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#incertitude en carrière
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Pape Gueye ne prolongera pas son contrat à l'OM
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Pape Gueye s'apprête à quitter l'Olympique de Marseille (OM) à la fin de ce mois de juin. Après quatre saisons passées au sein du club phocéen, son contrat arrive à échéance, et Pape Gueye a choisi d'annoncer son départ via son compte Instagram. Dans un message, il a exprimé sa gratitude envers les supporters, ses coéquipiers, et le staff du club. Pape Gueye ne prolongera pas son contrat Arrivé de Ligue 2 il y a quatre ans, Pape Gueye a rapidement su s'imposer à l'OM. Accueilli chaleureusement par les supporters marseillais, il a eu l'occasion de jouer ses premières minutes en Ligue 1 sous les couleurs de l'OM. Sa progression a été fulgurante, et il a même eu l'opportunité de participer à des matchs de Ligue des champions, un accomplissement majeur dans sa carrière. Au cours de ses quatre années passées à Marseille, Pape Gueye a traversé des moments difficiles. Le soutien inconditionnel des supporters a été une source de réconfort et de motivation pour lui. Il garde des souvenirs inoubliables du stade Vélodrome, où il a vécu des émotions intenses et des moments marquants qui resteront gravés dans sa mémoire, a-t-il écrit. Lire aussi : Eliesse Ben Seghir opte pour la prolongation de son contrat avec l'AS Monaco au delà de 2025 Prêt au Séville FC et incertitude sur l'avenir Durant son passage à l'OM, Pape Gueye a également été prêté pendant six mois au Séville FC. Cette expérience en Espagne lui a permis de se développer davantage en tant que joueur. Mais son avenir reste incertain, puisqu'il n'a pas encore annoncé quel sera son prochain club. Des rumeurs laissent entendre que Villarreal pourrait être une destination probable, où il retrouverait son ancien entraîneur Marcelino. Les négociations pour une prolongation de contrat entre Pape Gueye et les dirigeants marseillais n'ont pas abouti. Malgré les efforts des deux parties, aucun accord n'a été trouvé, ce qui a conduit à la fin de son aventure marseillaise. Pape Gueye a exprimé sa gratitude envers l'OM. Voir également : Quelle est la meilleure équipe de l’Euro 2024 ? Une fin d'ère pour l'OM Le départ de Pape Gueye marque la fin d'une ère à l'OM. Au cours de ses quatre saisons, il a participé à tous les grands moments du clun marseillais. Les spéculations sur son avenir continuent de circuler, mais une chose est sûre : son passage à Marseille ne manquera pas de lui ouvrir de belles perspectives. Les supporters marseillais se souviendront de Pape Gueye non seulement pour ses performances sur le terrain, mais aussi pour son engagement et sa détermination. Alors qu'il se prépare à tourner la page, l'OM et ses fans lui souhaitent le meilleur pour la suite de sa carrière. Read the full article
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semena--mertvykh · 1 year
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Bilan définitif
Début juillet, j'ai regardé plusieurs vidéos où des professeurs de l'Université de Nanterre parlent de leur thèse et reviennent sur leur carrière. Beaucoup sont normaliens, tous agrégés évidemment. Tous retracent un parcours linéaire, il ne fait aucun doute pour eux que c'était écrit, globalement ; satisfaits d'avoir suivi un chemin "traditionnel", comme ils disent, soit qu'ils aient oublié les angoisses et les incertitudes liées aux vicissitudes des concours, soit qu'ils aient réellement vécu cette chose ahurissante à mes yeux : un parcours non chaotique où çà déroule tranquille, où on a la chance d'être au bon endroit au bon moment.
Quand j'étais en Terminale, il y avait une fille toujours flanquée de sa prof de français, on disait d'elle qu'elle préparait khâgne ou hypokhâgne (impossible de se rappeler lequel venait en premier). Dans mon lycée de cas sociaux, elle arrêtait les conversations comme une apparition de la Vierge, toujours plus ou moins lévitant à quelques centimètres au dessus du sol, on la regardait passer, mesmérisées, et si tu nous avais dit : "Ah tiens, cette fille, l'année prochaine, elle va sur la Lune", on n'aurait pas été plus abasourdies. Les péquenaudes mâchouillantes.
La même année, avec Souad, on avait remonté le cours de Vincennes dans un caddie abandonné à 1 heure du matin ; Souad assise dedans, je poussais pour prendre de l'élan et je m'appuyais en suspension sur la barre, bras-tendus-gainée comme on nous avait appris à le faire aux agrès. Il fallait mettre la gomme les premiers mètres, mais ensuite on jouissait de quelques secondes en apesanteur et alors, on pouvait oublier les petits larbins de la police des mœurs qui patrouillaient sans arrêt autour de nous, "T'as perdu ton chien ?" quand l'un d'eux nous sifflait, les insultes il fallait pas répondre, et puis ces connards étaient trop paresseux pour nous courir après ; on écoutait Dans le jardin d'Allah cette nuit-là, je me souviens, sur son petit ghetto blaster, en beuglant le refrain - c'était çà qu'on écoutait le plus, à l'époque, Ludwig Van 88, Soon E MC et Elucider ce mystère, et tout "Blood Sugar Sex Magic" bien sûr - et voilà ce que ces salopards détestaient le plus : qu'on fasse du bruit et qu'on soit heureuses de vivre. Il faisait chaud et un tapin sur le trottoir nous avait jeté un pur regard de haine quand on était passées devant elle, Souad gloussait : "Mais pourquoi on rit au fait ?", ses grandes dents luisaient sous les réverbères et quand je prenais son visage entre mes mains, ses joues étaient douces comme un vélin. Pauvre Souad.
Lorsqu'il m'avait reçue dans son bureau, le 9 janvier, Sexy m'avait dit une chose curieuse. Je lui expliquais que j'avais peu de chances d'intégrer l'EHESS (tu m'étonnes) parce que, d'abord, je n'avais pas fait de prépa, et puis surtout je ne venais pas d'une famille d'universitaires. Sexy avait eu un léger sourire en détournant les yeux vers son écran, et puis il avait glissé que çà ne marchait pas comme çà - sous-entendu : par piston. Sa réaction m'avait vexée, il avait dû croire que je faisais référence à une organisation des choses népotique ; vision typique des classes populaires où tout se règle encore par recommandations et lettres de références, dans des études lambrissées au parquet qui craque, comme dans un vieux film avec Louis Jouvet... Alors que je faisais tout bêtement référence à un mécanisme de reproduction des élites.
Pourquoi j'ai toujours envie de pleurer en repensant à cet entretien ? Çà va passer.
J'avais voulu lui répondre : "Mais enfin, vous avez lu Bourdieu, non ? Vous avez vu "Première année ?". Je n'invente rien" et puis j'avais laissé courir. J'étais tellement heureuse de l'avoir pour moi quelques minutes ; j'avais tellement de choses à lui dire et il me restait si peu de temps.
Je suis en train de m'apercevoir qu'on avait probablement fait la même erreur, lui et moi, on avait plaqué sur l'autre un logiciel erroné : il avait dû me voir naïve et inexpérimentée comme ses jeunes élèves, je l'avais pris pour un de ces quinquas bas de gamme à la Vincent Cassel qui trouvent que les femmes de leur âge sont trop vieilles pour eux.
(et peut-être bien qu'il préfère les minets de trente ans. Mais alors, hein : chacun sa merde)
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Maigre consolation, on a une chose en commun désormais.
Oh putain, pourquoi je suis revenue sur cette scène-là ? Maintenant je me sens vraiment mal.
Viens, on fout le camp de ce bureau. Viens.
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dubalaivrac · 2 years
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Dimanche 5 mars 2023, Théâtre de la Renaissance à Oullins (Rhône), où l’Opéra de Lyon présente Mélisande, une recomposition de l’oeuvre de Debussy à la mise en scène et à la partition tout à fait chamboulées, par Richard Brunel, pour un spectacle amaigri, nerveux et intrigant. Le tout, partition et travail théâtral, resserré autour de la figure de Mélisande, infiniment gracieuse et légère, qui occupe tout l’espace. Surveillez les dates de tournée, ça vaut le coup, et par exemple aux Bouffes du nord, à Paris, jusqu’au 19 mars.
Ça n’a pas grand chose à voir avec les Pelléas ordinaires, effrayants Golaud ou Mélisande symbolistes et languides. C’est plutôt du théâtre musical (cinq instruments sont sur scène, montés sur roulettes, rendus très présents dans le drame : saxo, percussions, violoncelle, harpe et accordéon. Ce dernier, monocorde le plus souvent, donnant le ton : une phrase sombre et simple accompagnant les personnages), aux  rares parties chantées. Richard Brunel avait expérimenté ce genre de formule de variation à Valence, quand il dirigeait la Comédie du lieu. L’artiste en résidence était alors Samuel Achache, petit prince de ce genre de folie musicale, à la fois foutraque et raffinée, qui y avait monté un Didon et Enée de même inspiration. Et ce n’est pas un hasard si on retrouve à Oullins une Mélisande qui en était passé par là, par Valence : Judith Chemla. Tendue, émouvante, diseuse, chanteuse, et danseuse. D’ailleurs c’est aussi par la danse qu’elle séduit Pélleas, sinueuse et déliée, dans une très belle et très prenante chorégraphie ‘aux cheveux’, où elle emprisonne son amant, comme une Salomé ensorceleuse. Ça passe sans cesse de l’un à l’autre : Pelléas tient la partie de saxo et on a ainsi l’illusion que Mélisande séduit un des musiciens du quintette.
Golaud, l’effrayant Golaud qu’on connaît, n’est plus que le diseur de son chagrin et de sa jalousie, voix pâle et défaite, quasi neutre. Impuissant à contenir son destin, comme impuissant à chanter...Contraste avec un Pélléas jeune et clair, attirant, innocent, à l’innocence de qui Mélisande ne peut que se laisser aller (tant il chante bien, et clair).
Mais ce Mélisande n’est pas une réduction du drame, ni de l’opéra de Debussy, un résumé pour mieux se faire comprendre, une version courte, c’est plutôt une variation, une interprétation. Tout est très mêlé, intime et dense. Cohérent : malade en blouse blanche, mourante et alitée au début et à la fin, Mélisande est en couleur quand elle aime, quand elle séduit. En rouge quand Gaulaud la violente. Et Richard Brunel lui laisse chanter ce beau vers, hymne stratégique (et comique) du mensonge amoureux :’je ne mens jamais, je ne mens qu’à ton frère.’ Incertitude de Mélisande : ment-elle toujours à Golaud ?..
Le Journal Le Monde vient de faire paraître (Vendredi 10 mars) un portrait très intéressant de Judith Chemla, qui retrace sa carrière et la laisse (bien) parler des enjeux des grands rôles féminins qu’elle aborde : ‘c’est impressionnant tout de même, à quel point les femmes peuvent mettre leur vie en jeu dans l’amour, et à quel point les héroïnes qui abandonnent tout pouvoir et se donnent à un homme sont glorifiées, mythifiées’ La grande qualité de ce spectacle est peut-être là : rendre sensible et vivant, plus touchant encore, le mythe de Mélisande.
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news24fr · 2 years
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Joe Biden a informé le Congrès lundi qu'il mettrait fin aux urgences nationales jumelles pour lutter contre Covid-19 le 11 mai, car la majeure partie du monde est revenue plus près de la normale près de trois ans après leur première déclaration.La décision de mettre fin aux déclarations d'urgence nationale et d'urgence de santé publique restructurerait officiellement la réponse fédérale au coronavirus pour traiter le virus comme une menace endémique pour la santé publique qui peut être gérée par les autorités normales des agences."Je devais assumer ma responsabilité": Fauci sur sa carrière, Covid et sa démissionLire la suiteCela survient alors que les législateurs ont déjà mis fin à des éléments des urgences qui ont assuré l'assurance de millions d'Américains pendant la pandémie. Combiné avec le retrait de la plupart des fonds fédéraux de secours Covid-19, cela éloignerait également le développement de vaccins et de traitements de la gestion directe du gouvernement fédéral.L'annonce du président intervient dans une déclaration s'opposant aux résolutions présentées cette semaine par les républicains de la Chambre pour mettre fin immédiatement à l'urgence. Les républicains de la Chambre se préparent également à lancer des enquêtes sur la réponse du gouvernement fédéral à Covid-19.Le président de l'époque, Donald Trump, a déclaré pour la première fois la pandémie de Covid-19 une urgence nationale le 13 mars 2020. Les urgences ont été prolongées à plusieurs reprises par Biden depuis son entrée en fonction en janvier 2021 et devraient expirer dans les mois à venir. La Maison Blanche a déclaré que Biden prévoyait de les prolonger brièvement jusqu'au 11 mai."Une fin brutale des déclarations d'urgence créerait un chaos et une incertitude à grande échelle dans tout le système de santé - pour les États, pour les hôpitaux et les cabinets de médecins, et, plus important encore, pour des dizaines de millions d'Américains", a déclaré le bureau de gestion et budget écrit dans un énoncé de politique administrative.Le Congrès a déjà émoussé la portée de l'urgence de santé publique qui a eu l'impact le plus direct sur les Américains, alors que les appels politiques à mettre fin à la déclaration se sont intensifiés. Les législateurs ont refusé pendant des mois de répondre à la demande de l'administration Biden de milliards de dollars supplémentaires pour étendre les vaccins et les tests Covid gratuits. Et le paquet de dépenses de 1,7 milliard de dollars adopté l'année dernière et promulgué par Biden a mis fin à une règle qui interdisait aux États d'expulser les gens de Medicaid, une décision qui devrait voir des millions de personnes perdre leur couverture après le 1er avril.Les coûts des vaccins Covid-19 devraient également monter en flèche une fois que le gouvernement cessera de les acheter, Pfizer affirmant qu'il facturera jusqu'à 130 dollars la dose. Seuls 15% des Américains ont reçu le rappel recommandé et mis à jour proposé depuis l'automne dernier.Une fois l'urgence expirée, les personnes bénéficiant d'une assurance privée devront débourser des frais pour les vaccins, les tests et les traitements, tandis que les non-assurés devront payer ces dépenses dans leur intégralité.Les législateurs ont étendu les flexibilités de télésanté qui ont été introduites lorsque Covid-19 a frappé, conduisant les systèmes de santé du pays à fournir régulièrement des soins par smartphone ou ordinateur.L'administration Biden avait précédemment envisagé de mettre fin à l'urgence l'année dernière, mais a attendu au milieu des inquiétudes concernant une éventuelle «augmentation hivernale» des cas et de donner suffisamment de temps aux prestataires, aux assureurs et aux patients pour se préparer à sa fin.Un haut responsable de l'administration a déclaré que les trois mois jusqu'à l'expiration marqueraient une période de transition où l'administration "entamera le processus d'une réduction opérationnelle en douceur des flexibilités permises par les déclarations d'urgence de Covid-19".
Le responsable a parlé sous couvert d'anonymat pour discuter de l'annonce avant sa publication.Plus de 1,1 million de personnes aux États-Unis sont décédées de Covid-19 depuis 2020, selon les Centers for Disease Control and Prevention, dont environ 3 700 la semaine dernière.Le nombre de cas a eu tendance à baisser après une légère hausse pendant les vacances d'hiver et est nettement inférieur aux niveaux observés au cours des deux derniers hivers – bien que le nombre de tests effectués pour le virus et signalés aux responsables de la santé publique ait également fortement diminué.Quelques instants avant l'annonce de la Maison Blanche, le représentant Tom Cole, un républicain de l'Oklahoma, a accusé le président d'avoir prolongé inutilement l'urgence de santé publique pour prendre des mesures sur des questions telles que l'annulation de certaines dettes fédérales de prêt étudiant."Le pays est en grande partie revenu à la normale", a déclaré Cole lundi, présentant un projet de loi soutenu par les républicains appelant à la fin de l'urgence sanitaire. "Les Américains de tous les jours sont retournés au travail et à l'école sans aucune restriction sur leurs activités. Il est temps que le gouvernement reconnaisse cette réalité : la pandémie est terminée.
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carolinehoude · 4 years
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Artistes et travailleurs culturels : avancer et se développer malgré l’incertitude
Artistes et travailleurs culturels : avancer et se développer malgré l’incertitude
Source: Pexels (image libre d’utilisation). Artiste: Cottonbro. Il y a longtemps que les secteurs artistiques et culturels figurent parmi les plus incertains.  Il s’agit d’ailleurs d’un sujet ayant déjà été abordé sur ce blogue et maintes fois dans le cadre de mon travail en formation et en accompagnement individuel.  Certes, ma situation de travailleuse culturelle indépendante et de mère…
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affairesasuivre · 4 years
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MATT ELLIOTT – FAREWELL TO ALL WE KNOW (ici d’ailleurs, 2020)
Guitare espagnol en bandoulière, l’ex Third Eye Foundation, signe un somptueux disque folk crépusculaire, sous le haut-parrainage du Field Etrange trajectoire que celle du britannique Matt Elliott. Apparu au milieu des années 90 avec Third Eye Foundation, le Bristolien fut inévitablement associé géographiquement au mouvement Trip Hop. Même si rétrospectivement, son univers lorgnait davantage vers la Drum’ n’ Bass. Et puis sa carrière solo fit comme l’effet d’un rejet violent de tout son attirail Hi-Tech accumulé, opérant une épuration drastique, concentrée sur le songwriting. 
Avec son bien nommé second album, Drinking Songs (2005), Matt Elliott s’était réinventé autour d’une identité forte : une voix de pilier de comptoir, un décorum folklorique dépravé, imbibé d’une guitare flamenca et d’un bandonéon. Une image de biturin dépressif qu’il prolongera sur les albums suivants. De fait, le lorrain d’adoption fait parti de ses personnalités qui n’ont jamais vraiment été à leur place dans le paysage, mais de fait en impose par leur poésie marginale.Sur son huitième album, Farewell to All We Know, le Britannique semble avoir définitivement cuvé de sa période Tom Waits. Mais si moins affecté ou pesant, son vague-à l’âme reste bien là, dérivant doucement vers un état de grâce solitaire. Une ambiance brumeuse domine ces dix titres enregistrés aux côtés d’un comité restreint : David Chalmin au piano, de Gaspar Claus au violoncelle et Jeff Hallam à la basse (Dominique A, John Parish…). Une esthétique vaporeuse donc, à l’image de cette pochette signée de la peintre sicilienne Samantha Torrisi où une silhouette se dessine au loin dans les bois. A la 7e plage de l’album, le blizzard orchestré de “Can’t Find Undo” cerné de fantômes glaçants, donne à ce tableau une résonance troublante.Avec pour modeste accompagnement un duo de six-cordes nylon, quelques notes discrètes de piano égrenées en arrière-plan, sa voix grave et lente, Matt Elliott s’inscrit avec  Farewell to All We Know dans la famille des premiers albums du Field Commander, Leonard Cohen. Mais une oeuvre également cousine du magistral Admiral Fell Promises de Sun Kil Moon, et l’ultime Smog, A River Ain’t Too Much to Love. Pour ce vague à l’âme promené sur des arpèges boisés et aristocratiques, imposant dès le renversants triplé “What Once Was Hope”, “Farewell To All We Know” (et son envolée majestueuse à la Sigur Ros), “The Day After That”.  Si le titre du nouvel album de Matt Elliott, pourrait paraître prémonitoire en ces temps difficiles et reclus, il faut n’y voir pourtant aucun désir d’anticipation. Car le musicien a fait de l’autarcie son domaine musical de prédilection, ce depuis ses débuts en solo voilà déjà près de vingt ans. L’Anglais solitaire y parle avant tout de ses incertitudes, qu’elles soient introspectives ou sur l’état de ce monde, et ses silences entre les mots parfois en disent plus long que n’importe quelle réponse.  Pour ne pas refermer ce tableau sur un noir définitif, ces « Adieux en grande pompe »  se termine sur une note d’espoir, avec « The Worst Is Over ». Car une fois tombé au plus bas, on ne peut que remonter.
PAUL RAMONE14 AVRIL 2020ANNÉE 2020
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claudeldesr · 5 years
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#covid19, 2e partie | allons, nous avons à faire
Les discussions se multiplient, les questions aussi. Les pensées tournent, les scénarios se créent. Les nouvelles, elles, n’arrêtent jamais.
Écrire, pour essayer d’organiser un peu tout ce tourbillon.
Qu’est-ce qu’il en restera dans quelques années? Difficile à dire. Cette crise crée des centaines de sans précédent. Des premières fois à la tonne. 
La première crise de cette ampleur, à l’heure du numérique, où bien confortables à la maison, nous n’avons peu de choix autre que de consommer de façon compulsive les chaînes d’information, les médias sociaux, les courriels, les sites internets, l’opinion d’un notre troisième voisin et l’avis de notre matante. (Je remercie au passage déjà ceux et celles qui sont très assidus dans la création de memes - un instant de bonheur certain).
La première crise, qui contrairement à l’Ebola ou au Zika, nous touche possiblement de beaucoup plus près, qui semble progresser plus rapidement dans l’hémisphère nord, et qui tend vouloir s’attaquer aux systèmes de santé qu’on admirait. 
Ma première crise, comme professionnelle de la santé, comme médecin-résidente encore en formation, agissant à la fois comme une ressource pour des proches, mais aussi comme éponge à apprendre. Revoir les rudiments de la réanimation, repenser à ses doses de médicaments pour l’intubation, faire des appels téléphoniques à la place de voir ses patients, se demander comment notre pratique sera appelée à changer. Être assez dans le système pour avoir une idée du chaos qui s’en vient, être assez connectée pour avoir de l’information ici et là, pour connaître nos limites, de nos tests de dépistage, de nos médicaments, mais nos forces aussi. Être assez près de la fin de sa formation pour avoir imager très rapidement ce que ça veut dire “être très malade, et très rapidement”. 
C’est quelque chose quand même d’être là, de se dire qu’on sera sur la première ligne, sur le front. Autant que notre volonté de soigner, j’ai l’impression que nous serons confrontés rapidement aux limites de nos soins. 
Je lisais un article du Washington Post cette semaine, écrit par une médecin de famille des États-Unis:
Doctors and nurses see news from our colleagues in China, South Korea and Italy, letting us know in no uncertain terms what is coming. The result is that we are all feeling the psychological ramifications of the trauma. We just haven’t experienced the trauma yet.
Il y a quelque chose de si vrai. L’anxiété de beaucoup est élevée. Les médecins aiment savoir, aiment comprendre, aiment leurs algorithmes. Et là, c’est beaucoup d’inconnu, beaucoup d’incertitude. Nous jonglons avec l’incertitude au quotidien, la base de notre formation, surtout en première ligne, est d’apprendre à jongler avec cette incertitude, ces zones grises. C’est comme toute l’incertitude possible d’une carrière dans quelques semaines. Un surdosage.
Je me dis, pour l’instant que j’ai encore “la chance” de pouvoir aller travailler et d’être en contact avec des gens, des équipes dévouées, de sortir de la maison. J’espère ne pas attraper la covid19, mais comme plusieurs, mon risque élevé. Je souhaite surtout ne pas devenir une porteuse sans symptôme. J’ai même annulé un voyage en Outaouais chez mes parents: pas question que je les mette plus à risque qu’ils ne le sont déjà. 
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J’ai eu quelques jours de congé, un repos avec une balade en forêt, quelques joggings à l’extérieur, des verres avec des amis par Facetime, des livres entamés et terminés, une chanson qui joue en boucle, de la compote sur le rond, une quiche dans le four. Les examens reportés, les événements annulés, le magasinage proscrit, les bars fermés, les courriels autre que ceux portant sur le covid trop rares, il reste soudainement beaucoup de temps pour “le reste”, pour réapprendre à être.
Loin de la maison, en stage hors de la ville, je regrette ne pas avoir amené certains bouquins avec moi. Heureusement, j’ai pu retrouvé facilement sur internet un des passages les plus poignants de La Peste (Albert Camus):
Rieux se leva, avec un air de soudaine lassitude.
- Vous avez raison, Rambert, tout à fait raison, et pour rien au monde je ne voudrais vous détourner de ce que vous allez faire, qui me paraît juste et bon. Mais il faut cependant que je vous le dise : il ne s'agit pas d'héroïsme dans tout cela. Il s'agit d'honnêteté. C’est une idée qui peut faire rire, mais la seule façon de lutter contre la peste, c'est l'honnêteté.
- Qu'est-ce que l'honnêteté ? dit Rambert, d'un air soudain sérieux.
- Je ne sais pas ce qu'elle est en général. Mais dans mon cas, je sais qu'elle consiste à faire mon métier.
- Ah ! dit Rambert, avec rage, je ne sais pas quel est mon métier. Peut-être en effet suis-je dans mon tort en choisissant l'amour.
Rieux lui fit face :      
- Non, dit-il avec force, vous n'êtes pas dans votre tort.
Rambert les regardait pensivement.
- Vous deux, je suppose que vous n'avez rien à perdre dans tout cela. C’est plus facile d'être du bon côté.
Rieux vida son verre.
- Allons, dit-il, nous avons à faire.
  Il sortit.
De retour à l’hôpital demain. Je ne sais pas exactement quand j’en ressortirai, ni ce que je m’apprête à affronter. 
Alors, allons, nous avons à faire.
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claudehenrion · 5 years
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God save the Queen... et nous avec, s'il n'est pas trop tard !
  Nous avions parlé il y a peu de l'espèce de ''désengagement de tout'' qui semble devenir un des marqueurs de la jeunesse actuelle : ''ne pas faire comme Papa'' paraît être un signe de ralliement caractéristique du temps et telles notions qui paraissaient ''aller de soi'' pour les générations antérieures, comme ''Droits'' et ''Devoirs'' ou ‘’Intérêt général’’, ne font plus partie de la culture des plus jeunes générations... si tant est qu'on puisse continuer à parler de ''culture'' pour désigner leur recours permanent à Google, la ''culture'' ayant d'ailleurs été bannie des instances officielles, des concours d'Etat, de Sciences Po et de  l'ENA en sursis.
  Le micro cataclysme qui vient de secouer la royauté britannique, ce ''divorce de leurs responsabilités'' revendiqué par Harry et Meghan, est révélateur du conflit de générations qui fragilise surtout les démocraties occidentales. Le monde entier en a frémi : le duc et la duchesse de Sussex ont annoncé la semaine dernière qu'ils désiraient "se mettre en retrait de leur rôle de représentants de la famille royale" et voulaient "devenir financièrement indépendants" (avec quelques ''bémols'', tout de même !). Cette attitude a choqué la grande majorité de la population britannique, à l'exception des ''millennials'', ce qui ne devrait pas surprendre outre mesure.
  Ceux qu’on appelle ''les Millennials'' ou ''Génération Y'', sont nés entre 1981 et 1996 (Harry est né en 1984 et Meghan en 1981). Ce sont des enfants de soixante-huitards qui ont gardé de leurs parents un désir d’autonomie et un fort besoin de mettre en cause ce qui leur est légué. Ils ont également tendance à se méfier de l’individualisme absolu, dont ils ont pu mesurer les dégâts chez leurs parents. La vie ne consiste plus, pour eux, en une succession d'engagements sincères : dans la vie privée ou professionnelle, ils ne donnent qu’une partie d’eux-mêmes. Il faut dire que, ''sujets'' de l’ère numérique, ils ont vécu le saut quantique qu'a été le passage du micro-ordinateur au smartphone et à la tablette comme quelque chose de naturel. C’est la première génération qui fait d’internet sa source quasi-exclusive d’informations que ces millenials consomment à satiété, sans esprit critique. 
  Dans la majorité des démocraties européennes, la société a tendance à porter un regard très dur sur les jeunes générations -en particulier sur ces ''Millennials'' qui semblent incarner à eux seuls toutes les dérives des sociétés contemporaines. Une enquête Ipsos-Mori a montré que parmi les mots qui reviennent le plus souvent pour les décrire, on trouve : ''matérialistes'', ''égoïstes'', ''paresseux'' et ''arrogants'', alors que les mots les plus utilisés pour décrire les ''Baby Boomers'' (nés entre 1946 et 1964) sont : ''respectueux'', ''travailleurs'', ''soucieux de leur entourage et de la communauté à laquelle ils appartiennent'', ''bien éduqués'', et ''éthiques''. Ce n'est plus une différence entre eux, c'est un gouffre qui sépare les pères des fils !  
  Mais au delà de cette différence de perception par l'opinion publique, qu'en est-il vraiment ? Tout d'abord, il est vrai que les Millénials ont des comportements très différents de ceux de leurs aînés et qu'ils semblent avoir des aspirations tout à fait autres. Par exemple, ils veulent avant tout se protéger contre les crises et les incertitudes économiques, qui font partie du paysage, alors que leurs parents avaient vécu les Trente Glorieuses comme quelque chose de naturel. Et ils ont une perception fine du caractère fragile du couple, puisque leurs parents leur ont ouvert la porte d'une ''libération des mœurs'' qui est loin d'avoir tenu toutes ses promesses
  Cependant, les mêmes enquêtes révèlent aussi que les Millennials sont très différents de l’image que l’opinion en a : ils sont pour la plupart plus diplômés que les générations précédentes, ils se déclarent motivés par leur travail plus que la moyenne (12% des plus jeunes contre 6% des travailleurs plus âgés en France, et 19% et 8% respectivement chez les britanniques…), et ils sont bien plus sensibles que leurs aînés aux conditions de travail. Dans ce cadre, le comportement de Meghan et Harry, qui sont perçus par certains comme égoïstes, ''souhaitant le beurre et l’argent du beurre'' et fuyant toutes leurs ''responsabilités'', est perçu par les plus jeunes comme… le choix d’une vie plus modeste, celle de personnes ''lambda'' qui ne souhaitent pas de privilèges et aspirent à une vie plus simple…
  Cet événement royal, comme d'ailleurs le débat sur les retraites en France (qui n'a rien de royal, lui !), fait prendre conscience que chaque génération qui arrive a des perceptions façonnées par des événements et des phénomènes différents, donc éloignées de celles de la génération qui précède. Il semble  normal que ceux qui ont grandi avec internet n’aient pas le même rapport au temps, à la hiérarchie, au risque économique, à la rémunération ou au concept de ''carrière'', par exemple… que ceux qui ont grandi dans la France du plein emploi et des ''30 glorieuses''.
  Je ne dis pas que le mélange de narcissisme, d'épicurisme, d'hédonisme, de matérialisme et de je-m'en-fichisme'' qui caractérise notre temps, la jeunesse actuelle... et les ex-Altesses royales dont nous parlons soit mauvais en soi (NB : qu'il ne soit pas bon, c'est certain.. De là à le dire intrinsèquement ''mauvais'', il y a un pas que je ne suis pas qualifié pour franchir !). Mais ce que je dis en revanche, c'est que seule ce qu'on appelait ''culture générale'' aurait pu nous sauver. Par la faute de Bourdieu, on l'a supprimée (comme étant ''bourgeoise'' ! Ah ! Les cons...), ce qui est plus qu'un crime : c'est une faute. J'ai peur que ce ne soit irrattrapable...
  Rois ou vilains, la seule ''fracture'' qui soit grave, c'est celle qui sépare le peuple des élites et qui grandit, génération après génération, au rythme auquel les médias, dans leur socialisme démodé, déforment la réalité au gré de leurs croyances en des idéologies périmées. On peut tout de même regretter que Meghan Markle, devenue duchesse de Sussex et membre de la famille royale, n'ait pas su profiter de la chance unique qui s'est offerte à elle : roturière et métisse, elle pouvait être une ''bâtisseuse de ponts'' qui aurait laissé un nom dans l'Histoire et fait avancer pour de bon la cause de l'harmonie entre les Hommes... Une belle occasion ratée...
H-Cl.
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christophe76460 · 3 years
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TU AS JÉSUS LE CHRIST (LE MESSIE) N'ATTEND PERSONNE ENCORE.
Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre?
Matthieu 11:3 LSG
✝️Fils tant aimé de Dieu, que la grâce et la paix de Dieu soient manifestées dans ta vie au nom de Jésus-Christ.
✝️ la venue de Jésus-Christ à été prophétisé et plusieurs signes avaient été donnés révélés.
✝️ Jésus-Christ est venu et Jean Baptiste savait, par les signes et sa conversation avec Jésus que celui ci était le messie tant attendu.
✝️Toi également tu as certainement eu une parole de Dieu, et tu as été convaincu plus ou moins par plusieurs signes de Dieu que tu étais sur la bonne voie, pour ton mariage, pour ton plan de carrière, pour ton projet, et pour ton avenir.
✝️Dans ce passage nous percevons un doute et une incertitude qui s'est créé dans le quotidien de Jean Baptiste,
Lui qui était si convaincu, avec l'effet du temps, Envoi ses disciples poser la question à Jésus-Christ si c'était lui le messie ou s'il devait en attendre un autre.
✝️Toi également avec l'effet du temps, avec les coups de la vie, avec les réalités quotidiennes tu te demandes est ce que je suis sur la bonne voie, est-ce que j'ai pris la bonne décision parce que rien n'avance, est ce que je suis le vrai Dieu.
✝️Je veux te dire aujourd'hui, regarde la fidélité de Dieu dans ta vie, peut être que tu n'es pas où tu voudrais, mais tu n'es certainement pas où tu étais hier.
✝️Dieu fait toutes choses selon un chronogramme bien précis, il est toujours dans le bon timing, pas en avance, pas en retard.
✝️Attache toi fermement à ce qu'il t'a dit dès le début et marche avec assurance, Dieu veille sur sa parole pour l'accomplir.
✝️Toutes les situations que tu vis actuellement te laisse croire que tu n'es pas sur la bonne voie, et que tu devrais laisser la main de Dieu.
✝️Mais moi je te demande de t'attacher à la source d'eau intarissable.(Jésus-Christ)
PAR LA GRÂCE DE DIEU TU NE MANQUERAS DE RIEN.
Tu es béni en Jésus Christ
Tu es l'un des fils de Dieu
La parole de Dieu c'est Jésus Christ
La parole de Dieu c'est la vérité
#Dieu #Jesuschrist #jesus #foi #pardon #paix #joie #amour #parolededieu #lavie #bonheur #croireendieu #gracedeDieu
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Angers Sco : Focus sur la reconstruction et le mercato ambitieux !
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Après une saison difficile qui s'est soldée par une relégation de l'élite du football français, Angers Sco se prépare avec humilité et détermination à revenir au plus haut niveau. La reconstruction de l'équipe est la priorité absolue, et le club mise sur une stratégie alliant jeunesse et expérience pour rebâtir un effectif compétitif. Angers Sco : Des incertitudes autour de l'effectif Des interrogations persistent quant à la composition définitive de l'effectif. En effet, la clôture du mercato est encore loin, et des départs pourraient encore venir chambouler les plans de l'équipe technique. Malgré cela, les dirigeants se montrent confiants dans leur capacité à conserver les joueurs clés tout en attirant de nouvelles recrues de qualité. La jeunesse du centre de formation à l'honneur Dans cette phase de reconstruction, Angers Sco compte bien s'appuyer sur la richesse de son centre de formation. Le club mise sur la jeunesse et le talent émergent pour renforcer l'équipe et façonner les futurs talents du football français. C'est dans cet esprit que Loïs Diony, Abdoulaye Bamba et Pierrick Capelle ont été prolongés dans le cadre du projet de reconstruction, en tant que véritables leaders d'équipe. Voir aussi : - Ligue 1 Uber Eats : Retour sur une saison riche en buts L'arrivée de Florent Hanin : Un renfort d'expérience Pour renforcer l'équipe, Angers Sco s'est également tourné vers l'expérience en officialisant l'arrivée de Florent Hanin, défenseur gauche de 33 ans. Ancien joueur du Paris FC, Hanin voit à Angers une opportunité de rebondir dans un club à l'ambition affirmée. Sa présentation devant la presse aux côtés de l'entraîneur et du coordinateur sportif du club a été l'occasion pour lui de partager son enthousiasme et sa détermination à contribuer au succès de l'équipe. Florent Hanin : Une carrière internationale riche Florent Hanin est un joueur qui ne manque pas d'expérience sur la scène internationale. Ayant évolué dans des championnats tels que la Grèce, la Suisse, le Portugal et la Norvège, il apporte un bagage technique et tactique qui sera indéniablement un atout pour Angers Sco. Son profil de défenseur expérimenté vient renforcer la solidité défensive de l'équipe, tout en offrant une certaine polyvalence sur le terrain. Lire ensuite : - L'OL désigne un serial buteur de Ligue 2, comme priorité absolue ! Premiers pas encourageants avec l'Angers Sco Le nouveau défenseur a déjà eu l'occasion de fouler la pelouse avec ses nouveaux coéquipiers lors d'un match amical contre Bordeaux. Si le résultat n'est pas l'élément le plus important lors de ces rencontres de préparation, Florent Hanin a montré des signes prometteurs de son intégration au sein du groupe. Son aisance technique et sa compréhension tactique sont des qualités qui ne sont pas passées inaperçues. ________ Retrouvez toute l'actu foot sur notre page Facebook et sur notre page Twitter ! Read the full article
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lundesfilsdedieu · 3 years
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TU AS JÉSUS LE CHRIST (LE MESSIE) N'ATTEND PERSONNE ENCORE. Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre? Matthieu 11:3 LSG ✝️Fils tant aimé de Dieu, que la grâce et la paix de Dieu soient manifestées dans ta vie au nom de Jésus-Christ. ✝️ la venue de Jésus-Christ à été prophétisé et plusieurs signes avaient été donnés révélés. ✝️ Jésus-Christ est venu et Jean Baptiste savait, par les signes et sa conversation avec Jésus que celui ci était le messie tant attendu. ✝️Toi également tu as certainement eu une parole de Dieu, et tu as été convaincu plus ou moins par plusieurs signes de Dieu que tu étais sur la bonne voie, pour ton mariage, pour ton plan de carrière, pour ton projet, et pour ton avenir. ✝️Dans ce passage nous percevons un doute et une incertitude qui s'est créé dans le quotidien de Jean Baptiste, Lui qui était si convaincu, avec l'effet du temps, Envoi ses disciples poser la question à Jésus-Christ si c'était lui le messie ou s'il devait en attendre un autre. ✝️Toi également avec l'effet du temps, avec les coups de la vie, avec les réalités quotidiennes tu te demandes est ce que je suis sur la bonne voie, est-ce que j'ai pris la bonne décision parce que rien n'avance, est ce que je suis le vrai Dieu. ✝️Je veux te dire aujourd'hui, regarde la fidélité de Dieu dans ta vie, peut être que tu n'es pas où tu voudrais, mais tu n'es certainement pas où tu étais hier. ✝️Dieu fait toutes choses selon un chronogramme bien précis, il est toujours dans le bon timing, pas en avance, pas en retard. ✝️Attache toi fermement à ce qu'il t'a dit dès le début et marche avec assurance, Dieu veille sur sa parole pour l'accomplir. ✝️Toutes les situations que tu vis actuellement te laisse croire que tu n'es pas sur la bonne voie, et que tu devrais laisser la main de Dieu. ✝️Mais moi je te demande de t'attacher à la source d'eau intarissable.(Jésus-Christ) PAR LA GRÂCE DE DIEU TU NE MANQUERAS DE RIEN. Tu es béni en Jésus Christ Tu es l'un des fils de Dieu La parole de Dieu c'est Jésus Christ La parole de Dieu c'est la vérité #Dieu #Jesuschrist #jesus #foi #pardon #paix #joie #amour #parolededieu #lavie #bonheur #croireendieu #gracedeDieu https://www.instagram.com/p/CQiZMgbHBWl/?utm_medium=tumblr
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choixdavenir · 4 years
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Introduction
Nous approchons de plus en plus de la date du début des inscriptions au CÉGEP et le stress se fait sentir chez les étudiants. Lorsque je demande aux élèves qui m’entourent s’ils savent dans quel programme ils veulent aller après le secondaire, je constate leur incertitude. Certains doutes surgissent invariablement autant chez les jeunes qui ont déjà une idée précise de leur choix de carrière que chez ceux qui se posent encore des questions: « Vais-je aimer mon programme d’études ? » « Est-ce que je veux faire le même métier toute ma vie ? », « Serai-je capable de bien performer ? ».  
J’espère que ce blogue vous permettra d’avoir une perspective différente concernant cette étape importante dans la vie des jeunes qui vous entourent.
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lolo-discovery · 4 years
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L’année folle
C'est une drôle d'année que nous venons de vivre. Il y a un an, à quelques jours près, mon dernier chapitre en tant qu'étudiant était publié sur ce blog. Enthousiaste et déterminé, je me lançais dans ce qui devait être la recherche du travail qui lancerait officiellement ma carrière professionnelle. Après avoir reçu mon diplôme et mis un terme aux détails à régler pour mon master, débutait une période d'entretiens à répétition et d'interrogation sur ce qui serait le choix parfait pour débuter.
Entre petites opportunités et entretiens à l'étranger, se dessinait doucement le chemin qu'il fallait emprunter afin de contenter les différents partis de ma personnalité. Un peu de social, du challenge, des découvertes mais aussi et surtout : du plaisir. Pas facile de trouver le travail idéal quand on cherche soi-même ce qui serait le mieux adapté à nos envies, mais bref, cela est une chance, non pas une difficulté. Avoir le loisir de choisir, c'est déjà un beau métier.
Petit à petit, naissait l'envie et c'est vers le portugal que ma carrière s'orientait finalement. Un travail combinant la plupart des motivations s'ouvrait à moi dans les environs de Lisbonne. Mais rien ne laissait entrevoir ce que 2020 nous réservait ... La pandémie du Covid-19 aura tout emporté avec elle. En l'espace de quelques semaines, la fureur de la vie lisboète, ses sorties et sa quiétude aura laissé place au vide et aux rêves abandonnés.
Forcé de rentrer chez moi au vu des conditions de vie que le confinement entraînait, c'est dans un monde de questions et de doutes que nous avons vécu pendant près de trois mois. En ce qui me concerne, les peurs et les doutes ont vite laissé place à la recherche absolue du positif. Arrêtant de suivre l'horrible compteur des pertes dans le monde, les points positifs de cette période commençaient à se faire ressentir. Rapprochement familial, recherche de moments exquis entre amis sur les réseaux sociaux ou encore abus de petits plaisir quotidiens. Evidemment, la crise n'aura pas entraîné que des choses tristes et démoralisantes, elle aura emmené un vent de fraîcheur sur cette planète qui avait besoin d'une leçon clé pour la suite de son existence : Mère nature aura toujours le dernier mot.
En fin de confinement, les choses revenaient progressivement à la normale avec une impression que les choses n'étaient tout de même plus les même à grandeur nature. Il faut dorénavant composer avec le risque : masque, bise, gel hydroalcoolique ... Des petits nouveaux qui faisaient un bond au sein de notre quotidien. Car oui, revenir à la normale, c'est aussi retrouver les rêves et envies qui animaient nos vies avant tout cela. C'est comme si tout avait été mis en pause durant de longues semaines et qu'il fallait maintenant réadapter nos manières de vivres et nos ambitions en fonction des barrières parfois invisibles que le virus avait dressé.
Vivre dans un monde changé si brutalement n'a rien de facile quand on débute sa carrière, le possible devient parfois impossible. Les certitudes deviennent incertitudes. Le verdoyant devient désolant. C'est une vraie remise en question qui est nécessaire. Enthousiaste et déterminé, je me lance maintenant à l'abordage d'une nouvelle vie. De nouveaux choix. De nouvelles opportunités. C'est une aubaine que de pouvoir trouver un second souffle en ces temps moroses. Vous le savez, la vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe, c'est d'apprendre à danser sous la pluie. Et nous y parviendrons.
A très vite.
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idealconservateur · 4 years
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MONTESQUIOU (R. De)
Les Chauves-Souris. Clairs-obscurs. Deuxième ouvrage carminal [Paris, Georges Richard, 1892], in-4°, vélin ivoire à la Bradel, sur le premier plat portrait de l'auteur peint à l'huile par «[La]Gandara», dessous vers autographes signés, à l'encre de Chine, sur le second plat chiffre entrelacé [JE] frappé à froid dans un médaillon à fond doré, dos lisse, couverture de soie gris perle brochée de chauves-souris, de lunes et d'étoiles et doublée de satin jaune d'or avec les mêmes motifs, tête dorée, non rogné (Henry-Joseph [Pierson] -[La] Gandara).
  ÉDITION ORIGINALE du premier recueil de poèmes de Robert de Montesquiou (1855-1921). Éditée à compte d'auteur, elle ne fut pas mise dans le commerce. L'année suivante parurent deux autres éditions, dont l'une avec des ornements dessinés par Forain, Whistler, La Gandara et Yamamoto. Les Chauves-Souris, un recueil de nocturnes symbolistes. Avec Les Hortensias bleus et Le Chef des odeurs suaves, les 164 pièces de vers des Chauves-Souris constituent le coeur de l'oeuvre poétique de l'auteur. À l'occasion d'une réédition, celui qui avouait un goût certain pour la nuit et ses mystères explique l'âme du poète éveillée par les chauves-souris: «L'étrange volatile m'a semblé représenter, par son inquiétude et son incertitude entre la lumière et l'ombre, l'état d'âme des mélancoliques.» Le talent de Robert de Montesquiou fut apprécié par Mallarmé, Verlaine, Mirbeau ou Rodenbach. Cependant, son goût immodéré pour l'extrême préciosité lui valut de devenir le modèle de des Esseintes, le dandy décadent d'À rebours, et du baron de Charlus dans À la recherche du temps perdu. L'ouvrage est précédé d'une lettre-préface de Leconte de Lisle. Précieux exemplaire offert par l'auteur à Edmond de Goncourt, accompagné d'un long et déférent envoi autographe, daté «Juillet 92». Robert de Montesquiou par Antonio de La Gandara: l'un des 29 livres à portrait de la bibliothèque d'Edmond de Goncourt. Avec Henri Beraldi, Edmond de Goncourt (1822-1896) fut l'un des arbitres des élégances bibliophiliques en matière de reliures décorées fin de siècle. Dans le Grenier de la maison d'Auteuil, à partir de 1885, Edmond reçoit chaque dimanche ses amis, artistes et écrivains, au milieu de ses collections d'oeuvres d'art et des livres de sa bibliothèque. C'est dans le cadre du Grenier et de ses amitiés qu'Edmond, en 1890, conçoit le projet d'une série de reliures destinées à habiller un choix très personnel de livres «mieux aimés» parmi les livres modernes de sa collection. Chacun de ces livres recevra, sur le premier plat de sa reliure, le portrait de son auteur par un peintre auquel le lie l'amitié. De 1890 à 1896, date de la mort d'Edmond, 29 reliures à portrait furent réalisées; toutes sur des vélins pleins établis par Henry-Joseph Pierson, son relieur favori. Parmi les associations écrivains-peintres qu'il souhaita magnifier par ces livres à portrait, on peut citer Burty par Chéret, Daudet par Carrière, Julia Daudet par James Tissot, Edmond de Goncourt par Carrière, Huysmans par Raffaelli, Régnier par Blanche, Lecomte par Renoir, Zola par Raffaëlli ou Mirbeau par Rodin. Antonio de La Gandara, quant à lui, donna les portraits de Jean Lorrain et de Montesquiou. Ces reliures, dont Bernard Vouilloux écrit qu'elles sont une innovation bibliophilique d'Edmond de Goncourt, étaient à n'en pas douter l'un des joyaux du Grenier. Cinq d'entre elles furent présentées pour la première fois en 1893, à la galerie Georges Petit pour l'exposition Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893). Henri Bouchot écrit alors qu'elles en furent le «clou». Six de ces reliures à portrait sont aujourd'hui conservées dans des institutions publiques parisiennes. Antonio de La Gandara (1861-1917), l'un des portraitistes attitrés du comte de Montesquiou. L'un et l'autre sont des habitués du Grenier. Ils sont liés d'amitié depuis 1885. Le comte a beaucoup fait pour les débuts de l'artiste. Lancé dans la haute société parisienne, La Gandara en sera l'un des plus brillants portraitistes. Outre celui-ci, au moins deux autres portraits de Montesquiou par La Gandara sont connus: un fusain de 1891 et une huile, vers 1887, conservée au château d'Azay-le-Ferron. Sous son portrait par son ami, Montesquiou a écrit quelques vers à l'encre de Chine, accompagnés de son élégant monogramme. Goncourt a, comme à son habitude - ici sur la première garde du volume -, écrit à l'encre rouge quelques appréciations sur l'ouvrage et quelques caractéristiques de cet exemplaire: «Exemplaire de la première, et de la belle, et de la rare édition des Chauves-Souris [...] précédée d'une lettre dédicatoire manuscrite. Portrait du poète exécuté à l'huile par Gandara dans l'été de 1893.» Dans l' «inventaire littéraire» qu'il établit en 1894, il a en outre noté que le portrait de Montesquiou par La Gandara «ren[d] bien la silhouette et le port de tête du poète». Exemplaire cité par Vicaire. Parfaitement conservé, il est préservé dans une chemise-étui moderne à dos de maroquin olive. Sont joints: - une LAS à Madame [Arman de Caillavet], 4 pp. in-4° à l'encre noire sur papier ocre, datées «Pavillon des Muses». Le poète regrette «l'anéantissement» d'un projet commun, mais assure sa correspondante que des «liens invisibles» existent entre eux, «incessamment disponibles». Née Léontine Lippmann, Madame de Caillavet tint un salon littéraire important et fut la maîtresse et l'égérie d'Anatole France. Montesquiou emménagea au Pavillon des Muses, à Neuilly, vers 1900 et y vécut onze ans. - 2 épreuves avec la lettre du portrait de Montesquiou gravé par Henri Guérard d'après Whistler, paru dans la Gazette des Beaux-Arts en 1903 (C. Bertin, n° 548). Édition limitée à 100 exemplaires, tous imprimés sur papier de Hollande Van Gelder, au filigrane à la chauve-souris. Dimensions: 247 x 192 mm. Expositions: Portraits des écrivains et journalistes du siècle (1793-1893), galerie Georges Petit, juin 1893; Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38. Provenances: Edmond de Goncourt (Cat. Livres modernes, 5-10 avril 1897, n° 21), avec son ex-libris gravé par Gavarni; Philippe Kah (1897-1972), avocat et homme de lettres, avec son ex-libris (aucun catalogue à ce nom à la BNF); Pierre Bergé (Cat. II, novembre 2016, n° 484), avec son ex-libris. Vicaire (G.), Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle. 1801-1893, V, 1106; Crauzat (E. de), La Reliure française de 1900 à 1925, I, pp. 118; Vouilloux (B.), «Une collection d'unica. Les livres à portraits d'Edmond de Goncourt», in CONTEXTES, 14 | 2014 (édition en ligne); Galantaris (Ch.), «Les Goncourt bibliophiles», in Le Livre et l'estampe, XXXX, 1994, n° 142, pp. 7-63; Coron (A., éd.), Des livres rares..., BNF, n° 232 (Germinie Lacerteux des Goncourt, ex. d'Edmond, vélin, portrait d'Edmond peint par Raffaëlli); Mathieu (X.), Antonio de La Gandara, gentilhomme-peintre de la Belle Époque, 1861-1917, Versailles, musée Lambinet, 3 nov. 2018-24 février 2019, n° 38 (avec reproduction) et passim
https://www.bibliorare.com/lot/324004/   Adjudication : 20 000 € 
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snap221me · 4 years
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Nice : Une piste italienne pour Malang Sarr ?
Nice : Une piste italienne pour Malang Sarr ?
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Pur produit du centre de formation de Nice, Malang Sarr va quitter son club de toujours cet été. C’est certain puisque le polyvalent défenseur a récemment fait savoir qu’il a envie d’entamer une nouvelle aventure dans sa jeune carrière. Mais la seule incertitude est sa prochaine destination. Il est annoncé dans le viseur de plusieurs clubs. Ayant comme objectif d’évoluer en Bundesliga, Sarr aurait…
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