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#mon ex est en couple
assogba · 2 years
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Rituel de séparation avec photo,rituel pour rompre une relation a distance.
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE RAPIDEMENT RUPTURE SORT ENVOÛTEMENT DE MAGIE NOIRE VAUDOU SÉPARATION Grace à ce Puissant Rituel Vaudou du Grand Maitre Marabout ASSOGBA , provoquer une rupture devient un jeu d’enfant avec le rituel de séparation avec photo. Il n’est pas question ici d’une simple cassure qui peut se raccommoder. Il s’agit d’une rupture franche et nette sans possible retour en…
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sabinerondissime · 15 days
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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lerefugedeluza · 2 months
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Ce week-end ma meilleure amie était là et on a beaucoup parlé. Notamment de nos amours de jeunesse, et comme on se connaît depuis le collège, on peut remonter loin dans nos souvenirs communs et c’était plutôt amusant de se remémorer tout un tas d’anecdotes abracadabrantes.
Enfin bref, à un moment on a fini par parler d’un garçon que j’avais aimé très fort et qui était très doux avec moi (même si on avait jamais été vraiment en couple) quand j’étais en licence, et elle ne se souvenait plus d’à quoi il ressemblait alors, telles les vieilles que nous sommes, on a simplement tapé son nom sur Google.
Et on a découvert qu’il vivait dans la même ville que moi actuellement. Et je ne sais pas si c’est malsain ou si mon cerveau fait des trucs bizarres sachant que je suis quand même en procédure de divorce, mais me dire qu’on vit probablement à moins de 20 kilomètres l’un de l’autre et qu’on peut potentiellement se recroiser au hasard d’une rue, ça me remplie d’une joie candide assez impressionnante.
Je ne sais pas trop si c’est normal ce genre de comportements, mais mon ex mari est parti « en voyage pour penser » et me retrouver seule avec mes créations et mes souvenirs de lointaines tendresses me fait beaucoup de bien.
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ennio-mancini · 11 months
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You're a call to motion / Neva & Ennio
Où? : Dans un bar New Yorkais branché. Quand?: Aux alentours de minuit. Qui?: Neva et Ennio.
Il se rend bien compte qu’il doit avoir l’air particulièrement pathétique, recroquevillé sur le comptoir du bar, en train de se noyer dans un ultime verre de whisky pur qui lui fait passer le stade du gars un peu éméché au gars complètement torché. Ennio relève la tête pour zieuter les alentours. Des filles qui dansent, des gens qui discutent. Personne de plus seul que lui. L’enterrement de vie de jeune fille d’une dénommée Emily (ou un truc comme ça) bat son plein à côte. Il sait qu’elle s’appelle à peu près Emily puisqu’elle est venue le draguer deux heures plus tôt quand il n’était pas encore au stade ridicule de son alcoolémie. Pas encore mariée qu’Emily-truc-chouette se lâche sur le premier venu ! Et bien… Il a répondu à ses avances par un « Tu verras, ça coûte cher le divorce, tiens la carte de mon avocat », qui comme tout le monde aurait pu s’y attendre, n’a pas vraiment plu à Emitruc qui a rapidement déserté. Le business man déprimé s’est de nouveau retrouvé seul avec ses propres pensées, avec seulement son téléphone pour lui tenir compagnie. iPhone tout neuf qu’il sort de nouveau de sa poche pour reproduire encore une fois la boucle de cette soirée : pour ouvrir Instagram, se rendre sur le profil de Mia, et regarder encore un coup cette photo pour se rappeler que tout est bien réel. Mia, ses beaux cheveux blonds sublimes qui recouvrent sa poitrine voluptueuse, et la main de cet enculé de Roman sur son ventre bombé. Sa femme allait avoir un bébé… Oui, son ex-femme... certes. Il avait un peu de mal à se faire au divorce. En plus, évidemment Mia avait tout fait pour rendre ça instagramable et esthétique. Le couple parfait qui fait rêver. Ennio en est littéralement dégoûté. Ou est-ce que c’est l’alcool ? Non… Peut-être plutôt qu’il n’a pas assez bu pour que ça ne lui fasse plus rien. « Je peux avoir la même chose, s’il-vous-plaît ? » Il demande au barman, alors qu’il laisse retomber son téléphone sur le plan de travail après l’avoir éteint pour de bon pour ne plus être tenté de jeter un nouveau coup d’oeil. Ce qui est complètement con puisqu’il va avoir besoin de le rallumer après son verre pour appeler son chauffeur. « Je suis complètement con, je vais avoir besoin de le rallumer après mon verre pour appeler mon chauffeur. » … Oui. Il l’a dit à voix haute. A la jolie brune juste à côté qui a l’air bien plus fraîche que lui. C’est bien, comme s’il n’avait pas suffisamment l’air d’un crétin. Il replace sa cravate qui est de toute façon de travers pour occuper sa gêne. « Je me parle. » Il précise, comme si c’était nécessaire.
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plexussolaire · 1 year
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Celle qui aime trop
J’écoute le podcast “Mes 14 ans.” J’en suis à l’épisode 10 où elle raconte qu’elle est en couple avec un garçon qui n’est pas amoureux d’elle, mais amoureux de son ex. Elle explique qu’en fait, elle est devenu son plan cul, qu’il reste avec elle pour ça, que c’est clair entre eux, mais qu’elle ne se l’avoue pas. Elle essaye de le reconquérir. Et elle énumère les règles qu’elle se donne pour ne pas paraître dépendante ou amoureuse, elle énumère tous les comportements qu’elle met en place pendant des mois, sans succès, pour le reconquérir quoiqu’il arrive, et reprendre le contrôle. Mais le contrôle, c’est quelque chose qu’on ne reprend pas dans cette situation. Par contre, qu’est-ce qu’il est épuisant de contrôler chacun de ses mots, chacun de ses gestes, pour trouver la posture qu’il attend, pour devenir la personne dont il retombera amoureux.
J’ai trouvé une fois ce visage, et je n’ai pu le porter que quelques heures : c’était monstrueux.
J’ai hésité à mettre ce podcast pendant que je dessinais. Je sais pourquoi j’ai irrésistiblement envie de l’écouter jusqu’au bout. Mon adolescence bat dans mon coeur comme une boule au ventre. Je suis cette gamine amoureuse qui couche pour l’amour, qui couche pour le lien, alors que celui-ci devrait être défait au plus vite, pour sa sécurité et son amour propre. Malgré tout ce que je me raconte sur le mal que ce garçon m’a fait, sur son emprise, qui était réelle, puisqu’il ne me laissait jamais partir et qu’il n’était pas bienveillant avec moi, il est important de s’avouer que j’étais bien trop jeune pour tant de mépris. Je ne savais pas me défendre, je n’avais pas les outils pour comprendre ce qui était bien pour moi et ce qui ne l’était pas. Tout cela était des couleurs qui se traversaient et se fondaient entre elles. Il aurait fallu partir plutôt qu’être utilisée, et partir où ? Tout était si flou et embrouillé, que je ne m’étais même pas rendu compte de ça, même à 30 ans, que moi aussi, j’étais devenu un plan cul, et que ça avait duré deux ans. Je ne m’en étais même pas rendu compte. Je l’aimais, ou du moins j’aimais atrocement ce qu’il m’avait fait ressentir quand j’étais encore à conquérir. Et je voulais qu’il se rende compte qu’il éprouvait encore cela, par tous les moyens. Mais de déesse vaporeuse et lointaine, je me suis abîmée jusqu’à devenir une ombre.
Je comprends sa détresse qui en moi est encore vive. J’ai vécu comme elle la première fois qui s’est faite un peu tôt certes, mais avec la bonne personne. Ce que j’ai vécu trop tôt c’est la violence d’un plan cul non désiré, d’une non exclusivité subie, au moment où je croyais encore très fort à l’amour avec un grand A. Trop jeune pour avoir le coeur et l’estime écrasés, sans autres bras qui me serrent pour me calmer et m’aimer autrement. Sans les juger suffisant, peut-être. On sous-estime parfois les blessures profondes d’un amour adolescent, mais celui-ci me revient souvent en rêve, et n’épuise pas les questions. Comment aurais-je pu m’en sortir ? Aurait-il été préférable de ne pas vivre cela ? Comment aurais-je pu empêcher toute la souffrance immense qui me pèse encore 15 ans plus tard ?
N'est-il pas un jour nécessaire de tomber à la ramasse pour savoir ce que ça fait ?
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plaidetchocolatchaud · 6 months
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@plaidetchocolatchaud raspberry flip, merci pour ce nom. Je suis encore ému de la performance de ce patineur, ça m'arrive pour la première fois. C'est très fort ce qu'il a fait, ce qu'il a donné...
(Je n'ai pas vu ta réponse hier, il y a beaucoup de commentaires sur la vidéo, je préfère te répondre directement, j'espère que c'est OK)
Désolée je viens de voir que je me suis trompée en commentaire, c'est un raspberry twist ! Je suis désolée. Et je t'avoue que même en slow motion c'est compliqué de comprendre précisément le saut, perso je vois un saut papillon, avec une vrille, mais je peux me tromper (edit : je viens de regarder sur internet et ça m'a bel et bien l'air d'un saut papillon vrillé et des tutos sur internet existent) !
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Le saut papillon est l'un de mes sauts préférés en gr d'ailleurs, et j'apprenais à le faire, et c'est hyper dur de lui donner de l'amplitude, mais visuellement c'est un saut incroyable (en gif, Margarita Kolosov)
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Et oui, je suis fan aussi d'Ilia, c'est pas le patineur le plus artistique (mais ça va venir, par rapport à la saison dernière, il a fait d'énormes progrès sur ce niveau-là). Même si tu ne connais pas tous les détails, regarde le détail sur le plan technique et tous les record qu'il a battu sur cette performance, c'est complètement dingue. J'espère juste qu'il fait attention niveau blessures et qu'il va avoir une carrière longue ( en tant qu'ancienne fan de sasha, ma plus grande crainte est qu'il connaisse la même trajectoire, même si il est dans un milieu beaucoup (mais alors beaucoup) moins abusif).
Si tu en veux d'autres, je te fais une liste (un peu random, il se fait tard désolée, petit guide pour débutant.e fait vraiment à l'arrache) :
Yuzuru Hanyu (jpn) : considéré comme le meilleur patineur de l'histoire, ses sauts sont juste parfait, et sur le plan artistique il a dépassé de très loin tous les autres. C'est, entre autres, le premier patineur à avoir essayé le quadruple axel, qu'Ilia a été le premier à réussir en compétition. Regardes son programme libre des JO de 2018, c'est une dinguerie (il l'a fait en étant blessé)
youtube
Nathan Chen (usa) : Malgré ses costumes horribles, si tu aimes les sauts, il fera ton bonheur
Adam Siao Him Fa (fra): La nouvelle star du patinage français, qui a partagé la vedette avec Ilia pour les mondiaux avec l'incroyable remontée qu'il a faite. Si tu as aimé le raspberry twist d'Ilia, tu pourrais aimer son arabian et son salto arrière. Et il paraît qu'il veut essayer le quadruple axel lui aussi.
Le trio Yuna Kim/Mao Asada/ Carolina Kostner : l'âge d'or du patinage artistique féminin sans aucun doutes. Chacune était différente. Tu pourrais adorer Mao et son programme libre à Sotchi
Kaori Sakamoto (jpn) : La reine du patinage actuelle
Surya Bonaly (fra) : la légende française. Elle a honteusement été volée pendant toute sa carrière
Katarina Witt (ex-rda) : ça remonte à loin, mais son charisme n'a pas vieilli, et ses outfits sont toujours aussi iconiques
Sui/Han (Chine) : je regarde pas trop les couples (pourtant c'est une discipline avec des éléments hyper variés, j'aime bien), mais celui là était vraiment mon préféré
Anissina/Peizerat (fra) : le meilleur couple de danse sur glace français imo. Tous leurs programme ou presque sont des masterclass, ça n'a pas vieilli. Et Marina est la seule femme dans le patinage à avoir porté un homme, ça ne s'est pas refait.
Virtue/Moir (can) : Jettes un œil à leur Tango de Roxanne et à leur gala sur Stay de Rihanna
Papadakis/Cizeron (fra) : Je ne dois pas avoir besoin de les présenter. Leurs meilleurs programmes sont ceux qui sont le moins classique je pense (Fame, leur danse rythmique de 2022). Big up à Gabriella pour avoir le courage de dénoncer les violences dans le patinage chez les femmes.
Gilles/Poirier (can): j'adore leur originalité ( leur programme de cette année sur Les Hauts de Hurlevent est une merveille)
Guignard/Fabri (ita) : (va regarder leur programme sur les flamands roses)
Si tu as envie de regarder de la gymnastique rhythmique (sport beaucoup trop sous-côté, parce qu'en plus des éléments gymniques et de la danse tu as des ENGINS D'ADRESSE)
Anna Bessonova (ukr) : sa routine la plus iconique est Hopak mais toutes, je dis, absolument TOUTES ses routines sont des chef d'œuvre. Elle s'est pris de plein fouet la concurrence russe et ses injustices, mais c'est la meilleure gymnaste
Elena Vitrichenko (ukr) : une icône, malheureusement les juges en avait décidé autrement
Almudena Cid (esp): la reine d'Espagne qui a disputé quatre finales olympiques
Les russes ont dominé la gr pendant deux décennies, mais seulement trois ont vraiment apporté quelque chose à ce sport : Evgenia Kanavea, Margarita Mamun (il y a eu un documentaire terrible sur sa préparation aux JO tu comprendras mieux pourquoi on ne peux plus défendre les russes tant que le système ne change pas) et Yana Kudryavtseva
Melitina Staniouta (blr) : je la mets juste pour son sublime pivot signature
Sofia Raffaeli (ita) : une des principales prétendantes à l'or olympique. Elle a besoin de force, elle s'est fait lâcher à la fin de la saison dernière par sa coach qui l'entraînait depuis toute petite
Polina Berezina et Alba Bautista (esp) : je les aime d'amour. Poli a mon âge et les rubans d'Alba sont des merveilles.
Eva Serrano (fra): Si les russes n'avaient pas falsifié les scores, elle serait la seule gymnaste française à avoir gagné une médaille olympique. Tkt, elle a pris sa revanche en étant juge 20 ans plus tard à Tokyo (quelle reine) où la Russie a été battue après 20 ans de domination sans partage.
Darja Varfolomeev (ger): n'écoute pas ce que ces haters disent sur Internet. si tu as aimé Ilia (et que tu es toujours là !) tu vas l'adorer. Ses difficultés sont folles, et elle est d'une consistance dingue et fait ses meilleurs performances sous pression. Pendant les mondiaux elle dansait sur les musiques des autres en attendant son score, et elle a un sourire plus gros que son visage. C'est la favorite pour les JO.
Takhmina Ikromova (uzb): la révélation des derniers mondiaux, et la gymnaste la plus complète. elle vient de gagner le concours général du grand prix de Thiais ce weekend
Barbara Domingos : première gymnaste brésilienne qui a du succès, tu devrais aimer son ruban et son cerceau sur le roi Lion
Stiliana Nikolova (bul) : La plus expressive de la bande et celle qui a le plus de responsabilité, le jour où elle arrivera à vaincre son stress pour les finales elle sera imbattable
Boryana Kaleyn (bul) : la GOAT. elle s'est essayé et a réussi à TOUS les styles musicaux, du classique au metal, à la K-pop, au folklore sibérien à des morceaux de musiques composés exprès pour elle. Le cycle précédant un nombre incalculable de médailles lui sont passées sous le nez à cause de l'inflation des scores russes.
Ensemble France : voir mon précédant post
Ensemble Bulgare "Les Golden Girls) : le groupe de 2018-2021 (surnommé Les Diamants) est le meilleur de l'histoire, et les petites nouvelles font de très belles routines. Leurs performances dans les années 80, qui leur ont valu leur surnom valent le coup d'œil
Ensemble d'Espagne : leur performance en 2016 sur Vida Carnaval est de l'or
Ensemble d'Ukraine : quand elles sont stables, elles sont merveilleuses. Jettes un œil sur leurs galas : Archangel et Angels and Demons
Ensemble de Chine : des reines
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lalignedujour · 9 months
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Un soir, en sortant du cinéma (je sais pas si c'était juste ce cinéma ou si c'était comme ça en ex-RDA, de façon générale), j'ai discuté du film avec d'autres gens qui étaient là. Je ne sais plus qui a abordé qui, mais on considérait qu'aller voir le même film faisait de nous des gens qui avions de quoi échanger ensemble. Et c'était sans doute vrai.
Oui, parce qu'il y a eu une période, pendant mes études et même un peu après, où je pouvais aller regarder un film en Allemand. Je comprenais, et tout. Aujourd'hui, même sous-titré, je peux plus.
Et sur les marches du cinéma, un couple m'a invité à prendre un verre. La femme était cool. Le gars distant mais ça allait. Par contre, leur coloc était délire, limite flippant. Il avait pris de la drogue, je crois. Mais tout le monde se comportait normalement, comme si il était comme ça tout le temps. Comme si le bizarre était normal. Comme si c'était un enfant, en fait.
Il disait qu'il fallait pas faire attention aux murs car ils ont une quinzaine d'années maintenant, et ils commencent à avoir du duvet, c'est naturel. Pour nous rassurer, il disait qu'il allait les raser le lendemain matin. Et tout le monde était là genre ok, c'est une info banale. Ni à entrer dans son délire, ni à s'en inquiéter. Normal.
On a mangé des penne sauce tomate, ce soir là. Et la cuisson était nickel. J'ai rapé des zestes de citron. Je pensais que c'était juste pour me faire me sentir utile, par politesse. Mais après, j'ai capté que c'était vraiment meilleur avec ça.
Je me souviens avoir regardé l'appartement, les visages des gens, le plat sur la table, le renfoncement pour les fenêtres (particulièrement large, car les murs sont épais en ex-RDA) et je me suis dit "je suis là, je fais partie de ce tableau". Je sortais juste pour voir la séance de 16h50 et je suis là.
Et on s'est vraiment écouté.es, ce soir-là, je crois. J'ai eu cette impression. Je suis reparti avec le sentiment de m'être enrichi d'autres vies, et d'avoir donné un peu de la mienne. J'aime bien cette sensation, surtout quand je marche dans la ville la nuit avec. Surtout quand il fait froid. Surtout quand je suis seul. Surtout quand je fume (je fumais à l'époque, et seulement seul). Je mettais pas de mots comme ça, mais avec le recul, j'ai l'impression que ça circulait : je donne, je reçois, genre veines, artères, je traverse la route et hop je monte dans le S-Bahn.
Et maintenant, à Paris, quand le film est fini, on pousse une porte coupe feu dans une petite rue cachée. C'est sinistre, on dirait qu'on sort honteusement d'un sex-shop. On émerge juste du film et direct hop on est passant.e, c'est nul.
Ça fait 26 ans que j'habite ici, maintenant, alors ça manque d'exotisme. J'ai mes habitudes. J'ai mes ami.es, mes collègues, mes connaissances, mes cinémas. Je rencontre rarement de nouvelles personnes, alors quand je suis dans un appartement, je me dis pas que c'est fou. Non, je l'avais prévu, je l'ai noté dans mon agenda "Pascaline jeudi 19h", j'ai pris la ligne 6, j'ai fait le digicode, c'est pas une surprise de la vie, on pourrait pas dire ça, non.
Depuis que j'ai ma maladie, je sens que mes ami.es prennent une distance. J'en parle, et les gens écoutent pour dire qu'iels écoutent. C'est une écoute-performance : "je dois être un.e bon.ne pote, donc j'écoute". Mais je leur en veux pas, je fais pareil quand ça parle tarot, horoscope et lithothérapie (sociologie, mycologie, mythologie et théologie aussi, d'ailleurs - c'est à se demander ce qui m'intéresse dans les librairies, actuellement).
Je sens qu'il y a ce silence de qualité. Pour laisser la place à mes ressentis. Mais il y a aussi cette mise à distance. Ce "il me raconte son problème, et ça n'est pas moi". Le niveau juste en-dessous, ce serait pour moi de raconter ma vie dans le métro à des gens qui voudraient seulement scroller tranquillement et pas se sentir trop coupables.
C'est pas que c'était mieux avant, non. Y a eu des moments malheureux aussi à Leipzig. Mais disons que j'ai raté un truc pour que ce soit mieux maintenant.
Ce qui me manque est relié à l'absence de vie quotidienne. C'était parce qu'il n'y avait pas de trame que je vivais des trucs cools. Je faisais rarement des courses pour la semaine, là-bas. Je devrais essayer de vivre à Paris comme si je n'y vivais pas.
Une vie de vagabondage, ce qui me permettrait aussi d'avoir cette expérience : raconter ma vie dans le métro. Peut-être qu'une foule d'oreilles peu attentives remplacerait efficacement une paire d'oreilles attentives.
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assogba · 2 years
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MAGIE NOIRE: VAUDOU ET SORTILÈGES D’AMOUR POUR SÉDUIRE MEDIUM ASSOGBA
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Comment récupérer son ex
Comment récupérer son ex
Votre ex vous manque et vous ne savez plus quoi faire pour le récupérer. Vous avez supplié, menacé. Lu des bouquins et suivi tous les conseils de vos amis. Mais rien n’y fait, vous n’arrivez pas à oublier votre ex et vous ne savez plus comment le faire revenir ?. C’est dans ces situations là que nous avons tous pensé un jour ou l’autre à connaitre le secret qui fait revenir la personne qu’on…
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liqueuramere · 1 year
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Alfredo et Georgette
Chronique de "Ô mon George, ma belle maîtresse...", extraits de la correspondance 1833-1835 d'Alfred de Musset et George Sand, présentés et annotés par Martine Reid, 2010
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Publier après leur mort la correspondance d'écrivain.e.s, pose toujours question. Qui plus est dans une collection aussi accessible que la collection "Folio 2€". Lesdit.e.s écrivain.e.s avaient-ils conscience que leurs échanges seraient un jour rendus publiques ? S'étaient-ils opposés au dévoilement de leur intimité ? Quel est l'intérêt patrimonial et/ou littéraire de leur correspondance ? Et surtout qu'est-ce qui, à l'intérieur, est susceptible d'intéresser, non pas seulement des universitaires, des experts et des biographes, mais aussi le grand public ?
Cette dernière question, on a tout le temps de se la poser lorsqu'on lit ce recueil de lettres d'Alfred de Musset et George Sand, échangées entre juillet 1833 et mars 1835. Précisons d'emblée que la préface de Martine Reid, claire et concise, nous donne de précieux outils de compréhension et de contextualisation des échanges que nous nous apprêtons à lire. George Sand (29 ans) et Alfred de Musset (20 ans) se rencontrent lors d'un dîner en juin 1833 et tombent rapidement amoureux. Lors d'un voyage en Italie de plusieurs mois au début de l'année 1834, les deux amants se séparent une première fois et retournent en France chacun séparément. De retour en France, ils se remettent à nouveau ensemble pour quelques mois, puis se séparent à nouveau, renouent encore pour un temps, puis rompent définitivement en janvier 1835. La particularité de leur correspondance durant cette période, c'est qu'elle rend assez peu compte de leurs idylles : en effet, Sand et Musset ne s'écrivent pratiquement pas lorsqu'ils sont ensemble. Leurs lettres se multiplient en revanche lors de leurs séparations (souvent assorties d'un grand éloignement géographique) et rendent compte de leurs états d'âme, aussi bien positifs que négatifs, après chaque période de liaison passionnée. Comme l'écrit Martine Reid dans sa préface,
Cette correspondance est principalement occupée de discours sur l'amour ; Sand et Musset plaident leur cause à tour de rôle, raisonnent et se justifient. Fins analystes d'eux-mêmes, les amants s'aiment à la vie à la mort, crient au sublime, désespèrent et prennent Dieu à témoin du caractère inéluctable de leur amour. (p.9)
Il y a sans contexte dans ces lignes, ainsi que dans l'existence même de cette édition (la quatrième de couverture parle de "la plus célèbre correspondance amoureuse de l'époque romantique"), une volonté de renforcer le caractère iconique de l'histoire d'amour entre Sand et Musset. D'une certaine manière, je ne vois pas pourquoi cela serait à blâmer, et même je le comprends : il y a bien, par endroits, de grandes envolées sentimentales qui confinent au sublime (ou à l'excès ridicule, selon la sensibilité et l'humeur du lecteur), notamment à partir de septembre 1834, qui ouvre selon moi un acmé lyrique, peu de temps avant la fin définitive de leur relation.
Cependant, je trouve cela un peu trompeur de présenter cette correspondance comme remplie de fulgurances amoureuses. Dans un très grand nombre de lettres, il faut le dire, la majorité du texte est occupée par le récit de la vie quotidienne et par la description de la logistique des courriers et des colis. Bien sûr, on en apprend aussi sur l'entourage des deux écrivain.e.s, et il faut d'ailleurs mentionner que certaines de leurs autres relations sont éclairantes sur la complexité de leur histoire amoureuse (ex : les autres amants de George Sand, sa situation de mère, etc.). Néanmoins, je dois avouer que certaines lettres m'ont profondément ennuyé, au point d'aller jusqu'à en lire en diagonale. Mon engouement, nourri par la légende du couple Sand-Musset, est quelque peu retombé devant tous ces passages, et même, je dois dire, devant les déclarations passionnées de l'un.e ou de l'autre, que je cherchais et attendais pourtant, mais qui m'ont parfois lassé et fait lever les yeux au ciel tant je les ai trouvées dégoulinantes à l'excès de mièvrerie et d'immaturité. Les longs lamentos torturés, ou à l'inverse les déclarations romantiques transies d'un amour absolu et divin, ça me va bien cinq minutes, mais au bout d'un moment ça me donne de légères nausées. Mon rapport au courant romantique est ambivalent : d'un côté j'y reste sensible, mais j'en ai aussi digéré la critique.
Par contre, un aspect de cette correspondance qui m'a surpris et que j'ai trouvé étonnamment moderne, c'est la manière dont George Sand et Alfred de Musset se nomment et se désignent, avec une certaine fluidité, dans leurs échanges. Tantôt Sand est pour Musset "Georgeot", et il la genre ainsi au masculin ; tantôt elle est pour lui "George", et il la genre indifféremment au masculin ("mon ami") ou au féminin ("ma bien-aimée"). Parfois les deux à la suite, dans la même phrase (cf. la formule reprise dans le titre du recueil : "Ô mon George, ma belle maîtresse"). Les deux écrivains jouent, d'une certaine manière, avec les codes du genre (aussi bien le genre social que le genre grammatical). En tout cas c'est vraiment l'effet que cela m'a fait, même s'ils n'appréhendaient très certainement pas le concept de genre de la même manière que nous l'appréhendons aujourd'hui. Ajoutons qu'ils jouent aussi à s'attribuer des rôles, conformes ou non avec leur statut relationnel ou social, et à en changer. Tour à tour ils se considèrent comme les amants qu'ils sont ou bien comme des frères ou des amis. Parfois ils se considèrent même comme une mère et son enfant (rappelons que Sand a presque dix ans de plus que Musset, et a déjà deux enfants), dans un jeu explicitement qualifié d'incestueux, pour le plus grand malaise du lecteur d'aujourd'hui.
Il y a en définitive dans cette correspondance à prendre et à laisser. Loin de la légende des amants maudits, certaines lettres sont d'une grande banalité ; tandis que quelques pages plus loin, d'autres concurrent à bâtir cette même légende. Intéressant, mais en grande partie oubliable.
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e642 · 2 years
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J'ai passé une nuit épouvantable et je suis maintenant sûre que je suis capable de faire des choses pour les gens qu'ils seraient incapables de faire pour moi. Je ne savais pas que j'avais autant chamboulé ce garçon quand lui n'a pas signifié grand chose pour moi. C'est horrible à dire mais ça reste vrai, on ne marque jamais de la même manière que l'on est marqué, tout comme on est jamais marqué de la même manière que l'on marque. J'ai jamais vu quelqu'un pleuré pour moi et cette nuit j'ai été navrée d'assister à ce spectacle. Il s'est d'abord mis une race, je l'ai aidé et nettoyé, quand on sait ô combien je suis émétophobe, ça n'a pas été facile pour moi. Puis il voulait absolument dormir avec moi, j'ai dit oui. Il était si triste, je ne pouvais pas lui refuser ça. Et il a pleuré, dans mes bras, environ 4h. J'ai toujours du mal à saisir pourquoi autant de garçons se répriment de pleurer. Et lui m'a remerciée je ne sais pas combien de fois de lui avoir laissé cet espace pour le faire. Il n'y a rien ni personne à remercier. Pleure juste. J'ai tout fait pour être réconfortante. On a parlé toute la nuit. Et il voulait absolument savoir pourquoi je ne voulais pas qu'on se mette en couple. Comment on dit à quelqu'un qu'on n'a jamais réussi à développer de sentiments amoureux à son égard ? J'ai beau être parfois fine dans mes mots, ils m'ont manqué. J'ai perdu mes moyens hier parce que je ne savais pas quoi dire. Même mon ex ne m'a jamais prise dans ses bras, ne m'a jamais donné de justification, n'a pas eu un centième des réactions que j'ai eu. Je ne compare pas, je dis seulement que j'ai été emprunte de nostalgie, et surtout d'affection. Il a fallu être affective et rassurer quelqu'un qui ne comptait pas comme je comptais. C'est dur en vrai. Les relations humaines c'est pas facile. J'ai dû refuser des avances, je me sentais mal à l'aise. Je n'ai pas voulu de cette situation, je voulais qu'il rentre, j'ai passé la nuit à lui dire que c'était pas grave, que je ne me forçais pas. La vérité, c'est que je me suis fait violence pour trouver les mots, pour être présente, pour être tactile, pour être réconfortante alors que je n'avais pas envie au fond. C'est terrible à écrire. J'ai été là pour lui montrer qu'il peut compter sur quelqu'un mais pourquoi compter sur moi ? Je ne peux même pas compter sur moi. Ça n'a pas de sens de rassurer quelqu'un qui nous aime sur le fait que quelqu'un d'autre l'aimera comme il nous aime. Je me suis sentie hypocrite cette nuit mais je devais le faire, je ne pouvais pas le laisser dans une telle détresse. C'est pour ça que je suis mieux seule parce que je ne peux pas supporter tout ce poids. C'est égoïste je sais. Je préfère que ma vie n'impacte celle de personne pour que celle de personne ne finisse par impacter la mienne. Je suis sincèrement fatiguée et j'ai tellement pas envie qu'on me prenne dans ses bras, je veux juste qu'on me laisse tranquille. Je ne peux pas être l'épaule de tout le monde. Je fais des efforts, je fais la meuf forte, je chiale jamais parce que j'y arrive plus, je trouve les mots parce qu'il le faut mais en réalité je suis autant désemparée que les yeux trempés qui viennentnse poser sur mon épaule moite d'angoisses. Je me sens mal.
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amstramdamsstuff · 2 years
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Je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à lui faire confiance à 100%, peut être que c'est dû au comportement de mon père avec ses partenaires il préfère tjrs la femme qu'il a eu juste avant de sortir avec la nouvelle du coup je m'imagine qu'elle préfère son ex aussi mais ce qui me dérange surtout c'est que elle est omniprésente dans notre relation, elle est toujours en contact avec sa famille, ses amis donc elle revient tjrs sur le tapis et même si je ne l'admet pas ça me plait pas qu'elle parle tjrs à l'entourage de son ex parce que simplement que j'ai l'impression qu'elle était plus heureuse avec Louise même si elle m'aime probablement plus parce qu'elle lui appartait de la securité, une famille sur qui compter et elle pourra pas compter sur ma famille pour ça du coup j'ai l'impression de ne pas lui suffire
Liste de choses qui font que je suis jalouse de son ex alors que je suis absolument pas jalouse normalement en couple :
1) Son ex l'a quitté juste 3 mois avant qu'elle se mette en couple avec moi
2) Je la suivais déjà sur insta et alors qu'on commencait dejà à se parler elle poste une photo avec son ex en story avec la musique true love ( la honte de faire ça alors que vs êtes plus ensemble mais oklm et elle ose me dire qu'elle postait rien pour elle )
3) 1er date mtn, elle me parle direct de son ex elle me dit avec affection que son ex était un peu comme moi elle touchait tout ce qu'elle trouve et tout ( ca sonnait comme une personne endeuillée miskine mais jusque la j'accepte pcq je suis vrmt pas jalouse juste il y a eu des gouttes en trop)
4) Elle continue à parler d'elle et me dit que sa famille c'est tout pour elle, et que si je ne l'acceptais pas on peut arrêter là donc bon... puis façon je me suis dit j'ai reproché à Nathalie d'avoir empêcher papa de voir ma famille
5) 1 er janvier elle me reproche de pas être tactile parce qu'elle a l'habitude qu'on soit tactile avec elle, sorry I'm not her... En plus on a joué à un never have i ever et du coup j'avais bien les détails de sa vie secuelle avec son ex nice 👌 les massages sensuels trop bien qu'elle disait, je lui en ai fait un elle a pas l'air d'avoir aimé donc encore une fois je me sentais pas à la hauteur
6) Cette fois ci on est ensemble et elle parle tout le temps d'elle et pas forcément en bien, mais c encore pire elle pétait encore le seum, ça lui faisait encore qqch sa rupture pcq sinon elle calculerait plus...
7) Puis les deux se disputent et elles vont essayer de se réconcilier à 2h du mat dans sa chambre sur son lit dans lequel elles ont bien ken genre c'est normal
8) Un jour je suis contente de passer la soirée avec mon amoureuse parce que mon père est pas là au final la meilleure pote de Louise lui dit qu'elle voulait coucher avec la meuf qu'elle a eu avant elle et elle passe la soirée à péter des cables en vocal avec ses potes et elle me calcule pas (wesh I'm here)
9) Elles arrivent pas à vendre les chaussures qu'elle devaient s'offrir pdnt leur relation et du coup Manon va chez Louise pour qu'elles s'échangent leur cadeau au final du coup pour la première fois je fais un peu la tête elle m'engueule pcq je communique pas je dis pas ce que je pense (mtn si je dis que je suis pas bien à cause de Louise ça me menace de me quitter pcq c pas foutu de me comprendre )
Bref la suite au prochain épisode c trop long
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la-chronique · 2 years
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Sans [aucun] filtre 
La satire vomitive de Ruben Östlund
/ Spoiler alert /
Cher·e·s lecteur·rices, nous sommes le dimanche 9 octobre. Les heures défilent mais je reste saisie / scotchée / presque tétanisée du film que j’ai vue hier soir. Le dernier film de Ruben Östlund : Sans Filtre, à décidément eu une influence néfaste sur mon sommeil. Si bien que je me sens aujourd’hui obligée de vous écrire à son sujet... 
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Ce film raconte l’histoire de Carl et Yaya, deux mannequins influenceurs invités sur un yacht pour une croisière de luxe. Mais alors que le personnel est au petit soin avec les vacanciers le scénario tourne à la catastrophe…
Il faut sans doute vous préciser, que je pars à cette séance de ciné, sans avoir ni vu The Square — film primé aux Oscars 2017 du même réalisateur — ni même sans avoir visionné la bande annonce de la projection qui allait suivre. Grossière erreur car vous n’imaginez pas ma stupeur, lorsque Östlund, durant presque 2h de film, enchaîne les scènes malaisantes dépeignant l'humain dans sa forme la plus grotesque.
Découpé en trois volets, ce film introduit crescendo, les thématiques de l’argent, du pouvoir et de la lutte des classes, jusqu’à frôler la misanthropie. 
Sans Filtre démarre avec une scène rendue intime par des plans serrés, où Yaya et Carl se retrouvent au restaurant. Ce dernier tente maladroitement de questionner sa copine sur son rapport à l’argent qui s’énerve et fait une esclandre. Très vite, le réalisateur dresse le portrait moderne de deux jeunes adultes empreint de contradictions, tentant de redéfinir leur rôle au sein de la relation. 
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Si la thématique de l’argent est introduite dès les premières minutes du film, il est d’autant plus présent dans la seconde partie. L’on retrouve notre jeune couple invité sur une croisière de luxe. Östlund s’amuse, nous dépeignant des scènes satiriques où la folie des riches n’a aucune limite. La femme d’un oligarque russe ordonne à tout l’équipage un bain forcé contrecarrant toute l’organisation du diner. Absurdes et insensées, les conversations vides de sens s’enchaînent jusqu’au drame. Si la fortune régit les rapports de force durant la croisière entre un équipage s’écrasant pour répondre aux moindres besoins des vacanciers : ce rapport de force est soudain mis à mal lorsqu’une tempête surgit. En plein repas, les invités vomissent tour à tour leurs assiettes, se vautrant dans les escaliers et s’enfermant dans leurs cabinets. Le réalisateur malmène ces bourgeois, poussant le vice avec des scènes intimes, nauséeuses. Le rapport de force s’inverse violemment,  les fortunés sont montrés très impuissants, provoquant les rires nerveux des spectateurs autour de moi. 
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Mais alors que le réalisateur aurait pu se contenter de nous proposer une fin moralisatrice, il pousse le vice en nous plongeant dans un troisième volet. Très long, le film prend une tournure grotesque lorsque : échouée sur une île, après s’être fait attaquer par des pirates, une petite partie des passagers (vacanciers et équipage confondus) se retrouvent lâchée dans la nature. Les rapports de force se polarisent lorsque Abigaïl (ex-responsable de la propreté des sanitaires) est la seule à pouvoir subvenir aux besoins du groupe. Elle impose son matriarcat sur l’île. Le scénario bascule dans un faux-semblant de Koh-Lanta où le réalisateur ne manque pas de nous dépeindre toute la cupidité et la bêtise humaine prête à tout pour survivre et conserver son pouvoir. 
Finalement, ce film est une critique vomitive du genre humain. Grâce à un procédé de surdose le réalisateur nous propose un film long et lourd à digérer. À la place de nous faire passer un message, il nous laisse seul face à la satire et à notre propre moralité : quelle cruauté ! Et si nous ressortons de la salle assez dégoûtés de ce portrait humain du XIXème siècle, paradoxalement, les scènes sont si crues et denses qu’elles nous laissent plutôt hermétiques au sujet.
S’il est certain que Sans Filtre colle des frissons et divise, qu’il aie remporté la palme d’or aux Oscars 2022 en dit long… 
Julia Ducretet, le 09/10/22
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maviepsychaotique · 8 days
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J’ai plusieurs choses à raconter aujourd’hui.
1. J’ai (enfin) supprimé mon ex des réseaux sociaux 🤩
2. J’ai vécu une situation qui m’a rappelé des (très) mauvais souvenirs psychologiques
3. J’ai bcp réfléchis à la phrase d’une copine (qui est entrain de se séparer de son incapable de mec) : “pourquoi je ne trouve pas qlqun qui fait de moi sa priorité”
1. Après avoir reparlé avec (oui c’était une mauvaise idée), on a beaucoup échangé, mais il s’avère qu’il s’est remit avec qlq un (no problem). Plan bourbier un peu, on a échangé sur le fait de se revoir (impossible pour moi surtout si il est avec qlqun). Et je lui ai fais clairement comprendre que j’avais augmenté mes standards de fou et qu’il devra être à 300% et je ne me contenterai pas de moins. Bref je lui ai finalement dit :
" Tu ne vas sûrement pas comprendre pourquoi tu reçois ça maintenant mais je ne peux pas continuer à te parler comme si de rien n’était. Ce n’est tellement pas dans mes valeurs et irrespectueux pour ta copine actuelle. Ça va être encore une fois compliqué car je suis persuadé qu’on a un lien fort et spécial qui nous unis au vu de tout ce qu’on a traversé mais c’est fini et comme je t’ai rabâché, j’ai augmenté mes standards et je ne me contenterai pas de si peu. Je dois apprendre à m’aimer et ma respecter pour pouvoir avancer et progresser. Prends soin de toi sincèrement, deviens plus fort, continue de te soigner et de devenir la meilleure version de toi-même comme je vais devenir la version de moi-même. Et si un jour tu es seul et que tu es devenu la meilleure version de toi même, et que c’est le bon timming pour chacun de nous alors pourquoi pas reprendre contact mais là maintenant c’est trop compliqué et ça mènera à rien…"
Et j’ai supprimé derrière.
2. J’ai rencontrer un mec pdt les JO, le feeling est bien passé, on s’est échangé nos numéros, on parle et il est vraiment gentil et intéressant (pour une fois). Sauf qu’hier, alors que le temps de réponse moyen n’excède jamais les 10min sinon on prévient qu’on est occupé, il a mit 6h à répondre. Je ne sais pas si on se rend compte mais 6 HEURES c’est énorme, on s’inquiète forcément pour la personne. Ça m’a surtout rappelé quand je parlais avec une autre personne avec qui on a eu un super feeling dès le début et après il m’a ghosté en douceur jusqu’à ne plus me répondre du tout. J’ai forcément assimilé ce moment à ce que j’ai vécu hier donc vraiment pas cool Prcq on se fait des millions de films dans sa tête et c’est plus une torture psychologique qu’autre chose. Il m’a finalement répondu et s’est excusé. On s’est expliqué avec mon pdv et son pdv et je pense qu’il a comprit … on verra par la suite mais c’est vraiment une chose qui peut me faire perdre toute confiance en la personne et me mettre à douter de tout ce qu’il fait.
3. Est-ce que c’est vraiment le but d’être la priorité de qlqun? Je pense qu’il faut d’abord être sa priorité pour ensuite devenir la priorité de qlqun. Mais n’est-ce pas égoïste de vouloir devenir la priorité de qlqun? Ça sous entends que cette personne n’est plus sa propre priorité mais qu’elle doit avoir une autre priorité que soi. N’est-ce pas la définition du couple ? Je pense que chacun a sa vision du couple et de la priorité mais je serai curieuse et ça serai intéressant de débattre sur ce sujet afin de savoir ce que les autres personnes en pensent.
Mon avis est qu’il faut d’abord être sa propre priorité mais peut être, une fois en couple, tu partages ta propre priorité avec celle de qlq’un. Je pense qu’une nouvelle priorité doit se créer : celle du couple. Comme ça chaque individu se garde en tant que propre priorité mais a aussi une nouvelle priorité à gérer ?
~A
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livresderomance · 22 days
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📕L'épouse en fuite du PDG📕
En public, elle était la secrétaire de direction du PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue.
Lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, Jenessa était folle de joie. Mais cette joie a cédé la place à la peur lorsque son mari, Ryan, a ravivé la flamme avec son premier amour. Le cœur lourd, elle a choisi de le libérer et de partir.
Lorsqu'ils se sont revus, l'attention de Ryan a été attirée par le ventre proéminent de Jenessa. « Tu portes le bébé de qui ? » a-t-il demandé.
Mais elle s'est contentée de se moquer. « Ça ne te regarde pas, mon cher ex-mari ! »
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Chapitre 1 Félicitations, vous êtes enceinte
« Mme Wright, félicitations ! Votre bébé est en très bonne santé. »
Jenessa Wright est sortie de l'hôpital, hébétée, serrant le résultat du test de grossesse contre sa poitrine.
En baissant les yeux, elle a inconsciemment caressé son bas-ventre encore plat et s'est mise à sourire.
Elle portait le bébé de Ryan !
Souriant jusqu'aux oreilles, Jenessa s'est empressée de prendre son téléphone pour appeler Ryan Haynes, son mari, tout excitée à l'idée de partager cette merveilleuse nouvelle. Cependant, alors qu'elle était sur le point de composer son numéro, son téléphone s'est mis à sonner. Quand on parle du loup, on voit sa queue.
C'était un message de Ryan. Il disait : « Viens tout de suite à l'hôtel Imodon. »
L'hôtel Imodon ? Pourquoi voulait-il qu'elle s'y rende tout d'un coup ? Jenessa était perplexe, mais n'a pas hésité longtemps. Elle a hélé un taxi et s'est directement rendue à l'hôtel.
Comme Ryan voulait la voir, elle pensait qu'elle pouvait aussi bien lui annoncer la bonne nouvelle en personne.
Sur la banquette arrière du taxi, elle souriait intérieurement en se demandant comment Ryan réagirait à l'annonce de sa grossesse.
Le cœur battant d'impatience, Jenessa est arrivée à l'hôtel. Dès qu'elle est descendue de voiture, elle a remarqué que le hall d'entrée était orné de fleurs et d'un tapis rouge flambant neuf, manifestement préparé pour une célébration.
Jenessa s'est arrêtée, momentanément stupéfaite, avant de se rappeler que c'était aujourd'hui leur anniversaire de mariage.
Se pourrait-il que Ryan lui avait demandé de venir ici pour lui faire une surprise ?
Le hall de l'hôtel grouillait d'invités, dont les rires et les bavardages emplissaient l'air.
Jenessa s'est frayé un chemin à travers la foule, sa tenue sobre se fondant dans le décor festif sans être remarquée.
Il ne lui a pas fallu longtemps pour repérer l'homme à la beauté éblouissante qui se détachait facilement de la foule.
Ce n'était autre que son mari, Ryan Haynes, le père de leur bébé.
Alors qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres, elle a aperçu la femme qui se tenait à côté de Ryan, et son sourire s'est figé.
Cette femme était le premier amour de Ryan, Maisie Powell !
Depuis quand Maisie était-elle revenue en ville ?
Jenessa est restée scotchée sur place, paralysée en regardant Ryan et Maisie divertir les invités comme un couple parfait.
Des amis les entouraient et semblaient les féliciter.
« Maisie, tu es enfin de retour à la maison. Ça mérite un toast ! »
« Ryan, après toutes ces années, Maisie et toi êtes enfin réunis. Cela ne mérite-t-il pas un verre de célébration ? »
Peu à peu, les taquineries s'intensifiaient.
Maisie, vêtue d'une robe rouge sexy et d'un maquillage exquis, a gloussé gracieusement : « Arrêtez de nous taquiner, les gars. Ryan est déjà marié et a une femme. »
À la mention de Jenessa, la femme de Ryan, les gens autour ont manifesté du mépris.
« Jenessa ? Je t'en prie ! Ryan ne l'a épousée que pour apaiser sa mamie ! »
« Exactement ! Ryan a toujours voulu t'épouser. N'est-ce pas, Ryan ? »
Ryan, qui ressemblait à un prince dans son costume sur mesure, dégageait un charisme cool et unique.
« Ça suffit, arrête de taquiner Maisie », a-t-il froidement dit. « Elle ne peut pas boire. Laissez-moi boire à sa place. »
Dès qu'il a dit cela, les rires et les taquineries de ses amis se sont intensifiés.
« Hé, Ryan, c'est quoi ce bordel ? Tu es tellement protecteur avec elle, n'est-ce pas ? D'accord ! Si elle ne peut pas boire, tu devras boire sa part ! Et tu n'as pas le droit de partir avant d'avoir fini ! »
Au milieu de ces taquineries endiablées, Ryan gardait son sang-froid, mais un sourire indéniable se dessinait à la commissure de ses lèvres.
À côté de lui, Maisie a baissé la tête et rougi timidement.
Cette scène d'amour était tellement flagrante qu'elle a transpercé le cœur de Jenessa.
Elle ne savait pas quand ni comment, mais elle se retrouvait hors de l'hôtel, et ne s'en est rendu compte que lorsque des gouttes de pluie froides ont frappé son visage.
Le vent glacial et la pluie battante l'ont enveloppée, et en un rien de temps, un violent orage a éclaté, la trempant jusqu'aux os.
Pourtant, elle n'a pas bougé d'un pouce et s'est contentée de fixer la pluie d'un regard vide. Pourquoi Ryan l'avait-il appelée ? Était-ce juste un stratagème pour qu'elle soit témoin de leur affection et qu'elle cède gracieusement sa place de femme à sa Maisie bien-aimée ?
La respiration de Jenessa est devenue saccadée. Regardant autour d'elle d'un air hébété, elle pensait qu'il n'y avait rien d'autre à faire que de quitter cet endroit misérable.
D'un pas raide et délibéré, elle est rentrée à la maison sous la pluie. Debout sur le seuil de la porte, elle contemplait la maison familière, les pensées à la dérive.
Il y a deux ans, alors que sa famille était au bord de la faillite, ils avaient tenté de sauver leur situation en la mariant à la famille Haynes.
Au départ, Ryan n'avait pas été d'accord, mais comme sa mamie gravement malade n'avait pas cessé de faire pression sur lui, il avait accepté à contrecœur ce mariage arrangé.
Maintenant que la santé de sa mamie s'était améliorée et que Maisie était revenue de l'étranger, Jenessa pensait qu'il était peut-être temps pour elle de faire ses valises et de quitter Ryan.
Jenessa ne savait pas combien de temps elle était restée devant la maison avant que le bruit d'un moteur de voiture ne lui parvienne.
Puis, la voix grave de Ryan s'est fait entendre à côté d'elle. « Jenessa, pourquoi restes-tu là, sous la pluie ? »
𝙘𝙡𝙞𝙦𝙪𝙚𝙯 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙚𝙣 𝙨𝙖𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙥𝙡𝙪𝙨👉https://reurl.cc/pv5Kq4
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snap221sn · 2 months
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Kawtef :Quand un père épouse la copine de son fils
Un Gambien de la diaspora aurait été stupéfait d’apprendre que son père, qui vit à Bundung, avait épousé son ex-petite amie comme seconde épouse. Son ami Kabir Mboob explique : « Mon ami a été en couple avec cette fille pendant deux ans avant son départ pour l’Europe. Mais il ne l’a pas présentée à la famille. “Quand il est revenu en vacances, il a été choqué de découvrir que son ex-petite amie…
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