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#détendez-vous oh
selidren · 2 years
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Eté 1897 - Champs-les-Sims
5/7
J’étais au village quand les premières douleurs ont pris Marie. Le temps que je termine mes affaires et qu’on vienne me chercher, le travail était déjà bien avancé et ma grand-mère m’empêchait de rentrer dans la chambre. Je pense avoir rarement connu une telle angoisse.
Transcription :
Marie : Oh, comment se fait-il que cela fasse si mal.
Eugénie : Voyons, vous connaissez bien la réponse. Votre mère aurait-elle négligé votre éducation religieuse ? “J’augmenterai la douleur de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...”
Marie : “...et ton mari dominera sur toi”, oui oui, je sais tout ça ! Figurez vous que cela ne m’aide pas beaucoup.
Eugénie : Seigneur... si vous connaissez la réponse, pourquoi posez vous la question ?
Marie : Aah...
Eugénie : Tâchez donc de respirer et détendez vous. Vous tendre ainsi ne fera qu’augmenter la douleur que vous ressentez et rendra le passage de l’enfant d’autant plus pénible.
Marie : Je ne pense pas réussir à me détendre pour le moment. Je vais marcher encore un peu.
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omagazineparis · 5 months
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Alexis Ren, la bombe californienne dans tous ses états
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Alexis Ren est une jeune surfeuse et mannequin d'origine américaine. Elle est née en Californie en 1996 et a grandi a Santa Monica. Pratiquant le surf depuis son plus jeune âge, sport pour lequel elle a un certain talent, elle s'est rapidement dessinée une silhouette avantageuse. Son physique attire plusieurs agences de mannequinat, et ce dès l'âge de 13 ans. Sa carrière de mannequin lui permet de devenir l'une des égéries de Calvin Klein pour la ligne de lingerie du créateur, « My Calvin's ». Alexis Ren est une adepte des réseaux sociaux, et adore poster des photos d'elle dans le plus simple appareil, simplement vêtue de bijoux ou d'accessoires. Elle a été Maxim's cover girl pour le mois d'août 2017 et Maxim's cover girl pour le mois de mars 2018. Elle possède 15,6 millions de followers sur Instagram et 1,5 million de followers sur Twitter. Son histoire avec Jay Alvarrez Ils ont rompu définitivement après 6 mois de rumeurs. Tout a commencé après qu'Alexis ait dit à un fan qu'elle avait rompu avec Jay parce que la relation n'était plus bonne pour son entreprise. Dans une conversation animée sur Twitter, elle a dit que Jay n'était qu'un passe temps et qu'il avait un petit engin. Elle a supprimé les messages mais Internet n'oublie jamais. Jay a répondu en disant que faire en sorte que quelqu'un se sente mal à propos de ce qu'il est ne fait que montrer votre faiblesse. A lire également : Anais Pouliot; le top canadien à suivre Régime alimentaire d'Alexis Ren PAS de pain. Duh, elle est sans gluten. PAS de restauration rapide. Tant mieux pour elle ! Plus de place pour les bols d'açaï. Pas d'alcool. Je ne sais pas quoi dire à propos de celle-ci à part qu'elle boit 2 litres d'eau chaque jour. PAS de viande rouge. Détendez-vous, elle mange encore d'autres viandes, juste une petite quantité. PAS de repas après 19h. Je suppose qu'elle n'est pas une couche-tard. PAS beaucoup de sucre. C'est une donnée. AUCUN fruit après le déjeuner. Étrange, je devrais lui poser des questions sur celui-ci. Fruit. Beaucoup d'ananas, de fraises, de pastèque, de papaye et de mangue pour des smoothies et des bols d'açaï à n'en plus finir. Kale Chips. "Oh, chou frisé ouais!" Poudre de protéine végétalienne. Pshh, comme son programme d'entraînement, ça ne suffit pas ? ! Mélange montagnard (sans M&M's). Allez, c'est comme la seule partie que je mange. Glace à la banane. Elle l'appelle de la crème glacée, tandis que je l'appelle comme je le vois - des bananes mélangées à du lait d'amande. Salade (avec citron et poivre). À ce stade, il n'y a pas assez de salades dans le monde pour ce genre de corps. Burgers végétariens (enveloppés de laitue avec avocat). Read the full article
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a-room-of-my-own · 2 years
Note
helshades qui pète les plombs alors que je mentionnais un événement particulier d’un mec que je côtoie et que je sais particulièrement misogyne et n’ai fait aucune généralisation 😭
Le niveau de surinterprétation est par moment assez élevé sur ce sujet.
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hildagirl99 · 5 years
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Chapitre 5 : À la découverte de la tribu et ses secrets (part 1)
French version
Cette nuit-là, Hilda a fait un cauchemar, elle rêvait qu'on l'arrache de son lit et de Cagney, tout le monde était autour d'elle, ils la forcent à être sur le trône et l'empêche de partir. Elle se réveille en sursaut.
“Hilda, chérie, ça va ?” Demande Cagney.
“Heu… je… j'ai fais un mauvais rêve, ne t'inquiètes pas.” Dit-elle en s'essuyant les yeux.
“Ueq es essap li-t ?” S'écrit un garde en ouvrant leur porte.
“Hein ? Quoi ?” Demande Hilda en remontant la couverture.
“Souv zeva éirc !”
“Mais je ne comprends pas ! Que dites-vous !”
“Il demande ce que vous avez ! Vous avez crié !” Dit Oswald en passant la porte.
“Ah… rien. J'ai fais un cauchemar, mais tout va bien. S'il vous plaît, dites lui de partir.”
“Elle a tiaf nu ramehcuac ! Tuot av neib. Te… en al zellievrus sap ec rios.” Dit Oswald.
“Udnetne…” Dit le garde en baissant la tête et en lui chuchotant quelque chose, et repart de son côté. Hilda lève un sourcil.
“Pardonnez le, je lui ai donné l'ordre de veiller sur votre chambre cette nuit. Vous ne devez manquer de rien… et pardonnez moi, je ne vous ai pas dis bonjour. Bonjour Hilda.”
Elle fut surprise, mais elle ne pouvait lui en vouloir.
“Bonjour…”
“Monsieur… par pure intimité, il pourrait arrêter de squatter le devant de la chambre ?” Demande Cagney, bougon.
“C'est pour votre sécurité.” Dit Oswald en se retournant, et ajoute.
“Le petit déjeuner vous attend en bas. Vous avez une journée chargée.”
“On arrive…” dit Hilda en se levant doucement.
“Pfff… la sécurité… je suis déjà là pour toi, chérie.” Dit Cagney en s'étirant.
“C'est gentil, chéri… peut-être qu'il en fait trop.”
Ils se dépêchent de s'habiller et descendent vers la salle à manger.
“Bonjour papa, bonjour maman ! Bien dormi ?” Demande Fio avec enthousiasme.
“Bof, ça peut aller…” dit son père.
“Juste fais un cauchemar mais ça va…” répond Hilda.
“C'est le stress et le changement qui fait ça, ne vous inquiétez pas, aujourd'hui, la journée va être chargée pour nous. Je vous ai promis de vous faire visiter le village.” Dit Fio.
“Bonne idée, ça va me changer les idées.” Dit Cagney.
Après quelques minutes de préparation, ils purent enfin sortir. Hilda était stressée et excitée de découvrir pour la première fois l'endroit où elle était née.
“On va commencer par l'orphelinat, celui que j'ai fait construire pour accueillir les enfants sans pères ou mères, ou abandonnés.”
Ils longeaient les rues entre les maisons des villageois, qui eux, saluaient leur chef, Fio.
“Tu sembles très apprécié !” Commente Cagney.
“Évidemment, je suis pas un tyran, hein !” Rit Fio.
“Mais comment et pourquoi ils t'ont choisi comme chef ?” Demande Hilda.
“Ça, ça sera le sujet de discussion ce soir.” Répondit-il.
Après quelques minutes de marche, ils arrivent devant les portes de l'orphelinat.
“Orphelinat “douce famille” ! Bienvenue !” Dit Fio en ouvrant le portail.
“C'est toi qui a imaginé les détails et l'architecture ?” Demande sa mère.
“Oui, si on peut dire mais c'est les architectes qui m'ont proposés ça.”
Ils entrent dans l'orphelinat et débouche à l'accueil, une jeune femme bougeait et courait avec des feuilles qui volent.
“Bonjour mademoiselle Sky !” Dit Fio.
“Oh !!” La jeune femme sursaute.
“Pardonnez-moi, altesse, je ne vous ai pas vu arriver !” Dit-elle en ramassant ses feuilles.
“Allons, calmez-vous, et détendez vous.” Dit Fio en l'aidant à ranger son bureau.
“Je veux juste présenter l'orphelinat à nos visiteurs.”
“Oh bonjour Madame, Monsieur ! Profitez bien.” Dit-elle en souriant.
“Et bien merci !” Dit Hilda.
“Ah ! J'ai oublié, altesse ! Fluffy s'est encore échappé hier soir…”
“Oui je le sais, il mangeait sous la table de la cuisine hier soir.”
“Mais je comprends pas pourquoi il s'enfuit, pourtant je lui donne le même amour et attention que les autres enfants.”
“Ça ne fait qu'une semaine qu'il est arrivé, il faut lui laisser du temps.” Rassure Fio.
À cela, Cagney se souvient de cette petite fleur. Il est orphelin ? Tout comme lui autrefois. Après une longue visite, ils ressortent. Cagney s'assoie sur une souche d'arbre.
"Ça va ? Tu sembles bouleversé !" Dit Hilda.
"Tous ses enfants, sans famille… ça me rappelle moi…"
Elle s'approche de lui et le câline doucement.
"Oh mon chéri…"
"Si ça ne te dérange pas, j'aimerais être un petit moment seul. Continue la visite, on se retrouve au château." Dit Cagney.
"Non, ça ne me dérange pas… mais tu es sûr que ça va aller ?"
"Après tout, c'est de là d'où tu viens, mon cœur. Tu as besoin de voir le reste de la tribu. Tout va bien aller, ne t'inquiètes pas." Dit-il en lui donnant un petit baiser sur la joue.
"Très bien, on se voit tout à l'heure." Dit Hilda. Et elle reprit la visite avec Fio.
Cagney reste silencieux pendant un long moment jusqu'à ce qu'il sentit une présence à côté de lui. C'était la petite fleur d'hier soir. Assise à côté de lui, elle le regarde. Elle ne semble pas apeuré comme hier.
"Oh… salut toi, tu es bien Fluffy, c'est ça ?" Demande Cagney.
"Oui… c'est moi, mais comment tu sais mon prénom ?" Répond la fleur.
"On a pas arrêté de parler de toi dans l'orphelinat, pourquoi est-ce que tu t'enfuis tout le temps ?"
"Je n'aime pas être ici… je veux mon papa et ma maman…" dit Fluffy en baissant la tête.
Cagney ne savait pas quoi répondre, le petit n'a pas compris qu'il n'avait plus de parents ?
" La dernière fois que je les ai vu, ils m'ont dit de courir le plus loin possible et de me cacher en attendant qu'ils viennent me chercher. Puis c'est là que la directrice m'a trouvé… et puis je ne me souviens plus. Je veux les retrouver."
Cagney était gêné.
"Tu crois que tu peux m'aider à les retrouver ?" Demande Fluffy.
"Mais … tu crois que je suis en capacité de pouvoir t'aider ?"
"Mais vous êtes une fleur ! Vous savez donc où sont mes parents !" Insiste-t-il.
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"Écoute mon petit, je ne suis pas d'ici, je crains ne pas pouvoir t'aider." Dit Cagney, le cœur lourd. Il ne pouvait pas l'aider, il ne voulait pas le décevoir si il apprend que ses parents sont décédés.
"Hé !! Il est là !" Crit une voix. C'était les D-mons, ils se précipitent sur Cagney, l'air enjoué.
"Hé ! Qu'est-ce que tu fais seul ici ?"
"J'ai bien le droit d'avoir un moment seul ici, non ?" Dit Cagney, ne voulant pas être embêté.
"On va enlever ta solitude ! Viens on va jouer ensemble !" Dit Tac.
"Hors de question !"
"S'il te plaît, Monsieur fleur !" Supplie Boom avec un regard de chien battu.
"Bon… c'est parce que c'est vous…" dit Cagney en se levant. Mais Fluffy lui attrape la main et le retient.
"Non ! Reste avec moi !"
"Mais tu ne veux pas venir jouer avec eux ?"
"Non… ils ne sont pas sympas..." Chuchote Fluffy.
Mais les trois boules de poils l'entraînent derrière, ne laissant pas à Cagney le temps de répondre. Ils l'entraînent un peu plus loin dans la montagne, Cagney avait comme un mauvais pressentiment.
"Vous me faites une blague ?" Demande-t-il.
"Qu'est-ce qui te fait dire ça ? On va juste jouer à cache-cache !"
"Bah jouer près des ravins, c'est pas rassurant…"
"On a l'habitude ! On a jamais eu d'accident !" Précise Tic.
"Allez ! Tu comptes et nous on se cache ! Et pas de tricherie !" Dit Tac.
"Bon d'accord, jusqu'à trente." Dit Cagney en se retournant. Puis trente secondes plus tard, il commence à les chercher. Les seuls bruits qu'il entendait c'était le vent qui glissait contre les parois rocheuses, comme un sifflement.
"Les mioches ! Pas le droit de changer de place !"
Soudain, un bruit de pierre attire son attention.
"Ha ha ! Vous êtes pas très discret !" Dit Cagney en s'approchant de l'endroit d'où provenait le bruit. Il s'approche et se retrouve en face d'une crevasse profonde et noire.
"Heu … ? Vous êtes là ?"
En réponse, un geste brutal venant de derrière frappa son dos et il tombe la tête la première dans la crevasse.
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"Aaaaah !!" Il s'écrase plus bas, et s'est blessé au bras. Il se relève un peu étourdi et lève la tête.
"Hahaha !! Tu fais moins le malin maintenant ! Hein ?" Rigole Tic, Tac et Boom.
"Espèce de sales petits garnements ! Sortez moi de là ! J'aurai jamais dû vous faire confiance !!" Crit Cagney.
"C'était le plan de Monsieur Oswald ! Il veut te tenir loin de ta femme ! Haha!" Rajoute Tac.
Cagney était piqué au vif ! Oswald ? Ce traître qui prétend être bon veut l'éloigner de Hilda ?
"Bonne chance pour escalader ! Les parois sont mouillées !" Dit Tac avant de partir avec la bande, laissant Cagney à son sort.
Pendant ce temps, Hilda arrivait au terme de sa visite. Elle s'inquiète pour Cagney. Elle décide de rentrer au château, en espérant le voir.
"Dites moi, Oswald, vous avez vu Cagney rentrer dans le château ?"
"Non, mais il n'était pas avec vous ?"
"Si mais… il a décidé de se reposer devant l'orphelinat."
"Oui, c'est cela !" Dit la voix de lord Eustache.
"Mais je l'ai vu partir avec les D-mons!"
"Pardon ? Mais que faisait-il avec eux ?" Demande Hilda.
"Disons qu'il voulait se divertir, il se sentait seul, les D-mons ne supportent pas de voir quelqu'un triste." Dit Eustache d'un ton calme.
Dans la crevasse, Cagney essaie désespérément de s'extirper mais la parois est très glissante, il commençait à perdre espoir jusqu'à ce que…
"Monsieur ? Monsieur fleur ?"
Une voix ? Ce n'était pas celle des D-mons.
"Je suis là ! Dans la crevasse !" Cri Cagney.
C'était Fluffy !
"J'aurai dû t'écouter ! Ces mioches vont le payer !" Dit Cagney avec colère.
"Attend ! J'ai trouvé une liane ! Je vais t'aider à sortir d'ici avant que tout le monde pense que tu sois mort !" Dit Fluffy en lançant la liane. Cagney était soulagé, il monte péniblement à la liane et arrive à la surface.
"Oh ! Tu es blessé !" Dit Fluffy avec inquiétude.
"Ce n'est rien… juste une égratignure… et en faite… merci." Il était reconnaissant que cette petite fleur lui ait sauvé la vie.
"Je… je devais bien le faire, Monsieur fleur." Dit Fluffy en souriant.
"Appelle moi Cagney." Lui dit-il en lui tendant son sourire.
"Mais en attendant, j'ai deux mots à dire à ses sacripans et ce Oswald !" Dit-il en grognant et en se dirigeant vers le château, le poing serré.
Cependant, Eustache marchait auprès de Hilda, dans la salle du trône.
"Vous savez que nous organisons un bal, ce soir, en votre honneur ?" Dit Eustache.
"Ah bon ? Je… je l'ignorait." Demande-t-elle, surprise.
"Aimeriez-vous que je sois votre cavalier ?" Demande-t-il en plissant les yeux.
"Hein ?... Heu… c'est gentil, mais j'ai déjà mon mari." Dit Hilda, gênée.
"Mais n'avez-vous jamais dansé avec d'autres hommes ?"
"Non… je…"
"Vous êtes sous l'emprise de votre mari ? Il vous interdit de voir d'autres hommes ?" Demande-t-il avec insistance.
"Monsieur ! Je ne vous permet pas de parler de mon mari ainsi ! Et ce qu'il y a entre nous ne vous regarde pas !" Dit Hilda en haussant sa voix.
"Au contraire… vous devriez essayer." Dit-il d'un air sournois.
"Oh, je ne crois ! Monsieur Eustache !" Dit Cagney en déboulant dans la salle du trône, et se rapproche de Hilda.
(@yonnichan-art pour les colos)
To be continued
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ohhoio · 2 years
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syruppawnao · 4 years
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Story Obey me FR 18-17
La surprise
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Barb - Bienvenue. Nous vous attendions. Bienvenue à la fête d’anniversaire de Lord Diavolo. Les chefs du Devildom ont préparé des plats exquis à déguster. Alors s'il vous plaît, détendez-vous et profitez de la fête. Mammon - Exacte, il est temps DE COMMENCER ! Beel - Mmmrmph, mrzppho mrzphrt frapsaa mraphaful. Mammon - Tout compte fait, il semble que l’un de mes frères soit DÉJÀ en train de commencer !
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Asmo - Je sais que Barbatos a dit de nous amuser, mais je dirais que Beel va trop loin… Attends une minute, toi là-bas ! Je ne crois pas vous avoir jamais vu auparavant. Êtes-vous un nouveau valet ? Vous venez de commencer au Château du Seigneur Démon, n'est-ce pas ? Écoute, tu fais quelque chose après ça ? En fait, nous n’avons même pas à attendre la fin de la fête. Je veux dire, je suis libre en ce moment… Satan - Je dirais qu'Asmo est celui qui s'amuse déjà pas mal. Surtout par rapport à une certaine personne… Levi - *sanglot*… je n'en peux plus ! Tellement de monde… je veux retourner dans ma chambre… Satan - Ça doit être dur d'être socialement maladroit…
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Barb - Mammon ? Serait-ce le fruit d'or que je viens de te voir glisser dans ta poche ? L'un des objets les plus précieux du château du seigneur démon ? Mammon - ... Qu? Quoiii ? … Quoi ? Regarde ça ! Comment l'un des trésors du château est-il entré dans ma poche… ? Ugh, incroyable ! Ce trésor ici est un farceur, ai-je raison ? C’est quoi le délire de sauter dans ma poche comme ça, hein ? Mauvais trésor ! Lucifer - Qu'est-ce que j'entends, Mammon ? Mammon - Yikes ! Lucifer - Donc tu ne te contentes pas seulement de voler les trésors du château, mais aussi de mentir ? Mammon - Owwwww ! N-Ne tire pas! OWWW !
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Belphie - Attention, MC. Le niveau de stupidité de Mammon est tellement de haut niveau que le regarder pourrait faire pourrir t’es cellules cérébrales. Tu passes un bon moment ? MC - Et toi, Belphie ? Passe du bon temps ? / Bien sûr ! Belphie - Moi…? Hmmm… Je ne sais pas si je dirais ça. Pour être honnête, je n’étais pas particulièrement enthousiaste à l'idée de venir ici. Les fêtes n'ont jamais vraiment été mon truc, après tout. Pendant un moment, je ne savais pas si j'allais venir aujourd'hui, mais… je me suis dit que si tu y allais, je n'avais pas le choix, tu sais ? Tu t'es pris un verre ? Le discours de Diavolo va commencer maintenant.
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Diavolo - Bonjour. Je tiens à vous remercier tous d’être venus ici ce soir en mon nom. Il semblerait que ce soit aujourd'hui mon anniversaire. Au fait, quelqu'un ici pourrait-il me dire quel âge, j'ai maintenant ? Parce que j’aimerais bien le savoir. Blagues à part j'aimerais que vous utilisiez tous mon anniversaire comme excuse pour passer un bon moment. Alors amusez-vous ! Et enfin, je voudrais vous présenter notre autre invité d’honneur ce soir. Viens ici, MC. MC - ??? Diavolo - Oui, toi. MC - Que se passe-t-il ? / Ce n’est pas mon anniversaire. Diavolo - Hmmm… Je suppose que Lucifer et ses frères ont dû vouloir que ce soit une surprise pour toi. Tu vois, MC, la fête de ce soir est également organisée pour toi. Il semble que Lucifer et les autres aimeraient tous exprimer leur appréciation. Tu pensais vraiment qu'ils avaient acheté tous ces cadeaux pour moi seul ? Mammon - Je veux que tu sache que LE GRAND Mammon a en fait travaillé à temps partiel à Hell’s Kitchen pour économiser de l’argent pour t’acheter ce cadeau. Je n’ai emprunté d’argent à aucune sorcière pour le payer. Je n’ai ni volé ni mis en gage. Tout a été fait de haut en bas, d'accord ? Levi -… Ici. C'est l'élément numéro un sur Akuzon. Il est toujours en tête de liste. Bien que je suppose que tu n'en voudras toujours pas, étant donné que c'est un cadeau de quelqu'un comme moi..  Satan - Les livres enrichissent la vie. C’est vrai que tu sois un humain ou un démon. Et c'est l'un de mes livres préférés. J'espère que cela finira par rendre ta vie un peu plus enrichissante.
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Asmo - Mon cadeau est cette tenue que j'ai choisie pour toi ! Oh, et je t’ai offert de nouveaux produits cosmétiques en édition limitée ! J'ai aussi rajouté un peu de la même eau de Cologne que je porte actuellement. Si tu le portes, tu auras l’impression de te tenir dans mes bras à chaque minute de la journée ! Beel -… Tiens. Il s’agit d’un billet pour un an de repas gratuits au Hell’s Kitchen. Ça me tue de le donner, mais… pour toi, je le ferai, MC. Lucifer - Voilà, ça vient de moi. C’est une broche et une pierre de minuit est incrustée à l’intérieur. Même ici, dans le Devildom, il est considéré comme un joyau rare. Quand nous sommes allés faire du shopping ensemble, c'était dans la vitrine de Hocus Pocus, tu te souviens ? Je crois que cela a attiré ton attention. Je veux que tu le gardes comme souvenir de ton séjour ici dans le Devildom. Je voulais que tu comprennes à quel point, je t’apprécie, comme chacun de mes frères. Mais sans une opportunité comme celle-ci, nous n’aurions pas été en mesure de communiquer correctement, n'est-ce pas ? Merci, MC. Veux-tu bien accepter ses cadeaux de notre part. MC - Merci. / Mais je n’ai rien fait de spécial… Asmo - Nous sommes ceux qui devraient te remercier, MC. Satan - Attendez une minute. Je ne vois Belphie nulle part aux alentours… Levi - Il semble assez maladroit socialement aussi, donc je ne suis pas surpris. Asmo - Peut-être, mais tu ne penses pas qu'il aurai au moins fait un cadeau à MC ? Mammon - Bon sang. D'accord, où est-il allé ? MC -… Va chercher Belphie.
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christophe76460 · 5 years
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Respirez profondément et détendez-vous
 
 
 
"Ta houlette et ton bâton me rassurent." Psaume 23.4
La houlette, un bâton dont le haut était courbé, servait parfois au berger à contrôler ou punir les brebis. Mais cela n’est pas la façon dont Dieu agit avec nous.  Dieu n’attend pas depuis le ciel avec un gros bâton pour taper sur la tête des gens qui ne lui obéissent pas !
Paul a dit à Timothée que l’Ecriture nous a été donnée pour nous corriger. Il y a eu des moments où la Parole m’a été prêchée, et cela m’a fortement corrigé.
La houlette du berger était le plus souvent utilisée pour la protection des brebis. Autrement dit, la houlette était une défense. Le psalmiste disait: “Je suis rassuré, Seigneur, car dans tes bras je suis en sécurité. Tu es mon protecteur.”
Qu’en est-il du bâton ? Le bâton était le symbole de l’autorité du berger pour prendre soin du troupeau. Il était aussi utilisé comme canne pour soutenir le berger.  La houlette du Berger et son bâton servent à vous soutenir, vous protéger et vous procurer du réconfort.
Le mot hébreu pour réconfort, bien-être, consolation, dans le psaume 23, est nacham dont l’une des significations est souffle, respiration. Le psalmiste dit : “Oh! Dieu, tu me protèges. Tu pourvois à mes besoins. Alors je peux respirer profondément et me détendre.”
Une mise en pratique pour aujourd'hui :
Respirez profondément à cet instant sachant que Dieu vous protège, vous guide, vous soutient, vous fait vivre, vous défend, et pourvoit à vos besoins.
 
 
Keith Butler
(Source : TopChrétien)
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Le Damso nouveau est arrivé #VIE
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Α. Nwaar Is The New Black : ★★★ Fast-flow et flûte sur l’instru, la mélancolie gore de Damso est au rendez-vous de ce morceau court, au couplet unique. “J’parle peu et quand j’l’ouvre c’est pour dire c’que j’pense d’eux, à travers et à tort.” Beau départ.
https://www.youtube.com/watch?v=5quDknuHVnY
B. #QuedusaalVie : ★★ La facilité, et la répétition la plus jouissive du slogan du rappeur belge. “J’fais que du sale”. Les couplets sont chantés, sur une une instru minimaliste signée Lens Dupuy. A noter, Dems a “plus de parole qu’Alain Delon”. Certes.
Γ. Mosaïque solitaire : ★★★★★ Le premier gros coup de coeur de l’album, véritable écho à son Débrouillard de l’album précédent. Le texte s’assombrit sur une métaphore christique : “j’attend la mort comme en Géthsémani”. Le génie tient à un refrain simplissîme, que je ne spoilerai pas ici. A ce stade, on peut dire que Damso a les meilleurs refrains du rap français. Et ça, je l’avais déjà dit au sujet de son morceau Sablier, sur Batterie Faible. La track est d’autant plus atypique que le morceau a deux instrus, deux ambiances. 
Δ. Dieu ne ment jamais : ★★ Débat. Instru et ambiance moins novatrices, mais texte ciselé “J’fais un malaise eucharistique / Le diable se cache derrière l’artistique” Damso le disait en interview sur Booska-P, le milieu musical ne lui fait pas du bien. Pour notre plus grand bonheur.
Ε. Signaler : ★ Un titre reggeton réjouissant, preuve que le rappeur belge sait faire aussi ce qui marche, mieux que ce qui marche.
Ζ. Kiétu : ★★★★★ Deuxième crush. Damso a vraiment créé un flow particulier, reconnaissable entre tous. Le texte superbe, déroule sur une instru de Tommy Beats, l’introspection :
“Nan, nan, tant de questions qu'elle me pose                                                   Sur mon présent, sur mes névroses                                                                   Dis moi c'que tu fais la nuit, dis moi c'que tu fais dans la vie                             Dis moi c'que t'as contre les filles                                                                         Dis moi si c'était vrai pour Amnésie                                                               Damso, dis moi qui es-tu, dis moi qui es-tu”
Η. Gova : ★ Un morceaux purement rappé, démonstration académique de maîtrise stylistique et retour à une scansion plus dure.
Θ. Macarena : ★★★Encore un morceau destiné à prendre de revers tout le rap francophone. Rester trash, tout en poussant la chansonnette “Mon coeur danse la macarena la-la-la-la-la-la” La classe.
Ι. Peur d'être père (feat. Youri) : ★★Petite déception, parce que le titre faisait rêver, et que le thème ne pouvait qu’être richement exploité. Mais la forme pêche un peu. On retiendra de jolies punchlines et une certaine résignation. “Policier p’t’être tu seras, que pourrais-je faire contre ça”
Κ. Kin la belle : ★★★★ Que l’été sera long avec des morceaux ensoleillés comme Kin la belle. La rumba. Deuxième son calibré pour la danse en club, mais plus abouti que Signaler, que j’ai commenté plus haut. “Oh Kin la belle, pour toi je suis resté le même”. 
Λ. Lové : ★★★ Selena Gomez pourrait poser sur cette instru. Et pourtant vous écoutez du Damso. Détendez-vous, c’est tout sauf grave. Surtout que Damso est déchaîné. “J’tourne en rond au rond-point victoire, chui bien loin des vaincus.”
Μ. Noob Saibot : ★★★ Un morceau qui fait penser à Walabok de Booba par l’ambiance. Rien ne saurait être plus nwaar. “J’l’a baise elle crie fort comme Pavarotti”. Dems invoque sa voix la plus grave pour offrir un refrain dantesque.
N. J Respect R : ★★ Un morceau qui ressemble fortement à deux autres dans l’album, répétition qui en découragera certains mais qui consolide un univers hors du commun; validé par ses comparses belges, dont Stromae (qui apparaît dans le clip dudit morceau).
https://www.youtube.com/watch?v=6qDYXuxjRA0
Ξ. Une âme pour deux : ★★★★Pour terminer son second album, Damso offre un morceau fascinant par son instru saturée, par son oralité presque arythmique. Par son invocation presque “stromaienne” dans Formidable, justement. 
“Bah nan j'ai juste bu quelques verres vite fait" J'dois pisser, faut qu'j'trouve un coin discret Tout près d'ici sinon j'vais m'perdre moi En plus, j'ai fumé d'l'herbe J'vais foutre la merde ouais j'suis comme ça moi Et puis j'parlerai d'mon ex, puis j'parlerai d'ses fesses Bref il faut qu'j'arrête Donc j'dessaoule sur l'ch'min du retour”
Le refrain quelque peu décevant n’ôte pas à cette track sa dimension onirique.
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maec882 · 8 years
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La Star
La célèbre chanteuse Emma Adler, reçue sur de nombreux plateaux télés et dans les émissions radios, a reçu une lettre plutôt inquiétante « Je viendrai bientôt te guérir signé le pharmacien ton plus grand fan » lettre qui a été écrite grâce à des lettres découpées dans des articles de journaux.
Elle a donc décidé de recruter 5 agentes de sécurité rapprochée (garde féminine du corps) afin d'être plus rassurée.
Léa, Jade et Manon montent la garde à l'entrée, un homme les observe depuis sa voiture, la nuit est tombée il y a peu. Il va donc pouvoir essayer son araignésitoire (Un suppositoire muni de pattes qui une fois dans le rectum de la victime va émettre un gaz soporifique qui une fois relâché sera extrêmement actif).
L'homme laisse tomber son joujou par la fenêtre, celui-ci marche jusqu'à la jambe de Manon, qu'il escalade, se glisse sous son string et pénètre dans ses fesses. Le produit commence à agir tandis que les filles discutent :
Jade dit « Tu crois que c'est sérieux cette histoire de pharmacien ? »
Léa répond « qu'il vienne ce pharmacien je vais bien le soigner moi »
Manon commence à ressentir les effets de l'araignesitoire elle commence à se sentir ballonnée.
« Ça va ? Tu fais une drôle de tête ? » lui fait remarquer Jade.
Manon laisse échapper un gaz « Prout » et rougit « Excusez-moi ça doit être les haricots de midi »
« T'es une princesse tes pets sentent la plante » Remarque Léa.
« Je ne me sens vraiment bien » remarque Manon somnolente.
« C'est bizarre cette odeur » dit Jade, tandis que Manon s'effondre sur le sol endormie.
Léa ne tarde pas à s'effondrer à son tour, Jade à juste le temps de voir l'homme bizarre vêtu d'un imper sortir de sa voiture avant de rejoindre elle aussi le pays des rêves, terrassée par l'agréable odeur de plante.
Chloé est dans son lit, elle va bientôt devoir aller relayer Inès, elle est dans un état de semi-éveil.
Allongée dans son lit en pyjama, elle croit entendre la porte de sa chambre s'ouvrir, mais veut profiter tranquillement des quelques minutes de repos qu'il lui reste.
Elle aurait dû être plus attentive car l'homme après avoir neutralisé les agentes de l'entrée vient de rentrer dans sa chambre, cette fois c'est un suppositoire somnifère qu'il tient dans sa main déjà déballé et prêt à servir.
Il s'assoit sur le lit de Chloé et baisse doucement le drap, Chloé sent bien qu'on touche à son lit mais elle se croit encore dans le rêve, elle sent son pyjama descendre, qu'on lui écarte les fesses pour y insérer quelque chose, qui commence à se propager.
D'ailleurs elle trouve que c'est plutôt agréable d'avoir un truc en train de fondre dans les fesses.
Chloé pense « Il va falloir aller remplacer Inès, mais je suis tellement bien dans ce lit, bon allez dans 2 minutes je me lève » Mais Chloé ne se lèvera jamais le suppositoire a eu raison d'elle.
L'homme est satisfait il ne reste plus qu'une personne à neutraliser avant de pouvoir aller prodiguer ses soins à Emma Adler.
Inès, la dernière garde qui est maigre mais athlétique, fait sa ronde devant la porte de la chambre d'Emma, quand tout à coup elle remarque quelque chose sur le sol. Elle se penche en avant afin d'observer de l'objet.
C'est comme une petite balle de pistolet enveloppée dans de l’aluminium remarque telle. Mais pendant qu'elle est penchée en avant elle reçois une fléchette dans la fesse gauche.
Inès commence à se sentir toute penaude, elle s'affale sur le sol, elle voudrait bien crier pour alerter ses collègues ou Emma, mais elle est toute relaxée, elle tourne la tête et remarque enfin l'homme qui s'avance vers elle. Il ramasse la petite balle par terre et s'approche d'elle pour lui souffler à l'oreille « Je crois que c'est l'heure du suppo pour aller au dodo ». Inès comprend soudain la situation ce n'est pas une balle mais un suppositoire et ce malade veut lui mettre.
Elle essaie bien de bouger mais le produit décontractant est trop fort et l'homme lui a déjà baissé son jogging « Oh le joli string rose » murmure t'il. Tandis qu'il baisse celui-ci, Inés est morte de honte mais elle ne peut rien faire, elle sent totalement impuissante le suppositoire entrer en elle et commencer son action soporifique. Quelques minutes de lutte inutile plus tard Inés s'endort profondément vaincue par le médicament.
Puis l'homme entre dans la chambre d'Emma et dit « Bonjour c'est le pharmacien ».
Emma lui répond « Mes agentes de sécurité sont prêtes à intervenir, je n'ai qu'à appuyer sur ce bouton et elles accourront à mon secours » tout en lui montrant la télécommande.
« Ça m'étonnerais toutes vos gardes ont décidé de se coucher tôt ce soir » lui répond le pharmacien.
Emma se sent mal à l'aise, comme emprisonnée dans sa propre chambre, mais le pharmacien poursuit « Allons détendez-vous regardez-moi »
Emma ne peut pas s'empêcher de regarder les yeux du pharmacien et se trouve fascinée par son regard.
« Oui c'est bien détendez-vous le soin va bientôt commencer, tout d'abord vous m'avez l'air fiévreuse, nous allons prendre la température, mettez-vous sur le dos et remontez votre jolie jupe ».
« Mais vous allez voir ma culotte » dit Emma.
« Ne vous inquiétez pas c'est médicalement justifié » déclare le pharmacien en appuyant son regard.
« Bon si c'est médicalement justifié» Se soumet Emma elle s'allonge sur le dos et remonte sa jupe.
Le pharmacien prend un thermomètre rectal en verre, enlève la culotte d'Emma sans aucune gêne et lui insère l'instrument.
5 minutes plus tard il le retire, « 38,4°C il va falloir mettre un suppositoire » analyse le pharmacien.
Emma semble encore une fois réticente « Un suppositoire mais je ne suis pas constipée »
Le Pharmacien lui répond toujours en appuyant son regard « Il existe de nombreuses formes de suppositoires et pas que pour la constipation, faîtes-moi confiance »
Encore une fois vaincue par le regard hypnotique du pharmacien « Allez-y » dit-elle en écartant les cuisses laissant libre passage à son anus.
Le pharmacien prend donc tout son temps pour la soigner, en lui insérant le bonbon de fesses et en n'oubliant pas de lui serrer ses douces fesses.
Puis une fois Emma soignée il lui demande de se rallonger et quitte la villa, sa mission remplie, tout en laissant les agentes de sécurité dormir telles des anges.
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ggeorgetteh · 7 years
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THE KIDS ARE ALRIGHT
By Grace Halliday
PROLOGUE
EXT- tree lined street, Paris, pigeons and people walking, considerably quiet/ no crowds.
 JULES
(voiceover)
“Quand j’avais huit ans vieux que mon père a moi et mon frère à tout, comme ce parc comme vingt minutes de notre maison et c’était une journée très ensoleillée et le parc était si belle et verte. Voir comme à Paris, son vraiment sale, comme vous voyez tous ces pigeons et les rats, mais ce parc était vraiment sympa, oui”
(When I was eight years old my dad took me and my brother to just, like this park like twenty minutes away from our house and it was a really sunny day and the park was so beautiful and green. See like in Paris, its really dirty, like you see all these pigeons and rats, but this park was really nice, yeah)
 INTERVIEWER
(voiceover)
“And what did you do at the park?”
 JULES
(voiceover)
“Oh, oui, Désolé, euh, alors nous sommes allés à ce parc et mon père m’a mis sur ses épaules et nous marchait dans le flux. Puis mon frère et moi étions en cours d’exécution et en cours d’exécution, et il y avait des papillons... Papa courait derrière nous. Puis nous sommes arrivés à la porte, à l’extrémité du parc, il a été verrouillé, et tout ce vous avez pu voir au loin était grands roseaux, si grand. Et j’ai vu le paradis. Comme, oh mon Dieu (en riant) ne dites pas n’importe qui d’autre cela ! J’ai l’air aussi stupide, mais j’ai vu des lions et oiseaux arc-en-ciel et tout était brillant. Et c’est le moment le plus heureux de ma vie. Je m’ennuie de mon père.”
(Oh, yeah, sorry, um, so we went to this park and my dad put me on his shoulders and we walked down the by the stream. Then me and my brother were running, and running and there were butterflies… Dad was running behind us. Then we came to the gate at the end of the park, it was locked, and all you could see in the distance was tall reeds, so tall. And I saw paradise. Like, oh my god (laughing) don’t tell anyone else this! I sound so silly, but I saw lions and rainbow birds and everything was sparkling. And that was the happiest moment of my life. I miss my dad.)
 INTERVIEWER
(voiceover)
“Do you like ballet?”
 JULES
(voiceover)
“Tu te moques de moi ! Non !”
(Are you kidding me! No!)
   TITLE SCENE
Black screen with blood-red text- ‘Leader of the Pack by the Shangri-las’ playing in the background
 Title- The Kids are Alright
 Screenplay by Grace Halliday
 Directed by Grace Halliday
 Music by-
The Shangri-las
Pytor Ilyich Tchaikovsky
The Beatles
Robert Schumann
T.Rex
Chuck Berry
Alex Turner
 Starring-
Actor as Jules Durand
Actor as Alexandre
Actor as Raphael
Actress as Madame
Actor as Piano man
    SCENE 1
EXT. A French cottage in a hilly mountainous area by the sea. There is smoke coming from the top of the chimney. Madame is making coffee, warming her hands by the fire. There are pictures of herself and her brother on the mantelpiece.
 MADAME
(voiceover)
“L'ENFANCE… est si… décisif. C'est notre terrain d'essai, mais personne ne nous a dit cela. Certains garçons pauvres mis en place à l'échec. Ils sont tous mes garçons ; tout le monde. Vous pointez sur un petit garçon dans cette école et il n'y ! Je sais que son nom, son nom est important pour moi. Je sais qu'ils ont tous des anges à l'intérieur d'eux, et je vois ces anges, quand ils dansent. Mon frère et j'ai utilisé à la danse à travers cette plage, juste en bas du chemin, vous auriez vu en marche. Comme les fées sur le sable nous étions. C'est comme voler, la danse, c'est ce que l'on ressent. Je dis à mes garçons. Je crois que secrètement ils veulent savoir le secret de voler. Mais seulement je sais ! Ils vont découvrir quand ils sont prêts. Lorsque mon oiseau-garçons sont prêt à voler”
(childhood… is so… decisive. It’s our testing ground, but no one ever told us that. Some poor boys set up to fail. They are all my boys; everyone. You point to one boy in this school and there! I know his name, his name is important to me. I know they all have angels inside of them, and I see these angels when they dance. My brother and I used to dance across this beach, just down the path, you would have seen it walking in. Like fairies on the sand we were. It’s just like flying, dancing, that is what it feels like. I tell my boys this. I think secretly they want to know the secret to flying. But only I know! They will find out when they are ready. When my bird-boys are ready to fly)
 Jules walks in to the cottage- wrapped in scarfs, jackets, and wearing mittens. He sends snow flying through the wooden door.
 MADAME
“Vous venez à l'intérieur rapidement silly boy ! Vos muscles se geler !”
(Quickly come inside you silly boy! Your muscles will freeze!)
 Jules wipes feet on the mat and takes off jackets and scarves. He walks to into the kitchen space and looks in her cupboard for food.
 JULES
“Détendez-vous ! Détendez-vous ! Il faudrait quand même me faire de toute façon danse”
(Relax! Relax! You would still make me dance anyway)
 MADAME
“Vous êtes magnifique quand on danse… est-ce que vous avez dit Alexandre il voit sa mère jeudi ?"
(You look beautiful when you dance… did you tell Alexandre he is seeing his mother on Thursday?)
 JULES
“Oui”.
(yes)
 MADAME
“Bon. Son père sera bientôt fini sa phrase... Je pense qu'ils discutent de déménagement en Belgique”
(Good. His father will be finished his sentence soon... I think they are discussing moving to Belgium)
 Jules picks up a chocolate cherry tart and bites into it.
 MADAME
“Vous naughty boy ! Oh, et je suppose qu'on vous a dit qu'elle Maxine a trouvé deux cigarettes dans votre crayon cas hier ? Comment voulez-vous propulsez-vous dans l'air avec un corps fatigué… malade… hein ?"
(You naughty boy! Oh, and I suppose you Maxine told you that she found two cigarettes in your pencil case yesterday? How do you expect to propel yourself into the air with a… sick… tired body huh?)
 JULES
(giggling)
“Oh je ne veux pas laisser à Alexandre ! Il allait me présenter à cette fille qu'il a rencontrés à l'angle shop”
(Oh I don’t want Alexandre to leave! He was going to introduce me to this girl he met at the shop)
 MADAME
“Ouais ? Eh bien bonne chance à son”
(yeah? Well good luck to her)
 Jules laughs.
 Madame Smiles.
 INT. Jules joins Madame on her couch, with his head on a pillow in her lap, Madame stroking his hair. Madame looks out worryingly.
     SCENE 2
INT. the following is a surreal type scene set in a theatre. Schumann’s Waldscenen.9 Clavierstücke, Op.82:7 Vogel als Prophet plays.
Madame and Jules are on a wooden dinghy boat on a dark icy sea. They approach the shore, to find a white beach with ballerina in flowing white dresses dancing across the sand. They watch together, Jules head resting on Madame’s lap. Madame leaves the boat and joins the girls. She motions for Jules to come and join them, but he nods his head and stays on the boat. He looks tired and sea-sick.
 Snowy house.
Black and white theatre/ Charlie chaplin type. Woman motioning.
School windows.
     SCENE 3
INT. Shots of the staircases and quiet corridors of Madame’s ballet school. You notice the beautiful Parisian architecture and spirally staircases, the sun streaming through the art-deco windows.
 MADAME
(in her office, siting proudly in her fur throne-like chair)
“Je sais ce que les gens disent au sujet de cette école. Mais je ne m'inquiète pas. Si ils ont vu les luttes quotidiennes de ces enfants qu'ils s'inclineraient à moi et pleurer, que moi, une femme normale s'avère sauver les jeunes enfants. Nous prenons les enfants de douze à dix-huit ans, ceux qui sont à risque. Je sais ce qui se passe dans ces rues et j'ai toujours dit frère : "regardez-moi ! Je n'aime pas la personne que vous êtes en train de devenir !" (rires) J'ai mes mains sur mes hanches avec un peu d'aire de froufrous sur debout sur un tabouret, en remuant le dîner au-dessus de la cuisinière. J'avais onze ans. "Maintenant, écoutez-moi ! Je suis votre soeur et vous m'aimez tellement que vous devez rester ici, avec moi !" mais que pouvais-je faire pour lui ? Comment puis-je le garder occupé dans notre petit appartement ? C'est ce que ces garçons ont besoin, ils ont besoin de quelque chose pour les occuper, et à construire et pas seulement la force physique, mais la force mentale. Peut-être que je vois mon frère dans l'ensemble de leurs visages tristes et veulent faire tout mieux- peut-être que c'est mon expiation”
(I know what people say about this school. But I don’t care. If they saw the everyday struggles of these kids they would bow to me and weep, that I, a normal woman is saving young children. We take children from twelve to eighteen years of age, those who are at risk. I know what happens on those streets and I always told me brother: “look at me! I do not like the person you are becoming!” (laughs) I would have my hands on my hips with a little frilly apron on standing on a stool, stirring dinner over the stove. I was eleven. “Now listen to me! I am your sister and you love me so you have to stay here, with me!” But what could I do for him? How would I keep him occupied in our little flat? That is what these boys need, they need something to keep them occupied, and to build not only physical strength, but mental strength. Maybe I see my brother in all of their sad faces and want to make everything better- maybe this is my atonement.)
 INTERVIEWER
“But, you were only eleven years old… am I correct?”
MADAME
“Oui”
(Yes)
 INTERVIEWER
“Then, how would you have been able to protect him from the world, from your father… at eleven years old”
 MADAME
“Je… Je ne sais pas… parfois, les garçons vont entrer dans un combat, commençons à poinçons. Ils sont envoyés à mon bureau à 9 h le soir et je suis tellement marre. J'ai réveillé à 2:00 le matin avec cris d'un insomniaque de 13 ans… et parfois je me demande pourquoi j'ai dû passer par ce., pourquoi j'étais celui qui avait pour abriter les garçons perdus de Paris. Je suppose que la protection est une façon de montrer l'amour, il n'est pas la meilleure façon… mais c'est la façon dont j'exprime mon amour : pour mes élèves et mon frère. Cela signifie que j'aime.”
( I… I don’t know… sometimes the boys will get into a fight, start throwing punches. They get sent to my office at 9:00 at night and I get so fed up. I get woken up at 2:00 in the morning with yelling from a thirteen year old insomniac… and sometimes I question why I had to go through this., why I was the one who had to shelter the lost boys of Paris.  I guess protection is a way of showing love, it isn’t the best way… but it’s how I express my love: to my students and my brother. It means I love.)
     SCENE 4
EXT. Montage. Francois Hardy’s Il est tout pour moi plays.
Jules and his two friends, Alexandre and Raphael run out of the school on their break. They jump and yell in the air “Liberté, Equalité, Fraternité!” (Liberty, Equality, Fraternity).
They go into public bathroom and put on thick layers eyeliner and dark eye shadow, leaning over each other to see themselves in the tiny chipped mirror. Then they go into a boutique store- eating chocolates. They sit with chocolate all over their faces, dazed and warm.
They go back to the school on a bus. All three sit on a small seat, heads resting on one another. Alexandre looks out the window, and Raphael and Jules, on either side of him, have their heads on his shoulders. Cuts to a new shot of Jules, Alexandre and Raphael at the back of the bus singing Here Comes the Sun by The Beatles.
 JULES, ALEXANDRE AND RAPHAEL
(singing merrily)
Here Comes the Sun, Here Comes the Sun,
et je dis que c'est bien
 Little Darling, c'est été un long hiver froid seul
petit chéri, c'est que depuis des années il a été ici
 Here Comes the Sun, Here Comes the Sun
et je dis que c'est bien
 Little Darling, le sourire revenant aux faces
petit chéri, il me semble que depuis des années il a été ici
 Here Comes the Sun, Here Comes the Sun
et je dis que c'est bien
 sun, sun, sun, ici il s'agit
sun, sun, sun, ici il s'agit
sun, sun, sun, ici il s'agit
sun, sun, sun, ici il s'agit
sun, sun, sun, ici il s'agit
 petit chéri, je crois que la glace fond lentement
petit chéri, Il semble que depuis des années c'est clair
 sous le soleil, sous le soleil,
et je dis que c'est bon
c'est bon
         SCENE 5
INT. Jules dorm room that he shares with another boy from the school aged 12.Jules opens the door and presents his room to the interviewer.
 JULES
“C'est elle”
(This is it)
 The camera pans around room. There are two beds, all neat and made. The bed sheets are red. There are football posters. Jules side features large posters of Nick Cave. One wall is covered in family photos. A bass guitar sits by the bed. Pillared candles are lit.
 Jules looks around his room.
 JULES
“J'aime Nick Cave. Il est si fantastique. Regardez-le ! Cheveux hérissés, noir comme les corbeaux, les corneilles. Il est comme une créature d'une autre planète. Vous le savez, il n'a jamais lavé ses cheveux, il serait dye il noir, feuilletez-le, puis dowse dans hairspray. Il est cool.”
(I love Nick Cave. He is so fantastic. Look at him! Black spiky hair, like ravens; crows. He is like a creature from another planet. You know, he never washed his hair, he would dye it black, flick it down, then dowse it in hairspray. He’s cool.)
 INTERVIWER
“Who are the other people, in these pictures over here?”
 JULES
“Oh, c'est ma famille”
(oh, that’s my family”)
 JULES
(Jules takes one photo off the wall and points at each person)
"C'est la mère, Ophelia, père, Axel, et ma petite soeur Adrienne. Elle est mignonne n'est-ce pas ?"
(This is mother, Ophelia, father, Axel, and my little sister Adrienne. She’s cute isn’t she?)
JULES
(Jules looks into the photograph, as if lost in a memory)
" De toute façon, suffisamment de trucs gnangnan que"
(Anyway, enough of that soppy stuff)
 (Jules laughs to himself. The other boy in the room laughs with Jules)
 OTHER BOY
(laughing)
“URGGGH ! Ne pense pas à eux, il vous apporte la misère !"
(URGGGH! Don’t think about them, it brings you misery!)
 JULES
"J'aimerais être dix ans de plus"
(I wish I could be ten years old again)
 INTERVIEWER
“Why is that?”
 JULES
“Qu'en est-il avec les adultes et leurs questions stupides ? Pourquoi ne voulez-vous pas être dix encore ? Tout est parfait. Et chaud. Vous n'avez pas de sentiments. Le pas des sentiments troublants de toute façon”
(What is it with adults and their stupid questions? Why wouldn’t you want to be ten again? Everything is perfect. And warm. You don’t have feelings. Not the deep unsettling feelings anyway)
 The other boy nods in agreeance.
 The camera pans the matches on the floor and the football posters on the walls.
 JULES
“Peut-être c'est pourquoi j'ai fait ce que j'ai fait. Je perds feeing. Je n'en ressent que l'loin les choses... comme des fantômes”
(Maybe that’s why I did what I did. I loose feeing. I only feel the far away things... like ghosts)
 Jules sits on the floor with his legs splayed out.
 INTERVIEWER
(voiceover)
“What are you doing”
 JULES
(voiceover)
“S'ÉTEND ! Toute la journée, tous les jours. Vous ne croire à quel point ils s'attendent à ce que nous kick nos jambs”
(Stretches! All day, every-day. You wouldn’t believe how high they expect us to kick our legs)
     SCENE 6
EXT. exterior shot of the grand building. It is 10:30pm
 INT. outside Madame’s office- boys bleary eyed and sleepy. The boys look very sad and there are some holding each other and crying. Some wait by Madame’s office door- emitting a faint glow. They listen to the shouting inside the door. You can hear mumbling, coughs and sniffles.
 JULES
(voiceover)
“Maman l'a dit ! Elle l'a dit ! S'il vous plaît ! Je veux rentrer chez moi, s'il vous plaît… Laissez-moi sortir !”
(Mum said so! She said so! Please! I want to go home, please… LET ME OUT!)
 Int. Madame’s office
 MADAME
“Nous avons des critères stricts. S'ils ne sont pas prêts alors qu'ils ne vont pas. Je sais que Jules mère. Elle est faible ; elle ne sait pas comment traiter avec lui. C'est pourquoi il apprend le ballet. C'est une discipline en soi. J'ai parlé à sa mère et elle n'est pas prêt de l'avoir non plus. Sa fille, Adrienne, Jules petite soeur a de la difficulté à l'école. Le tempérament de son père n'a pas refroidi”
(We have strict criteria. If they are not ready then they are not going. I know Jules mother. She is weak; she doesn’t know how to deal with him. That’s why he learns ballet. It is a discipline in itself. I have spoken to his mother and she isn’t ready to have him back either. Her daughter, Adrienne, Jules little sister is having a hard time at school. His father’s temper hasn’t cooled)
    SCENE 7
INT. Jules dorm room. A weak sunlight streams through the curtains. Clothes litter the floor. Alex Turner’s Stuck on the Puzzle plays.
 MADAME
“Obtenez jusqu... Obtenez jusqu!”
(Get up… Get up!)
 Madame prods Jules wrapped in his covers in his bed. He ignores her.
 MADAME
“Vous avez manqué votre jogging matinal et s'étirer. J'ai eu deux professeurs vous rapport manquant"
(You’ve missed your morning run and stretch. I’ve had two teachers report you missing)
 JULES
“Piss off”
 MADAME
“Jeune homme tu n'as pas intérêt à me parler de cette façon.”
(Young man don’t you dare talk to me that way)
 Madame smacks the mound underneath the covers.
 MADAME
“Trois semaines jusqu'à la performance. Vous aurez l'air comme une oie”
(Three weeks till the performance. You’ll look like a goose out there)
JULES
“"Je ne m'inquiète pas".
(I don’t care)
 MADAME
“"Est-ce que je vais devoir trouver quelqu'un pour vous sortir du lit ? Les filles sont ici, vous serez humilié"
(Am I going to have to get someone to get you out of bed? The girls are here, you will be humiliated)
 Madame briskly walks out of the room.
 INT. ballet practice studio. Girls from a nearby ballet school stand at the bar.
 Jules does the steps and rolls his eyes. He keeps on pinching one of the girls on the bum and blowing air onto her neck, teasing her.
 Jules, in his dress rehearsal makeup and leotard is in the kitchens eating eclairs.
 Jules, crying on his bed- hysterical, yet quiet.
 MADAME
“D'accord, vous avez eu votre jour de congé. Tout est démêlé ?”
(okay, you’ve had your day off. Everything sorted out?)
 JULES
“Oui”
(yes)
Madame walks over to Jules, who is covered in sweat, and gives him an awkward hug and pat on the back.
 EXT. Jules rides his bike in the blue afternoon around the school. The sky is a magnificent painting of blue, purple and pink clouds.
      SCENE 8
INT. the following is a surreal type scene set in a theatre. Miolin’s 3 Gymnopedies plays.
Jules sits in his wooden dinghy by the white beach when he hears yelling behind him. He looks back and sees his two friends, Raphael and Alexandre, and his sister and mother on a beautiful pirate ship filled with candles and a lion at the stern, keeping watch. They sail next to his boat. Jules is about to jump on when Madame grabs his arm, looks at him sadly, and tries to get him back on to the little dinghy. Grumpy, he sits back down in the boat, while Madame frets over him, trying again the interest him in the dancers on the beach.
      SCENE 9
INT. Luhrmann the pianist plays a ballet piece, cigarette dangling from his lips, with a bored expression. He is fat and pretentious. The class stands around the room, catching their breath. Some boys practice steps in the corner. Some hold onto their aching feet.
 LUHRMANN
(Voiceover- in a drawl voice)
“Madame leur a appris eh bien, je vais lui donner cette"
(Madame has taught them well, I’ll give her that)
 In the background Madame is bossing Luhrmann around.
 MADAME
“Changer la clé ! Plus vite… plus vite !”
(Change the key! Faster… faster!)
 LUHRMANN
“Ils ne s'inquiètent qu'ils reçoivent peut-être les plus recherchés après une formation de ballet dans le monde. Savez-vous combien cela leur coûterait si ils n'ont pas mis sur cette façade de la "Oh regardez-moi je suis tellement cassée ! Je veux tuer des gens !" Non, je ne voudrais pas vous dire, vous ne pourriez pas même comprendre combien il est”
(They don’t care that they are receiving possibly the most sought after ballet training in the world. Do you know how much it would cost them if they didn’t put on this façade of ‘Oh look at me im so broken! I want to kill people!” No, I wouldn’t tell you, you wouldn’t even understand how much it is)
 Luhrmann looks the interviewer up and down in distaste.
 LUHRMANN
(voiceover)
“Et maintenant je suis coincé avec ces natures mortes. L'esclave de ce piano dynamité. J'ai été à l'Opéra !”
(And now I am stuck with these low lifes. A slave to that blasted piano. I should have been in the Opera House!)
 A montage of the boys running away with his sheet music, sending him evil eyes during lunch, and begging him to play rude songs on the piano.
 LUHRMANN
“Je n'ai jamais agi comme eux quand j'avais leur âge. J'étais parfaitement normale, stable, enfant de la provinces. Parfois, je me demande pourquoi elle me dérange. Ils sont tellement capricieux”
(I never behaved like them when I was their age. I was a perfectly, normal, stable child from the provinces. Sometimes I wonder why she bothers. They are so temperamental)
 Luhrmann walking to the dance studios, his body heavy from side to side because he is so fat.
 LUHRMANN
“Si il y a une chose que je peux offrir les fripouilles, c'est la puissance expressive, transformatrice de la musique. Je veux qu'à la métamorphose dans le délicat papillons des vallées. Pour les rendre cultivé, à apprendre de l'Art Ancien”
(If there is one thing I can offer the scoundrels, it is the transformative, expressive power of music. I want them to metamorphosis into the dainty butterflies of the valleys. To make them cultured, to learn from the Old Masters)
 INTERVIEWER
“So you want to save them? Is that it?”
 LUHRMANN
“Je suppose que, même si, ils sont joli beaucoup trop loin partis maintenant ne sont-elles pas”
(I guess, although, they are pretty much too far gone now aren’t they)
 Luhrmann laughs wickedly
           SCENE 10
INT. Shots of the quiet corridors- juxtaposed against the crowded and loud dining hall. Tchaikovsky’s Nutcracker No.14 Pas de deux- Intrada.
It is 4:00am and everyone is having breakfast in the dining hall- boys run from tables to table, bleary eyed but incredibly excited. You can see Madame in the corner checking off things on a large, bulky clipboard. It is the day before the performance, the final dress rehearsal.
 In the change rooms, Madame makes final adjustments and fittings to a boys striking bird costume. He does fur perfect turns.
 BALLET STUDENT
“-Mademoiselle, je… Je ne trouve pas mes collants"
(Miss, I… I can’t find my tights)
 MADAME
“Quoi ?"
(What!)
 BALLET STUDENT
“"Je pense que je les ai laissé dans la boutique l'autre jour lorsque j'ai été acheter les appartements"
(I think I left them in the shop the other day when I was buying the flats)
 MADAME
“Savez-vous combien j'ai à faire aujourd'hui ! Je ne peux pas courir autour de Paris juste pour une paire de collants ! Trouver une autre paire, rendez-vous sur les cuisines et les teindre"
(Do you know how much I have to do today! I can’t run around Paris just for a pair of tights! Find another pair, go to the kitchens and dye them)
 BALLET STUDENT
“"Qu'est-ce que je les teindre avec ?"
(What do I dye them with?)
 MADAME
“"Je ne sais pas, essayez une betterave ou quelque chose"
(I don’t know, try a beetroot or something)
 Ballet student looks at camera strangely.
 Luhrmann runs down the hall, dropping piano music as he goes, puffing laboriously.
 In the theatre, boys leap elegantly across the stage.
 The halls are lined with boys stretching in tracksuits and baggy jumpers, makeup half done.
 Jules, Alexandre and Raphael run down the hall laughing.
 On the stage Madame walks around with a ruler, slapping anyone who isn’t doing the right steps.
 In the makeup rooms there is hairspray everywhere, a faint glow coming from the mirrors. All the boys have different bird makeup on. Jules uses hairspray in his hair to complete his black swan look.
 Jules and Raphael add wear wigs and dresses, acting drag to Chuck Berry’s Never Can Tell. They dance provocatively.
 The music changes back to the Nutcracker.
 Behind the curtain boys are shaking with nerves and doing jumps to calm themselves down. Jules and Raphael wait for their queue behind the curtain.
 JULES
“Qui vient vous voir ?”
(Who’s coming to see you?)
 RAPHAEL
“Papa et maman et sa petite sœur. Peut-être même grand-mère. Vous ?”
(Mum and dad and little sister. Maybe even grandma. You?)
 JULES
“"Maman est venue. Elle vous demande si madame elle peut recevoir une copie de l'interprétation ou exécution sur CD"
(Mum is coming. She’s asking Madame if she can have a copy of the performance on CD)
 The boys dance across the stage.
 MADAME
“Jules ! Et les cygnes noirs !”
(Jules! And the black swans!)
 Jules walks onto the stage looking incredibly proud and happy, upmost concentration on his face. Luhrmann rolls his eyes. All the boys watch from the wings.
  SCENE 11
INT. the following is a surreal type scene set in a theatre. Tchaikovsky’s Swan Lake Op.20 Scene plays.
The boat hits the shore of the white beach, the home of the beautiful young dancers. Madame tries to get out, tumbling into the water. The pianist pulls of his shirt and pants, his fat body only left in his shorts and singlet, and dives into the water to the shore. They are both on the shore with the dancers. They are so caught up in what they are doing that they forget about Jules and go and explore the island. Jules gets out of the boat, as if he was a baby again, and these were his first steps. The beach is silent. The girls don’t stop dancing though. They introduce Jules into the dance, and he dances with them as an ordinary boy who is having fun.
        EPILOGUE
EXT. set on a real white sandy beach, with the waves crashing in the distance. The boys from the school look out and walk across the rocks. Some splash water. T.Rex cosmic dancer plays.
 JULES
(Voiceover)
"Je pense que je sais que je ne serai pas quitter ici pendant un moment… c'est juste ennuyeux… comme penser de ma ma et Adrienne. Mais j'ai réalisé que je ne suis pas sûre, et ni eux, quand je suis autour. Mais j'ai fini par accepter. Comme c'est ma chambre et ce sont mes frères et Madame est ma mère. Mais ce n'est pas comme si je suis une créature fragile qui doit être à l'abri et tout. Je me sens plus d'espoir ici, comme je peux changer et que vous souhaitez modifier. Je pense qu'ici je vois que ce que je fais est mal- entendu les spiels ces gars trouver quand nous venons dans un jour fatigué ou stressé. Il y a une centaine de reflets de moi dans ce bâtiment. Et tous les gars de tous les jours étaient juste, qui, ont fait de mauvaises décisions. Nous ne sommes pas encore allé aussi loin que cela, sommes-nous ?"
(I think I know that I won’t be leaving here for a while… it’s just annoying… like thinking of my ma and Adrienne. But I have come to realise that I am not safe there, and neither they, when I’m around. But I’ve come to accept that. Like this is my bedroom and these are my brothers and Madame is my mother. But it’s not like I’m some fragile creature that must be sheltered and everything. I feel more hopeful here, like I can change and want to change. I think here I see that what I am doing is bad- hearing the spiels these guys come up with when we come in tired or stressed one day. There are a hundred reflections of me in this building. And were all just everyday guys, who, have made the wrong decisions. We aren’t that far gone yet, are we?)
 Jules laughs to himself.
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omagazineparis · 5 months
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Alexis Ren, la bombe californienne dans tous ses états
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Alexis Ren est une jeune surfeuse et mannequin d'origine américaine. Elle est née en Californie en 1996 et a grandi a Santa Monica. Pratiquant le surf depuis son plus jeune âge, sport pour lequel elle a un certain talent, elle s'est rapidement dessinée une silhouette avantageuse. Son physique attire plusieurs agences de mannequinat, et ce dès l'âge de 13 ans. Sa carrière de mannequin lui permet de devenir l'une des égéries de Calvin Klein pour la ligne de lingerie du créateur, « My Calvin's ». Alexis Ren est une adepte des réseaux sociaux, et adore poster des photos d'elle dans le plus simple appareil, simplement vêtue de bijoux ou d'accessoires. Elle a été Maxim's cover girl pour le mois d'août 2017 et Maxim's cover girl pour le mois de mars 2018. Elle possède 15,6 millions de followers sur Instagram et 1,5 million de followers sur Twitter. Son histoire avec Jay Alvarrez Ils ont rompu définitivement après 6 mois de rumeurs. Tout a commencé après qu'Alexis ait dit à un fan qu'elle avait rompu avec Jay parce que la relation n'était plus bonne pour son entreprise. Dans une conversation animée sur Twitter, elle a dit que Jay n'était qu'un passe temps et qu'il avait un petit engin. Elle a supprimé les messages mais Internet n'oublie jamais. Jay a répondu en disant que faire en sorte que quelqu'un se sente mal à propos de ce qu'il est ne fait que montrer votre faiblesse. A lire également : Anais Pouliot; le top canadien à suivre Régime alimentaire d'Alexis Ren PAS de pain. Duh, elle est sans gluten. PAS de restauration rapide. Tant mieux pour elle ! Plus de place pour les bols d'açaï. Pas d'alcool. Je ne sais pas quoi dire à propos de celle-ci à part qu'elle boit 2 litres d'eau chaque jour. PAS de viande rouge. Détendez-vous, elle mange encore d'autres viandes, juste une petite quantité. PAS de repas après 19h. Je suppose qu'elle n'est pas une couche-tard. PAS beaucoup de sucre. C'est une donnée. AUCUN fruit après le déjeuner. Étrange, je devrais lui poser des questions sur celui-ci. Fruit. Beaucoup d'ananas, de fraises, de pastèque, de papaye et de mangue pour des smoothies et des bols d'açaï à n'en plus finir. Kale Chips. "Oh, chou frisé ouais!" Poudre de protéine végétalienne. Pshh, comme son programme d'entraînement, ça ne suffit pas ? ! Mélange montagnard (sans M&M's). Allez, c'est comme la seule partie que je mange. Glace à la banane. Elle l'appelle de la crème glacée, tandis que je l'appelle comme je le vois - des bananes mélangées à du lait d'amande. Salade (avec citron et poivre). À ce stade, il n'y a pas assez de salades dans le monde pour ce genre de corps. Burgers végétariens (enveloppés de laitue avec avocat). Read the full article
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