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#ibrahim boubacar kéita
malibuzz · 9 months
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RASSEMBLEMENT POUR LE MALI : Tréta s’est-il offert la prime de la légalité et de la légitimité aux dépens de Baber Gano et compagnie ?
A l’issue du congrès extraordinaire du Rassemblement pour le Mali (RPM, fondé par l’ancien et défunt président Ibrahim Boubacar Kéita en juin 2001) organisé du 26 au 27 août 2023 au Centre international des conférence de Bamako (CICB), Bocary Tréta a été confirmé à la tête du Bureau politique national (BPN) qui voit son mandat passé de 3 à 5 ans. Le président sortant s’est-il ainsi offert une…
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24sene · 5 years
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Mali : le patron de l'armée limogé après le massacre de Ogossagou
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reseau-actu · 5 years
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Plus d’une centaine d’habitants d’un village peul du Mali ont été tués samedi par des membres présumés de groupes de chasseurs dogons, près de la frontière avec le Burkina Faso, en pleine visite du Conseil de sécurité de l’ONU dans un Sahel en proie à la menace jihadiste.
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Depuis l’apparition il y a quatre ans dans le centre du Mali du groupe jihadiste du prédicateur Amadou Koufa, recrutant prioritairement parmi les Peuls, traditionnellement éleveurs, les affrontements se multiplient entre cette communauté et les ethnies bambara et dogon, pratiquant essentiellement l’agriculture, qui ont créé leurs propres “groupes d’autodéfense”.
Ces violences ont coûté la vie à plus de 500 civils en 2018, selon l’ONU.
Samedi à l’aube, c’est un de ces groupes de chasseurs dogons présumés qui est à l’origine d’un carnage à Ogossagou-Peul, dans la zone de Bankass, près de la frontière avec le Burkina Faso, tuant plus d’une centaine de villageois, selon des sources concordantes.
Dans un communiqué samedi soir à New York, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a évoqué un bilan dépassant les 130 morts.
“Au moins 134 civils, y compris des femmes et des enfants, auraient été tués et au moins 55 blessés” à la suite de l’attaque, indique-t-il, en affirmant être “choqué et outré” par ce massacre.
“Le secrétaire général condamne fermement cet acte odieux et appelle les autorités maliennes à enquêter rapidement sur cette tragédie et à traduire ses auteurs en justice”, ajoute le communiqué diffusé par l’ONU.
Assaillants “habillés en chasseurs”
Une mission composée d’un détachement de l’armée et des autorités locales est arrivée sur place dans l’après-midi, selon une source de sécurité.
“Ce sont les chasseurs traditionnels qui sont accusés par les rescapés”, avait souligné dans la journée le préfet de Bankass, Boubacar Kané, parlant pour sa part de “115 morts, dont les éléments peuls du DDRcantonnés dans le village de Ogossagou”. Il faisait référence à l’extension au centre du pays depuis le début de l’année du processus de “désarmement, démobilisation et réinsertion” (DDR) prévu par l’accord de paix de 2015 pour les combattants de groupes armés.
Selon l’association de défense des droits des populations pastorales Kisal, qui avait signalé des “exactions perpétrées contre la communauté peule par des hommes armés habillés en chasseurs dans le cercle de Bankass”, les personnes tuées incluent “le chef du village et sa famille, le marabout Bara Sékou Issa et toute sa famille”.
Selon des témoins, les cases du village ont été incendiées.
L’ambassadeur français aux Nations unies, François Delattre, a parlé d’une “attaque terrible” que “nous condamnons fermement”, lors d’une conférence de presse samedi à Bamako.
La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a “condamné fermement de telles attaques contre des civils”, dans un communiqué publié samedi. “En soutien au Gouvernement malien, la Minusma a fourni un appui aérien afin de prévenir toute nouvelle attaque et a aidé à l’évacuation des blessés”, a précisé Antonio Guterres dans son communiqué.
La Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, ex-rébellion) a “condamné avec la dernière énergie ce crime imprescriptible” et appelé “à la cessation immédiate de ces massacres qui s“apparentent à un véritable pogrom orchestré”, dans un communiqué distinct.
“Menace”
L’attaque est survenue six jours après un attentat jihadiste à Dioura, dans la même région mais beaucoup plus au nord, contre un camp de l’armée malienne, qui a perdu 26 hommes, selon un dernier bilan de source militaire.
Dans un communiqué de revendication vendredi, la principale alliance jihadiste du Sahel liée à Al-Qaïda justifie l’opération de Dioura par les “crimes odieux commis par les forces du gouvernement de Bamako et les milices qui le soutiennent contre nos frères peuls”.
Après avoir été reçus vendredi par le président Ibrahim Boubacar Keïta, les ambassadeurs des 15 pays siégeant au Conseil de sécurité ont rencontré samedi les signataires de l’accord de paix de 2015 puis le Premier ministre Soumeylou Boubèye Maïga, avec lequel ils ont évoqué la situation dans le centre du pays, selon l’ONU.
Dans un rapport publié le 5 mars, Antonio Guterres affirme que “les six derniers mois ont enregistré davantage d’avancées que le reste de la période écoulée depuis la signature de l’Accord en 2015”, grâce selon lui à “la pression internationale, notamment la perspective de sanctions”.
Mais “la menace, qui continue de se propager du nord vers le centre du Mali, détourne l’attention de l’Accord et en complique la mise en oeuvre”, souligne-t-il.
Le très lourd bilan de l’attaque de Dioura a provoqué l’ire des familles de militaires maliens, bien que le gouvernement ait décrété un deuil national de trois jours à partir de vendredi et que le président Keïta ait prévenu les chefs de l’armée qu’“aucune négligence ne saurait plus être tolérée”.
AFP
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FUITE AUDIO D’UN APPEL TÉLÉPHONIQUE ENTRE LE DICTATEUR IVOIRIEN OUATTARA ET L’ANCIEN PREMIER MINISTRE MALIEN: LE PARQUET DE LA COMMUNE 4 DE BAMAKO OUVRE UNE ENQUÊTE
FUITE AUDIO D’UN APPEL TÉLÉPHONIQUE ENTRE LE DICTATEUR IVOIRIEN OUATTARA ET L’ANCIEN PREMIER MINISTRE MALIEN: LE PARQUET DE LA COMMUNE 4 DE BAMAKO OUVRE UNE ENQUÊTE
Une conversation présumée entre le Président Alassane Ouattara et l’ancien Premier ministre malien, proche du défunt Ibrahim Boubacar Kéita (IBK) a fuité sur les réseaux sociaux, éventée par le célèbre avatar activiste Chris Yapi. Le parquet de la Commune 4 de Bamako a immédiatement annoncé avoir ouvert une enquête. « Ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de céans pour atteinte ou…
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kingonews · 2 years
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APRÈS SON DÉCÈS, LES HOMMAGES ET LES CONDOLÉANCES DU PRÉSIDENT PATRICE TALON AU PEUPLE MALIEN.
APRÈS SON DÉCÈS, LES HOMMAGES ET LES CONDOLÉANCES DU PRÉSIDENT PATRICE TALON AU PEUPLE MALIEN.
C’est avec consternation que j’ai appris le rappel à Allah du Président Ibrahim Boubacar KÉITA, IBK comme on l’appelle. À la République du Mali, au Peuple malien et à sa famille biologique qui perdent un grand fils, je voudrais exprimer ma profonde compassion et celle du Peuple béninois. Qu’Allah ait son âme. Patrice TALONPrésident de la République du Bénin
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djibril-tamboura · 4 years
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Moussa Traoré, dictateur et «sage» de Bamako
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L’ancien président malien, le général Moussa Traoré est décédé ce mardi 15 septembre. Né le 25 septembre 1936, il avait pris le pouvoir en 1968 avant d’être renversé en mars 1991.
De notre correspondant à Bamako,
Au soir de sa vie, il est devenu « le sage » de Bamako. À son domicile dans la capitale du Mali, c’était un ballet incessant de véhicules, pour le saluer ou pour prendre des conseils. L’un des derniers visiteurs avant sa mort le mardi 15 septembre ? Une délégation de la junte qui a pris le pouvoir le 18 août à Bamako, conduite par le colonel Assémi Goïta, le chef des militaires putschistes lui-même. Moussa Traoré a chaleureusement reçu ses jeunes compagnons d’armes, et s’est empressé de les adouber devant la presse. Après leur entretien, « ce sont mes fils. J’ai donné les conseils utiles pour qu’ils ne commettent pas les mêmes erreurs que par le passé », a-t-il déclaré. Et comme s’il prenait un peu sa revanche sur l’histoire, il ajoute malicieux : « Je n’ai jamais désespéré de mon pays ».
L’homme a la mémoire longue… En 2002, déjà condamné à mort à deux reprises, alors qu’il purgeait une peine commuée en détention à perpétuité avec son épouse Mariam, Moussa Traoré recevait RFI dans sa prison de la localité de Markala, située à près de 300 kilomètres au nord de Bamako. Emmitouflé dans un boubou traditionnel, assis dans la cour d’une vieille bâtisse, un exemplaire du Coran à portée de main, son épouse non loin, il a glissé lors de l’entretien : « Vous allez voir, l’histoire me donnera raison. J’ai été victime d’un coup d’État orchestré à partir de l’extérieur. Et les prétendus démocrates qui ont pris le pouvoir sont tout sauf des patriotes. Ils n’ont rien de démocrates. Ils ne sont pas venus servir le peuple. Mais ils sont venus pour autre chose. Vous verrez. Que Dieu nous prête longue vie, on verra. »
Depuis, ses deux successeurs démocratiquement élus à la tête de l’État malien –le général Amadou Toumani Touré en 2012 et Ibrahim Boubacar Kéita en août 2020 – ont été renversés par un coup d’État militaire. Ce dernier lui a même jeté des fleurs lors de sa prestation de serment en 2013 devant un parterre de chefs d’État et de personnalités en le qualifiant de « grand démocrate » pour saluer sa présence à la cérémonie. Un parti politique, le Mouvement Patriotique pour le Renouveau (MPR) a même été créé entre-temps pour se réclamer de lui.
Celui qu’on appelait GMT (Général Moussa Traoré), avait donc la mémoire longue, mais le peuple malien aussi…. Lorsqu’il est renversé le 26 mars 1991, pour bon nombre de Maliens, c’est la fin d’une dictature. « Oui, en mars 1991, c’est une dictature qui a été renversée. Pour moi, la mort de Moussa Traoré est un non-événement. […] Condamné deux fois à la peine de mort, il n’a jamais eu l’humilité de présenter ses excuses au peuple malien martyr de ses 23 ans de dictature » , a confié à RFI, Djiguiba Kéita dit PPR, membre du Parti pour la renaissance nationale (Parena). Comme d’autres Maliens, sous le règne de Moussa Traoré, il s’est exilé pour échapper aux fourches caudines du parti unique.
D’autres qui ont eu à faire à GMT, continuent de témoigner comme Sory Ibrahima Traoré, fils de Ibrahima Traoré, détenu politique entre 1974 et 1978. Peu après la mort de l'ancien président, il a publié sur sa page Facebook un message : « Mon général [Moussa Traoré], je te pardonne et je demande à toute ma famille de faire la même chose. À cause de toi, mon père a fait quatre ans de prison du camp-para [à Bamako] à Ansogo [Nord] en passant par [le bagne] de Taoudéni [Nord]. Mon général, étant bébé, j’ai fait mes premiers mois dans la cour de la prison de Ansogo, parce que ma mère y avait rejoint son mari détenu politique. Mais je te pardonne. »
Dur avec ses opposants
Fils d’un ancien soldat de l’armée française, Moussa Traoré suivra la même voie en 1954, à l’école de troupe de Kati près de Bamako, puis regagnera l’école d’officiers de Fréjus six ans plus tard. Le 19 novembre 1968, à 32 ans, il participe à un coup d’État militaire qui renverse le père de l’indépendance du Mali, le président Modibo Kéita. Il prend ainsi la tête du comité militaire de libération nationale (CMLN) puis devient chef de l’État. Alors que certains espéraient voir les civils revenir au pouvoir, il fait adopter en 1974, une nouvelle constitution qui installe la seconde République.
Sentant une vague de contestation naissante, il drague quelques intellectuels et crée, en 1979, l’Union démocratique du peuple malien (l’UDPM), le parti unique. Dans les années 80, une répression s’abat notamment sur les étudiants. Un leader estudiantin Abdoul Karim Camara dit « Cabral » meurt le 17 mars 1980 sous la torture, selon plusieurs sources. Jusqu’à ce jour, il est encore célébré chaque année au Mali et une place porte son nom à Bamako.
Les adversaires politiques les moins chanceux de Moussa Traoré terminent leur vie en travaillant dans la mine de sel de Taoudeni, un bagne perdu au milieu du Sahara, à environ 900 kilomètres au nord de Tombouctou. Cette redoutable prison à ciel ouvert sera définitivement fermée par le président Alpha Oumar Konaré qui dirigea le Mali entre 1992 et 2002.
Lors d’une autre visite au couple dans sa prison de la localité de Markala, RFI avait été invité par Mariam à visiter la chambre qu’elle partage avec son époux pour « démentir » les informations selon lesquelles, ils dormaient dans « un luxe insolent ». L’endroit était tout sauf luxueux. Un drap de couleur bleu, un lit à deux places, le climatiseur en panne et à même le sol, jonchaient des affaires.
Revenue auprès de son époux après cette visite rapide de la chambre présidentielle, elle engage la conversation sur une véranda où l’homme de sa vie est assis sur une chaise en fer. Pour montrer qu’elle a toujours de l’autorité, mais aussi de l’humour, elle arrache la parole à son époux. « Laisse-moi parler …. Quand je constate aujourd’hui ce qu’on appelle démocratie au Mali, je me pose des questions. Je crois qu’à notre époque, il y avait plus de démocratie qu'aujourd’hui. Mon Mari nommait aux postes de responsabilité des hommes compétents », déclare-t-elle.
« Moussa Traoré ne badinait pas avec l’outil de défense »
La révolution de mars 1991 n’a pas résolu tous les problèmes du pays. Après deux mandats autorisés par la Constitution, le président Alpha Oumar Konaré passe le flambeau au général Amadou Toumani Touré. Pour la première fois dans l’histoire du Mali, un président démocratiquement élu succède à un autre démocratiquement élu aussi.
Mais la jeunesse est impatiente et la corruption a pris l’ascenseur. « Sous Modibo Kéita, on ne volait pas… Sous Moussa Traoré, on avait peur de voler, ce n’est pas le cas aujourd’hui », a déclaré avant sa mort l’écrivain malien Seydou Badian Kouyaté.
Dans l’imaginaire des Maliens, si la cote du général défunt remonte au sein de l’opinion, c’est à cause de la situation sécuritaire actuelle du Mali. « Moussa Traoré ne badinait pas avec l’outil de défense. Il a toujours veillé à équiper l’armée malienne qui était l’une des plus puissantes de la sous-région. Or, aujourd’hui, notre pays est divisé. C’est quelque chose qui fait très mal. Si Moussa Traoré était aux affaires, jamais cela ne serait arrivé. C’est un patriote, un nationaliste. Si Moussa Traoré était au pouvoir, on n’allait pas assister à ces détournements de fonds au sein de l’armée. Sous Moussa Traoré, quand vous volez 20 millions de francs CFA, c’était la peine de mort. Aujourd’hui, on vole des milliards, on est plutôt décoré. Voilà pourquoi Moussa Traoré est devenu populaire. C’est vrai, il a été dur avec ses opposants, mais il avait le sens de l’autorité, de l’honneur et de la patrie », explique Moussa Condé, jeune sociologue malien, diplômé d’une université sénégalaise.
Il ajoute : « La roue de l’histoire tourne. Moussa Traoré a su se trouver une place après sa sortie de prison. Il est devenu un sage, ayant pour premier compagnon, le Coran. Mais il est resté militaire dans le comportement. Et les Maliens ont apprécié parce qu’on a besoin aujourd’hui de certaines de ses qualités pour sortir le Mali de certaines difficultés ».
Gracié en 2002 tout comme son épouse, « au nom de la réconciliation nationale » par le président Alpha Oumar Konaré, après onze ans de détention, le couple recouvre la liberté, avant d’être logé dans une maison de l’État. L’homme qui a dirigé pendant 23 ans le Mali est même quasiment réhabilité puisqu’il retrouve le statut d’ancien chef d’État. En tout cas, il bénéficie des avantages d’un ancien président du Mali. Outre la maison, le gouvernement met à sa disposition des véhicules, du personnel de maison et une garde.
Avec son épouse, il avait une passion : aller au champ. Tamboura lui a rendu une dernière visite l’an dernier, à son domicile de Bamako. Le téléphone a sonné. Comme d’habitude, c’est son épouse Mariam qui décroche. L’appel était plutôt lointain. Le Général Moussa Traoré prend le combiné, murmure et promet de rappeler. Il se retourne vers moi, et affirme : « Je vais rappeler, parce qu’il faut se méfier des bruits d’atmosphère »… Sa manière à lui de dire « le téléphone est peut-être sur table d’écoute, je vais rappeler d’une ligne plus sûre ». L’homme qui a rendu l’âme à 84 ans, avait aussi des formules chocs.
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siddickm · 4 years
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CRISE SCOLAIRE AU MALI : Les élèves marchent !
Le lundi 07 septembre 2020, plusieurs centaines d’élèves sont sortis pour dire aux autorités maliennes qu’ils ne veulent pas d’année blanche !
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Les élèves ne veulent pas d’année blanche, mais les ”trente-neuvards” disent qu’ils se moquent de la couleur de l’année !
En effet, ceux qui avaient pensé que la chute du président Ibrahim Boubacar Kéita pourrait décrisper la lourde atmosphère de l’école…
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ledevoirdinformer · 5 years
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Le souhait de Blaise Compaoré de rentrer d’exil est-il lié à la situation en Côte d’Ivoire?
Le souhait de Blaise Compaoré de rentrer d’exil est-il lié à la situation en Côte d’Ivoire?
Pour certains observateurs, le souhait de Blaise Compaoré de rentrer de son exil en Côte d’Ivoire serait lié aux tensions dans son pays d’accueil, à l’approche de la présidentielle de 2020. Sputnik a interrogé Achille Tapsoba, un responsable du parti de l’ancien Président burkinabè.
Fin octobre 2014, Blaise Compaoré, aux commandes du Burkina Faso depuis 27 ans, quittait le pouvoir à la suite…
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bsidibe · 3 years
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En marche vers Koulouba 2022 : Aliou Boubacar Diallo, au nombre des favoris ! D’outsider, sinon un gros outsider à la présidentielle de 2018, Aliou Boubacar Diallo, le candidat de l’ADP-Maliba, apparait comme un sérieux challenger, sinon l’homme à abattre pour la prochaine compétition présidentielle 2022. Celui qui était arrivé étonnant troisième en talonnant Soumaïla Cissé, le défunt président de l’URD, avait créé la surprise à la présidentielle de 2018, en damant le pion à des politiques, considérés comme plus rodés et occupant depuis des lustres l’espace « présidentiable » du landernau malien. L’homme d’affaires, considéré comme le Sua Emitenza, le Silvio Berlusconi malien, avait fait comme ce dernier, irruption presqu’à la dernière minute dans le jeu politique en tenant la dragée haute au personnel politique lors de la présidentielle de 2018. Certes, considérablement discrédité et usé par les multiples crises, mais davantage par des modèles de gestion et de pratiques, où le clientélisme et l’enrichissement des élites l’emportaient sur les convictions. Mais le processus de l’avènement d’une formation nouvelle, l’ADP-Maliba et de son leader, est néanmoins une maturation. De fait, l’ancien patron de la société minière, Wassoul’Or, est un des premiers soutiens de l’ex-président Ibrahim Boubacar Kéita, dans le sillage de son mentor, le Guide religieux M’Bouillé Haïdara, le puissant Chérif des Hamallistes. Aux législatives de fin 2013, la formation d’obédience hamalliste, l’ADP-Maliba, avait raflé quelques sièges de députés, certes par le jeu des alliances avec des formations classiques, mais davantage par le soutien appuyé du Chérif de Nioro. Mais l’homme d’affaires a vite pris ses distances avec le régime. Aliou Boubacar Diallo ne se faisait alors pas prier pour dénoncer des pratiques de clientélisme aboutissant à l’exclusion de nombre d’opérateurs de l’attribution des marchés publics au profit d’une classe de nouveaux riches, dont le mérite, à ses yeux, relevait de sa proximité avec le fils de l’ancien président. Cette prise de position et les critiques de plus en plus assumées de l’homme d’affaires lui vaudront un harcèlement systématique et des convoca https://www.instagram.com/p/CPqYGOLrqcU/?utm_medium=tumblr
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esidwaya · 4 years
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Mali Le plus dur commence
Mali Le plus dur commence
Près d’un mois après la chute du président Ibrahim Boubacar Kéita, le Mali s’est doté d’une charte de transition pour conduire le pays jusqu’au retour à l‘ordre constitutionnel. Cette feuille de route, fruit des concertations nationales, propose une transition de 18 mois et charge un comité formé par la junte pour désigner un président civil ou militaire. La charte prévoit en outre un…
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snap221com · 4 years
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Diaw Fara : « Macky est un fervent partisan de la légalité constitutionnelle… »
Adama Diaw dit Diaw Fara, responsable APR Dans une intervention relative à l’arrestation suivie de la démission du Président malien, Ibrahim Boubacar Kéita, le Président de la République Macky Sall a plaidé pour un respect scrupuleux, voire strict du protocole de la CEDEAO.
Ce dernier stipule qu’un Président légalement élu ne peut être démis de ses fonctions que par la voie… démocratique(…
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snap221me · 4 years
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Diaw Fara : « Macky est un fervent partisan de la légalité constitutionnelle… »
Adama Diaw dit Diaw Fara, responsable APR Dans une intervention relative à l’arrestation suivie de la démission du Président malien, Ibrahim Boubacar Kéita, le Président de la République Macky Sall a plaidé pour un respect scrupuleux, voire strict du protocole de la CEDEAO.
Ce dernier stipule qu’un Président légalement élu ne peut être démis de ses fonctions que par la voie… démocratique(…
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laibamcasainfo · 4 years
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Macron douche la CEDEAO : "Nous n’avons pas à nous substituer à la souveraineté malienne"
Macron douche la CEDEAO : “Nous n’avons pas à nous substituer à la souveraineté malienne”
La Communauté des Etats pour le Développement de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a durement sanctionné le Mali suite au coup d’Etat militaire qui a évincé du pouvoir le Président Ibrahim Boubacar Kéita dit IBK. En plus de l’isolement, l’organisation régionale a également décidé d’asphyxier économiquement le pays.
Se prononçant sur ce coup de force, tout en le condamnant, le Président de la…
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beafricainfo · 4 years
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Mali: le Premier ministre Boubou Cissé présente sa feuille de route de sortie de crise
Mali: le Premier ministre Boubou Cissé présente sa feuille de route de sortie de crise
Publié le : 09/08/2020 – 03:31
Après avoir reçu, vendredi, du président malien Ibrahim Boubacar Kéita, sa lettre de mission, le Premier ministre malien, Boubou Cissé, a élaboré une feuille de route de sortie de crise. Il a entamé, dans ce cadre, une série de rencontres avec la classe politique malienne. Samedi, il a ouvert les consultations en recevant la majorité présidentielle qui a amendé le…
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richardbonzou-blog · 4 years
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Santé/ Lutte contre le COVID-19 : La Chine et l’Inde s’engagent à aider le Mali
Le Mali fait face à la menace du Covid-19. Les amis du Mali notamment la République Populaire de la Chine et l’Inde, sur sollicitation du Président de la Réplique du Mali, Ibrahim Boubacar Kéita, ont décidé d’être aux côtés du peuple malien pour faire face au Covid-19. L’assurance a été donnée, le 23 mars 2020, lors de la rencontre entre le Ministre des Affaires étrangères et de la coopération…
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elhadjlirwane · 5 years
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Conférence de Waqf-BID : Alpha Condé lance l'ouverture des travaux à Conakry
Conférence de Waqf-BID : Alpha Condé lance l’ouverture des travaux à Conakry
Devant le président Ibrahima Boubacar Keïta du Mali et plusieurs autres délégations, le président Alpha Condé a procédé ce mercredi 16 janvier 2019, à l’ouverture de la conférence sur le concept Waqf dans la capitale guinéenne.
  Le président du Mali Ibrahim Boubacar Kéita salue les efforts de la Oummah Islamique et invite les pays membres de l’organisation à plus de solidarité.
« Notre…
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