Histoire du bas
(“Les dessous chics”, déc 1997)
Dès le Moyen-Âge, les femmes voilent leurs jambes d’un objet fantasmatique. depuis trente ans, le collant a battu le symbole fétiche de la féminité, le bas, sous toutes ses coutures. L’histoire des bas est aussi intimement liée avec celle de leurs systèmes d’attaches. Porte-jarretelles ou jarretières, bas ou collant, avec ou sans couture … ça bouge autour des…
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François Boucher (1703-1770)
La Toilette dit aussi Femme nouant sa jarretière - 1742
Huile sur toile - 52,5 x 66,5 cm
Madrid, Museo Nacional Thyssen-Bornemisza
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Jarretière bleue et noire
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Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte
Bon jeu !
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Avantage de la Jarretière optique- Pinsol
Une jarretière optique, aussi appelée cordon optique, est un élément essentiel du câblage fibre optique. Elle permet de relier entre eux différents éléments d'un réseau, tels que des panneaux de brassage, des baies de brassage, des switchs optiques et des serveurs.
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Édouard Manet - Femmeàla Jarretière (1878–79)
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La Mode nationale, no. 11, 19 mars 1898, Paris. No. 9. — Toilette de jeune femme. No. 10. — Toilette de jeune fille. Bibliothèque nationale de France
No. 9. — Toilette de jeune femme, en drap mordoré. Jupe unie, garnie de côté d'une quille brodée mordoré et paille. Corsage avec revers coquilles également brodés, ouvrant sur un gilet de dentelle crème.
No. 9. — Young woman's ensemble, in bronze cloth. Plain skirt, trimmed on the side with a bronze and straw embroidered keel. Bodice with shell lapels also embroidered, opening onto a cream lace waistcoat.
Matériaux: 7 mètres drap.
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No. 10. Toilette de jeune fille, en serge rouge. Jupe plate devant et formant de gros plis derrière, garnie d'un velours noir étroit, formant tablier, descendant jusque sur le milieu de la jupe et se terminant derrière. Petite veste en serge rouge, avec tout petits revers de velours noir laissant voir un gilet de dentelle blanche froncée et formant jabot. Col de velours noir, manches avec bouffants retenus par une jarretière de velours noir.
No. 10. Young girl's ensemble, in red serge. Flat skirt in front and forming large pleats behind, trimmed with narrow black velvet, forming an apron, going down to the middle of the skirt and ending behind. Small red serge jacket, with very small black velvet lapels revealing a gathered white lace vest forming a jabot. Black velvet collar, sleeves with bouffants held by a black velvet garter.
Matériaux: 8 mètres serge.
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Kees van Dongen Les jarretières violettes ca. 1910
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Lookbook 9
Tenue n°1
Coiffure de Johnnysims
Tatouages de Peachiiesims
Boucles d'oreilles de Pralinesims
Piercing de Pralinesims
Collier de Gorillax3
Tenue de Rona-sims
Sac de Murphy
Bagues de Pralinesims
Bottes de TrillykeTenue n°2
Coiffure de Simtrouble
Boucles d'oreilles de Pralinesims
Collier de San33
Top de Zao
Jupe de SMsims
Sac de SeoulSoulSims
Manucure de Euno
Jarretière de Trillyke
Bottes de Madlen
Tenue n°3
Coiffure de Johnnysims
Casque de Joliebean
Tatouages de Peachiiesims
Boucles d'oreilles de Pralinesims
Piercing de Pralinesims
Collier de Gorillax3
Top de Sentate
Pantalon de Trillyke
Bagues de Pralinesims
Bottes de MMSims
Tenue n°4
Coiffure de Simtrouble
Boucles d'oreilles de Pralinesims
Collier de NoobChan
Casque de Nickname
Top de San33
Mitaines de Serenity
Jupes de B0t0xBrat
Sac de San33
Manucure de Euno
Bas de GrayVixen
Bottes de Madlen
Autres
Poses Photos de Helgatisha
Fond de Vyxated
Créateurs CC :
@johnnysimmer / @peachiiesims / @pralinesims / @gorillax3-cc / @rona-sims / @trillyke / @sentate / @mmsims / @simstrouble / @asansan3 / @zaozzaa / @eunosims / @seoulsoul-sims / @ts4eve / @madlensims / @noobchancc / @Nickname-sims4 / @b0t0xbrat / @grayvixen /
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“Marlene Dietrich" wearing her ruby and diamond "Jarretière" bracelet by Van Cleef & Arpels (circa 1937) presented in “A History of Jewellery: Bedazzled (part 8: Jewellery from 1950s, 60s and 70s)” by Beatriz Chadour-Sampson - International Jewellery Historian and Author - for the V&A Academy online, april 2024.
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Sous la soie de son bas et le ruban jarretière qui le maintenait tendu, la peau de sa jambe et celle de sa cuisse avaient la même teinte de tons jaune orangé que le bel abricot qu'on lui voyait plus haut...
Art T DELUC
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❤️❤️❤️❤️❤️
Marlene Dietrich in a black evening dress created by Christian Dior for the 23rd Academy Awards on March 29, 1951.
On her wrist, she wears one of her favorite jewels acquired in 1937, the garter bracelet from Van Cleef & Arpels.
This generously sized piece features a pattern of round and baguette-cut diamonds surrounded by a large loop set with oval rubies.
Marlene Dietrich dans une robe du soir noire créée par Christian Dior à l'occasion de la 23eme cérémonie des Oscars le 29 mars 1951.
Au poignet, elle porte l'un de ses bijoux fétiches acquit en 1937, le bracelet jarretière de la maison Van Cleef & Arpels.
cette pièce aux dimensions généreuses se compose d’un motif en diamants tailles ronde et baguette cerné d’une large boucle sertie de rubis ovales.
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Tenir ses bas - la jarretière
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Cervin Automne 2022 Le Nouveau Bas Jarretière Divine 45 en 100% nylon
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La grève
Je m’attends à recevoir le heaume, le bouclier et la lance. Je suis prêt à faire l’impasse sur la barde de croupe et le chanfrein, aucune écurie à l’horizon, je me prépare à défaut au combat à pied. Mais aucun son de marteau sur l’enclume, point de forgeron pour me remettre une épée, ou de devanture cachée sous l’atelier avec armurerie gravé sur l’enseigne.
Je peux encore décider au dernier moment d’aller au front ou pas. Bientôt, je devrai remplir une feuille et déclarer mon intention de participer à la guerre, avec possibilité aussi de renoncer. Pour une épopée, stylo bille à la main sur le bois traité de la feuille, cela me semble manquer de ferveur. Perceval aurait-il accepté de compléter les cases vides pour sa quête du Graal ? Je me rassure tant bien que mal, il aurait laissé le scribe rédiger.
Je ne refuserais pas d’avoir Excalibur en main, mais j’ai beau parcourir la forêt de Saint-Germain, aucun rocher ne fait office de fourreau. Les chevaliers se révoltent contre le châtelain et ce dernier ne comprend point, il est toujours prêt à discuter. Expert de l’écoute, somnifère de la parole, logorrhée en intra, son champ de bataille est la salle de réunion.
Combattre sur ses terres, et plus particulièrement en cet endroit précis, exclusivement en cet endroit, relève en soi de l’épopée. Tenter de grimper le long des remparts constitués d’un lexique poreux, pour ne pas dire grumeleux, s’agripper aux mots glissants, lisses comme une photo retouchée pour faire baver ceux qui scrollent, semble chose impossible, aventure des plus vaines.
L’anesthésie par la parole est un beau subterfuge qui peut user si nous laissons le châtelain maître du temps. Ce dernier, que j’imagine du haut de sa tour de briques au fond du couloir troisième porte à gauche, souhaite nous imposer de nouvelles règles et accepte de discuter sur la mise en forme. Les termes, à l’aspect juridique aussi flou qu’indécis, sont déjà tranchés, à nous de choisir la police et la taille.
Il ne nous reste plus qu’un moyen d’être entendus, laisser la loc au dépôt, poser les outils, la clé BL et la clé Denys. Nous arrêtons le temps imposé. Je ne mesure pas alors que cette période demandera encore plus d’efforts que le travail, dans le corps et les pensées ; mais ce sont des efforts voulus, sucrés bien qu’avec une légère acidité, pimentés aussi, avec de la corne sur chaque lettre, une épaisseur qui n’empêche pas de saisir chaque information, car nos sens semblent alors s’aiguiser. Nous avançons de pair avec une sensibilité accrue, avec une perception qui s’expérimente au gré des enjeux. Il en est du moins ainsi pour Pablo, Ach et Gaël. Car ils se présentent chaque matin dans le poumon du mouvement, afflux d’air indispensable pour que nous puissions avancer, dans l’assemblée générale, l’AG. Je ne sais pas s’ils sont l’air ou la part constituante de l’organe. Probablement un peu des deux.
Il existe des poumons de différentes tailles. À son commencement, le nôtre est grand. Il est composé de ceux qui transforment la tension pour la réduire au voltage de la gare, telles des alvéoles où se déroulent les échanges gazeux avec le sang ; de télécoms dont la salle contient des milliers de jarretières de toutes les couleurs, des nœuds impossibles, telles des bronchioles qui acheminent l’air ; tandis que les aiguilleurs régulent le diaphragme et la cage thoracique. Il me semble reconnaître la voix de l’un d’eux, celui qui décroche avec un PRS pourri j’écoute, le Paris trop mûr pour protester contre la moisissure des murs de leur poste d’aiguillage. J’aperçois celles qui établissent nos fiches de paie et avec qui vaut mieux pas se prendre la tête explique Jacques (pragmatique), venu nous soutenir : responsables de la trachée, je risquerais d’avoir l’air coupé et la carte bloquée. Les guichetiers gèrent les bronches, autant de branches d’arbre comme ces tuyaux à air propulsé dans lesquels ils envoient les cartouches contenant le cash. Je rencontre pour la première fois Miss Ink and Mister Gorgo. Ils sont chefs de bord, les plèvres entourant le poumon. Je découvre aussi des métiers qui, malgré toute la pédagogie, restent à jamais une énigme. Je dois me résigner à accepter mes lacunes en anatomie.
La gare est immense
dédale de bureaux de salles de couloirs
et autres escaliers
quart tournant colimaçon ou hélicoïdal
l’intérieur s’apparente à celui du Louvre
sans les œuvres
Il en faut de l’espace pour y disposer un tel poumon
le corps humain l’englobe dans la cage thoracique
Autour de la marquise, de grandes salles spacieuses pourraient tous nous accueillir
mais le maître des lieux n’est pas tenu de nous les prêter
Tant bien que mal
nous réussissons parfois à en obtenir une
exiguë et mal insonorisée mais avec du chauffage
et quand le poumon est trop gros
nous n’avons d’autre choix que d’occuper
un des couloirs extérieurs de la gare
malgré le froid et la brise matinale
le courant d’air traversant les allées
Nous sommes des centaines
sous le panneau d’affichage à palettes
dont les lettres se meuvent telle une mitraillette
mais à une fréquence basse
car ceux qui font tourner les trains sont bras croisés
Dans ce combat
ni coup d’épée ni artère tranchée
ça ferait pourtant un si beau film d’aventures
Il y a de la tension et du pouls
mais ce n’est pas cinématographique
Un micro et une sono sont au centre des attentions
chacun peut s’exprimer
ça grésille ça larsen ça rebondit par ricochet
contre les murs
Un peu moins de réverb Charlie please
Le poumon fait des bruits d’estomac affamé
Geoffroy de la Salamandre grève dans son refuge
il n’apprécie guère la foule et s’il tolère les heures de pointe
c’est uniquement seul dans la cabine de conduite
il ne vit malheureusement pas
les nombreuses discussions qui se concentrent
les raisonnements qui se construisent
Le poumon crache des idées de cerveau décloisonné
Jacques propose d’organiser les piquets
rendez-vous dès quatre heures du mat’
pour occuper le dépôt
convaincre ceux qui ne sont pas encore
dans le mouvement
Si faire grève c’est se lever toujours à trois heures
honnêtement je vois pas l’intérêt
observe Ach entre deux bâillements
Et il est vrai que je préférerais qu’il en soit dispensé
quand il me fixe après une extrême mat’
je crois qu’il me provoque en duel
Je découvre à travers les piquets de grève
un nouveau métier
associant communication et exposés
un métier d’encadrant
mais non rémunéré
Je dois convaincre ceux qui n’ont pas quitté leur poste
du bien-fondé de notre mouvement
ceux qui hésitent notamment
dont j’aurais pu faire partie
Je tombe aussi sur des sceptiques
et découvre ceux qui nous évitent
qui se faufilent discrètement dans la cabine
mais que nous irons voir au pied de la machine
Les premiers jours
l’enthousiasme transporte les sceptiques
il éloigne surtout pendant un temps le fatalisme
cette sangsue qui paralyse les rêves
Adama ne prend pas le micro
il parle en petit comité
mais présente bien les choses
Nous devons gagner le plus vite possible
car, insensibles au contexte, les factures s’empilent
Mais en même temps
se battre pour ses convictions
ça n’a pas de prix
Une interrogation s’infiltre dans la mécanique
de ma pensée
le numéro un continuerait-il à tenir sa position
si, comme nous, il n’était plus payé ?
Au petit matin
sous les projos du dépôt
les néons tremblotants
des groupes se forment
et se rendent au triage
pour convaincre
sous le regard de l’huissier
ceux qui doivent dégarer
Nous marchons sur le ballast
et devant les portes des usines
pour entraîner celles et ceux qui sont aussi attaqués
le poumon se contracte
comme un ischio-jambier proche de la ligne d’arrivée
Yann entre deux bouchées d’orange
conduisant la poussette où trône sa fille
qu’il est obligé d’amener
suggère de monter un comité de grève
pour que nous choisissions nos propres représentants
pour que les doléances viennent du poumon même
C’est lui qui s’essouffle s’intoxique et se purifie
il n’y a pas de raison qu’il ne prenne pas en main
l’ensemble du corps
Le poumon fait du deux cents battements par minute
comme un cœur transi
En entendant cette proposition
j’ai des réminiscences du séminaire d’histoire
prodigué au cours de ma formation
par Gérard et Jacques sur le retour de Dijon
et si le premier était mon moniteur
le second avait Yann pour apprenti
Tout en mâchant son agrume
je le vois remettre sur les rails du présent
un passé conté sur la ligne
Willy observe l’huissier et l’essaim de cadres
priés par plus haut de sortir de leur lit avant l’aube
pour nous surveiller
Il laisse échapper qu’à la première heure les grévistes iront bloquer les départs des garages d’Achères
suffisamment fort pour que les bourdons l’entendent
et se lèvent avant l’aube le lendemain
Puis d’un air laconique mais très discrètement se tourne vers nous
Je vous propose de faire une grasse mat’ demain
Je le découvre machiavélique
Je ne saisis alors pas tous les rouages
les mots cachés sous les mots
les faux amis des véritables ennemis
la pression qui s’exerce sournoisement
alors que nous usons toute notre énergie
pour ce qui nous paraît de plus en plus évident
je me sens comme l’air compressé
dans le réservoir principal
prêt à être propulsé dans la conduite pour servir ensuite à ouvrir et fermer les portes du train
Je découvre en substance que le poumon est
un organisme à part entière
qui se transforme au gré de son expérience
qui se contracte parfois mais dont la paroi se renforce
Nous finissons par nous essouffler
le poumon a lentement rétréci
une forme de rancœur chez certains d’entre nous
s’immisce
comme un courant résiduel qui parcourt le corps
des années plus tard
elle perdure parfois jusqu’au prochain combat
Peut-être ne prenons-nous pas pleinement la mesure
de ce que recèle cet organisme
ce micro-organisme, ce fœtus, cet être encore
tout de nu vêtu
dont les habits seront des cicatrices
Les particules qui le constituent sont les exécutants
de l’Entreprise
nous n’intégrons pas la part décisionnaire
nous n’avons pas accès au cerveau
nous sommes pourtant tous les autres membres
tous les autres organes
et ce corps en gestation que nous formons
devrait se saisir des commandes
Chaque gréviste peut prendre le micro
intervenir, témoigner, proposer
certains ont le discours porté par l’émotion
trouvent naturellement l’intonation
d’autres comme Willy avancent à tâtons
tentent d’élever la voix et la font dérailler
J’observe ses progrès
À force d’entraînement il trouve son style
jongle avec les mots, rebondit sur les syllabes
ses phrases purgées des disfluences verbales des débuts En retrait, j’admire
Gaël ne prend pas la parole
ce qui surprend tant Miss Ink que Mister Gorgo
sans que je cherche à en comprendre la raison
il reste dans cet ensemble qui écoute et vote
la continuité de la grève ou la reprise du travail
mais nous tombons sur sa bouille
en couverture de La Vie du Rail
sa posture regard déterminé et bras croisés est saisie et nous nous empressons d’acheter le numéro
La Star ouais !
Gaël étincelle sans avoir besoin de monter sur scène
Contrairement à Kamal
Lors de la dernière manifestation, un gruppetto en queue du peloton a abordé le cortège des danseuses et machinistes de l’Opéra de Paris. Ils ont eu droit à une visite privée du monument de Garnier, jusqu’aux dessous du plateau présenté comme un bateau avec sa soute, où les machinos installent les rues et les fausses rues qui font apparaître un danseur ou un décor. Sur la scène, Kamal s’est mis à entonner l’air du Commendatore de Don Giovanni. Pablo rapporte au micro l’épopée, prétendant, un brin critique, qu’il manquait un peu de talent lyrique, mais que le public restait silencieux, subjugué, de la fosse jusqu’aux balcons, car en tout point absent. Costière, mât, cabestan et autres cintres permettant d’envoyer les voiles, leurs guides les ont abreuvés de mots d’une autre langue. Et Kamal leur a promis en retour qu’il les fera monter en cabine ; quand les trains rouleront de nouveau. J’aurais aimé les alerter sur cette proposition.
Une voix que je crois familière glisse alors sous la caténaire. On lui tend le micro, elle refuse de la main aux phalanges infinies. Elle s’exprime pour la première fois et elle cherche parfois ses mots, non pas qu’elle ne les ait pas, nous sentons qu’elle tente de les remplacer, pour en atténuer la charge émotive, ou tout simplement pour nous protéger. Je plonge dans ses syllabes et son parler kalach, qui parfois coupe les mots ; elle ne s’éternise pas sur eux, elle rebondit, tranche et taille à la tronçonneuse. Elle est plus du genre freinage d’urgence que freinage modulé, bien plus BP Urge qu’électrique. Je pense enfin la reconnaître.
La voix qui annonce parfois que le train d’isepteur’ quarant’ quat’ pour Mantes-la-Jolie partira d’la voie quinz’ !
Elle travaille au centre opérationnel escale dont la physionomie s’apparente au centre de contrôle mission d’une sonde spatiale explorant le système solaire. Je perçois cependant qu’il n’y a pas ce r roulé, qui traîne légèrement des pieds, comme une loc marchant au pas. Elle appuie chacun de ses mots par des gestes, je sens qu’elle tente de les retenir, ils sont comme castrés, inhibés dans leur expression, et s’ils étaient libérés je me demande si je n’assisterais pas à un tuto de boxe thaï. J’en fais part à Willy qui estime que je me trompe complètement, ce serait plutôt Dragon Ball après censure. Quant à Pablo, il n’a aucune opinion. Je ne demande même pas à Yann, tout concentré sur son quartier d’orange. Je ne sais s’il serait pertinent pour une mouche de virevolter autour. Suis-je influencé par ce regard noir prononcé dont les mouvements décrivent un mélange d’assurance et d’énergie éhontée, de persistance et de rage comprimée ?
Je ne sais pas encore qu’elle se nomme Hidaya, ni qu’elle entamera plus tard une formation Mécano. Je sens simplement qu’elle pourrait me pousser à écrire un jour. Alors que l’usure et l’érosion d’une lutte semblent inévitablement nous aspirer, elle m’inspire.
J’ignore encore
que le seul fait de lutter est une victoire en soi
reste un goût amer dans la bouche, un goût de défaite car désormais nous devrons tous trimer plus
Putain, je suis rentré dans la boîte
il me restait trente-deux ans
désormais, il m’en reste trente-quatre
Plus j’avance, plus ça recule
constate Ach
Malgré cela je découvre pas à pas que
Le pire des combats, c’est celui qui n’a pas lieu
ce que synthétise Adama à la feuille
avant de me commander
Mattia Filice - Mécano
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Avantages et Types de Jarretière Optique
Les jarretières optiques sont un élément essentiel de tout réseau de fibre optique. Elles sont faciles à installer et à utiliser, et sont disponibles dans une variété de longueurs, de types de connecteurs et de performances.
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Georges Lemmen (Belgian, 1865–1916) - La Jarretière
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