Tumgik
#et j'ai besoin d'un miroir
ravel-ing · 1 year
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ça fait longtemps que je réfléchi comment il serait possible d'incorporer des parties de D&D, et tabletop rpg en général, dans un forum rpg. Ce que je veux dire par ça c'est comment incorporer un système plus orienté autour des dés, et des stats.
Pourquoi les dés c'est la folie ? L'ajout de hasard et de laisser le dé décider de ce que l'univers déciderait est juste incroyable et mène à une histoire que personne n'aurait pu anticiper. Aussi, ça laisse les perso être aussi stupides et badass qu'on ne s'autorise que rarement en tant que joueur par peur de ne pas être réaliste.
Les stats permettent que le dé gardent une certaine logique. Pour ceux qui ne connaissent pas D&D, lorsque tu veux faire une action que l'univers pourrait décider le sort à ta place (ex: making out with ur bff), tu roules un dé 20 faces et tu rajoutes les bonus propre à ton perso basé sur ses expériences et son savoir. Si le total est 5, tu lèches son nez, si c'est 10 c'est ok mais so boring, si c'est 15 c'est le niveau on s'est rencontré dans un bar et le temps d'un soir on va prétendre que t'es l'amour de ma life, si c'est 20 c'est l'heure de les épouser.
LES STATS SONT INTIMIDANTES donc voilà comment je pense que je ferai pour un forum. Mettons qu'on prenne les stats D&D, on a besoin de savoir :
FORCE -> ta capacité à ouvrir un pot de cornichon
DEXTÉRITÉ -> ta capacité à sauter d'une chaise à l'autre, voler des trucs aux flics.
CONSTITUTION -> ton système immunitaire
INTELLIGENCE -> tout ce que t'as appris dans les bouquins, capacité à remplir les mots croisés de ta grand-mère
SAGESSE -> tout ce que t'as appris sur la nature humaine et dans les streets, capacité à lire les intentions des autres
CHARISME -> ta capacité à flirter, à convaincre, etc, etc.
Au lieu de faire rouler des dés de façon très compliquées comme dans d&d, je pense que je donnerai le même nombre de points à placer pour tout le monde, mettons 20 points, avec un +6 max par catégorie. Ce qui donnerait pour un de mes persos actuel :
FORCE +0
DEX +2
CON +4
INT +5
SAG +6
CH +3
Puis il y a les HP (hit points, niveau de vie) et AC (armor class, le nombre que l'autre doit pouvoir atteindre pour frapper ton perso dans un fight), mais c'est une autre histoire. Ainsi que les classes ......
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perduedansmatete · 2 months
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franchement faut pas que tu te focalise sur ça tu es super jolie et en plus de tu as un charme qu n appartiens que a toi tu es unique
dans l'ensemble je crois que je ne me trouve pas si moche, pas si belle non plus mais ça fait un petit moment je crois que je me suis apprivoisée et que j'ai accepté que j'étais moi. petite je détestais mes épaules que je trouvais larges, masculines, trop carrées, d'un côté certains les admiraient (ma sœur par exemple qui elle n'aimait pas ses épaules qu'elle disait tombantes) et de l'autre côté des débiles (des garçons) me faisaient eux aussi remarquer que j'avais des épaules de mec, maintenant je m'en fiche, je les aime plutôt bien et j'ai remarqué que c'était pas tant mes épaules le problème à l'époque mais plutôt le fait qu'elles étaient le seul relief de mon corps (bon c'est peut-être encore un peu vrai ça) je n'aimais pas non plus mes sourcils que je trouvais trop épais, trop masculins (encore) on s'en est beaucoup moqué d'ailleurs mais toujours est-il qu'aujourd'hui j'ai fait la paix avec et que j'estime même que ce qui fait le caractère d'une personne et ce qui rend souvent les gens beaux selon mes critères ce sont les sourcils et les nez longs, gros, tordus, cassés..., je rêvais d'avoir des seins toute mon enfance et je me souviens jouer avec les fleurs de douches en les mettant sous mes tee-shirt en espérant avoir les mêmes plus grande et bon, je n'ai pas été gâtée à ce niveau là mais ils sont beaux (et percés)
je pourrais continuer encore longtemps avec tous ces petits trucs que j'ai appris à aimer mais il y a bien une chose avec laquelle je n'arrive pas à me réconcilier tellement c'est ancré en moi, tellement ça m'a (et ça me ?) pourri la vie et c'est ma peau. je crois que je me suis rendue compte seulement pendant le premier confinement qu'il y avait un vrai problème car avant ça me paraissait normal de me détester à cause de ça et de passer autant de temps à y penser, à l'observer, à la triturer. j'aime bien dire que j'ai une peau pourrie ou une peau à tendance pourrie ça me fait rire mais ça me fait pas rire en même temps car j'ai grandi à partir de l'adolescence avec un profond sentiment de dégoût envers moi-même, je ne voyais que des imperfections partout que j'avais le besoin irrépressible d'assainir, d'arracher, de cacher. j'ai le recul maintenant pour me rendre compte que rien de ce que je faisais n'était normal, passer autant de temps devant un miroir à tout scruter en me faisant mal à la peau pour me purger de tout ce qui était en trop le tout en me tordant dans tous les sens n'était pas normal, m'habiller en fonction de ce qui ne devait pas se voir n'était pas normal, refuser de sortir avec des amis car ils ne devaient pas voir ce que je ne pouvais moi-même pas voir n'était pas normal, me regarder dans chaque glace, y penser la journée et angoisser de l'état de ma peau n'était pas normal, croire que j'étais sale et que je devais décaper ma peau n'était pas normal, arrêter de manger certains aliments que j'adorais à cause de ma peau n'était pas normal blablabla. avec le temps ma peau est devenue bien plus jolie, mais l'obsession est toujours là et je me suis également rendue compte qu'elle était plus globale, je me suis arrachée des cheveux pendant longtemps quand j'estimais qu'ils n'avaient rien à faire là où ils étaient, je me suis arraché les sourcils très longtemps, mangé la peau de mes lèvres jusqu'au sang bien souvent, rongé mes ongles, arraché des croûtes et des poils que je ne pouvais pas voir, quelques fois épilé toutes mes jambes à la seule pince à épiler, c'est comme si j'avais besoin de laver mon corps de tout ce qui l'empêchait d'être parfait, mais en faisant toujours plus de dégâts, des sourcils disparus, des saignements qui ne s'arrêtent pas, de grosses cicatrices un peu partout. aujourd'hui ça va mieux, j'ai trouvé des techniques, je fais diversion mais je passe toujours beaucoup trop de temps à me regarder sous toutes les coutures matin et soir et à scruter le moindre détail pour y mettre une crème, un pansement ou n'importe quoi pour que chaque imperfection parte le plus vite possible de ce corps que je trouve encore un peu sale (je crois). tout ça pour dire que je suis peut-être jolie, que quelques fois j'en ai conscience mais que bien souvent ce qui prédomine quand je me regarde ou que je me touche c'est que j'ai toujours un corps qui devrait être décapé peut-être même effacé vu comme je suis presque incapable de me focaliser sur quelque chose que je trouve beau tellement je suis accaparée par l'idée que ma peau est sale et repoussante ou qu'elle va le redevenir car je vis toujours dans l'angoisse que ça empire sans prévenir, que je fasse une réaction à quelque chose, que j'ai une nouvelle allergie, que mon cuir chevelu refasse des croûtes, que ma peau refasse de l'excéma, de l'acné, des trucs bizarres et tutti quanti sans que je ne puisse avoir le contrôle dessus.
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maddogsociety · 8 months
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Sourire devant le miroir pour changer de mood ça fonctionne pas toujours.
Je crois que ce soir, j'ai juste besoin de pleurer.
Le truc c'est que je flippe que ce soit le moment où mon moral retombe bas juste à cause d'un truc nul ...
Bref. Avec de la chance c'est pas le cas et c'est juste ce soir mais bon
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e642 · 2 years
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J'ai évoqué implicitement et certaines fois plus explicitement le fait qu'il m'arrivait et qu'il m'était arrivé de fréquenter des personnes en couple. J'ai beau n'être personne ici, j'ai dû recevoir 5/6 messages privés qui me demandaient de développer ma position sur cet aspect de la tromperie. Au lieu de bêtement répondre 5 fois la même chose, autant que j'expose mon point de vue au grand jour. Je dois dire que je n'ai pas connu énormément de personnes qui partageaient mon avis. Est-ce que ça fait de lui un mauvais avis bâtis sur de mauvais arguments ? Je ne crois pas. J'ai toujours pensé dur comme fer que la vie des gens, dès lors que je n'étais pas directement impliquée, ne regardait que eux. C'est le postulat sur lequel se base mon argumentaire. Je n'ai jamais vu aucun problème à côtoyer des gens en couple car ça ne me regarde pas. À partir du moment où nous sommes tous les deux au clair sur la situation et consentent, les éventuels retentissements sur sa vie ne regarde que la personne concernée et son/sa partenaire. En effet, on peut y voir un cas de conscience. Pour beaucoup, je n'ai aucune moralité. Le fait est que je n'ai jamais compris pourquoi on blâmait plus les personnes avec qui on trompe que les personnes qui trompent. Si tu décides de lire deux livres à la place d'un originellement, pourquoi est-ce que l'on accuserait le deuxième livre d'avoir été lu et pas directement la main qui a commis l'acte ? C'est une métaphore peut-être bancale pour certains mais je m'y retrouve. Le problème de la tromperie c'est pas tellement avec qui on l'exécute mais pourquoi on l'exécute. Si ce n'est pas avec moi, ce sera avec quelqu'un d'autre. Ce n'est pas moi qui vais avoir du mal à me regarder dans le miroir tout comme ce n'est pas moi qui suis en couple avec la personne trompée. Je n'ai pas à me justifier à partir du moment où tout est clair. Assumer ses erreurs c'est important. Ce n'est pas moi qui défie la confiance de mon/ma partenaire. Ce n'est pas moi qui ai un mauvais comportement ou qui n'ai aucune once de respect. On pourrait croire que je me cache derrière des excuses mais pas à mes yeux. En ce qui concerne les conséquences de la tromperie sur le couple de la personne, ça ne me regarde pas. Non, je ne suis pas sans cœur, bien sûr que c'est effrayant de voir toutes les personnes qui trompent. Mais ça soulève juste beaucoup de questions extrinsèques à moi. Cela dit, j'ai quand même des règles. Je n'entreprends aucune relation avec quelqu'un dont je connais le/la partenaire car là, j'y vois un cas de conscience. Je serais impliquée, reprochable et surtout en tort. Également, je ne ferai jamais ça par soucis de compétition, je n'ai pas le temps de me rabaisser à ce genre de choses. Et surtout, je ne pousse jamais l'autre à la faute, c'est à dire, que je ne fais jamais le premier pas mais j'attends qu'il vienne de la partie adverse afin d'être parfaitement irréprochable.
On m'a déjà dit "mais mets toi à la place de la personne trompée, comme si ça t'arrivait". Très honnêtement, ca pourrait m'arriver (et je pense que ça m'est déjà arrivé) et bien mon avis ne changerait pas. C'est en ça qu'il est solide. Si ça m'arrive, je ne déplacerai pas le problème sur l'amant.e de mon/ma partenaire. Ce sera bien mon.ma partenaire le problème. Je ne me tromperai pas de cible. Même si la personne était au courant de la situation. Elle n'est pas en couple avec moi. C'était à mon partenaire de mettre les limites. Elle a pris ce qu'il y avait à prendre et c'est tout à son honneur.
Je ne promeuts pas du tout la tromperie, je promeuts la responsabilisation. Tu fautes, tu assumes. Les gens n'ont pas besoin d'une personne spécifique pour être des merdes. Le fait que ça se passe avec moi est annexe, le vrai fond du problème c'est que ça arrive justement.
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lilias42 · 11 months
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Coucou :) 📝💗 pour les questions sur les WIP ?
Coucou ! :D Merci pour les questions !
📝Share a snippet of an unposted WIP, with or without context. / Partagez un extrait d'un WIP non publié, avec ou sans contexte.
Vu que j'ai un doute sur si c'est un WIP pas publié du tout (mais vraiment pas une ligne de posté) ou si c'est un WIP en cours d'écriture, qui a été publié en partie mais de partager un morceau qui n'a pas encore été publié, autant mettre les deux !
Extrait 1 :
« Devant le ciel du soir, je prends témoin pour ce serment !
Tachant la fausse blancheur de l’âme noire,
J’imprime en elle par la rougeur du sang son errement,
Ordonnant à jamais pour chasser l’illusoire !
De ronces, j’enserre tes bras,
D’épines, ta gorge se couvre,
Pour qu’enfin ici-bas,
Tu ne jettes plus personne dans le gouffre !
À jamais aux innocents plus aucun mal tu ne pourras infliger !
Par ces mots, je te l’ordonne, par ces mots, je t’oblige !
Que ce soit par ta voix ou tes mains à présent liées !
Jusqu’à ta rédemption, tu vivras avec ce corps maudit !
Par ton sang, je scelle ta punition,
Par ta pénitence, tu recevras l’absolution !
Mais si dans l’erreur, tu t’enfonces,
Seuls la mort et l’enfer seront une libération ! »
Extrait 2 :
Les bougies moururent toutes dans un même souffle alors que le grondement se faisait réentendre, furieux. Eldegard se releva tout de suite, prête à affronter l’ennemi caché dans l’ombre, toujours armé de son poignard. Il faisait si froid ! Elle se croirait au pire de l’hiver faerghien alors qu’il était pendant la lune du grand arbre !
« Eldegard… toi qui nous a tout pris… n’oublie pas… »
Eldegard vit alors une silhouette se dessiner dans l’ombre, sombre et imposante, né des ténèbres tout autour d’elle… un homme immense couronné d’or… une lune bleue comme le ciel à minuit remplaçant son œil droit… son cou orné d’un long collier d’écarlate… tout habillé de bleu et de noir à part une grande fourrure blanche entourant ses épaules… si grande qu’elle ressemblait presque à des ailes…
« Dimitri ?! Le reconnut-elle enfin, lui hurlant dans le miroir, refusant d’avoir la stupidité de se retourner, sachant qu’elle ne trouverait que le vide là où trouvait le roi déchu. Tu ne peux pas être là ! Tu es mort ! Tu es mort !
« Eldegard… assassine de Fodlan… nous nous reverrons… nous nous reverrons tous… prend garde… au solstice d’hiver… »
Eldegard ne le laissa pas finir, attrapant le miroir pour l’exploser au sol, le fracassant en mille éclats de verre pour le faire disparaitre, même si un dernier murmure se fit tout de même entendre dans les bris de verre, sonnant comme une malédiction…
« Nous nous reverrons à la prochaine Chasse… »
💗Is there a scene you can’t wait to write for a WIP? / Y a-t-il une scène que vous avez hâte d'écrire pour un WIP ?
La scène où Ludovic retourne dans le passé et retrouve tous ses proches ! Je pense qu'il partira d'une manière assez calme du passé - son corps a atteint ses limites et est renvoyé à son époque - et quand il est de retour à son époque, il se réveille avec tous ses proches autour de lui qui n'ont rien remarqué car, son corps est parti qu'un fragment d'instant avant de réapparaitre dans le fragment suivant. Il se demande s'il a rêvé mais, la douleur de ses blessures reçu pendant la bataille de Fhirdiad lui fait comprendre que oui, tout était vrai. Guillaume voie qu'il semble perdu après s'être réveillé en sursaut alors, il s'approche pour savoir ce qui s'est passé, et la première action de Ludovic est de le serrer dans ses bras, heureux de le voir en vie, et même s'il est étonné, Guillaume lui rend son étreinte en comprenant qu'il en a besoin. Etant donné que toutes leurs interactions ensemble sont des souvenirs de Ludovic, j'ai hâte d'écrire une interaction où les deux sont en vie. J'ai aussi envie de vous présenter toute la bande de cette époque !
Sinon, c'est pour un autre WIP que j'ai en stock que j'ai commencé mardi pour Halloween : Delagarde gagne dans CF en tuant littéralement tout le monde mais, Sothis provoque une chasse fantastique pour la punir. J'adore écrire les scènes de rêve et de cauchemars alors, mettre Delagardeet toute sa bande dans un véritable cauchemar éveillé où ils deviennent les proies d'âmes vengeresses qui les font payés pour ce qu'ils leur ont fait, ça va être très satisfaisant à écrire. ça permet de bien se défouler en plus, vu que j'ai aussi inclut un OC que je déteste dedans pour qu'elle paye pour tous ses mauvaises actions des mains de ceux qu'iel a fait le plus souffrir dans les fics d'origine (raison pour laquelle je ne publierais surement pas cette histoire sur mon tumblr ou alors, en coupant cette partie ou en la modifiant assez pour éviter qu'on reconnaisse ce perso car, ce n'est pas un des miens et que je ne veux pas contrarier son auteur, il fait ce qu'il veut dans ses histoires, surtout qu'un de ses comptes me suit). J'aime beaucoup aussi le thème de la chasse fantastique, où le personnage fait la rencontre de créatures et personnages étranges pendant qu'ils chassent mais, ne sait pas si elle est là pour y assister, prendre part, juste passer son chemin ou si c'est lui le gibier alors, c'était l'occasion de mixer les deux !
J'ai très envie d'écrire la scène de fin qui sert de chute, mais je préfère éviter d'en parler car c'est sensé être une sorte de rebondissement / twist alors, la scène que j'ai le plus envie d'écrire est la mort de Delagarde et celle d'Hubert : Delagarde se fait prendre en chasse par les fantômes de Dimitri et Marianne qui la chassent en couple comme on chasse un sanglier avec l'aide de Ferdinand, tous ayant des apparences très étranges étant donné que ce sont des revenants (par exemple, Marianne est une sorte d'hulde inversé car au lieu d'avoir le dos creux, elle a le ventre creux et on voie ses organes étant donné qu'El l'a éventrée pour être sûr de tuer le possible enfant de Dimitri qu'elle pourrait porter, tout en brillant de mille feux dans la nuit du solstice d'hiver car, son ancêtre était une sorcière maniant la lumière et les ombres et que Dimitri la surnommait "mon étoile"). Pour Hubert, c'est Hilda, Dedue et sa soeur Sasiama qui le tuent : Hilda le fait danser jusqu'à ce qu'il n'ait plus de pied d'usure car, il s'est moqué d'elle en disant qu'il la ferait danser avec Claude quand il l'a tué avec sa magie, et Dedue l'achève avec Sasiama en donnant des coups de masse sur ses os comme un forgeron bat le fer car, Hubert a aussi récupéré son corps pour étudier les effets de la gemme emblématique sur son corps. Je sens que ce sera très jouissif à écrire comme mort ! (comme la mort de Jéritza, Dorothéa, et Bergliez avec la libération de Derdriu qui est habité à présent par des morts revenus à la vie)
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mista3833 · 7 months
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MA FILLE,MA VICTOIRE (2)
Je faisais des étirements quand je reçois un appel vidéo de Sandro
Oh merde!!!Qu'il est matinal,lui!!!Que faire ???
Je cours jeter un œil dans le miroir
Pas si moche que ça...
*Hi!!!
*Je t'ai réveiller?
*Mais non,je suis une fille très matinale et toi quoi de neuf??..
*Tous usé...
On se mit à rire
*T'as un beau sourire Sánchez
*Merci, toi également
*Te moque pas
*Ben non je suis sérieuse, regarde ça.
Je lui montre mes doigts croisés
*Je te crois pas besoin de ça. Alors notre sortie, ça tienne toujours?
Notre sortie ??? Ah c'est vrai, il m'avait inviter,hier.....
*Oh!!J'avais complètement oublier, je vais en parler aux filles.
*Et après tu me rappelles ?
*Non,je t'envoie un texto,c'est mieux
*D'accord, à tout de suite
*Comme tu le dis
Laisse-moi vérifier mon compte insta
-Oh nom d'un chien, malgré ma foutue tenue,j'ai 5k,ces gens sont à considérer.
Passons aux commentaires
-Rien à signaler,ils me félicitent tous
Hmmm...si papa voyait ça...
-Hello Réa!!!
-Fifi,allez rentre
-Tu faisais quoi là?
-Ben rien
-T'as pas regardée sur instagram,tu fais la une.Dis-moi donc,c'est qui ce type par qui tu te faisais enlacer hier soir,et avec qui tu es reparti?
-M'enlacer?Il m'a juste empêcher d'embrasser le sol
-Et pour le remercier, tu passes la soirée à te faire mâter par lui et après vous  êtes reparti ensemble.
-Écoute-moi bien journaliste en herbe,je n'ai rien à te dire sur ma vie, je suis pas un ado,j'ai dix-huit ans,et je peux bien me gérer toute seule.
-Très bien mademoiselle Sánchez.Un conseil Sers-toi de la pilule ou d'un condom
-Sors de là toi,j'en assez de toi,va voir ton gaillard
-En parlant de gaillard, il m'a confier que tu lui faisais des effets...
-Il peut toujours rêver debout,lui
-Tu ne l'aimes pas?
-Mais non bordel et laisse-moi tranquille
Mon téléphone sonne sur l'écran Ma Nishou
Naïda???
-Tu ne réponds pas?
-Ouais mais il faut que tu dégages de là
-Ça va,je me rends
-Surtout ne triche pas
-T'inquiète, je vais pas écouter derrière la porte(Filisya se retire)
-Allô Nishou
-T'étais où la vache???
-Ton langage, Naïda
-Désolée, alors que s'est-il passé avec le beau Alphonso????
-Comment sais-tu qu'on était ensemble ???
-On était pas loin, alors tu l'as embrasser ??
-Embrasser ??? Je ne ressens rien pour lui,j'aurai du mal à l'embrasser d'ailleurs
-Jure
-On laisse tomber,on a prévu quoi pour aujourd'hui?
-Oh rien... si t'as prévu une tête à tête avec ton apollon ,écris le et informe le que t'es libre ce soir ,que t'es tout à lui et...
-Je peux placer un mot Naïda?.
-Crache
-Tu trouves pas que tu vas un peu trop fort ??
-Comment ça ?
-Tu parles de tête à tête, je te rappelle que j'ai connu ce type rien qu'hier
-Et alors ? Ceci n'empêche pas cela,tu sais?
-Attends j'ajoute Laïla en ligne
L:*-Coucou!!!
-Salut !!!
L:*-Il t'a séduit,le coeur ?..
-Qui ça ?..
L:*-Alphonso
N:*-Elle dit ne pas être intéressée..
L:*-Quoi tu plaisantes ? Ce type à un corps de rêve
-Ah bon!!!
N:*-Tu devrais lui dire oui..
-Pourquoi ??
L:*-Pour sa déclaration amoureuse
-Il ne m'a fait aucune déclaration
L:*-Et pourquoi selon toi,il t'invite à dîner ?
-Il avait dit promenade
N:*-La différence,il est où ?
L:*-Il t'a mâter toute la soirée
N:*-Et là, elle tombe dans ses bras
L:*-L'enlacer..
N:*-L'invite à boire
L:*-La ramener
N:*-L'invite à sortir
-Taisez-vous, ça suffit, je dois vous laisser
L:*-N'oublie pas, aucune réponse négative
-Et pourquoi ?..
N:*-Il est trop crunk pour lui dire non
-Réa ???? Tu veux bien descendre,un moment ???
-J'arrive mom,Je dois vous laisser les filles,à plus
L:*-On t'attend déjà
N:*-Bonne chance
Je fais ma routine de tout les jours, sauf le jogging,trop fatiguée et je descends rejoindre la famille
-Bonjour la maisonnée...Besoin de moi ici???
-On pourrait savoir qui est ce garçon, qu'on a vu t'enlacer?demande ma mère
-Filisya ne me dis pas....
-Hurle pas après ta sœur, t'es sur la première page de Ticket crie mon père
-Fais voir
-Tiens et dis-moi que c'est pas toi
-On se calme puisqu'on ne voit même pas nos visages
-Tu pourrais lire au moins le chapô?intervient Luka
La benjamine des Sánchez n'a pas rater l'occasion pour se faire remarquer,enlacer dans les bras de son amant qui n'est autre que le fils du premier ministre durant l'inauguration d'hier. La petite Sánchez a enfin trouver chaussures à ses pieds...Cette famille ne va donc jamais cesser de nous impressionner....
-Ils ont vraiment écrit ça, moi qui pensait...
-Être inaperçue ajoute mon père
-Évidemment mais ses paparazzis font chier
-Réa !!!
-Je monte me changer, je vais faire un tour
-Tu vas où ???
-Je sors maman
-je sais,pour aller où et avec qui?
-Manger un morceau, seule.
-Où ?.
-Maman, lâche-moi un peu
-Si tu vas retrouver ce type,je te jure que je vais te gueuler
Je n'y prête même pas attention à ses menaces.
Je monte dans ma chambre, préviens Sandro et je me prépare...Je me prends  en photo et je publie sur insta
@RéaSánchez Un rencard...
@Naïda854 Ouh lala,j'adore ta robe
@RéaSánchez merci Nishou
@LaïlaLaïla Tu es splendide
@RéaSánchez gentille Layoo
@FifiFilisyaSánchez je vais le dire à maman
@RéaSánchez ton compliment me va droit au cœur Fili, ma chérie à Moi
@FifiFilisyaSánchez je t'aime trop
@LukaLuisJosephSánchez il y a de l'amour dans l'air
@RéaSánchez attention tu risques d'être contaminer
@Lexandrophoto un rencard ???
La sonnerie de mon téléphone retentit,je mets sur haut-parleur
-Tu es prête, je suis là
-Où ?..
-Devant ton portail
-Recule, je veux pas qu'on te voit
-Tu as lu le journal ?
-Ma mère, allez fait demi-tour, je te rejoind à pied
-Ta robe te sied à merveille
-Merci et comment sais-tu que je porte une robe?
-Je suis un des followers de Réa Sánchez
-Je vois,j'arrive
Filisya rentre dans ma chambre
-Alors sœurette, c'est vrai ce que t'as mis sur insta ?
-Un peu...Ils m'ont harceler non??Je vais les laisser croire et les manipuler... Bon je m'en vais,à plus tard
-Mon bisou
Je lui fais la bise et je me sauve.
Dans deux minutes, j'étais avec Sandro dans sa voiture
-Je t'ai ramener des fleurs
-Le bouquet de rose rouge là derrière,c'est pour moi ???
-Rien que pour toi...tu m'as manquer
-Tu m'as manquer aussi
J'ai dit ça ???
-Alors ce que t'as dit sur insta est donc vrai, t'as flasher sur moi
-Et toi me mâter durant toute une soirée
-Qui ne t'aurais pas mâter...hein,dis-moi ?
-On va où ???
Je voulais tout simplement changer de sujet
-On va prendre un morceau à l'Oasis et ensuite on fera ce que tu veux
Il est sérieux lui?Il risque gros si je fais ce que je veux...
-Très bien...Ensuite on ira chez toi
-Chez moi?
-Oui...Chez toi
-Non,on ne peut pas y aller car j'aurai un interview du genre indiscrète par ma mère et...
-Elle est journaliste ?.
-Non,styliste... Tu devrais te poser pour une maison de mode,t'as tout ce qu'il faut pour être mannequin
-Tu crois?
-Oui,si je  te le dis...Je travaille avec mes parents. Pour mon père, je suis un entrepreneur et pour ma mère,un photographe
Photographe?Sérieux,oh non c'est trop beau,tout ça...
-J'adore me faire prendre en photo
-Tu vois?Raison de plus pour être mannequin... Tu devrais travailler avec ma mère... Je vais lui en parler,peut-être que tu trouveras une place chez elle.
-C'est gentil,mais je veux pas devenir mannequin
-Dommage... On y est Mlle. Sánchez
Il s'arrêta me tend une casquette noire avant de porter la sienne
-Pourquoi ???
-C'est vrai que ça ne servirait à rien contre les paparazzis, mais on ne peut pas prendre le risque
Sandro avait pris avec lui ses lunettes noires et moi j'y avais pas penser
Tant mieux que mal,je me contente de ma casquette..
Je mets ma casquette, Sandro vient m'ouvrir la portière ensuite on rentre au sein de l'Oasis,on se rends au restaurant où on vote pour une table au coin..On commande la même chose
-Si t'as pris le cabrit parce que moi,j'en veux... Sache que je ne te félicite pas.
-Ce n'est pas vrai du tout,j'adore le cabrit... Alors dis-moi...
-Que veux-tu entendre ?
-Parle-moi un peu de toi
-De moi?Il y a pas grand chose à dire
-En un mot...
-En un mot?Je crois que désinvolte me va à merveille
-T'es désinvolte..Intéressant... t'as quel âge?
-J'ai 18,mais je préfère 19
-L'âge exacte ?
-Les deux
-Tu plaisantes ?
-Mais non je suis entre 18 et 19
-D'accord mais je sais que ça n'existe pas
-Pour moi si,je suis universitaire et toi?
-Moi en un mot c'est joyau,le joyau des Alphonso,je suis entre 20 et 21
-L'exacte c'est?
-Les deux
On se mit à rire
-Tu m'as eu,je t'ai eu
Le serveur revient en souriant
-Vos commandes
-Merci
-Merci monsieur
Sandro se mit à manger et moi à picorer dans son assiette en riant
-T'es trop sympa toi...
J'allais enfin porter ma fourchette à la bouche,il m'arrêta d'un geste
-Laisse je vais t'aider
-Comment?
-Tu ne feras qu'ouvrir la bouche, Mlle Sánchez
Quel  gentleman !!!!
On passa un très bon moment ensemble, ensuite je décide de rentrer.
On s'arrêta pas trop loin de chez moi.
Assis dans la voiture, on se regardait, mais il finit par briser le silence
-Tu es belle
-Merci, toi aussi t'es très beau avec tes longs cheveux et ton piercing
-Tu aimes?..
-Oui,tu me ressembles
-Je te ressemble ?
-Ben oui,mon vieux
-Si tu me le redis,t'auras ta punition
-Tu crois???
-Tu devrais rentrer
-Tu te lasses déjà de moi?
-Mais non,demain je vais à la plage, tu veux venir ?
-J'adore la mer
-Je passe te prendre à huit heures, ça te va?
-Bien sûr, merci pour cette journée et aussi pour les fleurs. Là maintenant je dois rentrer
-Soit prudente
Je lui fais une bise, prend le bouquet pour m'en aller, il me retient le bras en souriant
-Qu'est-ce qu'y a?Je te manque déjà ??
-Je t'aime...
Je me contente de lui faire un sourire et je rentre...Un des gardes me prend mon bouquet, je le remercie gentiment et je me demandais que vais-je bien leur raconter pour le bouquet?
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quentinyhk · 8 months
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Il m'a été donné de lire "Les Coucous de Midwich" (1957), ouvrage un peu vieillot adapté par deux fois au Cinéma, aux alentours des années 1960 et 1995. De ce bref roman, je retiens une idée originale qui ne fut présentée dans aucun des deux films : une jeune mère de famille plante dans ses cuisses, à de multiples reprises, une épingle à nourrice, après avoir malencontreusement blessé son enfant nouveau-né avec ce même objet - son entourage pense alors qu'elle se fustige, hystérique, sans se douter que son bébé la manipule, usant de ses dons de télépathie pour la forcer à se mortifier, en représailles à la blessure, pourtant bénigne, qu'elle lui a infligée.
Peut-être cette idée de ripostes disproportionnées, déclinée maintes fois dans les films (des enfants surdoués, lorsqu'ils sont agressés par des personnes de leur entourage, les pousse à l'automutilation voire au suicide), provient-elle d'un phénomène clinique observé scientifiquement dans certaines relations mère-enfant, établies en effet-miroir de façon plus ou moins évidente, la génitrice se punissant cruellement pour les douleurs qu'elle inflige volontairement ou non à sa progéniture. (La maternité comme asservissement, assujettissant la mère à son petit. Une monstruosité.)
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Note : j'ai longtemps cru que les deux films intitulés "Le Village des Damnés" étaient des adaptations libres du livre intitulé "La Nuit des Enfants Rois" (1981) - dans lequel il est également question d'enfants surdoués plus ou moins télépathes -, ce qui n'est nullement le cas, bien que l'adaptation cinématographique de ce dernier ouvrage, baptisée "The Prodigies" (2011), s'ouvre sur un suicide provoqué par les pouvoir psychiques d'un enfant en situation de légitime défense, une scène absente des chapitres du roman initial. Allez comprendre.
Remarque : le roman "La Nuit des Enfants Rois" comporte une erreur que je ne m'explique pas ; dans le portrait qui y est dressé d'une adolescente aux facultés intellectuelles hors-normes, il est précisé que cette jeune fille n'a pas besoin d'utiliser de marque-pages, mémorisant systématiquement les numéros des feuillets où elle interrompt ses lectures. Mais un marque-page a une fonction purement mécanique et pratique, décorrélée de toute faculté de mémorisation.
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flora-eis · 9 months
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Et je me redécouvre. Je passe devant les miroirs et je reconnais à chaque fois mon visage. J'ai apprivoisé ce corps et ce cœur que je laissais de côté, manquant de conviction en mes capacités. J'avais l'âme comme un vieux chiffon, dans lequel j'étalais mes larmes et mes traumas, pour me donner contenance et personnalité. Entourée d'artistes et de personnalités ne pensant qu'à la création dans la souffrance, car nous avions trop peur d'évoluer, peur de nous perdre, peur d'être déçu de ce que nous serions si nous étions capables de nous regarder en face.
J'ai gardé contre mon corps ces derniers mois un homme qui n'avait aucune ambition, aucun rêve, et surtout aucun souhait de faire les efforts pour me garder contre lui. J'ai la colère qui gronde contre celui qui désirait me voir et qui jamais ne s'est déplacé. Que j'appelle dans le Sud, quelques jours, voulant, dans ma naïveté, peut-être me dire que je compte, que ses caresses et ses mots étaient pour plus quelques nuits. S'ensuivent ensuite une litanie d'excuses et de raisons validant son incapacité à se déplacer. Chaque raison avait une solution et je devais admettre ceci: il n'est intéressé que par ce que je donne et valide en lui. Je ne doute pas de la douceur de ses sentiments ni de la tendresse, mais il m'a montré qu'il n'était encore qu'un enfant et non pas un homme.
Et j'ai compris que j'avais en moi beaucoup à donner et que désormais je gardais en moi le pouvoir de choisir qui allait toucher ces belles choses. Je revois son grand sourire quand il m'accueille à la gare et ses étreintes qui durent jusqu'à la sonnerie du départ. Comme si peut-être étais-je un peu importante et que je pouvais peut-être me dire que cette bifurcation n'allait être qu'un petit obstacle. Mais l'obstacle n'était pas la distance, c'était celui qui pensait gagner un jour mon cœur en se contentant d'être. Cette personne qui se braque directement dès que j'exprime un inconfort et expose des solutions. Qui est certes capable de me dire de si belles choses mais qui dans le même temps n'engage rien. J'étais celle qui partait mais j'étais également celle qui avait peut-être l'envie d'y croire. Nous nous sommes engagés alors que ce départ n'était en rien organisé et que j'étais trop occupée à réparer mon âme et mon cœur. Il manquait d'ambition et n'était pas capable de me dire qu'il m'aimait dans des lieux lumineux. Comme s'il pensait que je me ferai avoir par quelques miettes de tendresse. Peut-être simplement sentait-il qu'il y avait encore ce fantôme et qu'il ne gagnerait jamais contre lui. Ce serait bien la seule raison que j'aurais acceptée. Ou alors le destin qui a simplement mis sur ma route de quoi mesurer mes progrès afin de ne blesser personne et d'être capable de la suite.
J'ai besoin d'un amour puissant et qui fait grandir. J'intellectualise souvent bien trop mes émotions, afin de les disséquer avec mes mots et comprendre savoir. Comme si en moi était une voie lactée où je dois être capable de décrire chaque étoile et nuage cosmique afin d'être honnête. Et j'ai ma douceur et mon désir de simplement construire qui existent et que je n'écoutais pas auparavant, trop occupée à "être le trauma". Je confiais à l'autre mon sauvetage tout en étant fuyante comme si je ne voulais pas être sauvée. Je ne me pose plus de questions non nécessaires à mon apprentissage et celles que je posais afin de me détruire doucement n'existent plus.
À présent que je me suis sauvée et que je veux échanger et construire et te montrer les étoiles et pleurer dans tes bras quand la vie sera un peu plus dure et t'aider et rire et partager le quotidien, veux-tu de ces bras?
[Lettre à l'ami]
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tntky · 6 years
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Est-ce que l'amour existe?
Est-ce que l'amour existe vraiment ou est-ce que c'est juste un produit de notre imagination? Un concept qu'on se serais nous meme inventé histoire de se sentir mieux au lieu de se dire que nos vies se résume à des parties de jambes en l'air jusqu'à trouver cette personne avec qui tu veux forniquer toute ta vie pour de bon. 
Qu'est-ce qui nous différencie des animaux? On reproduit tout comme eux. A la différence près qu'on suit des schémas familiaux différents. Les fameuse normes humaines d'un foyer idéalement constitué. 
Quoi d'autre? Les sentiments... On pourrait penser que l'homme est une des rares espèce à etre d'oter d'une intélligence émotionelle. Hors, tu vas pas me dire que tu pense sincèrement qu'un chien ne sait pas ce que s'est que d'avoir mal? de perdre quelqu'un? SI. J'ai lu quelque part que les éléphants meurent meme de chagrin d'amour. Et les pingouins? les pingouins eux sont consient du concept de la fidélité. Ils se choisissent un partenaire à vie. 
Alors en quoi est ce que nos existences seraient-elles différentes de celles de nos confrères les animaux? A cause d'une conscience plus élevée? A cause d'un test qui déterminerais l'inttéligence animale à la capacité qu'à ce dernier à reconnaître son reflet dans le miroir? 
Moi je pense qu'effectivement, le pouvoir de ressentir est bien une forme de sur intelligence et que le fait d'en avoir te rend beaucoup plus apte à comprendre, à ressentir le monde qui t'entour. Mais alors, coment ça se fait que les surdoués au QI très élevés sont projetés comme des sociopathes sans coeur. Des exclu de la société, d'un monde dans lequel on ne navigue que grace a la connaisance de ses sentiments, un monde qui sait aimer.
Peut-être parce qu'ils en ont trop de sentiments, justement. Trop qu'ils ne peuvent tous les contenir pour un si petit espace qu'est la vie. Alors pour en revenir a ma question d'origine. Est ce que l'amour ça existe vraiment? Ou est une forme d'art créée par l'homme pour se rendre la vie moins chiante que de la résumé a un cycle de reproduction et nous donner cet aspect féerique qu'on est beaucoup plus que des etres qui se lient via un attachement physique moins platonique qu'un autre?
Pourquoi aime-t-on? Pourquoi n' aime-t-on pas? pourquoi les choses sont t'elles ce qu'elles sont? et pourquoi avoir tout le temps ce besoin, ce devoir de se justifier, de donner un définition à tout. De tout référencer sous des normes humaines?  pour ne pas se perdre. Pourquoi est ce que ressentir = se mettre une étiquette pour exister. 
J'aimerais tellement pouvoir comprendre mon coeur mais mon cerveau est celui qui se charge de faire la traduction. Alors que dans ce monde, certaines choses ne sont pas faites pour être comprises mais pour être ressenties.
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Comment dire à un ami qu'il vous a contrarié sans rendre les choses gênantes ?
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Comment dire à un ami qu'il vous a contrarié sans rendre les choses gênantes ? Aborder un conflit avec un ami peut sembler agressif ou gênant. Voici comment le faire de manière constructive. Parler avec les gens Même s'il est tentant de se cacher derrière la technologie, faites part de vos préoccupations en personne, cela réduit la quantité de déductions qu'un ami doit faire à partir de vos mots et réduit les erreurs de communication. Petite histoire d'il y a 10 ans déjà ... Je me suis regard��e dans le miroir et j'ai dit à voix haute : "Je suis en colère contre toi" ! Ce n'était pas un commentaire dirigé contre moi, mais contre un ami proche la personne à qui j'avais commencé à en vouloir quelques semaines auparavant, mais au lieu d'en parler à l'époque, je suis restée silencieux, distant, passif ... J'étais donc là, seul chez moi, à répéter les mots mêmes que je voulais prononcer cet après-midi-là, sans savoir si j'aurais le courage de le faire. J'ai toujours du mal à trouver la bonne façon de faire savoir aux gens que j'aime que je suis contrariée, déçue ou simplement énervée. À l'exception de ma compagne ... Je n'ai aucun problème à exprimer mes préoccupations sur un ton assuré et parfois à la limite de l'agressivité. Mais pourquoi est-ce si difficile à faire avec mes amis ? "Il est difficile d'être honnête sans blesser les autres ou sans craindre qu'ils mettent fin à notre amitié". "Dans une relation amoureuse ou familiale, les occasions d'intensifier l'attachement émotionnel ou physique et la vulnérabilité sont plus nombreuses. Cependant, le fait d'être vulnérable et honnête avec un ami au sujet de ses défauts peut créer un lien plus fort si cela est fait avec soin et respect." Cela peut être difficile à faire, surtout si nous avons déjà été blessés par des amis ou vice versa. Comment faire face à la rupture d'un ami ? Les gens ont généralement une longue histoire ou des anecdotes de douleur liée aux amitiés. "Le rejet ou l'abandon le plus précoce peut se produire dans le cadre d'une amitié. Certaines douleurs commencent dès le rejet à l'école, dont nous ne nous souvenons peut-être pas". "On apprend aux enfants à maintenir la paix. Il suffit de penser à la répétition du conseil 'joue gentiment avec tes amis'". Les relations amicales sont souvent plus sensibles à la colère que les relations amoureuses et familiales. Les amitiés requièrent de l'amusement, de la légèreté et le sentiment d'être valorisé. Ces éléments nous semblent absents lorsque la colère est présente. Parce que les amitiés sont centrées sur le fait d'être avec des personnes avec lesquelles nous passons un bon moment, il est facile d'ignorer certains sentiments ou certaines conversations, ce qui peut conduire à un futur ressentiment. Je savais que j'avais besoin d'un plan de match pour confronter cet ami sans que la situation ne devienne gênante, agressive ou alimentée par la colère pure. C'est pourquoi j'ai demandé conseil et j'en suis arrivé à la stratégie suivante : Prenez du recul et identifiez ce qui ne va pas ! Il est facile de se précipiter et de pointer du doigt, mais si nous voulons soulever des problèmes auprès de nos amis, nous devons mettre les choses au clair et faire la part des choses. Avant de communiquer avec votre ami(e), vous vous demandiez ce qu'il/elle a fait exactement pour vous contrarier. S'agit-il de quelque chose qui a été dit ? Est-ce quelque chose qui a été fait ? Demandez-vous pourquoi cela vous met dans tous vos états Peut-être cela vous rappelle-t-il un moment où quelqu'un d'autre vous a maltraité ? Il est important d'être très précis et de n'aborder qu'un seul incident à la fois pour que votre ami puisse y voir clair. En général, nous utilisons le terme "colère" comme une émotion générale. Mais une émotion secondaire... si vous regardez en dessous de votre colère, vous trouverez une autre émotion. Il est également bon de comprendre ce que l'on ressent. En général, nous utilisons le terme "colère" comme une émotion générale. Mais la colère est une émotion secondaire. Cela signifie que si vous regardez en dessous de votre colère, vous trouverez une autre émotion. Ainsi, si votre ami vous a exclu d'un événement, vous vous sentez peut-être seul. Si votre ami a fait des commérages sur vous, vous vous sentez peut-être blessé ... Si votre ami vous a critiqué, vous vous sentez peut-être déçu ? Se mettre en colère ? Quand la colère peut être bénéfique ? Entraînez-vous à dire ce que vous allez dire ! Si nous ne réfléchissons pas aux mots que nous allons utiliser, nous risquons d'en dire trop ou de dire des choses blessantes. On suggère tout d'abord d'engager la conversation en disant par exemple : "Pouvons-nous parler de quelque chose ?" ou "J'aimerais que nous parlions plus tard aujourd'hui" pour ouvrir la voie à une discussion intentionnelle et surtout utilisez un langage neutre comme "Je me suis senti blessé quand tu..." plutôt que "Tu m'as blessé quand tu..." ou "Je ressens de la colère quand tu..." plutôt que "Tu m'as mis en colère quand...". Veillez également à vous en tenir aux faits. Évitez de faire des suppositions ou de porter des jugements sur les intentions de l'autre personne ou sur les raisons de son comportement. Efforcez-vous de décrire exactement ce qui s'est passé et de décrire vos réactions, car ce sont les seules choses que vous puissiez vraiment décrire avec précision. Utilisez la technique du sandwich et commencez par une affirmation positive de votre ami ou une déclaration de gratitude à son égard, puis terminez la conversation par un commentaire positif. Lorsque la conversation s'essouffle ou que vous souhaitez faire une pause, poser des questions afin d'ouvrir le dialogue et de clarifier les choses pour les deux parties. Après avoir appris ces conseils, j'ai pu m'éloigner du miroir (et des mots "je suis énervée") et m'asseoir avec mon amie pour lui expliquer ce que je ressentais. La conversation nous a permis de découvrir qu'il y avait un manque de communication et du ressentiment. À la fin, nous ne nous sommes pas embrassés ni réconciliés, mais nous avons compris que nous devions tous les deux changer, ce qui est réaliste en amitié, mais dont on parle rarement. Pour que deux personnes puissent s'entraider, il faut s'adapter, changer et, surtout, comprendre. Lorsque j'ai commencé à considérer l'expression de mes préoccupations comme faisant partie de ce processus, plutôt que comme une confrontation, il m'a été beaucoup plus facile d'avoir ces conversations difficiles. Ce n'est toujours pas agréable, mais c'est bien mieux que de ruminer du ressentiment pendant des semaines. David SCHMIDT Read the full article
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sousvivons · 2 years
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Je sais que c'est possible d'aller mieux, je le vis. Mais je vis cette peur, la peur d'aller mieux. Depuis hier, je réalise, je fais tout pour aller mieux [enfin, selon moi, tout le monde n'a pas les mêmes besoins]. Sortir tous les jours, faire des activités tous les jours et des défis pour combattre cette anxiété sociale pourrie.
Mais, j'ai peur d'aller mieux. Enfin non, d'aller bien. Sûrement parce que l'inconnu fait peur. J'ai peur d'y mettre un pied et puis qu'un gouffre le substitue. J'ai peur d'aller de l'avant et de me retrouver au bord de la falaise. J'ai peur d'ouvrir la porte où je me tenais enfermé'e, dans même tête et puis, de me rendre compte que c'était la porte des enfers. J'ai peur qu'aller bien fasse plus mal qu'aller mal. Ceci n'a aucun sens. Alors, je change de choix, je fais un pas en arrière au lieu d'un en avant.
Je m'étais dit que demain je n'allais pas sortir mais, est-ce que s'enfermer chez soi n'est pas une façon d'enfermer sa tête ? Est-ce que c'est ce que j'essaye de faire sans m'en rendre compte ? M'enfermer ? Encore ?
Je suis mon plus grand démon. Ma peur en est un également. Je l'imagine comme une gardienne des portes de mon enfer. La tête de chacun de mes démons et moi, enfermé'e.
Effectivement, aujourd'hui ce que je dis n'est pas forcément positif. Qu'importe, c'est un ressenti. C'est important de montrer que ce n'est pas toujours rose mais que c'est ok, que ça va aller, faut juste se rappeler contre quoi on se bat. C'est aussi surement parce que se battre contre soi-même c'est plus dur que contre un autre.
Enfin non, il faut se battre contre ses démons et pas soi enfin, je suis également leur expression et c'est pour ça que je le refuse. Je ne parlerais pas à leur place. Écrire cela m'en fait prendre conscience alors, je sortirais, je veux pas enfermer ma tête, m'enfermer sans m'enchainer. Pourquoi me parlent-ils même quand je les crois plus là ?
Comme d'habitude je m'imagine rechuter et puis, chuter fait toujours plus mal que rester au sol mais, quel Homme souhaite passer sa vie à ramper ? Alors c'est fini, je ne reste pas au sol par peur que le sol tremble à nouveau. Et si je tombe dans un trou plus profond e n'aurais qu'à me dire de même après tout. Je veux me relever. Avancer comme j'ai toujours tenté de faire. Je veux être un Homme nouveau. Un Homme qui s'aime, un Homme qui se libère de ses chaînes qu'il s'est tout bonnement crées. Je crois en moi [et c'est bien la première fois que je le dis et le pense vraiment]. Je le dis haut et fort, je crois en moi, je vais essayer d'aller mieux. Faire de mon mieux et pas faire ce que veut ma partie négative purée. Je ne suis pas que ça, je suis plus que ça, je suis Loan et je suis vivant. Je veux vivre, sousvivre, apprécier les prochains levés de soleil alors non ma fucking tête tu peux aller te faire f***** je t'écouterais pas.
Pas encore une fois, regarde où tu m'as mené. T'es nocive pour moi. Maintenant je réfléchirais. Je veux plus du mal, j'en peux plus de ça et finir ça c'est pas une bonne chose.
Je dirais pas que vivre est une chance mais maintenant qu'on est là, pourquoi pas observer les papillons voler, les Hommes sourire de tous leurs éclats et le soleil tambouriner à nos paupières, regarde, mes yeux perçoivent de la lumière.
Et put*in, ça me donne envie de chialer, c'est comme si dans ce texte je me disais regardes toi dans le miroir et que mon reflet avait enfin changé. Comme si je me voyais de nouveau, je ne m'apercevais plus dans le noir et ne sait plus à quand remonte la dernière fois où je m'étais vu'e.
Purée, ça me fait chialer, je crois que pour finir ce texte je dirais juste que, je suis une bonne personne et que tu en es une super également. J'espère que tu te trouveras et que même si tu ne vois pas ton reflet ou si ton miroir est cassé. Regardes toi dans l'océan, dans un verre d'eau, dans un nouveau miroir, promis, ton reflet existe toujours. Et regarde, tu as encore une ombre. Malgré tout, oublie pas qu'il existe des miroirs déformants, si tu te vois de travers, ce n'est pas ton reflet !!
Moi je te vois, je n'ai pas besoin de miroir pour te voir et promis, tu es resplendissant.e, tu es joli.e et si courageux.se. Merci d'être là, merci d'être en vie. Je suis fier'e de toi, tu essayes. Tu es fort.e. Courage !!
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espritsnocturnes · 2 years
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J'ai perdu deux putains d'euros
Dans le distributeur du métro
Il est pas l'heure de graille
Mais j'ai faim
J'ai les mains qui déraillent
ça tremble
Mes doigts tremblent
Le sol aussi
Dans mes tympans le bruit des autres métros fait trembler mon cerveau
J'ai courru pourtant mais
Le mien n'est pas encore là
Le métro est en retard
Même si en fait il n'y a pas d'heure pour ce métro parce qu'il est tard
Mais j'ai besoin de nourriture
Mon corps a dépensé toute son énergie
Il a agit trop rapidement, trop efficacement
Ce corps qui déraille
J'ai mis trop d'insuline ce soir
J'ai mangé au restaurant
J'ai bu des verres
C'est l'alcool
Et ça me colle toujours au corps cette maladie
Au moment où j'en ai pas besoin
On est le matin et j'ai faim
Et j'épuise mes dernières énergies à taper sur le coffre de cette machine qui a avalé mes deux euros et moi
Rien
J'ai un trou dans l'estomac
Et maintenant dans le portefeuille
Le vide appelle le vide
Le néant de ma vie me donne le tournis
Du sucre
Et rien
J'ai plus deux euros j'ai plus d'énergie j'ai plus de sucre dans le sang
Dans le métro les gens passent et sont tous assis
Moi je suis debout et mes jambes tremblent
Personne ne sait que je manque de sucre et que j'ai plus deux euros et que quand bien même j'aurais encore deux euros la machine les mangerais aussi parce qu'elle a toujours faim qu'elle est jamais rassasiée cette connasse et qu'elle inflige son sort aux autres
Jamais rassasiée
Je m'assied sur le sol qui pue la pisse dans le métro
Le son se rapproche et mes fesses collent au sol
Pas à cause de la pisse
A cause de l'attente trop longue qui a laissé fuitée mon énergie restante
Je pense à des pancakes
Mais j'aurais préféré ce brownie Milka
Les brownies milka c'est mes préférés
Je les ai découvert alors que j'étais en hypoglycémie aussi
Que mon corps déraillait comme là mais
Sur le sol d'un monoprix
Et j'ai aggripé le brownie vendu en individuel devant la caisse
Je l'ai avalé d'une traite avant de rentrer chez moi juste à côté
Et c'était l'amour
Ce brownie c'est de l'amour un grand réconfort qui vient vous sauver d'un malaise et dieu sait comme vous êtes mal et zzzzzut ça me rappelle que la machine a mangé mes deux euros et que j'aurais pas de brownie et que les supermarchés sont fermés et que ma glycémie descend et que le temps s'écoule et que le métro vient pas et que je vais encore devoir prier pour que dieu ne me lâche pas il est toujours avec moi celui là et moi aussi je lui parle tout le temps le remercie beaucoup et lui demande tout autant je sais pas pourquoi il m'aime tant mais je l'aime aussi tellement que j'aimerais éclater mon enveloppe vite pour le rejoindre et en même temps mourir m'effraie (silence)
Le métro vient comme le Messi
Une grande lumière au bout du tunnel
Et moi je suis sissyphe et ma pierre est coincé dans ce distributeur de merde
Mes derniers euros avalés
Et je rampe vers les railles et ça tangue
Je pourrais tomber un peu avant que le métro ne rattrape mon corps trop lourd pour mon âme fatiguée de se traîner un corps malade toujours trop bien maquillé
Je suis malade dans le cerveau d'abord
Parce que c'est pas écrit sur la tête mais là maîtresse en CP elle a dit ça
Que j'étais malade
Parce qu'elle savait pas comment gérer un enfant qui doit se trouer la peau d'aiguilles 5 fois par jours
Parce qu'elle savait pas comment gérer ce qu'on lui demandait pas de gérer
Parce qu'elle voulait s'impliquer dans tout ce qui la concerne pas elle m'a renvoyé un miroir cassé
Et mon image décomposée
Je me voyais difforme dans ses yeux pour la première fois
Avant ça mes parents m'avaient pas dit moi
Ils avaient pas dit que j'étais malade
C'était mon quotidien les aiguilles les glycémies les malaises les hauts les bas les hypers les hyppos les hôpitaux les ajustements de doses les repas calculés et les interdictions et j'étais sage même si ce putains de brownie milka qui existait pas encore me donnait envie aux moments où j'y avais pas le droit parce que la nourriture c'est un droit du coup et faut être droit sinon ça tangue et le corps tremble et le sol et les images du monde
Se confondent
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news24fr · 2 years
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jeC'est la saison des choses qui tombent entre vos mains – boutons et loquets et pieds de chaise et poignées de tasse et articles sans nom que je connaisse. J'ai cassé le mécanisme coulissant en plastique qui permet à la porte du réfrigérateur de s'ouvrir en synchronisation avec la fausse porte en bois qui la cache. Cette fausse porte – qui correspond aux autres portes de placard – était déjà là lorsque nous avons emménagé, j'ai donc installé moi-même les glissières du réfrigérateur. C'est un système sujet à des pannes annuelles.En attendant, je démonte les illuminations de Noël. Ma femme me trouve en train de les tirer de la haie de devant dans le noir."Je pensais que vous pourriez les laisser jusqu'en juillet, comme l'année dernière", dit-elle.« Je l'aurais fait », dis-je. «Mais je dois tailler ma barbe. C'est une urgence.""Qu'est-ce que?" elle dit.« Je ressemble à l'Unabomber », dis-je.« Pourquoi parle-t-on de ta barbe ? »"Parce que nous n'avons qu'une seule rallonge assez longue pour que la tondeuse pour chien que j'utilise sur ma barbe atteigne le miroir de la salle de bain", dis-je. "Et c'est lié à ces lumières de Noël.""Ai-je besoin de savoir tout cela?" elle dit.Je ne peux pas rentrer ma tête pour voir comment ça s'emboîte, alors tendez la main à l'aveuglette, serrez les vis quand je veux les desserrer et jurez« Vous avez demandé », dis-je."Je ne pense pas que je l'ai fait," dit-elle.« Je pense que vous trouverez, si nous relisons le dossier… » dis-je."Lalalala", dit-elle, les doigts dans les oreilles.Quinze minutes plus tard, je porte la rallonge jusqu'à la salle de bain. Deux minutes plus tard, je retourne au bureau de ma femme.« Avons-nous une de ces petites fléchettes en plastique avec une ventouse au bout ? » Je dis."Quoi?" dit-elle sans lever les yeux."Comme d'un pistolet jouet," dis-je. "Je suis sûr que j'en ai vu un quelque part au cours des trois dernières années.""Pourquoi avez-vous besoin d'une fléchette en caoutchouc?" elle dit."Le lavabo de la salle de bain est plein d'eau et le bouchon est coincé", dis-je. "Lorsque vous appuyez sur le bouton qui est censé le faire apparaître, rien ne se passe.""Je pensais que tu te taissais la barbe", dit-elle."Je suppose que le levier à l'intérieur du tuyau d'évacuation a rouillé et s'est cassé", dis-je. "Mais si j'avais une fléchette à ventouse, je pourrais juste..."« Je n'ai vu aucune fléchette », dit-elle.Au cours de la semaine suivante, de petits colis commencent à m'arriver – parfois deux à la fois. Ma femme descend chaque fois qu'elle entend la sonnette."Juste de nouvelles glissières de porte de réfrigérateur", dis-je en ouvrant le premier paquet. "C'est le moment de l'année."« Qu'y a-t-il dans l'autre ? » elle dit.« Je ne sais pas », dis-je en tirant sur la languette en carton. "Mais ça pourrait être...""Quoi?""Il est!" Je dis. « Tiges de rechange pour un assemblage de déchets pop-up !"Oh mon Dieu," dit-elle.« Je veux dire, je ne savais même pas comment ils s'appelaient », dis-je en brandissant de petits morceaux de quincaillerie enveloppés dans du plastique."Je n'arrive pas à croire que je te regarde ouvrir ce truc," dit-elle.« Ils ont l'air bien », dis-je. « Mais je ne connais pas la taille. Pensez-vous qu'ils existent en tailles ? »Le lendemain après-midi, je monte dans la salle de bain avec mes tringles de rechange et une sélection d'outils. Un placard avec une étagère a été construit autour de l'évier, sans tenir compte de la possibilité que quelque chose tourne mal avec l'ensemble de déchets pop-up, ou pour quiconque tente de le réparer. Je ne vois pas comment tout cela va ensemble, parce que je ne peux pas y mettre ma tête. Je me penche à l'aveuglette autour de l'arrière du tuyau, serrant les vis quand je veux les desserrer et jurant.Quelques heures plus tard, je suis assis dans la cuisine lorsque ma femme entre et remarque quelque chose sur le plan de travail."Qu'est-ce que c'est ça?" dit-elle en le tenant.« Je suis content que vous ayez demandé », dis-je.
"C'est l'ancienne tige d'assemblage pop-up.""Oh non," dit-elle."Comme vous pouvez le voir, il est complètement rouillé, exactement comme je l'avais prédit."« Je viens juste de descendre prendre un thé », dit-elle."Mais ne vous inquiétez pas, la nouvelle tige est installée et fonctionne parfaitement."« Je dois y aller », dit ma femme en partant sans thé.Tim Dowling : La famille est au Maroc et je refuse de marchanderLire la suiteInstantanément, je me rends compte de mon erreur : j'ai à peine donné à ma femme le temps d'apprécier la difficulté d'un bouchon d'évier qui ne s'ouvre pas. J'aurais dû le laisser ainsi jusqu'en juillet, avec les illuminations de Noël. Alors, peut-être, elle aurait assisté à mon histoire de triomphe improbable, mon histoire d'homme contre l'évier.Pendant que je suis assis, la tête entre les mains, dans le crépuscule qui se dessine, le plus jeune entre."Qu'est-ce que c'est ça?" dit-il en levant la tige rouillée.« Je suis content que tu poses cette question », dis-je."Oh-oh," dit-il.
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mista3833 · 7 months
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MA FILLE ,MA VICTOIRE
Fille issue de la bourgeoisie, Fils d'un homme politique.
Sandro Alphonso Alexandre succomba au charme de la belle métisse Andréa Sánchez Joseph lorsqu'elle trébucha dans ses bras lors de cette soirée d'inauguration.
Il l'a possédait, elle vivait que pour lui,mais la famille Alphonso ne voulait pas d'elle.
Elle était riche certe mais elle était métisse.
Pour éviter le scandale publique, Sandro fut exilé du pays par ses parents sans raison motif, pourtant il y en avait bien une,la belle métisse attendait un enfant de son amant.
Que faire ???Elle n'avait pas d'autre choix que garder ce bébé, qui est le fruit d'un amour passionnel.
Que va-t-il se passer?Vont-ils se retrouver ?Acceptera-t-elle de lui donner une seconde chance?
MA FILLE ,MA VICTOIRE (1)
Salut! Moi, c'est Andréa Sánchez Joseph, mais à la maison on m'appelle Réa. Je suis universitaire et, bien comme tous les jeunes, on a aussi des petites folies qui nous passent par la tête.
Aujourd'hui est un jour très spécial pour le grand homme d'affaires Luis Sánchez. C'est mon père, un très beau mexicain qui a pour femme une haïtienne, en gros, je suis une métisse de belle taille. Pas de temps ce matin pour jeter un œil sur les réseaux sociaux. Les followers, j'en compte plus depuis que mon père nous a exposés aux médias. L'inauguration du plus grand hôtel cinq étoiles du pays est prévue pour ce soir et papa tient à ce que ses trois enfants (Filisya, Lukas et moi) soient à la hauteur. J'étais assise devant mon miroir et j'attendais le signal des Grands.
-Réa!!!
Voilà, c'est ma demi-sœur Filisya qui vient de m'avertir que c'est l'heure d'y aller. Je me prends en photo,prends mon sac et en route pour aller acheter ma robe de soirée.
Au cours de la route, j'envoie un texto à Laïla.
Moi: Tu es partante pour une journée de délire ?
Laïla: À qui tu le demandes, toi ?
C'est vrai, j'ai oublié que celle-là n'a jamais le cœur pour refuser une journée au magasin.
Moi : D'accord, préviens Naïda et je vous attends à Saga.
Laïla : sérieuse ?
Moi: Tu viens, oui ou non ?
Laïla : On arrive.
Je remballe mon téléphone quand je vois ma sœur me prendre en photo.
-Tu fais quoi là ??
– Je te prends en photo.
-Fais voir
-Non
-J'ai dit fais voir Filisya
— Hé les gamines, on est en voiture là, pas sur un terrain de jeux.
— C'est nous les gamines ? demande Filisya.
-On aura ta peau Lukas...
— Et vous en servirez pour faire quoi ?
– Un tambour, dit-on en chœur.
J'aime pas quand elle me retire le mot de la bouche.
-Filisya ?
-Réa ?
-Bon sang... Arrêter avec ça.
-Quoi? On te fait chier déjà ?
— Je me le suis déjà fait dessus, vous allez plutôt nettoyer.
— Oh beurk… Vive la vie que je suis la plus petite.
– Tu veux dire ?
-Que tu vas t'en occupée,Fili
— On y est, les Sánchez.
Ouff, enfin la terre ferme
— Tes cheveux, tu devrais les attacher, t'as l'air d'une électrifiée.
– Merci pour le compliment,Lukas
On pénètre dans le magasin, une dame nous approche en souriant:
— Bonjour à vous, bienvenue à Saga, besoin d'aide ? Je suis à votre disposition
— Excusez-moi, mais ils n'en auront pas besoin, parce qu'on est là.
C'est Naïda et Laïla qui viennent d'arriver, je leur saute au cou. Lukas roule les yeux.
— Il ne manquait plus que ça, il fallait que tu invites tes deux folles.
-Hé!!! C'est nous que tu traites de folles ? demande Naïda.
-Ben oui... Qui d'autres ?
-On se calme d'accord ??? Lukas Je te prends avec moi et vous aussi, Madame, car on risque gros si on se fait aider par ces trois-là.
Aller oust oust… Dégage
On pouffa de rire et on attira vite l'attention des autres clients.
Réa, tu ferais mieux de te comporter, car si tes parents l'apprennent, ce ne sera pas une mince affaire pour toi.
On se mit ensemble à la recherche d'une robe qui me sied et qui vaut l'honneur de se tenir aux côtés de M. Sánchez.
– Je prends celle-là.
— Tu vas vraiment porter ça ? Dit Laïla dégoûtée.
— T'as pas vu le prix ?
-Et alors??
-Ça coûte 50$
— Ton père va te faire la peau.
— Et ton bambin de frère va rouler les yeux.
– Qui va leur dire ce que j'ai acheté ?
-Pas moi
-Ni moi
— Alors on s'en fou, ce n'est pas en portant une robe qui vaut une somme importante qu'ils vont me remarquer s'il le faut.
-Et tes cheveux ???.
— J'y vais avec.
— Tu es folle, Réa ? Là-bas, il y aura plein de bourgeois et…
– Écoute-moi bien, je me tape complètement de la bourgeoisie et de ses occupants. Je vis ma vie comme bon me semble. Tout comme vous, je m'en moque de mon rang social.
-oh yeah!!!!!
— Mesdames, s'il vous plaît, dit la caissière.
— Pardon, madame, c'est un malentendu, dit Naïda
— Emballez-moi cette robe, s'il vous plaît, dis-je en remettant ma robe à une employée.
La dame se charge de ma robe et se retire, les autres nous rejoignent.
— Alors, les fillettes, vous avez cassé quelque chose ? demande Lukas.
-La ferme toi
— Réa, excuse-toi et vite.
-Je...
— Excuse-toi vite si tu ne veux pas que je le dise à Maman.
-Désolée, Lukas
-Ouais,je me suis venger
– Espèce de gros lard
Après les boutiques, Lukas et moi, on rentre à la maison et les autres sont allées se faire une tête pour la soirée.
— Tu as acheté quoi, chérie ?
-Une robe
-Fais voir chérie
-C'est une surprise,maman
— Elle s'est sûrement offerte une guenille, répond Lukas.
-Maman??? Criais-je à tue-tête.
-Lukas, un peu de respect... Montez-vous préparer et elle est où, Fili ?
-Salon de coiffure
— Elle est mon sosie, cette chérie.
-Et moi?
– Vaut mieux éviter d'en parler.
– Ça veut dire quoi exactement ?
— Ça veut dire que tu n'en vaux pas le coup. Réa intervient, le bon frère qui me tire la langue.
— Parle pour toi, Lukas.
Des heures plus tard, j'étais déjà prête, et les filles déjà là. On descend en riant aux éclats pour nous faire remarquer par mes parents.
– Réa, c'est quoi cette tenue ? Hurle papa.
-Papa c'est...
-C'est quoi hein??? Filisya ?
Elle arrive en trombe, je voulais rire, mais le moment n'était pas propice, il y avait monsieur Sánchez.
Dieux, des dieux… Qu'elle est belle !
— Filisya, ma chérie, tu es… Je ne trouve vraiment pas les mots qu'il faut pour exprimer ta beauté.
-Jolie papa,me va à merveille
— Mais non, ma chérie, t'es sublime. Renchérit ma mère.
— Merci maman et Réa ?
Espèce de myope, je suis juste là.
-Suis là
-Réa ??? C'est quoi cette tenue ?
C'est vous qui lui avez conseillé de porter ça ? demande ma sœur qui me remarque enfin.
— Non, Fili, tu sais bien que je n'en fais qu'à ma tête.
— Très bien, je comprends. Sache que la prochaine fois que tu veux t'offrir un défroque, n'utilise pas mes cartes, compris ? Dit mon père.
— Clair, Monsieur Sánchez.
— Réa, je suis ton père. Cesse de m'appeler monsieur Sánchez.
-C'est noter... Viens les filles, prenez-moi en photo pour mes followers.
— Tu vas publier ça ?
-Ça te regarde pas, Filisya
Naïda me prend en photo et vite fait, je poste sur Instagram.
@RéaSanchez La benjamine des Sánchez prête pour l'inauguration de la merveille de son papounet, monsieur Luis Sánchez.
J'identifie mes parents, mes frères et les filles. Ils sont mon petit monde à moi.
-Réa ??? Dans le salon, tout de suite.
Sauve ta peau Réa
– On ferait mieux de se retirer d'ici, les filles.
— On prend ma voiture, dit Laïla
On se rend à l'hôtel dans la voiture de Laïla.
– Ton père va avoir une crise.
-C'est vrai,j'aime pas trop l'accueil colossal
-Moi aussi
-Aussi
Et on rit aux éclats.
Arrivée là-bas, on ne stationna pas trop loin de l'entrée et on pénétra dans le sein de l'hôtel.
Quelle merveille ! Est-ce mon père qui a vraiment fait construire ça ?
— Je vais m'offrir un verre, je vous apporte quoi ? Dit Naïda.
-Rien du tout
— Je viens avec toi.
-Et moi?
— Tu nous attends là, Mlle. Sánchez
Au départ des filles, je reçois un flash en plein visage.
Ses bordels de journalistes, toujours à la poursuite de nouvelles figures.
— Mlle Sánchez, c'est bien ça ?
-En chair et en os madame
-Réa, par ici!!!
— Excuse-moi madame, je dois rejoindre mes amies.
Sans lui donner le temps d'ajouter quoi que ce soit, j'étais avec les filles. Papa vient d'arriver avec ma mère accrochée au bras, à leur suite Lukas et Filisya.
Splendides… Fais-toi remarquer.
J'avance vers eux en souriant.
— Une photo en famille
Bien demander, monsieur le journaliste… Il ne peut pas se prendre en photo sans moi parce que je suis là, pas ailleurs.
À contrecœur, mes parents me laissent prendre place au milieu d'eux.
Et tchizzzz!!!!
-Merci
Mon père se retire avec ma mère pour accueillir ses hôtes. Lukas se retire dans le bar et Filisya est prise en conversation par un grand gaillard. Les filles n'y étaient plus, me voilà planté au beau milieu de la grande salle.
Pas grave, je vais m'offrir un verre, peut-être que je viendrais ami avec le barman.
Je me retourne brusquement, je trébuche dans les bras d'un jeune homme avec le sourire d'un archange.
-Je....je...merci
Et je me retire dans ses bras.
Espérons qu'on n'a pas été pris en photo.
– Je suis Sandro Alexandre Alphonso, fils du premier ministre Alexandre Alphonso.
— Qu'est-ce que ça peut bien me faire ? Je ne suis pas journaliste, moi.
– C'était juste pour faire votre connaissance.
– Qui vous dit que je souhaite lier connaissance avec vous ? Vous m'avez évité d'embrasser le sol, merci. S'il vous plaît, poursuivez votre chemin.
— En fait, je venais vers vous, vous me plaisez, votre prénom, c'est ?
-Réa...
— Alors Réa, vous êtes de quelle famille ?
Il plaisante ou quoi? Moi aussi, je ne savais pas qui il était, pourtant son père est le premier ministre du pays.
-Vous ne me connaissez pas?
-Mais non, alors vous êtes?
-La benjamine du propriétaire de cette merveille
-Vous êtes la fille des Sánchez?
— Exactement, Mon vieux.
-Je suis vieux?
-Presque
On se mit à rire.
-On s'offre un verre?
-Pourquoi pas? Après tout, je n'ai pas de cavalier.
-Sinon vous vous auriez pas fini dans mes bras
-On se tutoie?
— Après tout, on est les deux isolés de cette magique soirée.
Il me prend le bras et me conduit au bar. On s'offre un cocktail de fruits et ensuite, il m'invite à danser sur un slow.
Plus tard, il me reconduit chez moi.
-Merci Sandro
-À toi aussi, Réa, si tu n'as rien prévu pour demain, on pourrait aller prendre un morceau ensemble.
— Euh, je vais voir ça avec les filles. Si je suis libre, je te fais savoir par texto.
-Merci d'y penser... Bonne nuit,
-Bonne nuit..
Lorsque je suis rentré dans la cour,j'ai remarqué qu'il y avait un garde se tenait pas trop loin pour s'assurer que j'étais en bonne compagnie.
-Bonsoir Mlle.Sánchez
-Bonsoir, prévenez mes parents que je suis à la maison.
-Bien madame
Je monte dans ma chambre et je me laisse tomber sur le lit en souriant ,car demain, ce sera un nouveau jour pour tous les Sánchez.
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beatlesonline-blog · 2 years
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nanovie · 2 years
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La dernière fois je parlais de voeux, d'objectifs.
Mais alors, qu'ai je décidé ? Quelle est donc cette liste qui n'a point vu le jour depuis des années chez moi?
Pour ce billet, commençons par mon 1er voeux :
Boire moins d'alcool, clairement j'ai un problème de ce côté là.
Non pas que je sois alcoolique si l'on s'en tient à la définition, toutefois je bois trop dès que j'en ai l'occasion, c'est à dire plusieurs fois par mois depuis déjà plusieurs années. Entre trous noirs, mal-être physique et mental, je m'aperçois que je bois pour être plus détendue lorsque je suis dans une situation qui m'est inconfortable. Trop de monde, présence de personnes inconnues...
Étant anciennement une grande timide j'ai réussi à +/- vaincre cet partie de moi dans le monde professionnel, bien que je déteste les rassemblement entre collègues ou autres événements. Clairement, je ne suis pas à l'aise, ça reste difficile pour moi mais depuis des années je m'efforce à rester professionnelle et profite de ces moments pour me challenger, pour évoluer. L'autre raison de cette aversion c'est l'hypocrisie incroyable transpirant de chaque pores de la peau de tous ces "professionnels"se faisant des courbettes à n'en plus finir. Quand il ne s'agit pas d'un événement d'entreprise où tout le monde décide de se saper un peu,de degommer le buffet et de se torcher la gueule à coup de blanc jusqu'à Brigitte de la compta, on a droit aux speech à la chaîne et aux cartes de visite qui termineront au fond d'un tiroir ou d'une poubelle. Ça me dégoute, vraiment. Mais! Jamais je ne me mettrais de cuite au travail! J'ai déjà suffisamment eu d'expérience où j'ai manqué de tourner ma langue dans ma bouche avant de parler alors totalement saoul, non merci !
L'angoisse monte lorsque je ne connais pas les gens où si simplement nous n'avons pas grand chose à nous dire, ceci même avec des amis mais pas avec ma famille me semble t-il.
Le liquide magique me fait parler, m'apaise et me voilà à enchainer les verres, à me sentir plus heureuse avec cette rustine. Puis vient le moment où je me dévalorise à coup d'auto critique devant le miroir "pas assez jolie" "je vieillis" "idiote" etc. Notez que ça n'arrive pas toujours mais je ne compte plus le nombre de fois où Ed, mon compagnon, m'a retiré mes chaussures pour me coucher, toute habillée malgré tout. Il m'est même arrivé de me réveillé avec mon manteau et mon sac à main dans mon lit...
Pourtant, le pire dans ces moments c'est l'après, le regret, ce sentiment de vide et de tristesse. Je me suis comblée temporairement avec une substance mais me voilà toujours aussi vide le lendemain. Retour à la case départ ma grande.
C'est de cette façon que j'ai démarré l'année 2023, avec un bout de la soirée de nouvel an perdu, avec la honte, le regret et toute la palette d'émotion qui va avec.
Un ami que je vois rarement et pour lequel j'accorde une grande affection m'a répondu ce soir là lorsque que je lui ai demandé pourquoi il ne buvait pas beaucoup "pourquoi je ferais ça? On discute, on est bien, je n'ai pas besoin de ça". Ca phrase a raisonné en moi mais je n'ai pas été capable d'en prendre la pleine mesure à cet instant.
A présent il est temps de prendre soin de moi et de ne plus me cacher derrière un palliatif.
Espérons que lors du bilan cet objectif fera parti de mes réussites.
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