Tumgik
#impact fonce
checkersfries · 2 years
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pinned or whatever
I'm Malcom. A fictive in a DID system.
don't be a bitchass and read my dni and boundaries. also yeah I'm the funny hlvrv guy, toxic fans of that fuck off
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You can also call me Checkers but whatever. I use He/It, I'm trans and gay af btw I reclaim the f and t slur (f*g and tr*nny) if you don't you can go. I like ytps, gaming and writing
Thats all. I guess
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iteracare-wand · 16 hours
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Dans cet article, vous découvrirez les 5 raisons clés pour lesquelles iTeraCare est une solution innovante et efficace pour améliorer votre énergie et votre vitalité. Grâce à sa technologie quantique avancée, iTeraCare offre un moyen unique d'équilibrer l'énergie dans votre corps, ce qui peut vous permettre de bénéficier de niveaux d'énergie plus élevés et d'un bien-être général. Lisez la suite pour connaître les raisons du succès d'iTeraCare. L'équilibre énergétique : la clé d'une vitalité accrue avec iTeraCare L'une des principales raisons pour lesquelles iTeraCare améliore l'énergie est sa capacité à rétablir l'équilibre énergétique dans le corps. Grâce à la technologie quantique, iTeraCare agit au niveau cellulaire pour équilibrer les fréquences énergétiques et optimiser le flux d'énergie dans tout le corps. Cet équilibre énergétique favorise une plus grande vitalité et un sentiment général de bien-être. Stimulation de la circulation: un regain d'énergie avec iTeraCare Un flux sanguin et une circulation adéquats sont essentiels pour une énergie et une vitalité optimales. iTeraCare peut aider à améliorer la circulation sanguine et le flux d'énergie au niveau cellulaire, favorisant une plus grande disponibilité de l'oxygène et des nutriments dans tout le corps. En optimisant la circulation, iTeraCare stimule votre énergie et vous aide à rester dynamique et actif. Éliminez le stress et restaurez l'énergie avec iTeraCare Le stress chronique peut épuiser votre énergie et votre vitalité. Cependant, iTeraCare peut être un outil efficace pour lutter contre le stress et retrouver l'énergie perdue. Grâce à sa technologie quantique, iTeraCare aide à détendre le corps et l'esprit, à réduire le stress et à favoriser la récupération d'énergie. L'utilisation régulière d'iTeraCare peut vous aider à vous sentir plus calme et plus énergique. Augmentez votre bien-être et votre vitalité avec iTeraCare : le choix idéal pour améliorer votre énergie. iTeraCare ne se contente pas d'améliorer votre énergie, il favorise également votre bien-être général et votre vitalité. La combinaison de sa technologie quantique avancée et de son approche holistique a un impact positif sur votre énergie, votre équilibre et votre bien-être général. iTeraCare est le choix idéal pour ceux qui souhaitent améliorer leur énergie et trouver un nouveau niveau de vitalité dans leur vie quotidienne. Avec les raisons clés expliquées ci-dessus, iTeraCare se positionne comme un allié exceptionnel dans la quête d'un niveau plus élevé d'énergie et de vitalité. N'attendez plus pour découvrir les avantages d'iTeraCare et atteindre un nouveau niveau de bien-être dans votre vie. Conclusion pour maximiser votre énergie En conclusion, iTeraCare est une solution innovante et efficace pour améliorer l'énergie et la vitalité de manière naturelle. Grâce à sa technologie quantique avancée, iTeraCare équilibre l'énergie du corps, stimule la circulation, élimine le stress et favorise un plus grand bien-être. Les appareils iTeraCare sont des outils puissants pour les naturopathes et tous ceux qui souhaitent optimiser leur énergie et leur vitalité au quotidien. Découvrez la puissance d'iTeraCare et augmentez votre niveau d'énergie à de nouveaux sommets ! iTeracare Shop Foire aux questions (FAQ) 1. Comment fonctionne exactement la technologie quantique d'iTeraCare ? La technologie quantique utilisée par iTeraCare est basée sur l'idée que tout, y compris notre corps, est composé d'énergie. Les appareils iTeraCare équilibrent et stimulent l'énergie au niveau cellulaire, favorisant un flux énergétique optimal et améliorant la vitalité. 2. Combien de temps faut-il pour constater des résultats en matière d'amélioration de l'énergie avec iTeraCare ? Les résultats peuvent varier d'une personne à l'autre, mais de nombreuses personnes font état d'une amélioration de leur niveau d'énergie et de leur vitalité après une courte période d'utilisation régulière des appareils iTeraCare. Une utilisation quotidienne est recommandée pour des résultats optimaux.
3. Existe-t-il des contre-indications à l'utilisation des dispositifs iTeraCare ? Les appareils iTeraCare sont sans danger pour la plupart des gens. Toutefois, il est important de consulter un professionnel de la santé ou un naturopathe si vous avez des problèmes de santé particuliers ou si vous prenez des médicaments afin de vous assurer que iTeraCare vous convient. 4. Pendant combien de temps dois-je utiliser les appareils iTeraCare pour conserver les bienfaits de mon énergie ? L'utilisation régulière des appareils iTeraCare est essentielle pour maintenir les bénéfices sur votre énergie et votre vitalité. En prenant quelques minutes par jour, vous pouvez profiter au maximum des effets énergisants et équilibrants d'iTeraCare. 5. Puis-je combiner iTeraCare avec d'autres thérapies naturelles et traitements naturopathiques ? Sans aucun doute. Les appareils iTeraCare peuvent être complétés par d'autres thérapies naturelles et traitements naturopathiques pour des résultats encore plus complets. Consultez un professionnel de la santé ou un naturopathe pour personnaliser votre approche thérapeutique et maximiser les avantages d'iTeraCare. N'oubliez pas que chaque personne est unique et que les résultats peuvent varier. Il est toujours conseillé de demander l'avis d'un professionnel et de suivre les instructions du fabricant pour une utilisation correcte des appareils iTeraCare. Profitez d'un regain d'énergie et d'une meilleure vitalité grâce à iTeraCare ! https://iteracare.life/wp-content/uploads/video/DEMATITIS-CEBORREICA-ITERACARE.mp4 Équilibre et bien-être avec iTeraCare Il est important de noter que les appareils iTeraCare peuvent également contribuer à éliminer la rétention d'eau dans le corps, ce qui peut avoir un impact positif sur la réduction des gonflements et l'amélioration de l'apparence de la peau. En outre, en favorisant un état d'équilibre et de bien-être dans notre corps, la thérapie quantique avec iTeraCare peut avoir des effets positifs sur notre santé mentale et émotionnelle, en réduisant le stress, l'anxiété et en favorisant une plus grande clarté mentale. En bref, les appareils iTeraCare représentent une révolution dans le domaine de la thérapie quantique et des soins de santé. Sa capacité à équilibrer et à harmoniser notre corps nous permet de bénéficier d'une meilleure qualité de vie de manière naturelle et efficace. Que vous cherchiez à soulager la douleur, à réduire le stress ou à améliorer votre bien-être général, la thérapie quantique avec iTeraCare peut être la solution que vous recherchez. N'attendez plus pour bénéficier de la thérapie quantique avec iTeraCare. Visitez notre site web www.iteracare.life et découvrez comment ces appareils peuvent améliorer votre vie. Votre santé et votre bien-être méritent d'être pris en charge de manière holistique, et la thérapie quantique avec iTeraCare vous donne la possibilité d'y parvenir. iTeracare Shop Votre chemin vers le bien-être Notre technologie vous donne la possibilité d'améliorer votre qualité de vie depuis le confort de votre domicile. Avec iTeraCare, vous pouvez bénéficier de thérapies personnalisées et avancées pour un bien-être holistique. Participez à la révolution de la santé N'attendez plus pour découvrir les avantages d'iTeraCare El Salvador. Visitez notre site officiel et rejoindre la révolution sociale de l'île. Transformez votre vie et celle de vos proches grâce à la technologie Terahertz la plus avancée. Votre bien-être est entre vos mains avec iTeraCare ! ITERACARE TÉMOIGNAGES Les dispositifs iTeraCare peuvent être achetés dans la boutique en ligne iTeraCare, qui se trouve à l'adresse www.iteracare.life. Dans cette boutique, les clients peuvent consulter une sélection de produits iTeraCare et faire leurs achats en toute simplicité. Les prix des appareils iTeraCare sont très raisonnables, ce qui fait de la boutique un excellent choix pour ceux qui recherchent un bon rapport qualité-prix et qui peuvent acheter l'appareil dans notre boutique.
Adrián Sánchez Contact Acheter l'appareil iTeraCare Boutique iTeracare
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artdesannonces · 2 years
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L'artiste plasticienne d'origine nigériane Morenike "Renike" Olusanya aime particulièrement peindre les femmes noires. "Je suis au Nigeria, les femmes noires sont tout ce que je vois. J'aime peindre notre culture, notre mode et nos coiffures", a-t-elle déclaré.
Morenike "Renike" Olusanya, 28 ans, a étudié les arts créatifs à l'Université de Lagos et a travaillé comme graphiste avant de finalement se lancer dans les arts visuels à temps plein pendant a période de confinement du Covid en 2020.
L'art de Morenike "Renike" Olusanya existe sous de nombreuses formes, telles que les portraits, l'art de la danse et les couvertures de livres. Certains d'entre eux sont créés sur une toile, mais elle préfère illustrer numériquement.
En combinant des formes, des lignes et des ombres sur son iPad, elle a conçu des couvertures de livres pour des femmes connues, notamment Aminata Touré, la première femme ministre noire d'Allemagne, l'auteur américain primé Coe Booth et l'auteur jamaïcain-américain Nicola Yoon.
En 2020, elle a illustré la couverture du livre de Yoon "Instructions for Dancing", esquissant un homme noir et une femme dansant le tango.
Selon Morenike, illustrer la couverture était un "rêve devenu réalité", d'autant plus qu'elle est devenue un best-seller instantané du New York Times après sa sortie en juin 2021. "Je peux dire avec fierté que j'ai créé des couvertures de livres pour plusieurs best-sellers," elle a ajouté.
"Si je vois une phrase, une chose ou une personne qui, selon moi, raconte une histoire et peut être exécutée dans une œuvre d'art ou une image, je fonce", a-t-elle expliqué.
En 2021, Morenike a été incluse dans la liste des 100 femmes les plus inspirantes au Nigeria de Leading Ladies Africa et en 2022, elle a remporté le prix spécial de reconnaissance Lord's Achievers : A Lady Making Impact Through Art.
"Gagner le prix a été très encourageant pour moi. Cela a renforcé le fait que l'art est mon truc, et les gens peuvent s'identifier à ce que je fais", a-t-elle déclaré.
Bien que Morenike soit heureuse d'être reconnue pour son travail, elle a déclaré que le point culminant de sa carrière était d'être chargée de créer des portraits pour certaines des plus grandes marques au monde, notamment Hulu, Dark & Lovely, Penguin Random House et Scholastic.
Pour les deux prochaines années, elle veut juste continuer à créer et à expérimenter quelques nouveautés en utilisant l'art. "Je veux continuer à collaborer avec de plus grandes marques, en organisant des expositions à Lagos et dans d'autres pays", a-t-elle déclaré.
Inspiré par un article de CNN. illustration : Credit: Morenike Olusanya
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clement-mlbc · 4 years
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C'est un gros morceau aujourd'hui, qui m'a pris plus de temps que prévu ! Toujours dans Demon Slayer (Kimetsu no Yaiba) je me suis cette fois concentré sur la fameuse scène de fin de l'épisode 19. Une magnifique scène d'action 😍 L'épisode est signé Toshiyoki Shirai à la réalisation. On peut y voir plein de choses qui font de lui un extrait incontournable du paysage de l'animation 2D. Mais je vais rester focus sur la partie découpage du board (au revoir les magnifiques impact frames). Dès le début Tanjirou fonce vers nous en apparaissant dans les flammes, il va dominer tout le champs pour ensuite asséner un coup très puissant avec un double impact. Le tout accentué par un mouvement de caméra rapide et subtile qui suit le mouvement du katana (2). Après une répétition de l'impact vu d'un autre angle, on a un slow-motion sur un gros plan de Rui, on en aura un autre un peu plus tard sur Tanjirou (4 - désolé pour l'ordre des images 🙄). Même en pleine scène d'action hyper rythmée, le réalisateur prend le temps de nous montrer l'émotion de ces personnages et leur pensée. Juste après le plan montre les deux personnages, avec Tanjirou devant Rui, et un changement de focus rapide entre les deux, laissant la place à Tanjirou pour la fin poignante de son dialogue (3). La scène continue par un incroyable plan très graphique avec un coup circulaire et une variation efficace de rythme rapide à slow motion. Et enfin après la tête décapitée de Rui qui s'envole, l'épisode se conclura avec Tanjirou, figé avec une expression mêlant colère et détermination (5). Shonen tout ça. Ps : si vous êtes parvenu jusqu'ici vous êtes très courageux ! Alors merci :) #storyboard #board #storytelling #story #drawing #draw #sketch #sketching #pencil #thumbnail #fanart #art #pen #copicmarkers #animatic #movie #anime #demonslayer #episode19 #kamadotanjirou #nezukokamado #kimetsunoyaiba https://www.instagram.com/p/CMxKFy2DiVf/?igshid=1bnwspv97ybx5
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vozorganica · 7 years
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CURITIBA, BRESIL
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© Munir Bucair Filho
La crise est un terrain fertile pour les communautés
#Chronique d’une ville organique
17 mars 2017  | Patricia, Claudio et Luiz
Sortis du Blablacar (oui, au Brésil aussi), nous voilà fraichement débarqués à Curitiba, capitale de l’État du Paraná.
Il est 16h30, nous avons rendez-vous dans un café pour retrouver Patricia, notre contact. Direction la station de bus et son système de transport public tant loué par toutes les métropoles du monde. Pas de chance, aujourd’hui, c’est jour de grève. Allez comprendre pourquoi. Nous, nous n’allons pas tarder…
En plein centre-ville, nous voilà arrivés au café « Coletivo Alimentar ». À l’intérieur, nous retrouvons Patricia attablée en compagnie de Claudio et Luiz, le gérant du café. Il s’avère que le Coletivo n’est pas un simple café mais, ça aussi, nous le comprendrons plus tard. Pas de temps à perdre, les présentations faites, nous sommes immédiatement plongés dans le vif du sujet. Nous venons de débarquer au beau milieu d’une réunion, et il fallait bien s’en douter, il s’agit d’agriculture urbaine.
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© Munir Bucair Filho
Claudio, le doyen du groupe, est ravi de notre présence. Notre projet a bien suffi à nous faire gagner son cœur et son estime. Il ne perd pas de temps pour entamer son cours magistral. Il faut dire qu’il est aussi très bavard…
Curitiba, ville avant-gardiste, est souvent considérée comme la métropole brésilienne la mieux organisée. Le développement durable et environnemental de la ville lui a valu le surnom de Cidade Modelo da América Latina, comprenez « Cité modèle d’Amérique Latine ». Dans les années 70, en pleine émergence du Brésil, les politiques publiques d’aménagement de la municipalité reflètent la volonté d’un modèle de vivre-ensemble écologique et social. Un développement exemplaire et inclusif qui n’est pourtant pas sans s’accompagner aujourd’hui d’un certain nombre de paradoxes. Le contexte du pays a évolué et après plus de trente ans de gestion durable la ville connaît le même destin que les autres métropoles d’Amérique Latine. Si l’exode rural s’est intensifié, le centre-ville se désertifie et c’est à l’échelle de l’aire métropolitaine que les problèmes territoriaux apparaissent. Plus d’une centaine de milliers de personnes vivent dans les favelas en périphérie de la ville pendant que les « gated communities » (résidences fermées) n’en finissent pas de pousser dans le paysage urbain. Avec une fracture sociale de plus en plus évidente, Curitiba n’est que le reflet de la société brésilienne.
Malgré un pessimisme à peine caché, Claudio en est persuadé, la transition doit se faire. Curitiba serait le nouveau Détroit. S’il aime faire ce parallèle, c’est que la ville est confrontée, cinquante ans plus tard, aux mêmes défis que cet ancien symbole de la prospérité américaine aujourd’hui en faillite. L’antidote de Détroit ? L’agriculture urbaine. Un cas d’école d’une réinvention post-industrielle.
Alors nous, candides des quelques milliers de kilomètres qui nous séparaient jusque là, nous en venons à parler du 1er décembre 2016. Curitiba remporte le prix du C40 dans la catégorie « Sustainable Communities » (Communautés Durables) pour son programme d’agriculture urbaine. Nous en récoltons un mélange d’amusement et de désolation. Un bel étendard marketing paraît-il. La discussion s’arrêtera là, pour ce soir en tout cas.
27 mars 2017 | « Programa Lavoura »  
Pour essayer d’en savoir un peu plus, direction la banlieue sud de Curitiba, à Rio Bonito dans le quartier de Campo de Santana, l’un des plus défavorisés de la ville.
Nous découvrons ici le « Programa Lavoura » du Secrétariat municipal de l’agriculture et de l’approvisionnement : un partenariat entre la préfecture, le fournisseur d’électricité local et l’association des voisins du quartier permet à 70 familles de cultiver leur propre nourriture. L’objectif du programme ? Stimuler l’action communautaire et l’inclusion sociale par le lien à la terre et l’accès à une alimentation fraiche et de qualité.
Un impact limité certes, mais sur le fond nous y sommes. Pourtant, la préfecture est entrée dans un processus de désengagement progressif de l’initiative, jusqu’à son autogestion. La raison ? Un coût trop important et d’autres besoins émergents. Et nous tombons à pic car le lendemain de notre visite se tient à Rio Bonito la signature du protocole « Horta do Chef » permettant aux agriculteurs du programme de fournir des ingrédients aux restaurants réputés de la ville. Un premier pas vers l’autonomie du programme tout en valorisant la production agricole locale, la chaîne d’approvisionnement, et la création d’emplois et de revenus.
Et si cette recherche de nouveaux modèles a bien attiré notre attention, nous n’allions pas en rester là.
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© Joel Rocha / SMCS
29 mars 2017 | Au Coletivo Alimentar
Retour au Coletivo où nous retrouvons Claudio pour une petite entrevue. Nous en aurions presque oublié de vous le présenter… Ce professeur de gestion environnementale milite depuis plus de 15 ans pour une vision intégrée de l’agriculture urbaine. Il est à l’origine de la « Casa da Videira », une base environnementale réunissant plusieurs familles autour d’un système intégré et cyclique de l’agriculture et de l’élevage urbain. Basée sur la production alimentaire et la gestion des déchets organiques, l’expérimentation a conduit à un modèle dynamique qui repositionne fondamentalement nos modes d’organisation et consommation actuels. 
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© Claudio Oliver
Alors, Claudio, qu’en dit-il ? Le “Programa Lavoura” de la préfecture, il nous l’a bien fait comprendre, il est assez sceptique. Les politiques publiques d’inclusion sociale ont déjà bien montré leurs limites. Le cours magistral reprend.
Début des années 2000, le prix des matières premières est en hausse et le Brésil en est riche. Conséquence ? Pendant plus d’une décennie, la croissance explose. De grands programmes sociaux sont mis en place et des millions de Brésiliens sont sortis de la pauvreté. L’accès à la consommation est facilité, mais problème : bien souvent à crédit. Une politique court-termiste et illusoire. Tant que la croissance est au rendez-vous, les Brésiliens ont pu cumuler les crédits et s’endetter, le tout largement cautionné par le gouvernement. Et en 2015, le coup de massue. Le Brésil entre en récession avec son lot de conséquences désastreuses pour la population : baisse de la production, explosion du chômage, inflation… Le pays fonce tout droit 30 ans en arrière, connaît une crise sans précédent, des problèmes sociaux structurels jamais résolus, et s’offre aujourd’hui une belle cure d’austérité (nous vous avions bien parlé des grèves…). La fin du progrès social, et Curitiba n’y échappe pas.
Retour à notre programme municipal d’agriculture urbaine et à ce fameux protocole « Horta do Chef ». Une vision plus long-terme à base d’émancipation citoyenne ? Lueur d’espoir, cela fait peut-être partie des raisons pour lesquelles nous retrouvons Claudio aujourd’hui en plein centre-ville de Curitiba. Car en 2014, la Casa da Videira se délocalise pour s’implanter à Palmeira, à 75 km de la ville. La vie urbaine, c’est terminé, une sorte de retraite anticipée. Si les graines sont plantées, d’autres pourront prendre la relève, mais surtout, trop d’efforts, trop peu d’intérêt suscité, et un peu trop en avance sur son temps dans un Brésil en plein « boom » économique.
Pourtant, il nous le dit, Claudio est rappelé par la ville et ses vieux amours. Il faut dire que malgré la capacité limitée des gouvernements locaux à assurer la pérennité de programmes sociaux, Curitiba, capitale écologique du Brésil, possède un socle identitaire plus que propice aux développements d’initiatives citoyennes originales. Un regard vers Luiz qui s’affaire au comptoir du Coletivo. Les choses seraient-elles en train de changer ?
C’est le moment d’interrompre Luiz dans la préparation de son café et de comprendre ce qui se trame ici, au Coletivo Alimentar. Certes, on y sert un café d’exception, mais aussi, on se rencontre, on teste et on partage. Car le Coletivo, c’est avant tout la connexion des amoureux de l’alimentation, un laboratoire d’expérimentations et un lieu d’échange de connaissances et de savoir-faire. Les “baristas” y sont différents chaque jour, la cuisine se gère de manière autonome, les visages défilent à l’étage dans l’espace de co-working, et toutes les semaines, c’est atelier jardinage avec Patricia, notre ingénieure agronome chargée de l’aménagement du potager sur le toit. Chacun vague à ses occupations et au détour d’une rencontre ce sont de nouvelles collaborations qui se cultivent…
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© Munir Bucair Filho
Et c’est bien sur ce point que Claudio voulait nous emmener. Le Brésil est entré à marche forcée dans une période de transition. L’ère post-moderne pointe déjà le bout de son nez et si les initiatives foisonnent plus que jamais à Curitiba, l’enjeu sera de savoir les connecter et d’en assurer la pérennité. Comme Claudio le dit si bien lui-même : « la crise est un terrain fertile pour la communauté » et en direct du Coletivo, si des collaborations naissent, certains projets commencent déjà à pousser. Nous vous racontons l’un d’entre eux…
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29 mars 2017 | La Casa do Redentor
Nous avons rendez-vous dans le quartier de São Francisco, à deux pas du centre historique de Curitiba. Aujourd’hui, nous sommes prévenus, pas de belles démonstrations philosophiques, nous allons parler « business ». Nous y retrouvons Claudio et Patricia, ainsi que Gabriella, chef cuisinière, et Fernando, président de l’association « Casa do Redentor », notre lieu de rendez-vous. Dans cette structure d’accueil dédiée aux sans-abris nous ne tardons pas à découvrir en arrière-cour un potager fleurissant. Alors forcément, nous y avons passé pas mal de temps.
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Le jardin, c’est aussi tout l’objet de la réunion d’aujourd’hui. La Casa do Redentor, s’apprête à démarrer un projet pilote réunissant l’ensemble de nos protagonistes. L’idée à court-terme ? Utiliser l’agriculture comme outil de réintégration sociale, en donnant la possibilité aux résidents de l’association de cultiver et vendre la production du jardin sur les marchés de la ville. Mais pas seulement. Une partie des récoltes sera également utilisée pour proposer des repas aux habitants des rues de Curitiba. C’est là que Patricia et Gabriella entrent en jeu. Patricia aménage le jardin et organise la production. De son côté, Gabriella, à bord de son « food truck », sillonnera les rues de la ville pour proposer des repas aux sans-abris. Et bien entendu, les déchets organiques produits retourneront à la source, alimenter à leur tour le jardin, sous l’action de la Casa da Videira.
Créer des flux d’échange, des connections entre initiatives individuelles, voilà l’ambition sur le long terme. Et c’était bien là notre sujet : un changement d’échelle naissant dont nous avons hâte de constater l’évolution. C’est peut-être d’ailleurs ce qui permettra à l’agriculture urbaine de remplir pleinement son rôle : celui de la transition vers une ville plus productive, plus verte et et plus vivante, comprenez humaine.
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catmigliano7 · 5 years
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Mais là où le cas de #VincentDelory devient complexe c’est à partir du moment où, sur proposition de l’armée, le président #NicolasSarkozy a autorisé l’intervention pour stopper le convoi et l’empêcher de repartir lors de l’opération baptisée « archange foudroyant », un nom qui résume bien cette intervention ! Aucune négociation, on fonce, on tire. Quand on a pu consulter certains documents déclassifiés, on a aucun doute à se rendre compte, au vu des nombreux impacts de balles, que le véhicule bourré d’essence et de munitions ait pris feu, il ne faut pas oublier non plus que Vincent a péri brûlé vif, carbonisé sur la moitié du corps ou plus et l’on est aussi persuadé qu’il a pu apercevoir les militaires déployés sur le terrain puisque certaines déclarations stipulent qu’ils étaient à peine à une dizaine de mètres du véhicule. Imaginez-vous l’horreur du désastre que nous vivons au quotidien ? D’ailleurs, un haut responsable spécialiste d’opérations militaires déclare : « Je le répète, ce genre d'opération qui vise à libérer les otages par la force a 98% de chances de ne pas réussir à libérer l'otage vivant… » C’est donc bien une intervention qui ne laissait pratiquement aucune chance aux otages, leur mort n’est pas comme le considère l’État Français dû a « pas de chance » mais à une décision politique. Vincent, victime du terrorisme est donc devenu à partir de ce moment également victime de la raison d’Etat. Si son statut de victime du terrorisme a bien été rapidement reconnu, il n’en est pas de même pour son statut de victime de la raison d’Etat. Mais hélas nos enfants n’étaient ni des journalistes, ni des fils de personnalité alors c’était l’occasion de mettre en pratique sur ces petits jeunes inconnus de 25 ans les stratégies élaborées l’année précédente virtuellement avec les conséquences qui en sont découlées. Permettez-moi de douter sur le principe d’égalité de la devise française ! Le Ministre de la défense de l’époque a déclaré lors d’une interview "La décision était grave, était lourde, nous l'avons prise et nous l'assumons pleinement", "Ne rien faire …. c'est donner un signal que la France, finalement, ne se bat plus contre le terrorisme" (at Niamey, Niger) https://www.instagram.com/p/B7L2wgpH_2j/?igshid=1wpjtnyocxs3m
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reseau-actu · 5 years
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Dans une synthèse particulièrement documentée, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien. Imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption: les faits qu’il rapporte sont préoccupants.
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Fabien Bouglé est un militant associatif français. Depuis dix ans, il dénonce le désastre écologique et financier des éoliennes. Entre 2011 et 2016, il est en lien avec le service central de prévention de la corruption du ministère de la Justice français. En 2019, il est auditionné par la commission d’enquête parlementaire sur les énergies renouvelables de l’Assemblée nationale. Chef d’entreprise dans le secteur financier et culturel, il est également élu municipal (sans étiquette) à Versailles. Son dernier livre, Éoliennes, la face noire de la transition écologique, est publié le 2 octobre aux éditions du Rocher.
LE FIGARO.- Pourquoi un tel livre aujourd’hui, alors que la filière éolienne est déjà bien implantée en France, et que l’éolien maritime s’apprête à décoller?
Fabien BOUGLÉ. - Ce livre est le résultat de dix ans d’enquête sur l’éolien, réalisée localement, nationalement et internationalement. Face aux désinformations et contrevérités diffusées par les promoteurs éoliens, il y avait un besoin urgent de synthétiser l’ensemble des informations et études mondiales sérieuses publiées sur la question. Écrire m’a permis de reconstituer un puzzle qui, une fois terminé, donne un visage inquiétant du système industriel éolien, entre pollution et mafia, et très éloigné de l’image vertueuse de cette source d’électricité. C’est la particularité de mon ouvrage de ne pas aborder la question sous le seul angle franco-français, pour comprendre l’émergence de ce scandale à l’échelle internationale. J’espère amener les pouvoirs publics à reconsidérer une politique qui fonce, à tous les niveaux, droit dans le mur.
Dans votre livre, vous détaillez l’imposture écologique des éoliennes. En quoi consiste le «paradoxe» éolien que vous évoquez?
Même si l’image des éoliennes commence à se craqueler, elles restent officiellement un symbole de transition écologique et d’électricité verte. Partout sur les sites internet ou dans les publicités, les communicants utilisent des champs d’éoliennes pour incarner l’avenir. Dans les écoles, les professeurs n’hésitent pas à faire de la propagande auprès de leurs élèves, sans recul et sans mise en perspective. La vérité selon laquelle les éoliennes allaient sauver la planète s’est imposée comme un dogme, religieusement, pourrait-on dire… Et pourtant la réalité est très différente! D’abord, les matières premières nécessaires aux éoliennes sont de véritables fléaux écologiques: les terres ou métaux rares nécessaires pour leur fabrication (entre 200 kilos et une tonne par éolienne) génèrent des déchets radioactifs et conduisent en Chine à des leucémies. Les fibres de carbone nécessaires pour les pales sont non recyclables et cancérigènes si elles sont incinérées. Les milliers de tonnes de béton des socles sont enfouies pour très longtemps. Bref, pour fabriquer les éoliennes, toutes les matières premières utilisées sont polluantes et non recyclables. Même le directeur de l’Ademe [Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, NDLR] a lancé l’alerte sur ce paradoxe.
« Le paradoxe éolien, c’est que l’augmentation du nombre d’éoliennes s’accompagne d’une augmentation des émissions de gaz à effet de serre ! »
Concernant les gains en termes d’émissions de gaz à effet de serre, l’intermittence des éoliennes entraîne l’utilisation d’énergie fossile (pétrole, gaz ou charbon) lorsqu’elles ne fonctionnent pas. Or, ces centrales sont particulièrement polluantes et très émettrices de carbone dans l’atmosphère. En Allemagne, malgré un effort financier considérable pour installer des éoliennes [plus de 500 milliards d’euros, NDLR], la Cour fédérale des comptes vient d’annoncer que la politique de baisse des émissions de gaz à effet de serre se soldait par un échec. Le paradoxe, c’est tout simplement que l’augmentation du nombre d’éoliennes s’accompagne d’une augmentation des émissions de gaz à effet de serre! Nous le constatons aussi en France.
A-t-on suffisamment de recul à propos des dégâts sur la santé? Si la question fait consensus, pourquoi les pouvoirs publics ne réagissent-ils pas?
La question des impacts des éoliennes sur la santé est un véritable tabou et constitue ce que j’appelle le scandale du «vent contaminé». Une omerta, comme on en a déjà connu sur d’autres sujets médicaux, s’est progressivement mise en place. Pourtant, à l’échelle mondiale, de nombreuses études sérieuses ont été publiées sur le syndrome éolien, avec des troubles bien identifiés: maux de tête, tachycardie, vertige, cancers notamment. Au Canada, les médecins ont identifié plusieurs origines des problèmes de santé liées aux éoliennes: électricité sale, bruit, courant tellurique et effet stroboscopique. D’autres études, dont celle de la Nasa, soulignent que ces problèmes de santé proviennent pour une certaine part des infrasons produits par les éoliennes, qui se propagent jusqu’à 20km. Certains pays utilisent d’ailleurs les infrasons comme armes de guerre…
» LIRE AUSSI - Le (polluant) recyclage des vieilles éoliennes allemandes
Malgré une documentation récurrente, les autorités médicales françaises font l’autruche, estimant que ce syndrome n’est que le résultat d’un trouble psychosomatique qu’elles appellent «l’effet nocébo»: ils seraient dus aux informations négatives véhiculées sur le sujet! En Loire Atlantique, 300 vaches sont mortes depuis l’installation d’une centrale éolienne. Il sera bien difficile d’imputer ces décès à des informations anti-éoliennes circulant sur les réseaux sociaux…
Sait-on combien cette énergie coûte réellement aux Français?
Pour les six parcs éoliens en mer prévus sur le littoral français, les subventions aux promoteurs sont de 30 milliards d’euros. Si on ajoute les subventions de l’éolien sur terre, de l’ordre de 50 milliards d’euros, ainsi que les sommes que la France doit à EDF au titre des rachats d’électricité subventionnée, l’éolien représente une dépense située entre 80 et 100 milliards d’euros minimum, pour quelques pourcents de la production. Financée par l’augmentation de la facture d’électricité et par la taxe carbone sur les carburants, cette dépense est d’ailleurs intimement liée à la crise des «gilets jaunes».
« Ce gaspillage d’argent public empêche enfin l’État de réaliser les investissements novateurs réellement écologiques qui s’imposent »
Pour mettre cela en perspective, il faut aussi rappeler que la production électrique française est excédentaire. Nous subventionnons donc de l’électricité qui est ensuite revendue en Allemagne, au prix du marché. C’est donc de l’argent des Français dépensé à fonds perdu et qui sert à fournir des pays limitrophes… Ce gaspillage d’argent public empêche enfin l’État de réaliser les investissements novateurs réellement écologiques qui s’imposent.
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Votre livre donne d’ailleurs l’impression que l’appareil d’État est entièrement verrouillé par les lobbies. Les élus sont-ils encore assez puissants pour amender notre stratégie énergétique?
Pour avoir côtoyé, rencontré nombre d’élus et de hauts fonctionnaires, j’ai conscience que l’urgence du quotidien oblige ces derniers à survoler certaines questions. En outre, la propagande répétée à l’envi par les lobbyistes du vent conduit certains à perdre toute lucidité sur le sujet. Aussi, j’appelle les élus vraiment intéressés par la question à se saisir du sujet au plus vite et à ne pas se laisser dicter leur conduite par des structures d’influence financées par les promoteurs, voire par le ministère de l’écologie lui-même. Savent-ils qu’un lobby franco-allemand de l’industrie éolienne est abrité au sein du ministère? Connaissent-ils la réalité du financement des ONG «environnementales» par les promoteurs éoliens?
» LIRE AUSSI - Les technologies «vertes» sont-elles si vertueuses ?
Nos dirigeants doivent tous prendre conscience du danger de continuer dans la voie de l’éolien. Je le dis sans sous-entendu politique, car la question transcende les courants politiques traditionnels. Il y a un an j’avais dénoncé dans les colonnes du Figaro le tarif de rachat d’électricité des éoliennes en mer, et peu après le gouvernement avait rouvert ce dossier et renégocié les prix. Qu’il fasse de même sur le sujet complet des éoliennes en mer et sur terre. Il y a urgence!
Mais les Français comprennent-ils l’ampleur du problème? La politique nationale d’installation d’éoliennes terrestres et maritimes peut-elle vraiment être stoppée?
Il existe une véritable cassure sociologique entre le monde de la ruralité et de la mer et les centre urbains. Les pêcheurs artisanaux du littoral qui voient leur vie bousculée par ces éoliennes sont très inquiets de l’avenir de leur profession. Dans les campagnes, le gigantisme des centrales éoliennes commence même à détruire le corps social, entre ceux qui touchent de l’argent (propriétaires et élus) et ceux qui subissent les nuisances. Mon livre aborde d’ailleurs la question de la corruption et de la mafia dans ce secteur d’activité et qui est au cœur du mécanisme institutionnalisé d’installation des éoliennes.
» LIRE AUSSI - En Allemagne, remplacer le charbon et le nucléaire coûtera cher
Malgré tout, notre stratégie nationale peut être modifiée, puisque d’autres pays le font: après la COP24, la Pologne vient de décider d’arrêter totalement l’éolien avec un plan de désinstallation des éoliennes existante à échéance 2040. L’Allemagne n’a installé que 35 éoliennes au premier semestre 2019 soit une baisse de 82 % des installations par rapport au premier semestre 2018. Partout dans le monde, les États prennent conscience de l’impasse des éoliennes. La France ne doit pas être la cinquième roue du carrosse!
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perleounavet-blog · 8 years
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Miss Sloane
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Ca parle de quoi ?  Elizabeth Sloane est une lobbyiste sans vergogne, prête à tout pour gagner.  C’est avec qui ?  Jessica Chastain, toujours impeccable Mark Strong, charismatique Alison Pill, énigmatique C’est de qui ?  John Madden, connu notamment pour son plus grand succès “Shakespeare In Love” Et c’était bien ?  Ca vous parle le lobbying ? Si oui, vous allez adorer, si non vous allez surement être un peu largué. Je vais faire plus simple: appréciez-vous les manipulations politiques de la série House Of Cards ?  Le film s’en rapproche énormément. Le lobbying aux Etats-Unis consiste à convaincre les sénateurs de voter pour ou contre un projet de loin, qui sera préjudiciable ou au contraire bénéfique à l’entreprise qui engage le cabinet de lobbying, vous me suivez ? Le décision, souvent médiatique d’un sénateur, aura également un certain impact sur sa carrière, évidemment.  En gros, certaines personnes sont là pour influer les politiques pour le compte de grandes entreprises ou organisations. Le tout, dans le respect dans l’éthique. Bien évidemment. Presque toujours. Souvent. Hum.  Dans le film en question, Miss Sloane est bien sûr la meilleure. Elle ne vit jamais, elle ne fait que travailler. Et gagner. En jeu dans l’intrigue : une loi sur le port d’armes, de quoi remuer toutes les classes aux USA.  Je n’en dirais pas plus sur l’intrigue, mais sachez que Miss Sloane est un film qui demande à ce qu’on s’accroche et qu’on soit bien concentré au moins les 45 premières minutes, sinon ce n’est pas la peine. Il devient ensuite plus abordable, moins prise de tête et fonce droit vers le thriller politique relativement classique. Moins aride que The Big Short par exemple, Miss Sloane reste un film très bavard et très rapide où le spectateur n’est pas vraiment considéré comme un amateur. Au contraire, on le traite presque lui aussi comme un business man qui s’y connait. C’est tout aussi agréable que ça en est prise de tête. Vous êtes prévenu.  Après un démarrage difficile donc, l’histoire s’installe pour devenir un thriller relativement classique où on finit par deviner pas mal de choses, quitte à être un peu déçu par une chute prévisible.  Le film reste néanmoins assez intéressant. Malgré un sujet qui peut paraitre rébarbatif l’ennui reste à la porte, certainement grâce au personnage de Jessica Chastain, qu’on adore détester et une mise en scène dynamique et assez léchée. John Madden a su garder son spectateur avec lui.  Mention spéciale pour toutes les tenues de working girl de Jessica Chastain. Elles m’ont sauté aux yeux à chaque fois. Très classe.
C’est bien joué ? Rien à dire que Jessica Chastain, elle est impeccable. Elle qui arrive aussi bien à être douce que froide comme la glace prouve qu’elle peut carrément être détestable. Si son personnage n’a pas énormément de profondeur elle réussit tout de même à lui donner une vraie dimension. On oublie l’actrice derrière le personnage. Si bien sûr elle est le symbole du film, on peut noter également un Mark Strong plutôt intéressant. 
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Tchin-tchin !
On y va ?  Vous êtes prévenu: c’est un film un peu difficile d’accès mais qui se révèle prenant si on s’accroche.  Alors Perle ou Navet ?  Tantôt difficile à suivre et tantôt prévisible, Miss Sloane est un peu trop schizophrène pour être une perle. Passé le contexte très intéressant du lobbying, le film n’est finalement qu’un thriller politique assez commun, qui rappellera facilement les intrigues de House Of Cards. Le personnage de Jessica Chastain est cependant assez intéressant pour qu’on s’accroche à l’histoire jusqu’au bout sans s’ennuyer. 
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julietrab-blog · 5 years
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Séance #9 La culture 2.0 : La revanche de l’amateur
L’arrivée des médias numériques a un impact direct sur la société et notamment sur la culture qui évolue au cours des dernières années. La notion de culture participative fait surface en 1992, bien avant le Web, par Henry Jenkins (chercheur dans le domaine des nouveaux médias) dans son texte Textual Poachers. Ce concept désigne une culture où les consommateurs participent à la production de contenu.
Plus besoin d’être un professionnel pour donner et diffuser son opinion n’importe où, il est plus facile de critiquer, de partager les talents de chacun. Les médias numériques ont considérablement démocratisé l’accès à la culture. Sans surprise, ils permettent aux individus d’interagir, de partager du contenu et des informations plus facilement et plus rapidement.Certains évènements récents comme l’expansion du Covid-19 montre que l’information grâce à internet, se répand très rapidement grâce aux plateformes comme Facebook ou twitter. On ne peut parfois pas gérer les intox qui dissimulent des fausses informations.
Avec la crise des médias traditionnels, certains se sont vu évoluer sur les médias numériques afin que les consommateurs puissent continuer à lire leurs contenus.Également, en ces temps de confinement, les personnes augmentent leur créativité et le partage de plus en plus sur les réseaux sociaux.  Créer un blogue, comme produire et diffuser des contenus audio (podcasts) ou audiovisuels (vidéos), favoriserait notamment le développement d’une «voix publique».
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On peut remarquer que beaucoup d’entre nous, utilise la plateforme Youtube qui permet parfois d’échanger avec une communauté. Quelques-uns font même le buzz. Ce sont des amateurs qui partagent du contenu de qualité grâce à l’accès à des outils (informatiques ou autres) compétents. C’est comme cela qu’aujourd’hui beaucoup de chanteurs, d’écrivains, d’acteurs, de photographes, de vidéastes amateurs deviennent célèbres. 
« Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c'est oublies qu't'as aucune chance, vas-y, fonce ! On ne sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher... » (Jean-Claude, Les Bronzés font du ski).
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zehub · 6 years
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Huile de palme : le bilan sur la biodiversité est catastrophique en Asie
La vidéo d'un orang-outan qui fonce sur un bulldozer en train de couper son arbre sur l'île de Bornéo, vue plus d'un million de fois sur Internet, permet de comprendre les impacts de la production d'huile de palme sur l'environnement.
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vraiesmeufs · 6 years
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#VRAISGARS : Jason “Une vraie meuf c’est un bonhomme”
Bastille, 12h
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Jason est acteur. Membre de l’association 1000 visages créée par Houda Benyamina (la réalisatrice de DIVINES), le jeune garçon a commencé par faire de la figuration et des silhouettes avant de jouer des petits rôles dans des courts métrages. “J'ai choisi ce métier car j'ai toujours aimé le cinéma et le théâtre depuis mon plus jeune âge. J'ai commencé à avoir des rôles dans des pièces de théâtre à l’école puis en indépendant avec les tournages. Je fais également du théâtre dans la compagnie Théâtre du MIDI à Chelles.” Sa deuxième passion à côté du théâtre et du cinéma c’est la mode. “J’ai toujours adoré dessiner. La mode c’est vraiment un moyen pour moi de m’exprimer. Je pioche la plupart de mes idées dans les tenues de personnages de films.”
Alors que Jason me parle d’un court métrage où il avait joué, dans lequel il était habillé et maquillé de manière très féminine, j’en profite pour lui demander sa définition du genre, et où il se situe par rapport à cette définition. “Pour moi, tous les hommes ont un côté féminin en eux et toutes les femmes ont un côté masculin. Les gens n’assument pas leur côté opposé, mais pourtant personne n’est à 100% homme ou femme. Je pense que le réel problème se trouve dans la définition que les gens se font du genre. Pendant longtemps, beaucoup de gens me disaient que j’avais des traits fins pour un mec, que j’avais un côté un peu féminin dans mon physique. J’ai fait des recherches et je suis tombé sur le concept d’androgynie et ça m’a interpellé. J’ai appris qu’un androgyne ce n’est pas forcément un transsexuel ou une drag queen, c’est juste quelqu’un qui ne ressemble ni à un homme ou à une femme, il est né comme ça et il l’accepte. Quelques moments après, j’ai été contacté par un réalisateur qui voulait que je joue un rôle androgyne. Au début, je ne me voyais pas faire ce rôle par rapport à ma religion et ma culture, et finalement je me suis dit, mais fonce et fais ce rôle tout de même, ça peut être intéressant ! Et du coup je l’ai fait.”
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Qui sont les femmes qui l’inspirent ? “La première femme qui m’inspire c’est ma mère, de par ses tenues, de par son parcours de vie et ce qu’elle a enduré pour me donner la vie. Sinon, au niveau de femmes plus éloignées de moi, mon icône c'est Marilyn Monroe. J'aime beaucoup son parcours et l'impact qu'elle a pu avoir sur le cinéma et sa manière d'être en tant que symbole.  C’est vraiment grâce à elle que les femmes ont pu avoir une réelle place dans le cinéma et ne plus se contenter de rôles secondaires et cela reste une icône. Elle a su montrer qu'elle n’était pas seulement une jolie femme avec des formes, elle était aussi très talentueuse. Une autre femme iconique que j’aime beaucoup c’est Grace Kelly, tout comme Marilyn, elle a su marquer son temps et rester inspirante.
Pour prendre des femmes un peu plus actuelles, j’adore Rihanna, Beyoncé ou Nicki Minaj. Tout d’abord pour ce qu’elles ont laissé dans la musique, dans la mode ou dans la pop culture mais encore plus parce que ce sont des femmes noires et c’est forcément un marqueur d’identification en plus. Ce sont des vraies femmes, business women, touche-à-tout, qui ne se sont jamais mis de barrières à cause de leur sexe. J’adore la rappeuse Shay aussi et son délire de Jolie Garce. Je trouve qu’elle a un côté super girl empowerment et gangster, elle apporte une bouffée d’air frais au paysage rap actuel.
C’est tout ce genre de femmes qui m’inspire, qui sont là et qui ont de la détermination. Je pourrais t’en citer plein comme Naomi Campbell ou encore Oulaya Amamra…”
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On commence ensuite à parler de féminisme, je lui demande quelle est sa définition du mouvement et ce qu’il en pense :  “Pour moi, le féminisme est un mouvement de femmes qui veulent être considérées égales et libres dans tous les domaines. C'est une prise de position envers cette société actuelle qui ferme les yeux sur certaines choses. Les hommes oublient trop souvent que c'est grâce aux femmes mais surtout grâce à leurs mères qu’ils sont les hommes d'aujourd'hui.”
“Pour moi une vraie meuf c'est une fille indépendante qui n'a pas peur de faire ce qu'il lui plaît sans se soucier de ce que pourrait penser les autres d'elle. Qui n'appartient pas à quelqu'un ou à une société, qui fait ce que bon lui semble.”
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ENGLISH VERSION (translated by Sophie)
Jason is an actor. He’s a member of the 1000 visages association, created by filmmaker Houda Benyamina (known for the movie Divines). The young man began his career as an extra in movies, before he began playing small roles in short films. « I chose this job because I always loved cinema and the theater ever since I was a kid. I started getting roles in plays in school, then independently with shootings. I also act in theater company Théâtre du MIDI in Chelles. » His second passion besides the theater and cinema is fashion. « I’ve always loved to draw. Fashion really is a way for me to express myself. I get most of my fashion ideas from characters in movies. »
While Jason tells me about a short film he was a part of, in which he was dressed and was wearing makeup in a feminine way, I take the opportunity and ask him about his definition of gender, and where he stands according to this definition. « To me, every man has a feminine side, and every woman has a masculine side. People can’t take their opposite side, yet no one is 100% man or woman. I believe the real problem lies in the definition people have of gender. For a long time, many people would tell me I had very fine features for a man, or that there was a bit of a feminine side to my figure. I made research and came across the concept of androgyny, and it really stood to me. I learned that to be androgynous doesn’t mean transsexual or drag queen, it’s merely someone who looks neither like a man or a woman, and who was born this way and accepts it. Later on, I was contacted by a director who wanted me to play an androgynous character. At first, I couldn’t see myself playing this role because of my religion and culture, but eventually I told myself… come on! Play it anyway! It can be interesting, and so I did. »
Who are the women that inspire me? « The first woman who inspires me is my mom, because of her style, but also because of her life journey, and of what she went through to give life to me. Otherwise, when it comes to women that aren’t close to me, my icon is Marilyn Monroe. I like her story and the impact that she had on cinema, and her way of being as a symbol. I really think that it’s thanks to her that women could find their place in cinema, and not have to play secondary roles anymore, and she’ll remain an icon. She was able to show she wasn’t only pretty and curvy, but also very talented. Another iconic woman who I really like is Grace Kelly who, just like Marilyn, really had an impact on her time, and was inspiring.
To refer to more contemporary women, I love Rihanna, Beyoncé or Nicki Minaj. First because of all the impact they had on music, fashion or pop culture, and even more because they are black women and that’s inevitably an indicator of identification. They are true women, business women, dabblers, who never let their gender stop them. I love the rapper Shay too and her whole Jolie Garce (Pretty Bitch) thing. I think she has this whole empowered super girl and gangster side, and she is a breath of fresh air in contemporary rap.
These type of women inspire me, those who show they’re here and that they are determined. I could tell you about many more such as Naomi Campbell or Oulaya Amamra… »
We than began discussing feminism, and I ask him about his definition of the movement and what he thinks of it: « To me, feminism is a movement in which women want to be considered equal and free in all fields. It’s a statement in this society that turns a blind eye to certain things. Men often forget that it is thanks to women, and especially to their mother that they are the men they are today. »
« To me, a real girl is an independent girl who isn’t afraid to do what she likes, without caring what other might think of her. Who doesn’t belong to anyone or to a society, who does whatever she pleases. »
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reseau-actu · 6 years
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L’ADN de Lulu et Nana a été modi­fié par le scien­ti­fique contro­versé He Jian­kui, et ces jumeaux nés en 2018 pour­raient aujourd’­hui possé­der un « super-cerveau ». À l’ori­gine, la muta­tion appor­tée aux gènes de ces bébés avait pour objec­tif de les proté­ger du virus du sida. Mais une étude publiée le 21 février 2019 sur le site spécia­lisé Cell souligne que le gène CCR5 améliore aussi les facul­tés cogni­tives.
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Ce gène faci­lite égale­ment la récu­pé­ra­tion après un acci­dent vascu­laire céré­bral, et serait même lié au bons résul­tats scolaires, selon la MIT Tech­no­logy Review. Les jumeaux nés en Chine en novembre 2018 pour­raient donc être les deux premiers humains dont la cogni­tion et la mémoire ont été géné­tique­ment stimu­lées et perfec­tion­nées. « La réponse est : oui, la modi­fi­ca­tion du CCR5 a bien affecté leur cerveau », a confirmé le neuro­bio­lo­giste Alcino J. Silva, ajou­tant qu’elle aurait un impact « impré­vi­sible » sur les fonc­tions cogni­tives des jumeaux.
Déjà très contro­ver­sée, cette modi­fi­ca­tion géné­tique vaut aujourd’­hui à He Jian­kui d’être surnommé « Fran­ken­stein » par ses pairs. Beau­coup soulignent que le scien­ti­fique n’a pas respecté les règles éthiques qui encadrent les trans­for­ma­tions du génome et une enquête est actuel­le­ment en cours en Chine. Assi­gné à rési­dence à Shenz­hen alors qu’une troi­sième nais­sance de bébé géné­tique­ment modi­fié est prévue, He Jian­kui devrait bien­tôt compa­raître devant la justice.
Sources : Cell / MIT Tech­no­logy Review
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lasauge · 7 years
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Portrait des 48h 2018 / Oasis Citadine à Montpellier
Découvre le portrait des associations coordinatrices des 48h de l'agriculture urbaine de chaque villes. Un bon moyen pour être au courant des évènements dans ta ville et de t’y impliquer !
Sébastien Girault, fondateur d’Oasis Citadine, coordinateur des 48h de l’Agriculture Urbaine à Montpellier.
> Peux tu nous présenter Oasis Citadine ?
Oasis Citadine est un concept innovant de ferme urbaine agroécologique et collaborative développé sur Montpellier. Les deux principaux objectifs du projet sont de rendre le rêve de jardin accessible à tous et de reconnecter les citadins à leur alimentation.
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> Pourquoi t’es tu lancé dans l’aventure de l’agriculture urbaine ?
Je me suis lancé dans l’aventure de l’agriculture urbaine car c’est un secteur d’activité porteur de sens et qui a des impacts positifs sur des thématiques qui me sont chers : le développement durable, l’alimentation, un monde plus équitable…
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> Et pourquoi as-tu choisi de participer aux 48h ?
Participer aux 48h, c’est à la fois l’occasion de fédérer les acteurs de l’agriculture urbaine dans ma ville et également un moyen de sensibiliser le grand public à leur capacité à « passer à l’action ».
> Que va-t-il va se passer dans ta ville pour les 48h 2018 ?
Installation d’une micro-ferme urbaine éphémère, un marché de producteurs, une projections d’un film suivi d’un débat, une  Farm Party endiablée et de nombreux autres ateliers organisés par nos partenaires.
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> As-tu un conseil à donner pour ceux qui aimeraient participer à l’aventure ?
Le seul conseil que j’ai: Réserve ton week-end du 21 & 22 avril et fonce participer à l’aventure ! Et si tu souhaites être bénévole sur Montpellier, envoies un mail à : [email protected]
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https://www.facebook.com/OasisCitadine/
https://oasiscitadine.fr/
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clemarn · 7 years
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Tanguy et Laverdure
Pour beaucoup de gens, prendre l'avion est synonyme d'ennui et d'attente. Mais pour moi, prendre l'avion aura désormais une saveur toute différente. Parce que, voyez-vous, le week-end dernier, j'ai volé à bord d'un avion très spécial : c'était en effet un avion de chasse, et j'ai pu goûter à son bord aux joies de la voltige ! Je l'ai fait à Reims, et ce fut clairement l'une des plus belles expériences de ma vie. Cette journée était fantastique au sens littéral du terme ! Le problème auquel je suis confronté désormais, c'est que je vais avoir du mal à trouver quelle activité complètement folle je vais bien pouvoir réaliser après ça. Parce que je les enchaîne, depuis quelques années. Faire de la voltige, goûter des sauterelles, partir en excursion en chameau dans le désert... Chaque fois que je peux pratiquer une activité étonnante, je fonce. Sans même réfléchir. Mes proches ont parfois du mal à me comprendre. Mais je n'ai pas toujours été comme ça, en réalité. Ce choix de vie a été déterminé par un événement bien précis. Il y a quelques temps, un de mes proches est décédé. C'est arrivé en un claquement de doigt. Cette disparition a eu un impact incroyable sur ma vie. Parce qu'elle m'a mis face à ma propre mort. Bon, ça ne m'avait pas échappé que je n'étais pas immortel. Mais ce n'était pas un fait que je sentais vraiment, jusqu'à cet accident. Après ce dernier, je ne pouvais pas ne pas réagir. Il est impossible vivre de façon normale, dès lors qu'on a conscience de la fragilité de toute vie : cette perception vous incite à moins hésiter avant de foncer. Si j'avais un seul conseil à vous donner, ce serait de vivre votre vie : ne procrastinez pas ; ne passez pas vos soirées sur votre canapé. Bougez, divertissez-vous, faites toutes les activités que vous croisez sur votre route. Avant que ce ne soit plus possible. Et si ce vol en avion de chasse vous donne des papillons dans le ventre, tentez-le ! Et si vous le faites à Reims, saluez donc le pilote de ma part. ;-) Retrouvez toutes les infos sur cette expérience de baptême de l'air en avion de chasse en suivant le lien.
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npsnhaprogram · 7 years
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MDNHA Receives National Park Service Centennial Award for Oral History Program
CLEVELAND, MS. (October 11) - The Delta Center for Culture and Learning at Delta State University and the Mississippi Delta National Heritage Area recently received 2016 National Park Service Centennial Awards for creating the Delta Jewels Oral History Partnership.
The cultural heritage interpretation project honors the lives of unsung Mississippi Delta church mothers featured in Delta Jewels: In Search of My Grandmother’s Wisdom, a book by Pulitzer Prize-winning photojournalism professor Alysia Burton Steele. The MDNHA was the only National Heritage Area to receive a NPS Centennial Award this year.
“We are honored to receive this esteemed recognition from the National Park Service for this important cultural heritage development project,” said Dr. Rolando Herts, director of The Delta Center and executive director of the MDNHA. “The fact that Delta State and the MDNHA are acknowledged together truly demonstrates the power of partnerships and collaboration when telling the Delta’s story.”
For 18 months in 2015 and 2016, the Delta Jewels Oral History Partnership’s community gatherings engaged over 1,000 Mississippi Delta residents, visitors and supporters. The gatherings took place in diverse, welcoming venues throughout the state including universities, churches and tourism and cultural centers.
“We are thrilled with the results of the Delta Jewels partnership,” said Dr. Myrtis Tabb, chair of the MDNHA. “This program was one of our very first and was extremely successful right off the bat. We are eager to build upon that success with continued partnerships that will help share the diverse stories of the Mississippi Delta.”
The Delta Center continued to host presentations with Steele in 2017, which have focused on community impacts documented in the Delta Jewels Oral History Partnership 2015-2016 Report.
Most recently, these have taken place at the National Heritage Areas Southeast Region workshop in Atlanta, Georgia; the Smithsonian African American Interpretation Workshop in Charleston, South Carolina; the NPS Collaboration Clinic in Biloxi, Mississippi; and the Association for African American Museums conference in Washington, D.C. In addition, Herts and Steele have been invited to present at the upcoming Oral History Association conference in Minneapolis, Minnesota.
“We have used the report as an interpretive and educational resource, which enhances the storytelling experience,” said Steele. “In addition to photos from the community events, the report includes survey results from participants. An overall program rating of 4.9 out of 5 clearly indicates that sharing the Delta Jewels’ oral histories have had positive impacts in the communities we engaged.”
The MDNHA and The Delta Center commemorated the 2016 NPS Centennial through other projects and events. Together, they organized an opening reception with Delta State University’s 2015 Winning the Race conference featuring former NPS director Bob Stanton.
In addition, the MDNHA Passport to Your National Parks program attracted NPS Centennial travelers, and a MDNHA promotional video was screened at a NPS Centennial film festival in Atlanta. Since its release, the video has been viewed over 20,000 times on social media.
The Delta Jewel Oral History Partnership 2015-2016 report is available online at The Delta Center. View the MDNHA promotional video on their homepage.
The mission of The Delta Center is to promote greater understanding of Mississippi Delta culture and history and its significance to the world through education, partnerships and community engagement. The Delta Center serves as the management entity of the MDNHA and is the home of the International Delta Blues Project and the National Endowment for the Humanities “Most Southern Place on Earth” workshops.
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uxlead · 8 years
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MON ECHO Sébastien Deletaille, 32 ans, cofondateur et CEO de Real Impact Analytics. © © Kristof Vadino "Si rien ne change, dans vingt-cinq ans, l'Eu­rope n'exis­tera plus" Sé­bas­tien De­le­taille, le pa­tron et co­fon­da­teur de Real Im­pact Ana­ly­tics, est un des chefs d'en­tre­prise les plus en vue de sa gé­né­ra­tion. Sa so­ciété, spé­cia­li­sée dans l'ana­lyse des don­nées ("big data"), compte parmi ses clients les cinq plus grands opé­ra­teurs de té­lé­coms du monde. Huit ans après sa créa­tion, elle em­ploie plus de 120 per­sonnes. Ce jeune CEO issu de la Sol­vay Bu­si­ness School, épin­glé "In­no­va­tor" par la pres­ti­gieuse MIT Tech­no­logy Re­views, est un ac­teur de la ré­vo­lu­tion di­gi­tale. Vingt-cinq ans après la si­gna­ture du Traité de Maas­tricht, L'Echo lui a de­mandé d'ima­gi­ner l'Eu­rope de de­main. Nous sommes dans vingt-cinq ans, en 2042. Quelle Eu­rope voyez-vous? L'Eu­rope de 2042, telle que l'ima­gine, sera pion­nière dans l'uti­li­sa­tion de la tech­no­lo­gie pour l'hu­main. Ce sera la seule par­tie du monde ayant re­jeté l'ac­cu­mu­la­tion du ca­pi­tal pour le ca­pi­tal et des tech­no­lo­gies pour leurs ef­fets per­vers. Cette Eu­rope-là aura osé faire l'ex­pé­rience, peut-être dou­lou­reuse, de re­dé­fi­nir la ma­nière de fonc­tion­ner en­semble. C'est quelque chose que les Amé­ri­cains et les Chi­nois ne com­prennent pas. Nous sommes les seuls à nous in­té­res­ser au vivre en­semble, à ce qui nous unit. Les tech­no­lo­gies vont-elles re­mo­de­ler la so­ciété? La ré­vo­lu­tion di­gi­tale va nous frap­per de plein fouet, et bien avant cette date. Dans les dix pro­chaines an­nées, la tech­no­lo­gie de­vien­dra aussi om­ni­pré­sente et in­vi­sible que l'élec­tri­cité l'est au­jour­d'hui. Nous ver­rons émer­ger la ro­bo­tique et ex­plo­ser des ré­flexes tech­no­lo­giques dont l'évo­lu­tion va conti­nuer pen­dant 20 ans. Mon petit frère, qui a 8 ans de moins que moi, n'a pas d'e-mail. Il uti­lise Mes­sen­ger, Snap­chat et com­mu­nique plus par photo que par vo­ca­bu­laire. Dans quelles condi­tions vi­vrons-nous? Les villes se­ront in­tel­li­gentes, les mai­sons se­ront connec­tées, tout y sera di­gi­tal. Les té­lé­phones mo­biles se­ront in­té­grés dans le corps et uti­li­sés par com­mande men­tale. La mé­de­cine sera dif­fé­rente. Nous au­rons des "de­vices" dans le corps pour nous soi­gner. Nos en­fants n'ap­pren­dront plus de langue, les ma­chines tra­dui­ront. Quelles se­ront les consé­quences de cette évo­lu­tion? Cela va for­cer une vraie ques­tion de so­ciété et une re­mise en cause de nos hy­po­thèses de fonc­tion­ne­ment. Pour l'ins­tant, nous tra­vaillons pour deux rai­sons: trou­ver un sens à notre vie et créer de l'ar­gent pour fonc­tion­ner. À par­tir du mo­ment où l'au­to­ma­ti­sa­tion de masse et la tech­no­lo­gie nous ren­dront mille fois plus pro­duc­tifs, la ques­tion de notre tra­vail va se poser. Faut-il mieux le ré­par­tir? Tra­vailler moins? On va enfin se poser la ques­tion de la ma­nière dont on in­ter­agit avec la pla­nète et com­ment as­su­rer son re­nou­vel­le­ment. On va sor­tir du ca­ne­vas où la tech­no­lo­gie est uti­li­sée à des fins d'ac­cu­mu­la­tion de ri­chesses pour une in­fime par­tie de la so­ciété. Les gains de la tech­no­lo­gie se­ront ré­in­ves­tis pour le bien-être de la so­ciété. L'Eu­rope doit avoir des ré­ponses dif­fé­rentes du reste du monde. Ces ré­ponses vont venir du peuple, du bas de la py­ra­mide, et non des ins­ti­tu­tions. Ce chan­ge­ment est-il in­évi­table? C'est un mé­ca­nisme forcé. En Grèce, le taux de chô­mage est de 24%. C'est le taux à par­tir du­quel les ins­ti­tu­tions com­mencent à trem­bler. Sa­vez-vous qu'à Bruxelles, le chô­mage est de 20% et, selon les ori­gines, on peut at­teindre 40%? C'est in­te­nable. Ma pré­dic­tion, c'est que la confron­ta­tion so­ciale aura lieu. J'ai­me­rais que l'in­verse se passe, qu'on me prouve que j'ai tort et qu'on ar­rive à un mé­ca­nisme de pré­ven­tion. Mais pour cela, il fau­drait que l'Eu­rope change son lea­der­ship, son ap­proche de la tech­no­lo­gie et de la com­mu­ni­ca­tion avec ses ci­toyens. Com­ment sera l'en­tre­prise du futur? La tech­no­lo­gie va chan­ger tous les codes aussi, je me de­mande si l'en­tre­prise telle qu'on la conçoit exis­tera en­core. Je pense que ce sera plu­tôt une com­mu­nauté de gens ayant des ob­jec­tifs en com­mun et que le chef d'en­tre­prise sera rem­placé par le lea­der de la com­mu­nauté. Com­ment vont-elles gé­né­rer du pro­fit? Est-ce que le pro­fit sera en­core im­por­tant? Vous pro­vo­quez, là... Oui. Mais re­gar­dez ces der­nières an­nées ce que la tech­no­lo­gie a ap­porté. Des pans en­tiers de l'in­dus­trie se sont re­mo­de­lés en un de temps ja­mais vu. L'in­dus­trie de la mu­sique, le jour­na­lisme... tout a été changé. Nous pas­sons d'une culture où les gens sont pro­prié­taires à une culture où ils de­viennent uti­li­sa­teurs. Et ce n'est que le début, car la ten­dance s'ac­cé­lère. La pro­priété de­vien­drait ob­so­lète? Elle l'est déjà. Les jeunes passent de moins en moins leur per­mis de conduire, ils ne voient pas l'in­té­rêt d'avoir une voi­ture. Ils uti­lisent les trans­ports en com­mun, par­tagent leur voi­ture avec Uber. [...] la suite sur le lien
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