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Common Successful Tips to Pass Jamb 2023/2024 | Beginners Guide
Common Successful Tips to Pass Jamb 2023/2024 | Beginners Guide
I’m putting this out here because JAMB examinations begin tomorrow and I’m aware that some of us are going to be taking part in it. It’ll be a long read. Personally, I wrote JAMB once, cleared it and got admission without any problems, so I think you should pay attention. I’m quite sure you’ve all heard these before, but for sake of emphasis, go through this. Sleep well this night Do not…

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#How to Pass Jamb#how to pass jamb 2023#jamb secret#jamb secret code#jamb success tips#jamb syllabus
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FR Obey me Beelzebub x Reader fem
Pas de lemon/nsfw
**
- Pardon, demande Beelzebub en avalant sa nourriture.
- Je t’ai demandé si tu voulais venir avec moi au Hell Kitchen, répète-ai-je.
- Bien sûr, souris le roux. On fait ça quand ?
- Eh bien… Ce soir ?
- Ok, je te rejoins après l’entraînement.
Me faisant signe de la main, Beel part au terrain de Fangol. Reprenant mon souffle, j’essaye de calmer mon cœur qui bat un peu vite. Je me retourne et aperçois les trois commères de l’école qui m'observent : Asmodeus, Mammon et Lévi. Un peu dépité face à leurs comportements, je bouge ma main afin de les informer qu’ils pouvaient venir. C’est Asmodeus qui se lance dans une avalanche de questions tout en se créant des scénarios. Le démon blanc le suis alors en me demandant ce que je peux aimer chez Beel, se valorisant par la suite. Quand vient le tour de Lévi, il commence à me donner plein de noms de shojo tout aussi long les uns que les autres. Lorsque mon cerveau commence à saturer, j’ordonne à ces démons de ne pas bouger et de se taire en utilisant le pouvoir du pacte. Ce qui a été plutôt efficace. Une fois calmé, je soupire un peu en leur expliquant simplement que je fais ça en toute amitié. Bien sûr, ce foutu mensonge ne marche pas. Mes sentiments sont-ils si évidents ? C’est le sourire en coin d’Asmodeus qui me confirme qu’aucun mensonge ne marchera.
- Voyons Y/N, roucoule Asmo, ne ment pas. Tu n’y arrives jamais, surtout quand il s’agit de problèmes de cœur. Après tout, je suis expert en la matière.
- Je ne pense pas que tu sois une référence, grogne Lévi. En revanche, avec les nombreux animés que j’ai regardé…
- Les animés ne reflètent pas la réalité !
- Tu sautes des étapes de ton côté, Asmo, relève Mammon.
Vexé, Asmo commence à frapper son frère aîné. De mon côté, je ne peux m’empêcher de rire. Pour le moment, j’en profite pour m’échapper mais Satan me bloque gentiment le passage. Son sourire en coin m’annonce qu’il désire plus que tout savoir ce que ses frères désirent comprendre. Mon cerveau commence à imaginer de nombreuses possibilités afin de me sortir de cette merde. Dans un élan de désespoir, j’annonce inviter Beelzebub à dîner au restaurant. Satisfait de ma réponse, le blond me sourit alors avant d’ouvrir la bouche.
- Tu es au courant, Y/N, que Beelzebub mange beaucoup ?
- Oui … Et je me suis dit que l’inviter au restaurant lui ferait plaisir.
- C’est le cas, mais comment comptes- tu comptes payer ?
Alors que j’allais répliquer, je me souviens alors de la couleur de mon compte en banque ainsi que la dernière facture du restaurant de Beel. Je baisse alors la tête, dépitée. Satan n’hésite pas à se moquer de moi tandis que je m’interroge sur une éventuelle solution. C’est alors que j’ai l’idée du siècle : la carte bancaire de Lucifer. Regardant Satan, je lui demande de m’aider à avoir la carte bancaire de son frère avec le code. En échange, il pourra l’utiliser après le restaurant. Cette idée attise sa curiosité, cependant, les oreilles de Lucifer ont tout entendu lorsqu’il s’approche de nous.
- Quel genre de plan vous avez prévu tous les deux, demande Lucifer, le sourire en coin.
- Rien, disons Satan et moi en cœur.
- Vraiment ?
- Ils veulent prendre ta carte bancaire, balance Asmo. Ça vous apprendra à ne rien me dire !
- J’te jure Asmo, peste-ai-je.
- Et pourquoi tu aurais besoin de ma carte bancaire, demande Lucifer plutôt en rogne.
- C’est personnel.
- Dans ce cas, rendez-vous dans mon bureau dans une heure.
Le sourire de l’aîné me met mal à l’aise mais tant pis. Je dois tenter le tout pour le tout. Si ça se trouve, sur un malentendu, ça peut passer. C’est dans cette optique que je commence dès à présent à menacer Asmodeus de publier une photo de lui entrain de baver en dormant. Bien sûr, il proteste de toute son âme.
Face à Lucifer, je joue nerveusement avec les ourlets de ma jupe sous le regard sérieux de l’aîné de la fratrie. J’imagine mille possibilités pour me sortir de ce pétrin, en vain. Tapant doucement contre le bois de son bureau, ses yeux ardents sont braqués sur moi.
- Alors, commence Lucifer. Puis-je savoir pourquoi tu as pour projet de voler ma carte bancaire ?
- Eh bien, bafouille-ai-je. Pour des raisons personnelles.
- Et cette raison vient de la bonne humeur de Beel ?
- Oui, je l’ai invitée au restaurant. Cependant, je dois admettre avoir oublié le problème de l’estomac gigantesque de Beel.
- Ce n’est pas très malin de ta part, la question c’est pourquoi tu ne l’as pas réalisé à temps ?
- Voilà la raison : je voulais me confesser à Beel, avoue-ai-je sous la gêne.
- C’est… Surprenant.
- Je te préviens Lucifer, tu balances ça à qui que ce soit, je te promets que je vais utiliser le pacte !
- Il n’y aura aucun mérite à ce que j’avoue ce secret. Je vais te faire un papier, quand vous sortirez du restaurant, tu vas le donner à la caisse, ils sauront quoi faire. Après, tu me le rendras et je paierais la facture.
À ce moment, je vois Lucifer comme un ange. Prenant le morceau de feuille, je sors rapidement du bureau du démon. Il ne faut pas qu’il change d’avis ou je risque d’être dans la merde. Un peu déterminée à séduire l’Avatar de la Gourmandise, je commence à faire un maquillage assez coloré qui peut rappeler des cupcakes. Devant le miroir, le résultat me plait et me dirige vers la sortie du terrain de Fangol après avoir envoyé un message à Beel. Il me répond être dans les douches, bien que l’envie de lui demander une photo me tente, je me retiens en lui envoyant un « Ok ».
La silhouette de mon crush se dessine devant moi tandis que je me dirige vers lui. Quand il m’aperçoit, il me sourit chaleureusement. Mon cœur fond en moins de 5 secondes. Une fois à sa hauteur, je lui demande si nous pouvons y aller et il hoche la tête avant de se diriger, d’un pas presser, vers le lieu de sa convoitise.
Au Hell Kitchen, nous nous installons en regardant le menu. Du moins, Beel savait déjà qu’il allait prendre toute la carte. Pour ma part, je me triture les méninges afin de choisir un repas qui me semble normal à mes yeux. Par normal, j’entends, qui se rapproche du monde des humains. Quand je trouve le plat qui me correspond, je commande mon menu et Beel annonce prendre presque toute la carte. La serveuse ne semble pas trop surprise et part en cuisine annoncer la commande. Nous avons de la chance, le restaurant est presque vide, ce qui signifie que nous allons être servi rapidement. Regardant Beel, mon stresse grimpe en flèche, mais Belphie m’a confirmé que j’avais mes chances. Si son frère le plus proche le dit, c’est que c’est vrai. Prenant une grande inspiration, je regarde Beel, déterminé.
- Beel, demande-ai-je. Ça te plaît de passer du temps avec moi ?
- Pourquoi tu demandes ça ? Il n’y a rien de mieux que d’être au restaurant avec des personnes que l’on apprécie, non ?
- Merci, c’est gentil.
- Tu as l’air stresser, quelque chose ne va pas ?
- C’est moi, ne t’en fais pas.
Lorsque nos plats arrivent, je désespère un peu face à ma confession. Nous mangeons ensuite, profitant simplement du repas ensemble. Du coin de l’œil, je continue d’espérer une ouverture venant de mon compagnon. Malheureusement, aucune ne se présente à moi, je commande alors un dessert.
Vous connaissez l’erreur fatal ? L’erreur fatal c’est de prendre un dessert alors qu’on a l’estomac plein. On est au parc en attendant que je digère un peu. Ma tête est posée sur les jambes de Beel, allongée sur un banc. Il me caresse doucement la tête en faisant une tête inquiète à mon sujet. Après l’avoir rassuré sur mon état, il hoche la tête et se montre très patient. Sincèrement, je pourrais dormir. Plissant les yeux, je regarde avec amour Beel. Comme une enfant, je lui demande un câlin et il s’exécute en me souriant. Blottie dans ses bras, je prends mon courage à deux mains et embrasse Beel. Quand il commence à répondre, j’avoue être un peu surprise et le regarde tandis qu’il est un peu rouge.
- Y/N, soupire Beel. J’en veux plus. J’ai faim mais pas de nourriture.
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November 14, 2020: 6:19 pm:
https://twitter.com/BorisJohnson/status/1327189401965891586
From earlier today:
It's about "The Crown".
Have a look for different creative & obscure ways the production team is telling you to draw an imaginary line from the top header of the white door on the left, through the top of Boris's head, horizontally as he stands there in the room. There are picture frames also, the "most remote human settlement" is indeed the "top of your head", could refer to some agreement, or disagreement with others, coded. The "90" percent statement is telling you to see that old guilded picture frame behind Boris as the screen angle making the corner of the frame be "through his head", that seems as a "disagreement" of some kind spoken visually and secretively. Something to consider is that common doorway header's are framed into a wall at 6'10" above the floor, leaving room for the door jamb's thickness, thereby rendering a net door height of 6'8", with room for flooring material of approximately 1" thickness. So, 6' 8" is equal to 80", AD, a door, with just a small oportunity to exit in the small space beneath the door. "Limbo" statement could be present at the other end of the "Crown" statements Boris is eluding.
Whatever it is, the secret to the Boris Plastic Remote Civilization Ocean terror, is contained at the header, and footer of that door, and in that old guilded picture frame, with emphasis to their relationship to Boris' head. Look also at the text footer at the end of the video. After looking again, the bottom of the door is where the secret emphasis is at, in my opinion. That very small space that exists between the top of the floor covering material, and, the bottom of the door. About one-half of an inch or so, measurements there can very, due to moisture, settling, and characteristics of dimensional lumber. Jesus was a Carpenter terror comm includes knowledge that a piece of dimensional milled lumber is not true. not only is a 2 x 4 actually 1 1/2" x 3 1/2", but there is more unfaithful things to know. The Carpenter MUST know ahead of time that the lumber, when stacked three layers thick, will grow by 1/4" every time. The math: 1 1/2 + 1 1/2" + 1 1/2" = three layers of lumber stacked on top of one another, nailed. The math says: 4 1/2" is the measurement. The Carpenter who measures the finished product, reads 4 3/4" on the tape measure, every time. The reason: The lumber has a crown. When stacked and nailed, those crowns combine to add 1/4" per every three boards nailed. The increase of "Wall Grow" as it is sometimes called, can be even more with larger dimensional lumber. 2 x 4 and 2 x 6 lumber makes 1/4" "Wall Grow" due to dimensional surface crown per every three flat stacked pieces of wood. The remedy that has been accepted for combating against costly mistakes caused by Wall Grow, is to cut the studs short by 1/4" prior to framing the wall. A wall that is going to finish out with a ceiling height of 8', will use 92 1/4" studs. That makes a net wall height of 8'1" (92 1/4 stud + 4 1/2 plates + 1/4 wall grow = 8' 1"), leaving some room for cladding on the ceiling, such as drywall, to finish out at just over 8′ above the floor. The Carpenter MUST know and accommodate for small instances of 1/4" that will show up all over the place if the Carpenter is not careful, skilled, knowledgeable about crowns. ======================================== This Carpenter wants to create a situation for Mr. Johnson such that all of the houses of all of the world are clad with beautiful silver lined ceilings. Silver, a product that is so cheap, they are using it as siding on the houses. ======================================== There are instances that don't matter. Example is a shower enclosure. The Carpenter simply stacks up some lumber around the perimeter of the enclosure at a hight that will accomodate the selected shower door. There are no ceiling considerations for a shower door, so, the "shower dam" is built per the door requirement. 1/4" Wall Grow slop is disregarded.
After the Carpenter is done making the shower dam, that is when the Hot Mop comes, and slops hot tar all over the dam, and basin, so it won't leak, and such that the shower water will run towards the drain. Tile installers, Masons Union, comes to finish out the dam with pretty tile after the Hot Mop Tar cools off. Other consideration: All of the work that is required to build showers and walls, starts with figuring out how to get to the jobsite. Where is the driveway? Very important consideration, the answer is provided at the Zoning Department, they hand out driveway's there. After the driveway is located, then, "where is the sewage going to go? is the next important thing that the Carpenter has to know before building a shower dam. The Department of Environmental Quality will help you figure out which way the shit will run, with emphasis on "Where does the fresh water come from for the shower?" So, at that time, there are two people standing there, at a place that looks like a nice place to live, there is only dirt, a driveway, and two people at that moment. They make plans for later. The person who wants to live there, and the person who will help figure out which way the shit will run. The two are looking for fresh water, and how to keep the shit away from it. A divining rod may or may not be helpful, it's a mystery. =============================================== Other, more sinister considerations for Mr. Johnson's Tweet
I can explain best with an example: There once was a landfill, a garbage dump, that served the greater Los Angeles area. It was located along the northern ridge of some hills along the Interstate 405 Freeway. The landfill, filled up. The landfill was covered with earth, and for many years there were some exhaust ports that were installed into the ground, and were for release of Methane gas from decomposition of the garbage under the ground. The exhaust ports were ignited, burned away the methane for many years, non-stop, always burning safely away all of the methane. You could see them from the freeway. Later, some people went there, and made plans. now, there is vastly expansive housing neighborhood of very, very expensive houses. They are built directly on top of that landfill. So, it's not always about a nice place to live. Sometimes it's about finding ways to make others think it's a nice place to live, and, sometimes, it's a coverup where a lot of garbage is at. It also can be a way to extinguish those pesky methane gas exhaust ports in environments where nitrous oxide gas is being used as a weapon. Along the 405 Freeway in the 1970's. So, one more time Mr. Johnson... Please send Lewis Hamilton to my house. I would like to speak with him. ========================================== Soon, Boris, the roads will be paved physically with sterling silver. A cheap, recyclable product. ========================================== 6:25 pm.
============================================ Also from earlier today:
https://twitter.com/Pontifex/status/1327589599804153857
There is a hidden Walther PPK in that tweet. (you have to scroll over the link to see the “Mondale” part. and have some prerequisite info) What to know:The PPK uses ammunition that only fits into a PPK. It's the gun used by James Bond. The "poor" is phonetic: "The Pour". It's about Freemason Fraternal Orders. "Shaken, not stirred", there is a preferred amount of "Slump" to The Pour. The Slump is a measurement. The mason orders the concrete with a specific amount of water added per application requirements. The cement is tested upon delivery by the mason when the concrete truck arrives. The test measurement consists of a traffic cone, the cement is poured into the cone, the cone is turned over, placed onto the ground, lifted up revealing the wet concrete. The amount of slump is measured by the number of inches of sag to the cone shaped wet concrete as the cone is removed. 2" Slump is popular. The cement will sag two inches when the cone is removed. If the cement mix is too wet, the mason will send it back. If too dry, the mason will ask the delivery to add water there at the job site. There is a California Mondale in that tweet. The service to the pour is the delivery driver adding water "Walther PPK". The Mason is seeking a perfect mix. The concrete application is special, unknown conditions require experimentation with the mixture, says the Bergoglio in that tweet. There are two people standing there. One is the Mason, one is the Concrete Delivery Driver. The two are experimenting a mixture for optimum slump. The Pope is one of the two, he uses his hat to measure slump in absence of a traffic cone. Where's Waldo? is the question. Waldo is Jeff Prouix. Royal Canadian Mounted Police disguised as Oregon State Police. Waldo is Waldo because his orders were to do a murder hit at the Walgreen's in Grants Pass OR on 11-11-2020... fail... too much slump. This new slump experimentation is to find a new replacement Jeff Prouix. This will be the third one, the way I remember things. So, there is possibility that the Jeff Prouix who died at Walgreen's was actually Agent Rabner of Oregon FBI who was portraying Jeff Prouix for the purpose of fooling federal agents in faraway places who refuse to do their own research. Maybe, is a lot of slump there, but could be. If I knew where to apply, I would sign up to be the new Jeff Prouix, as the most qualified for the job. Unfortunately, my SAG card expired when I was just a small boy. 6:33 pm.
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Open Arms Part 2
Synopsis: You come back broken from a mission, and the one person who could barely put himself back together is the one who is trying to help you.
Bucky Barnes x Reader
Warnings: Language? Angst. Smut…eventually. 2 of ? parts. How’s this as a warning: this is my first reader insert fic and it was a challenge, y’all. So, as long as it isn’t the worst thing anyone has ever read, I’m still doing okay! I hope you enjoy it!
Also, this is really for @quant-um-fizzx I couldn’t have/wouldn’t have done any of this without her help and guidance.
Three months later, your physical strength is back but your mind still wanders and you often feel lost. You go to the mandated therapy sessions and they’re helping, you know they are.
The nightmares still come, and then you don’t sleep for days. You slip out of Steve’s bed and wander the corridors for hours. You take it upon yourself to check on everyone and everything and make sure things are safe and secure.
Just before dawn breaks, you sneak back into bed and Steve wraps a heavy arm around you and after these nightly sweeps, he always asks if all your chickens are in the coop.
After the third month, you tell Steve you want to move out of the shared quarters. The disappointment is written all over his face. He tells you that he doesn’t understand and that he worries that you’ll dive deeper into this self-imposed isolation.
You tell him that you can’t pretend to get any better than you already are.
You tell him that you can’t pretend to be the same person with him.
You tell him that you don’t want to be with him the way you were before all of this.
He tells you he’ll get started on packing up your books and movies. He makes you agree to a weekly dinner. You cup his cheek and give him the strongest smile you’ve been able to manage since you got back.
“I couldn’t do any of this without you.” He wraps you in a hug and sways you for a few minutes.
“You could,” he whispers in your ear. “You don’t believe it yet.”
Later that day you find James, “For Chrissakes, call me Bucky!” Barnes, outside underneath a maple tree, reading. He’s sitting on a plaid blanket that you know for a fact is cashmere and if Tony found out he’d have his ass about it.
You open the door and lean against the jamb with crossed arms. It’s a cool day and you can smell the rain that’s coming.
“Hey!” He looks up from his book, shoots you a grin, and pats the space next to him on the blanket.
“There’s plenty of space for you out here, doll face.” He doesn’t shout or raise his voice, but it’s clear and strong from about 50 feet away. You can’t help the recoil. It’s not him, but it’s the outside; being exposed in the open.
“Can you … can you just come inside?” You try to keep the pleading tone out of your voice, but it’s so difficult. “Please?”
“Look, I’m planning on reading this whole damned book today, right here under this tree.” He turns ever so slightly to look at you, “You wanna talk? You better get out here.”
That’s when it hits you; he’s testing you. He knows, everyone knows, that you haven’t been outside on the grounds since the night you got back. The rooms you share with Steve have a small terrace and sure, you’ve been out there, but that’s safe and protected.
“Keep your eyes on me and walk out.” His voice is firm but he’s smiling. You push off from the door and all but bolt to his position under the tree. Once again, he pats the space next to him, “Have a seat, sweetheart.”
When you plop down you roll your eyes at him and then scan the area. Logically, you know how safe you are here. Logically, you know Hydra won’t show up here to take you; but you haven’t been very logical as of late.
“You know, I really hate the nicknames,” the whisper escapes your throat and when you realize what you’ve said he’s laughing.
“Don’t I know it,” he actually wipes a tear away and grins so broadly. “So, how does it feel to be outside? Steve said you used to spend all your free time out and about?”
Of course, he’d know, because of course, Steve would have told him.
“I used to garden. Vegetables, some fruit, but mostly herbs. I liked to cook.”
“You had a victory garden,” you watch as he places the bookmark into the book with care and sets it aside. “You don’t like to cook anymore?”
“I haven’t done it in over a year. I guess I don’t know.” Lifting your face to a breeze that flies by, you can smell the trimmings from the grass that had been cut just yesterday and you close your eyes.
“So, you wanted to talk to me about something?” You look at the man next to you and notice the little things. The blinding almost baby blue of his eyes, the cleft in his chin, his stupid little half man bun. You notice how he doesn’t wear a glove over his left hand here, never here.
The two of you are dressed alike and it isn’t the first time you’ve noticed this. You both prefer long sleeve shirts, henleys. Assuming he wears long sleeves for the same reason you do, unconsciously or not, you tug on the cuff of your own sleeves t hide the markings that no one, not even you, needs to see.
“I want to swap quarters with you.” You’ve always been blunt. There’s no beating around the bush for you, not even now.
“I like living alone,” James leans back against the bark and you follow suit. You can act casual, even if your skin is crawling with the anxiety of being out in the open.
“No, you don’t. Nobody really likes to be alone, and Steve needs someone.” Leaning your head all the way back you swivel it towards him. “Before you ask, I want yours because it’s just down the hall. It’s the closest … in case I need him.”
His eyes sear into yours and you can’t tell if he’s buying the bullshit or you are.
“Steve’s just going along with this, huh?”
You chuckle and this time it isn’t forced or fake.
“He has his conditions.”
“Which are?”
Sighing, “I continue therapy sessions and after therapy, he and I work out when he’s available.”
James cuts you off, “He won’t always be available, so you can work out with me. The endorphins help with the recovery. Trust me on that.”
He holds your gaze a little too long and asks what else?
“Dinner and time together once a week.” In all actuality, this is something you’re looking forward to.
“Are you guys still fucking around?”
That’s a slap in the face you weren’t expecting and it causes you to whip your head around to look at him dead on again.
“What Steve and I used to do was never a secret. I’m not the most delicate of creatures, but you could be polite.”
“Hey, I’m just trying to figure out if spending time together means you guys are still hooking up, that’s all.” He throws his hands up in surrender. He smiles impishly, “That kind of response tells me you are.”
“Well, we’re not. We haven’t since … since before.”
Silence hangs between you and the awkwardness is so palpable that you can’t even hear the birds chirping anymore.
“I’ll do this for you, but I have my own conditions.” You had been about to open your mouth and tell him to forget it. That you could figure it out without help. “You’re asking for help, even if you didn’t say please.”
“Did you want me to say please? Did you want me to beg?” You move to stand and when he reaches out with his left arm, you’re so surprised to find it warm that your shock keeps you on your ass.
“So, you’ll work out with me when Steve isn’t around or someone else capable. Dinner once a week with me, too.”
“Fine, you can join me and Steve.”
“Nope, just us,” he grins and stands, pulling you with him. “Grab that blanket for me, would ya, honey?”
Reaching for the blanket you notice the book he was reading.
“The Joy of Cooking by Julia Child?”
“Yeah, you can cook for me once a week. I can watch and learn.” He starts back inside and you scurry after him.
“Wait, what?”
Later that night, in the privacy and silence of the single quarters, you sigh and wonder if and when you’ll fall asleep. Between Steve, James, and yourself, everything was swapped between the two apartments in record time. Your former bedfellow had made a big deal about keeping the key codes for the common room and his personal room unchanged, in the event you needed to come in sometime in the middle of the night.
You were surprised to find the James was just as contrite about it as you were.
“You’re babying her, bud,” James had pointed out and Steve’s face had paled slightly. “You can’t let her run to you every time she’s struggling. I won’t help her.”
James stood up then and moved to his new bedroom doorway. He looked to you first.
“You wanted out of here so you could deal with this your own way, right? You didn’t want to be under yet another person’s scrutiny?” He was confirming with you your thoughts that you hadn’t been able to put it into words.
You confirm with a meek ‘yes’ and look everywhere but directly at Steve.
“For the record, you put me back on the ice,” he holds up that gleaming metal appendage when Steve starts to speak. “For my own good, but Shuri and her team got me back to some semblance of normal. Then it just took time and a lot of that time was spent in solitude. Get over it, man.”
He steps into the bedroom and softly shuts the door. You desperately want to bust down the door and thank him, tell him that you understand him, that you see him; he’s still broken and bruised from his past.
“Steve?”
He looks at you and you see the confusion clouding his features. You start to realize that this was a part of James’ reluctance. Sharing this much space with a person means things come to light; sooner or later.
“I get it, at least I think I do,” he sighs and slouches down in his favorite armchair. “I don’t want to be a hindrance, but I understand.” You offer him a weak smile and he winks. “I’m still not changing the codes.”
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Transcendence
Jocelyn adjusted the sling-pack beneath her arm. Two bottles clinked together. She had grabbed them from the same restaurant where she had seen Vyn a few weeks prior. Melody, the server who had helped them both that evening, had greeted her enthusiastically. They spoke for awhile. She had asked Melody to write out the name of the wine they'd had during her last visit. She asked Melody to write the letters in her notebook. Once the server had finished, she handed notebook back:
"C-H-A-R-D-O-N-N-A-Y," had said Jocelyn, speaking the letters one by one. She had attempted to imitate the sound Melody had made, and largely succeeded, much to her friend's enthusiastic approval: "Shar-donnae," Jocelyn had said, beaming.
She thought back to that moment. For her it was like the same bolt of electricity that had shot through her when she had spelt literary. She felt as though she was learning a secret code, or being admitted to a secret club. When the two bottles in her pack clinked together, she automatically spelled it out and pronounced the varietal slowly. She liked how she felt different, felt powerful. Not like when she was in the ring, or anything like that, but in a different way. She was learning.
She rounded the corner, and walked up to Vyn's apartment. She unwrapped her shemagh, and mussed her hair to some semblance of presentable. She pulled the two bottles from her pack, and knocked the door. Her heart was racing and she was nervous, though she didn't know precisely why. A wayward piece of hair brushed against her eyelashes. She blew at it. Of course that was when Vyn had decided to open the door.
The elf leaned against the jamb. "Well here's a surprise," she said, blue lips shining in the warm lights coming from within her apartment. She looked down at the two bottles. "Darnassian Chardonnay," she said, reading the label. "Three year... you remembered."
Jocelyn nodded once. "Coul'n't forge'," she acknowledged. "Yer a 'ard one ta forge'," she fumbled over her words. "Yer wine likin', I mean."
"Is this a drop off, or..."
Jocelyn cleared her throat. "We need ta plan," she said, "Ta ge' th' Direc'or back."
Vyn shifted her weight, back flush against the jamb. "You're really invested in this, aren't you?"
Jocelyn flushed. "Ain' ya?"
The elf studied her for a moment. "You seem different, Jocelyn."
Jocelyn buttoned her pack. She looked at Vyn straight in the eye, something she had struggled to do the first time they had met. "Aye," she said. "I know why th' Direc'or picked me ta come wor' fer 'er. No' cause I'm jus' a body, no' cause I'm, uh, experi'nced. Nay."
Vyn raised a brow. "I could have told you all that," she said.
That caught Jocelyn off guard. She faltered in her words as the blush already awash across her cheeks darkened. "I coul'n't 'ave tol' meself tha' though," she said. “Tha’s th’ thin’.” She straightened up. So did Vyn. "Bu' now I can. Now I can say I ain' stupi', I ain' trash, I ain' none o' tha'. I'm jus' tryin'," she said. “I wanna do righ’. ‘elp me?”
Vyn warmly extended an open hand. "Come in," she said, voice quiet. "Let's find her."
( @lovelydeadlysocialite / @kat-hawke )
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1 - L’inconnue d’Isdal
Lorsque le 29 novembre 1970 deux fillettes et leur père découvrent le corps calciné d’une femme dans les sentiers escarpés de la vallée d’Isdalen, non loin de Bergen, toute la Norvège est sous le choc.

La découverte - La femme, cachée entre des rochers, est nue, recroquevillée et les poings crispés dans une position de boxeur, caractéristique des personnes immolées par le feu. “L’odeur nous prend à la gorge”, décrit Carl Havor Aas, juriste à la police de Bergen. Elle est entourée de ses affaires personnelles - un sac à main, des vêtements déchirés, une paire de bottes en caoutchouc bleues, un parapluie, deux bouteilles d’eau fondues, une autre de “Kloster Liqueur” à moitié bue, une pochette plastifiée et une cuillère en argent. À leur arrivée, un premier détail intrigue les enquêteurs : les étiquettes des vêtements et des bouteilles ont été soigneusement retirées. Le cou de la victime comporte une ecchymose, et du pétrole est décelé sous le corps. La peau poncée sous les doigts ne permet pas d’obtenir ses empreintes. La piste de l’homicide paraît alors évidente. Seulement, lors de l’autopsie, environ cinquante pilules de Gardénal - un antidépresseur, aussi utilisé contre certaines formes d’épilepsies - sont retrouvées dans son système digestif, apparemment ingérées à des moments différents. Quelques jours après la découverte macabre, deux valises appartenant à la victime sont retrouvées dans la gare de Bergen. Elles renferment une perruque, des lunettes de soleil, des lunettes sans correction et d’autres cuillères en argent, une ordonnance dont la date et le nom du médecin ont été grattés, deux bouteilles de cosmétiques dont les étiquettes ont été arrachées, 500 deutschemarks et 130 couronnes norvégiennes dissimulés dans une doublure. “Tout a disparu, même les marques du peigne et de la brosse à cheveux.”, affirme Tormod Bønes, l’un des enquêteurs. Enfin, un bloc-notes comportant le nom de plusieurs gares sur la ligne de Bergen, et un code. Seule affaire dont la référence n’a pas été supprimée : un sac du magasin de chaussures “Oscar Rørtvedt” de la ville de Stavanger. Lorsque les enquêteurs se rendent sur les lieux, le fils du gérant se souvient bien de cette femme venue acheter des bottes bleues trois semaines plus tôt. Il en fait une description détaillée : taille moyenne, cheveux longs et foncés, yeux brun foncé, visage rond, aux courbes légèrement marquées, presque potelées, et... aux jolies jambes. Un portrait-robot est alors constitué. On retrouve peu après sa trace dans un hôtel à quelques pas de là, où elle a dormi sous le nom de Finella Lorck, de nationalité belge. Ce qui s’est avéré être une fausse identité. Coup dur pour les policiers qui voient la résolution de l’enquête leur échapper.

Le parcours - Le décryptage du code retrouvé dans le bloc-notes est confié à Tor Martin Røhr Andresen. L’homme réussit à faire coïncider le message avec des lieux que la femme a visités en Norvège. Lorsque les enquêteurs se rendent dans les différents hôtels à proximité, ils découvrent que l’inconnue s’est enregistrée sous de multiples noms et autant d’origines que de passeports. Elle aurait voyagé de cette façon à travers l’Europe. Geneviève Lancier, Claudia Tielt, Vera Schlosseneck, Claudia Nielsen, Alexia Zarna-Merchez, Vera Jarle, Elizabeth Leenhouwfr et... Finella Lorch. Des témoins rapportent qu’elle avait parfois demandé à changer de chambre dans un même hôtel, pour en obtenir une sans balcon ou vis-à-vis. L’un d’eux l’aurait entendue dire à un homme dans le hall d’un hôtel “Ich komme bald” (“J’arrive.”), un autre encore l’aurait vue fumer des cigarettes françaises et entendue parler français. Elle était apparemment recherchée par la police qui la décrivait comme étant une “dame belge parlant anglais”. Le 3 octobre, elle aurait dîné avec un photographe italien à l’hôtel Alexandra, à Loen. L’homme est interrogé ; il certifie aux enquêteurs que la femme venait d’une petite ville d’Afrique du Sud et n’était que de passage en Norvège pour visiter le pays. Un avis de recherche est lancé par Interpol en Europe, Afrique et Proche-Orient : « Environ 25-30 ans. Taille 164 cm, mince avec des hanches larges. Longs cheveux brun-noir, petit visage rond, yeux bruns, petites oreilles. Les dents présentaient de nombreuses réparations, plusieurs des molaires avaient des couronnes d'or, et le travail dentaire est d'un genre pratiqué en Extrême-Orient, en Europe centrale ou méridionale et en Amérique du Sud. Quatorze des dents sont partiellement ou complètement réparées. Il y a une séparation marquée entre les deux dents avant supérieures. »
Les dernières pistes - Lorsqu’elle quitte la chambre 407 de son dernier hôtel qu’elle règle en espèces, elle semble sur ses gardes et monte dans un taxi. Pour aller où, ensuite ? Le chauffeur qui la mena du bâtiment à la gare ne fut jamais retrouvé. Les policiers ne sont pas parvenus à poser un nom sur cette inconnue. Les questions restent en suspens : pourquoi tant d’identités ? Pourquoi tant de déplacements ? Pourquoi tant d’indices dissimulés ? Pourquoi tant de méfiance ? L’inconnue était-elle en fuite ? Meurtre ou suicide ? Certains pensent que le contexte de Guerre Froide y fut pour quelque chose et vont jusqu’à supposer qu’elle était liée à une mission d’espionnage. D’abord suspectée d'opérer pour les services secrets soviétiques, cette piste fut écartée suite aux précisions d’Alexander Vassiliev (lui-même ancien agent du KGB) qui affirma que l’utilisation de nombreux passeports ne font pas partie de leurs méthodes, à la différence de celles du Mossad - agence de renseignements israélienne. Cette piste n’a, elle non plus, jamais été confirmée. Cependant, les dossiers déclassifiés de la défense nationale norvégienne rapportent que plusieurs des déplacements de l'inconnue coïncident avec des essais, à l'époque top-secrets, des missiles norvégiens Péguin, et des témoins l’auraient vue en pleine observation autour de sites sensibles.
Une affaire bouclée ? - La police a retenu le suicide par ingestion de médicaments, ce qui a soulevé des soupçons quant à l’implication de la police elle-même dans cette affaire. L'inconnue de l'Isdal fut enterrée le 5 février 1971 au cimetière de Møllendal à Bergen, dans une tombe anonyme, suivant une cérémonie catholique. À noter qu’enfant, elle se serait échappée d’Allemagne avec ses parents à la montée du nazisme, laissant supposer qu’elle était juive ou tsigane. L’affaire reste médiatisée en Norvège, et certaines pistes semblent ne pas avoir été exploitées. Comme un témoignage - tardif - en 2002. Le 24 novembre 1970, un randonneur aurait aperçu une femme d’apparence étrangère, dont les vêtements élégants n’étaient pas conformes à une promenade en montagne. Elle était apeurée et suivie par deux hommes habillés en noir. Ce témoin potentiel a immédiatement reconnu le portrait-robot. L’un des policiers de l’époque lui aurait répondu “Oubliez-la, elle a été tuée. L'affaire ne sera jamais résolue.” Ce à quoi le témoin obéit. Elle reste simplement le dossier “134/70” à l’hôpital de Bergen où a eu lieu l’autopsie.
Et maintenant ? - Depuis 2016, des journalistes norvégiens de NRK remettent le dossier sur la table. Un portrait-robot a été commandé à l’artiste américain et spécialiste de la reconstruction faciale Stephen Missal. Les analyses ADN évoquent la possibilité qu’elle soit née autour des années 1930, près de Nuremberg. Elle aurait suivi une scolarité en France, d’après son écriture.
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21- LA CIGARETTE

Je suis dans le 16ème mais Martial n'est pas là. Et si j'appelais Michel, le mec bizarre, il habite à côté. Une dame à l'accent très 16ème répond. Elle crie avec la moitié de la main sur le combiné que c'est pour Michel et Michel doit être loin, Il ne vient pas tout de suite. "Michel, c'est pour toi, c'est Philippe Claude" dit la dame impatientée. J'entends un très lointain "J'arrive". Ces gens là habitent dans un château en plein Paris ou quoi? Non, je ne dérange pas, je peux venir si je veux, il y a des livres que je peux venir emprunter. Je dois noter le code de la porte de l'immeuble.
Les gens demandent toujours quel est votre plus grande qualité, et tout de suite après votre plus grand défaut. Il faut répondre avec l'air surpris et dire qu'on ne sait pas, que personne ne l'a jamais demandé, et faire semblant d'improviser. "Ma plus grande qualité, c'est la sincérité je crois". La sincérité, ҫa sonne bien, et ҫa donne le droit de dire des erreurs par la suite. Pour le plus grand défaut, c'est plus délicat, il faut trouver un défaut qui est une qualité en fait. Le mien, c'est la curiosité et c'est vrai, je suis d'une curiosité absolue. Les gens disent alors que ce n'est pas vraiment un défaut, que c'est presque une qualité. Et là, il faut donner un exemple où notre curiosité nous a mis dans une situation embarrassante et tous le monde rit. La conversation est lancée, chacun raconte sa propre aventure et on devient soit même quelqu'un de très charmant et spirituel. Mais en vrai, si quelqu'un m'invite chez lui, je ne peux vraiment pas résister. Sans mentir. Les gens les plus louches, habitant dans des endroits inhabitables, si je suis invité, j'y vais. En sachant que je vais regretter. Je regrette sans vraiment regretter. Il y a-t-il quelque chose comme le regret à court terme? Je suis dans un endroit sordide et je regrette de me trouver là sur le moment mais dès que j'en suis sorti, alors là je suis heureux d'avoir vécu ce moment intense. Aujourd'hui, je suis invité dans un château, je ne vais pas refuser.
En 1984 à Paris, les punks n'existent pas, il faut être BCBG, être Bon Chic et avoir Bon Genre. Le comble du BCBG, c'est d'habiter dans le 16ème, mais pas n'importe quel 16ème. Il y a un triangle d'or. Neuilly-Auteuil-Passy. Les habitants de ce triangle sont les "NAPies" à ne pas confondre avec les "Nappies", ces adultes qui ont le fétiche des couches-culottes. Martial et Michel sont des NAPies.
Il y a de la pierre de taille, des miroirs, une loge de concierge avec une Portugaise, un grand escalier et un ascenseur vieillot à grille coulissante. Tout est à sa place. "Il ne faut pas outilicher l'achencheur, il est très lent, Meuchieu van Lierde habite au premier étache". La porte de l'appartement est une gigantesque double porte avec un paillasson qui occupe toute la largeur du palier, pas seulement là on où entre effectivement.
La dame du téléphone ouvre la porte, une cigarette à la main, et me dit que Michel m'attend, c'est la chambre du fond. L'appartement est vraiment comme dans un château, c'est plein de meubles du XVIIIème siècle.
Je connais bien les châteaux de la Loire. Tous les châteaux de la Loire. Je connaissais même une des guides du château de Cheverny, le modèle du château de Moulinsart dans Tintin. Il y a deux sortes de châteaux le long de la Loire, les privés et les autres; nationaux ou patrimoine ou Unesco ou quoi que ce soit avec des subventions. Les privés appartiennent en général à des familles qui parviennent tant bien que mal à entretenir et réparer leur héritage en faisant visiter une partie de leur demeure et en appelant au bon cœur des touristes. Les meubles anciens sont réunis dans l'aile historique. "François Ier a dormi une nuit dans ce lit. L'aïeul de ma cousine germaine était compagnon d'armes de Napoléon. La cheminée date de la première construction au XIIème siècle..." Les visiteurs impressionnés se promènent sur le parquet rayé entre les meubles miteux et imaginent un passé plein de grandeurs. Une crêperie est improvisée dans les communs et une boutique de souvenirs dans les écuries. Le tour est joué, les travaux du donjon pourront commencer l'année prochaine, ... ou la suivante. En vélo, c'est tout plat, c'est le long de la Loire, et si on a bien préparé, entre les grands et petits châteaux on trouve tous les 10 kilomètres une bâtisse extraordinaire. Pour certains petit châteaux, il faut prendre rendez-vous pour les voir mais tous sont absolument visitables.
Chez Michel, c'est pas Renaissance, c'est très Louis XV. C'est plein de commodes, de vitrines, de secrétaires et de livres. Les livres sont partout et la bibliothèque recouvre deux murs entiers. Sur une vilaine moquette tachée, des bergères sont tapissées d'un velours vert décoloré par la lumière; elles ont l'air défoncées mais très confortables. Un livre est posé là avec l'accoudoir de l'une des bergères comme marque-page. La dame s'y réinstalle, ajuste ses lunettes, se sert de son mégot pour allumer une nouvelle cigarette.
Je suis devant la porte de la chambre du fond et elle est fermée. Je jette des regards désespérés autour de moi mais la dame a repris sa lecture et ne me voit pas. Je suis dans un château hanté, tout seul au milieu du couloir, avec des fantômes qui m'ignorent. Perplexe, je frappe à la porte et j'entends "Rentre Philippe et referme la porte derrière toi". Il n'y a plus de vouvoiement précieux mais Michel est assis les jambes tendues sur son lit, tout habillé, en train de fumer avec un livre dans les mains. Quelle mise en scène! Il est en train de relire Proust. Lire Proust, c'est déjà tellement snob, mais là relire Proust, je n'ai jamais rien entendu d'aussi hystérique! Non, moi je n'ai étudié que "La madeleine" à l'école et non je ne savais pas que les jeunes filles en fleurs de Marcel Proust étaient en fait des garçons. Je suis invité à m'assoir et j'ai l'impression de devoir assister au lever du roi, ou de la reine, je ne sais plus très bien.
Pour moi, l'homosexualité n'est pas un détail, c'est un combat, une lutte quotidienne pour que soient reconnus des droits élémentaires refusés aux gays. Je ne m'estime pas un militant mais notre communauté doit se montrer unie et active. Rester chez soi à lire des livres, ҫa n'est pas très productif à la fin. Il me demande si je veux fumer une cigarette. Je ne fume pas.
Je ne dirai jamais que j'ai été élevé dans la foi des Témoins de Jéhovah et que là c'était strictement défendu de fumer. Mais je raconte volontiers mon unique expérience. Alors que j'avais 15 ans et que mes parents étaient partis pour le week-end, j'avais décidé d'enfreindre tous les interdits. Je boirai de l'alcool, je fumerai et irai en boîte de nuit. L'alcool serait le whiskey et j'y mettrai du Coca-cola. Même le Coca était interdit, ce produit d'une société matérialiste et mercantile. Les cigarettes seraient des Marlboro. Le paquet coûtait 7 francs, c'était cher. Au lycée beaucoup fumaient, certains en cachette. 15 ans c'était l'âge où les parents fumeurs autorisaient leurs enfants à fumer. Le pire c'était "crapoter", faire semblant de fumer. Il fallait aspirer la fumée en faisant du bruit et la rejeter longtemps après sans bruit. Je m'étais mis devant la grande glace de l'entrée à la maison, et je m'étais entraîné. Inspirer, ... expirer. Rien à voir avec de la gymnastique. Inspirer ... expirer. Je me regardais dans la glace et je n'arrivais pas à prendre la bonne contenance. Mes mains restaient gauches, mon attitude maladroite. J'avais fumé tout le paquet de Marlboro en deux jours et j'avais fait un bilan. - À 15 ans l'expérience cigarette n'est pas pour moi, comme ҫa l'est pour les adolescents de mon âge, une expérience sociale. C'est une recherche scientifique, avec une analyse. Je suis un peu dérangé mais je ne m'en rends pas compte - J'avais fait un bilan où le sens et l'utilité de la cigarette n'avait pas été démontrés. C'était énormément contraignant, fumer en cachette serait vraiment compliqué, et en plus ҫa n'apportait aucun plaisir. Je voyais bien la nonchalance et le flegme associés aux fumeurs des terrasses de cafés branchés mais je n'y arriverait jamais. L'air de vouloir en faire partie sans y parvenir me rendrait ridicule. 7 francs pour avoir l'air ridicule, c'était cher payé. La cigarette se résumait uniquement pout moi à une attitude, aucune sensation agréable de goût, d'odeur ou de plaisir en général ne pouvait s'y associer. J'avais jeté mon paquet vide en me promettant de ne plus jamais fumer de ma vie et je m'y étais tenu. La vérité est que, si même je n'avais éprouvé aucun plaisir, ces 20 maigres cigarettes avaient créé une sorte de mini habitude. Je m'étais demandé si le secret de la cigarette n'était tout bonnement que de satisfaire un besoin qui avait été créé artificiellement. J'avais tant de besoins qui existaient déjà, je ne voyais pas l'intérêt d'en créer de nouveaux aussi coûteux.
Michel écoute la version expurgée de mon expérience, fait des ronds de fumée et me demande si la fumée me dérange. Je ne suis pas cool mais pas à ce point là. Tous mes amis sont super cool et tous fument, alors ҫa ne me dérange absolument pas. En fait, je me méfie des gens qui ne fument pas, c'est bizarre. Oui, je suis bizarre moi aussi mais je me soigne, je recherche la compagnie des gens normaux, ... qui fument. Je parle et j'essaye d'être distrayant. Je ne m'aperçoit pas que ce que je dis n'a aucune importance. Je suis joli et désirable, ҫa pourrait suffire mais je dois toujours prouver quelque chose, une aptitude sociale et intellectuelle qui n'est pas là à la base. Je dis que la fumée ne me dérange pas mais la vérité, c'est que j'ai appris à pouvoir supporter cette odeur épouvantable. Je pense que mon odorat est plus développé que la moyenne, je réagit de façon violente aux odeurs. Il y a trois choses dont l'odeur me dégoûte et ce sont les choses les plus sociales, la cigarette, la bière et le café. Je suis (ou veux être, je ne sais plus vraiment) une personne sociale, alors je me suis accoutumé à ces rituels barbares autour de moi. Sans rire, l'odeur d'un cendrier froid, ҫa me soulève le cœur! Mais vraiment, si les gens mettent leur nez au-dessus d'une bière, est-ce qu'ils peuvent avoir envie de la boire? C'est pire que l'odeur de la pisse, non? Ne parlons pas du café froid, insupportable! Je ne dis rien de tout cela, je ne suis même pas sûr d'en être vraiment conscient, je n'ai de toute façon pas suffisamment d'assurance pour énoncer des choses aussi provocantes. L'histoire se terminera donc seulement avec le ridicule de mon apparence en essayant de fumer devant la glace. Je m'excuse en fait de pas fumer en invoquant le ridicule.
Je suis intrigué par Julien Green et j'aimerais emprunter un de ses romans. Je vais voir, c'est extraordinaire. Michel se lève finalement et trois jolis fascicules jaunis de la NRF se retrouvent immédiatement dans mes mains. Dès que je les aurai lus je pourrai revenir les échanger pour d'autres. Je lis très vite, je serai certainement là la semaine suivante. Mais ce serait avec grand plaisir. Je vais être raccompagné jusqu'à la porte? Que de politesses avec les gens bien élevés! La dame est debout et me tend la main. Est-ce qu'il faut faire un baisemain? Non, la main est assez molle mais les mots sont enthousiastes. C'est un tel plaisir de voir Michel recevoir de la visite, je dois absolument venir dîner un soir. "Maman, tu vois bien que tu mets Philippe mal à l'aise!" La dame est la mère de Michel! Michel a 25 ans et il habite encore chez ses parents! Ces gens là sont vraiment en dehors de l'ordinaire!
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Des livres mémorables
1) Les piliers de la Terre

Quatrième de couverture :
“ Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagé par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Cette saga est unanimement considérée comme l'oeuvre majeure de Ken Follett, qui nous offre ici une fresque monumentale dont l'intrigue aux rebonds incessants s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien. Promené de pendaisons en meurtres, des forêts anglaises au coeur de l'Andalousie, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrémédiablement happé par le tourbillon d'une superbe épopée romanesque dont il aimerait qu'elle n'ait pas de fin. “

Suite d’Ellen
Quatrième de couverture :
“ Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Cette saga est unanimement considérée comme l'ouvre majeure de Ken Follett, qui nous offre ici une fresque monumentale dont l'intrigue aux rebonds incessants s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien. Promené de pendaisons en meurtres, des forêts anglaises au cur de l'Andalousie, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrémédiablement happé par le tourbillon d'une superbe épopée romanesque dont il aimerait qu'elle n'ait pas de fin. “
2) Je , François Villon

Quatrième de couverture :
“ Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a étudié à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les curés, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps. Il a ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté.”
3) Charly 9

Quatrième de couverture :
“ Charles IX fut de tous nos rois de France l'un des plus calamiteux. À 22 ans, pour faire plaisir à sa mère, il ordonna le massacre de la Saint-Barthélemy, qui épouvanta l'Europe entière. Abasourdi par l'énormité de son crime, il sombra dans la folie. Courant le lapin et le cerf dans les salles du Louvre, fabriquant de la fausse monnaie pour remplir les caisses désespérément vides du royaume, il accumula les initiatives désastreuses. Transpirant le sang par tous les pores de son pauvre corps décharné, Charles IX mourut à 23 ans, haï de tous. Pourtant, il avait un bon fond. “
4) La Chute des géants

Quatrième de couverture :
“ A la veille de la guerre de 1914-1918, les grandes puissances vivent leurs derniers moments d'insouciance. Bientôt la violence va déferler sur le monde. De l'Europe aux États-Unis, du fond des mines du pays de Galles aux antichambres du pouvoir soviétique, en passant par les tranchées de la Somme, cinq familles vont se croiser, s'unir, se déchirer. Passions contrariées, jeux politiques et trahisons... Cette fresque magistrale explore toute la gamme des sentiments à travers le destin de personnages exceptionnels... Billy et Ethel Williams, Lady Maud Fitzherbert, Walter von Ulrich, Gus Dewar, Grigori et Lev Pechkov vont braver les obstacles et les peurs pour s'aimer, pour survivre, pour tenter de changer le cours du monde. Entre saga historique et roman d'espionnage, intrigues amoureuses et lutte des classes, ce premier volet du Siècle, qui embrasse dix ans d’histoire, raconte une vertigineuse épopée où l'aventure et le suspense rencontrent le souffle de l'Histoire... “
C’est une trilogie : La chute des géants , L’hiver du monde , Aux portes de l’éternité.
5) Misery

Quatrième de couverture :
“ Misery, c'est le nom de l'héroïne populaire qui a rapporté des millions de dollars au romancier Paul Sheldon. Après quoi il en a eu assez : il a fait mourir Misery pour écrire enfin le " vrai " roman dont il rêvait. Et puis il a suffi de quelques verres de trop et d'une route enneigée, dans un coin perdu... Lorsqu'il reprend conscience, il est allongé sur un lit, les jambes broyées dans l'accident. Sauvé par une femme, Annie. Une admiratrice fervente. Qui ne lui pardonne pas d'avoir tué Misery. Et le supplice va commencer. Sans monstres ni fantômes, un Stephen King au sommet de sa puissance nous enferme ici dans le plus terrifiant huis clos qu'on puisse imaginer. “
6) 1984

Quatrième de couverture :
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.»
7) 1Q84

Quatrième de couverture :
“ Entre l'an 1984 et le monde hypnotique de 1Q84, les ombres se reflètent et se confondent. Unies par un pacte secret, les existences de Tengo et d'Aomamé sont mystérieusement nouées au seuil de deux univers, de deux ères... Une odyssée initiatique qui embrasse fantastique, thriller et roman d'amour, composantl'œuvre la plus ambitieuse de Murakami. “
8) Tu ne jugeras point

Quatrième de couverture :
Lorsque l'enfant disparaît... Lorsque, ce jour-là, Denise Desantis entre dans un magasin, elle est pressée et elle laisse son dernier-né dans la poussette, devant la porte. Lorsqu'elle ressort, la poussette est vide. Les investigations du juge commencent par l'interrogatoire de Denise Desantis, la mère. C'est une femme ordinaire, effacée. Mère de quatre enfants. Tout prouve son innocence. C'est une femme sans histoires. Et pourtant...
9) Blade Runner - Les androïdes rêvent-il de moutons électriques ?

Quatrième de couverture :
“ Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ? “
10) Le troisième jumeau

Quatrième de couverture :
“ Comment deux vrais jumeaux, dotés du même code ADN, peuvent-ils être nés de parents différents, à des dates différentes ? C'est pourtant ce qui arrive à Steve, brillant étudiant en droit, et à Dennis qui purge une peine de prison à vie.Pour s'être intéressée de trop près à cette impossibilité biologique, Jeannie Ferrami, jeune généticienne de Baltimore, va déchaîner contre elle l'Université et la presse, cependant que Steve, dont elle s'est éprise, est accusé de viol, sa victime l'ayant formellement reconnu.Une seule hypothèse : l'existence d'un troisième jumeau. En s'orientant vers cette piste étrange, Jeannie ne se doute pas qu'elle touche à de formidables secrets, qui impliquent l'Amérique au plus haut niveau. “
11) La pourpre et l’olivier

Quatrième de couverture :
“ Deux siècles après la mort du Christ, l'Eglise chrétienne est encore pourchassée et déjà divisée, tandis qu'un homme, Calixte, se prépare à devenir le seizième successeur de Pierre. Nul n'aurait pu lui prédire pareil destin. Ni les légionnaires qui l'ont enlevé de Thrace et vendu à Rome comme esclave, ni le puissant sénateur qui en fit son banquier, ni Marcia, la concubine de l'empereur Commode à qui l'attache une passion démesurée, et surtout pas les chrétiens eux-mêmes dont il méprise la soumission. De Rome à Alexandrie, d'Antioche aux bagnes de Sardaigne, un homme hors du commun brise les chaînes de la fatalité et entreprend un bouleversant voyage en quête de la Vérité qui le conduira à la charge suprême pour laquelle il était appelé. “
12) L’assassin royal - L’apprenti assassin

Quatrième de couverture :
“ Au royaume des six Duchés, le prince Chevalerie, de la famille régnante des Loinvoyant - par tradition, le nom des seigneurs doit modeler leur caractère- décide de renoncer à son ambition de devenir roi-servant en apprenant l'existence de Fitz, son fils illégitime. Le jeune bâtard grandit à Castelcerf, sous l'égide du maître d'écurie Burrich. Mais le roi Subtil impose bientôt que FITZ reçoive, malgré sa condition, une éducation princière. L' enfant découvrira vite que le véritable dessein du monarque est autre : faire de lui un assassin royal. Et tandis que les attaques des pirates rouges mettent en péril la contrée, Fitz va constater à chaque instant que sa vie ne tient qu'à un fil : celui de sa lame... “
Il y a plusieurs suites.
13) Le Magasin des Suicides

Quatrième de couverture :
“ Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort ! Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre... “
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Depuis son plus jeune âge, Mia avait entendu parler de ces rebelles, ces gens exclus de la société. mais jamais à cet âge si jeune, elle aurait pu imaginer qu'elle en ferait partis dès ses 18 ans. C'était une petit fille unique, drôle et passionnée par ce qui l'entourait, ses parents étaient tout les deux dans l'éducation. un métier bien modeste qui permettait tout de même à la famille de subvenir à ses besoin. Mia avait en soit toutes les choses nécessaire pour s'épanouir dans un cadre sain et agréable, sans manquer de rien. Mais rapidement, l'idylle enfance laisse place aux tumultes de l'adolescence ; les début de la liberté et de l'indépendance. Dès ses 16 ans, Mia rencontra des gens qui restèrent pendant plusieurs années ses meilleurs amis. A cette époque, tous voyait leur groupe d'ami comme une seule et même entité indestructible, et c'est avec elle qu'elle eu ses premières expériences avec ce qui deviendrait plus tard sont plus grand combat : la drogue. Elle commença par un ou deux pétard par ci par là, à cet âge noble, le joint est banaliser aux yeux de tous, c'était d'ailleurs devenu un acte des plus naturel pour chacun, un véritable partenaire de vie. Subtilement, l'amour pour cette façon incroyable de se déconnecter du monde vient se conjuguer à cette réalité qu'ils voulaient tous fuir : la vie d'adulte et les responsabilités arrivaient à grand pas. Mais personne ne voulait le croire ni le voir, le paradis artificiel les maintenait tous dans une bulle où ils se sentaient à l'aise et où il pensaient naïvement avoir le contrôle sur la situation. Ce n'est un secret pour personne, la drogue éveil l'esprit, la réflexion, et l'esprit critique, pour ne citer que les côtés avantageux. Il y avait quelque chose qui arrivait dans la vie de Mia et cela n'avait pas le luxe de lui plaire. Malheureusement, il semblait impossible d'y échapper. Bientôt, il sera l'heure de grandir, la peau de l'adolescence se fait trop petite, comme ses compères plus vieux qu'elle, il va bientôt falloir entamer sa mue, suivre des codes et des règles, choisir une voie pour construire son futur, mettre le nez dans l'administratif, faire des choix pour suivre les attentes de ses parents qui pour Mia, avaient déjà échafauder tout un plan de vie et de carrière bien ficelé pour leur progéniture. Un avenir radieux se dessinait à l'horizon dans l'esprit de ses parents. Cependant, la première intéressée ne l'entendait pas de cette oreille. Avec le temps, la réflexions et les idées se construisent et se solidifient ; pourquoi devrait elle suivre un schéma qui ne l'intéresse pas ? Pourquoi quelqu'un d'autre qu'elle devrait décider de son avenir ? La flamme de la rébellion c'était allumé au fond de son cœur. Plus le temps passait, plus le schéma traditionnel qui s'offrait à Mia l'insupportait. A l'aube de son dix septième anniversaire, tout était clair pour elle : elle ne choisira pas ce chemin. Entre temps, ses fréquentation avaient elles aussi évoluées, son groupe d'amis avait grandit, lui aussi. La soif de découverte, de liberté et se besoin de faire la fête lui aussi, avait grandit et prit une place toute particulière dans le cœur et l'esprit de Mia. Ses envies étaient clairs : elle voulait profiter, expérimenter, rire, se sentir libre. Ses amis et la drogues étaient devenus son refuge, elle avait cette impression d'être elle même avec eux, se détachant petit à petit de ses proches et de sa famille, qui voient d'un très mauvais oeil cette déchéance dans laquelle Mia prend plaisirs à participer. Malgré les tentatives des ses parents, Mia s'éloigne de la vie de famille, qu'elle juge trop fade à son goût. Ses parents deviennent à ses yeux des pantins complètement absorbés par un système et une société à laquelle elle n'a jamais aspiré. La fracture familial se fait de plus en plus ressentir et durant le cour de sa dix septième année, Mia devient le fantôme de sa famille. Ses amis, souvent plus vieux qu'elle, lui offre l'hébergement gratuit, alors elle vagabonde d'appartements en appartement, revient parfois chez maman, mais jamais bien longtemps. Sa vie se déstructure petit à petit. L'école touche à sa fin et ne lui offre plus d'emplois du temps pour rythmer ses semaines, les prises de drogues d'un autre calibre chamboule son horloge interne, la notion de nuit et de jour devient un simple détail. Sa vie prend un tournant radical, mais quitter son ancienne vie et sa famille est loin d'être une chose aisée. Ce nouveau chemin de vie ne lui occulte pas ses émotions, bien au contraire. Alors, elle attendra ses dix huit ans pour faire un nouveaux choix qui va finaliser ce changement. Un matin, elle disparait une énième fois de la maison familiale, mais cette fois ci, en laissant une lettre derrière elle. Une voiture l'attend sur le trottoir d'en face, et Mia disparait pour la dernière fois aux côté de son amoureux de l'époque, un jeune homme quelques années plus vieux qu'elle, avec comme unique carrière le deal de toutes sortes de drogue. Depuis ce jours, Mia à bien grandit. Ses choix de vie l'ont conduit à devenir une femme forte et sournoise. La peur n'a depuis longtemps plus sa place. La confiance est une notion très subtile qu'elle manie avec autant de finesse que son humour cinglant et cynique. Elle a finit par trouver refuge dans un appartement en collocation avec des vielles amies, en périphérie d'une grande ville, et pour gagner de l'argent et survivre dans le nouveau monde dans lequel elle a fait le choix de s'embarquer, elle décida de devenir tatoueuse. D'abord de manière officieuse, dans ses conditions assez bancales voir dangereuses, avant de prendre le temps de se professionnaliser et passer par un cursus de formation officiel. Mais les profits n'étaient pas assez conséquents. Mia avait beau avoir grandit, son train de vie n'était qu'un boulet qu'elle trainait au quotidien. Désormais, ses addictions ne se limitait plus qu'au pétard, et ça depuis longtemps. Son visage en avait déjà commencer à faire les frais d'ailleurs, tout comme son compte en banque. Alors elle décida de s'allier à son ex petit ami, le même avec qui elle s'était enfuis quelques années auparavant, pour devenir à son tour une des branches du réseaux de drogue dans lequel elle avait mit le nez dedans depuis des années. Ce qui est sûr, c'est que devenir la seule femme dans un tel réseaux n'a fait qu'endurcir sa personnalité déjà bien trempée. Malheureusement, tout ceci n'est pas sans conséquences. Mia à perdu le goût de l'aventure et se méfie des choses qui l'entoure. Sa vie à retrouver un cadre, mais le maintenir l'épuise jour après jour. Ses démons ne la quitte plus, elle a apprit à vivre avec jour et nuit. Mia n'a jamais eu de nouvelles de sa famille depuis son départ précipité et inattendu. La fracture et le déshonneur était trop profond, les blessures engendrée surement irréversibles. Parfois, elle regrette. Mais il a très peu de place pour le regret dans un monde enfumé et distordu. Elle songe souvent à la vie qu'elle aurait mené si ses choix de vies auraient été différents, si elle avait suivi le schéma dicté par ses parents. Silencieusement, ses pensées la ronge de l'intérieur. - RP - Encore une fois, je me réveille en pleine nuit à cause de ce cauchemar. Ce cauchemar qui revient toujours, avec le même début et la même fin, celui où je vois mes parents me dire au revoir à travers un vitre qui se fissure petit à petit, leur visage suinte la tristesse et la déception. Ils ne disent pas un mot, le silence est assourdissant. Il est quatre heure, les fenêtre sont entre ouvertes et le silence qui traîne dans la rue est presque morbide. Je me sens vide de sens et d'intérêts. Après plusieurs tentatives infructueuses, impossible de me rendormir. Je me lève donc brusquement, faisant voler la couette au pied de mon lit, et me dirige jusqu'au salon, laissant le parquet grincer sous mes pieds. Mes mains frotte vigoureusement mon visage alors que mes cheveux démontre la nuit agitée que je viens de passer. Personne n'est réveillé, ou du moins le salon est libre. J'allume au passage l'interrupteur et me laisse tomber sur le canapé, mon regard se vide et je fixe le plafond face à moi. Je suis encore bouleversée par ce rêve, mes jambes tremblent, je me sens fragile et épuisée, mon cœur bat contre ma cage thoracique et une goutte de sueur perle sur mon front. Pourtant ce n'est pas la première fois que je fais ce rêve. Je n'ai pas le temps de me laisser abattre. Je me redresse donc et me frotte à nouveau le visage avant d'attraper une petit sachet d'herbe qui traîne sur ma table, je ne pourrais pas affirmer qu'il m'appartient, mais ça m'est égale j'ai besoin de fumer un joint pour me calmer et reprendre mes esprits. Je prépare donc rapidement ma longue cigarette magique et allume la télévision, persuadée que ces deux élément réussiront à me faire oublier la raison de ma présence sur ce canapé. Foutaises. une fois mon stick écrasé dans le cendrier posé sur l'accoudoir du canapé et au bout d'une heure et demi de télévision, les images de mon rêve me hantent encore. Je dirais même que ça n'a fait qu'accroitre mes ressentis. Je me sens coupable, une culpabilité lourde et indigeste. J'ai du mal à l'admettre, mais je ressent le manque de leur présence, et mes rêves en sont une belle illustration. Mon auto persuasion n'est pas assez forte pour ça et je me sens envahir par mes craintes, mes doutes, mes remords et mes regrets. Ma respiration s'accélère et mes tremblements reprennent subitement, j'ai beau fermer les yeux, le visage de mes parents est incrusté sous mes paupières et dans ma mémoire. Il ont surement dû changer, vieillir, mais comment savoir ? Mes mains se glisse dans mes cheveux pour les empoigner tandis que mon visage fait face au sol. J'ai l'impression que je vais imploser de tristesse, me faire engloutir par le trou que j'ai dans la poitrine. Je n'entend plus qu'un bruit sourd, la solitude m'enlace. Peut être fraudait il que j'en parle à quelqu'un ? Non. Je dois porter mes choix jusqu'à la ligne d'arriver. Alors je prend un grande inspiration et me redresse. Je reste assise sur ce canapé à m'abrutir devant cette télévision jusqu'à ce que le soleil ce lève, l'appétit n'est même pas au rendez vous. Le soleil glisse entre les volets et la fenêtre, les filles vont finir par se réveiller elles aussi. Je finis par quitter ce canapé pour passer ma tête à travers la fenêtre. Le froid de dehors glisse doucement contre la peau de mon visage et de mes bras découverts, j'observe les quelques rares personnes déjà réveillée qui traînent dans la rue. Ceux qui rentrent en titubant, ceux qui sont déjà prêt pour une journée de 10h de travail. Je commence à penser à tout et rien à la fois, ça y est je me sens mieux, les tumultes sont passés. Je ferme les yeux et soupire légèrement afin de profiter de ces quelques instant de sérénité jusqu'à ce que je sois coupée par le bruit de mon interphone qui sonne. Je soupire, excédée, puis lève les yeux au ciel. À croire que le destin joue avec moi et aime se foutre de ma gueule. Je me dirige donc vers l'interphone, non sans être blasée, et décroche. Mon premier client et matinal aujourd'hui. je pars chercher sa commande et enfiler un pantalon le temps pour lui de monter les escaliers. J'entre ouvre prudemment ma porte d'entrée pour faire la transaction, encore débraillé de mes péripéties de cette nuit. Je laisse mon client au dents rongées repartir avec son gramme de bonheur artificiel, et je retourne à la fenêtre, pour reprendre là où j'en étais dans ma réflexion.
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“Strongest Emotion” Part One
Summary: Bucky knows what it’s like to feel pain, torture, sadness and insecurities. What happens when he discovers love is the best emotion he’s felt?
Pairing: Bucky x Reader
OFC: Nat, Wanda, Steve, Sam, Tony, Steve
Word Count: 1,444
Warnings: None
A/N: Congratulations @soldatbarnes on your milestone. Here’s my submission to your writing challenge. I really hope you like it.
The word I chose is LOVE!
Humans experience a myriad of emotions…...anger, frustration, joy, disgust, shame, fear, desire and anxiety. James Buchanan Barnes has experienced damn near every emotion known to man. But he’ll be the first to admit, love is the strongest of them all.
Now I’m sure skeptics will disagree. See, his past didn’t allow him to feel anything substantial except pain! All of that changed when he met Y/N. Intelligent, reserved, and stunning.
Bucky confessed his feelings to Steve. “Stevie, she’s an angel. I know someone like me doesn’t deserve her. Y/N’s pure and I’m damaged goods.”
Self-loathing reared its ugly head again. No matter how hard Steve tried to reassure Bucky he was a man worthy of happiness, doubt crept up and told him different.
Y/N relocated from the city to the Avengers compound. Tony reminded her of the potential threats against her life. The nature of her work is centered around gathering intelligence and breaking complex encryptions. Eventually, Y/N relented. Bucky was over the moon happy.
Tossing and turning in bed, Y/N gave up on sleep and decided to wander around. After an especially grueling mission, the team turned in early.
Thinking everyone was asleep, Y/N slipped out of her room wearing a pair of violet sleep shorts with a white tank top. Her attire left nothing for the imagination. Every curve displayed of her svelte figure.
Roaming past the living room, Y/N noticed flickering tv screens shadow illuminating the darkness. Unsure of its occupant, she made silent strides toward the light.
Sitting in the darkness, Bucky sweat laden and exhausted stared blankly at the screen. Y/N didn’t want to startle him.
Clearing her throat, Y/N smiled at Bucky. “H-hi James. I didn’t mean to sneak up on you. Are you okay?” Genuine concern heard in her tone.
“Nightmare,” resting his head in his hands.
“I’m sorry. Would you like to maybe talk about it?” Y/N fiddled with the end of her tank top.
Reluctantly, Bucky nodded ‘no.’ He wanted to open up and tell Y/N his deepest darkest secrets. His insecurities wouldn’t allow it.
“Okay. Well, I hope the sandman visits and you sleep peacefully.” Y/N left the room, flashing her signature brilliant smile.
Bucky wasn’t aware that Y/N had a secret crush on him. The day they met, Bucky appeared withdrawn and unsure of his surroundings. She understood his trepidation; his past preceded him. All she saw was a handsome, gentle teddy bear who deserved happiness and peace.
Chastising himself, Bucky shook his head. “Way to go Barnes. You missed your chance.”
Over the following weeks, HYDRA reared its ugly head. Y/N’s workload increased tenfold, as well as the team’s mission count doubled.
Steve summoned everyone to the conference room. Y/N hadn’t slept for 8 hours. She’d never encountered anything like this.
“Listen up. Y/N’s gonna give us an update on the data Nat found.” Steve stood to the side, as Y/N walked to the front of the square teak wood table.
“I’ve been at this for over 8 hours and never have I come across a program with codes inside of codes. I broke through four codes only to discover another more complex code. I’m so sorry everyone.” Y/N lowered her head.
“So you don’t know anymore than we do huh? Expert my ass!” Bucky’s voice dripped venom.
“BARNES! WHAT THE FUCK IS WRONG WITH YOU? SHE’S DOING HER BEST!!,” Tony shouted.
“Excuse me. I’ll go back to my office and try harder.” Y/N whispered, teary eyed.
“We’re all tired and in need of sleep. Let’s pick this up when our eyes are fresh.” Steve shot dagger at his childhood friend.
Y/N, Nat and Wanda exited the conference room. Wanda didn’t mean to read her mind. Y/N’s body radiated somber aura.
“Why don’t you come by Nat’s room for wine and girl talk,” Wanda smiled.
“Thanks guys. I’m gonna take a shower and watch Netflix. I’ll probably fall asleep anyway.” Y/N sighed.
Nat and Wanda bid her goodnight.
Tony and Bucky almost came to blows over how me talked to Y/N. “YOU DUMB FUCK! ARE YOU OUT OF YOUR FRIED MIND?? WHY’D YOU TALK TO HER THAT WAY? SHE’S NEVER DONE ANYTHING TO YOU!!”
Sam chimed in, “Yeah man, that was fucked up. You’re not the only one stressed. Y/N’s probably stressed more than any of us. I get it. HYDRA’s making a comeback and you’re upset. But, she didn’t deserve that and you owe her an apology.”
Before leaving the conference room, Tony warned Bucky. “You better fix this, you tin arm asshat.” Sam followed Tony.
“Well you gonna chew me out too, Stevie? I shouldn’t have said that. Didn’t wanna hurt her for nothing in the world. I care for her.” Bucky slumped in his chair.
Leaning against the door jamb, Steve’s disgusted look spoke volumes to his friend. “I’m disappointed in ya pal. You owe Y/N an apology. Afterwards, try and get some sleep.”
Bucky remained in the conference room going over in his mind why he’d yelled at Y/N. His heart shattered recalling the sadness in her big blue eyes. An apology wasn’t good enough. So he did the next best thing; showered, dressed, and walked to the nearest flower market. In front of him were roses, lilies, baby’s breath, lavender and sunflowers.
Bucky chose lavender and baby’s breath, with a crystal vase. Guilt gnawed at his scrambled psyche. He wanted to make things right.
Red numbers on kitchen clock flashed 10:30 p.m. Unaware of your sleep schedule, Bucky took a chance. The elevator stopped on Y/N’s floor. Taking a deep breath, Bucky knocked lightly.
“Who is it?” She looked at the clock on her nightstand.
“Um, it-it’s James. C-canI talk to ya for a minute.”
“Just a second.” Bucky heard shuffling. Y/N opened the door not making eye contact.
“M’sorry for yelling at’cha earlier. These are for you.” Bucky handed Y/N the flowers.
“You didn’t have to do this, James. I understand your frustration.” Y/N’s long eyelashes fluttered.
“Yes I did. You’ve been nice to me and I’m a knuckle head.” Bucky shifted his feet.
“All’s forgiven. Would you like to come in?” Y/N hoped he would.
“Are’ya sure I ain’t bothering ya doll?”
Blushing at the nickname, Y/N shook her head, moving to the side.
“Your room’s really nice. Is this your family?” Sitting on her desk, surrounded by tea light candles, were two pictures.
Sighing deeply, Y/N nodded ‘yes.’ “HYDRA killed them 3 years ago.”
Tears stained Y/N’s face. Bucky reached out, wiping a stray drop with the pad of his thumb.
“I’m okay. Before S.H.I.E.L.D. collapsed, mom and dad were cryptographers sorting through HYDRA data, ciphering codes. Of course, it angered the hierarchy at HYDRA. Someone cut the brake line on the car. Unable to stop, they crashed into a tree, killing them on impact.”
Bucky exhaled, not realizing he was holding his breath as Y/N spoke. “Is that why ya moved to the compound?”
“Yes. I’d begun getting strange phone calls and death threats in my mailbox. Tony said the move was necessary. Truth be told, I’m scared.” Sadness clouded her features.
Moving closer, Bucky held her hand. “I wouldn’t dare let anyone get to ya dollface. Gonna see to it myself.”
Forcing a smile, Y/N thanked Bucky. “Thanks James. That means a lot to me.”
“Bucky. Please, call me Bucky.”
“Alright Bucky. It’s late. Guess I’ll get some sleep. Oh, lavender is my favorite. The aroma relaxes me.”
“M’glad I could make ya smile. I’ll see ya later on today, it’s after midnight.”
“You have no idea how it helped to talk about my parents. I feel fifteen pounds lighter.”
“Can I kiss ya on the cheek?” Bucky’s smile reached his cerulean eyes.
Placing a hand on his toned chest, Y/N stood on her toes. “I can do better than that.”
What felt like a dream, Y/N kissed Bucky on the lips. “I’ve wanted to do that for a long time.” She giggled like a teenager.
“Really? Me too, sugar, me too. G’night or g’morning Y/N.”
“Sweet dreams Bucky.” Closing the door, Y/N touched her lips. The tingle lingered. She floated to bed smiling.
Bucky pumped his fist in the air. He finally did something right and no matter what, Y/N could count on him to keep her safe.
@soldatbarnes @omalleysgirl22 @pegasusdragontiger @suz-123 @rebelslicious @supersoldierslover @sgtjamesbuchananbarnes107th @magellan-88 @caplansteverogers @3brosangel @bolon-tiku @papi-chulo-bucky @slowlypsychicsublime
A/N: I kinda got carried away with this. So, there will be multiple chapters. Please enjoy!
#soldat barnes writing challenge#soldat barnes milestone celebration#bucky barnes#bucky x reader#bucky imagine#love is strong#bucky deserves love
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Desigual Homme Pantalons
Pour ceux d'entre vous douter de la capacité de desigual soldes 2015 pour être à la fois minceur et la saison moins, je sondé mes collègues éditeurs, ainsi que desigual manteau 2015 génie jac Cameron (directeur du design chez Ayr et autrefois de légendes en solde manteau desigual Calvin Klein et Madewell) pour certains trucs et astuces sur la façon de faire droit en denim blanc, toute l'année. Pas de mauvais jeu de mots. il y a quelque chose de fascinant à moi au sujet de la vie d'un des modèles quand il est en vol stationnaire à droite où marthas est qu'elle a fait sortir de l'énorme mêlée des filles magnifiques qui réclament pour le temps de la caméra, mais elle hasnt devenir un nom de ménage complet soufflé. Dannijo: aide de votre boîte à bijoux avec un supplément de 20% sur Trench Femme Soldes la vente avec le code djlaborday. Quand mon ami m'a dit ‘ah, si j'avais les épaules comme la vôtre, je refuse de les couvrir', J'ai pensé qu'un wtf. Petit bateau marinière rayée en jersey de coton haut, 95 $, un porterive nette portait petit bateau depuis que je suis une petite fille. Le modèle, mondaine, et Piperlime influenceur partage sa chute ramasse sur le site de shopping cette semaine, à commencer par Manteau d'Hiver cette prise inventive sur le gilet de grand-mère. -déclaration, vous le savez, la cause première de tous. Grand, maigre, adaptés, tout ce qui fonctionne pour les pantalons, travaille pour un bermuda. Étant neutre, il va facilement avec absolument tout, de votre costume d'affaires régulière, 9-5 plate style bureau, aux vacances, escapades, de dates, de longues promenades autour de la ville. Il suffit de demander Danielle Bernstein weworewhat. Glamour: quel est le plus gros pourboire ou endroit secret que vous avez appris au sujet de travailler dans le mh de l'industrie: que travailler avec un entraîneur est de savoir comment vous aurez tirer le meilleur de votre corps. Est-ce que cela nous chers mais peut-être que le vieux et sage ont raison après tout. Shortsto ma grande consternation, shorts font tout à fait le retour en 2017 l'été, et les meilleurs modèles pour acheter et l'usure sont. I love allegras pour son accent incroyable Et la façon dont maman donatella fait l'aspersion dans un autre vase violet fabuleux. Sauf pour la Desigual Sacs à Dos cacher vos jambes chose. Elle est le haut niveau ici. Impressions géométriques différents oui c'est possible. www.ventepriveemanteaux.com/desigual-homme/pr%C3%AAt-%C3%A0-porter-store/vestes-manteaux

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Tout était calme et dérangé dans le petit monde du Docteur Bierre Bourrer le gros psychiatre multicolore détraqué.
Des terrains de football nudistes et sadomasochistes sodomisaient des fleurs coquettes et péripatéticiennes dans l'espace tandis qu'un arrosoir se caressait sensuellement le coquelicot devant le spectacle naturisto-galactique.
Un brocolis avec un corps de cheval bodybuilder léchait les parties intimes d'un tribunal toxicomane qui était un bâtiment arc en ciel avec des gros yeux rougeâtres et explosés .
Soudain ,un rouleau de papier toilette débarqua hors d'une soucoupe qui avait traversée 7 dimensions mégalomaniaquo-dinguo-cosmique .
Ses épouses étaient des morceaux de fromages mutantes et bisexuelles laides et sèches avec des seins en forme de poireaux ,des coiffures en tonneaux et des odeurs de vieilles musique classiques schizo-galactique et périmées.
Il avait des jambes de coq et tripotait en cachette sa quequette en forme de verrue anorexique en pleine poudre d'escampette.
Le Rouleau de papier toilette de mis à jouer de la trompette et le ciel se suicida dans le néant ca il ne supportait pas le son de l'instrument.
《Oyé oyé.
Populasse.
Je suis venue ici pour vous assaillir .
Créatures mutantes
Je suis un rouleau de papier toilette religieux et conservateur .
Je jouerait de la trompette hysterico -musicale jour et nuit pour que chaque nouveau ciel remplaçant péte un boulon et se suicide .
Mes femmes-fromages patriotes vous surveilleront et vous fouetteront les fesses jusqu'à qu'elles deviennent rouges comme un crabe beauf souffrant de varicelle galactique 》
Monsieur Schizo Cha Cha Cha le professeur de salsa pour schizophrènes et le Docteur Bierre Bourrer débarquèrent également dans leur baignoire symphonique.
" Qu'avons nous donc fait pour qu'un clampin grotesque mangeur de daube vienne me pourrir ma dimension farfadingue ? "
Rétorqua le Docteur
" Jojo Mastubervite le petit voyou du slip trempé à uriner son sperme de gauchiste hystérique dans la théière des lampadaires femelles respectables et merveilleusement puritaines tandis qu'une femme- fourchette multicolore aux fesses de dindon pleines de mycoses s'amuse à repeindre notre royaume avec ses menstruations de feministe néo nazi contre les beaux coqs virils et réactionnaires .
Du coup,j'ai décider de les venger.
"
S'exclama brutalement le rouleau de papier blanc comme des fesses de cafard albinos et frigide.
Le rouleau de papier toilette se mit alors à jouer de la trompette et ce dernier jouait tellement faux que le ciel se suicida ,même le ciel boxeur et délinquant de cité tout comme le ciel anarcho-clownesque qui fuck tout avec son string sataniste en cuir sexy de testicules de pape rétrograde .
Il fallait trouver une idée.
Le Docteur Bierre Bourrer s'introduit dans le domicile secret du papier toilette et tenta de la piéger une nuit en installant quand il dormait, une planète invisble dans sa trompette pour faire exploser sa bouche puis sa tête.
Il se reposait la nuit en se rapetissant
dans le sexe bien sec et bénie d'un sanglier vert et extrémiste religieux avec un immense bateau demeuré à la place du cerveau.
C'etait son domicile de vie sexuelle extrêmement secrète également.
Le rouleau à chiotte psycho-machin aimait tromper ses femmes très discrètement en faisant l'amour avec des melons bipolaires bien plus bombasses aux corps de porc épiques et aux testicules à la place des yeux et quand ce dernier se remit à jouer de la trompette le matin , ses joues se mirent à exploser comme des flatulence de tamanoirs obèses ou des tympans de mammouth intellectuels après avoir écouter NRJ 12 galactique .
Cela ne le tua malheureusement pas .
il décida donc de capturer touts les saltimbanques énergumènes de la galaxie pour leur foutre des trompettes dans les fesses.
Les créatures jouaient désormais sans le contrôler de la musique dysharmonique par leurs fesses désaccordées et mal organisées au point où même les arbres se tiraient des balles dans leur écorces aussi frippées que la vulve d'une castor témoin de Jéhovah .
Quelle catastrophe !
Jojo Masturbevite eu une idée.
Il avait rencontrer sur son chemin une clown-araignée bipolaire et mutante .
Elle éjaculait des gigantesques navires hors de son beau string hello kitty en cuir de pute coquette et invoquait sensuellement des portails extraterrestres femelles avec des belles fesses aux odeurs et formes de parking draqueen .
C'etait son sport favoris.
Cette araignée mutante avait signé un pacte avec une chèvre schizo- galactiquo-satanique rose.
Elle débarqua avec les portes de jardins sensuelles et l'animal démoniaque couleur bonbon à travers des connexions interdimensionnels .
La créature se mit à mordre et détruire littéralement les testicules de tout les animaux policiers et contrôleurs de la galaxie au point où des révolutions solidaires et des cagnottes cosmiques se créaient " le mouvement des gentils policiers aux petites affaires mordues voir perdues ".
Le papier toilette n'ayant aucune protection policière se fit pendre par le nombril ,
dans les fesses du Docteur qui lâchait des pets puants par la trompette dont l'odeur abominable criait sur son visage.
Ce vilain pudibond suppliait et tentait de se détacher alors le Docteur Bierre Bourrer s'exclama
《
Tu est pris au piège sacripan interstellaire .
Si tu ne cesse pas de jouer de la trompette et que tu nous ne les retire pas de nos fesses.
Nous t'humilirons .
Te dénuderons ,sale petit pudibond !
》
Le papier toilette rétorqua
《 Je vous en supplie
.
Ne me dénudez pas.
En vérité...
J'ai un petit dés de couture riquiqui de taille sarkozyste à la place d'une courge de viking 4XL.
Ne m'humiliez pas.
Je vais faire là maintenant tout ce vous voulez !
》
Cela s'exécuta entièrement et la dimension fût libérée .
Un nouveau ciel repris sa place dans l'infinie
Il était plus beau que tout les autres avec un visage en forme de cœur immortel et des ailes poétiques droguées comme le sourire d'un Dieu punk et utopiste ou d'une Déesse marginale,bancale mais grandiose.
Il était temps de dévorer les pets hallucinogènes des rois anarchiste.
De sentir bon la poubelle trisomique et psycho-galactique .
Il était temps de se déchirer des codes et d'oser allumer la braise folle .
D'oser affronter la normalité à coup de folie sans camisole mais des came-soleil avec comme seule caméra,le regard de l'éternité .

Nébuleuse
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Basilisk Eyes: Chapter 11: Missive
Crossposted: Basilisk Eyes by Hegemone | Completed: Chapter 11 out of 157 | T | AO3 | FFN | WATT | HPFF
Summary: As Harry Potter slays the Basilisk in the Chamber of Secrets, blood and venom get in his eyes, mostly blinding him. While Harry learns to adapt, he makes some new friends. But this is more than a story of adaptation and friendship as there are threats... and Harry isn't the only one with a past that haunts him.
oO0OooO0OooO0OooO0Oo
Harry sat awkwardly at the table by his bed with the pencil in his hand and the pad in front of him, trying to write a note to Hermione (and Ron—he had to include him, too). He felt for the top of the paper and wondered if there was a logo on it. He tore off a piece and turned it over thinking that the back will be blank. He pressed the pencil to the top of the page and wrote slowly, concentrating on making his letters as neatly as he could.
“Hermione and Ron, I am stuck at the Durs… ”
The pencil slipped off the pad, and he checked the tip to make sure it hadn’t broken. He’d need to find a pencil sharpener at some point if he was going to continue writing notes. He adjusted how he held the pad by placing his index finger on one side and thumb of his left hand spanning the width and wrote in the space between them.
“. . .ley’s” This he wrote up the side along the edge, hoping that it was decipherable.
“I have some stuff I need to read, but I can’t.”
He paused here, feeling a chest-clenching ache—not wanting to have to state why he couldn’t read it.
They know, right? I don’t have to say it, he thought.
He moved down the pad by a finger’s width.
“Do you know a spell or something? Thanks, Harry.”
He thought about explaining how they’d have to communicate in a way that he could get it, but it made him so tired, the thought of explaining it all, and especially that his Aunt and Uncle weren’t going to read messages to him; in fact, they’d likely set them on fire, or at the very least chuck them in the bin again. There wasn’t room on this little scrap of paper to go into detail and he wasn’t even sure if the little bit he’d written was legible.
Maybe if Ron and Hermione couldn’t figure it out and sent him a written message that he couldn’t read, he could sneak out and take it to the library.
The thought of the five-street trip to the library made him break out in a cold sweat. Maybe he’d survive it (couldn’t be much worse than a nest of car-sized spiders, though he’d barely survived that); he thought about the overgrown hedgerows that made the footpaths narrow in places, pushing pedestrians near traffic. And then there was how a librarian was going to react to reading a message containing instructions for casting a magical spell… ministry letters would probably start popping up everywhere declaring that he’d violated some code of secrecy or other such rubbish.
He rolled up the message and tied it with the bit of leather used to secure it to Hedwig’s leg. He wanted to send it right away.
Hedwig seemed to have finished her meal and was making noises like she was preening her feathers. He put the pad of paper under the floorboard with the other papers and waited patiently on his bed for Hedwig to notice that he had a note for her to deliver. It didn’t take too long for her to hop over to him. Even though he heard her coming, he was still startled by her wings whacking him around his face.
“Hey girl,” he crooned softly as he tied the missive to her leg. “I have a message for you to take to Hermione, okay? She’s still at Hogwarts.”
She growled quietly in response—she was always so good about being quiet while they were at Privet Drive. It was as if she knew. It was another reason why he felt regret sending her away.
She understands, he thought as he ran his hands over her regal form.
She hopped to the window and then before he knew it, she was gone. He could hardly hear her wings as they took her into the cool night air.
oO0OooO0OooO0OooO0Oo
Harry just settled the loose board under his bed into place concealing another stolen apple that he’d managed to swipe when Aunt Petunia had been kissing (ugh) Uncle Vernon goodbye that morning when she came clicking down the hall and pounded on his door. He quickly sat on the bed and tried to pull a blank face, hoping that he didn’t look like he was up to something before she thrust the door open to shout, “Stop lying about and go hoover the living room.”
He followed her, silently padding down the stairs in stocking feet. He had a little thrill. The vac was inside the cupboard-under-the-stairs with his trunk! Maybe he’d have a chance to go through it. But Aunt Petunia must have had that thought, too, because she was unlocking the cupboard door when he came down the stairs. He heard the wheels of the vac dragging across the hardwood floor and the sound stirred memories that fluttered against him. How many bruises had he nursed in that cupboard as he tried to figure out what he’d done wrong?
Aunt Petunia’s face, screwed up with contempt, floated up and banged against his memory, too, and then burst when she shoved the vac against his toes to get his attention. He tried not to show how much it hurt.
He reached for it, waving his hand back and forth in the air a bit before his fingers contacted the handle. He felt exposed under her huffing gaze and as quickly as he could, turned it around to push toward the living room, resignation coupled with humiliation pressing down on his shoulders.
He was startled when the vac jammed against the door jamb of the living room, thrusting the handle into his chest, knocking the wind out of him briefly. Aunt Petunia had shrieked, “Watch where you’re going!” right before impact, but not soon enough. He’d been confused by the light—he must have mistaken the light from the window in the front door for the living room. The light he could see no longer had sharp, defined lines—it kind of blended together into a colorless haze.
Recovering and wanting to escape her scrutiny, he turned the vac so that he was pulling it and felt around for the door jamb. Aunt Petunia was watching him (her silence told him) and it made the hairs on the back of his neck stand up. He flushed as he groped through the doorway into the sitting room.
This is hard enough without an audience, he silently shouted at her.
His knuckles dragged across the door and he set the vac down to unwind the cord a bit to plug it in. He felt along the wall until he found the outlet, fumbling around as he tried to align the plug prongs with the socket, his frustration mounting until it slid in with a satisfying plunge.
He followed the cord back to the vac, stood for a moment by it as he visualized the room and tried to remember all the possible hazards. This room was full of traps. Delicate figurines, voluptuous vases, family heirlooms, lace doilies that could be hoovered up if one wasn’t paying close attention. He had learned each lesson painfully; he didn’t want to have to learn them again. He remembered one spectacular dive that had saved a spun-glass bird that had teetered off a table when he had been hoovering absentmindedly… seeker training, he had later identified it. Seeker, I’m no longer a Seeker.
He turned on the vac to drown out the torment of that terrible thought.
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You have to purchase a package for each brand name of lock utilized in your house. (If you're lucky, they'll all be the same brand name!) These rekey sets are available in home centers and on Amazon (Kwikset rekey kit, Schlage rekey set). Each rekey package will rekey 6 locks, but you can purchase extra pins if you need to do more. auto locksmiths Everett WA.
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Set the ring aside so you can replace it later on. Place the old secret and turn it either to the left or right. Remove the plug by pressing the plug follower (supplied in the kit) through the cylinder. Ensure to keep constant pressure between the plug and follower so the pins and springs don't pop out.
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Discard out the old pins, insert the new key, and use tweezers or small needle-nose pliers to match the brand-new colored pins to the color code on the unique direction sheet. Photo 5 programs how the brand-new pins are inserted into the cylinder. Once the new pins are in, reverse the actions to reassemble the lock. insurance.
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The 9-Minute Rule for Locksmith Everett
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Locksmiths Everett for Dummies
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Locksmiths Everett Things To Know Before You Get This
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The Main Principles Of Everett Locksmith

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Push the cylinder out the back of the knob assembly to pop off the knob sleeve, and remove the cylinder. Place the type in the lock and turn it until the door is opened. Get rid of the doorknob and lock cylinder housing as displayed in Photos 1 and 2. Push the retainer ring tool against the retainer ring to pop it off the cylinder - locksmith in Everett WAshington.
Set the ring aside so you can change it later. Insert the old secret and turn it either to the left or right. Eliminate the plug by pressing the plug fan (supplied in the set) through the cylinder. Make sure to keep constant pressure between the plug and follower so the pins and springs do not pop out.
An Unbiased View of Everett
Image 4 reveals the cylinder plug being gotten rid of from the cylinder. The top of the cylinder contains pins and springs, which keep pressure on the keyed pins. insurance. You should keep the plug follower tight to the cylinder plug up until it's completely eliminated so that the pins and springs don't pop out of the cylinder.
Dump out the old pins, insert the brand-new secret, and use tweezers or small needle-nose pliers to match the brand-new colored pins to the color code on the unique instruction sheet. Photo 5 demonstrate how the brand-new pins are inserted into the cylinder. When the brand-new pins are in, reverse the actions to reassemble the lock. Smart Locksmiths Give You Peace of Mind.
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You need to purchase a kit for each brand of lock utilized in your house. (If you're lucky, they'll all be the exact same brand name!) These rekey sets are readily available in house centers and on Amazon (Kwikset rekey kit, Schlage rekey package). Each rekey package will rekey 6 locks, however you can order extra pins if you require to do more. emergency service.
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Press the cylinder out the back of the knob assembly to pop off the knob sleeve, and remove the cylinder. Insert the type in the lock and turn it till the door is unlocked. Remove the doorknob and lock cylinder housing as displayed in Photos 1 and 2. Press the retainer ring tool versus the retainer ring to pop it off the cylinder - credentials.
Set the ring aside so you can change it later Zip Locksmith on. Insert the old secret and turn it either to the left or right. Eliminate the plug by pressing the plug fan (supplied in the package) through the cylinder. Ensure to keep constant pressure between the plug and follower so the pins and springs don't pop out.
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