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#faire du cardio
fitnessmith · 5 months
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Comment faire du cardio avec plaisir
NOUVEL ARTICLE : Comment faire du cardio avec plaisir. Lien en bio @fitnessmith #fitness #workout #fit #gym #health #fitnessaddict #motivation #healthy #train #lifestyle #strong #eatclean #fitnessmotivation #getfit #muscle #bodybuilding #instagood #photooftheday #training #gymlife #instafit #fitfam #exercise #healthychoices #fitnessmodel #diet #fitspo #abs #strength #weightloss
La seule bonne façon de faire du cardio, c’est de faire ce que vous aimez. Le problème, c’est qu’on n’a pas le temps d’en faire tous les jours parce qu’on a un travail, des enfants et tout un tas d’occupations. C’est l’excuse que l’on sort tous pour ne pas aller faire son cardio.   Le problème, c’est qu’on voit le cardio comme une contrainte, comme un effort volontaire, sans plaisir et sans…
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cestmoiquand · 8 months
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Et dire, que je nage limite plus vite après 5 sans natation, que quand je nageais régulièrement. 1km en 30 min, c'est un temps normal.
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ernestinee · 1 year
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Comme je n'ai que ça à faire Comme je procrastine, je fais un petit bilan du moment en mode level 10.
Vous vous souvenez du level 10, on définit 10 domaines de la vie, on y pense régulièrement pendant quelques jours pour n'être ni pessimiste ni trop optimiste, et on se met des points sur 10. Ensuite on choisit des domaines prioritaires pour lesquels on se demande comment monter d'un point d'ici le prochain bilan. On pose des objectifs et des façons d'agir. Je fais ça régulièrement depuis deeeees annééééées et ça m'a réellement fait évoluer. Le postulat est que lorsque l'on concentre son énergie dans quelque chose, cette chose évolue.
Bon alors.
1. Couple. 7/10 comme la dernière fois.
Ça va quoi. Tranquille.
2. Amitiés/famille. 8/10, -1 par rapport à la dernière fois mais on va entrer dans la période des anniversaires, ça va remonter.
Les amis fidèles sont toujours là, c'est agréable. J'aime bien les mettre au même niveau que la famille.
3. Santé : 8/10. +1 par rapport à l'année dernière
J'ai perdu 15 kg depuis le mois de mai et ça fait beaucoup de bien. Je suis au même poids qu'en 2016 quand je faisais 9h de sport par semaine. Alors je n'ai plus du tout le temps de faire 9h, mais le cirque reprend cette semaine (jonglerie , câble, échasses, corde lisse et trapèze) et pendant les vacances scolaires j'ai régulièrement bossé les bras et les abdos, j'ai assez bien marché aussi.
L'année dernière j'étais assez déçue de moi, j'étais fière de me lancer dans des trucs difficiles mais ils se sont vraiment avérés très difficiles, mon âge et mon corps agissaient comme des obstacles pour tout ce que je voulais faire au trapèze. En fait j'aimais bien ce corps avec des formes et il correspondait mieux à qui je suis, je trouve. Mais il ne correspondait pas du tout à ce que je voulais en faire. Du coup me revoilà fit, comme au bon vieux temps, mon corps comme un outil. Cardio peut mieux faire mais c'est pas mon truc, gainage de folie et bras encore un chouïa trop mous mais les pompes commencent à se fluidifier, c'est cool.
4. Environnement 7/10. Pareil que l'année dernière parce que rien n'a vraiment changé. Ça va changer, on commence des travaux en octobre dans la maison. L'appartement quant à lui se termine petit à petit mais on ne peut y aller que des petits moments du weekend, et c'est à 1h d'ici du coup ça limite fort. Bon allez peut-être un petit 8/10 alors, pour l'effort.
5. Don de soi. J'étais à flemme/10. Là je vais ajouter 1 point pcq justement hier j'ai fait du bénévolat pour avoir des subsides dans un projet d'intégration d'enfants handicapés dans des stages. Pour financer la présence d'éducateurices spécialisé.es et arriver plus facilement au quota de supervision nécessaire quand il y a des enfants handicapés dans le groupe.
Mais flemme quand même. Je donne beaucoup de moi, je fais du bénévolat avec les patients quand je sais qu'ils ne seront pas remboursés par la mutuelle par exemple. Je refuse qu'ils paient les manquements du système de soins de santé en Belgique. J'arrive pas à coter ça en fait, ça me semble naturel et en même temps je ne pourrais pas faire davantage parce bon il y a un moment où je paie des factures.
6. Loisirs 8/10. +1 par rapport à l'année dernière.
Je double ma présence au cirque cette année et ça commence demain et ça me terrorrise, et je suis en même temps impatiente de donner encore cette année des grands coups de pied dans ma zone de confort. Et je suis surtout impatiente de passer du temps avec le groupe du cirque. Ces gens sont remplis de talent, d'humour et de bienveillance, je n'ai pas envie de me passer d'eux.
7. Job 9/10 encore, même chose que l'année dernière.
J'ai beaucoup de boulot et j'aime ce que je fais. J'ai juste beaucoup trop de boulot par périodes, c'est mal réparti sur l'année. Là je viens de passer deux mois plutôt chill pendant les vacances scolaires parce qu'il y a beaucoup d'absents et d'un coup ils reviennent tous et beaucoup d'entre eux ont besoin de testing et de bilan. J'ai posé les bilans exprès à cette période parce qu'en général j'ai un.e stagiaire et c'est un bon apprentissage, mais là je n'ai pas de nouvelles de celle de cette année.
S'il devait y avoir un objectif ce serait arrêter de procrastiner mais bon, on le connaît bien ce petit cocktail "1/3 angoisse d'anticipation, 1/3 perfectionnisme, 1/3 syndrome de l'imposteur"
Cet objectif ne fonctionne pas, étant donné que j'écris tout ceci au lieu de faire mes factures.
Je devrais bosser sur mon rapport à l'argent. Des années que je bosse et je suis toujours déchirée à l'idée de donner une facture à un patient.
8. Finances 6/10.
+1 par rapport à l'année dernière parce que j'étais vraiment dans une grosse tuile avec des documents perdus par la mutuelle et donc l'impossibilité d'obtenir mes honoraires de plusieurs mois. Ça avait reculé pas mal de paiements importants qui avaient donc été majorés et c'est comme ça qu'on se retrouve dans le caca financièrement parce que ça décale les paiements faisables et donc ça ajoute des majorations sur le moindre truc.
J'ai aussi eu des problèmes dont j'aurais pu me passer, avec ma voiture, ça a été cher.
Du coup c'est un +1 d'encouragement pcq la galère continue mais j'ai trouvé une solution, et ça m'a demandé de prendre sur moi et téléphoner (😱) mais maintenant l'avenir me stresse un peu moins.
9. Philosophie. 0/10, pareil qu'avant.
J'ai même pas envie d'en parler,tiens. Je vais trouver un autre libellé.
10. Lecture 9/10. +2 par rapport à l'année dernière, LE gros progrès de l'année, avec la santé.
Je suis dans mon 18eme bouquin et j'ai même un petit résumé de chaque dans le billet épinglé. J'espère arriver à 20 avant décembre mais là je suis dans une grosse lecture assez technique sur la remédiation des troubles visuo-attentionnels.
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idereahellyeah · 2 years
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J'ai vu les post de @plaidetchocolatchaud et je me suis rendue compte que j'ai été plutôt sage sur les retraites. Alors que bon.
Je m'appelle A., j'ai 33 ans, je suis infirmière depuis 10 ans et j'ai déjà deux accidents du travail reconnu qui m'handicaperont toute ma vie.
Je travaille dans un service privilégié où on a beaucoup de matériel pour nous aider, pourtant chaque jour je vois des collègues mettre leurs mains sur leurs hanches pour soulager leurs dos ou s'étirer la nuque dans l'espoir d'un craquement libérateur.
Je travaille avec une équipe jeune pourtant beaucoup portent les traumas de voir la douleur, la mort, la souffrance de vie de leurs patients. Nombreux sont ceux également qui avec l'alternance jour/nuit ne peuvent dormir sans prendre un traitement et je ne compte plus ceux qui en sortant du boulot vont systématiquement boire un coup pour ne pas ramener le boulot à la maison.
J'ai aussi la chance d'être entourée de mentor, quelques rares dinosaures qui travaillent depuis plusieurs décennies dans le service. L'expérience fait qu'ils refusent de faire certains gestes, comme les compressions thoraciques, afin de se préserver car ils savent qu'ils ne peuvent plus. Même remonter les patients dans les lits leur est difficile avec l'arthrose qui déforme leurs doigts et la fin de journée est difficile malgré les bas de contentions.
Encore une fois, j'ai de la chance, pas comme les 3/4 des services où toutes les conditions sont dégradés. Chez moi on nous demande de travailler plus avec moins, chez eux on leur demande de faire plus avec rien.
Les soignants n'arrivent pas à vieillir à l'hôpital, peu dépassent l'âge de 60 ans et les gens arrivent plus tard dans le milieu.
Et le gouvernement veut instaurer 64 ans de départ à la retraite et 43 ans de cotisation? Mais on va où sérieux?
L'hôpital va mal, ce n'est pas un secret de polichinelle, et on demande encore à ceux qui le font tenir de faire plus. C'est épuisant.
La pénibilité n'est pas reconnue pourtant, pour rappel, les femmes qui travaillent de nuit sont celles qui ont le plus de risque de développer des cancers et des maladies cardio vasculaires. Dans le discours du gouvernement on parle des aides soignants mais, outre les infirmiers, pourquoi juste eux? Les ASH qui manipulent des produits chimiques toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Les manipulateurs radios qui se bouffent malgré tout des rayons toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Et les médecins qui commencent à travailler officiellement à partir de l'internat, on les fait bosser jusqu'à 90 ans sous prétexte qu'ils "gagnent bien" leur vie? Sans déconner.
Hier j'étais dans la rue car je ne travaillais pas mais je pensais fort à mes collègues qui ont été réquisitionnés et qui portaient un bout de scotch sur leurs tenues marqué "En Grève".
Je pensais fort également à tous ceux qui hors de l'hôpital sont comme nous concernés, soit beaucoup trop de monde.
Force à nous tous !
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lesgenouxdanslegif · 27 days
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IL Y A 18 ANS.
2006, Marco Olmo est au départ de la course de quartier de Chamonix. C’est l’année de ses 58 ans. Analyse :
• DES CHAUSSURES DE ROUTE. Marco a choisi un modèle dont l’accroche est équivalente à courir à côté de la piscine tout en se prenant une soufflante de la part du maître nageur.
• DES CHAUSSETTES LOURDES ET RESPIRANTES. Inutile d’en dire plus.
• UN COLLANT DU FUTUR. Il est ici légèrement relevé pour faire apparaître des mollets tellement affûtés qu’il était possible de se couper si on les effleurait.
• DES SCOTCHS SUR LES GENOUX. Pour se les protéger en cas de chute. Un délire.
• UNE MONTRE À AIGUILLES. Marco savait qu’il allait arriver vers 16h. Inutile pour lui d’en savoir plus.
• UN T-SHIRT TAILLÉ EN V. Et avec quelques sponsors, juste de quoi l’aider à faire une clé de bras à la concurrence. « Dans la vie, je suis vaincu. Je suis né pauvre et je suis encore pauvre. Je cours pour me refaire. Je cours par vengeance » avait balancé Marco.
• UN SAC À DOS BIDOUILLÉ. Pour mettre en PLS les ingénieurs de la NASA.
• LA DOUBLE FRONTALE. La légende raconte que pendant l’épreuve il aurait ébloui quelqu’un situé au Brésil.
21h06’06’’. Une foulée rasante. Les mains dans le dos quand ça grimpe fort. Sans cardio, sans bâtons, sans accélération, sans se soucier des autres. Mais avec un cœur gros comme ça. Il remportera également l’édition suivante, l’année de ses 59 ans.
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olympic-paris · 2 months
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saga: soumission & Domination 233
Août 2012-4 Franck et les jumeaux (suite)
Pour éviter que l'on s'encroute je décide tout le monde à partir faire un jogging. Si la muscu apporte les formes et le volume, seul le cardio peut assurer un corps sec sans passer par les diurétiques.
Après une demi-heure pour savoir quel type de short va le mieux à chacun, nous partons torses nus, vêtus des shorts les plus petits que nous ayons pu trouver dans mes placards et de nos chaussures. Je m'attache au poignet un stop sueur dans lequel je glisse quelques billets, au cas où.
Ils me suivent sur un parcours d'environ 10 Km mais avec un arrêt possible dans un des villages des alentours. Nous trottons tous sur le même rythme et les 6 premiers Km sont avalés rapidement. Quand nous traversons le village en question, La terrasse du café nous attire irrésistiblement. Nous y annexons deux tables et PH appel le serveur. Mignon, ce dernier pique un fard quand il tombe sur 6 beaux mecs en shorts courts sinon très courts pour certains, dont les sueurs dessinent leurs muscles et même moulent leurs paquets. Il met quelques secondes avant de nous demander ce que nous désirons. Il devient encore plus rouge quand tous nos regards se fixent sur lui. Il en laisse échapper son crayon et sa main tremble quand il le reprend de la main de Tic. Pour détendre l'atmosphère, je lui demande s'il fait ça en job de vacances. Il me dit qu'il aide juste de temps en temps son oncle, le propriétaire.  Comme nous sommes leurs seuls clients du moment, je lui dis de choisir une consommation pour lui et de nous rejoindre à la terrasse. Il hésite mais je le convaincs en lui promettant que nous le libérerions si un nouveau client se présentait.
Dès qu'il a le dos tourné, toutes les conversations tournent sur lui. Les spéculations vont bon terme, entre " il doit être canon sans son tablier " jusqu'à "surement mieux  tout nu " à " quel âge peut-il avoir ? " et " il est majeur c'est sûr ", sans oublier " il est actif ou passif ? Tu crois qu'il a un gros paquet ? " Et bien sûr plein d'autres remarques aussi pertinentes et cruciales !!
Quand il revient avec nos commandes et sa menthe à l'eau, nous le forçons à s'assoir entre les jumeaux face à Frank sur lequel j'avais cru voir son regard s'attarder. Nous nous présentons. Lui s'appelle, Louis, il a 18 ans tout justes et quand Ernesto lui demande quel sport il fait, il nous avoue jouer au foot. Franck lui demande direct s'il gay et ajoute qu'il espère que c'est le cas car il lui plait bien. Nous restons tous muets devant son impudence et nous retenons nos souffles dans l'attente de la réponse. Si elle n'est pas totalement positive, ce n'est pas pour autant un non définitif. Embarrassé par nos présences, il bafouille que : non il n'est pas homo mais que " lui aussi (Franck) il lui plait bien ! ". Quasiment un aveu, c'est ce que souligne aussitôt Tac à sa droite. Du coup il se sent contraint de nous dire qu'il sait quand même ce que c'est qu'un mec.
Je reprends en main la conversation, faudrait pas que nous l'effarouchions !
Je lu dis que nous sommes au milieu d'un jogging de 10 Km, ce qui explique nos tenues et je lui demande s'il était libre pour la soirée que je serais ravi qu'il la passe avec nous pour faire plus ample connaissance. Je le vois regarder une nouvelle fois vers Franck. Ce dernier affiche un grand sourire et sans qu'il le quitte des yeux, Louis accepte l'invitation. Il pourra nous rejoindre dès 18h son oncle étant alors assisté par son serveur salarié. Je lui donne mon adresse et lui explique grossièrement la route pour venir. Je lui note sur notre facture le n° de téléphone de la maison au cas où il se perdrait.
Nous rentrons au petit trot. Passage aux douches, puis barbotage dans la piscine pour se détendre et éviter les contractures. D'un commun accord, nous décidons de retenir nos envies de sexe jusqu'à l'arrivée de Louis.
Peu après 18h, alors que nous sommes tous impatients de voir notre invité, le téléphone sonne. Louis est devant la porte et me demande si c'est bien là, décrivant le portail. Je lui confirme qu'il est à la bonne adresse et alors qu'il sonne, Ammed va à ses devants après avoir déclenché l'ouverture. Il nous l'amène sur la terrasse.
Nous y sommes tous en maillots à profiter des derniers rayons de soleil. Louis est en bermuda et polo. Je lui dis de se mettre à l'aise. Confus il nous dit n'avoir pas prévu de maillot. C'est moi qui m'excuse de ne pas lui avoir dit et je demande à Franck de l'emmener en choisir un. Je lui indique qu'ils sont à coté des jocks à l'entrée de la salle de muscu.
J'attends 5mn puis vais voir où ils en sont. Je passe par dehors et au travers de la porte vitrée, je peux voir que Franck s'est déjà attaqué à la chose. Je trouve Louis dans ses bras en train de se laisser rouler un patin. Il est en maillot. Je peux voir qu'il est bien bronzé et que ses vêtements larges cachaient un beau corps finement dessiné. C'est vrai qu'à coté de nous tous qui affectionnons la muscu, il est plus dans le style Tic et Tac qu'Ernesto à fortiori moi.
Je les mate bien 2 mn avant qu'ils ne s'aperçoivent de ma présence. Quand il s'en aperçoit, Louis s'écarte brutalement de Franck et redevient tout rouge. Je l'attrape par le bras, l'attire vers moi et lui roule un patin. Il se laisse faire, éberlué par ce qui lui tombe dessus ! Quand je me détache de lui, je lui souhaite bienvenue dans la " famille ". Il nous accompagne pour revenir sur la terrasse encore sonné par l'accueil que Franck et moi lui avons fait. Encore tout rouge, il attire les regards des autres convives qui viennent tous l'un après l'autre lui claquer un bisou sur les lèvres en guise de bienvenue. Ce n'est pas ça qui va le faire pâlir ! D'autant plus que Tic ne s'est pas gêné pour lui mettre la main au panier ! Franck le récupère avant que cela ne dégénère et le balance dans la piscine, avant  de plonger à la suite. En 2 secondes nous sommes tous dans l'eau à nous poursuivre et à essayer de baisser le maillot d'un autre tout en gardant le sien. Louis a vite compris et il glisse entre les mains des uns et des autres pour réussir à baisser celui de Franck. Il a de la suite dans les idées ce p'tit con ! Tout content d'avoir réussi son coup, il devient négligeant et à son tour il se retrouve le maillot aux chevilles. Malgré la température de l'eau, il me semble correctement monté surtout en semi bandaison. Finalement nous sortons tous de l'eau à poil, le slip à la main. Ok, Louis a le cul blanc mais surtout une touffe de poil sauvage autour de la bite. Il nous regarde tous les uns après les autres et pas dans les yeux ! Son regard ne peux se fixer sur aucuns de nos attributs, intrigué qu'il est par les différentes tailles réalisés sur nos poils pubiens. Franck l'attrape par les épaules avant qu'un autre ne le lui souffle, l'enveloppant d'un grand drap de bain avant de lui expliquer que tous, nous préférons maitriser un peu la nature et lui glisse qu'il aimerait bien s'occuper du sien de buisson.
Nous le laissons sécher Louis et nous nous aidons les uns les autres, avant de nous rhabiller (enfin le minimum, juste un boxer !)
Samir apporte l'apéritif. Nous sautons sur les accompagnements, l'appétit aiguisé par notre course poursuite. Louis est maintenant dans l'ambiance, la dose conséquente de whisky versée par Franck l'aide à se mettre à l'unisson.
A la suite nous dinons. Tic quitte vite sa place pour venir squatter les genoux d'Ernesto. Evidement ça dégénère vite. Sentant les 24cm se gonfle sous la pression de ses petites fesses, il glisse à ses pieds et entame une pipe en règle. Louis a les yeux qui sortent de sa tête. Quand il se tourne vers Franck pour avoir une explication, il ne peu manquer la déformation de son Boxer. Il fait le tour de la table et au travers du verre du plateau peut voir que Tac et moi sommes dans le même état. Pour l'achever, Ernesto repousse la tête de Tic et l'envoi me sucer. Il peut donc voir ce dernier traverser la table, tirer l'élastique de mon boxer et emboucher ma queue. Franck l'attrape et le soulève pour le prendre sur ses genoux et lui rouler un patin. Tac s'approche d'eux et intervient dans les contacts linguaux. Dépassé Louis à l'air de se laisser faire. Ernesto, se lève et vient me donner sa bite à biberonner.
Je donne le départ en quittant la table et en passant au salon. Les trios restent fixés et alors que je pose Tic, dos sur la table basse, afin qu'Ernesto et moi ayons de quoi nous occuper chacun à un bout. Franck place Louis entre lui et Tac et ils s'occupent de lui ensemble. Il lui roule une pelle alors que Tac s'attaque à la bite de Louis. Tac le suce histoire de le faire bander à mort. Peu de temps après il nous annonce un 19 x 5,5. Arrêt de toutes les " hostilités " pour le féliciter.
Puis nous reprenons. J'enfile ma bite dans la gorge de Tic alors qu'Ernesto lui prépare la rondelle à grand coups de langue et force salive. A nos coté Louis à totalement cédé et il suce maintenant les 18 cm épais de Franck. Et il s'en donne à coeur joie essayant probablement de reproduire ce que lui fait Tac à l'étage en dessous. Franck lui tient la tête mais je vois qu'il fait attention à ne pas enfoncer trop loin son gland. Il doit avoir envie de lui faire plaisir à lui aussi.
Je m'occupe de Tic. Ernesto me prévient qu'il est prêt. Je me kpote et nous échangeons nos places. Après avoir pris possession de sa bouche, Ernesto attrape les chevilles de Tic et les tire vers lui jusqu'à ce que son anus soit jute à hauteur de ma bite. Là, je m'enfonce dans Tic. Il en peut que gémir et gargouiller alors que le gland d'Ernesto lui fouille la gorge.
Ça attire les regards et je vois que Louis mate Tic. Franck le reprend en main et se met à le sucer alors que Tac s'attaque à sa rondelle. C'est surement un truc qu'on ne lui a jamais fait car il en peut laisser échapper un " trop bon " révélateur.
De mon coté je profite bien de la rondelle nerveuse de Tic. Je le rode car bientôt je cède la place à Ernesto. Quand ce dernier est bien en palce je les quitte pour embrasser Louis. Sa langue vient vite au contact de la mienne et s'apprivoisent. Je le caresse et m'occupe un peu de ses tétons. Pas d'effets notables, mes mains passent sur ses flancs. Sa peau est douce, je le sens fondre sous nos attentions. Je tape sur l'épaule de Franck qui s'en était déjà aperçu et avait arrêté sa pipe. Nous baissons la pression. Louis nous dit qu'il n'avait encore jamais pris un plaisir pareil et encore il n'a pas juté !
Le temps mort, nous admirons Tic se faire labourer (limer étant trop restrictif pour un sexe de 24 x 6 en action). Louis est mi admiratif mi apeuré. Je le prends dans bras et lui glisse à l'oreille que tout va bien se passer. Je suis sérieux et il me croit.
Nous reprenons Louis en main. Une fois préparé, nous cédons à Franck la priorité pour étrenner son cul. En levrette, Tac sous lui en 69 pour avaler sa bite au maximum, Franck se met en place et lentement pénètre Louis. Moi, je me place devant lui, les yeux dans les yeux et je lui murmure ce qu'il va lui arriver quelques secondes avant que Tic et Franck agissent. Mon ton le rassure et il s'accroche à mon regard. Je lui dis de souffler alors que Franck s'enfonce en lui. Il obéi et je vois dans ses yeux chaque cm de la queue de Franck entrer en lui. Quand il a une seconde paire de couilles collée à lui, je lui roule un patin.
Je me surprends à penser que s'il n'était pas homo, il avait du quand même avoir quelques expériences avec des mecs.
Franck se retire doucement et le pénètre à nouveau. Trois ou quatre fois lentement puis il augmente le rythme. Je me détache pour éviter les dents cassées et lui présente ma bite. C'est lui qui choisit de me sucer. Il le fait bien même si je reste seulement dans sa bouche, sa langue tourne bien autour de mon gland.
Ernesto et Tic qui n'avaient pas fait de pause, jouissent les premiers avec force démonstration. Ils nous entrainent. C'est Louis qui part le premier recouvrant le cou de Tac d'une bonne couche de sperme. Franck se retire rapidement pour lui juter sur le dos après avoir enlevé sa kpote. J'ajoute ma production qui vient se mélanger aux flaques déjà présente. Tout en dessous Tac qui n'avait pas arrêté de se branler explose dans un geyser qui projette son sperme par-dessus Louis.
Ponctuel comme toujours, Ammed arrive avec les serviettes humides pour éviter que le sperme tache les cuirs des canapés. Louis repique un fard, ayant probablement oublié la présence de nos hommes de service.
Après un bon 1/4 d'heure de repos, nous remettons nos boxers et j'appelle tout le monde à revenir à table manger le dessers. Louis parait gêné maintenant que l'excitation est retombée. Je le prends à coté de moi et lui dis de se détendre, qu'il ne devait pas avoir honte de lui. Il reste quand même muet le reste du repas.
Alors que nous prenons un café, il me pose quelques questions. La première, est sur Franck, je ne m'en serais pas douté !! Quand il apprend qu'il n'est pas du coin, je le vois déçu. Je lui dis que ce n'est pas grave car s'il est vraiment mordu, je sais qu'il sera capable de faire les kms. La deuxième est sur le groupe. Il se demande si nous vivons tous ensemble. Je lui dis que ce serait sympathique mais que non, Ernesto est de Barcelone et ne va pas tarder à y retourner quand aux jumeaux, ils vivent chez leur père.
Franck s'approche de nous et lui demande ce qu'il va faire l'année prochaine. Louis nous dit commencer les beaux arts dans la ville de xx. Franck lui dit que c'est génial car la route sera facile à faire entre chez lui et la ville en question.pui, il lui demande s'il voulait bien le revoir. Un peu à l'envers tout ça ! Mais Louis est d'accord. En attendant je lui demande s'il peut repasser d'ici le départ de Franck. Il saute sur l'occasion. Je lui demande même s'il veut rester à la maison, ça éviterait les aller et retour. Là, c'est moins évident, il va falloir qu'il deal avec son oncle.
D'ailleurs l'heure étant bien avancée, il nous dit qu'il doit rentrer, avec ce qu'il a bu, ce n'est pas raisonnable de repartir en scooter. J'appel Samir et lui demande de sortir la 300C pour ramener Louis. Il nous téléphonera dès qu'il pourra pour nous dire quand nous pourrons revenir le chercher.
Franck monte avec Louis à l'arrière.
Jardinier
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swedesinstockholm · 7 months
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16 février
r. vient de me demander comment ça va toi? et mon estomac s'est noué puis dénoué très rapidement. j'étais si fière de pas avoir parlé de lui depuis plusieurs jours. j'ai réfléchi pendant vingt minutes allongée sous ma couette et j'ai mis très bof. je lui ai dit que m. était repartie, que je venais de postuler à un job, que j'arrivais pas à écrire et que j'avais envie de partir loin, tout en restant brève et concise. il a dit en fait vous êtes mega proches? en parlant de m. et ça m'a donné envie de pleurer.
j'avais éteint mon ordi à 11 heures dans l'intention de dormir mais là il est une heure et demie et j'ai un coeur dessiné au stylo à l'intérieur du poignet, à l'endroit où on se coupe les veines dans les films, et zéro envie de dormir. il m'a dit que lui aussi il avait besoin de partir deux semaines quelque part au calme pour composer, mais moi ce que je veux dire quand je dis que je veux partir loin pour écrire c'est faire une expédition en antarctique grimper sur un volcan voir des baleines visiter les lieux de tournage de newport beach faire un road trip à travers les états unis et déménager au canada. j'ai envie de voyager pour écrire. j'ai envie de faire plus de trucs rien que pour avoir des choses à raconter.
17 février
j'ai ouvert le groupe whatsapp des pink ladies ce matin et apparemment y a plein de trucs queer ce weekend mais tout a l'air nul et chiant et ça me donne pas envie. sauf aller voir love lies bleeding avec kristen stewart le 10 mars dans le cadre du lux film fest. j'ai lu une interview fleuve d'elle dans rolling stone et je me suis reconnue dans plein de trucs qu'elle disait. je me reconnais toujours dans plein de trucs qu'elle dit dans ses interviews. j'aurais du les noter, pour mes prochaines lettres. peut être que la raison pour laquelle je me suis toujours identifiée à elle c'est cette histoire de fluidité. dans ses relations amoureuses comme dans son identité de genre. elle passe de l'un à l'autre tout en restant toujours fidèle à elle-même.
il a suffi que je recommence à écrire avec r. pour que je sorte de ma torpeur et que j'aille enfin faire une rando-marche rapide en ville, que j'envoie deux vidéos au festival videoex et que je postule pour le job de copywriting/marketing pour la philarmonie, tout ça dans la même journée. c'est vraiment lui qui a cet effet sur moi? je suis très satisfaite d'avoir inauguré ma nouvelle future routine (quelle optimiste) de randos-cardio à travers la ville. au départ je voulais marcher droit jusqu'à la forêt du cents depuis la maison et puis revenir, mais une fois lancée j'ai enchainé sur la colline des trois glands et puis je suis remontée à pied jusqu'au glacis parce qu'y avait trop de monde qui attendait l'ascenseur et j'ai failli m'évanouir en arrivant en haut. cette ville est parfaite pour le cardio avec ses milles collines boisées, je sais pas pourquoi j'y ai pas pensé plus tôt.
lundi je suis allée courir dans la forêt mais ça m'a explosé la cheville et la jointure des cuisses et le bas du dos et m. m'a parlé de son amie noa qui a commencé à faire des petites randos régulières et soutenues avec des montées et des descentes et elle a perdu beaucoup de poids comme ça. j'ai dit que je voulais pas le faire pour perdre du poids parce que j'ai aucun contrôle là-dessus de toute façon, c'est mes hormones qui règnent sur mon poids, c'est elles qui décident, mais j'ai un peu menti. je sais que j'ai pas de prise sur mon corps mais je veux essayer quand même, parce que je supporte pas d'avoir regrossi et je veux remettre mon pantalon avril lavigne de quand j'avais douze ans.
j'ai marché deux heures en leggins-baskets de sport trouées-sweat à capuche le visage rougi par l'effort et j'avais l'impression d'être chez moi. de régner sur ma ville, sur mon petit royaume, je marchais littéralement sur les remparts. puis je redescendais dans la vallée, puis je remontais sur les fortifications, puis je redescendais dans la forêt, etc. à un moment j'écoutais un morceau de noise-punk hardcore de quatorze minutes horrible mais envoûtant, j'étais en train de redescendre des trois glands avec la belle vue sur la ville de l'autre côté de la vallée et la violence de la musique cassait un peu la beauté de la vue, ça faisait un peu GO FUCK YOURSELF LUXEMBOURG, même si j'ai dit à r. hier soir que j'avais décidé d'arrêter de dire que je détestais ce pays. j'ai envie de connaitre chaque recoin de la ville comme ma poche. l'autre jour j'ai montré plein d'endroits à f. qu'elle connaissait pas comme l'endroit où la pétrusse se jette dans l'alzette et j'étais trop fière. enfin ça me faisait plaisir. ça doit être un legs de mon grand-père.
je suis descendue par le petit bois et y avait un homme qui promenait son chien derrière moi et quand je suis arrivée en bas j'avais l'impression de plus avoir de peau. je me sentais crue, dans le sens raw, à vif. je crois que c'était un peu lié à la musique violente. j'étais comme hypnotisée par tout ce que je voyais autour de moi. j'étais tellement crevée que tout était archi intense. mais agréablement intense. je m'en foutais d'être rouge et moche et dans mes habits de sport au milieu des gens bien habillés qui faisaient leur shopping/leur promenade du weekend, je zigzaguais entre eux comme si j'existais pas, comme si je faisais partie de la ville. je me sentais crue et libre. non encombrée. je me suis écroulée dans un bus pour rentrer, trop fatiguée pour rentrer à pied, y avait personne dedans quand je l'ai pris, je l'avais pour moi toute seule, c'était ma ville et mon bus. j'étais affalée sur mon siège dans mes habits de sport moites à me faire charrier à travers la ville sans que j'aie à faire le moindre effort et je me disais quelle invention quand même l'automobile.
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Bilan de l'année 2023
- Février je termine réellement la formation de yoga après 2 ans
- Opération des yeux en juin, terminé les lunettes, terminé la vue flou de loin, changement de vie c'est incroyable l'energie que j'ai dès le reveil. Je vois les choses arriver de loin maintenant 😅
- J'ai 6 tatouages, le premier en avril un oeil, en août : Athena et Médusa, en novembre un coucher de soleil ornemental, une fausse symétrie en lien puis un scarabée les ailes ouvertes en décembre
-J'ai arrêté de boire depuis le mois de janvier après des fêtes de fin d'année 2022 désastreuses pas d'alcool pendant 1 an, a peu près réussi craqué au bout de 6 mois un verre en voyage
- J'ai commencé ou recommencé la boxe en mars-avril, plus du cardio 🥊 avec du renforcement musculaire
- on a fait un voyage d'un mois au Japon, meilleur voyage de toute ma vie en juillet -aout
- J'ai commencé à ecrire plusieurs livres / histoires je suis une folle, en novembre. En même temps ça me vide la tête et je peux dire que j'écris réellement cette fois-ci.
- On a eu une grande discussion avec mes parents en juin, enfin pas moi incapable de parler. Quelqu'un d'autre à du le faire à ma place. Parce que je me suis vu m'ouvrir les veines mentalement à cause de la situation que je porte depuis 16 ans sur le tapis de l'appartement, idée intrusive et suicidaire, bonsoir... Hourra, il y a des limites saines dans notre relation maintenant. C'était soit ça, soit je coupais les ponts définitivement.
- J'ai fait de l'ULM au dessus de la plage en octobre
- Il ne reste plus que mon grand père paternel en vie, j'ai vu partir chacun d'entre eux. Qu'est-ce que c'était dur. On croit faire son deuil rapidement ou l'avoir déjà fait parfois mais c'est infini, ça prend à la gorge certains jours et d'autres non.
- Je suis retournée en Lozère en septembre dans la maison de vacances, j'ai conduis pour la première fois seule quasiment 3 heures d'affilées. Mes yeux voient correctement maintenant j'ai moins de fatigue au volant.
- Je suis guérie, j'ai pardonné mon viol en décembre, difficle d'écrire ça, ça manque d'histoire et de nuance mais trop long à expliquer c'était douloureux et sineux comme chemin mais c'est possible. 7 ans ou 8 ans pour m'en remettre.
- Quelqu'un m'a écrit un mot d'amour et est tombé amoureux de moi en octobre, le jour de nos 6 ans avec mon chéri : bad timing !
- J'arrive à faire un peu plus de câlins et à ne plus sursauter quand on me fait un câlin
- Je me passe enfin des pornos, j'ai une sexualité plus en accord avec mes valeurs et saine j'ai l'impression ça fait du bien
- J'ai lu ce que j'ecrivais pour la première fois, devant un cercle de femme, et un texte très personnel devant ma famille à l'enterrement de ma grand -mère, un bien fou
-Mon genou est guérie, je me l'étais pété dans un accident en scooter il y a 9 ans, merci le yoga 💗
- Je fais 53 kg et j'aime mon corps, pas tous les jours mais ça va mieux
- J'ai affirmé à voix haute que j'étais bi, ça avait toujours etait une évidence mais je ne l'avais jamais dit clairement et je comprends mieux mon attirance pour les femmes en même temps voilà les œuvres d'art quoi 🌹
- J'ai commencé à apprendre le japonais, j'ai recommencé à apprendre la langue de ma mère l'espagnol puis abandonné tête trop pleine parfois
- Je suis allée à un concert le soir de mon anniversaire et j'adore fêter mon anniversaire de cette manière, danser + musique + friends
- J'ai lu à peu près 25 livres en 2023, ce qui fait une moyenne de 2 livres par mois.
- J'ai vu tous les feux d'artifice 🎆 sur la plage simultanément en août, on etait bien placé c'était beau
- J'ai rencontré des femmes avec qui je pense pouvoir devenir amie, ll faut continuer à faire confiance, à envoyer des messages, les voir, les chouchouter. Pas facile l'amitié pour moi, surtout l'hiver 🥶
Bon finalement j'en ai travaillé des choses cette année, c'était enrichissant et productif, une belle année, utile de faire le bilan parfois 😊
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alexisgeorge24 · 10 months
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16 novembre :00h00 c'est une bonne heure pour débuter une journée si on a l'intention de profiter du lever de soleil au sommet d'un volcan. 2 heures de 4x4 pour se rapprocher au maximum du Parinacota à la frontière du Chili à 5100m. On est 4 en comptant notre guide. On passe rapidement de 0 à -10° en quelques 100aines de mètre d+. J'ai les mains congelée mais c'est le seul problème technique. Le cardio et le morale sont au top, et en 4h30 on atteind le sommet qui est à 6300m (!!!). Les derniers 300m étant particulièrement éprouvants puisqu'on avait l'impression que le sommet tout proche était inatteignable. Arrivé en haut évidement la vue est à couper le souffle, surtout à 06h30 aux aurores et avec le volcan jumeau du Paniracota juste en face, le Pomerape. On redescend en 1h30 puis s'enchaînent:
Retour à l'hébergement, taxi jusqu'à la frontière, bus jusqu'à Patacamaya, bus jusqu'à Oruro, pizza et visite express de la ville, bus de nuit jusqu'à Sucre.
Bilan: 7km, 1200m d+
En parallèle, Jessica fait mieux que moi avec une ascension à 9000m en 30min depuis l'aéroport CDG. Arrivée à Zurich escale de 6h avant de prendre le vol de nuit vers Sao Paulo et être sur le même continent que moi.
17 novembre : Arrivé de bonne heure dans le logement qu'on s'est réservé avec Jessica, j'en profite pour faire une lessive et prendre 5 douches. 4000km à l'est, Jessica termine un vol pénible car "peu d'espace pour mes jambes, à côté d'une personne un peu imposante et derrière une personne qui s'est littéralement allongée sur moi. Je retiendrai un mauvais souvenir de ce vol. Puis escale de 3h à Sao Paulo avant d'embarquer vers Santa Cruz. Arrivée en Bolivie, je passe la police aux frontières puis en voulant me diriger vers les couloirs de correspondance, j'aperçois mon sac de rando par terre avec d'autres bagages. Heureusement que je l'ai aperçu car j'ai du de nouveau m'enregistrer pour le dernier vol vers Sucre. Ensuite j'atteins enfin la ville pour retrouver mon Alexis qui est venu me chercher à l'aéroport vendredi vers 17h30".
Arrivés à la chambre, sieste méritée pour Jessica puis bar où elle découvre, à sa bonne surprise, les prix des cocktails en Bolivie.
18 novembre: Journée dediée à la visite de Sucre. Pour briller en société, il s'agit de la capitale constitutionnelle du pays, qu'est-ce que cela veut dire ? Que dans la constitution il est indiqué que la capitale c'est Sucre, voilà. La capitale de facto c'est La Paz (où siègent le gouvernement et autres institutions gouvernementales) et la capitale économique Santa Cruz. Bref, la ville est à 2800m, je suis donc au club med mais Jessica sent les montés. On commence la journée en prenant des churros AU DULCE DE LECHE. Ensuite on se dirige vers le museo del Tresoro où sont exposés des bijoux et pierres précieuses qu'on peut trouver dans le pays comme l'Ametrine Bolivienne (j'espère pouvoir caler cette information un jour lors dun diner). A défaut de trouver toutes les églises et cathédrales ouvertes au public, nous faisons un tour au marché ou je me pète le bide aux salades de fruits. On termine la visite par la Ricoleta, qui pour le plus grand plaisir de Jessica est à 100m d+. Belle vue sur la ville, visite d'un couvent et des musées sur les techniques de tissages indigènes. Bières/cocktails au même bar que la veille puis direction la gare routière pour notre bus de nuit vers Uyuni.
19 novembre: Arrivé à 5h30, ça nous donne le temps de prendre un petit déjeuner, trouver une agence pour un tour de 3 jours et organiser la suite de notre voyage au Chili. A 10h30 on charge le 4x4 et on commence par un "cimetière" de trains et locomotives. Nous n'avons aucune explication de notre "guide" Alex qui s'avérera tout aussi inutile que les locomotives. J'imagine qu'il s'agit d'anciens moyens de transports pour les mines du coins. En tout cas dommage pour le manque totale de conservation mais ça reste divertissant de grimper sur et dans les loco toute rouillées. Après ça, direction le Salar d'Uyuni, un désert de sel à perte de vue tout blanc avec un ciel bleu magnifique et quelques volcans au loin. Le desert est tellement impressionnant que de loin on voit le reflet des montagnes sur le sol. Il n'y a pas de mots pour décrire ce que l'on voit c'est sublime. Puis on s'enfonce un peu plus dans le désert, on déjeune dans un batiment en sel, puis de nouveau dans le désert mais cette fois éloigné des autres touristes pour pouvoir faire des photos. Ensuite on s'arrête sur une "île" de cactus géants. Jessica commence à en chier avec l'altitude (3600m). On termine la journée en admirant le coucher de soleil sur les montagnes en plein milieu du désert, spectacle incroyable. Nuitée dans un hôtel familiale de San Juan sans eau chaude. De toute façon les douches c'est pour les fragiles. Jessica n'est pas étonnée des vacances que je lui ai préparées.
20 novembre : On quitte le Salar pour s'enfoncer dans un désert qui me rappel le parc de Sajama. On roule au pied du Volcán Ollagüe que je capture avec mon drone à bord du 4x4, on s'arrête à des lagunes où habitent des flamands rose, on se promène dans une "forêt" de rochers, observe ves vigognes sauvages et des lapins andins. Le mal de tête de Jessica s'accentue lorsque qu'on remarque qu'on est à 4400m. On termine la journée avec la laguna colorada dans un paysage dessiné par Van Gogh puis par une région avec des fumerolles qui doivent se transformer en geysers tôt le matin (quand il fait très froid). A l'auberge, après le dîner, je laisse comater Jessica pour aller me baigner dans des thermes d'eau chaude sous un ciel chargé d'étoiles. Je traîne pas trop et je rentre tenir compagnie à Jessica qui passera l'une des pires nuits de sa vie.
21 novembre : Jessica se réveil avec du plomb dans la tête et c'est partie pour continuer notre visite, youhou. On ne visitera qu'un lac puis direction la frontière chilienne. On frôle la prison à cause de Jessica qui avait oublié dans sa poche un citron vert au moment de passer la douane. Je nous esquive un interrogatoire musclé en le balançant dans la poubelle en prétextant vouloir aller aux WC. Une fois sortie de mon personnage d'agent 007 je m'aperçoit qu'on pouvait le déclarer en 2 min sans être embêté. La douane passée, au plus grand plaisir de Jessica nous passons de 4700m à 2400m en arrivant à San Pedro. Le mal d'altitude disparaît progressivement et elle peut à nouveau se considérer en vacances. Puis s'ensuit une séquence d'événements peu intéressante mais agréable par son efficacité : check-in, douches, bus de 1h pour Calama, déjeuner, achat carte SD (oui Jessica s'est ramenée avec l'appareil photo sans vérifier s'il y en avait une dedans), location de voiture, route jusqu'à San Pedro, contemplation couché de soleil sur la valle de la luna, apero/dîner. On découvre alors que ce village touristique est très charmant et offre plusieurs choix de restos et bars, ce qui n'est PAS DU TOUT la norme depuis le début de mon séjour dans les Andes.
22 novembre : 2h de route pour atteindre Piedras Rojas, une énorme lagune peu profonde donnant à l'eau une couleur turquoise, entourée de sable blanc (ou de sel ou les 2) et ponctuée de roche volcanique rouge. 2e étape sur le chemin du retour aux lagunes Miscanti et Miñiques plus haute en altitudes (= Jessica pas bien). Magnifique avec quelques vicuñas qui s'y baladent mais on est un peu saoulés par les règles bizarres imposées. Il faut préciser que contrairement à tous les autres pays d'Amérique latine, le Chili capitaliste ne croit pas aux biens publiques et tout terrain est privé (ou communale), à savoir donc les endroits touristiques, ne serait-ce qu'une flaque d'eau (je ne déconne même pas, on a du payer pour en voir une) et est soumis à un droit payant à la communauté du coin. On en fera constamment l'expérience frustrante, comme avec ce canyon où lon decide de se poser pour déjeuner mais qui ne paye aucune mine et qu'on devra payer. Après ce petit pique nique on se dirige vers le Salar de Atacama au bord de la Laguna Chaxa remplie de flamands roses qui tapent la pose devant les objectifs. Le Salar n'a rien à voir avec celui de Uyuni, le sel étant mélangé à de la boue, mais les paysages sont tout de même beaux dans ce milieu à perte de vue et chaotique. Le soir on admirera le coucher de soleil depuis un point de vue qui donne sur San Pedro et la chaîne de volcans de la frontière Bolivienne. Dans ce désert, voir les couleurs virer du jaune à l'orange puis au rouge nous fait oublier qu'on est sur Terre.
23 novembre : On continue la visite du désert avec la Laguna Tebenquiche; à travers le sentier qui le longe nous avons différents points de vue sur la chaînes de volcans qui se reflète sur l'eau de la lagune qui est un miroir parfais grâce à l'eau qui n'est que superficielle. Puis direction la star du coin, la Valle de la Luna. En voiture et à pied nous nous promenons dans ces formations de terre, de roche et de sable et on a l'impression que Kubrik va crier "action" à tout moment (oui je fais de mon mieux pour varier les références à des paysages extra-terrestres). C'est tellement beau que je n'hésite pas à braver le sentier pour prendre une photo panoramique. Plus tard une touriste me fera remarquer qu'elle "apprécierait si je restais sur le sentier". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, creuser une tombe dans le sable n'est pas chose facile. Le soir on se couche à 00h00 car:
24 novembre : Réveil à 3h30 pour profiter des températures glaciales qui provoquent des geysers au site de El Tatio, à 2h de route de San Pedro. Sur le chemin on fera des haltes pour admirer la voie lactée. Ce n'est pas pour rien que plusieurs observatoires se situent dans ce désert. Arrivés à El Tatio aux aurores, nous faisons le tour du site en admirant une 20aine de geysers plus ou moins importants. Avec le soleil qui se lève derrière les montagnes, le spectacle évolue constamment avec la lumière et les fumerolles comme protagonistes principaux. De retour à San Pedro, on check-out et direction Calama pour prendre notre bus pour la Bolivie le lendemain. Sur le chemin on s'arrête à la Rainbow Valley (valle Arcoiris) qui porte bien son nom. La aussi de la roche volcanique en plein milieu du désert chargée de différents minéraux et métaux qui donnent cet aspect d'arc-en-ciel. Dernière étape avant notre hébergement, le village de Chiu Chiu et son église entièrement à la chaux sortie tout droit d'un western.
25 novembre : Journée dédiée au transfert à Tupiza en Bolivie avec escale à Uyuni après le passage de la frontière. Arrivés à destination on fait le seul bar de la ville qui est une "vinoteca". Je dois visiblement revoir mon espagnol parce que je pensais que "vino" signifiait "vin" et non "vinaigre". On a préféré la pizza.
26 novembre : Le rythme du voyage ralentit mais ce n'est pas plus mal. Visite à pied de la quebrada (vallée) Palala ou nous regrettons presque les entrées payantes du Chili mais qui sont propres... on rentre à l'hôtel pour éviter la pluie puis nous ressortons pour admirer le coucher de soleil depuis le Cerro Cruz.
27 novembre : Visite des environs en tour privé en 4x4. Au programme:
Cañon del Inca, Cañon del Duende, El Silar avec une pause déjeuner à Toroyo en dégustant des tamales prévus par notre chauffeur. Des paysages aux couleurs balayant plusieurs nuances du rouge au marrons. Au cañon del Inca le passage devient de plus en plus étroit et on s'enfonce à pied jusqu'à ne plus pouvoir avancer. Nous sommes tout seul et je peux enfin sortir mon drone sans déranger personne. De retour à Tupiza nous enchaînons direct avec un "rapidito" (taxi, sensé être plus rapide qu'un bus) pour Tarija. L'attente et longue pour trouver un 3e passager pour partager la course, mais ça me donne l'occasion de me couper les cheveux et rendre un peu plus heureuse Jessica. Apres 3h de belle route à travers la montagne pendant la "golden hour" (coucher de soleil), nous arrivons à notre hébergement. Fast food et dodo.
28 novembre : La "capitale" Bolivienne du vin se situe à 1900m et je retrouve enfin un climat méditerranéen après 1 mois dans les Andes arides, ça fait plaisir. Nous visitons la ville avec la jolie place principale, la "casa dorada" qui était la maison d'un noble commerçant bien entretenu et le Mirador de la Loma de San Juan. Nous sommes un peu déçus de la ville car aucune église ne se visite. On apprendra plus tard que c'est commun en Bolivie à cause de vols qui ont eu lieu; les églises n'ouvrent que pour la messe. On arrive tout de même à passer une bonne soirée dans l'un des rares bars de la ville.
29 novembre : tour organisé emblématique de la ville: la visite des bodegas avec dégustations de vin. On commence par une maison qui est sensé faire du vin de haute gamme, et c'est franchement pas bon. On continue avec une autre Bodega qui nous sert du vin mais clairement sa sent la triche tellement ça a un goût de Kir. Les 2 prochaines nous servent des vins passables et à la dernière c'est la fête, on nous sert des vins sans aucune explications. On aura chacun dans les 10 verres au total, la quantité compensant largement la qualité. En plus on passe pour des experts juste parce qu'on est français et les vignerons espèrent nous satisfaire. On dit poliment que c'est pas mauvais. Un des vignerons (le haut de gamme) veut nous impressionner et nous sort et de ses "grand" vin juste pour nous. En effet c'est mieux mais pas extraordinaire non plus. Par contre les dégustations se font au bord des vignes et les paysages rappellent la France du Sud, c'est donc beau. J'aurai aussi gouté un singani (pisco bolivien, eau de vie de vin) excellent, ça ils savent faire. Le soir on prend un bus de nuit pour Potosí.
30 novembre : Arrivés à notre hôtel à 07h00, on prend sûrement ce qui est notre meilleur petit déjeuner tout hôtel, tout pays, confondu ! Une oasis dans ce désert culinaire. Après avoir visité la très jolie cathédrale, on visite la casa de la moneda qui fabriquait et frappait toute la monnaie de l'empire espagnole. Il faut rappeler que la mine d'argent de Potosí est la plus grande jamais exploitée et est toujours en activité. Bizarrement aujourd'hui les pièces viennent du Canada et les billets de France. La raison donnée par le guide c'est le prix de l'électricité (mwe...). Le bâtiment coloniale est en tout cas très joli et on y aperçoit plusieurs engins de frappe du XVIe aux XXe siècle. On embarque ensuite vers un tour organisé pour visiter la mine, ou l'on n'exploite plus l'argent mais d'autres minéraux (zinc, fer, plomb, je ne sais plus). On aprehende un peu car on ne veut pas tomber dans du voyeurisme de misère comme indiqué par certains avis lus en ligne. Finalement on trouve la visite très intéressante; on se ballade avec notre guide (UNE ex mineur, fait rare) dans les galléries du cerro Rico (la roche volcanique permet aucun support de structure pour que ça tienne), on observe sans déranger les mineurs extraire la roches, notre guide les connaît et nous laisse leur donner des boissons et feuilles de coca achetés préalablement au marché (apparemment c'est mal vu de rien apporter). Ils sont tous en train de mâcher des feuilles de coca, ce qui leur donne une grosse boule au niveau de la joue. On monte sur une gallérie supérieure à l'aide d'échelle à travers des trous assez étroits et Jessica n'est pas très à l'aise. On ne visitera pas les galléries inférieures chargées en "j'ai oublié quel gaz issue du volcan" qui provoque systématiquement la mort des mineurs après 15 ans d'activité s'ils ne prennent pas leur retraite. Selon la guide c'est un bon travail, payé largement au dessus du salaire moyen bolivien, mais dont on reconnaît les conditions de travail difficile. Avant de sortir on passe donner des offrandes (cigarettes, coca) à Tio, la divinité de la mine. On le retrouve dans toutes les mines des Andes et c'est un mixe de Dieu, Satan, Pachamama (j'ai pas bien compris), mais qui ressemble surtout à Satan avec un gros zizi.
1 décembre : On n'attendait que ça depuis la veille: le petit déjeuner. Puis fin de visite de cette très jolie ville, qui fut dit-on à un moment la plus grande au monde (mwe, en vérifiant il s'agit du "nouveau monde". A l'apogée de Potosí, Pékin faisait 10 fois sa taille). Avant de partir pour Sucre, nous visitons le très joli Convento de Santa Teresa. A Sucre je découvre une mini brasserie artisanale et enfin, après 2 mois, je déguste une bonne bière. Même Jessica boit 2 pintes.
2 décembre : Dernière journée avec Jessica, on sent la fin approcher et on est un peu tristes. On finit tout de même la visite de la ville entamée il y a 2 semaines avec la casa de la libertad où la déclaration d'indépendance de la Bolivie a été signée (Haut Pérou à l'époque), le Couvant de Santa Clara où notre "guide" nous présente les tableaux en lisant leur pancarte (titre, peintre, date) et la Iglesia de San Felipe Neri où l'on peut monter sur le toit en forme de terasse pour y admirer la ville. Mention spéciale pour les rellenas et empanadas de la pause déjeuner tout aussi bons que pas chères. Le soir on laisse une dernière chance à la cuisine bolivienne dans un restaurant bien critiqué pour ses plats locaux, c'est sans surprise un échec, mais les cocktails sont vraiment pas chers. On n'en profite pas trop car on n'est pas d'humeur à faire la fête, snif.
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Comment perdre du poids en une semaine
Routine 2
La perte de poids est un sujet quotidien voir le problème pour tout un chacun qui veut réduire le poids en un temps record de manière naturel sans passer par la chirurgie. Dans la routine 2 minceur le corps a besoin de cardio qui accompagne la fourchette.
Aime tu le sport ? Un lien sera déposé en dessous pour éliminer chaque soir le calories et aidera ainsi à bruler de la graisse aux niveaux des zones spécifiques.
La routine 2 est aussi à adapter dans la routine de toute femme en approche de la trentaine pour l'aider à garder la forme pendant les variations des hormones qui deviennent de plus en plus capricieux.
Matin
Des pâtes à la sauce tomate + une tasse de tisane à la menthe
Recette
Dans une marmite ou une poêle, faire bouillir pendant 9 min les pâtes légèrement salé avec une feuille de laurier.
Après cuisson, mettre sur le feu une poêle avec de l'huile d'olive bio et rajouté les ingrédients : tomate épelée, oignons coupés en dé ou en rondelle, de la ciboulette, du cèleri, ainsi que de la purée de tomate (tomate en boite). Cuire pendant 10 minute maximum. Rassurez vous que la sauce soit bien cuite et ensuite,
Mélanger la sauce avec les pâtes et couvrir pendant 5 minutes à température basse. Remuez et secouez de temps en temps. Une fois le mélange réussi, déposez les pâtes sur une assiette en porcelaine et servir.
PVI : éviter de la mayonnaise et toute autre sauce d'accompagnement.
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MIDI (12h)
Une tasse de café ginseng + une pomme verte (facultatif)
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Le café ginseng est un café décaféiné sans effets secondaire ; un excellent café minceur car il réduit la sensation de la famine et aide à la perte du poids. Vous pouvez vous en procurez au magasin dans le lien en dessous.
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Surtout ne vous privez pas d'eau, hydratez vous quotidiennement pour avoir une belle peau et vivre longtemps.
SOIR (18h)
Un verre de jus de légume verte + un bol de salade verte.
Comment préparer la salade
Dans un saladier, couper les choux en fine ou grande tranche, ajouter de la vinaigrette et saler légèrement. Rajoutez du blanc de poulet fris ou braisé par dessus coupé à la forme que vous désirez. Ajoutez 2 œufs durs coupé en moitié ainsi que de la tomate coupé en dé ou en rondelle et poivré légèrement. Vous pouvez ajoutez des fines tranches de carottes et dégustez avec votre jus de légume.
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Comment faire mon jus de légume verte
Ingrédients :
1 tranche d'épinard
1 tranche celeri ou persil
500 ml d'eau
1 citron vert ou jaune
Mixez le tout dans un mixeur et placez au frais.
Bienfaits de l'épinard
Les vitamines A contenues par l'épinard détoxifient l'organisme, nettoient le sang et éliminent les bactéries. Il est souvent conseillé aux peaux à imperfections de consommer de l'épinard car ses actifs empêchent les toxines de se transformer en bactéries et préviennent donc de l'acné.
L'épinard est légume miracle aux multiples bienfaits. Voir plus sur google …
Routine Fitness
A effectuer 3 fois par semaine et 3 h après le repas du soir.
3 heures après le repas du soir procédez à une routine de brule graisse et calorie 15 min vous suffit pour vous mettre dans tous vos états; de la sueur, du fun ... Keep up ! guys cette routine c'est le meilleur ... Allez y au rythme de votre battement de coeur à tantôt!
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Bonne chance !
La Fourchette avec Be Fit With K ♡
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luc3 · 1 year
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(ce serait trop long à expliquer)
donc j'ai fait 5h à la grande bibliothèque tout à l'heure sur de la bio-chimie organique fondamentale (je rappelle que j'ai repris des études en lien avec la profession d'infirmière), et c'est marrant la loi de l'attraction (que j'étais donc en train d'étudier) parce qu'à ma droite s'est posé un interne en cardio, qui était donc sur un problème compliqué de cardiologie, et à ma gauche une interne en néphrologie, même combat. après que le premier qui devait salement décuver de sa soirée d'hier (30min couché sur le livre, 10min à écrire, rebolotte 2-3fois jusqu'à sa mort d'inanition je présume) se soit barré, deux gamines de 14ans habillées et parfumées comme avant d'aller en boîte et dont ça devait être la première fois, sont venues se poser pour chchchchchchhcchhcchhhccchhhh-chuchoter à côté de moi. (y a des moments tu te demandes dans quelle mesure la daronne en toi a des droits mais aussi des devoirs.) soupir. j'ai tenu 1h30 de plus quand même malgré tout en apnée. après, sans douter de rien et surtout pas d'elles-mêmes, les gamines me demandent de garder leur sac pendant qu'elles descendent fumer. euh... non. (je leur donne néanmoins une piste indiquant que nous sommes au moins une centaine dans cette immense salle de lecture et que donc ça devrait aller, sinon qu'elles se démerdent n'est ce pas.)
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#unseulbranchementautoriséparprise (je glousse en pensant à ces étudiants très malins qui auront amené leurs multiprises, un jour.)
heureusement j'ai quand même bien avancé en 5h de temps sans pause (sauf une clope) et pu même réfléchir un peu au déroulé de mon équinoxe; - équinoxe dont là célébration s'avère de plus en plus vitale (comme j'ai littéralement l'impression de ne plus avoir de vie du tout.) je vais devoir montrer patte vraiment super blanche et immaculée devant toutes les Super Belles et Très Anciennes Grandes Mémés, à qui je dois une sorte de fière chandelle. ainsi qu'à Eux-Mêmes, sinon ils vont être jaloux.- et de toutes façons je suis vernie des deux côtés alors en gros c'est la moindre des choses. donc, comme j'ai le temps de rien je vais au moins essayer de faire un gâteau pommes-miel, on aura compris que les pommes et le miel combiné ça marche pas mal pour détendre tous les au-delà qui m'entourent. (et heureusement jeudi je suis en distanciel.) (d'ailleurs je sature de plus en plus de voir la mention de Mabon ici et ailleurs, comme si cette roue des saisons avait un quelconque sens dans nos sociétés de développement d'industries (notez le mot industrie, c'est un indice) agro-alimentaires. je veux bien que certains repères soient nécessaires mais le mot équinoxe est tellement beau, poétique, chargé de sens et donc, suffisant.)
bref.
couchée à 7pm levée à 11pm migraine, what else.
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rayondelun3 · 9 months
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TW : sujet perte de poids / sport intense
Aujourd'hui j'ai fait une course de 30 minutes à grande foulée et j'ai enchaîné avec une session d'abdos et de gainage. J'ai fini en pleure sur mon manteau (j'ai laissé mon tapis de sport à mon père si jamais il voulait faire des trucs pas cardio etc. - et le manteau est plus confortable que le tapis au passage) mais j'ai terminé ma session. J'anticipe la douleur de demain.
Je me souviens qu'un jour on m'a dit « c'est quand ça commence à faire mal que ça travaille et c'est là où tu dois préserver ».
J'applique ça surtout au sport. Je pense qu'ailleurs ça serait malsain.
Je reprends le sport en mode hardcore.
J'essaie de perdre du poids ; j'ai dit à mon père de me prendre juste des carottes et des oranges. Il va m'acheter aussi du concombre vu que j'en avais parlé mais ce n'est pas de saison. Je vais regarder les calories un peu partout. Manger des pommes.
Je ne pourrais me peser qu'au CMP. Je vais tenir un journal spécial de ce que je mange, des calories, du poids que je pèse...
Je sais, je sais : ça peut trigger de l'anorexie et c'est possible que je m'enfonce.
D. disait que j'étais maigre avant. Moi je trouve qu'avant j'étais presque comme je voulais. D. m'a dit que je ne serais jamais assez bien pour moi. Il a peut-être raison mais peut-être pas cette fois. Cette fois je m'arrêterai attends et je continuerai de surveiller sans que ça finisse mal.
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defensefilms · 1 year
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The Politics Of Adesanya vs Du Plessis
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Dricus Du Plessis finished Robert Whitaker at UFC 290 in dramatic fashion, and looked absolutely phenomenal while doing it.
No sign of cardio or breathing issues, his footwork was on fleek and I honestly think Whitaker wasn't ready for his speed in the exchanges.
However, the most notable parts of Dricus' night happened shortly after the bout had concluded. Du Plessis would step outside and shake hands with Dana White, had his customary trash talk with Adesanya, who was present in the audience, and also embraced Donald Trump.
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To be fair, Dricus was the first to politicize this fight.
4 months ago, when Dricus made comments about being the only real African in the UFC, he opened a can of worms to a conversation that is far more nuanced than just training and living in Africa.
Du Plessis comments at the time were directed to Kamaru Usman but the reality is that living in Africa and living as an African are two different things, but he wasn't alone in his faults either.
When Adesanya entered the ring and started using the "n-word", I did not like it.
Adesanya has in the past, said that he views himself as multi-cultural having embraced Australian and Chinese culture, based on where he grew up, and that's fine, but you cannot then turn around and downplay the multicultural aspects of how someone else views themself.
What you have here, are two guys who have public platforms because of their talents, but neither of whom is very well schooled on thier politics, hence the stupidity of their post-match interaction even if it does make their upcoming fight more interesting.
However, with well over 3 months still to go before the fight, and plenty of marketing, promotion and interviews to be done until then, you just have the feeling that this one will ramp up in intensity on the road to fight night, and it certainly does have the potential to turn nasty.
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sushis4kalyo · 2 years
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Sport et perte de poids : les choses que j'aurais aimé savoir plus tôt
Contrairement à ce que peuvent penser certains, perdre du poids n'est pas aussi simple que ça. Il ne suffit pas d'arrêter de manger ou de se remettre soudainement au sport pour avoir des résultats durables. Voici donc une petite liste des choses que j'aurais aimé savoir plus tôt :
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1- Il faut trouver le bon sport ...
Lorsqu'on veut se mettre ou se remettre au sport, il ne suffit pas de s'inscrire comme ça dans un sport qui nous semble sympa parce qu'on l'a vu à la télévision. C'est même une terrible erreur qui peut annihiler toute notre motivation. Certains sports sont plus difficiles que d'autres et peuvent exiger une certaine capacité physique de base. De fait, on ne se lance pas dans des cours de zumba si l'on a aucune endurance ! (J'ai testé !) Il faut donc tenter des sports plus doux, la gym plutôt que la zumba, la marche plutôt que le running etc. Attention, ce choix n'est pas définitif ! On peut toujours faire le sport souhaité plus tard, lorsqu'on aura les prérequis.
2- ... avec la bonne tenue ...
On a tendance à se dire que ce n'est pas la peine d'investir dans des fringues de sport alors qu'on risque de perdre 3 tailles sous peu. Du coup, on se contente du vieux pantalon de survêtement troué et du t-shirt complétement déformé. Dans la théorie ça passe mais dans la pratique, ça ne nous met absolument pas en valeur et pour peu qu'on se compare à d'autres sportifs des environs, ça peut très vite nous démotiver ! C'est pourquoi j'ai envie de vous dire que si vous avez repéré une tenue qui vous plait, foncez ! En plus, perdre 3 tailles rapidement, c'est juste impossible.
3- ... et les bons objectifs !
En management, on dit qu'un bon objectif doit être SMART pour :
Spécifique : Pour définir clairement ce qui doit être fait : perdre du poids ? Alors on fera du cardio. Prendre du muscle ? Alors on fera de la muscu !
Mesurable : Pour savoir précisément combien : perdre 1 kg, 2 kg ? gagner 500g de muscles ? Il est aussi question de pouvoir évaluer facilement ses résultats. L'impédancemètre nous le dira.
Acceptable : Pour savoir si, en général, c'est possible. Vouloir perdre 30kg de graisse ou prendre 30 kg de muscles en 2 semaines, c'est juste pas possible ! Pour avoir une petite idée, perdre plus de 5 kg par mois, c'est dangereux et le muscle se prend très lentement.
Réaliste : Quelle différence avec le point précédent ? Il s'agit également de savoir si c'est possible et réalisable ... mais cette fois-ci vis à vis de nous. Si je veux atteindre mon objectif, je vais devoir faire du sport 2 à 3 fois par semaine. Est-ce que c'est possible ? Est-ce que je vais m'y tenir ? Est-ce que je vais pouvoir tenir le rythme dans la durée ? Est-ce que je dois tenir compte de contraintes qui peuvent éventuellement m'empêcher d'atteindre mon objectif ? C'est une réflexion à avoir avec nous-même.
Temporellement définit : Pour savoir combien de temps je me donne pour atteindre cet objectif. Et oui, Se donner un mois ou un an pour arriver à un chiffre précis, ce n'est pas la même chose. Dans tous les cas, il faut se donner le temps ! C'est absolument nécessaire pour atteindre son objectif sereinement.
Avec tout ça, on peut penser à des objectifs mesurables et réalistes. Que ce soit dans la perte de poids ou dans l'activité physique elle-même, j'ai constaté qu'il était préférable d'échelonner ses objectifs plutôt que d'en faire un seul conséquent. C'est aussi ça, se donner toutes les chances de réussir.
Il sera aussi question de contrôler ses objectifs et là attention : on ne monte pas sur la balance tous les jours ! Toutes les 2 semaines, c'est mieux !
4- Il faut oublier ses aprioris sur les salles de sport.
Au début, j'appréhendais à l'idée de m'inscrire dans une salle de sport. J'ai finalement sauté le pas avec un pote et je me suis rendue compte qu'en fait on est vraiment nombreux à avoir cette appréhension.
Au début, on imagine qu'on va se retrouver perdu au milieu des bodybuildeurs, qu'on ne verra que des gens au corps parfait ...et qu'on fera tâche dans le paysage. On imagine que tout ce petit monde nous jugera et se moquera sans cesse ... Bah pas du tout !
La première chose que qu'on réalise, c'est la diversité des personnes qui vont à la salle de sport. Oui, il y a quand même quelques pros de la gonflette ou du fitness mais ils ont vraiment autre chose à faire que de se moquer ou de juger. Certaines personnes viennent pour raison médicale. Cela peut être de la rééducation ou pour limiter l'arthrose. D'autres viennent pour avoir une activité physique et voir du monde. D'autres encore peuvent préparer des concours nécessitant certaines aptitudes physiques. Il y a des jeunes, des moins jeunes ...
Et le regard des autres dans tout ça ? Honnêtement, il est bienveillant ! Les personnes qui viennent régulièrement à la salle de sport savent pertinemment que se muscler ou perdre du poids n'est pas chose aisée. Ils peuvent aider à préparer certaines machines, donner des conseils, ou simplement apporter la motivation nécessaire. C'est vraiment motivant quand une personne qu'on voit chaque semaine vient nous voir pour nous dire qu'elle admire notre ténacité et qu'elle nous encourage à ne rien lâcher.
5- Bonne perte de poids se fait doucement !
Le corps ne veut pas perdre de poids ! Pour lui, ça implique de piocher dans les réserves car on ne lui apporte pas assez. Perdre beaucoup de poids est donc très brutal pour le corps ...et lui va chercher à renflouer les réserves voire en faire plus. C'est le principe de l'effet yoyo. Mieux vaut donc perdre progressivement, peut-être un ou deux kilos par mois pour limiter la reprise.
6- Au début, on prend du poids et c'est normal !
Voilà donc 15 jours que l'on s'est remis au sport et on s'apprête à monter sur la balance pour voir ce qu'on a perdu sur les deux dernières semaines ...et là stupeur ! On a pris un kilo ! Le monde s'écroule, le sport c'est nul et de toute façon on n'y arrivera jamais. Sauf qu'il ne faut absolument pas paniquer et ne pas abandonner parce que c'est parfaitement normal ! Pourquoi ? Parce qu'on a fait du muscle et le muscle est plus lourd que la graisse. Il m'est déjà arrivé de monter sur la balance et de voir que j'avais perdu "que" 500g. Seulement lorsque j'utilisais l'impédancemètre pour calculer ma masse graisseuse et ma masse musculaire, je constatais avec surprise qu'en réalité j'avais perdu 2 kg de graisse mais que j'avais pris 1,5 kg de muscle et ça change tout ! Une balance classique ne l'indique pas ! C'est pour ça qu'il est important qu'elle fasse impédancemètre. Alors attention ! Ce n'est pas une mauvaise chose de prendre du muscle. Il n'est pas question de se bodybuilder non plus mais plus notre masse musculaire est importante, plus l'organisme brûle des calories pour faire fonctionner tout ça !
7- La perte de poids se fait aussi dans l'assiette.
Alors oui, forcément, c'est important de manger équilibré, ça semble évident mais l'organisme a des besoins spécifiques. Forcément, on va avoir besoin des légumes pour tout ce qui va être nutriments, de la viande pour les protéines (qui aident à faire du muscle !) mais il ne faut pas trop en abuser au risque d'y laisser un rein. (Donc les régimes ultra protéinés, c'est même pas la peine !) et ... un peu de féculents parce que c'est eux qui vont faire tourner l'organisme (mais pas trop, sinon on va remplir les réserves !) Après, étant donné que chacun est différent, le plus sage est d'aller voir un nutritionniste pour effectuer un rééquilibrage alimentaire pour vraiment faire quelque chose d'adapté à soi. Ici, je donne juste les grandes lignes. Sinon oui on peut se faire plaisir ! Le plus important est de ne pas abuser ! Si on a envie d'un gâteau au chocolat, on en prend une part en dessert et on la savoure ! ... Mais à ce moment là on évite d'en reprendre ... et pas trop souvent non plus ! D'ailleurs, il faut aussi savoir écouter son estomac et ne pas hésiter à s'arrêter si c'est trop copieux. Forcément on évite le gaspillage et on garde pour un autre repas mais on ne se force pas à finir si on a plus faim !
Voilà, c'était la liste des petites choses que j'aurais voulu savoir avant et qui m'aurais permis de gagner beaucoup de temps. Je ne suis absolument pas professionnelle. Il s'agit juste d'un retour sur expérience qui peut aider. Je compléterai cet article si d'autres choses me viennent en tête ou si je rencontre des situations intéressantes.
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affairesasuivre · 2 years
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Thylacine et la tubesque B.O d'OVNI(S)
Et si nous voyagions dans le temps ? Direction la France sous Giscard ! On y porte la moustache et le costumes en nylon. C’est à cette époque que se situe la nouvelle série de Canal + « OVNI(S) » et sa bande son signée du musicien électro Thylacine.
Nous sommes en 1978 et le « Gepan », Groupe d’Etude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés, existe bel et bien.  
Melvil Poupaud alias Didier Mathure, brillant scientifique, et son équipe paranormale, sont chargés de trouver des explications rationnelles aux apparitions de soucoupes volantes.  
Pour la partition originale de cette BO Thylacine s’est enfermé avec des synthétiseurs et des machines de 1978, comme s’il y était ! Résultat des musiques d’aujourd’hui qui se fondent parfaitement avec les trésors d’hier. 
La BO d’« OVNI(S) » regorge de trouvailles comme cet excellent Jean-Michel Jarre et Tangerine Dream qui donne envie de faire sa gym ! 
Quelque chose de moins cardio peut-être ?  Du sexe ! C’est tout aussi efficace et moins violent…
Parmi les musiques vintage choisies pour accompagner les compo originales ce « Love in C Minor » signé du patron de la disco française, Cerrone, donne une petite touche « science-fiction de charme ». Quant au « Sifflet du baron » de Bernard Estardy c’est tout de suite la parenthèse enchantée ! 
A la fois pop et ironique, la BO épouse parfaitement l’esprit de la série et enrichit son pantone de couleurs.
Pour mélanger "Shaft" et "Le gendarme et les extraterrestres", le vrai 70’s et le simili 70’s, il fallait le talent d’explorateur temporel de Thylacine. Après avoir revisité Mozart ou Satie sur son dernier album "Timeless", il se glisse dans la roue de Bernard Hinault...
EXTRAIT 1978 avec Yann Wagner 
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lesgenouxdanslegif · 1 year
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CETTE PHOTO EST FOLLE.
On peut y voir Marco Olmo, la légende, sur l’édition 2006 de la course de quartier de Chamonix. Analyse : • Des chaussures de route. Alors que le marketing fait déjà acheter les dernières godasses qui sont la réplique des précédentes, Marco a choisi un modèle dont l’accroche est équivalente à courir à côté de la piscine tout en se prenant une soufflante de la part du maître nageur. • Des chaussettes confectionnées dans un coton lourd et peu respirant. Inutile d’en dire plus • Un collant bariolé. Il est ici légèrement relevé pour faire apparaître des mollets tellement affûtés qu’il était possible de se couper si on les effleurait. Faut dire que Marco n’était pas trop du genre à s’arrêter pour se faire masser. On peut même dire que Marco n’était pas trop du genre à s’arrêter. • Une montre à aiguilles. Marco savait qu’il allait arriver vers 16h. Inutile pour lui d’en savoir plus. • Un t-shirt avec quelques sponsors. Juste de quoi l’aider à faire une clé de bras à la concurrence, lui qui a glissé « Dans la vie, je suis vaincu. Je suis né pauvre et je suis encore pauvre. Je cours pour me refaire. Je cours par vengeance ». À noter que le t-shirt a été taillé en V par un habile coup de ciseau. • Un sac à dos. Bidouillé, modifié, allégé. Notons la présence d’un bidon, certainement pour faire plaisir aux organisateurs et ne pas être suspecté de triche comme Kilian lors de sa première victoire. • La double frontale. Encore un truc customisé par l’homme qui a arrêté le temps. La légende raconte que pendant l’épreuve il aurait ébloui quelqu’un situé au Brésil. • Des yeux de loup concentrés sur l’objectif : mettre une rouste aux petits jeunes partis trop vite. « Marco le ramasse morts » a ensuite mâché la concurrence puis a recraché les morceaux car il est végétarien.
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21h06’06’’. Une foulée rasante. Sans cardio, sans bâtons, sans accélération, sans se soucier des autres. Mais avec un cœur gros comme ça. Il remportera également l’édition suivante, l’année de ses 59 ans.
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