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#escaliers composite
lemaquillage · 1 year
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Montpellier Landscape Decking Photo of a mid-sized farmhouse partial sun backyard landscaping with decking.
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worshipsam · 1 year
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Decking Toulouse Inspiration for a mid-sized farmhouse partial sun backyard landscaping with decking.
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steph-photographie · 2 months
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Photo originale par Steph-Photo
Dans la petite ville de Castellane (Alpes de Haute Provence), une entrée toute en composition.
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hansdurrer · 3 months
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St-Etienne, France, 11 Juin 2024
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miaolivijabindner · 2 years
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ESPACES COMPOSITIONNELS ET MUSIQUE MULTIPLE
MusicROOMS, La Capsula MILANO
La musique combine dans le même temps composition et interprétation. Que ce soit à l’échelle de l’œuvre musicale ou de l’espace scénique, sa réception dépendra directement de cette combinaison. De fait, les éléments constituant l’espace scénique — surface architecturale, mapping, instruments — pourraient-ils permettent, par leur maîtrise et leur association, induire l’expérience musicale ?
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Mon expérience à LA CAPSULA vaut la peine de vous être raconté. J’étais face à un bâtiment sur plusieurs étages, peut-être quatre, dans lesquels le public circulait par un escalier extérieur en colimaçon. L’événement se situé au rez-de-chaussée, c’était un lieu complètement ouvert, très haut de plafond et divisé par un mur blanc : l’espace de droite était dédié à la scène où les artistes étaient présents ; à gauche l’espace était dédié à l’échange et à la rencontre. Plusieurs musiciens étaient invités à performer ce soir là. Feldermelder, musicien expérimental Suisse, au sein du label encor_studio et ous.ooo, était programmé après Noémi Büchi et IOKOI. Après le passage de ces deux musiciennes, un entracte permettait l’installation de Manuel Oberholzer. Feldermelder, je le connaissais déjà. Ma première rencontre avec l’artiste avait eu lieu dans le cadre du festival SONICA à Ljubljana en septembre dernier.
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Ce type de festival est généralement un moment d’écoute où nous sommes assis sur le sol. Comme étant invité à contempler. Dès lors, nous recevons la musique d’une manière qui diffère de celle d'un concert usuel. En tout cas, nous retransmettons la musique d’une autre manière. Cela car nous sommes davantage invité à intérioriser la musique plutôt qu’à l’extérioriser par le mouvement et la danse. Pour l’exprimer avec des termes ennuyeux et peu sensé, c’est une musique de réflexion.
Cette fois-ci, à Milan, la performance de Feldermelder était bien différente.
Je pense que cela venait du lieu, car il était lui aussi bien différent. Il était même opposé à celui dans lequel je me trouvais en Slovénie ; intimiste et clos, cette fois-ci, La Capsula était un large espace ouvert. Manuel Oberholzer jouait une musique délicate et cherchait à accompagner le spectateur dans son écoute. Je dirais avec certitude que cela était dû à l’espace. Tellement immense que le musicien tentait de nous rassembler. Pour nous guider, il avait besoin de nous chuchoter sa musique. À l’inverse lorsqu’il performait dans un lieu clos, à Ljubljana, sa musique était agressive ; il cherchait à la faire sortir des murs de ce petit espace.
Deux configurations différentes, le même artiste, les mêmes instruments, mais pourtant une musique différente. Dès lors, comment la configuration de l’espace scénique participe à la réception de l’œuvre musicale ? Bien que la musique soit le sujet principal de l’œuvre, l’attitude de l’artiste, l’espace, les instruments sont autant d’éléments qui participent à la performance et à sa réception. L’œuvre est finalement en ensemble pluriel. Par ailleurs, certains artistes abandonnent l’idée de composer l’espace réel et font appel à l’utopie. Il ne s’agit donc plus de combiner l’espace scénique et la musique, mais de créer un nouvel espace fictif par le biais du médium. C’est ce que le musicien Nicolás Jaar a cherché à évoquer dans son album Space is only Noise. Le compositeur est également à l’origine de la création du festival Urvakan situé à Dilijan en Arménie.
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Cet événement combine le programme du Sound Lab — pratiques électroniques expérimentales permettant l’interaction entre les musiciens, les interprètes et les artistes sonores — et celui du Laboratoire d’architecture — redonner de l’intérêt à des lieux historiques et construire de nouveaux modes d’interaction avec eux — et marque le lien étroit qu’entretiennent espace compositionnel et musique multiple en terme d’expérience.
Mia Olivija Bindner
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cecilehitier · 6 months
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Graviers vivants 1/3
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À plusieurs occasions récemment, j’ai croisé la thématique du « vivant », ce concept en construction qui interroge la place et les relations de l’humain dans / avec son milieu de vie et ce qui le compose.
www.lemonde.fr/idees/article/2021/09/22/le-vivant-un-concept-qui-gagne-en-popularite-dans-la-philosophie-et-les-combats-ecologiques_6095554_3232.html
Ainsi que le décrit cet article du Monde en 2021, ce concept permet de [sortir du dualisme entre la nature et la culture. » …, de « rompre avec « l’environnement », « le sauvage » ou « la nature » dont l’usage suppose une extériorité de l’homme par rapport à son écosystème.]
Toujours selon l’article, [La nature n’est plus un décor, un réservoir de richesses, une aire de repos ou un terrain de jeu. Avec ces nouvelles ontologies qui ne séparent plus la nature de la culture, les « non-humains » (plantes, animaux, fleuves, etc.) ne sont plus des choses ou des objets, mais des êtres qui importent, et doivent être mieux pris en compte par le politique, comme par le droit.]
Cette conception met en avant l’infinité et l’interdépendance des liens qui composent ce « vivant » et lui permettent de se réaliser – soit de vivre - ainsi que les impacts de leur modification ou de leur rupture.
À Die, la présentation « Voyage d’un gravier - des sources de la Drôme à la mer » du géographe et naturaliste Jean-Louis Michelot révèle les millions d’années de formation de ces liens à partir d’un « simple » caillou, de sa provenance géologique puis son trajet dans le lit du Rhône, le rôle des gravières dans la composition des paysages et le fonctionnement et des écosystèmes du fleuve, mais aussi les pressions et les empêchements dans la formation des gravières, des campagnes de reboisement intensif stoppant l’érosion au corsetage du fleuve comme « escalier hydraulique » pour les besoins de production énergétique, d’irrigation, de la maitrise d’un axe de transport et de contrôles de crues.
Ce voyage convie les champs scientifiques, culturels, sociaux et économiques, et rejoint l’enquête d’un autre article du Monde – de la série Adaptation – retraçant l’évolution et le développement de la gestion du Rhône mais aussi les visions et combats qui les sous-tendent et qui semblent irréconciliables : la défense de l’environnement et de la biodiversité face au développement de l’agriculture et ses besoins d’irrigation, à la promotion de source d’énergie décarbonée, ou encore la conception de « laisser la nature reprendre ses droits » face à celle de « perpétuer la logique de domination ».
www.lemonde.fr/planete/visuel/2023/06/18/le-rhone-un-fleuve-usine-soumis-a-des-choix-cruciaux_6178165_3244.html
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opera-ghosts · 10 months
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A Birthday salute to Paul Franz (1876-1950).
A very fine French tenor born in 1876 was Paul Franz, a direct successor to Affre and Escalis and France’s leading dramatic tenor. He had a very unusual beginning because he was at 32 years of age, when he took first prize in a singing competition organised by a music magazine, which eventually secured him his operatic debut in Nau in Lohengrin, at the age of 33, a very late starter indeed. Consider for example, that Anselmi had been singing for 13 years by the time he was 33. However, such was his initial success, that within a month, he had secured a contract at the Paris opera, for the same part as Lohengrin.
It was the beginning of an illustrious career at the opera, and in performances of Segued, Faust, Dan Houser, Sigmund, Radames and in particular, Samson & Delilah, he was often compared, not only to Affre but to Deresce himself, who had been idolised above all others at the Paris opera.
He first appeared in London in 1910 and despite strong competition from Dalmores in particular, he established himself at Covent Garden as leading French tenor until the war. His debut was in Samson & Delilah, with Ruiz Courbellun, and he was to repeat his success in this opera during his Covent Garden seasons.
So, let’s hear him then, in his Covent Garden debut role of Samson in the aria Arêtes O Mes Freres.
In Paris, he had also become the leading vigneron interpreter in succession to Ernest van Dijk. Making a great success in master singer, Tristan, and Siegfried and in 1913 he was the first pathe fal at the opera. In addition, he received acclaim in other operas, such as Le Cede, Profit, Herodiade by Jeuive, the damnation of Faust, Helene, and the Trojans. As well as many contemporary works no longer in repertoire.
His fore’s abroad were not particularly frequent. In 1915 he appeared at La Scala in Milan. Inevitably as Samson. And in 1918, he was at the Cologne in Buenos Aires. In 1923 he was engaged by Ginzburg at the Monte Carlo opera to create a tenor lead in Ginzburgs own composition by Christopher. But from then on, he preferred to remain at his beloved Paris opera, where he made his farewell in 1938, at a benefit gala for the Paris Conservatoire.
Here he is in a beautiful version of the Flower Song from Carmen, where after some lovely opening phrases, the voice builds up to a splendid ringing climax.
He recorded for three companies, HMV, Pathe and Colombia. The selections already heard, were from HMV records. Choosing two final records, I suppose, I should have included a Wagner selection, because of his fame as a vigneron singer. But of course, he sings the items in French, and this never sounds right to me, no matter how well sung.
So I have chosen a French aria, Salut Tombeau from Romeo and Juliet and then a rare electrical Columbia record, made long after the HMV’s, when the singer was in his late 50s and still showing a marvelous voice and a wonderful feeling for the music, in an aria from Masani’s opera Herodiade which I hope you will recognise, as you heard it in the previous tape.
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oenodyssee · 1 year
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Topo-animie
Chez Bruno Doan / Atelier B A I E / Nîmes / Costières de Nîmes / Un pied
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À pied ou à vélo la toponymie – noms des lieux dits, cours d’eau, collines, chemins, drailles, rues, quartiers, villes, villages etc. – est une distraction délectable dont il faudrait analyser les ressorts : lapsus topographique, anecdotes potaches, indices mythogéographique, vestiges patoisants etc. Plus, ici : hégémonie viti-vini.
Pour aujourd’hui j’aurai été réjoui par une halte à Saint-Dionisy (son temple converti en église, son oppidum en surplomb de garrigue) et par l’arrivée à Nîmes via le quartier Pissevin. Joli nom de nature à alimenter quelques spéculations et associations personnelles. Association avec « la révolte des gueux du Languedoc » par exemple. Cette énorme mobilisation qui s’étendit de janvier à juillet 1907 avait pour toile de fond une crise de surproduction et visait à rétablir le « vin naturel » contre les vins truqués (sucrés et mouillés avec des jus douteux pour augmenter les quantités produites). Elle donna lieu à une répression féroce du gouvernement Clémenceau et, finalement, à une réforme portée par Jean Jaurès à l’Assemblée. Si je pense à ce soulèvement c’est qu’il m’a été raconté hier soir, au moment de l’auberge espagnole, par Annelore « Anolis » Daycard, autrice d'un spectacle sur Marcelin Albert, son leader déchu.
J’ai encore cette histoire en moi lorsque j’arrive rue des tilleuls, chez Bruno Doan. Je suis dejà venu à cette adresse où se trouvent les éditions Atelier B A I E mais je ne connais encore que la partie bureau – Bruno ayant publié trois de mes livres dont Évidence de la grande alose, le dernier en date. Pour garer le vélo et sa remorque mon hôte lève un rideau métallique donnant sur différents espaces encombrés de cartons de livres. Je suis intrigué par des casiers peints en rose et le reliquat d’un bar arrondi : « Il y a eu un club échangiste ici » éclaircit Bruno avant de me conduire à l’étage dans la partie habitation du bâtiment. Une terrasse en véranda y surplombe un jardin luxuriant auquel je trouve des allures tropicales. Atelier B d’HA-Long (Bruno est originaire du Vietnam) ? Ou : Bée aux raisins (La revue In Vino réalisée avec Jacques Maigne était vinifiée en ces lieux) ? Je m'aperçois que je ne me suis jamais interrogé sur le nom (et sa composition typo pourtant intrigante) des éditions qui m'accueillent. Il aura fallu cette Œnodyssée pour que la question m’approche.
C’est dans le jardin que commence la performance. Je suis seul, installé à une petite table. Je l'ai placée au milieu d'un bassin en tesselles bleues lequel devait, à l’époque où il était encore en eau, apporter une touche hispanique au patio. Je suis bientôt rejoint par Claire, une amie venue d'Avignon, qui m’aide à plier les livrets contenant le texte de Rhapsode. Un à un les invités descendent pour s’installer autour du bassin. La table est enlevée et trois chœurs, c’est-à-dire un de plus que d’habitude, sont constitués. Aux chœurs gras et maigre j’ai adjoint un chœur volatile, libre d’intervenir quand bon lui semble. Le premier chant s’élève. Très vite la densité des participations m’autorise à m’écarter, à disparaître sous un feuillage ou dans un escalier, à laisser les choses se faire sans moi, à réapparaître à l’étage, à ne plus jouer de métaphorminx.
Je ne me souviens plus de la fin. Peut-il d’ailleurs y avoir une fin si la performance est aussi le voyage, et que celui-ci se poursuit ? On a dû, à un moment, franchir un cap et passer à autre chose. Aux bons vins, ne me demandez pas lesquels, apportés par les amateurs réunis ce soir, aux bons mets et aux propos qui s’échangent jusque tard dans la nuit. Voilà, j'y suis : Atelier B A I E, ce doit être : Bande d’Amis Intimement Éloquents. Bruno tu me confirmes ?
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escaliermetal · 1 year
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Exploring the Elegance and Durability of Metal Staircases
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Metal staircases have become progressively well known in current compositional plans because of their novel mix of elegance, durability, and adaptability. Whether in private or business settings, metal staircases offer various advantages, settling on them a famous decision among property holders, inside creators, and modelers. In this article, we will dive into the universe of metal staircases, exploring their benefits, plan prospects, and support prerequisites.
Benefits of Metal Staircases:
Durability: Metal staircases are famous for their extraordinary durability. Developed from materials like steel, iron, or aluminum, they can withstand weighty people walking through and are impervious to mileage. This life span makes metal staircases an amazing speculation, guaranteeing that they stay useful and outwardly engaging into the indefinite future.
Adaptability in Plan: Metal staircases give enormous plan adaptability, considering the production of novel and eye-getting structures. They can be created in different styles, including straight, twisting, or bended plans, obliging different engineering inclinations. Also, metal staircases can be joined with other materials like glass or wood, bringing about shocking esthetic blends.
Space Enhancement: Metal staircases are appropriate for space-compelled conditions. Their smooth and moderate plan occupies less actual room contrasted with bulkier choices like wooden staircases. Metal staircases can be uniquely worked to fit explicit aspects, guaranteeing that every last bit of accessible space is used effectively.
Plan Prospects:
Contemporary Elegance: Metal staircases ooze a cutting edge and modern allure, going with them an optimal decision for contemporary insides. The spotless lines and smooth completions of metal make a smooth and moderate esthetic that supplements current compositional styles impeccably.
Modern Appeal: For those looking for a more tough and modern look, metal staircases offer an exceptional arrangement. Joining unrefined components like steel or iron with uncovered bolts and metallic completions can make a restless and metropolitan climate, adding character to any space.
Coordination with Other Materials: Metal staircases can be flawlessly incorporated with other materials to accomplish an agreeable plan. Consolidating glass components takes into account an open and breezy feel, while integrating wooden accents gives warmth and surface. The mix of materials can be custom-made to suit different plan inclinations, making outwardly shocking staircases.
Upkeep Prerequisites:
Metal staircases are for the most part low-upkeep, requiring negligible work to keep them in ideal condition. Here are some support tips:
Ordinary Cleaning: Residue and soil can collect on metal surfaces, so customary cleaning with a non-rough cleaner and a soft material is prescribed to keep up with their shine. See here Escalier metal
Review and Fixes: Occasionally examine the flight of stairs for any indications of wear, free handrails, or harmed parts. Address any issues speedily to forestall further harm.
Defensive Covering: Applying a defensive covering, for example, paint or powder covering, can improve the durability and presence of the metal flight of stairs while giving an extra layer of security against erosion.
End:
Metal staircases offer a triumphant blend of elegance, durability, and plan flexibility. Their intrinsic strength, combined with their capacity to adjust to different plan styles, settles on them a favored decision for both private and business spaces. Whether you want a contemporary, modern, or mixed look, metal staircases give perpetual plan prospects while requiring insignificant upkeep. By picking a metal flight of stairs, you can lift the visual allure of your space and partake in a utilitarian engineering highlight that will stand everyday hardship.
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designdekko · 2 years
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Shefford House in Shefford, Canada by Atelier BOOM-TOWN
Nestled on the south side of Mount Shefford (Québec, Canada), this residence is divided into three main volumes that follow the curves of the land. The volume that is slightly embedded in the mountain, on the rear façade, houses a ceramic workshop and a garage. A smaller volume, clad in Corten steel, is occupied by the master bedroom, its bathroom, and storage spaces. A home theatre room is located below.
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The variable width, white cedar siding helps to integrate, and even hide, the house in the forest, while the oxidation of the Corten block picks up the iron rocks present in this part of the mountain. The grey steel roof envelops the entire north façade, protecting the forms of the house from the road above.
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This project houses the studio of ceramist Sophie Manessiez, who lives there with her partner Damien and their children. It is a meeting place between domestic, work, and creative spaces.
It is also a place of gathering and greeting family and friends. The openings in these spaces allow singular relationships with the landscape and surrounding nature. Sometimes generous, sometimes more intimate, these multiple openings offer specific views and adapted sunlight so that the workspaces open onto different panoramas from those offered to the family areas. Sunlight, like nature, penetrates the spaces from all sides, positioning the occupants at the centre of an encounter between architecture and nature. The ground floor terrace extends the main space to the exterior.
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From the first meetings, it was important for the clients to have a house with a human dimension, as well as a reasoned ecological footprint. Particular attention was therefore paid to the orientation of the house to integrate some elements of passive solar design using the thermal mass with the floor slab and the openings to the south while using different methods to create sun breakers on the south facade to avoid overheating in summer. The fenestration also allows for cross-ventilation. The wall insulation was improved with compositions of up to R46 insulation value, as well as roofs of R62 value, thus minimizing the operating costs of the house.
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Technical sheet
Wood siding: Maxi-Forêt
Steel siding: MAC architectural  / Privus Design ( Corten steel)
Cabinetry: Ateliers Jacob
Staircase: Escalier Distinct 
Fireplace: STUV America
Doors & windows: Fabelta
Plumbing and ceramics: Ramacieri Soligo
Photograph: Raphaël Thibodeau
Source Link
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gosssip-girl · 2 years
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E - BLAST #38
Salut jeunesse dorée de Manhattan ! Voici venue le moment t’en attendu où le simple fait de descendre des escaliers fait de vous une femme. Vous avez deviné ? C’est le bal des débutantes et d’après les bruits qui courent une nouvelle composition des équipes et t’as prévoir.
Coup de théâtre, Serena van der woodsen vient de recevoir une invitation pour le bal qu’elle ne pourra pas refuser. Avis à tous les amateurs, où que vous soyez !
~ @gosssip-girl ~
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obo360com · 3 years
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InfiniteStair Composition artistique en noir et blanc réalisée depuis une prise de vue à 360°.Photo capturée dans l'escalier d'une tour d'angle appartenant à une forteresse moyenâgeuse, quelque part en Bretagne, en France. https://www.obo360.com/prod-infinitestair-uoe88ufd2yvecyz5b0ma-fr.html
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thatbritishactor · 3 years
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So, this recording became quite popular a few days ago, and my French ass was delighted (hysterical) to hear Ben speaking my language. Then, curiosity got the best of me and I couldn’t resist writing a tiny essay about what he’s saying, why it’s in the book and the most burning question... is Ben’s French good ???
OKAY ALRIGHT TIME TO TALK ABOUT FRENCH AND LITERATURE NOW.
*cracks neck*
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So let’s answer the most pressing questions, shall we ? what is Ben saying here?
LET'S ANSWER
1. I found this article (in English) which analyses the way Wilde inserts French literature and poems into Dorian Gray. The exert here is from “Sur les lagunes” by Théophile Gautier. It says : 
“It is the second of Gautier’s “Variations sur le carnaval de Venise,” a title inspired by musical composition, which suggests the poem should be read as if it were a musical score. Wilde gives it to his readers to play and interpret,(...) meaning both a musical scale and a range of colours—by making it the opening line of his quotation: [Dorian] came to those lovely stanzas upon Venice: — “Sur une gamme chromatique, Le sein de perles ruisselant, La Vénus de l’Adriatique Sort de l’eau son corps rose et blanc.” […] The mere lines looked to him like those straight lines of turquoise-blue that follow one as one pushes out to the Lido. The sudden flashes of colour reminded him of the gleam of the opal-and-iris-throated birds that flutter round the tall honeycombed Campanile, or stalk, with such stately grace, through the dim, dust-stained arcades. Leaning back with half-closed eyes, he kept saying over and over to himself: — “Devant une façade rose, Sur le marbre d’un escalier.”
The whole of Venice was in those two lines. (Dorian Gray, 304-5) Dorian’s concluding commentary on the poem is a loose translation of Gautier’s line: “Tout Venise vit dans cet air,” which muffles the musical ring in the original by deleting the word “air,” meaning “tune”.
Dorian’s incessant repetition of that line seems to produce the soothing effect he seeks, suggesting that he finds consolation in French art.”
“ In Wilde’s text, French words are like ornaments in music: they add a flourish"
2. What about the lines, what are they saying ? Here they are, followed by the rough translation by yours truly: 
Sur une gamme chromatique, On a chromatic scale
Le sein de perles ruisselant, Breast trickling,
La Vénus de l’Adriatique The Adriatic’s Venus,
Sort de l’eau son corps rose et blanc. Emerges from the water, her body pink and white.
Les dômes, sur l’azur des ondes   The domes on the azur of waves,
Suivant la phrase au pur contour, Following the sentence of pure outline
S’enflent comme des gorges rondes  Swelling like rounded throats,
Que soulève un soupir d’amour. Lifted by a lover’s sigh
L’esquif aborde et me dépose The skiff boards and drops me off
Jetant son amarre au pilier,  Throwing its mooring on the pillar
Devant une façade rose, In front of a pink façade
Sur le marbre d’un escalier.  On the marble of stairs.
3. Is Ben’s French good ? 
I'm not going to lie, his accent is pretty good. Some words are pronounced  flawlessly, especially " Gamme Chromatique " and "adriatique". Ben handled the stress on the "tique" perfectly and IT MADE ME FEEL THINGSSSSS. He also nailed "Devant une façade rose, sur le marbre d’un escalier.”
Otherwise, his english accent really shows (it’s okay, I forgive him, french is hard). , He’s trying his best but he mashes most of the words together, I had to focus to be able to understand what he’s saying. If Ben ever needs to speak French for a movie, he'd have to work on his accent, but the man loves accent and he's good at them, it wouldn’t take him long to nail it, I’m sure. 
He mostly alternates between his English accent/ a pretty good french accent in the ending of the verses. Some words are easier for him to say than others, and that some point on this verse : “sur le marbre de l’escalier” he speaks with a Quebec accent (it's hilarious). it’s in the way he says “maaaarbre”. 
I could record myself reciting the words so you’d know what they sound like in a french accent and compare, but I doubt it’d interest anyone. 
Okay I’m done obsessing now, I will go and listen to this on a loop til the day I die.
Goodbye. 
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estellehanania · 3 years
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Une très bel article d'Arnaud Robert sur la tradition Suisse des "Silversterchlaüse" publié dans Le Temps. 
"Cela paraît loin. La neige crisse sous une demi-lune. Le restaurant, aux guirlandes électriques, semble arrimé à la colline. Il n’est pas 5 heures du matin. Une voiture gravit le serpent de route glacée. En plissant les yeux, on aperçoit un jeune homme, solide, silencieux, s’extraire du siège avant. Il porte une chemisette aux manches bouffantes et une jupe de velours.
Il prend sa place, autour d’une tablée d’hommes. De tous âges. Certains portent une boucle d’oreille dorée. Ils répondent aux questions d’un haussement d’épaules. Ils sirotent tranquillement des alcools sucrés. Et puis, tout à coup, pour se donner du chaud, l’un d’entre eux élève la voix. Une voix d’enfant ralenti dans sa course. Les autres le rejoignent. Sans un regard l’un pour l’autre. Les voix de quinconce, les harmonies au bout du compte qui semblent ne pas redouter la friction. Ce qui frappe, quand ils chantent, c’est leur sérieux.
On s’était dit qu’il y avait là une belle manière d’escamoter ce début d’année. Passer une nouvelle fois le Réveillon, la Saint-Sylvestre d’un calendrier plus ancien. Depuis plus de deux cents ans, dans quelque vallée d’Appenzell Rhodes-Extérieures, on la joue à contretemps. Chaque 13 janvier, le village d’Urnäsch, son église, sa rue pavée, ses cafés aux boiseries peintes et ses fermes alentour s’animent d’une ferveur résistante. On vient de loin pour voir ça. De Zurich, de Suisse romande, du Japon aussi, par un petit train rouge qui arrive à l’heure.
Derrière le restaurant, dans ce matin frileux, le jeune homme en tenue de femme peine à ouvrir le portail de la grange. Sur une table attendent les masques. Des masques en escalier, aux visages poupins, surplombés de scènes sportives sculptées de bois et éclairées de lumignons. Ce sont les Schöne Kläuse, les beaux Nicolas: des costumes de paysans XIXe et des masques qui illustrent les traditions villageoises, mais parfois aussi des avions de la compagnie Swiss, des hommages aux marques appenzelloises, une forme de patriotisme local. Le groupe de Schönes’ajuste en cercle. Et ils chantent, de ce jour qui n’aura de fin qu’à l’aube suivante.
Cantique de yodel naturel
Sur la piste minuscule, le sentier qui longe la colline blanche, le groupe s’enfonce. Ils s’avancent de maison en maison, armés de leurs cloches énormes, de leurs grelots disposés en batterie. Ils réveillent les habitants, porte après porte, avec un Zäuerli, ces cantiques de yodel naturel qui paraissent relever de la forêt profonde plutôt que du folklore. Entre chaque ­morceau, les fermiers glissent sous le masque des chanteurs une paille, reliée à une chope d’alcool. C’est la monnaie d’échange. Une gorgée contre un chant. Mais il n’y a pas que les beaux, parmi les ­Silvesterkläuse.
Sur les mêmes pentes douces, les beaux croisent les laids, les Wüeschte. Ils portent des costumes de paille, des corps de branchages, des barbes de mousse, des dents d’animaux, de coquilles d’escargot, tout ce qui se trouve, des feuilles séchées qui ajoutent un murmure constant aux chants. Et des masques d’effroi, cubistes, premiers, on se croirait ailleurs, peut-être pas en Afrique. Mais dans un passé lointain, païen, où des esprits furieux étaient chargés de repousser la mort. Il y a quelques décennies, les Wüeschte ont aussi ouvert le champ à une nouvelle race: les «beaux laids», qui ont le corps végétal mais le visage moins brutal, souvent de pives séchées.
A Urnäsch, il existe plus d’une trentaine de groupes de Silvester­kläuse, plus de 200 soldats de l’année neuve, pour une population de seulement 2000 habitants. «La tradition est vive. Mais le nombre de compositions se réduit. Il existe plus de 1000 chants. Il n’y en a qu’une trentaine qui sont pratiqués.» C’est Noldi Alder qui parle. On l’a connu dans le film documentaire Heimatklänge, qui avait participé au renouveau des musiques traditionnelles suisses. Membre d’une dynastie de musiciens, violoniste, chanteur, il a longtemps défilé avec les Kläuse, avant de se retirer. Il est un guide béni, qui sait comment échapper à la meute des touristes.
Etat second
«J’ai compris grâce aux Kläuse ce que pouvait être la transe. Il y a la chaleur, le poids des costumes, la fatigue énorme après avoir arpenté des heures durant les montagnes, mais aussi les vapeurs d’alcool dans lesquelles on baigne en permanence dans nos masques: les chanteurs, au fil de la journée, tombent dans une forme d’état second.»
Dans son appartement, Aurelia, femme de Klaus, raconte la même chose. Ce mari qui, une semaine avant le 13 janvier, semble déjà «disparu», «ailleurs». Elle attend son groupe, pour les rares pauses qu’ils s’accordent; ils ôtent leurs masques, s’écrasent sur des sièges de massage loués pour l’occasion, ils boivent doucement, avalent quelques Schnitzel et repartent, pour que chaque maison soit visitée. Pour que le cycle des saisons enfin puisse s’achever.
Autre personnage du film ­Heimatklänge, la musicienne valaisanne Erika Stucky est là aussi. Elle porte un pull-over à capuche orné d’un squelette. Elle est une fanatique de yodel naturel, celui qu’on ne voit presque jamais dans les shows de la télévision alémanique. Dès qu’elle entend un Zäuerli, son visage devient une patinoire sous les tropiques.
«Je ne sais pas pourquoi mais cela me touche profondément, j’ai le sentiment d’être confrontée à une sorte de vaudou suisse, un rituel très ancien.» On dit que les Kläuse, même dans leur référence chrétienne, en appellent à des dieux nordiques, à Odin, aux cérémonies animistes de dissipation des malfaiteurs. C’est un drôle de paradoxe. D’une nuit à l’autre. Devant la porte d’une salle commune, pleine d’Appenzellois qui dégustent des saucisses bouillies, un groupe d’enfants en costumes forestiers attend son tour pour chanter. Un représentant éminent de l’UDC est venu un peu plus tôt serrer des mains. Ce Nouvel An tardif du calendrier julien ne revêt pas qu’une seule couleur. Il dit la révolte du rural sur l’urbain, l’indépendance féroce de ces peuples qui se perçoivent à la marge. Il dit aussi l’appétit de transmission, la nécessité que le joli folklorisé ne recouvre pas toutes les traditions. Il est sauvage, dans tous les sens.
Orgie de carillons
Le petit garçon a 10 ans. Son visage est mangé de rameaux. Son corps entier sent la terre et la forêt. «J’ai appris à chanter dans ma classe de Zäuerli. Mon papa lui-même est chanteur.» On leur mendie une petite mélodie. Ils se posent en cercle. Ils n’ont pas des visages de petits garçons mais une concentration mutine, une solennité qu’on n’a pas vue souvent. Le chœur de leurs voix mariées fait naître d’autres voix fantômes, des harmoniques insoupçonnables. On dirait qu’un ogre joyeux surplombe la bande et recouvre le chant de ses mains immenses. «Cela vous va?» On acquiesce. Ils s’en vont dans le vacarme des ferrailles, de cloches et de tympans.
Il est plus que minuit, le jour d’après. La vallée entière est une orgie de carillons qui surgissent des fermes les plus reculées. Rien ne semble menacer les Silvester­kläuse. Ni la désertification de ces demi-alpages, ni le tourisme qui polit tout. Les Appenzellois ont besoin d’eux pour aller au-delà.
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hansdurrer · 4 months
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St-Etienne, France, 10 Juin 2024
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rachelsurseine · 3 years
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Ex diebus – Canto secondo
De David Hockney à Fra Angelico
Il y a quatre ans, quand je travaillais au Centre Pompidou, mon badge me permettait d’entrer gratuitement aux expositions du musée, et d’y rentrer accompagnée. J’ai bien profité de cet avantage. Cet été-là, il y avait deux expositions à l’affiche, l’une sur Walker Evans, un photographe, et une rétrospective d’un artiste contemporain, David Hockney. Je suis d’abord allée voir une première fois avec Pierre l’exposition sur Walker Evans, dont la photographie vernaculaire en noir et blanc correspondait tout à fait à mes goûts. Puis je suis allée avec Pierre et Armand voir celle sur David Hockney, qui est peut-être le peintre figuratif le plus connu actuellement. Je ne connaissais pas sa peinture avant de voir la rétrospective, mais j’avais compris que c’était l’un des artistes majeurs d’aujourd’hui.
J’ai donc pu découvrir certaines des œuvres les plus connues d’Hockney, notamment The Splash. J’ai été séduite par son style, qui me fait penser à la peinture d’Hopper, mais en plus moderne, plus joyeux, en version californienne d’une certaine manière. Arrivée vers la fin de l’exposition, tout à coup, c’est le choc. Je tombe sur son Annonciation et je suis frappée par la beauté de ce tableau. Pour moi c’est le point d’orgue de l’exposition.
Je suis touchée par la grâce des traits qui me rappellent l’imagerie médiévale, par cette couleur rose, si moderne, mais qui par contraste ajoute une touche de merveilleux à cette scène biblique. Ce tableau saisit pour moi quelque chose de la beauté universelle. Je trouve l’idée très audacieuse, et le résultat absolument réussi.
Je suis restée de longues minutes devant cette Annonciation, et je suis retournée la voir quelques semaines plus tard.
Depuis ma rencontre avec le tableau d’Hockney, je rêvais de voir le tableau qui l’avait inspiré, la version de Fra Angelico. C’est ce que je suis allée chercher à Florence.
L’étape obligée de cette escale à Florence était donc le couvent San Marco et nous y sommes allés le lendemain de notre arrivée. Avant d’y aller, j’avais pris soin d’écouter sur France Culture l’analyse du tableau par Daniel Arasse, historien de l’art spécialiste de la Renaissance italienne et dont l’analyse de la Joconde lue par ma professeure de français en prépa m’avait laissé un souvenir impérissable.
J’étais si pressée de voir l’Annonciation que j’ai sauté les premières salles (avant d’y revenir plus tard) pour aller la contempler. Elle est située à l’entée d’une grande salle et on y accède en haut d’un escalier, l’effet est assez saisissant. Je n’ai pas été déçue.
Ce que j’aime particulièrement dans la composition de Fra Angelico, c’est l’arrière plan verdoyant à gauche. L’herbe parsemée de fleurs et cette végétation luxuriante derrière cette simple palissade. Il s’en dégage une sérénité qui confère à la scène un supplément de solennité et de calme. Pour moi cela a quelque chose du jardin d’Éden, comme si la scène ne se passait pas vraiment sur Terre. Et puis j’aime beaucoup l’expression du visage de Marie et ses bras qui enserrent son ventre d’un geste doux. Oui, c’est une scène biblique, oui, c’est un topos. Mais je trouve que dans cette représentation de Marie à qui l’Archange vient annoncer qu’elle enfantera le Christ, on peut y voir toutes les femmes qui apprennent qu’elles vont avoir un enfant. Bien sûr, je suis aussi touchée de me dire que cette fresque à plus de cinq cent ans et que vu du quinzième siècle français, c’est d’une modernité incroyable. Enfin, j’aime la profondeur des couleurs des tenues des personnages, le rose pour l’Archange et le bleu pour Marie, évidemment, le travail délicat des drapés, différent pour l’un et l’autre. Le choix d’un plumage multicolore pour l’Archange pourrait presque rompre l’harmonie du tout, mais c’est la petite bizarrerie qui attrape l’œil et nous attire dans la scène.
Pour l’occasion, je portais un haut bleu, d’un bleu marial. Il convenait pour le musée du matin, San Marco, et pour celui de l’après-midi, le museo Bardini.
Nous n’aimons pas visiter les lieux les plus courus des villes, par crainte de la foule. Je préfère chercher dans le Routard ou sur Internet des visites qui correspondent à ce qu’on aime. C’est souvent de la photographie : l’exposition sur Cartier-Bresson à Venise, celle de Martin Parr à Brest l’année dernière, le musée Helmut Newton à Berlin il y a deux ans, une exposition sur Cartier-Bresson en Amérique à Lucques il y a trois ans. Et quand ce n’est pas le Moyen Âge, c’est le XIXe siècle. Stefano Bardini était un collectionneur d’art qui incarne cette mouvance de redécouverte et d’étude des arts anciens durant le XIXe siècle. La particularité de son musée est que les œuvres de différentes époques sont disposées thématiquement (une salle pour les sculptures, une pour les tapis, une pour les armes, etc.) sur fond bleu russe, selon le vœu et le choix de Bardini. Le lieu, un palais florentin, offre un décor sublime à la collection. J’ai adoré cette visite, nous avions le musée pour nous tous seuls. Là ce n’était pas la beauté d’un chef d’œuvre mais la beauté par l’accumulation des œuvres qui se répondaient entre elles dans cet océan de bleu.
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