envers et un sac à dos plaqué sur sa poitrine. Une personne portait une guitare et une autre portait une boîte...peut-être un autre instrument. Ils sont dans un groupe de musique indépendante et ils ont un concert dans un bar ce soir. Tous les admirateurs sont high et ils dansent lentement tandis qu’ ils chantent les paroles dramatiques avec le groupe. Après le concert, le groupe se fera faire des piercings et des tatouages avec ses admirateurs.
4.    Stèle Balzac
Il y a un ensemble de femmes sur une marche devant un resto ou un petit magasin. Elles ont beaucoup de tatouages et des piercings ; elles fument. Elles restent sous la pluie et parlent seulement. La femme qui se tient en face des autres est une PDG. Elle s’est fait faire ses tatouages pendant l’université, mais au moment où elle a reçu ses diplômes, elle les déplorait. Maintenant elle doit couvrir ses bras tous les jours avec des manches longues pour rester professionnelle. Dans la soirée, elle affranchit ses bras et s’habille rebelle.
5.    Cathédrale Saint-Gatien
Personne ne reste dehors aujourd’hui parce que le temps est comme une mousson. Je lutte pour tenir mon parapluie, mon cahier, mon portable, et ma carte en même temps. Un homme traverse vite devant moi, je ne l’ai presque pas vu. Il portait un bonnet noir et un manteau vert forêt. Il fume de l’herbe et il porte un masque comme un voyous mais à l’intérieur il est très charmant.
6.    Quartier de la Cathédrale
Je m’assis comme je regarde un homme qui est perdu. C’est évidemment un touriste. Il est un enseignant d’anglais aux États-Unis qui est venu à Tours apprendre l’histoire d’Honoré de Balzac et visiter les châteaux dans la vallée de la Loire. Il est effrayé par la technologie (il a  toujours un téléphone à clapet e) donc il utilise un plan pour explorer cette nouvelle ville. Il a demandé son chemin aux gens quatre fois aujourd’hui parce qu’il ne parle pas français et ça lui prend trop longtemps de chercher les traductions dans son dictionnaire de poche. Il aspire au  véritable amour…il devrait se faire un compte sur Tinder mais il n’obtiendra jamais un smartphone !
7.    Appartement de l’Abbé Birotteau
Je vois un amoureux. Il est angoissé parce qu’il sort avec sa petite-amie de lycée encore (il a vingt six ans) et il l’aime, mais on vient de lui offrir le poste de ses rêves à New York. Il ne lui a pas dit encore les nouvelles et il doit décider dans deux jours. Est-ce qu’il devrait lui demander de déménager avec lui à New York ? Est-ce qu’ils devraient essayer une relation à distance ? Ou est-ce qu’il devrait rompre avec elle ? Sa petite-amie est très sensible donc il doit être prudent.
8.    Hôtel du Faisan (détruit)
Cette femme marche vers le Monoprix en bas de la Rue Nationale. Elle y va pour acheter les ingrédients pour une recette de dîner mais elle va oublier quelque chose. Elle a fait une liste mentale mais ne l’a pas notée. Elle reste dans le magasin pendant un certain temps essayant de se souvenir du dernier ingrédient mais elle doit emmener sa fille à l’école. Plus tard, elle réalise qu’elle a oublié l’ingrédient le plus important : les piments ! Elle a envoyé son mari au supermarché  les acheter mais il n’y en avait plus. Au moment où il est revenu, elle finissait la recette qui  était fantastique sans piments.  
9.    Hôtel de la Boule d’Or (détruit)
Il y a une petite femme sri lankaise devant le magasin qui se tient où l’Hôtel était. Elle est jeune, dynamique et animée. Ses amis pensent qu’elle est drôle et elle joue le rôle d’ entremetteuse dans leurs vies, toujours à essayer d’organiser des rendez-vous pour eux. Un jour dans le futur, elle va être vedette de télé-réalité.
10. Église Saint-Julien
Je fais un contact visuel avec une jeune femme. Elle a vingt-et-un ans et elle vient de finir sa troisième année d’université, mais son copain est diplômé depuis trois semaines. Il a déménagé très loin donc ils ont rompu bien qu’ils soient toujours amoureux. Elle est venue à Tours pour échapper à la réalité. Elle passera un mois en France parce qu’elle tergiversait pour trouver un stage d’été. Elle porte des collants noirs, une jupe imprimé léopard, des bottes de neiges avec des lacets oranges, et un pull à col roulé noir avec des trous sur les coudes. Elle a toujours dans son sac une bouteille de vin et un appareil photo jetable.
11. Haut de la Rue Nationale
En haut de la Rue Nationale, je vois une femme dans la vingtaine qui porte des vêtements voyants. Elle est un peu atypique mais elle a un cœur en or. Elle se soucie beaucoup de l’environnement, par exemple elle utilise seulement les pailles en métal. Dans un autre aspect de sa vie, elle aime beaucoup l’art et son genre d’art préféré à faire est le dessin à la plume. Son œuvre prisée est un dessin d’ananas. Elle a un lézard dans sa chambre. Son père est vétérinaire donc sa famille a beaucoup d’animaux inhabituels.
12. Pont de Pierre
Un homme dans la trentaine qui porte un sweatshirt à capuche et des baskets bleus erre en faisant un petit cercle. Il a un casque mais ce n’est pas des écouteurs. Il va sous le large arbre et je le regarde qu’il rôde là. Qu’est-ce qu’il fait ? Il demande à quelques étrangers s’ils ont un briquet. Maintenant, je m’ennuie donc je pars.
13. La Loire
Une jeune femme s’assied sur une marche à côté de la Loire, absorbant la vue. C’ est une touriste, elle a eu besoin de faire un voyage en solitaire avant de commencer un nouveau chapitre de sa vie. Bientôt elle déménagera dans une nouvelle ville mais beaucoup de ses amis déménageront là aussi, donc elle avait besoin de temps seule pour se réinitialiser. Elle préfère se faire des souvenirs plus qu’acheter des choses matérielles, donc pendant ces vacances, elle fait tout, mais c’est comme son caractère. Elle est toujours très chargée et ses amies se disputent pour passer du temps avec elle.
14. Maison dite « La Tascherette »
Un homme galope devant moi…c’est criminel en fuite. Il a volé une montre chère et il ne veut pas être attrapé. Je pense que la police va finir par l’attraper  parce qu’on peut courir mais on ne peut pas se cacher pour la vie !
15. Hôtel Goüin
Je vois l’Hôtel et un couple intéressant me double. Ils sont mes aînés mais pas vieux…probablement entre d’âge mûr et des personnes âgées, dans leur soixantaine. L’homme a une zone dégarnie sur la têteet il porte une veste en cuir et un pantalon rouge serré. Depuis que leurs enfants ont quitté le foyer familial, ils font des voyages transcontinentaux en moto.
16. Vieux-Tours
Sur la Place Plumereau, il y a un homme qui trébuche sous la pluie ; il est ivre. Il essaie intensément d’avoir l’air sobre, il est seulement 16h. Il a développé un problème d’alcool il y a un an quand sa femme est morte. Les choses simples sont plus difficiles que de déplacer des montagnes pour lui maintenant. Il n’est jamais ivre au travail, juste avec une gueule de bois.  
17. Maison dite Pierre-du-Puy
Il y a une femme sur un banc qui écoute de la musique dans ses écouteurs. Elle fait des petits mouvements à la mesure de la musique. Je ne peux pas l’entendre mais je peux le voir. Elle rêve de partir loin de Tours et devenir musicienne. Mais malheureusement, elle est bloquée à Tours parce que sa famille a besoin d’elle pour travailler dans leur fromagerie.
18. Pension Vauquer
Je vois une jeune femme avec sa cousine qui croisent un mec et son ami. La femme et le mec sortaient ensemble mais ils ne se sont pas parlé depuis un an. Plus tôt, il lui a envoyé un sms leur demandant s’ils pouvaient se rencontrer pour un café. Elle lui a dit qu’elle quittait Tours cet après-midi mais elle pouvait le rencontrer juste avant. À ce moment-là il pensait qu’il serait occupé donc ils décidaient d’attendre. Quand ils se croisent, ni l’un ni l’autre ne dit rien. Ils étaient tous les deux stupéfaits.
19. Vestiges de la Collégiale Saint-Martin
« Pratiquement parfaite sous tous rapports » est comment les amis de cette femme la décrivent. Elle prend des photos avec ses amis maintenant et elle est danseuse, je peux dire. Elle est très flexible, elle vient de lancer sa jambe jusqu’à son visage. Elle est belle, douce, humble, et ambitieuse. Aussi elle est super intelligente et sage. Elle parle quatre langues et va à Sciences Po à Paris.  
20. Maison Natale (détruite)
Une adolescente regarde ardemment des tartines et des pâtisseries chez Honoré Le Boulanger de l’autre côté de la rue. Elle aime beaucoup faire la pâtisserie mais elle déteste les sucreries ! Quel dommage ! Du bon côté des choses, elle aime donner ses douceurs aux autres personnes. Elle voudrait obtenir un travail dans cette pâtisserie pendant l’été et être apprentie du pâtissier.
21. Maison Familiale
Un visage vierge…comme il est vide. L’homme dans sa trentaine marche comme un robot. Il était soldat il y a dix ans, et quand il est revenu à la société normale, il a développé SSPT. Il ne peut pas fonctionner normalement. Il habite avec sa femme mais elle est pitoyable parce que son mari qui est revenue de la guerre n’était pas le même homme qui est parti pour la guerre. Il grelotte quand il entend des grands bruits. Il reste éveillé chaque nuit parce qu’il ne peut pas échapper à ses cauchemars. Leur mariage est sans amour maintenant mais elle espère tous les jours que son mari va revenir à lui-même.  
22. Lycée Descartes
Sur le sol, un homme mendie de l’argent. En France, on peut quitter son travail pendant un an une fois dans sa vie, et on peut revenir au même travail. Cet homme était avocat et il voyageait pendant 2 ans et il a pensé que son travail l’accepterait de nouveau, mais il se trompait. Il a été licencié et il a dépensé tout son argent pendant son voyage. Il n’a aucune famille et il a quitté sa copine avant son voyage. Il lit des romans policiers pour se divertir mais son rêve est de trouver un autre travail.
23. Hôtel Papion (détruite)
Une femme asiatique, je pense coréenne, de l’autre côté de la rue. Sa chemise est trop transparente et elle porte un pantalon imprimé léopard et des talons aiguilles verts vifs. Elle a les cheveux courts et un tatouage sur son bras droit, c’est un papillon entre deux crânes…c’est très bizarre. Elle est probablement dans le milieu de sa trentaine mais elle essaie trop d’avoir l’air d’être dans sa vingtaine.
24. Statue de Balzac (fondue)
Un homme tripote son alliance tandis qu’il est assis sur un banc. Qu’est-ce qu’il pense ? Sa femme l’a-t-elle quitté ? Est-elle morte ? Considère-t-il la tromper ? L’a-t-elle trompé ? Peut-être qu’ils se sont disputés. Peut-être qu’il est agité simplement. Mais de quoi ? Peut-être que c’est son mari, je ne sais pas. J’espère qu’il va bien.
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flammine · 5 years
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Drama My Absolute Boyfriend
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Drama coréen Titre: My Absolute Boyfriend Diffusion: depuis le 15 mai 2019 Nombre d’épisodes: 40x35 min Genre: Romance-Fantasy Acteurs principaux:
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Histoire: Uhm Da Da travaille en tant que maquilleuse professionnelle spécialisée en effets spéciaux. Elle vit une relation cachée de longue durée, avec un acteur célèbre: Ma wang-Joon.
Un jour, alors qu’elle vient de rompre avec son copain, elle reçoit un colis avec un robot humanoïde hight tech, Yeong Gu, programmé pour être un parfait petit ami. Elle va devoir le garder et veiller sur lui un certain temps avant de le rendre à son concepteur. Mais comment faire lorsque les sentiments s’en mêlent ?
Avis: Fan du manga Zettai Kareshi, il fait parti de mes préférés de Yuu Watase. Par contre je suis déçu du choix des acteurs car ils ne correspondent pas du tout à l’image que je m’en faisais dans le manga. L’histoire est quelque peu différente aussi. Affaire à suivre.
Pour le voir: https://www.viki.com/tv/35861c-absolute-boyfriend
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  -------------------------------------------------------------------------------------------------- History: Uhm Da Da works as a professional makeup artist specializing in special effects. She lives a long-term hidden relationship with a famous actor: Ma wang-Joon. One day, when she just broke up with her boyfriend, she receives a package with a humanoid robot hight tech, Yeong Gu, programmed to be a perfect boyfriend. She will have to keep it and watch over it for a while before returning it to her designer. But how to do when feelings get involved?
 Review: Fan of the Zettai Kareshi manga, it is one of my favorites of Yuu Watase. By cons I'm disappointed with the choice of actors because they do not correspond at all to the image that I was doing in the manga. The story is somewhat different too.
Link: https://www.viki.com/tv/35861c-absolute-boyfriend
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jeconnaisunvioleur · 8 years
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Première fois
On m'a toujours dit que la première fois était quelque chose de magique et d unique. Que c'est un moment à partager avec la personne que l'on aime quand on se sent prêt. Quelque chose qui nous marquera. Ma première fois m'a marquée, m'a traumatisée.
C'était un mercredi soir. Je me rendais chez ma meilleure amie pour une petite soirée entre filles. Elle me manquait. On s'éloignait beaucoup. Et ça me peinait énormément. C'était le moment idéal pour rattraper le temps perdu, pour tout arranger. La soirée se déroulait plutôt bien, ça faisait tellement du bien d'enfin se retrouver. Puis est arrivée la famille de son copain et quelque amis de son grand frère Damien. Le beau père de mon amie s'est également incrusté avec son fils Jonathan a cette soirée plus si petite maintenant.. Au debut j étais un peu septique surtout que je venais juste de rompre avec mon copain et que J avais pas les idées très claires en ce moment. Mais je me suis dit que c'était l occasion d'oublier un peu tous ces malheurs et de m'amuser un peu. La soirée battait son plein, tout le monde parlait, rigolait. Tout allait bien. Ensuite un des amis de Damien à commencer à fumer et m'a proposer de le rejoindre et de fumer avec lui. J'ai accepté. On a un peu parlé, il avait l'air sympa. Ce n'était pas la première fois que je le voyais mais c'était la première fois qu'on prenait le temps de se parler. Avant c'est comme si on se regarder sans réellement se voir. Quand nous sommes revenus l'alcool était sorti. Axel et moi avons trinqué à notre rencontre avec un shot de vodka.
C'était le début de ma fin. Les jeux du style action ou vérité, le jeu de la bouteille et quelques jeux d alcool ont débutés. J'oubliais tout. Je me sentais enfin vivante. Enfin normale. Les shots et les clopes se sont enchaînés. Et je sentais mon esprit partir petit a petit. Au fur et à mesure de la soirée des gens sont rentrés chez eux ou sont allés se coucher car le lendemain il y avait cours. Je suis restée. Je voulais pas que ça s'arrête. Je voulais pas retrouver ma tristesse et retourner a ma vie pourri. Axel, Damien et Jonathan sont restés avec moi. On a continué à s amuser. Axel et moi étions les seuls a avoir bu. On s'est rapproché. Sûrement l'effet de l'alcool. J'ai continué à boire. Mais plus par shot non. C'était carrément la bouteille que je prenais. Je savais que c'était mal. Je savais que j'allais trop loin. Mais je voulais pas m'arrêter.
Je me souviens avoir tellement bu que les garçons on été obligés de m aider pour marcher ou monter la haut. Je me souviens avoir été me mettre en pyjama et avoir commencé un film. Je me souviens m'être réveillée quelques heures plus tard sans mes vêtements. J avais mal. Il y avait du sang dans le lit. Et c'est à ce moment que j'ai compris que je n'avais pas seulement perdu mes vêtements.. Mais également ma virginité. J'ai essayé de me rappeler. Où. Comment. Avec qui. Aucune réponse. Juste un putain de trou noir. Je me suis habillée et je suis partie en cours. J étais mal. J'étais pas encore très net. Et je réalisais pas encore très bien ce qu'il s'était passé.
Jonathan m'a envoyé un message. “Salut je suis partis bonne chance pour ta journée de cours ! 😂😂 On te tenais à 2 pour te ramener dans la chambre pour que tu te déplace ! Damien et axel ils t'ont baisé tu les a sucer Axel ta pris par derrière et tout le monde ta mis des doigts ! ! Et on remet ça le 17 😂😂 ” En lisant ces mots je me suis effondré. Je ne comprenais pas. Jamais je n'aurais accepté ça. Jamais. Je lui ai dit n avoir souvenir de rien et la réponse qu'il a donné est la suivant “Tkt on t'a pas violé !! 😂😂”
Toute la journée ses paroles ont raisonné dans ma tete. J'avais l'impression d'être vide. J'avais choisi de boire. J'avais choisi de m'amuser. Mais je n'avais pas choisi tout ça. Je n'avais pas choisi ce qu'il s'est passé. Ils ont choisi pour moi. Je voulais me sentir vivante et au final je suis devenu encore plus morte qu'avant. Ils ont pas seulement volé mon corps. Ils ont volé ma vie. Ils m'ont détruite et ils en rigolent. J'ai essayé d'en parler mais à chaque fois les gens pensaient que j exagére. Mes 3 violeurs m'ont dit que je l avais mérité. Que je n avais qu'à pas les chauffer. Mes meilleures amies disent que je n avais qu'à pas boire. Ma psy me dit que cela ne sert a rien de porter plainte car personne ne me croira. Ma mère me voit comme une salope. Alors je me tais. J encaisse en silence. Parce que après tout c’est surement de ma faute.
A l'heure d'aujourd'hui j'essaye de me battre pour oublier ca, assez paradoxale étant donné que je n'ai aucun souvenir.. c'est comme si je me battais contre quelque chose d'invisible. Quelque chose en moi qui n'existe pas. Comme si je me battais contre moi même. Et ca semble impossible a vaincre. C'est bien trop fort. Je ne comprends toujours pas ce qu'il s'est passé. Et j'évite d'en parler. Car à chaque fois que je mets des mots sur cet évènement, il devient un peu plus réel. Et ca m'effraie. Tout m'effraie
Je tiens à dire aux victimes de ne jamais laisser les gens les faire penser que ce n'est pas grave. Que c'est de leur faute. Les seuls responsables sont les violeurs.
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