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#diamante brillante
orbesargentina · 2 months
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https://marcasdelmundo.com/tiffany-co-joyas-iconicas-y-tendencias/
Tiffany & Co. es más que una simple marca de joyería; representa un símbolo de elegancia y calidad que ha perdurado por más de 180 años. Desde su fundación en 1837, la marca ha sabido construir una exclusiva identidad a través de sus diseños atemporales, destacándose en el mercado por su compromiso con la artesanía excepcional y el uso de materiales de la más alta calidad. Un factor crucial en su ascenso a la fama es su distintivo color azul, conocido como «Tiffany Blue», que ha trascendido el ámbito de la joyería y se ha convertido en un ícono de lujo y sofisticación.
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schmuckschmied · 2 years
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Ringpaar mit Brillant, Gold
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tinta-y-cometas · 5 months
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Entre más decepciones acompañan tu vida aprendes a distinguir que hay diamantes entre los carbones y que hay carbones que por más que esperes jamás serán diamantes, y ni siquiera servirán para darte un poco de calor por más que les entregues tu braza más brillante.
Efimera Lunar Intemporal
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black-beauty-poetry · 6 months
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Incluso si tomamos caminos separados, yo seguiré cuidándote desde donde esté para no perderme de tus triunfos y celebrar los pasos que traces en la vida profesional que tanto sueñas, que me has contado con ojos brillantes y con la promesa de que te esforzarás para vivirla.
Yo seguiré apoyándote, seguiré deseándote lo mejor, incluso si lo nuestro va cuesta abajo.
El día que lleguemos a terminar, por favor, no me veas como un ex al cual odiar porque yo no te guardaré rencor, ni planearé una venganza o te haré ver como la peor.
No me quejaré de haberte conocido porque eres lo mejor que me ha pasado.
Y todos los que me conozcan podrán decirte lo orgulloso que estaré de ti cuando logres tus metas y propósitos.
Mereces que te celebren. Tu mente, tu pasión, son diamantes.
En tus graduaciones, independencia, proyectos realizados, empleos conseguidos, ascensos...
Siempre me verás allí: aplaudiéndote en cada sueño que se te haga realidad.
-Dark prince
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"Peigne" d'Henri Dubret en or ciselé, corne, émail à jour et brillants (circa 1902), "Plaque de Cou" attribuée à Emile Saint-Yves en argent doré et émeraudes (1895), "Broche-Plaque" de René Lalique en or, émail et diamants (circa 1900), "Plaque de Cou" attibuée à Emile Saint-Yves en argent doré et opales (circa 1900) et broche "Branches de Saule" de René Lalique en or, verre moulé, émail et pierres de lune (circa 1902-04) au vernissage de l'exposition "Un Art Nouveau. Métamorphoses du Bijou, 1880-1914" à L’École des Arts Joailliers, juin 2023.
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sinfonia-relativa · 11 months
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Hasta el diamante más perfecto y brillante se opaca, como nuestro amor que oscurece y muere con cada palabra que dices. Se vuelve gris todo entre los dos, solo existen sombras donde antes había color rosa, y el odio inunda nuestra cama y nuestra casa, nuestras vidas.
GUERRERA LUNAR
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chic-a-gigot · 1 year
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Cover details.
Le Petit écho de la mode, no. 38, vol. 20, 18 septembre 1898, Paris. 1. Chapeau Wanda. (Modèle de la Maison Lenthèric, 245, rue Saint-Honorè, Paris). Broche-tortue-prime à 5 fr. 95 franco. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Chapeau Wanda, en paille de soie, très relevé devant, doublé de dentelle légèrement froncée et garni d’un nœud de dentelle et d’un pouf de plumes.
Voici encore une charmante nouveauté qui fera le bonheur de toutes nos lectrices. Notre merveilleuse petite broche, dont le dessin ci-contre ne donne qu’une faible idée, sera très appréciée grâce à son modeste prix et à son exécution vraiment artistique.
Broche-tortue-prime à 5 fr. 95 franco par la poste. Carapace toute constellée de brillants magnifiques lançant les mêmes feux que le plus pur diamant, petites pattes dorées et yeux émeraudes.
Wanda hat, in silk straw, very high at the front, lined with slightly gathered lace and trimmed with a lace bow and a feather pouf.
Here is yet another charming novelty that will delight all our readers. Our wonderful little brooch, of which the drawing opposite gives only a faint idea, will be very appreciated thanks to its modest price and its truly artistic execution.
Turtle brooch-premium at 5 fr. 95 francs by post. Carapace all studded with magnificent brilliants throwing the same fires as the purest diamond, small golden legs and emerald eyes.
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ekman · 10 months
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Tu les emmerdes, mon Gégé, et tu as raison. Tu leur pisses à la raie, à tous ces hypocrites, ces faux-derches, ces peine-à-jouir. Toi, tu es le Gégé et personne n’a le droit de te le reprocher. Tu traverses la vie à 5 grammes parce que la vie te fait chialer depuis toujours. C’est comme ça. Du temps où tu plaisais encore à tous ces empaffés, à l’époque où ta consommation de coke très parisienne ne les dérangeait pas, ils disaient que tu étais un comédien “hyper-sensible”, “à fleur de peau”, “entier”. Ah ça oui, pour être entier, tu es entier. Avec un chibre estimé à deux kilos en temps de guerre, on ne doute pas que tu le sois. “Hyper-sensible” donc... Mais c’est pour cette raison que tu as fait comédien plutôt que déménageur, garde du corps ou cuistot. Pas besoin de tortiller du cul aux Inrocks ou de tâter de la bite chez Libé pour comprendre ça. Tu ne t’en caches pas. Zéro fausse pudeur, aucune gêne feinte, pas de virilisme à la con : l’existence te fait chialer. Ton enfance, ta mère, ta vie de merde en Touraine, les paings reçus et donnés, la cabane, ta réussite, ta faillite, tes succès, tes ratages, au ciné, dans la vie, tout en fait. Parce que tu es un diamant délicat, brillant, enchassé dans le corps d’un guerrier Gaulois de 128 kilos. Forcément tu fais du bruit, tu déplaces de l’air, tu gueules, tu les engueules, tu les agaces avec la Belgique, avec ton pote Poutine et ta Corée sinistre. Gégé, tu bouffes plus, tu dévores. Tu bois comme un trou noir, tu bandes à tout bout de champ, tu baises avant de t’écrouler, tu ronfles, tu loufes et maintenant, avec l’âge qui vient, tu te réveilles dans ton vomi ou tes déjections. Mais moi je t’aime, mon gros Gégé. Malgré le bruit et les odeurs. Oublie les ratés, les envieux, les violées amnésiques, les réseaux anti-sociaux, les médias pourris. Continue à nous parler de chatte échaudée, de petit cul, de clitoris tumescent et de foutre en cascade. D'aubes merveilleuses, de déchirements atroces, d'amours sublimes et de crépuscules tragiques. De toute façon, ils ne savent même pas de quoi tu parles. Toi et moi, mon Gégé, nous sommes de la même génération. Les quilles à la vanille, les gars au chocolat. Notre trajectoire, tantôt glorieuse, tantôt foireuse, on la revendique, on l’assume. Notre quéquette, pour ce qu’elle vaut, tout bien pesé, on la porte encore fièrement en bandouillère. On est comme ça. On cite Homère mais on pète entre potes. Et surtout – surtout ! On les emmerde ! J.-M. M.
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monoclegraphic · 4 months
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⸻ DEETZ ❤️‍🔥
Je fais généralement pas de pub pour mes pré-liens sur tumblr, mais j'avais envie de faire un moodboard pour la famille de ma Teddy. Transmettre la vibe que j'aime tant dans cette famille dysfonctionnelle. Alors pourquoi pas faire découvrir celle-ci et qui sait trouver des personnes pour interpréter les personnages manquant !
tw : négligence parentale, famille dysfonctionnelle, pauvreté
Femme qui ne se sent pas à sa place, celle qui arpente les bars un verre à la main. Sourire carmin qui attire ceux qu’elle désire. Elle n’a rien de vénale, loin de la croqueuse de diamants qu’elle aurait pu être. Elle est simplement cette femme qui rêve de compagnie. Besoin d’amour avant tout. Lorsque cela arrive, elle aime un peu trop. Se délectant des paroles d’un homme qui partira au premier cul plus attirant. Avec le temps Nicole perd ses amants, mais gagne des enfants. Trois filles. Trois magnifiques filles. Elle pourrait avoir tout l’amour dont elle a besoin avec elles, mais ce n’est pas ce qu’elle recherche. Alors chaque enfant apprend à vivre seul, puis ensemble. Tout le quartier connaît les Deetz, les trois fillettes qui jouent plus souvent devant la maison qu’à l’intérieur. Celles qu’on accueille chez soi pour leur offrir un bon repas alors que maman racole encore dans les bars ou accumule plus d’heures au travail. Elles sont brillantes ces gamines, attachantes, les voisins les protègent des loups, mais elles ne sont pas vraiment en danger. Après tout, quel danger pourrait les atteindre si elles ne sont rien ? Jim. C’était son prénom. Il est le seul qui porta son attention sur les fillettes de celle qu’il aimait. Cette femme compliquée qui avait besoin d’amour. Si lui était le premier à réellement l’aimer, elle ne l’a jamais autant apprécié que les autres. Peut-être était-il justement tellement amoureux qu’il n’avait pas le même intérêt pour elle. Teddy l’a toujours vu comme un père, même ses sœurs le voyaient ainsi. S’il n’est resté que peu de temps dans la vie de leur mère, Jim est devenu le père qu’elles n’ont jamais réellement eu.
MÈRE & FILLE | JIM MÈRE & FILLE | JIM MÈRE & FILLE | JIM
Personnages joués sur le forum back to the future !
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elvagopit · 7 months
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Poema: Me llamo metanfetamina.
Destruyo hogares y fragmento familias enteras. Te quito a tus hijos, y ese será sólo el principio. Soy más brillante que un diamante, más preciado que el oro dorado. El sufrimiento que provoco es peor que la pesadilla de un loco.
Si me necesitas, soy fácil de encontrar. En cualquier ciudad, a cualquiera hora, le doy maldad a cualquiera que implora.
Vivo con los ricos. Vivo con los pobres. Vivo con tu ser más amado, tal vez en la habitación de a lado.
Soy hecho en un laboratorio, pero no el que te imaginas. Puedo ser hecho en cualquier casa, detrás de las cortinas.
En la cajuela de un coche, incluso afuera en la noche. Puedo destruir una nación, sólo usa tu imaginación.
Tengo mil nombres. Estoy segura de que has oído hablar de mí. Me llamo metanfetamina de cristal.
Mi poder es increíble, prueba y te sentirás invencible.
Prueba una vez, y tal vez te deje ir. Prueba dos veces, y da por hecho que tu alma ya me pertenece.
Una vez que te posea, vas a robar, mentir, manipular, incluso matar. Harás lo que sea necesario, sólo por una dosis más.
Los crímenes que cometerás por mí sueño narcótico no harán reír ni al más cínico cómico.
Le mentirás en la cara a tu madre, le vas a robar a tu padre. ¿Lo peor? Cuando veas sus lágrimas, ni siquiera estarás triste.
Olvidarás tus valores y cómo te criaron. Pensaré por tí, te enseñaré cómo moverte. Sigiloso en la noche, oculto de las criaturas que tu patética mente psicótica ha creado. Buscando cámaras en las paredes mientras susurras cosas sin sentido.
Le quitó sus hijos a los padres, y le quito los padres a los hijos.
Te lo voy a quitar todo. Tu amor propio, tu orgullo y tus logros. Todo por lo que has trabajado, y todo por lo que trabajarás.
Lo vas a perder todo. Tu salud, tu dinero, tu control, tu mente, tu cuerpo, tu familia. Quedarás aislado y solo.
Te voy a quitar todo hasta que ya no te quede nada por dar. Cuando finalmente termine contigo, agradece si sigues con vida.
Si me pruebas, estás advertido. Da por seguro que te voy a quitar la cordura.
Las pesadillas que te daré asustarán hasta al más frío asesino. Las voces y las sombras en la oscuridad.
Los delirios y la paranoia.
Las taquicardias, el sudor, los temblores, los ataques de pánico, las visitas a urgencias, sangrado nasal, riñones destrozados.
Todos esos son mis regalos.
Vas a tratar de dejarme. Pero a esas alturas, sabrás en lo más profundo de tu bastarda alma que ya me perteneces. Jamás volveremos a estar separados.
Te vas a arrepentir de probarme, todos los hacen. Pero no me culpes a mí. Yo no te busqué, fuiste tú a mí.
No debiste probarme. ¿Cuántas veces te advirtieron? Pero subestimaste al mismo diablo.
Sólo tenías que decir no, y seguir con tu vida. Si pudieras volver a ese día, ¿Qué responderías?
Yo seré tu amo, y tú serás mi mascota. Si quieres hasta iré a tu funeral.
Puedes probarme por diversión, pero no soy un juego.
Te voy a hacer sentir tanta miseria y dolor que las palabras jamás podrán explicar.
Vamos, toma mi mano. Déjame guiarte al infierno.
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abdou-lorenzo · 9 months
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La beauté
est un tamis
de la vie
Elle monte sur le dessus
des grains de la lie
comme un petit
diamant
miroitant
La beauté
est la nécessité
du brillant
dans le plus petit grain
du tout et du rien .....💞✨✨
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juguitodecaja · 3 months
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. # ⠀𝐓𝐎𝐑𝐓𝐔𝐑𝐄𝐃 𝐏𝐎𝐄𝐓𝐒 𝐃𝐄𝐏𝐀𝐑𝐓𝐌𝐄𝐍𝐓 ♡ (moodka couling . tailandesa . departamento de su ex pareja)
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Sabía que no debía ir sola, que ese saqueo de sus pertenencias no debía de realizarlo cómo una delincuente, mientras aquella persona que fue tan especial en su vida por más de dos años se encontraba fuera. Sin embargo, acudió a medios desagradables, que la dejaban muy por debajo de los modales que ella siempre presumía. Quedó petrificada al ver aquella cajita color negra con aquel diamante brillantes, algo que había esperado durante años. Quizá hasta hace veinticuatro horas, habría sentido el pecho inflado de orgullo de enterarse de aquello. Escuchó el crujido de la puerta, supuso que había llegado, pero no le importe estar ahí cómo una delincuente. Giró sobre sus talones con el estuche en mano temblorosa, y espetó con miedo “¿Tú ibas… vas a casarte?” No sabía por qué lo hacía, si temía tanto de conocer la respuesta.
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mashihope · 2 months
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[The Day] || Bangchan, Stray Kids (ESP)
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(This mini moodboard is made by me; I don’t own any of the pics.)
• Miembro: Bangchan
• Grupo: Stray Kids
!! • Aviso: Mención de comida, ligeras implicaciones de problemas de autoestima y/o ansiedad; Y/N es afab para ir a juego con la persona para la que está escrito esto principalmente
• Sinopsis: Ha llegado el día de tu cumpleaños. Tu novio Chan es muy detallista y se ha encargado de planear todo con dos meses de antelación. Desde los regalos hasta las personas a las que va a invitar a la fiesta, porque va a ser un evento inolvidable.
[Nota: Los títulos de las canciones estarán enlazados al vídeo en youtube :) Este escenario es un regalo para @ailenuspot por su cumpleaños que viene bastante tarde, el pastel entró en el horno en el 2022 y acaba de salir ahora, por lo que puede que su sabor ya no sea tan bueno como podría haber sido desde el principio. Sin más que añadir, ¡feliz cumpleaños! <3]
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"Vamos, Y/N, Chris está fuera con el coche. No podemos hacerle esperar más", dijo Hannah tirando de tu brazo, para sacarte de la habitación.
"No puedo, este vestido me queda horrible, ¿tú has visto a tu hermano? Es una obra de arte con piernas. No puedo presentarme con estas pintas", dijiste intentando bajar la cremallera de la espalda para probarte otro.
Hannah te agarró las manos y las sostuvo firmemente frente a ti, frunciendo el ceño.
"Y/N. Primero, no estás horrible, eres y estás preciosa, Chris te seguiría queriendo y viendo igual de bonita aunque fueras a la fiesta con una bolsa de basura como vestido. Y segundo, me ofende muchísimo que ignores esta belleza divina que tengo. ¿De dónde crees que le viene a él?", dijo intentando contener la risa tras las últimas palabras, para, acto seguido, soltarte las manos y darte un par de palmaditas suaves en la mejilla.
Te miraste una última vez en el espejo, intentando procesar las palabras de tu amiga y teniendo un debate interno sobre si realmente sería mejor vestirte con una bolsa de basura en lugar de aquel vestido de tirantes rosa.
Volvió a tirar de tu brazo, aprovechando que estabas distraída y, finalmente, consiguió sacarte de la habitación, ignorando tus protestas. Le seguiste hacia la salida, cogiendo ambos bolsos por el camino para no olvidar nada. Abrió la puerta tras echar un vistazo rápido a la hora en el móvil y apresuró el paso hacia el ascensor, obligándote a hacer lo mismo.
Viste a tu novio apoyado sobre el coche con los brazos cruzados, incapaz de contener la sonrisa que se había formado en sus labios hacía unos minutos al pensar en todo lo que había preparado, imaginando tus ojos brillantes y esa sonrisa que tanto adoraba. Todavía no se había dado cuenta de que habíais salido del edificio y que lo estabais mirando, por lo que siguió soñando despierto. Hannah negó para sí misma tras observarlo durante unos segundos desde lo alto de la escalera.
"Podemos irnos", dijo golpeando suavemente el brazo de Chan con una sonrisa, para llamar su atención, después de pararse delante del coche. Estabas detrás de ella, por lo que tu novio no te había visto todavía.
"Y/N...", dijo Chan con una voz calmada, animándote a salir de tu escondite.
Tus mejillas se tiñeron de rosa cuando vuestros ojos se encontraron. Viste que miles de estrellas empezaron a adornar esos pequeños planetas de tonos café por los que solías orbitar cada día. Sentiste un cosquilleo en el pecho, un sentimiento cálido y familiar, ese que te inunda cuando sabes que estás segura, en tu hogar. El cosquilleo se convirtió en mariposas revoloteando por tu estómago cuando te fijaste en esos pequeños hoyuelos que coronaban sus mejillas como diamantes. Esas mejillas que solías llenar de besos cada mañana, haciendo que el chico se riera bajo tus labios bailarines, incapaz de contenerse debido a las cosquillas que estos le hacían con cada beso fugaz.
Hannah estaba de pie a vuestro lado, apartada, dejando fluir ese pequeño momento lleno de magia. Sus ojos pasaban de su hermano a ti, y de vuelta a él. Sabía que era algo normal entre vosotros y que solía ocurrir cuando os quedabais mirándoos el uno al otro por más de cinco segundos... Pero le costaba acostumbrarse y casi le daban escalofríos.
Ninguno de los dos hablaba. Ese silencio era más que suficiente para ver y entender las miles de palabras que estaban flotando a vuestro alrededor. Miles de palabras sin pronunciar que acariciaban dulcemente el corazón, haciéndolo latir más deprisa. Siempre había sido así. ¿Silencios incómodos? Nunca.
La suave brisa del verano era la única que se hacía oír en aquel momento, recordándoos que no estabais solos, haciendo que vuestra pequeña burbuja de amor y felicidad explotara para devolveros a la realidad.
"Estás preciosa, Y/N", dijo finalmente, todavía sonriendo, para dejar un beso rápido sobre tus labios que, casi sin darte cuenta, hizo que te olvidaras de los pensamientos negativos por un momento.
Hannah hizo un sonido de disgusto, sacando la lengua y empezando a caminar hacia la puerta del coche. "TE LO DIJE", murmuró (en un tono más alto del que pretendía) a través de la ventanilla en tu dirección, al sentarse en uno de los asientos traseros.
Chan la miró por un momento, negando con la cabeza para sí mismo tras dejar escapar una pequeña risa nerviosa. Porque, en efecto, estaba más nervioso de lo que en realidad llegaba a verse. No tenía miedo pero sí le daba miedo que algo pudiera salir mal. No podría perdonárselo nunca.
Al mismo tiempo, tú estabas tan nerviosa que cualquiera podría haber afirmado que te temblaban hasta las pestañas. Tenías una relación de amor-odio con las sorpresas y por más que lo intentaras jamás habrías sido capaz de adivinar todo lo que tu novio había preparado para tu gran día.
Tras comprobar una vez más que todo estaba en orden, Chan puso en marcha el coche y se dirigió hacia el lugar en el que se iba a celebrar la fiesta. A decir verdad, habías salido un poco más tarde de lo previsto, pero decidió no mencionarlo porque después de haber pasado tanto tiempo a tu lado era perfectamente capaz de imaginar los motivos. No quería hacerte sentir culpable por algo así y mucho menos en un día como este.
Tras unos minutos, el semáforo decidió que era un buen momento para haceros parar. Al comprobar la fila de coches que habían delante y que probablemente eso supondría tardar más, Chan empezó a tararear la melodía de una canción, casi sin darse cuenta. Frunciste el ceño cuando empezaste a reconocerla, pero no conseguías recordar cuál era.
"Eso me suena, ¿de dónde era?", preguntaste dirigiendo miradas a ambos. Ninguno de los dos respondió, Chan miró a su hermana a través del reflejo del espejo con una sonrisa culpable, y ella se la devolvió encogiéndose de hombros. "Vale, gracias", dijiste de una forma tan sarcásticamente adorable que Hannah ahogó una risa tras la pantalla del móvil.
"Según mis fuentes, "eso" debería estar listo en media hora", dijo tu amiga en un tono demasiado misterioso para tu gusto, sin levantar la vista del móvil. Chan respondió con un sonido de afirmación al mismo tiempo que asentía con la cabeza lentamente, sin despegar los ojos de la carretera. Los coches empezaron a avanzar y sintió que podía respirar de nuevo.
"¿Por qué tanto secretismo? ¿Me he perdido algo?", preguntaste dirigiendo miradas a ambos mientras fruncías el ceño. El silencio que inundó el interior del coche tras tus palabras fue la confirmación indirecta a tus dudas.
Hannah decidió poner una de sus múltiples "playlist random" con la esperanza de que eso te distrajera y evitaras hacer más preguntas que ninguno de los dos podía responder... Al menos, no todavía. Empezó a bailar en el asiento cuando una de sus canciones favoritas llenó el silencio del coche. Chan movía la cabeza al ritmo de la música.
Poco después, para evitar que el camino se te hiciera largo, Chan decidió que era momento de cambiar la playlist por una suya esta vez. Polaroid Love empezó a sonar, dibujando una inmediata sonrisa en tus labios. Notaste que la mano de Chan te daba un apretón suave y cariñoso en la pierna, como cada vez que sabía que estabas nerviosa.
(...)
Una hora después, levantaste la vista de la pantalla del móvil al sentir que la velocidad del coche empezaba a disminuir. Bajaste la ventanilla del todo para mirar a tu alrededor. Te llegó un olor intenso a flores lo suficientemente tolerable como para respirar profundamente. El lugar parecía ser un hotel casi a las afueras, alejado de todo el ruido del tráfico. Un par de jardines en "miniatura" decoraban la entrada a ambos lados de la puerta principal de la que descendían unos escalones con detalles dorados. A los pies de ésta había un hombre vestido de traje, siguiéndoos con la mirada y sonriendo de oreja a oreja.
"Hemos llegado", dijo Chan, sin añadir una sola palabra. De todos modos, no habría sido capaz de hacerlo, su voz ya empezaba a tener un ligero temblor (del que tú no te llegaste a dar cuenta, todavía admirando las flores)
El coche se paró y el hombre del traje se acercó a la ventanilla de Chan, esperando a que éste saliera. Se saludaron alegremente con un abrazo. No pudiste evitar sentirte confundida, lanzando una mirada a Hannah, pero solo llegaste a ver cómo salía para lanzarse a los brazos de aquel señor.
Chan se dio cuenta de que todavía estabas sentada y se giró. Dejó escapar una sonrisa nerviosa, un tanto culpable quizá.
"Este es Louis, es un viejo amigo de la familia. Es... como un tío para nosotros. Louis, esta es...", empezó a explicar tu novio, abriéndote la puerta y dejándote paso.
"¡Con que esta es la famosa Y/N! ¡Es un placer!", Louis se acercó a ti, seguido de Hannah, "He oído hablar tanto de ti... Ya empezaba a preguntarme quién sería la tal Y/N que tan feliz está haciendo a mi Christopher...", hizo un suave intento de cogerte las manos, atento a cualquier signo de incomodidad, "Te agradezco todo lo que has hecho por él, no puedo evitar sentirme orgulloso de ver en lo que se ha convertido este muchacho después de todo... Y sé que una parte de ello te lo debo a ti"
Tus ojos empezaron a llenarse de lágrimas. Había algo en la voz de aquel hombre... Podías sentir la sinceridad de sus palabras, saliendo desde lo más profundo de su corazón para alegrar el tuyo. Chan reparó en ello de inmediato, acercándote a él para rodearte con sus brazos.
(...)
Tras dejar el coche para que Louis se encargara de buscar un buen sitio para aparcarlo, caminasteis hacia la sala donde se iba a celebrar la fiesta, recorriendo amplios pasillos. Te fijaste en un jarrón de rosas (precisamente, rosas) sobre una mesa. Te giraste para comentarlo con Hannah, pero estaba claro que en algún momento se había quedado atrás.
"Eh... ¿Dónde está Hannah?", giraste completamente, dejando que tus pies empezaran a moverse. Chan tiró suavemente de tu brazo, "No te preocupes, habrá hecho una parada para ir al baño, sigamos adelante"
Lo miraste, tenías la sensación de que estaba mintiendo, pero, ¿por qué? ¿Acaso él tampoco sabía a dónde había ido su hermana? Te hubiera gustado preguntarle una vez más pero él ya empezaba a alejarse y no querías perderte en aquel lugar.
Tras recorrer un par de pasillos y girar unas tres veces, el sonido de la música empezó a acercarse. Pudiste reconocer la canción cuando ya estabais lo suficientemente cerca de las puertas, era Darari, de Treasure. Ciertamente, era una canción que había marcado muchas de vuestras citas, apareciendo cuando menos lo esperabais (en una playlist personal de algún trabajador de la heladería, fans escuchándolo en su móvil...) para convertirla en una canción especial para vosotros.
Chan se paró justo antes de abrir una de las puertas y respiró profundamente. Se giró y buscó en tus ojos cualquier signo de huida inminente, "¿Estás lista? ¿Deberíamos irnos y esperar un momento?"
"Estoy bien, me muero de ganas por ver qué has preparado" te acercaste a él para dejar un beso fugaz en su mejilla. Sus adorables hoyuelos te saludaron una vez más, cualquiera podría haberse dado cuenta en aquel momento de lo feliz que estaba tu novio de estar allí contigo.
Tras coger suavemente tu mano, empujó una de las puertas poco a poco. El sonido de la música aumentó, incluso podías oír a los invitados hablando, algunos riendo animadamente. Chan hizo un gesto para que entrases primero, siendo el caballero que siempre es.
Bajo todo aquel ruido, empezaste a escuchar un leve sonido de golpes en el suelo, uno detrás de otro. No te dio tiempo de intentar averiguar de dónde venía cuando una alegre bola de pelo empezó a moverse entre tus pies.
De no haber sido por Chan habrías acabado en el suelo. La pequeña Berry te había reconocido en el mismo momento que habías entrado por la puerta y no había sido capaz de esperar a que fueras tú quien se acercase. Entre risas y palabras de cariño, intentaste cogerla en brazos. Era evidente el cariño que sentíais la una por la otra.
Acariciando con ternura la cabecita de Berry, empezaste a mirar a tu alrededor. El lugar era muy espacioso, con suficientes mesas para todos los invitados (que hubieras jurado serían menos, pero al parecer te habrías equivocado), una pista de baile e incluso un escenario. El sitio estaba completamente iluminado, desde elegantes candelabros de cristal colgando del techo hasta los enormes ventanales que recogían la cálida luz de la tarde. En cada rincón, podías ver adornos rosas de diferentes tonos que, pese a ello, ninguno quedaba mal a la vista. Eras capaz de distinguir numerosos jarrones parecidos a los que habías ido encontrando de camino a la sala, todos ellos decorados con, una vez más, rosas de color rosa.
Todo aquello rozaba el jardín de un hada de las flores, pero la propia decoración del hotel dejaba claro que estabas presenciando una escena sacada de un cuento de hadas del que tú eras la protagonista y aquel tu palacio, con tu príncipe.
"Chan...", empezaste a decir. Ninguno de los dos habló, él había estado mirándote desde el primer momento, incapaz de disimular esa enorme sonrisa que había aparecido en sus labios al fijarse en el brillo de tus ojos. Era tal y como lo había imaginado, tal vez incluso mejor.
Se acercó a ti, con una mano sobre la cabeza de Berry y otra en tu mejilla, y te besó. Ni todos los postres que hubieran preparado serían tan dulces como aquel beso. Tras separarse de ti, te dedicó otra sonrisa. Miró a su alrededor, buscando a su familia. Vio a sus padres moviendo la mano en el aire, intentando llamar su atención.
Os dirigisteis hacia aquella mesa, todavía llevando a Berry en tus brazos cual bebé. Os habían reservado un par de asientos y, a su vez, habían otros dos asientos libres, sin rastro de sus hermanos.
Intentaste preguntar sobre ello, pero no fuiste capaz. Tras saludar a tus suegros y dejar que Berry descansara sobre una de las sillas vacías junto a la tuya, no tuvisteis tiempo de intercambiar más palabras. El sonido de un micrófono encendiéndose interrumpió todas las conversaciones. La pequeña pareció asustarse, intentaste que estuviera tranquila acariciando su cabeza una vez más.
Todas las cabezas se giraron hacia el escenario, a un lado de las mesas. Sobre él estaban Felix y Minho, saludando a todos con una sonrisa. Algunos de los niños les devolvían el saludo alegremente.
"Me gustaría daros a todos la bienvenida y las gracias por estar aquí. Como ya sabréis, hoy es un día muy especial en el que celebraremos el cumpleaños de una gran persona y amiga para muchos de nosotros", empezó a decir Felix, siempre tratando de mantener su radiante sonrisa. "Es probable que algunos ya hayáis empezado a ojear la pista de baile o incluso dejado caer por el bar pero siento deciros que las bebidas empezaran a moverse a partir de las nueve", dijo Minho, con una de sus tan conocidas expresiones traviesas. Algunos de los invitados parecieron decepcionados tras sus palabras, otros intentaron esconderse en su asiento, visiblemente avergonzados.
"Antes de todo eso, nuestro querido anfitrión se ha encargado de preparar una serie de actividades para que todos podamos pasarlo bien, desde los niños hasta los adultos. Cada uno será libre de elegir dónde participar y, ante todo, cuándo dejar de hacerlo", Felix abrió la pequeña guía que tenía en la mano, animando a los demás a que hicieran lo mismo con las que se encontraban sobre las mesas.
"Siguiendo nuestro lema de libertad, la mayoría de actividades serán aptas para todo el público. Una vez más, cabe destacar que el bar estará cerrado para menores de 20... No, Jisung", Minho lo miró de reojo al ver que empezaba a animarse como un perrito oyendo las palabras "salir a pasear", "tú necesitas un permiso especial, no queremos que se repita la escena sobre la barra de la última vez". Sus palabras parecieron resonar con algunos de los allí presentes, riendo tras imaginar aquello. Jisung, en cambio, intentó esconderse detrás de Changbin, que también reía recordando aquel momento.
"Si seguimos el programa", Felix se dirigió a Minho, dejando salir un tono en su voz que dejaba claro que era importante no salirse del "guión" establecido. Minho ni siquiera se inmutó, simplemente le lanzó una mirada traviesa. "Podremos ver que hay tres momentos marcados en rosa, esos son los más importantes de todo el evento y, como sería de esperar, sería bueno que estuviéramos todos presentes".
"Habrá un adulto en todo momento en las actividades asegurándose de... ¿sí?", Minho levantó la vista de la guía, habiendo visto por el rabillo del ojo que una mano se alzaba. "¿Y si necesito ir a hacer pis en los momentos "rosas"?", un niño de unos seis años que estaba sentado sobre el regazo de su madre habló. "Bueno... Puede ser una excepción, eso es una emergencia, podremos esperar, sí". El niño asintió, satisfecho con la respuesta, para seguir bebiendo su tercer vaso de limonada.
Felix se acercó a Minho y le susurró algo. Éste frunció el ceño, como si no estuviera entendiendo lo que decía su amigo, "¿Cuándo? ¿Ahora?", tapó el micrófono con la mano, intentando evitar que el resto escuchara su conversación. Tosió para despejarse la garganta. "Según me informan, habrá un rincón terapéutico donde unos trabajadores de un refugio estarán hablando sobre algunos gatitos que tienen en adopción, para concienciar a los más pequeños... Y a un servidor, probablemente".
Minho se despidió y bajó rápidamente del escenario, deseoso de llegar al encuentro de aquellos gatos. "Mi compañero se dirige en este momento a ayudar a las personas del refugio para preparar todo, sepan disculparlo, es su punto débil". Felix recogió la guía que Minho había dejado caer al suelo sin darse cuenta y la limpió. "Volviendo al programa, la puerta a los jardines centrales estará abierta en todo momento. En la sala que se encuentra a nuestra izquierda estará el servicio médico para atender cualquier problema que pueda surgir. A la derecha, junto al cuadro de los tigres albinos, hay un pequeño pasillo que lleva a los baños", le guiñó un ojo al niño de la (ya cuarta) limonada, consciente de que esa información le empezaría a ser útil en unos minutos tal vez.
Felix intentó hacer un resumen breve de cada actividad, para que los invitados pudieran empezar a hacer planes. Tras ello, se aseguró de que todas las posibles dudas quedaran resueltas y se despidió, dando comienzo oficial a la fiesta. Se apresuró a acompañar a Minho, sabiendo que era demasiado probable que se hubiera quedado ya jugando con los gatitos, olvidándose de todo.
Chan se giró, miró a sus padres con una sonrisa y luego a ti, "Bueno, ¿qué os parece?". Ellos se miraron, sin saber bien qué responder, "Cariño, ¿has preparado todo esto tú solo?", preguntó su madre. Al ver que el joven asentía con orgullo su padre suspiró, "Christopher, todo esto está muy bien, pero deduzco que no has descansado ni un solo momento..."
"No voy a negarlo. Preparar todo esto ha sido agotador, pero al mismo tiempo me daba toda la energía que necesitaba al imaginar el resultado, esa sonrisa que tanto adoro lo vale todo", dio unas palmaditas sobre tu cabeza para hacer todavía más obvio que hablaba de ti, "además, no podía evitar pensar en ello cada vez que intentaba dormir. Por ahora, solo puedo decir que está mereciendo la pena".
"Christopher... ¿Cuándo has crecido tanto?"
(...)
El tiempo pasó sin darte cuenta, llegando así uno de los momentos importantes (según la guía). Habías pasado la mayor parte en la zona de los gatitos, escuchando la pequeña charla de las personas del refugio y hablando con los niños allí presentes. Sin olvidarnos de los propios gatitos, claro. Hubieras dado cualquier cosa para llevarlos contigo.
Mientras jugabas con un pequeño travieso gris a rayas, sentiste una mano en el hombro. Nunca habrías prestado atención ante esa distracción de no ser porque reconociste el olor de la colonia de inmediato.
"¿Qué estás haciendo, amor?", la cabeza de tu novio se asomó por encima de tu hombro. Podías sentir su respiración sobre tu mejilla por lo que decidiste romper la distancia dejando un beso rápido sobre sus labios.
"Deberías haber sabido que no saldría de aquí en toda la tarde", dijiste intentando parecer inocente. El gato decidió que era buen momento para escapar de tus brazos, aprovechando que no lo estabas mirando, y salió corriendo para saltar sobre uno de los juguetes.
"Fallo mío", Chan sonrió, al menos sabía que habías paseado por todas las zonas de actividades antes de quedarte ahí. La pegatina de mariposa en tu mejilla, el globo con forma de gato y la pulsera de flores delataban que habías pasado bastante tiempo en tres de ellas, de hecho. "Siento decirte que es hora de despedirse...", dijo suavemente, intentando que sus palabras no te afectaran.
"¡ME NIEGO!", te cruzaste de brazos, "es imposible que haya algo mejor que esto. No pienso moverme de aquí".
Chan te miró con una sonrisa traviesa, convencido de que todo este tiempo a tu lado había sido suficiente como para tener algunos trucos guardados bajo la manga. Se aseguró de que nadie os estaba prestando atención para intentar dejar un beso en tu cuello. El resultado fue automático, pudo sentir como un escalofrío recorría tu espalda.
"¡CHRISTOPHER BAHNG!", te dejaste caer hacia un lado, intentando alejarte de él, mirándolo con una mezcla de enfado y vergüenza. "Oh no, ¡el nombre oficial!", él simplemente rio, observando tu reacción, tan divertida para él.
"¿Cómo te atreves a...?", empezaste a hablar pero un beso te interrumpió. "Y/N, amor mío, tenemos que volver, te aseguro que visitaremos el refugio en otro momento, pero ahora te tienes que despedir", te besó otra vez, intentando convencerte así... Tú y tus puntos débiles.
(...)
Al volver a la sala principal viste que las mesas estaban movidas. Alguien había estado haciendo espacio para que el centro de la sala quedara abierto y libre, para que todos los invitados pudieran estar de pie.
"¿Por qué tengo la sensación de que tú has hecho eso?", dijiste señalando las mesas con la cabeza. Chan siguió tu mirada, no estando completamente seguro de a qué te referías porque técnicamente él había hecho todo. "Oh, eso. Más o menos", soltó una risita nerviosa. "He tenido un poco de ayuda, lo habrías visto si hubieras estado por aquí en algún momento", continuó con cierto tono burlón. Simplemente rodaste los ojos en respuesta.
Felix pasó corriendo por vuestro lado para volver caminando hacia atrás rápidamente. "¿Crees que estamos todos? Minho y yo estamos contando pero no conseguimos ponernos de acuerdo", dijo, visiblemente nervioso.
"Y/N, quédate por aquí, seguramente se unan mis padres a ti si te ven", soltó tu mano y se dirigió hacia el escenario, seguido de su amigo. Subieron de un salto y empezaron a contar de nuevo. Podías verlos hablando desde donde estabas, pero no podías escucharlos. Felix fruncía el ceño. Changbin entró llevando en brazos a una niña con la cara llena de chocolate. Poco después, una mujer apareció acompañada de Seungmin.
"¡Youngseo!", la mujer soltó el brazo de Seungmin y caminó rápidamente hacia Changbin. "¡¿Se puede saber dónde te habías metido?!"
Por lo poco que llegaste a entender, la niña había estado jugando en el jardín con sus hermanos, se escapó para comer alguno de los postres a escondidas de sus abuelos y para deshacerse de las pruebas intentó encontrar los baños. Changbin la había encontrado andando sola por otro de los pasillos, pero ella no parecía estar asustada. De hecho, había olvidado casi por completo su misión y se había dispuesto a irse de aventuras por el hotel.
La mujer, que al parecer era su abuela, se había vuelto loca buscándola. Seungmin la había acompañado a ver al servicio médico mientras Changbin buscaba a su nieta. Sus hermanos (que eran mayores que la pequeña) ni siquiera se habían dado cuenta de su ausencia.
Changbin las acompañó a los baños para que la niña pudiera lavarse la cara, haciendo que la frustración de Felix aumentara. Chan observaba la desesperación de su amigo con una ligera sonrisa, había algo en los gestos de Felix que encontraba ciertamente divertido. Le puso una mano en el hombro y se apartó.
"Bien, atención, me gustaría comprobar que estamos todos presentes a excepción de tres personas", decidió acercarse al micrófono, saltándose sus propias normas. La gente empezó a mirarse entre sí, confundida ante el tono del chico.
Changbin volvió, Felix se llevó las manos a la cabeza al ver que iba solo. De no ser por el guiño de su amigo habría empezado a gritar. Detuvo su cuenta mental (una vez más) al ver que la señora entraba llevando a su nieta de la mano.
Se aclaró la garganta cuando Minho se puso a su lado, "Ahora que estamos todos, me gustaría...", para su mala suerte, el niño de la limonada se levantó de un salto, antes sentado en el suelo durante la espera. "¡Esperad!", dejó caer el vaso de plástico vacío y salió corriendo en dirección a los baños.
Felix miró a sus amigos con los ojos como platos, a punto de poner en práctica alguno de los actos malvados de Minho. Changbin empezó a reírse desde donde estaba, contagiando a otras personas en el proceso.
Unos minutos después, el niño volvió, andando tranquilamente. Cuando éste se dio cuenta de las miradas que le dirigían Felix y sus padres se apresuró a volver junto a ellos.
Felix y Minho intercambiaron miradas y asintieron a la vez, dispuestos a empezar por fin. "¿Estamos todos aquí ya?", preguntó Minho, observando atentamente a los invitados. Después miró a Chan, que le respondió con un pulgar hacia arriba. "En ese caso, y tal como habíamos anunciado, ha llegado uno de los momentos más importantes del día. Hemos intentado asegurarnos previamente de que no hubiera problemas, pedimos disculpas de antemano".
"Y ahora, démosle la bienvenida a nuestro querido chico de las flores", añadió Felix, sonriendo en tu dirección para intentar mandarte una señal de seguridad. Hacía bastante tiempo que se había fijado en todas esas nubecitas invisibles a tu alrededor, haciendo demasiado obvios tus nervios.
Minho bajó del escenario, seguido de Felix, y dejaron a Chan esperando, balanceándose sobre sus pies. Sus nervios eran cada vez más visibles, incluso habría jurado que eran mayores que todos aquellos provocados durante las actuaciones y conciertos.
Todos se giraron al oír la puerta abrirse a sus espaldas y los altavoces se llenaron de la voz de Hyunjin tarareando la melodía de una canción (que nadie reconoció de primeras), con un ramo de rosas enorme sujetado entre su brazo y su pecho, empujando un carro con el brazo libre, lleno de flores diferentes a las del ramo.
Caminó por el medio de la sala, en el espacio que habían dejado todos para que pasara. Dejó el carro a los pies del escenario y subió con el ramo todavía entre sus brazos. Hizo un gesto a su amigo con la cabeza a modo de saludo, sonriendo de forma que sus ojos estaban a punto de cerrarse. Tenían un brillo mágico, casi tan brillantes como las luces del lugar.
Chan dio un pequeño salto para bajar del escenario, cogió el micrófono que le tendía Hyunjin, y se acercó al carro de flores. Su mano vagó por el pequeño jardín, indeciso, pero poco después, tras coger un tulipán amarillo, esto fue la señal necesaria para que empezara a sonar la música.
Fue entregando flores a los invitados mientras cantaba alegremente I'm Yours*. Cada entrega parecía no tener ningún significado de primeras, pero, cualquiera que hubiera prestado la suficiente atención al tipo de flor y a la persona en cuestión se habría dado cuenta de que todo estaba perfectamente planeado en la cabeza de Chan.
Hubo reacciones de todo tipo, desde señoras sonrojadas hasta niños sonriendo de oreja a oreja. Incluso Berry recibió una flor de peluche, pensada específicamente para ella. La pequeña ladró alegremente a modo de agradecimiento, haciendo sonreír al joven.
En cierto momento (y tras repartir todas las otras flores), tu novio se acercó a ti, mirándote a los ojos. Solo quedaba el gran ramo de rosas que, al parecer, había reservado para ti. Entre ellas, podían verse pequeñas fotos (en las que aparecíais los dos) que él había elegido para añadir al ramo. Antes de dártelo, sonrió mirando hacía el suelo, sintiendo una repentina timidez. Después, puso el ramo sobre tus manos y te besó, sin importarle nada ni nadie.
Tras separarse de ti, volvió a mirarte con esa sonrisa tímida. Al ver tus mejillas sonrojadas pasó su mano dulcemente por una de ellas. Le parecía una de las cosas más adorables que había visto en toda su vida. Ni siquiera te salían palabras, solo parpadeabas, todavía confundida.
(...)
Minho y Felix volvieron al escenario. Felix lucía con orgullo la margarita que Chan le había entregado, adornando su dorada cabecita. Ambos sujetaban una serie de tarjetas que iban a usar. Esta vez, Jeongin se unió a ellos.
Tras acercarse de nuevo al micrófono de pie, comentaron animadamente la reciente entrega. Jeongin afirmaba que había estado a punto de derramar un par de lágrimas pero que el sentimiento había sido tan fuerte que éste se lo había impedido.
Empezaron a usar las tarjetas como guía, charlando con el público sobre diferentes anécdotas y momentos que Chan les había ofrecido días antes del evento. Tras ellos, una gran pantalla dejaba ver algunas fotos o vídeos relacionados. Recuerdos graciosos, adorables, todo aquello que el joven había querido compartir con los invitados. Pequeños trozos de un amor puro que no fallaron en sacar reacciones, desde "oooh" hasta risas sinceras que parecían salir de lo más profundo de un corazón contagiado por la felicidad que Chan estaba sintiendo en aquel momento.
Al acabar, hicieron una pequeña y rápida actuación, guardando silencio unos segundos y mirando en varias direcciones (lo cual provocó que varias personas hicieran lo mismo). "¿Qué es eso tan dulce que huelo?", preguntó Jeongin, "¿Quizá son los efectos secundarios de todo lo que acabamos de ver y escuchar?", respondió Felix, negando animadamente con la cabeza. Minho se posicionó en medio de ellos y posó ambas manos sobre sus cabezas, "Tal vez deberíamos investigar este suceso, a lo mejor el culpable aparece y resuelve nuestras dudas".
Una vez más, la puerta se abrió, dejando paso a un pastel de tres pisos, elegantemente adornado con flores y mariposas. En lo alto, dos velas indicaban tu nueva edad. Tras él, dirigiendo el carrito, tu amiga Hannah intentaba esconder sus significativos ojos rojos tras una sonrisa. A su lado, ayudando a su hermana, iba Lucas, el menor de los hermanos, a quien no parecía importarle lo más mínimo que los ríos que bajaban por sus mejillas fueran vistos por los invitados.
La suave melodía que llenaba la sala no fue capaz de amortiguar los continuos sollozos del chico, que acabaron contagiando a Hannah de nuevo. Hicieron su mejor esfuerzo para dejar el pastel junto a la mesa de la comida, para después ir a refugiarse en los brazos de sus padres, quienes fingían no estar emocionados ante la escena. La pequeña Berry se acercó lentamente para lamer con cariño la pierna de sus dos dramáticos humanos.
El brillo de las luces empezó a bajar lentamente, dejando únicamente dos focos iluminando la sala. Uno de ellos se centraba en el escenario, bajo el que esperaba pacientemente tu novio. Bajo el otro estabas tú, temblando más que cualquiera de los flanes o la gelatina que había en la mesa de postres.
Chan hizo un gesto a los encargados del sonido, respiró profundamente y la música empezó a sonar. Pudiste sentir como una pieza encajaba en otra en tu cerebro para formar un pequeño puzzle; la melodía que tanto él como Hyunjin habían tarareado era nada menos que Marry You**. Pese a ello, no fuiste capaz de comprender ni procesar nada de lo que estaba pasando, tus pensamientos seguían en la reciente escena de los hermanos.
(...)
La canción acabó, los invitados aplaudieron eufóricos ante la energía que había creado Chan sobre el escenario intentando animar el momento, consciente de que algunos de ellos habían sucumbido previamente ante la emoción. Miró a su izquierda y vio a sus amigos llorando en un rincón, incluso Minho había dejado caer su fachada de "tipo duro".
"Oh, siento destrozar el momento, espero que mi amigo H.ONE sepa animar el ambiente después en la pista de baile", dejó escapar una risa nerviosa, algunos de los invitados respondieron con risas también. Otros intentaron animarlo, conscientes de la importancia del momento. "Se agradece, casi me ha parecido que estaba en medio de un concierto", volvió a reír.
"A ver, bueno, creo que debo intentar encontrar las palabras adecuadas, esperad", algunos niños encontraron graciosos los sonidos que estaba dejando salir por los nervios, él no pudo evitar sonreír ante esto. Respiró profundamente, "Bien, creo que lo tengo". Se aclaró la garganta y empezó a hablar.
"Hace mucho tiempo, yo solía ser alguien que era completamente incapaz de imaginar que era posible recibir todo lo que yo intentaba dar a los demás. Siempre he sido el tipo de persona que hacía todo lo posible por hacer felices a los demás, dejándome a un lado a mí mismo. A su vez, no era consciente de que otras personas intentaban hacer lo mismo por mí, siempre insistiendo en que yo no necesitaba nada de eso. Poco a poco, y gracias a mi familia, amigos y fans, fui descubriendo que todo eso era posible. Fui aprendiendo a aceptarlo, pues todavía había momentos donde quería rechazarlo de forma inconsciente. Y, un día y sin darme cuenta, llegaste tú, Y/N. Me gusta pensar que llegaste como un milagro y te quedaste como un sueño. Sería una mentira decir que en aquel momento yo ya estaba "curado", de hecho, apareciste en un momento bastante oscuro de mi vida. No es algo de lo que suela hablar, pero empezaste a iluminar mi oscuridad sin darte cuenta. Había algo en esa contagiosa sonrisa, esa forma de decir mi nombre, esos dulces ojos... que me hacía querer quedarme a tu lado sin importarme nada ni nadie. Creo que ni siquiera lo pensé demasiado, pedí muchos consejos a mis compañeros, pero nunca dudé que eso era lo que realmente quería hacer. Afortunadamente, todos ellos me apoyaron, diciéndome en todo momento que me encontraban más feliz, más libre, más cómodo con mi vida. Nunca olvidaré aquel momento, con tus ojos brillantes y tus lágrimas sinceras, tras decirte por fin lo que sentía. Nunca cambiaría por nada del mundo todos estos momentos que hemos compartido juntos hasta hoy. Abrir los ojos por la mañana y verte descansando pacíficamente a mi lado es suficiente para dibujar una sonrisa en mi cara y llenarme de energía ante el nuevo día. Tus brazos son el refugio que ansío cada vez que me siento perdido, mientras que tus ojos me ayudan a encontrarme de nuevo, siendo mi guía para llevarme a ese lugar especial al que solo nosotros podemos entrar..."
Se detuvo en el medio del escenario, después de haber estado andando nerviosamente y suspiró, haciendo una pausa para volver a ordenar sus pensamientos. Sonrió, ni siquiera estaba siendo capaz de mirarte, pero podía imaginar tu cara de confusión y tus mejillas sonrojadas, una vez más. Decidió seguir.
"Tras este largo monólogo, te pido disculpas, pues nunca nada de lo que pudiera decir sería suficiente para decirle al mundo lo muy enamorado que estoy de ti, mi princesa. Tantas palabras como estrellas en el universo son las que necesitaría para decirte cuánto te amo y lo feliz y brillante que haces mi vida. Y es por esto que, dado que sin ti nunca nada sería igual", hizo una breve pausa para respirar hondo y descender hacia el suelo (recibiendo como respuesta sonidos de los invitados en señal de sorpresa y emoción), tras doblar una pierna y apoyar la otra, y sacó una pequeña pero significativa cajita del bolsillo de su chaqueta, para abrirla en tu dirección (con un ligero pero notable temblor en las manos y una sonrisa tímida en los labios),
"¿me harías el gran honor de casarte conmigo?".
[*versión original de I'm Yours / Marry You || **una versión diferente en cada palabra]
♡ Playlist oficial: (es recomendable leer primero el escenario)
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auboutdespages · 7 months
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AU BOUT DES PAGES
Hey les papivores 2.0, aujourd’hui nous allons plonger dans un univers mélancolique. Katherine PANCOL célèbre romancière française, est une écrivaine dont le style se caractérise à l’américaine marqué par de nombreux dialogues et ses récits qui décrivent souvent des destins chaotiques de femmes indépendantes.
ROMAN
« Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi », Katherine PANCOL.
Le PITCH, d’abord !
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon AVIS, humblement !
Belles tranches de vies que nous livre ici, en grand chef, Katherine Pancol, tartinées tantôt de miel, tantôt de pâte à tartiner bon marché, mais toujours accompagnées de son fameux tea time dont elle seule à le secret.
On lui pardonnera sans problème cette éternelle histoire d'amour manquée entre Philippe et Joséphine (mais où va-t-elle chercher les prénoms de ses héroïnes ??), mais on l'attend au détour des traits de cet étonnant Junior, surdoué improbable qui casse quelque peu la véracité des propos.
Bien moins malin celui qui trouvera dans ces pages le fil rouge qui a fait le succès de l'opus précédent (La Valse lente des tortues)... on le cherche mais on ne le trouve point, perdu qu'il est peut-être entre les tourments de cette croqueuse d'Hortence (décidément, les prénoms sont un mystère pour Madame Pancol... ) et les pérégrinations de cette bonne vieille Henriette.
Toujours est-il qu'une unité de ton se propage dans les méandres de cette saga familiale à l'américaine, digne des meilleurs Dallas, un questionnement uniforme sur le rapport étroit entre hommes, à l'image du Petit Jeune Homme, vers de terre amoureux d'une étoile filante, de Gary poursuivant un père fantoche ou de Junior devenant un homme au contact du paternel.
Pancol nous en met plein la vue cette fois, en nous faisant entrer dans de nombreux mondes qui nous sont contemporains : celui des affaires internationales, évocant cette "crise financière" si proche de nous ; celui du "gratin" parisien, celui de l'écriture et de sa longue introspection ; une belle galerie de personnages, connus ou nouveaux, nous est alors donnée en pâture, donnant au livre un beau relief qui explique ses presque 1000 pages. Le lecteur en a pour son argent, il est content, content également de refermer ce troisième opus, dernier d'une longue saga qui menace de tourner en rond s'il propose un quatrième volet.
Bref, un écrin brillant et divertissant comme on les aime aujourd'hui, même s'il souffre de quelques incongruités.
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nevenkebla · 7 months
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La fuerza cero
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Fantastic Four (2018) #25
Guionista: Dan Slott Dibujante: R.B. Silva
— Reed Richards: ¡Escúchame! ¡Te lo suplico! ¡No abras el contenedor cero! Busques lo que busques… ¡Te juro que no está dentro! — Helmsman: Ah, ahora tengo que mirar, ¿verdad? Ábrela. — Cormorant: Como desees. — Reed Richards: ¡Sue, haz invisible la caja! ¡Que vea que no es lo que busca! Es nuestra única esperanza. — Susan Storm: ¿Qué nos has estado ocultando, Reed? — Reed Richards: ¡Una fuerza con la que no debería haber jugado! Algo que jamás debería dejarse libre en… ¡Oh, no! Demasiado tarde.
— Susan Storm: ¡¿Qué es eso, Reed?! — Reed Richards: ¡La fuerza cero! — Johnny Storm: ¡¿Qué significa eso?! — Doctor Doom: La fuente de poder preprimordial. Una energía anterior a nuestra mismísima existencia. Y la descubriste… antes que yo. — Cormorant: Tenía razón: no es lo que buscamos. Así, nuestra misión debe proseguir. Adiós. — Ben Grimm: ¡Ya, colega! ¡Más te vale salir echando chispas! ¡Si sabes lo que te conviene!
— Susan Storm: ¿Reed? ¿Doom? ¿Alguno de los dos vais a decirnos a qué nos enfrentamos? — Reed Richards: Es la energía que pone fin a un universo… y da comienzo a otro. En el pasado, cuando no era más que una chispa, pude contenerla, pero ahora… — Doctor Doom: ¡Ahora seguirá propagándose, de forma voraz! Sobrescribirá nuestro universo con otro. Desde esta costa hasta Latveria, y el resto del mundo… ¡Y luego el cosmos! — Zora Vukovic: ¿Qué necesitas que hagamos, mi señor? — Ariana Diamante: ¿Estás loca? ¿Qué podemos hacer nosotros contra eso? — Susan Storm: Mantened la calma. Tenemos a dos de las mentes más brillantes del planeta. — Johnny Storm: Y un mogollón de superpoderes. Ya se les ocurrirá algo. En cualquier momento. — Doctor Doom: Esta energía no es muy distinta de la de los cañones de Big Bang que usé para derrotar a Galactus. — Reed Richards: Correcto. ¿Cómo conseguiste controlar todo aquel poder en bruto? — Doctor Doom: Con años de planificación metódica. — Reed Richards: Ahora no es el momento, Victor. — Doctor Doom: Según la cronorradiación de fondo… has mantenido la fuerza cero contenida durante más de una década. En todo ese tiempo… ¿No has resuelto este problema? — Reed Richards: ¿Qué, el misterio del universo? No, Doom. No lo he resuelto. Pero quién sabe, tenemos 38 segundos antes de que consuma toda Manhattan. Quizá tengamos suerte.
— Valeria Richards: ¡O quizá no sea necesario! — Johnny Storm: ¡Son los niños! — Ben Grimm: ¡Jo! ¡Nick! ¡Val! ¡¿Qué os pensáis que estáis haciendo?! — Jo: ¿Y a ti qué te parece? ¡Salvar a todo el mundo! — Susan Storm: ¡Salid de ahí! — Nicki: ¡Ese es el plan! ¡Saltad! ¡Os tengo! — Doctor Doom: ¿Qué ha hecho tu hija, Richards? ¿Qué es esa máquina? — Reed Richards: ¡Es nuestra telecápsula! ¡La ha embutido en el corazón de la Fuerza Cero! Está reconfigurando… ¡No, es más que eso! Está atrayendo toda la energía hacia ella… ¡Y la usa como fuente de energía!
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rapha-reads · 4 months
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Unos días de primavera en Granada
"Granada, bello pensil,
pebetero singular,
que esparces aromas mil
por las aguas del Genil
adonde voy a llorar.
Ciudad de los torreones
y de las puestas de sol
cuando entre bellas canciones
engalanada te pones
de púrpura y arrebol.
Como la plata brillante
que cubre el Muley Hacén,
es Granada tu semblante
mucho mejor que el diamante
purísimo del Edén."
— Granada como sultana, Federico García Lorca.
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