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#designer engagé écologie
nedgis · 8 months
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Entre lumière, technologie et nature : qui est Mathieu Lehanneur, Designer de l’année 2024 ? 
En cette année prometteuse de 2024, le français Mathieu Lehanneur se distingue en tant que designer de l’année et est honoré par le salon Maison&Objet de janvier 2024. Cette reconnaissance s’accompagne de la conception emblématique de la Torche des Jeux Olympiques de Paris, ajoutant une dimension lumineuse à son parcours déjà impressionnant… Mathieu Lehanneur transcende les frontières entre…
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lekol-maron · 4 years
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Manifeste de Lékol maron
Lékol maron, en tant que projet et espace artistiques, se base sur l’affirmation de Nicolas Bourriaud selon laquelle on peut « considérer l’échange interhumain en tant qu’esthétique à part entière ». Le lieu et les interactions qui s’y créent font œuvre. C’est le contexte qui prime.
"In lékol maron" est, à l'origine, en créole réunionnais, une école non-officielle, où étaient donnés des cours pendant les vacances, généralement chez une dame, qui avait les connaissances nécessaires pour enseigner, mais agissait hors le cadre institutionnel. Pour moi, Lékol maron est un projet et un espace artistiques basé sur la création et le partage, se tenant sous le chapiteau d'estampe, dans la cour de l'Ecole supérieure d'art de La Réunion. Dans la suite d'un mouvement de grève qui avait paralysé l'ESA-R plus d'un mois fin 2019, le projet s'est inscrit comme une réponse dissidente à la crise (dans un premier temps, proposition de débats sur le thème de l'école d'art). Le but du projet est de promouvoir le vivre ensemble et d'initier un changement constructif. Le troc de savoirs et le partage de connaissances sont, ici, plus que jamais d’actualité.
Échange horizontal / Partage d’expériences
A Lékol maron, on ne partage pas ses talents, mais plutôt des savoirs ou des savoir-faire que l’on maîtrise, ou non. Le savoir est mieux assimilé quand il respecte les lois naturelles de l’apprentissage (mobiliser le corps, les fonctions du langage, la transversalité, la répétition, mettre en avant les choix de l’apprenant (1)).
Pour apporter un complément à une transmission souvent unilatérale, on n’insistera jamais assez sur le rôle des échanges – souvent les plus formateurs – hors les cours et hors les murs. Le savoir n’est pas détenu par une élite culturelle et intellectuelle, les connaissances populaires sont aussi dignes d’intérêt, et méritent d’être partagées par des gens de tous âges et de tous bords.
Le projet de Lékol maron, ce serait avant tout d’activer les échanges internes, ces échanges d’artiste à artiste, d’égal à égal : toi, tu sais coudre, ce que moi j’ignore faire ; par contre, moi, je suis fort en danse, et toi non. Alors toi, tu m’apprendras la couture, et moi, je te montrerai mes chorégraphies préférées. On pourrait ainsi se transmettre des choses que l’on n’apprendra jamais en cours, les choses qu’on a toujours voulu savoir, en construisant un organe de transmission parallèle. Chaque corps crée de nouveaux gestes, de nouvelles manières d’agir. Comme le disait Joseph Beuys : “Nous sommes tous des artistes. Et si nous ne savons pas tous faire ce qu'on appelle de belles sculptures ou de belles peintures, nous sommes néanmoins tous capables de créer !”  (2)
Tout le monde peut intervenir et partager ses idées : artistes jeunes, étudiants, artistes moins jeunes, enseignants. Mais ici, il n’y aura pas de hiérarchie, simplement des êtres humains généreux et curieux d’apprendre, comme de transmettre. Les expérimentations répétées nous permettront aussi d’accéder à un savoir plus large.
Equipe
Je propose, vous disposez : chacun.e est libre de suggérer des modes d’action et de prendre des initiatives. Ainsi, chacun.e pourra décider de quel savoir ou savoir-faire il pourra faire profiter aux autres, en proposant : un débat, une projection, un partage de références, l’écriture d’un projet commun, etc.
Structures proposées
Récupérathèque
Le sens premier du terme économie, selon le philosophe Alain Deneault, est l’exploitation intelligente des ressources en accord avec son environnement. Le terme écologie vient des sciences, il s’agit de la science de la nature. Il est utilisé pour pallier l’emploi généralisé du terme économie pour des modèles de société ne respectant pas la nature. Ici, on pratiquera l’économie de la nature. La Récupérathèque sera le poumon vert de notre école, le pilier fondamental de notre dynamique. “Une Récupérathèque est un magasin collaboratif de matériaux de réemploi au sein d’une école de création (arts, architecture, design, stylisme, arts de la scène, etc) fonctionnant avec sa propre monnaie ou son propre système d’échange, et visant à favoriser la durabilité, la solidarité, et la création de lien social.”, selon la Fédération des récupérathèques, qui en rassemble 13 dans toute la France. Le principe est simple : récupérer tout ce qui peut être réutilisé, dans l’enceinte de l’ESA, et chez des partenaires, et proposer aux étudiants de choisir ce dont ils ont besoin. Les matériaux pourront être troqués. On expérimentera donc le troc sous toutes ses formes.
Nota bene Le troc est l’action d’échanger un bien ou un service contre un autre sans utiliser d’autre moyen d’échange, comme de l’argent. Une économie de troc diffère d’une économie classique sur plusieurs points. Le Premier point, c’est que les biens et les services sont échangés immédiatement, et que l’échange est réciproque, c’est à dire que c’est un échange juste pour les deux parties.
Économie circulaire
À Lékol maron, le recyclage et la revalorisation des déchets, ainsi que le jardinage bio et le développement d’une pensée en accord avec la “sobriété heureuse” évoquée par Pierre Rabhi, seront la priorité numéro un. Ce que le gouvernement n’est pas capable de promouvoir et de chérir, nous en ferons notre cheval de bataille. Nous pourrons ainsi remettre au goût du jour, des pratiques ancestrales telles que le troc et le service rendu. Un dessin pourra s’échanger contre une One minute sculpture (Erwin Wurm) ou un plant de tomate. Nous recyclerons aussi bien nos pièces (artistiques) que nos barquettes usagées et autres déchets. Nous promouvrons le raté comme moteur indispensable de la création, sinon comme but (comme chez Robert Filliou, bien fait = mal fait = pas fait). Tests de matière, assemblages improbables et autres combinaisons douteuses s’entasseront dans notre Récuperathèque avant de trouver preneur. Ainsi, je peux commencer une pièce que tu finiras, ou encore, nous pouvons, ensemble, réfléchir à un concept commun.
Jardin (s)
Je pense qu’il serait bienvenu, dans un contexte de chaleur, tous les ans plus insupportable, d’organiser un verdissement de l’école. Nous pourrions militer pour un environnement luxuriant et accueillant, en un mot : ombragé. De nombreux projets, pour un bien-être effectif, qui viserait également à repeupler l’école, qui a connu des jours plus animés. On pourrait également travailler à  une coopération réelle entre les deux écoles habitant l’endroit (école d’architecture / école d’art), projet qui pourrait venir se greffer à celui de jardin : l’ouverture d’une cafète, l’organisation de soirées et l’invitation de membres extérieurs à l’ESA et à l’ENSAM… Je rêve de démonter les chapiteaux qui bouchent la vue sur le ciel, et nous empêchent de respirer et de rêver. Pratiquons d’énormes trous dans ce béton inhospitalier, et plantons-y des arbres fruitiers, des arbres de vie, des végétaux en lien avec l’histoire locale et le savoir séculier. Ensemble. A l’avenir, Lékol maron pourra se tenir sous un arbre à palabres.
Repenser le monde
Les pratiques de la sociologie, de l’anthropologie, des sciences, de la littérature, etc., offre autant de méthodes et d’outils, en relation avec l’actualité et nos pratiques respectives. Repenser ces méthodes et outils ensemble et les activer, sur le mode de l’échange, au sein de notre école, pour les faire mûrir, sera le plaisir de tous les écoliers marons qui se joindront au projet.
Programme
Créolité : définir les origines et les usages du mot “maron”, de ���lékol maron” et promouvoir la littérature réunionnaise et d’outremer. Interroger les origines du troc dans le “tan lontan” à La Réunion. Low tech : Pratiquer des techniques prosaïques et anciennes, comme le crochet, le tricot, et tout ce qui ne requiert que peu d’investissement et de technicité. Jardinage bio : planter ensemble, des choses qui se mangent et/ou qui font du bien au corps et à l’esprit. Débats : discuter de l’actualité, de féminisme, d’écologie et d’art engagé. Cinéma : proposer des projections de films indépendants et d’auteur, en relation avec le Service de Documentation. Lectures : Proposer des lectures commentées de livres provenant de nos propres ressources documentaires ou du Service de Documentation.
Nora Ottenwaelder, L3, ESA-R, décembre 2020
Notes
(1) voir Les lois naturelles de l’enfant, de Céline Alvarez, qui, pour moi, s’applique également au contexte estudiantin (2) cf « La sculpture sociale de Joseph Beuys » Par JACQUES MICHEL, in Le Monde (https://www.lemonde.fr/archives/article/1981/01/29/la-sculpture-sociale-de-joseph-beuys_2718778_1819218.html)
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websitephilau · 5 years
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Appel à articles
Terminé
Le Philotope n°14 : « Les synergies à l’œuvre pour faire-recherche en architecture »
Numéro piloté par Céline Bodart et Chris Younès
Le RST PhilAU souhaite donner la parole aux doctorant-e-s, post-doctorant-e-s ou jeunes chercheur-euse-s pour explorer les synergies à l'œuvre dans les dynamiques de recherche émergente ou doctorale ou post-doctorale en architecture, urbain, paysage, territoire, que ce soit en termes de discipline, d'interdiscipline, de rencontres, de méthodes, de terrains ou d'expérimentations. Ce prochain numéro 14 du Philotope constitue le deuxième volet d’un triptyque du programme triennal du RST PhilAU sur la notion de ‘Synergie’, après la journée d’études à la Cité de l’Architecture « Synergic Design » en novembre 2017, et avant le colloque international « Synergies Architecture & Philosophie » en décembre 2020 à l’ENSA de Clermont-Ferrand. Penser synergie, c'est penser les interactions et les processus en jeu. L'objectif est de témoigner des questionnements croisés, des hybridations, des transferts et des interférences, ouvrant largement le spectre des effets produits – qu'ils soient positifs ou négatifs, désirés ou subis – afin d'en montrer le caractère critique et heuristique. Interroger les synergies à l'œuvre dans nos pratiques de recherche, c'est une manière de partager des expériences liant des questions théoriques avec des trajectoires singulières. Et si pointe ici la voie scientifiquement proscrite du personnel et de l'anecdotique, il faut apprendre à s'y aventurer, risquer de l'emprunter pour rendre compte de ce qui s'y fabrique. Toujours à la marge de ce qui se trace comme le récit dominant et convenu de la recherche, l'anecdote est moins parasitaire que nécessaire ; elle « nous rend les choses spatialement proches, elle les fait entrer dans notre vie[1] ». Plus encore : « vive l'anecdote, car elle est en prise sur l'essentiel[2] »… pour dire ce qui se vit aujourd’hui dans le « faire-recherche en architecture »…
Faire-recherche…
Depuis plusieurs années, en architecture, le faire est effectivement à l'honneur. Dans l'enseignement du projet, de nombreux ateliers et workshops remettent au goût du jour des dispositifs pédagogiques qui encouragent l'expérience physique et directe de la pluralité des modalités du faire de l'architecture ; dans la pratique professionnelle, se multiplient les initiatives qui tentent (par nécessité ou volonté) de déjouer les codes de la commande classique en engageant un entremêlement étroit des phases de conception et réalisation afin d'occuper et réinventer l'ensemble du processus de transformation ; et dans la recherche, en forçant de rebattre les cartes des traditionnels positionnements épistémologiques et méthodologiques, les promesses du « by design » ont véritablement pignon sur rue. Cet engouement autour du faire est loin d'être un phénomène qui ne concernerait que les pratiques de l'architecture ; au contraire même, le faire est dans l'air du temps, y laissant résonner le bruit de fond d'un monde inquiet et soucieux de pouvoir se (re-)donner les moyens de répondre à ce qui lui arrive. Pour les pratiques plurielles de l'architecture, le faire apparait désormais comme un motif récurrent, un motif animé par la volonté et la nécessité de défaire les présumées seules façons de faire ; défaire et faire hésiter nos habitudes d'œuvrer, former et penser ; défaire et remettre en jeu le travail de l'imagination en se méfiant de tout « c'est comme ça qu'il faut faire parce qu'on a toujours fait comme ça ».
Le faire est donc avant tout affaire de transgression. Il s'instaure selon des rapports de transgression des limites établies par l'habitude, la tradition et les institutions ; non pas une transgression qui dissout ou confond de telles limites, mais plutôt les donne à penser en entretenant avec elles un « rapport en vrille dont aucune effraction simple ne peut venir à bout[3] ».
Autour de ce motif du faire et au détour de ses nombreuses reprises, il est question à présent d'en suivre plus spécifiquement les fils à travers la fabrique de la recherche en architecture. Non pas « la recherche par le faire » (qu'il s'agisse de recherche-création, recherche-action ou autres modes de recherche par-le-projet), mais plutôt comment se fait, se fabrique, s'invente et se bricole la recherche en architecture ? Comment se façonne-t-elle et selon quels rapports de transgression aux limites du academically correct ? Osons ouvrir la boîte noire du faire-recherche. Quand ça hésite ou ça piétine, quand ça surprend ou ça déçoit, qu'est-ce qu'on fait ? Quels sont nos « trucs » pour réajuster nos pratiques et hypothèses, pour repenser nos manières de faire-recherche et réinterroger ce qu'elles peuvent nous faire faire, faire dire, faire sentir, faire penser ? Ouvrir la boîte noire, pour démystifier le sérieux prétendu et imposé par ce vieux souvenir d'une recherche perchée sur sa tour d'ivoire. Ouvrir la boîte noire, et aller y chercher ces moments où ça dérape, où ce qu'on nous avait vendu comme des méthodologies sûres et prêtes-à-l'emploi ne tiennent tout simplement plus la route. Ouvrir la boîte noire et, face aux bricolages que nous y trouverons, des plus raffinés au plus crasseux, ne plus avoir pour seul réflexe de descendre en flèche toute prétention épistémologique de la recherche en architecture, mais au contraire interroger comment celle-ci s'invente et s'apprend en se fabriquant chemin faisant. Quand et comment se construit la rencontre avec d'autres formes de savoirs (non-)disciplinaires pour équiper conceptuellement et/ou physiquement son terrain de recherche ? Quand et comment s'élabore la volonté d'explorer plus d'une forme d'expression pour donner à voir et à penser les spécificités, ambiguïtés et subjectivités de ses objets de recherche ? Quand et comment s'énonce le besoin d'expérimenter d'autres genres d'écriture pour rendre compte de manière critique et créative de ce qu'on fait et défait ?
Faire (re-)réfléchir nos pratiques en termes de synergies, c'est aussi explorer des pistes ouvrant des possibles d'un autre type dans la fabrique en recherche d'écologies créatives des pratiques de l'architecture. Pour la philosophe des sciences Isabelle Stengers, « l'écologie des pratiques », c'est « un outil pour penser ce qui est en train d'arriver » ; un outil qui entretient la singularité des pratiques et opère en composant avec leurs différences ; un outil non neutre, qui prend soin de ce qu'il peut faire advenir et transformer ; un outil situé, qui se fabrique par et pour une situation problématique spécifique, refusant de participer à la mise en circulation de quelconques solutions prêtes-à-l'emploi[4]. À sa suite, la théoricienne de l'architecture Hélène Frichot reprend le concept par sa mise au pluriel, questionnant comment les pratiques architecturales peuvent engager de nouvelles formes d'écologies d'actions[5] : entre le drawing (renvoyant autant au domaine de la conception qu'à celui de la formation et de l'enseignement du projet), le writing (renvoyant à la recherche et toutes ses médiations, qu'elles soient discursives ou non), le building (renvoyant aux pratiques professionnelles, ainsi qu'aux transformations nécessaires de leurs manières de (re-)construire le devenir des milieux habités), comment inventer et expérimenter de nouveaux liens esthétiques, éthiques et politiques, de nouveaux dialogues créatifs et effectifs, fictifs et critiques ?
Dans le cadre de cet appel à contributions, nous proposons à des chercheur-e-s, engagé-e-s dans des recherches doctorales ou post-doctorales, ou émergentes, de prêter attention à ces modes écologiques de (re-)construction entre les pratiques : quelles sont ces synergies à l'œuvre dans le renouvellement des modes de co-existence et d'inter-action entre les pratiques en charge de la transformation des milieux, qu'elles soient architecturales, territoriales ou paysagères, et qu'elles s'amorcent depuis les champs de la recherche, de l'enseignement ou de la pratique.
  Attendus et calendrier
§  Remise d’une proposition d’article (5000 à 8000 signes maximum) explicitant les enjeux théoriques et méthodologiques de telles synergies préfigurant le futur article final, accompagnée des références bibliographiques ciblées et d’une courte biographie de l’auteur-e (une demi-page maxi).
§  Au plus tard le : 2 février 2020
§  À l’adresse : [email protected]
§  Examen des propositions par le comité de lecture et de sélection composé des personnalités suivantes :  
.           Céline BODART (Architecte, Docteure en architecture, Maîtresse de Conférences Associée ENSAPLV et Université de Liège, GERPHAU- EA 7486)
.           Xavier BONNAUD (Architecte, Docteur en urbanisme, Professeur ENSAPLV et Ecole Polytechnique, directeur du GERPHAU-EA 7486, membre ARENA)
.           Céline BONICCO-DONATO (Docteure en philosophe, Maîtresse de Conférences ENSAG, équipe CRESSON UMR AMBIANCES ARCHITECTURES URBANITES)
.           Aglaee DEGROS (Urbaniste, Professeure et Directrice de l’Institut d’Urbanisme, Université de Technologie de Graz)
.           David MARCILLON (Architecte, Directeur du RST PhilAU, Maître de Conférences ENSACF, RESSOURCES)
.           Jean-Baptiste MARIE (Architecte, Professeur ENSACF, Directeur de l’équipe de recherche RESSOURCES, Directeur du programme POPSU au PUCA)
.           David VANDERBURGH (Architecte, Professeur UC Louvain, Vice-doyen LOCI, membre ARENA)
.           Chris YOUNES (Philosophe, Professeure ESA, Présidente du conseil scientifique RST PhilAU, GERPHAU - EA 7486, associée RESSOURCES, membre ARENA)
§  Les réponses et avis du comité de lecture seront diffusés le : 2 mars 2020
§  La date limite d’envoi des articles définitifs par les auteur-e-s retenu-e-s : 15 mai 2020
§  Les articles seront publiés dans le n°14 du Philotope en septembre 2020 et les auteur-e-s pourront être par ailleurs invité-e-s à participer au 3ème volet du programme ‘Synergic Design’ du RST PhilAU – Colloque International ‘Synergies Architecture & Philosophie » en décembre 2020 à l’ENSA de Clermont-Ferrand.
Références: 
[1]   Walter Benjamin, Paris capitale du XIXe siècle. Le livre des Passages. Paris : Cerf, 1989, p.561
[2]    Barbara Cassin, Eloge de la traduction : compliquer l'universel. Paris : Ed. Fayard, 2016, p.73
[3]    Michel Foucault, « Préface à la transgression » (1963), in Dits et écrits, 1954-1988, Tome 1. Paris :Gallimard, 1994, p. 237.
[4]    Isabelle Stengers développe ce concept dans sa série des Cosmopolitiques, publiée en sept volumes entre 1996 et 1997 (Paris : La Découverte, Les Empêcheurs de penser en rond) ; réédité en deux tomes à La Découverte (2003). Voir également Isabelle Stengers, « Introductory Notes on an Ecology of Practices ». In Cultural Studies Review, Vol. 11 N°1 : Desecration, 2005, pp.183-196.
[5]    Hélène Frichot, Creative Ecologies : Theorizing the Practice of Architecture. London : Bloomsbury, 2019.
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