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#et des réflexions sur notre monde actuel
idereahellyeah · 1 year
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Quand tout le monde ne parle que de Barbie mais que pour moi cette semaine a rimé avec Oppenheimer.
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selidren · 1 year
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Champs-les-Sims - Eté 1908
3/10
Malheureusement, Albertine a détesté toutes mes idées, et sans que je comprenne à l'instant où se situait le problème. Je devine que vous l'avez pressenti immédiatement, mais c'est une forme d'intelligence que je ne possède pas. Alors comme il convient toujours pour moi de le faire en ce genre de cas, j'ai demandé conseil à Adelphe.
Il a quitté la maison juste avant la naissance des enfants, pour nous faire de la place essentiellement, et je regrette ce départ. Mis à part mes années d'internat, nous n'avions jamais été séparés de cette façon et ce fut complexe au début. Heureusement, il revient au domaine quotidiennement pour gérer les affaires. Il a d'ailleurs eu un troisième enfant depuis. Dire qu'en une seule fois, j'en ai eu davantage de lui en dix ans.
Bref, il m'a donc bien expliqué en quoi mes choix de prénoms étaient peu pertinents dans la conjoncture actuelle, et parmi d'autres conseils, m'a suggéré de me reposer davantage sur l'avis d'Albertine. Elle bien sûr souhaitait des prénoms plus traditionnels, voir des hommages à des ancêtres disparus, alors que j'avais une vision diamétralement opposée. Nous avons fini, après de nombreuses heures de discussion, à dégager un compromis basé sur deux piliers fondamentaux : elle voulait quelque chose de relativement ancré dans notre culture actuelle (tout du moins en terme de sonorités), et moi je voulais un rapport avec la culture égyptienne. Notre solution s'est trouvée dans la dynastie lagide qui, bien que fondamentalement macédonienne, était un excellent terrain d'entente pour notre compromis. Ainsi, les prénoms de nos enfants sont certes originaux, mais pas au point de les taxer de bizarres ou de s'attirer les foudres de l'état civil (lequel, après réflexion, n'aurait sans doute admis un prénom comme Khâemouaset). Nous en avons retenu une dizaine, ne sachant pas exactement combien d'enfants viendraient au monde.
Je suis donc à la fois fier et ému de vous annoncer la naissance de mes quatre enfants : Arsinoé, Cléopâtre, Sélène et Marc-Antoine.
(Je les ai bien sûr mentionné dans l'ordre chronologique de leur naissance, ce qui fait d'Arsinoé mon héritière. Marc-Antoine est bien entendu un nom romain, mais il était si piqué de culture hellénistique que j'ai consenti à l'ajouter dans ma liste quand Albertine m'a dit qu'il lui plaisait.)
Transcription :
Constantin : Vraiment ? Lesquels ?
Adelphe : Pour commencer, il se pourrait que parmi tous ces enfants, le premier à naître soit une fille. Tu aurais donc une héritière.
Constantin : Très juste. Il me suffira de la nommer Nebetaoui, "Dame des Deux Terres".
Adelphe : Constantin... Nous sommes des français du second millénaire après Jésus-Christ, pas des égyptiens du second millénaire avant Jésus-Christ. Le problème de ces prénoms n'est pas leur signification, qui prouvent ton investissement et ton envie de bien faire, mais ce sont bien les prénoms en eux mêmes. Ils ne sonnent pas bien chez nous. Donne moi donc le nom complet de ces enfants.
Constantin : Nebetaoui Le Bris... oh... je crois que je comprends.
Adelphe : Il va falloir faire des compromis Tintin.
Constantin : Je ne sais pas si j'en suis capable.
Adelphe : Alors laisse faire Albertine, elle sera certainement capable de trouver un point de jonction entre tes idées et les tiennes. Peut-être des variantes hellénistiques...
Constantin : Très bien, je comprends. Mais au-delà de ces questions au demeurant triviales, comment dois-je faire pour élever mes enfants ? Tu en as deux, et ils ont l'air relativement heureux, comment fais-tu ?
Adelphe : Et bien... il n'y a pas de façon miracle je présume, j'essaie simplement de faire au mieux.
Constantin : Je t'en supplie, fais un effort et explique moi ! Quand je te vois faire, tout semble si facile !
Adelphe : Très bien, mais cela ne va pas te plaire... Si j'observe mon expérience, je devrai résumer la paternité à une compromission permanente entre faire ce que tu juge être bon pour l'enfant et ce que veux l'enfant. Il ne faut jamais oublier que tu l'éduque pour lui-même, non pour toi.
Constantin : Mais comment sait-on ce que veux l'enfant ? Et pire, comment suis-je censé savoir ce qui est bon pour lui ? Tu vois bien que je suis parfaitement incompétent !
Adelphe : Et rappelle toi que tu n'es pas seul, Albertine est là aussi. Et si j'en juge par ce que tu me dis d'elle, elle a déjà à coeur ce qui est bon pour vos enfants.
Constantin : Oooh ! Tu fais référence à son opinion sur mes idées de prénom ! D'accord, cela ne me semble pas compliqué. Et comment savoir ce que veut l'enfant ?
Adelphe : Demande lui ! Enfin, apprends lui à parler d'abord, ce sera plus simple par la suite...
Constantin : Cela me semble simple en effet. Cependant, je ne crois pas que Père m'ait déjà demandé ce que je souhaitais.
Adelphe : Maximilien Le Bris était un homme compliqué. Très compétent en certains domaines, bien moins dans d'autres. Fais ce que je te conseille et tu seras un bon père Tintin.
Constantin : Merci Adelphe. Si tu savais comme tu me rassures... Qu'est-ce que je pourrai bien faire sans toi ?
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francebonapartiste · 7 months
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Bienvenue sur le compte Tumblr de France Bonapartiste
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Notre histoire nationale est depuis de trop longues années déjà mise à l’écart au profit de la connaissance européenne et mondiale. Nous ne pouvons pourtant bâtir les fondations de l’avenir sur des bases instables, en méconnaissance de notre passé. Souvent il a été glorieux, parfois il a été sombre. Les personnages historiques qui ont façonné notre pays doivent être sorti de l’ombre et leurs actions doivent être pleinement étudiées, sans raccourcis qui pourraient nous perdre dans de funestes horizons.
Par ce cercle de réflexion historique, nous souhaitons ainsi embrasser notre récit national pour comprendre quels ont été les chemins glorieux et les sentiers escarpés.
Nous souhaitons partager avec vous ces heures éblouissantes qui ont fait la France ; la Révolution française et le souffle nouveau qu’a apporté notre Nation à l’Europe voire même au monde entier, dans ses heures éclatantes mais aussi et parfois dans ses moments les plus sombres ; la naissance et l’œuvre phénoménale de l’homme providentiel en la personne de Napoléon Bonaparte qu’elle soit militaire, architecturale, diplomatique comme politique et qui a mené par son génie la France sur le toit du monde ; la vision et le profond attachement de Louis-Napoléon Bonaparte avec les Français qui l’élisent premier président de la République française en 1848 et qui deviendra l’Empereur Napoléon III aux réalisations sociales ayant données le « la » à nos droits sociaux actuels ; les deux guerres mondiales ayant apporté la terreur mais qui a vu également émerger des figures héroïques telles De Gaulle, Jean Moulin, Simone Veil, Joséphine Baker et tant d’autres, qui représentent par-delà leur personne, la France.
Il n’est point question d’effacer des pans entiers de notre histoire nationale, mais au contraire de la mettre en lumière et d’en étudier toutes les facettes pour comprendre comment notre Nation s’est aujourd’hui constituée !
Ce compte tumblr se veut être le pendant de notre site internet, afin que nous puissions partager sur ce réseau social de différents articles, photos, analyses et découvrir des comptes fascinants.
N'hésitez pas à nous suivre !
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claudehenrion · 9 months
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Relire l'Histoire, à contre rythme des relectures actuelles...
La réécriture de l'Histoire était un passe-temps d'amateurs, avant que les pratiques de la Gauche, qui raffole de cet exercice, ne viennent polluer notre paysage politique. Le hollandisme puis la macronie lui ont conféré une sorte de ''sacralisation laïcarde'', parmi leurs autres idées mensongères... ce dont nous n'avons pas fini de payer les conséquences : l'addition est déjà lourde, et le pire est à venir... Heureusement, des historiens dignes de ce nom nous gratifient parfois d'hypothèses qui nous aident à mieux comprendre le monde moderne à travers les crises artificielles que fabriquent, pour nous perdre, les dirigeants du moment.
Un bel ouvrage de cette lignée vient de ''sortir'' ou plutôt de ressortir : c'est une réédition commentée de l’œuvre d'un historien belge, Henri Pirenne, jusque là totalement inconnu de moi, pour ma plus grande honte. Cet historien bien de son temps (col cassé, moustache et bouc bien peignés !) est mort à ma naissance --sans qu'on puisse établir de lien entre ces deux événements, d'ailleurs. Il avait écrit (donc dans les années 1930) de passionnants ouvrages qui ont été oubliés, dans l'anonymat du vulgum pecus (dont je revendique de faire partie, sans fierté ni arrogance !), mais qui ont été jugés majeurs par toute une école d'historiens ouverts, insoumis (si j'ose !) au stupide ''penser correct'' qui mène l'Occident –et le monde, avec lui-- à une perte qui semble irrémédiable.
Ce ''complotiste'' avant l'heure aux yeux des aveugles qui s'auto-proclament ''l’intelligentzia'' (et qui, donc, penchent à gauche, par mimétisme !) avait émis, dans un excellent ''Mahomet et Charlemagne'', publié après sa mort, en 1937, mais que je n'ai lu que très récemment, l'idée que c'est à cause des invasions arabes que le monde romain survivant à l'Imperium s'était divisé et avait disparu, et que ''Charlemagne (et donc le Saint Empire romain-germanique) n'auraient pas été possibles sans Mahomet''. La 2 ème guerre mondiale a arrêté net toute idée hors du champ politique. Pirenne est tombé dans l'oubli, et sa thèse fut jugée scandaleuse par la ''bien-pensance'', déjà myope à en être aveugle. On peut y adhérer ou pas (pour ma part, j'ai du mal avec certaines de ses déductions, qui me semblent ne pas avoir été démontrés par la suite du temps, mais cela est sans importance, même à mes propres yeux).
Car ce qui compte, c'est une explication ''qui se tient'' de toutes nos crises actuelles, qui étaient donc visibles dès les années '30, donc avant que la folie ne sorte des asiles, au point que la belle Collection Quarto de Gallimard a demandé à à trois historiens, A.Marchandise, Ph.Senac et G.Warland, de réunir les trois Essais majeurs d'Henri Pirenne dans un nouveau livre ''Histoires de l'Europe'', où l'on découvre que ni les invasions barbares, ni même la disparition politique de l'Empire romain n'ont eu une influence réelle sur son organisation sociale, sur sa foi chrétienne, sur son espace commercial, sur l'existence de sa ''Mare nostrum''. Le vrai basculement n'est devenu perceptible qu'avec l'explosion fulgurante de l'islam qui, détruisant les voies de communication, a repoussé le barycentre de l'Occident vers le nord de l'Europe –d'où le lien avec Charlemagne.
Pirenne démontre que le formidable Empire romain, qui allait de l'Ecosse aux confins du Sahara (en Libye et en Egypte) et de l'Espagne à la Syrie et à la Turquie actuelles) n'a pas été bouleversé en profondeur par les invasions dites ''barbares'', à part à Rome-même : les vainqueurs ont eu l'intelligence de comprendre le charme et les avantages de ''s'assimiler'' à une civilisation largement plus ouverte et plus prometteuse que la ou les leur(s). (NDLR – comme on aimerait que, dans leur propre intérêt plus encore que dans le nôtre, les barbares du XXI àme siècle soient capables de la même réflexion-adaptation... Passons). Notre roman national résonne de la fusion gallo-romaine : des francs de Clovis aux wisigoths et aux vandales, notre pays est encore très ''marqué en profondeur'' par les mœurs de l'ancien ''colonisateur'', par Rome et les survivances de sa catholicité... jusque à mon joli village de Mougins, où les ruines de la Via Julia et des ''castra'' de surveillance contre les ligures sont encore visibles, dans ma propre propriété.
Tout ce décor, harmonieux malgré les batailles et les guerres va être détruit, très vite, par l'arrivée des guerriers d'Allah, au VII ème siècle : ''Tandis que les germains, écrit Pirenne, n'ont rien à opposer au christianisme de l'Empire, les arabes, eux, sont exaltés par une foi nouvelle qui veut détruire le monde ancien et régner sur la Terre entière '' (NDLR : objectif clair et précis dont pas un iota n'a été modifié ni même n'a un tout petit peu évolué, dans le discours actuel de l'islam). De ''Mare nostrum'' unifiante, la Méditerranée va devenir de manière permanente un obstacle infranchissable --sauf pour de nouveaux envahisseurs infiltrés parmi de soi-disant ''migrants''!-- et le village de Mougins sera ''razzié'' à plusieurs reprises, comme tant d'autres.
 Pirenne fait découvrir à ses lecteurs que l'Empire romain (qui n'était pas ''issu d'Athènes et de Jérusalem'' pour rien !) était avant tout un art de vivre (j'en parlais récemment, à propos de Ravenne et de la Syrie et de la Jordanie actuelles --où je l'avais ''rencontré'', dans sa partie byzantine, lors de voyages ''initiatiques''). Il en déduit, avec près d'un siècle d'avance sur ce que nous vivons, une opposition ''de facto'' entre une Europe de l'ouest, marquée par un esprit de liberté, d'individualisme et d'altérité mélangés issus du christianisme et de sentiment d'appartenance à une ''Nation''... et une Europe orientale, plus impériale, autoritaire et disciplinée –il dit ''germanique'', et explique par là même, dès 1937, l'impossibilité chaque jour plus évidente d'une Europe unie : personne, jamais, n'a réconcilié l'huile et l'eau... ou le feu et l'eau.
Au moment où une métastase soudaine du conflit israélo-palestinien est en passe de bloquer le trafic du détroit erythréo-yéménite de Bab el-Mandeb qui n'a jamais si bien mérité son nom de Porte des lamentations (Il représente –on l'oublie trop souvent-- entre 25 et 40 % du commerce mondial, et sa fermeture risquerait de précipiter la Chine dans une crise économique majeure, déjà commencée, mais qui recevrait là un coup de grâce : un conflit y paralyserait l'équilibre économique du monde)... il faut absolument lire Pirenne : il n'y a rien de plus éclairant, en ce moment, puisque à défaut de résoudre les maux dont se meurt notre civilisation, cela permet –au moins-- de comprendre les raisons profondes des malheurs d'hier pour évaluer les menaces d'aujourd'hui ! Ce n'est pas tous les jours qu'il est possible de s'offrir une telle possibilité d'anticipation !
H-Cl.
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epopoiia-leblog · 2 years
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Fashion week
Il serait malhonnête de nier l’émerveillement ressenti à chaque Fashion Week, avec la découverte des dernières créations des plus grands couturiers, comme celles des jeunes designers prometteurs.
Devant nous défilent les témoignages d’un univers, d’un patrimoine, d’un idéal, d’une vision d’un créateur qui s’octroie la liberté, à travers l’art du vêtement, de nous raconter le monde et de nous transporter dans l’antre de son imaginaire. Fruit de multiples talents, de toutes ces petites mains ayant œuvré, pendant des heures infinies, dans l’ombre de l’artiste, maniant fils, aiguilles et machines telles de vraies magiciennes, pour nous offrir la joie d’admirer ce spectacle fabuleux d’étoffes, plus surprenantes les unes que les autres.
Elle nous ensorcelle, la mode et ses délices qu’elle présente amadouement à nos yeux. Elle est si belle, c’est un rêve éveillé que l’on vit…
Mais derrière tant de splendeur, se cachent aussi bien des travers que nos engagements ne nous permettent pas de laisser de côté.
La mode est polluante, cela n’est pas une nouveauté, mais quand arrivent les Fashion Weeks, cet aspect devient d’autant plus critiquable.
Quel est le coût environnemental de tous ces déplacements, incluant aussi bien les êtres humains que le matériel, pour quelques heures de spectacles ? D’une ville à l’autre, combien d’heures d’avion viennent s’amonceler dans l’empreinte carbone mondiale ? Et qu’en est-il de la question des logements, de la création des décors, rarement recyclés une fois le show terminé, de l’électricité, de l’énergie que tout cela représente ? Sans oublier la production des vêtements qui est à elle seule extrêmement polluante…
Selon The Carbon Trust, chaque année les Fashion Weeks représentent 241 000 tonnes de CO2. En d’autres mots, cela représente l'éclairage de Time Square pendant 58 ans. Affolant n’est-ce pas ? La connaissance de ces chiffres nous amène fortement à nous questionner sur notre rapport à ces évènements et à leur légitimité actuelle, alors que le monde est en train de traverser une dangereuse crise climatique.
Une nécessité s’impose à reconsidérer l’organisation et la mise en place des Fashions Weeks sous un prisme écologique. La crise sanitaire de 2020 nous a déjà apporté des pistes de réflexion en proposant des défilés digitaux, limitant ainsi les déplacements et leur empreinte environnementale. Certains designers s’engagent aussi à ce que leurs créations soient conçues en majorité avec des matériaux responsables, comme Stella McCartney par exemple. D’autres, encore, ralentissent le rythme des défilés en réduisant le nombre de leurs collections annuelles. Toutes les bonnes idées sont bonnes à prendre.
De même qu'il serait tant que la diversification des corps soit davantage représentée sur les défilés et que la présence de mannequins racisé.e.s, transgenres, grande taille ou de plus de 50 ans ne soit plus une minorité ou, pire, une exception.
C’est l’ensemble des Fashion Weeks qui doit être repensé. Mais ces changements ne pourront rendre ces évènements que d’autant plus magiques. ✨
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Illustration inspirée du défilé Alexis Mabille Haute Couture Printemps-Été 2023
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christophe76460 · 14 days
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Briefing Spirituel Quotidien (DSB)
11 Sept 2024
Ne pas être « focus sur vos besoin » mais « être un semeur » !!!
«‬‬ Celui qui sème peu moissonnera peu, et celui qui sème abondamment moissonnera abondamment. »
‭‭2 Corinthiens‬ ‭9‬:‭6‬ ‭LSG‬‬
RÉFLEXION & INSPIRATION
Dans notre cheminement de foi, il est facile de devenir "soucieux des besoins", mais cela peut conduire à un sentiment de pénurie, d’anxiété et même de désespoir. Faisons confiance à Dieu pour pourvoir à nos besoins, et ne nous inquiétons pas constamment de ce dont nous avons besoin. La Bible nous enseigne que nous ne devrions pas nous concentrer sur nos besoins immédiats, mais plutôt sur ce que nous pouvons semer pour l’avenir.
En se concentrant sur la semence, nous permettons à Dieu d’agir en nous et par nous. L’appel à être "soucieux des semences" vous invite à changer votre orientation de ce qui vous manque vers ce que vous pouvez semer dans le monde autour de vous. Cela signifie reconnaître le potentiel qui est en vous pour influencer positivement les autres et cultiver un esprit de générosité.
Lorsque vous adoptez une approche "à l’esprit de la semence", vous commencez à voir des occasions de semer les graines de l’espoir, de la joie et du service dans toutes les situations, non seulement pour vous-même mais pour ceux qui vous entourent. Concentrez-vous simplement sur le potentiel de croissance et de transformation plutôt que sur les limites de votre situation actuelle. Investissez dans la vie des autres et Dieu prendra soin de vos besoins d’une manière que vous ne pouvez même pas attendre.
Sois béni et rappelle toi que Tu es choisi !!! « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais moi, je vous ai choisis » (Jean 15 :16, LSG)
🙏🏼 PRIONS 🙏🏼
« Seigneur, aide-moi à me concentrer sur les besoins et non sur les semences que je peux semer dans la vie des autres. Apprend-moi à être généreux avec mon temps, mes ressources et mon amour.
Seigneur, je veux être un bon intendant de tout ce que tu m’as donné. Aide-moi à utiliser mes ressources pour ta gloire et le bien de ceux qui m’entourent. Au nom tout-puissant de Jésus, je prie. Amen et Amen »
N’oubliez pas de partager ce message
…/Power connexion/DG
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deepthinker-society · 4 months
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Métal. Dernièrement, je cherchais à dessiner le métal. Quoi ? Plus explicitement, je cherchais à retranscrire dans mes dessins la texture de métal. Il n'aura échappé à personne qu'il est possible de savoir si un artefact est métallique ou non simplement par la vue. Il est d'ailleurs possible de créer des trompes l'œil qui donne l'impression du métal sans en être. Pour qu'il soit possible de reconnaitre visuellement du métal, c'est que le métal possède des caractéristiques précises. Pour les dessiner, j'ai dû chercher les sources de ces fameuses caractéristiques. C'est ça qui est bien avec le dessin, on voit le monde différemment quand on cherche à le reproduire. Cet art nous oblige à nous poser des questions sur ce qu'on perçoit et à reconsidérer nos sens. Bien entendu, j'ai choisi le métal, mais cela fonctionne avec tout type de texture. En observant ainsi son environnement, on se rend non seulement compte de la richesse visuelle qui se passe sous nos yeux, mais aussi de l'incroyable capacité de notre cerveau à faire le tri dans tout ça et à caractériser correctement ce qui doit l'être. Rien que savoir reconnaître visuellement une caractéristique d'un objet d'une frontière visuelle entre un élément et un autre est ingénieux. Allez-y chercher. Comment savez-vous qu'il y a un vase sur la table ? Ça se trouve il s'agit d'une nappe avec un motif de vase. Mais non, vous savez. Par la forme ou la perspective. Non vraiment, il s'agit d'un vrai vase sur la table et non pas d'une nappe. Cet exercice peut être fait pour chaque chose se trouvant dans votre champ visuel. Bref, de mon côté, je cherche à reproduire le métal. Ce que je peux vous dire actuellement, c'est que le métal se reconnaît principalement grâce à un jeu de lumière et d'une réflexion particulière des formes. Il n'y a même pas besoin de couleur. Juste un crayon avec différentes nuances de gris. Quelques astuces à connaître et hop, vous voilà capable de reproduire la boîte de métal. En théorie. La richesse du monde se trouve dans ses détails, mais elle reste définitivement plus simple à écrire qu'à reproduire. Sur ce, je retourne m'entraîner sur mes dessins. #dessin #métal #texture
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orbitofdesire · 5 months
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[...] Pour le dire vite, s’il y a dans les syndicats tout ce qu’il faut pour faire de l’enquête ouvrière, il ne manque que la volonté de le faire, l’impulsion politique nécessaire : la règle, c’est plutôt « chacun fait ce qu’il veut dans son coin ». Dans cette logique, pas besoin de mutualiser l’information, de synthétiser, de connaître l’état du salariat à un moment et de partager avec d’autres des constats sur notre fonctionnement, nos victoires et nos échecs. Résultat : les potentialités contenues dans toutes les pratiques list��es ici sont loin d’êtres pleinement utilisées. Par quels canaux les connaissances produites pourraient-elles servir à transformer le monde ? Par effet de conscientisation mutuelle dans l’enquête – et c’est là un processus qui est largement à l’œuvre aujourd’hui, même quand on ne le cherche pas volontairement. À titre de support de propagande : partager l’expérience ouvrière, pour que d’autres s’y retrouvent et veuillent s’investir dans la lutte. Dans un but « cartographique », parce que la connaissance du tissu salarial est indispensable à la réflexion stratégique : quels espaces échappent complètement à l’implantation syndicale ? Où faut-il concentrer nos efforts de syndicalisation ? Quelles alliances possibles dans le combat de classe ? Autant de questions qui demandent un effort explicite de production de connaissance, à tous les niveaux, du national à l’entreprise, en passant par tous les échelons territoriaux. En laissant émerger des sujets écartés par les routines militantes : si tel sujet revient souvent parmi les non-adhérent⋅es en contact avec le syndicat, c’est peut-être que celui-ci devrait s’y pencher au plus vite… Par mutualisation et coordination, qui sont les bases de la force d’une organisation : partager les tactiques qui marchent, les revendications ignorées à mettre en avant, tirer les bilans des échecs, lancer des campagnes qui impliquent réellement les équipes militantes… Dans une optique de long terme : comment penser et lutter pour la transition écologique sans un état des lieux minimal de l’outil de production en s’appuyant notamment sur celles et ceux qui le connaissent le mieux : les travailleur⋅es ? Pour illustrer ces points un peu abstraits, on pourrait imaginer qu’il y ait un travail de synthèse à partir des permanences juridiques : il permettrait de « détecter » une préoccupation récurrente des salarié⋅es, mais pour l’instant hors des radars syndicaux (par exemple un système de discrimination raciste dans tel secteur, ou dans les entreprises appartenant à tel patron…). Le problème peut alors être mutualisé, et faire l’objet d’une réflexion stratégique, pour mettre en place des outils juridiques et d’organisation (préparation d’une grève, etc.). Ce qui permettra au réseau militant de base de s’attaquer au sujet avec détermination, dans le cadre d’un effort coordonné, et en bénéficiant de l’appui des différents échelons syndicaux. Le recueil et la diffusion de témoignage de salarié⋅es, qui se faisant deviennent des militant⋅es, est alors un outil de diffusion et de mobilisation plus large, tout en permettant d’exercer une pression médiatique. Ce petit exemple spéculatif montre que la volonté d’enquête, en somme, n’est rien d’autre qu’une composante essentielle d’une coordination qui fait trop souvent défaut au syndicalisme de lutte actuel.
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omagazineparis · 5 months
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6 podcasts féminins à écouter impérativement !
Nous vous proposons 6 podcasts féminins à écouter impérativement ! Drôles, inspirants, émouvants, irrévérencieux, malins ou joueurs, vous trouverez avec certitude votre bonheur auditif. Bercez vos oreilles des paroles sages qui composent notre sélection de podcasts.   Sorociné : le question du féminisme sous le prisme du septième art Parmi les nombreux podcasts féminins du moment, nous vous conseillons Sorociné. Son principe ? Offrir un regard différent sur le féminisme sous le prisme du cinéma. La fondatrice du podcast est la journaliste et critique de cinéma Pauline Mallet. Entourée de ses invités, la jeune femme passe à la moulinette le monde du septième art. Un milieu où les stéréotypes et les clichés sont toujours présents malgré la libération de la parole féminine. Au sommaire, les sujets abordés sont variés. Vous voulez le programme ? Les études de cinéma, les sorcières, le sexe ou bien encore l’émancipation des femmes par le mal. En bref, un éclectisme des sujets qui célèbre le cinéma et le travail des femmes. Soigné, inclusif et pédagogique, tels sont les maîtres mots de Sorociné. Une perspective fraîche et intelligente dans l’offre actuelle des podcasts féminins. Quoi de meuf : le podcast intersectionnel Dans les propositions de podcasts féminins, Quoi de meuf a pour mot d’ordre l’intersectionnalité. Que désigne ce terme ? Il signifie la situation de personnes qui subissent plusieurs discriminations ou dominations dans la société. Les fondatrices du projet sont les journalistes Clémentine Gallot et Mélanie Wanga. La volonté du podcast ? Intégrer toutes les femmes avec diversité et visibilité. De fait, les créatrices du podcast reçoivent leurs invitées pour discuter et débattre. Au programme du podcast mensuel : des sujets sociétaux, politiques, culturels, sexuels mais aussi de l’art de vivre. Le tout, dans une ambiance décontractée avec du sérieux sans se prendre au sérieux. Original et pertinent, Quoi de meuf deviendra très certainement l’un de vos podcasts féminins préférés. YESSS : le podcast des warriors Dans notre sélection de podcasts féminins, nous vous recommandons YESSS. Sa marque de fabrique ? Un ton positif et émancipateur qui célèbre les femmes. Comment ? En donnant la parole à celles qui ont subi le sexisme ou des situations de discrimination. Des témoignages, forts en sens, qui méritent notre attention totale. Elsa Miské, Margaïd Quioc et Anaïs Bourdet sont les créatrices de ce podcast crée en décembre 2018. Une consultante, une journaliste et une graphiste. Trois femmes, trois univers opposés, mais un projet commun : prôner l’émancipation de toutes les femmes. En ce sens, ces Drôles de dames prouvent qu’elles n’ont nullement besoin de Charlie pour mener leur mission. Depuis sa création, ses fondatrices donnent la parole à ses invitées : « des warriors au quotidien. » Loin d’être des victimes, ce sont avant tout des guerrières qui se battent avec résilience. Parmi les sujets abordés, les thèmes sont hétéroclites avec la santé, l’humour ou les droits LGBT. Inspirant, solidaire et positif. Des valeurs qui symbolise le podcast YESSS. En outre, cela fait du bien, surtout en ce moment. Un podcast à soi : quand l’intime rencontre le podcast Entre la littérature et l’univers des podcasts féminins, il peut y avoir un pont. En ce sens, Un podcast à soi est un joli clin d’œil en référence à la romancière Virginia Woolf. Vous ne voyez toujours pas ? Il s’agit de son roman Une chambre à soi publié en 1929. La créatrice du projet est la journaliste Charlotte Bienaimé. Comme l’illustre écrivaine britannique, la jeune femme évoque la notion d’intimité. Entre documentaire et entretien, le podcast combine l’expertise, le récit et le témoignage. De fait, ces éléments sont les moteurs pour évoquer des thématiques sur le genre, l’égalité des sexes ou le féminisme. Dans un même ordre, Charlotte Bienaimé questionne et soigne sa réflexion pour construire ses épisodes. Vous souhaitez connaître les thèmes abordés ? Politique, religion, famille, justice, sexisme ordinaire ou bien encore le sport sont de la partie. En bref, des sujets variés avec, toujours en substance, l’idée d’explorer l’intime. Avec souplesse et ingéniosité. Dans l’univers des podcasts féminins, Un podcast à soi propose son monde intimiste, propre et instructif. Un moment d’écoute à consommer sans modération une fois par mois sur Arte Radio. Sois gentille, dis merci, fais un bisou : des portraits de « femmes ordinaires aux destins exceptionnels » Dans notre sélection de podcasts féminins, Sois gentille, dis merci, fais un bisou a affûté notre attention. La raison de notre enthousiasme ? Son message en filigrane : les femmes sont libres d’aller au bout de leurs rêves. Une aspiration belle et noble qui fait fi des peine-à-jouir. Rétrograde, le nom du podcast n’est pas le fruit du hasard. Qui est la personne derrière ce titre imbibé de muflerie ? Nous vous présentons l’accusée : il s’agit de la journaliste Clémence Bodoc. Toutefois, rassurez-vous. Il n’y a aucune once de sexisme de la part de l’ancienne rédactrice en chef de MadmoiZelle. Bien au contraire. En effet, la jeune femme utilise cette injonction pour tordre le cou aux stéréotypes sexistes qui pourrissent le débat. Au sommaire du podcast, la journaliste interroge ses invitées, toutes des femmes. Issues du monde médiatique, politique ou artistique, ces dernières se livrent avec sincérité et passion. Enfance, rapport au temps, espoirs, attentes et déceptions sont au menu du podcast. Parmi les invitées, la liste est à la fois plurielle et de qualité. Des exemples à citer ? Bérangère Krief, Zazie, Camille Chamoux, Audrey Pulvar ou bien encore Isabelle Alonso. Leur point commun ? Elles ont réussi à accomplir leur rêve. Une réussite qui met à mal le sexisme latent qui gangrène notre société. Motivant, pédagogique et profondément contemporain. Vos oreilles vous remercieront de ce moment auditif tout en équilibre. La Poudre : le pionnier des podcasts féminins Impossible de faire l’impasse sur La Poudre. Depuis son lancement en 2016, l’émission est devenue une référence dans le monde des podcasts féminins. Une inspiration même. Fort de ses millions d’écoutes, le podcast pérennise sa réussite à travers ses beaux portraits de femmes. La créatrice du podcast n’est autre que Lauren Bastide. Ancienne rédactrice en chef à Elle, elle fut également chroniqueuse dans l’émission Le Grand Journal sur Canal+. Journaliste, la jeune femme est également une militante engagée. Ses combats ? Ils sont nombreux mais avec un objectif clair : faire le bien commun. Des exemples concrets ? La lutte contre les stéréotypes sexistes, l’égalité entre les sexes ou bien encore la place des femmes dans l’Histoire. En clair, des thématiques contemporaines qui trouvent un prolongement grâce à La Poudre. Son concept est simple mais efficace. Un jeudi sur deux, Lauren Bastide reçoit une invitée dans une chambre d’hôtel. Artiste, politique, écrivaine ou journaliste, l’interviewée se confie sur son parcours. Enfance, éducation, carrière et combats sont évoqués sous le regard attentif et bienveillant de la journaliste. En somme, il s‘agit d’une belle parenthèse pleine de sens et qui convoque nos propres interrogations sur le féminisme. Intimité, profondeur et émancipation. Telles sont les manifestations concrètes de La Poudre ou devrions-nous dire la référence des podcasts féminins. Ce voyage dans le monde des podcasts féminins va bientôt s’achever. Nous espérons que notre sélection vous a plu. Si tel est le cas, enfilez de ce pas vos écouteurs pour écouter l’un de nos podcasts proposés ! La rédaction vous conseille également les articles suivants : - Les cinq podcasts mode à ne pas rater. - Les 10 meilleurs podcasts à écouter pour le confinement. - 5 bonnes raisons d’écouter des podcasts. Read the full article
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flokkyn-s-cellar · 5 months
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22/04/2024
Aujourd'hui j'ai fini l'écriture du positionnement de mon projet sur la SF. J'ai également avancé sur la réflexion visuelle de mon projet (que je montrerais dans un second post).
Pourquoi je ne suis pas Georges Orwell ?
Le jeu de société que j’élabore a pour thème central la question de la communication lorsque celle-ci est restreinte par les groupes dominants (tel que le gouvernement dans ma fiction). Alors, comment se défendent les groupes opprimés lorsque celle-ci est contrôlée par des forces supérieures de manière systémique ? Comment s’extraire de ces rapports de forces ?
J’ai choisi de le faire au travers de la SF et de sa littérature pour extrapoler des comportements visibles de transformation du langage dans nos sociétés contemporaines. Un exemple de ces pratiques à notre époque actuelle serait le suivant: Sur les réseaux sociaux, les algorithmes reconnaissent des mots (comme par exemple "Suicide") qui vont emmener à la suppression de certains contenus ou aux shadowban de ceux-ci. Si ce système a pour objectif (officiel) de limiter l'apparition de contenus choquants pour les utilisateurices, il limite aussi les contenus dans lesquels des groupes marginalisés pourraient se retrouver, ou bien même des posts de prévention contre ceux-ci. Alors les utilisateurices ont trouvé des moyens de contourner ces systèmes en mélangeant des lettres et des signes pour finir par ressembler au mot original. Donnant ainsi lieu à des termes/visuels comme "$ui6de".
Comme l'illustre cet exemple actuel de nos plateformes numériques; qui nous permettent pourtant de communiquer plus vite qu'il ne l'a jamais été possible. La question de la censure dans les médias est vieille comme le monde, mais c'est parce qu’elle se renouvelle à chaque innovation technologique. J'ai alors voulu extrapoler la censure jusqu'à ce qu'elle puisse se passer à l'intérieur même du corps (bien qu'au travers d'une machine qui le contrôle). Est-ce que même dans cet Etat de contrôle là, nous serions capable de contourner la censure? De penser autrement? J’y fais le pari que oui.
Mon travail a été quelques fois comparé au "Newspeak", ou "Néoparler" créé par Georges Orwell dans son roman 1984. Dans son œuvre, ce concept détermine une volonté de l'Etat Totalitaire d'essentialiser le langage à des substances extrêmement brutes et rigides. Cela passe par la suppression de nombreux mots et variantes pour ne les rapporter qu'à un seul d'entre-eux.
Ex: Les mots "mauvais", "infect", "dégoûtant", "répugnant", "exécrable" ont tous été supprimés pour devenir le mot "inbon".
Le but profond étant d'essentialiser une langue à son sens minimum pour ne devenir que "toute noire ou toute blanche", être pour ou contre, en enlevant toute nuance possible pour stériliser le débat. Le rendre impraticable par la langue, mais même à terme, pour le rendre impensable. Si les mots sont vidés de toutes substances alors on ne peut plus penser certains concepts.
Il est vrai que le roman de Georges Orwell m'a inspiré dans ma démarche et je comprends le rapprochement fait avec le "néoparler", pour autant, je pense que je me situe sur l'axe opposé de son travail. Dans le monde qu'il a créé, la culture, la langue et la connaissance sont des dangers continuellement détruits et/ou réinventés par le régime en fonction de ces besoins et qui doit être oublié/appris/intégré par la population.
Dans le monde que j'ai choisi d'investiguer, ce n'est pas la société qui est essentialisée en tant que tel, car tout ce qui existe, ou a existé n'est pas nié. Ce sont les individus qui sont profondément essentialisé·es au strict minimum. On leur donne un rôle, doté d'une fonction qu'iels devront éternellement satisfaire. Il s'agit là plutôt d'une critique d'une reproduction des classes sociales (à la manière de Bourdieu), puisqu'en fonction des connaissances attribuées à chaque individus, iels n'auront jamais accès au même capital socio-culturel.
Ex: Un individu qui aura les connaissances "Couture" et "Cuisine", ne pourra jamais accéder à la place qu'occupe un individu ayant "Histoire de l'art futuriste" et "Aéronautique" (et inversement).
Jusque-là c'est somme toute classique, pourtant la deuxième chose qui va me différencier de Georges Orwell c'est que je vais laisser ma dystopie devenir "vivante", car je vais la laisser se parler et "se faire". Je parle ici du système de langage dans lequel vont se trouver les joueureuses. Iels vont devoir échanger des messages codés, à cause de la technologie du Mnêmokratus, pour faire parvenir les réels messages recherchés (dans le langage que nous connaissons).
Ex: Avec la connaissance "Cuisine", si l'on recherche le mot "Président", l'on pourrait dire "Le chef des commis".
Ce système est une volonté de ma part pour mettre en lumière le procédé suivant: même avec des accès restreints (volontairement par l'Etat), les communautés (souvent opprimées) trouvent toujours un moyen d'exprimer leurs opinions en sublimant la substance des mots/des signes/des images. C'est en fait le chemin inverse que je fais par rapport à Orwell puisque chez moi c'est la répartition de la culture qui est essentialisée mais qui se voit sublimer et extraite jusqu'à la moelle, tandis que chez lui c'est la diversité de la langue pratiquée par tous·tes qui se voit essentialiser au rôle d'outil (de domination).
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nouveau-blog · 6 months
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Quand Big Brother inspire l'Art Numérique
"1984" Inspire l'Art Numérique : Exploration des Thèmes de Surveillance et de Résistance
Le monde décrit par George Orwell dans son roman "1984" révèle une société terrifiante où la surveillance omniprésente et la manipulation de l'information sont utilisées comme outils de contrôle. Alors que nous sommes confrontés à des défis similaires dans notre propre société, des artistes numériques contemporains ont pris le relais pour explorer ces thèmes complexes à travers leur art. On se demande donc :
Comment les artistes contemporains utilisent-ils leur art pour explorer les thèmes de surveillance et de résistance, tels que présentés dans le roman dystopique "1984" de George Orwell, et comment ces œuvres résonnent-elles avec notre réalité moderne ?
1. La Surveillance Comme Outil de Contrôle
Dans "1984", la surveillance est utilisée par le gouvernement pour maintenir son pouvoir sur la population. Cette thématique résonne fortement dans notre société actuelle, où la technologie de surveillance devient de plus en plus sophistiquée. Un exemple frappant est celui de **Trevor Paglen**. Son œuvre "The Other Night Sky" cartographie les satellites gouvernementaux secrets, révélant ainsi l'étendue de la surveillance dans notre ciel. Cette installation immersive invite les spectateurs à réfléchir sur l'invisibilité de la surveillance qui nous entoure.
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2. Manipulation de la Réalité et Dissimulation de la Vérité
La manipulation de la réalité et la dissimulation de la vérité sont des éléments clés de "1984". Dans notre ère numérique, ces concepts prennent une nouvelle dimension. L'épisode "Haine virtuelle" de la série "Black Mirror" offre un aperçu saisissant des dangers de la manipulation de l'information et de la réalité augmentée. **James Bridle** explore également ces thèmes, mettant en lumière les risques de la désinformation et de la manipulation numérique dans ses œuvres. Son projet "Dronestagram" utilise des images satellites pour révéler les lieux de frappes de drones, mettant en lumière la dissimulation de la vérité dans un monde hyper-connecté.
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3. Expression Individuelle et Résistance
Malgré la répression dans "1984", le protagoniste Winston Smith cherche à préserver son intégrité et son autonomie. Dans notre société actuelle, où la surveillance est omniprésente, l'expression individuelle devient un acte de résistance. L'œuvre "How Not to Be Seen" de **Hito Steyerl** incite les spectateurs à réfléchir sur leur propre rapport à la surveillance et à la visibilité en ligne, offrant ainsi une perspective critique sur notre société numérique. Cette installation interactive encourage les participants à explorer les moyens de rester invisibles dans un monde où la visibilité est souvent synonyme de vulnérabilité.
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En explorant ces thèmes à travers l'art numérique, ces artistes offrent des perspectives profondes sur les enjeux contemporains de la surveillance et de la résistance. Leur travail rappelle aux spectateurs l'importance de la vigilance et de la résistance contre les abus de pouvoir, tout en offrant des espaces de réflexion et d'expression dans un monde de plus en plus surveillé et contrôlé.
À travers leurs œuvres, ces artistes continuent le dialogue entre la fiction dystopique de "1984" et notre réalité numérique, offrant ainsi des réflexions critiques sur notre société moderne.
Gachi Anissa
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fred-the-curator · 6 months
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October London Réinvente la Soul: Un Hommage à Marvin Gaye
October London Réinvente la Soul: Un Hommage à Marvin Gaye Quand j'ai posé mes oreilles sur "The Rebirth of Marvin" d'October London, il était clair que j'étais face à un chef-d'œuvre moderne, un voyage musical empreint d'un respect profond pour les géants sur lesquels il se dresse. Signature de Snoop Dog sur Deathrow records, ce n'est pas tous les jours qu'un album réussit à capturer l'essence du passé tout en proposant une vision résolument moderne du R&B et de la soul. Laissez-moi vous guider à travers cette exploration musicale, où chaque note semble porter l'écho d'une époque révolue tout en chantant l'avenir. Une Ode au Passé, Un Pont vers l'Avenir October London n'est pas simplement un artiste ; c'est un conteur, un historien de la musique qui puise dans les profondeurs de la soul pour en extraire quelque chose de nouveau, d'unique. "The Rebirth of Marvin" n'est pas juste un titre ; c'est une déclaration d'intention, un hommage évident à Marvin Gaye, dont l'influence imprègne l'ensemble de l'album. Mais October va plus loin, mélangeant habilement les influences de Gaye avec celles d'autres légendes telles que Curtis Mayfield et Smokey Robinson, tout en insufflant sa propre essence moderne. L'Art de la Composition Ce qui distingue "The Rebirth of Marvin" dans le paysage musical actuel, c'est son approche de la composition. Chaque morceau est un tableau soigneusement peint, où les arrangements de cuivres rencontrent des lignes de basse groovy et des mélodies captivantes. La production est à la fois luxuriante et épurée, permettant à la voix d'October London de briller en plein centre, portant des textes qui parlent d'amour, de lutte, de douleur et d'espoir. Une Voix Qui Touche l'Âme La voix d'October est un instrument à part entière. Elle possède une qualité intemporelle, capable de vous transporter dans le passé tout en restant ancrée dans le présent. Son timbre riche et émotionnel traverse l'ensemble de l'album, rendant chaque chanson à la fois personnelle et universelle. Les Points Forts de l'Album Parmi les titres phares, "Soul of a Man" se distingue par son introspection poignante, tandis que "Colors of Autumn" capture la beauté mélancolique des changements saisonniers, métaphore des transformations intérieures. "Revolutionary Love" rappelle les hymnes d'amour et de protestation de l'époque de Marvin Gaye, prouvant que les thèmes de l'amour, de la justice et de la liberté sont toujours d'actualité. Conclusion : Une Oeuvre qui Résonne "The Rebirth of Marvin" d'October London est bien plus qu'un album ; c'est une expérience, un pont jeté entre les générations de musiciens soul et R&B. Il réussit l'exploit de rendre hommage aux icônes du passé tout en traçant sa propre voie. Dans un monde où la musique est souvent consommée rapidement et sans attention, cet album exige de l'écoute, de la réflexion, offrant en retour une richesse et une profondeur rarement atteintes. Je vous encourage vivement à donner une chance à cet album, à vous laisser emporter par sa mélodie et ses paroles. Peut-être trouverez-vous, comme moi, un fragment de votre propre histoire dans ses harmonies. Réagissez, commentez, liker et partagez. Votre opinion compte et enrichit le dialogue autour de cette œuvre remarquable. Partageons ensemble notre amour pour la musique qui touche l'âme. via Blogger https://ift.tt/4ATz7pu April 11, 2024 at 09:00AM
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ondessiderales · 6 months
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Shin Seiki Evangelion, ou L'Évangile du Nouveau Siècle
Aujourd'hui je voulais vous parler de ce dessin animé culte et célèbre dans le monde entier qu'est Shin Seiki Evangelion (L'Évangile du Nouveau Siècle), aussi connu sous le nom de Neon Genesis Evangelion (L'Évangile de la Nouvelle Genèse).
« En 2000, une gigantesque explosion se produit en Antarctique. Ce cataclysme, officiellement provoqué par la chute d'un astéroïde, entraîne une montée des eaux de plusieurs dizaines de mètres et dévaste une grande partie de la planète, provoquant la mort de deux milliards de personnes ainsi qu'une nouvelle guerre mondiale.
Quinze ans plus tard, l'humanité a surmonté cet événement dramatique désigné comme le « Second Impact » mais de mystérieuses créatures géantes, les Anges, font leur apparition et tentent de détruire Tokyo-3, la nouvelle capitale-forteresse du Japon. Pour les combattre, l'organisation secrète NERV a mis au point les « Evangelion » (ou « EVA »), des géants humanoïdes d'apparence mécanique.
Shinji Ikari, jeune garçon de 14 ans, se rend à Tokyo-3 sur l'invitation de son père, directeur de la NERV, qu'il n'a pas revu depuis dix ans. Il est loin de se douter qu'il a été appelé pour piloter une EVA et prendre part au combat contre le « Troisième Ange ». Celui-ci n'est que le premier d'une longue série où il sera accompagné par Rei Ayanami, et plus tard Asuka Soryu Langley, et où chaque affrontement peut conduire à la disparition de l'humanité. Mais ils devront également régler leurs propres conflits intérieurs alors que la mystérieuse organisation SEELE, qui dirige secrètement la NERV, tente de mettre en place son « Plan de complémentarité de l'Homme » dont le but est de faire évoluer le genre humain vers un nouveau stade, ce qui n'est pas sans rappeler le concept de Surhomme de Nietzsche. »
« La série connaît immédiatement un grand succès et est saluée pour la qualité de son animation et son scénario sophistiqué. Commençant comme un anime classique de mecha post-apocalyptique, Evangelion surprend le public en accordant une grande place à l'introspection des personnages et en abordant des thèmes comme la dépression et le suicide, chose jusque-là rare dans l'animation. Plébiscitée autant pour ses scènes d'action parfois très sanglantes que pour ses réflexions, la série a acquis au fil des années un statut d'icône culturelle majeure de l'animation japonaise dont elle est aujourd'hui considérée comme l'un des fleurons des années 1990.
Hideaki Anno réalise cette série comme thérapie alors qu'il est en pleine dépression. Les trois protagonistes principaux représentent chacun l'un des aspects par lesquels le réalisateur se définit à cette période. Neon Genesis Evangelion est reconnu pour avoir plusieurs niveaux de lectures. Mais l'anime reste une véritable critique du phénomène otaku auquel Anno s'identifie. D'ailleurs les Evas représentent le corps maternel où les enfants peuvent se réfugier et fuir la réalité du monde. C'est ce cheminement scénaristique et psychologique qui explique que de nombreux fans n'aient pas apprécié la fin originale. »
Très connu au Japon, la popularité de ce dessin animé a largement dépassé ses frontières, et est devenu avec le temps une référence immanquable de la pop-culture.
Evangelion porte des messages très actuels qui raisonnent avec notre monde moderne et je souhaitais lui rendre hommage aujourd'hui.
Voici son opening.
Version courte
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Version longue
ATTENTION, les images qui vont suivre peuvent être choquantes (sang, mort, nudité). Son contenu s'adresse à un public averti.
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Zankoku na tenshi no teeze (La thèse de l'ange cruel)
Tel un ange cruel Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
Le vent bleuté (kamikazé) frappe maintenant à la porte de ton coeur Tu me regardes simplement et tu me souris En plein rêve, tu cherches à comprendre ce qui te touche doucement Avec tes yeux innocents, tu ne vois même pas encore ta destinée
Mais un jour tu réaliseras que tu as sur ton dos Des ailes capables de t'emmener vers un futur lointain
La thèse de l'ange cruel S'envole enfin par la fenêtre Avec un pathos (passion) brûlant qui surgit en toi Trahis tes souvenirs (ton passé) Et brille en enlaçant ce ciel (cet univers) Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
(Chœur)
Dormant depuis longtemps dans le berceau de mon amour Le matin où toi seul seras appelé le messager des rêves arrive Le clair de lune éclaire ton cou fin J'aimerais pouvoir arrêter le temps et me replier sur moi-même
Mais s'il y a un sens au fait que l'on se soit rencontrés Alors je suis la Bible qui te fera connaître la liberté
La thèse de l'ange cruel Ainsi commence la tristesse A l'instant où la forme de vie que tu as enlacée Se réveille de ce rêve Mieux que quiconque, tu émets la lumière Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
Les Hommes créent l'Histoire en filant l'amour Même si je ne deviens jamais une déesse, je vivrai
La thèse de l'ange cruel S'envole enfin par la fenêtre Avec un pathos (passion) brûlant qui surgit en toi Trahis tes souvenirs (ton passé) Et brille en enlaçant ce ciel (cet univers) Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
J'ai rajouté des choses entre parenthèses dans la traduction pour éclaircir des double-sens ou sous-entendus intraduisibles en français
Kamikazé : "vent divin", protection de Dieu accordée au Japon et à l'humanité (qui donne le mot "kamikaze" en français)
Les termes "mythe" et "pathos" (passion) font référence à la mythologie antique (en particulier grecque)
L'usage de ces deux termes (ainsi que le terme "thèse") fait également écho à la pensée allemande, notamment la psychanalyse de Freud et la philosophie de Nietzsche (Surhomme) et Hegel (dialectique).
Le thème de la grossesse fait référence à la maïeutique (accouchement des idées) de Socrate
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claudehenrion · 11 months
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Regarder sans voir... ou voir sans comprendre ?
Lorsque j'ai décidé de reprendre la rédaction de ce Blog –que j'avais annoncé être ''en RTT'' jusqu'à la fin de 2023, année de réelle disgrâce pour moi, durant laquelle le malheur m'a annihilé-- je ne me doutais pas des raz-de-marée de mauvaises nouvelles qui allaient me mettre dans une quasi-obligation de commenter l'inracontable. Mais le ''blogueur'', qui n'est qu'un commentateur stérile, dans le fond, doit s'adapter et se donner un mal fou pour découvrir des chemins de traverse que les faux exégètes, à la solde des pouvoirs, n'oseraient jamais transgresser... Et des dizaines de mails de lecteurs me demandant de ''reprendre mes editoriaux'' m'ont redonné le courage de le faire.
Pour notre plus grand malheur individuel et collectif, chaque jour qui passe nous amène son lot de nouvelles si épouvantables qu'elles devraient se passer de tout commentaire... à ceci près que des décennies de mensonges, d'analyses biaisées et de bourrage de crâne ont rendu une majorité de ceux qui vont les lire, rebelles à toute compréhension de ce qui est au-delà des faits, du ''dessous des cartes'', du sens réel de ce qui arrive... Le grand George-Bernard Shaw avait cette phrase que j'aime beaucoup : ''Don't bother me with facts : they only confuse the issue'', que l'on peut traduire, en français actuel, par : ''Ne m'emmerdez pas avec les faits : ils compliquent tout !'').
Je n'ai jamais compris comment nos ''leaders'' sans le moindre leadership, sans idées autres que mauvaises, sans culture, sans colonne vertébrale, sans système de référence, etc... en étaient arrivés à faire avaler tant de bobards incroyables à tant de braves gens, pour la plupart dénués de toute malice. Car on pourrait avoir l'impression, en ces jours de furie et de haine, que tout a été mis en place pour que les yeux s'ouvrent sur la vraie situation du monde et sur les vrais problèmes qui se posent à lui (et qui sont, en gros, à l'opposé complet de tout ce que ''ils'' nous font croire important, nous y reviendrons). Je parlais l'autre jour d'une lueur d'espoir possible. Or, en seconde lecture et après réflexion, je me retrouve forcé de penser que tout va mal et de plus en plus mal, que tout a rarement été aussi mal, et que les sources d'espérance en des jours meilleurs deviennent une denrée rare. Comment est-ce possible ?
Faisons un petit tour du propriétaire : l'école n'est plus qu'une catastrophe, voire un véritable piège, un traquenard où s'oblitère toute bonne volonté : les profs ont peur, les élèves ont peur, les parents ont peur, et personne ne transmet plus rien que cette peur, qui se transforme souvent en harcèlement... L' industrie est en état de désorganisation organisée... l'agriculture, une jachère... l'hôpital, un coupe-gorge et la médecine, trop souvent, un porte-parole de mensonges officiels qui font oublier parfois le serment d'Hippocrate... La police, l'armée et les corps constitués, ne sont plus que des repoussoirs... La soi-disant ''Justice'' si mal nommée, une balance truquée... Les professions libérales, le commerce et l'artisanat, des impasses... L'immobilier, un champ de ruines –par la seule faute de l'Etat-Léviathan et de sa manie de taxer tout ce qui existe... Et la société que l'on contraint à se vautrer dans les stupres pervers de lois mensongèrement prétendues ''sociétales'' quand elles ne sont que létales, un échec ''XXL'' dans son ensemble... La Nation, entité maudite, n'est plus qu'une caricature moquée, l'Europe, un ancien beau rêve vidé de toute substance, et la politique un synonyme de mensonge...
Et non seulement je pourrais continuer longtemps à énoncer des litanies de catastrophes sciemment fabriquées, autour d'idées toutes plus absurdes les unes que les autres, mais le même constat s'applique, sans en changer une virgule, à toutes les valeurs, les vertus, les qualités, la morale et la moralité, et l'éthique. Les critères de bien-être et de joie de vivre des hommes ont cédé le pas à un fatras d'idées complètement fausses, souvent perverses, et toujours sans espoir (dites ''lois sociétales'') dont pas une seule ne vaut la peine d'être … ne serait-ce que ''émise'', a fortiori ''à conserver.''.. et n'aurait dû être imaginée, si nos dirigeants avaient conservé une once de sagesse, et nous le courage de bloquer les folies taubiresques !
La seule chose qui marche comme nos chefs le voudraient (c-à-d : de manière obligatoirement catastrophique pour tout humain ''normal''), c'est l'interdiction de rouler ''sensé'' (= tout, sauf électrique, nous l'avons souvent expliqué, justifié et commenté) et celle, à l'opposé de toutes les préoccupations de la vaste majorité des français, de louer des ''passoires thermiques'' (perte sèche : 5,2 millions de logements ''interdits'', stérilisés par une décision imbécile et irresponsable. Et on va faire quoi, pour contrer cette énorme connerie ? Réponse : ''Ch'ch'sais pas ! ''. Sous entendu : ''Après moi, le déluge'' !).. A cause des danses du ventre pour capter les voix des faux écologistes (qui ont fait cocus les naïfs, comme tout le monde, toujours : c'est dans leur nature !), et a cause de l'adhésion inexplicable de l'Elysée aux rêves absurdes de l'illuminée Greta Thunberg et de la pernicieuse Ursula von Der-des-ders, les français vont bientôt ''rouler à pied'' et être aussi mal logés que les gazaouis après qu'ils aient payé le prix des méfaits du Hamas... à ceci près que nous n'avons rien fait de mal, d'autre... que de laisser nos nuls étaler l'immensité de leur contre-savoir et de leurs mauvaises analyses sur l'écologie et sur l'immigration, sujets sur lesquels ils ont simplement interverti l'ordre des priorités : rien de ce qui était impératif, dans un cas, et tout ce qu'il fallait ne pas faire, dans l'autre...
Et voilà que devant une déclaration de guerre explicite à défaut d'être officielle au Moyen-Orient, il suffit de 48 heures pour que l'indignation flanche et que tous les pires réflexes refassent surface. J'ai failli pleurer de rage, avant-hier, en entendant Macron nous ressortir pour la ''énième'' fois la rengaine dévaluée de l'union de tous, au lieu de, tout simplement ''faire ce qui doit être fait''... Que faudra-t-il, pour qu'il comprenne que les ''français administratifs'' ne sont, quoi qu'en disent ceux qui se sont toujours trompés, pas du tout intéressés par la France, par la paix, par le ''vivre ensemble'' (mon Dieu... quel échec, ce con-cept ''à la con''!), par la laïcité (MDR !), les ''valeurs de la république'' (idem !), et par tous ces autres ''-cepts'' aussi cons que celui-là, ceux que les idéocrates de gauche (dont Macron, à peine moins que Hollande, le fossoyeur en chef) ont protégés, poussés, promus, et imposés de force ?
A qui s'adresse cette impossible ''Union'' mille fois ressassée ? Aux jihadistes ? Aux tchétchènes ? Aux islamistes ? Aux imams salafistes ? Aux frères musulmans ? Aux braves musulmans terrorisés par la violence des ''autres'' ? Aux suiveurs de Mélenchon ? Allons, Monsieur le Président ! Un peu de clairvoyance, un peu d'honneur, de fierté, de ''vista'', de sens du réel, de respect des vrais français, et même de vos électeurs... Un peu de mémoire, un peu de sens de l'observation... Il y aurait, a osé proférer votre Darmanin, un lien possible entre les incidents (sic !) d'Arras et ''ce qui se passe au moyen-orient''. De qui se moque-t-il, et vous avec lui ? On devient aussi stupides que les juges belges qui croient encore que puisse exister un seul ''loup solitaire'' ! (nous reviendrons sous peu sur cette caricature de Loi –en faveur de l'immigration massive, sous des dehors de ''contrôle''. Contrôler n'a jamais été synonyme de ralentir, de reprendre l'initiative, voire de stopper : un comptable ne sera jamais un agent de police, c'est une évidence !
Il semblerait que nous venons d'entrer, male volens, dans les eaux troubles de la dernière étape avant l'effondrement : si tout ne pète pas autour de Gaza ou de l'Ukraine (car alors, il n'y a plus de problème), il nous restera peut être une dernière chance de faire ce qu'il aurait fallu faire depuis 30 ans, ce que dit la voix de la sagesse contre laquelle tous nos gouvernants ont toujours été ''vent debout'' depuis que le problème a été posé –très mal et déjà bien tard... Mais, comme il reste peu de temps avant la catastrophe, il faudr0a mettre les bouchées doubles, sérieusement, sans trembler, jusqu'au bout et... ''quoi qu'il en coûte'', comme dit l'autre... faute de quoi nous nous réveillerons très vite dans un de ces dilemmes... dont on ne se réveille pas : soit la guerre civile, soit la ''charia'a'', soit, plus vraisemblablement, les deux ! Mais, sûrement, la fin de la France.
H-Cl.
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ecrivonsdemain · 7 months
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SÉANCE # 6 – AU-DELÀ DES FILTRES : ÊTRE VRAI SUR INTERNET 
Chers internautes, 
Nous vivons dans un monde qui est de plus en plus connecté, l’identité numérique est devenue un pilier incontournable de notre vie. En effet, l’identité numérique englobe nos interactions avec les réseaux sociaux, les forums de discussion ainsi la façon dont nous pouvons nous présenter en ligne. Cependant, elle ne se limite pas seulement à une présentation de soi-même, mais elle révèle la manière dont nous sommes perçus par les autres et comment nous interagissons avec autrui. Nous allons explorer l’importance de l’identité numérique, les défis liés à la sécurité et à la confidentialité des données personnelles des utilisateurs. 
L’article journalistique « Pas d’identifiant numérique sans débat ni transparence » aborde des questions sur la transparence, la sécurité ainsi que la confidentialité, mais dans le contexte de l’identité numérique (Khelil et Pineau, 2023). Cet article met en lumière les inquiétudes liées à la mise en marché du système d’identifiant numérique, comme le Service québécois d’identifiant numérique (SQIN). Il met en évidence les risques liés à la vie privée des utilisateurs, la sécurité et la confidentialité (Khelil et Pineau, 2023).
L’identité numérique est également une question de sécurité et de confidentialité et ces questions nous concernent tous. Effectivement, la protection de nos données personnelles est un enjeu très important dans l’ère numérique actuelle. L’identité numérique peut avoir est aussi une question de respect envers les autres. Nos interactions en ligne peuvent avoir un impact réel sur les autres utilisateurs, c’est pourquoi il est important de s’assurer que nos actions en ligne représentent nos valeurs et notre respect envers autrui.  
Bref, l’identité numérique est un aspect essentiel dans notre présence en ligne. Non seulement elle dévoile qui nous sommes, mais aussi comment nous coexistons avec les autres citoyens. De ce fait, il est crucial de prendre au sérieux les questions de sécurité et de confidentialité.  
J’aimerai connaître vos expériences et réflexions sur le sujet de l’identité en ligne.  
À bientôt ! 😊
Khelil, L. et Pineau, A (2023, 24 octobre). Pas d’identifiant numérique sans débat ni transparence. Le Devoir. 
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thomraconte · 11 months
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SÉANCE #10 — L'intelligence artificielle: Une lame à double tranchant
L'intelligence artificielle, résultat d'un développement continu sur plusieurs décennies, connaît actuellement une effervescence sans précédent. Cette évolution technologique significative a permis de résoudre de nombreux défis contemporains, mais elle a également semé des inquiétudes au sein de la communauté créative.
L’impact potentiel de l’intelligence artificielle peut être illustré par les trois exemples suivants. Tout d'abord, elle se déploie dans la surveillance et la préservation des récifs coralliens. Grâce à l'utilisation de caméras sous-marines associées à des algorithmes, l'IA évalue l'état de santé des récifs sans perturber leur environnement délicat. De plus, en identifiant les phénomènes météorologiques dangereux depuis l'espace et en émettant des alertes préventives, elle contribue à prévenir et préparer les citoyens pour les catastrophes naturelles. Enfin, son utilisation pour lutter contre le braconnage, surveillant de vastes zones de manière continue et identifiant les intrus, représente un véritable espoir pour la protection de la faune menacée.
Cependant, cette progression rapide de l'intelligence artificielle engendre des inquiétudes parmi les artistes quant à la préservation de leurs métiers. Avec près de 56% des emplois actuels menacés par l'automatisation (Carmona, 2023), la créativité émanant de cette technologie soulève des questionnements cruciaux. Des événements récents, tels qu'un concert où une composition entièrement générée par une IA a réussi à duper un public et à faire passer les compositions pour celles de Bach, un roman produit de A à Z par un programme informatique à New York ou encore la vente aux enchères d'une peinture réalisée par un réseau neuronal artificiel à Paris pour des sommes considérables (Martin, 2023), alimentent ces craintes.
En résumé, l'intelligence artificielle révolutionne notre monde à une cadence époustouflante, offrant des solutions novatrices, mais non pas sans créer de craintes. L'avenir semble promettre des avancées technologiques toujours plus poussées, incitant à une réflexion approfondie sur les implications éthiques et sociales de cette révolution numérique. Le défi auquel nous ferons bientôt face est de tirer parti de cette technologie sans altérer notre humanité, en parvenant à trouver un équilibre entre progrès et préservation.
https://naviant.com/blog/artificial-intelligence-positive-impact/
https://www.equaltimes.org/l-intelligence-artificielle-est?lang=fr
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