Tumgik
#je m'attendais à bien pire
sportsallover · 9 months
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C'est difficile de dire qui est "responsable" de la perte du podium je trouve. Oui, c'est Fabien qui a fait un tour de pénalité, mais c'est pas le seul à en avoir fait sur ce tir, par contre il est quand même sorti 3e, et a rattrapé la 2e place avant de donner le relais à Quentin. (Fabien n'a perdu que 1,7 seconde face à Tarjei.) Les 2e et 3e places étaient amplement à la portée de Quentin.
Je veux pas chercher un responsable, parce qu'un relais se perd ou se gagne à 4, mais ça m'énerve un peu ces réactions de Quentin où il dit à demi-mots qu'il est mal lancé par les autres...
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poeticdramagirl · 3 months
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**Titre : L'éclat des secrets**
Niccolò Govender Rossi était assis dans un coin tranquille du club, regardant les gens danser et s'amuser autour de lui. Depuis son arrivée à Rome, sa vie avait pris des tournants inattendus, et il se retrouvait souvent plongé dans des situations qui le dépassaient. Pourtant, ce soir-là, quelque chose de différent était dans l'air.
(T/P), une nouvelle élève dans le lycée Collodi, était récemment arrivée à Rome. La ville, bien que magnifique, pouvait parfois sembler écrasante. Mais ce soir, (T/P) avait décidé de sortir, de s'immerger dans la vie nocturne de Rome et d'oublier les soucis pour un moment.
Lorsque leurs regards se croisèrent, une étincelle inattendue illumina la pièce. Niccolò, toujours méfiant et calculateur, fut surpris par cette connexion immédiate. Il n'était pas du genre à se laisser emporter par des sentiments spontanés, mais quelque chose chez (T/P) l'intriguait.
(T/P), sentant l'intensité du regard de Niccolò, s'approcha lentement. "Salut," dit-elle avec un sourire timide mais déterminé. "Je m'appelle (T/P)."
Niccolò hocha la tête, un sourire en coin se dessinant sur ses lèvres. "Niccolò. Ravi de te rencontrer," répondit-il, mais son ton était légèrement sarcastique, comme s'il testait la sincérité de (T/P).
Ils commencèrent à discuter, découvrant des points communs et des différences fascinantes. (T/P) était impressionnée par la profondeur et la complexité de Niccolò, tandis que lui était intrigué par la fraîcheur et l'authenticité de (T/P).
"Alors, tu penses que Rome est à la hauteur de tes attentes ?" demanda Niccolò, une pointe de défi dans la voix.
"Pour l'instant, oui. Il y a tellement à découvrir," répondit (T/P) avec enthousiasme.
"Tu dis ça parce que tu n'as pas encore vu le pire," répliqua Niccolò avec un sourire froid. "Mais ne t'inquiète pas, je suis sûr que tu t'y feras."
(T/P) sentit une tension dans l'air, mais ne se laissa pas démonter. "Je suis prête à relever le défi."
La nuit avançait, et ils décidèrent de sortir prendre l'air. Se promenant dans les rues pavées de Rome, ils échangèrent des confidences et des rires, mais (T/P) sentait que Niccolò gardait toujours une part de lui-même cachée, derrière un mur d'arrogance et de cynisme.
"Je ne m'attendais pas à passer une soirée comme celle-ci," admit Niccolò en s'arrêtant devant une fontaine. "Mais je suis content que ce soit arrivé." Son ton était plus sincère, mais une lueur
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kilfeur · 9 months
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Kassis le dresseur toxique (Kieran the toxic trainer)
J'ai pas mal hésité à faire cette analyse vu que Kassis est un perso assez divisé dans le fandom. Et pour ma part, c'est l'un de mes perso préférés je dirais que c'est l'un des plus complexes qu'on a eu depuis la saga Pokémon. D'ailleurs pour cette analyse, j'utiliserai les screenshots de ma console. Et la qualité de certains sont pas terribles mais j'ai fait du mieux que je pouvais.
Au début je trouvais Kassis adorable, c'était un cinnamon roll qui me donnait envie de le protéger. Sans compter que j'aimais bien ces dialogues qui me faisait davantage attacher au personnage. Mais c'est justement en lisant ses dialogues que j'ai remarqué qu'il y avait quelque chose d'enfoui. Un ressenti enfoui qu'il n'osait pas montrer faut dire qu'avec le rabaissement constant de sa soeur et le fait qu'il soit pas un dresseur assez fort ne faisait que renforcer ses insécurités. Comparé à nous, il nous admirait pour notre force mais par la suite cette admiration s'est tourné en une obsession. Certes on aurait pas dû lui mentir mais Kassis a assumé le pire nous concernant, il croyait qu'on se moquait de lui et pensait qu'on était un faux ami. Tout ce ressenti enfoui tombe sur nous car on est un peu la cible idéal à ce moment là. Surtout qu'avec tout ce qui s'est passé, on a même pas pu s'expliquer avec Kassis.
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J'avais souligné que contrairement à Roseille qui évolue de manière positive en se rendant compte de ses erreurs. Kassis évolue de manière négative. Et on se rend compte que cette évolution négative n'affecte pas seulement lui mais aussi les autres ! Il est passé de cinnamon roll à hatefull roll vu comment il parlait à un des npc du jeu. De plus en parlant d'autres npc, je me rends compte que ces derniers n'apprécient pas que l'ambiance du club ait changé alors qu'avant elle était plus chill. D'ailleurs à la fin du jeu, on apprend de la part de Taro que Kassis avait imposé des règles strictes concernant le club. Ce qui ont fait dégoûté certains et dont d'autres ont fini par quitter le club. Surtout que vu ce qu'ont dit le conseil 4 à son sujet, Kassis n'est clairement pas qu'une victime dans cette histoire ! Après j'admets que même moi j'étais inquiète pour lui vu son comportement mais quand j'ai apprit ce qu'il a fait au club. Et que son comportement toxique causait des problèmes aux autres, là j'avais plus envie de lui botter le cul pour qu'il m'entende enfin !
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D'ailleurs même notre mc n'est pas indifférent à ce qui se passe, j'ai vu que certains n'aimaient pas le fait que notre mc sourit comme si de rien ne s'était passé lors de la scène de la cafétaria. Mais pour moi, notre mc avait plus un sourire gêné qu'autre chose. De plus j'étais plutôt surprise par la réaction de Kassis. Je m'attendais à ce qu'il s'énerve contre moi mais j'imagine qu'il voulait pas causer une scène à ce moment là. Et qu'il voulait plus qu'on règle nos différents dans un combat pokémon. De plus Kassis ne semblait vouloir écouter personne. Lors de notre inscription, Roseille le reprend sur la manière dont il nous parle. Et Kassis lui dit clairement de la fermer donc ouais même sa grande soeur n'arrive pas à l'atteindre malgré qu'elle soit inquiète pour lui. Et j'imagine que c'est pareil pour le conseil vu qu'eux aussi ont partagé leurs avis personnels concernant Kassis. Et la seule personne qui semblait vouloir entendre, c'était nous !
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(Dans le deuxième screenshot, on peut voir que notre mc est inquiète concernant Kassis.) ((In the second screenshot, we can see that our mc is worried about Kieran).
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Surtout que pendant notre progression à vaincre le conseil, Kassis vient nous voir pour vérifier si tout se passe bien. S'inquiétant qu'on ait perdu notre force depuis la dernière fois mais qu'au final il se faisait du souci pour rien. On peut aussi voir les cernes de ce dernier à un moment confirmant le fait qu'il ne dormait plus tellement il était obsédé à l'idée de nous affronter. Et je sais pas la manière dont il venait nous voir, j'ai l'impression de faire face à un prédateur qui attendait patiemment que sa proie vienne vers lui. Oui je sais c'est horrible mais en même temps qu'est ce que vous voulez que je vous dise moi ?!
D'ailleurs je suis étonnée que tout le monde retient le fait qu'Irido enfonce le couteau dans la plaie. Mais je vois personne parler de ce dialogue avec notre mc.
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Irido ne supporte plus son attitude ce qui est compréhensible vu ce qu'il a fait au club. Mais il reconnaît qu'avant Kassis avait un amour sincère pour les combats pokémon. Chose qu'il n'a plus quand il est devenu obsédé à l'idée de nous vaincre. D'une certaine manière on peut dire que son obsession a consumé son plaisir d'avoir un combat pokémon et quand on y pense c'est triste en soi. Il parle tellement du fait qu'il veut nous vaincre que j'avais l'impression qu'il nous voyait plus comme une personne. Mais plus comme un obstacle à vaincre pour prouver qu'il est plus fort que nous ! Et ça m'a fait un peu de la peine car moi je l'aimais bien et j'étais contente de voir que mon mc et lui étaient devenus amis avant que tout ne dérape !
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De plus le regard de notre mc, ce n'est pas le regard d'une personne désolée pour ce qui s'est passé. C'est un regard déterminé à affronter Kassis et régler leur histoire personnelle ! J'ai bien aimé le fait que ce combat est davantage personnelle surtout que Kassis veut nous prouver à quel point il a changé, qu'il n'est plus le même. Disant même que le Kassis d'avant était un minable ! Et là le fait qu'on gagne c'est inconcevable, tout cet entraînement et ces efforts ?! Tout ça c'était pour rien ! Il avait du mal à encaisser sa défaite contre nous bon après ça n'aide pas qu'Irido enfonce le couteau dans la plaie (Bien qu'il se rend compte par la suite qu'il n'aurait pas dû faire ça). Mais il fallait arrêter Kassis, il allait trop loin avec ses conneries et oui ça me fait de la peine de le voir dans cet état mais je pense que c'était nécessaire pour montrer que son obsession envers nous était destructeur !
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J'ai bien aimé que pendant l'expédition de la zone zéro, le Kassis qu'on a connu refait surface. J'étais tombée sur un post comme quoi le Kassis qu'on affrontait était qu'une façade mais je suis pas d'accord. Pour moi le Kassis qu'on affronte est le résultat de son fameux ressenti enfoui donnant un dresseur toxique envers lui même mais aussi envers les autres. Le fait qu'il finisse enfin par déballer ce qu'il avait dans le coeur montre au final ce qu'il ressentait envers nous, de la jalousie, il nous idéalisait car tout semblait nous réussir. Bien qu'au final ce qui est arrivé au mc est bien plus compliqué que ça. Surtout que même Roseille a finit par s'attacher à nous sauf que Kassis n'a rien et avait besoin de nous vaincre. Oui j'ai dit besoin car clairement c'est plus une envie de nous vaincre, c'est plus un besoin ! Il a besoin de prouver quelque chose, qu'il n'est pas rien !
Sauf qu'une fois la téracristallisation de Terapagos, il se rend compte qu'il a merdé. Et j'ai bien aimé la scène où Miraidon le sauve car ça montre à Kassis que justement les pokémons ne servent pas qu'à devenir plus fort mais aussi à protéger et veiller sur leurs dresseurs. Durant le combat contre Terapagos, Roseille ne peut plus nous assister et insiste que son frère nous aide. Au début, il ne se croit pas capable de nous aider alors que moi je galère à affronter Terapagos. Ce n'est qu'une fois qu'on dit qu'on a besoin de lui (Dans la version française on dit "J'ai besoin de toi" contrairement à la version anglaise où on dit "Faisons le ensemble !") Qu'il se ressaisit et qu'on vaincs Terapagos ensemble. Kassis s'en veut pour ce qui s'est passé, il voulait tellement devenir comme nous que ça a causé des problèmes aux autres. Maintenant il peut enfin passer à autre mais on lui dit que malgré tout ce qui s'est passé, qu'il est génial comme il est. J'avais bien aimé qu'on puisse lui dire ça car je pense que Kassis avait besoin d'entendre ça et que notre mc le voit tel qu'il est malgré ce qu'il s'est passé entre eux.
Dans l'institut Myrtille, il souhaite présenter ses excuses envers nous mais aussi vers les autres voulant se racheter. Et aimerait qu'on reparte à zéro et qu'on redevienne amis, j'ai bien aimé le fait que soleil se lève au moment où il parle de sa résolution. Montrant que Kassis va prendre un nouveau départ et qu'on a enfin pu se réconcilier avec lui.
La leçon que Kassis a apprit n'est pas qu'il pourra pas devenir meilleur que nous. Non la leçon qu'il a apprit c'est qu'au lieu de chercher à être quelqu'un d'autre, il devrait apprendre s'accepter lui même et comprendre qu'il est suffisant. Le fait qu'il soit au final sa propre personne est bien plus important que le fait de vouloir nous vaincre.
I hesitated quite a bit to make this analysis, given that Kassis is a rather divided character in the fandom. And for my part, he's one of my favorite characters, I'd say one of the most complex we've had since the Pokémon saga. In fact, for this analysis, I'll be using screenshots from my game console. And the quality of some of them isn't great, but I did the best I could.
At first I found Kieran adorable, he was a cinnamon roll who made me want to protect him. I also liked the dialogue, which made me feel more attached to the character. But it was while reading his dialogues that I noticed that there was something buried. A buried resentment that he didn't dare show, it must be said, because his sister's constant belittling and the fact that he's not a strong enough trainer only reinforced his insecurities. Compared to us, he admired us for our strength, but eventually this admiration turned into an obsession. Of course, we shouldn't have lied to him, but Kieran assumed the worst about us: he thought we were making fun of him and thought we were a fake friend. All this buried resentment falls on us because we're kind of the ideal target at this point. Especially since, with everything that's happened, we haven't even had a chance to explain ourselves to Kieran.
I had pointed out that unlike Carmine, who evolves in a positive way by realizing her mistakes, Kieran evolves in a negative way and we realize that this negative evolution doesn't just affect him, but others too! He's gone from cinnamon roll to hateful roll in the way he talks to one of the game's npcs. What's more, when talking to other npc, I realize that they don't appreciate the fact that the club's atmosphere has changed, whereas before it was more chill. Moreover, at the end of the game, we learn from Lacey that Kieran had imposed strict rules on the club. Some people were disgusted by this and others ended up leaving the club. Especially given what Council 4 said about him, Kieran is clearly not just a victim in this story! I admit that even I was worried about him, given his behavior, but when I learned what he had done to the club. And that his toxic behavior was causing problems for others, I felt more like kicking his ass so he'd finally hear me out!
In fact, even our mc is not indifferent to what's going on. I saw that some people didn't like the fact that our MC smiled as if nothing had happened during the cafeteria scene. But for me, our mc had more of an awkward smile than anything else. What's more, I was rather surprised by Kassis's reaction. I was expecting him to get angry with me, but I guess he didn't want to cause a scene at that moment. And he didn't want to settle our differences in a pokemon fight. Besides, Kassis didn't seem to want to listen to anyone. When we signed up, Roseille confronted him about the way he spoke to us. And Kassis clearly tells her to shut up, so yeah, even his big sister can't get through to him, even though she's worried about him. And I imagine it's the same for the council since they too have shared their personal opinions about Kassis. And the only person who seemed to want to listen was us!
Especially as we're making progress in defeating the Elite Four, Kassis comes over to check on us. Worrying that we'd lost our strength since last time, but that in the end he was worried about nothing. You can also see his dark circles at one point, confirming that he wasn't sleeping, so obsessed was he with the idea of facing us. And I don't know but the way he was coming to see us, I feel like I'm facing a predator who was patiently waiting for his prey to come to him. Yes, I know it's horrible, but what can I tell you?
By the way, I'm surprised that everyone is focusing on the fact that Irido is rubbing salt in the wound. But I don't see anyone talking about this dialogue with our mc. Drayton can't stand his attitude anymore, which is understandable given what he's done to the club. But he admits that Kieran used to have a genuine love of pokémon fighting. Something he lost when he became obsessed with the idea of defeating us. In a way, you could say that his obsession has consumed his enjoyment of pokémon fighting, and when you think about it, that's sad in itself. He talks so much about wanting to defeat us that I got the impression he saw us no longer as a person. But more as an obstacle to be overcome to prove that he's stronger than us! And that made me a bit sad because I liked him and I was happy to see that he and my mc had become friends before everything went wrong!
What's more, the look on our mc's face isn't that of someone sorry for what's happened. It's a look of determination to confront Kassis and settle their personal score! I liked the fact that this fight is more personal, especially as Kieran wants to prove to us how much he's changed, that he's not the same person. Even saying that the old Kieran was a loser! And now the fact that we're winning is inconceivable, all that training and effort? It was all for nothing ?! He was struggling to come to terms with his defeat by us, so it doesn't help that Drayton rubbed it in (although he later realized he shouldn't have done that). But Kieran had to be stopped, he was going too far with his crap and yes it hurts me to see him in that state but I think it was necessary to show that his obsession with us was destructive!
I liked the fact that during the Area Zero expedition, the Kieran we knew resurfaced. I'd come across a post saying that the Kieran we faced was just a facade, but I don't agree. For me, the Kieran we're facing is the result of his famous buried resentment giving a toxic trainer, both towards himself and towards others. The fact that he finally lets out what's in his heart shows what he felt towards us: jealousy, idealizing us because everything seemed to work out for us. But in the end, what happened to the mc was much more complicated than that. Even Carmine ended up getting attached to us, except that Kieran has nothing and needed to defeat us. Yes, I said need, because clearly it's not a desire to defeat us, it's more of a need! He needs to prove something, that he's not nothing!
Except that once Terapagos has been teracrystallized, he realizes he's screwed up. And I liked the scene where Miraidon saves him, because it shows Kassis that pokémons aren't just about getting stronger, but also about protecting and looking after their trainers. During the fight against Terapagos, Carmine can no longer assist us and insists that her brother help us. At first, he doesn't think he's capable of helping us, while I'm struggling to face Terapagos. It's only when we say we need him. (In the French version, we say "I need you", whereas in the English version, we say "Let's do it together !") That he pulls himself together and that we defeat Terapagos together. Kassis blames himself for what happened : he wanted so much to become like us that it caused problems for the others. Now he can finally move on, but we tell him that despite everything that's happened, he's great just the way he is. I liked the fact that we were able to tell him that, because I think Kassis needed to hear that and that our MC sees him as he is.
In the Blueberry Institute, he wants to apologize to us, but also to others wanting to make amends. And he'd like us to start all over again and become friends once more. I liked the fact that the sun rises just as he's talking about his resolution. Showing that Kieran is going to make a new start and that we've finally been able to reconcile with him.
The lesson Kieran has learned isn't that he can't become better than us. No, the lesson he's learned is that instead of trying to be someone else, he should learn to accept himself and understand that he's enough. The fact that he's his own person in the end is far more important than the fact that he wants to defeat us.
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Ça me fatigue qu'on doit toujours faire un disclaimer pour expliquer qu'on essaie pas de slutshame les allosexuels a chaque fois qu'on est inconfortable devant des expériences sexuel et romantique, pire on vas nous sortir qu'on fait ça aux autres personne queer alors qu'on est conscient de ce qu'il vive. Et nous alors, j'ai envie de dire?
Tu te dis qu'au moins sur internet on te comprendra mais on débat sur la validité de tes expériences, on la voit comme étant une tentative d'être spécial ou juste que c'est pas important... Cq sonne pas envie d'en parler publiquement. Courage a toi pour le faire
C'est clair --" Et en même temps, cela dit, c'est quand même bien mieux qu'avant, d'une part (pour tout dire en commençant à faire des comics à ce sujet je m'attendais à une vague de dévalorisation ou d'être ignorée complètement, pas du tout aux retours généralement positifs que je reçois, donc c'est très cool), et d'autre part, je me dis que si on part dans le pointage de doigt dans l'autre sens, ça donne pas forcément envie aux gens de ne pas nous pointer du doigt en retour, et il leur en faut déjà pas beaucoup, alors... Je suis d'accord qu'on ne devrait pas s'auto-censurer en retour non plus, et qu'à trop s'accommoder à la société on risque de s'effacer comme on l'a toujours été depuis le début, mais je pense qu'il y a des moyens de parler de tout ça en incluant un max de monde – et si je n'ai pas encore trouvé la bonne manière de le faire je continuerai à chercher, même si ça me prend toute ma vie je pense TwT
...Puis bon, ma principale inquiétude dans le lot c'est surtout les personnes asexuelles qui n'ont pas eu le choix de rester vierges ou non, parce qu'on sait quand même qu'il y en a et c'est tragique, et dans cette optique-là je me considère clairement comme faisant partie des chanceux.
Merci beaucoup pour les gentilles paroles en tout cas <3 On va y arriver, on peut, c'est lent à progresser mais ça progresse quand même plus que ce que j'aurais imaginé au départ, c'est déjà pas mal !
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ernestinee · 11 months
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"Autrefois, entre la mer de Corail et l'océan Indien, mais sur le chemin de nulle part, s'étendait un district du nom de... Oh, disons Inglewell."
Ces lignes m'apaisent immédiatement.
Voilà quelques semaines que je me bats contre un livre, et le mot n'est pas trop fort. J'avais commencé une lecture à propos d'un tueur en série. J'aime beaucoup. La trame est sympa, avec une analyse psychologique assez précise du tueur depuis l'enfance. Un premier chapitre agréable à lire. L'homme s'échappe de l'hôpital psychiatrique, on est dans son esprit fou mais d'une intelligence incroyable, plusieurs coups d'avance sur tout ce qui pourrait lui arriver et la promesse de ne pas être en cavale une fois évadé de l'hôpital. Et puis il tue, encore et encore. C'est sanglant, motivé, horrible mais c'est un thriller, je ne m'attendais pas à moins.
Et puis, le contexte. Tous les hommes ont des postes importants. Toutes les femmes, absolument toutes les femmes de l'histoire sont dépeintes comme sans cervelle mais calculatrices, vicieuses, appâtées par la beauté d'un homme , sa jeunesse et ses signes extérieurs de richesse, pendues à leurs envies libidineuses. Et que si elles se font tuer, elles l'ont bien cherché. Tous les hommes de l'histoire sont des prédateurs, à commencer par le tueur, mais également les journalistes, policiers et les hommes politiques qui chacun à leur tour alourdissent des passages de l'histoire avec ce qu'ils pensent des seins de leur secrétaire, ce qu'ils imaginent devant les corps dénudés et abimés des victimes (uniquement des femmes bien sûr sinon ce n'est pas drôle), ce qu'ils feront subir à leur maîtresse alors qu'ils ont été titillés (private joke inside) par la vue des formes de telle ou telle femme. Je me sens oppressée et entourée de pervers dès que j'ouvre ce bouquin alors décision a été prise de le refermer et de l'oublier quelque part, au moins un moment.
Et donc quand je commence "L'envol" de Kathleen Jennings, je ressens déjà un peu de bien-être et d'air frais, je me sens un peu apaisée sur le chemin de nulle part, entre la mer de Corail et l'océan Indien. Il semble que l'ambiance s'assombrit d'ici peu car il s'agit d'un mélange de fantasy urbaine et d'horreur gothique mais je n'ai aucune idée de ce que ça signifie et ça ne sera de toutes façons pas pire que mon overdose de pervers.
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chifourmi · 6 months
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J'ai vu Wish.
⚠️ Attention spoils ⚠️
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Je partais très négative vu les avis mais il y avait quelques points positifs au début du film. L'énorme point fort c'est la construction du méchant. Son histoire est expliquée donc on le comprend. Il a été traumatisé, il est devenu parano et du coup veut un peu trop protéger son royaume. Ça se tient. Il est méchant pour une raison crédible, wow!! Puis avec le temps il a pris la grosse tête parce qu'il a réussi à construire un royaume tout seul et que son pouvoir lui est monté à la tête.
L'énorme problème c'est que son personnage régresse au fil du film. Il s'emporte, part en roue libre et devient juste un énième méchant ridicule et pas crédible. Il y avait quelque chose à faire avec lui, ça aurait pu être un méchant qui se rend compte de ses erreurs et qui... va juste voir un psy?
Surtout que sa relation avec sa femme est touchante, elle arrive à trouver les mots pour le raisonner au début. Donc pourquoi ils ont cassé tout ça de manière pas du tout intelligente? Y avait vraiment quelque chose à creuser à ce niveau là!! C'est comme dans Encanto, la grand-mère est un peu considérée comme la méchante mais au final sa relation avec sa famille évolue grâce à la ✨️communication✨️. C'était super intelligent comme développement et trop chouette à voir. Ils ont vraiment gâché cette opportunité dans Wish.
À part ça, j'ai l'impression que les personnages ne sont pas assez développés. Ils manquent de profondeur. À part le pote grincheux d'Asha que j'ai adoré parce qu'il sonnait très vrai.
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Et on en parle de la chèvre qui était complètement inutile?? Ils peuvent pas arrêter de créer des petits partenaires qui sont là juste pour faire rire mais qui au final ne sont pas drôles du tout??
Au niveau des chansons, j'ai vu beaucoup de gens dire qu'aucune n'était marquante. Là je ne suis pas du tout d'accord! Il y en a une qui s'est tellement démarquée! "Ma promesse" m'a fait verser quelques larmes. Par contre, c'est vrai que les autres n'étaient objectivement pas folles. Mais perso j'ai beaucoup aimé l'ambiance de "Ce n'est plus mon roi" où on entend vraiment la détermination du groupe qui se rebelle.
Par contre Lambert Wilson chante si mal pour qu'on doive mettre autant d'effets sur sa voix??? Sa chanson de méchant "Ma récompense" sonne trop bizarre à cause de l'autotune.
Fin voilà, je pourrais dire beaucoup plus de points négatifs mais pour résumer j'ai juste eu l'impression qu'ils voulaient nous en mettre plein les yeux mais qu'au final on y croit pas trop parce que ça manque de vrai, ça manque d'âme, c'est pas convaincant. Mais en vrai je m'attendais à bien pire donc ça m'a pas empêché d'être quand même surprise positivement. (Genre il n'est pas aussi nul que Raya et le dernier dragon pour moi)
(05/04/2024)
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Histoire Courte Bonus Hamefura LN9 (point de vue de la fille d'un commerçant durant la période de Ocean Harbor)
Bonjour tout le monde, je ne m'attendais pas à 50% partout dans le sondage ^^; Donc j'ai décidé d'en poster uniquement trois. Je suis vraiment désolée pour ceux qui en voulait plus... Celle là était vraiment une de mes préférée.
Je suis née et j'ai grandi à Ocean Harbor. Mon père est propriétaire d'un magasin de fruits qui fonctionne depuis quatre générations. Nous vendons principalement des fruits aux restaurants à proximité, mais il y en a suffisamment pour que notre entreprise marche relativement bien. En ce moment Je suis une étudiante très occupée. Un jour, je veux agrandir notre magasin de fruits.
Au fait, j'adore les sucreries. Mon père étant propriétaire d'un magasin de fruits, nous avons toujours eu des fruits en dessert. Je n'ai jamais mangé de sucreries quand j'étais petite. Je me souviens de la première fois que j'en ai mangé un. C'était tellement délicieux… Je suis tombée amoureuse de ce goût. Certaines personnes peuvent les faire cuire eux-mêmes, mais je suis trop maladroite pour cela. J'attends juste mon allocation pour les acheter. Parcourir les magasins en mangeant toutes sortes de délices sucrés est un peu mon passe-temps.
Récemment, j'ai trouvé un endroit qui propose des desserts des plus délicieux : le Harbour Restaurant. C'est très proche de chez moi, mais je n'y suis jamais allée auparavant car il était connu pour ne servir que des repas préparés par d'autres magasins. Cependant, il y a quelques jours, ils ont embauché un nouveau cuisinier et la nourriture qu'ils ont commencé à servir est incroyable. Après en avoir entendu parler, j'ai immédiatement essayé d'y aller, mais il était trop tard pour les desserts. Papa en a ramené à la maison, et ce fut le début de tout.
C'était tellement bon que j'ai commencé à y aller dès que j'en ai l'occasion. Je ne peux pas y aller tous les jours, car je n'en ai pas les moyens, mais j'y vais dès que j'ai mon allocation.
La serveuse, une fille nommée Catarina, est très belle et gentille. Elle me laisse même essayer des desserts qu'ils ne vendent pas encore. Tous ceux qui vont au restaurant Harbour pour le déjeuner l'adorent, mais papa m'a dit qu'elle est encore plus populaire à l'heure du dîner. Il a même dit que certaines personnes y vont juste pour la rencontrer, dont le fils du marchand de légumes devant chez nous, qui est tellement amoureux qu'il y va tous les jours.
Mais une fille aussi jolie et gentille ne peut pas être célibataire, n'est-ce pas ? Un jour, en revenant de l'école, je suis tombée sur Katarina. Elle marchait avec un beau jeune homme aux cheveux bleus. Elle souriait et il la regardait avec tant d'amour dans les yeux. J'étais à peu près sûre qu'ils sortaient ensemble. Dommage pour le fils du marchand de légumes. Ils avaient l'air si bien ensemble aussi. Ces deux belles personnes pourraient être dans une illustration d'un roman d'amour. J'ai décidé de lui en parler la prochaine fois que j'irais au restaurant.
Mais ensuite, quand je lui ai posé la question… sa réponse m'a vraiment surprise. J'ai réalisé qu'elle était complètement dense quand il s'agissait de romance et, ce qui est pire, elle n'avait même pas réalisé que l'homme aux cheveux bleus l'aimait. Pauvre homme.
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istadris · 1 year
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Par pure curiosité parce que je suis tombé par hasard dessus : Giovanni/Red ? (Oui, tu as bien lu.)
Alors c'est ce que j'appelle un de mes Pixiv Ships.
A force de traîner sur Pixiv, je vois passer beaucoup de ships et tropes auxquels je ne m'attendais pas, avec des comics entiers dont je dois au mieux traduire maladroitement les phrases les plus simples, au pire deviner via le contexte. Ou alors sur des fanarts dont le style influence beaucoup mon appréciation.
Donc quand je vois du Giovanni/Red, ça dépend de comment l'artiste joue avec, mais j'aime beaucoup les AUs où Red se joint à la Team Rocket ou Giovanni influence Red, et j'aime bien cet aspect malsain de leur relation, vu que Red a une étrange influence sur Giovanni vu qu'il est parvenu à le battre, et Giovanni est. Bah. GIovanni.
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Send me a ship and I’ll give you my (brutally) honest opinion on it
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sexybutyoucantseeit · 3 months
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Il avait l'air d'avoir besoin d'aide.
Il avait l'air d'avoir besoin de voir que les gens bien étaient toujours par là, quelque part sur terre.
Que le monde n'était pas rempli que de merde.
Alors j'ai donné une chance.
Et faut avouer que j'ai ce truc en moi, ce truc de sauveur, comme si je me prenais pour le prophète.
J'ai voulu le soigner. Je voulais qu'avec moi ce soit différent.
C'est peut-être ça qui me fait mal, en plus de la trahison.
Parceque ce soir là, quand je l'ai forcer à m’avouer tous ses mensonges, je m'attendais vraiment pas à ces révélations.
C'est comme si en une heure de discours, je le voyais se transformer. L'image que j'avais de lui partait en fumée.
Alors j'ai compris que je n'étais pas capable de le sauver. Surtout en ce moment, où j'essaie déjà de me sauver moi-même.
Et c'est ça le pire. Cest que je ne lui en voulais pas tant de m'avoir menti. J'avais de la peine. J'ai compris. J'ai compris pourquoi il m'a menti.
Et quand j'en parle à mes amis, ils ne voient pas. Il me disent "tu vois, je t'avais dit que je le sentais pas"
Mais moi j'ai vu la détresse derrière un comportement discutable.
J'ai vu l'enfant seul. L'enfant harcelé, frappé et humilié.
J'ai vu les blessures.
Malgré ça je n'ai pas été capable de rester.
Et le respect que j'ai pour moi-même, le respect de ne pas accepter la trahison au sein de mon couple.
Ou l'intransigeance.
Ou l'exigence.
Et je m'en veux aussi. Je m'en veux de lui avoir fait aveuglement confiance. Comme s'il était comme moi, comme s'il était incapable de mentir.
Comme s'il était comme moi.
Parceque je pensais vraiment qu'il était comme moi.
Je le voulais lui. La version de lui qui aurait fini sa thérapie et qui aurait eu confiance en lui.
La version de lui guérie. Parceque j'ai vu le potentiel.
C'est ça mon problème. Je vois le potentiel. Je dois accepter le fait que je ne peux pas forcer les gens à l'atteindre.
Alors voilà, avec toute mon intransigeance, je suis partie.
Et avant de partir je lui ai donné toutes les informations que j'avais sur ce monde.
J'espère qu'il a compris. Et j'espère qu'il a mis les choses en perspective.
Et moi, j'espère que je vais guérir de tout ça aussi.
C'est ce que je me souhaite.
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marie-bradshaw · 4 months
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Demain tout commence
Chers lecteurs,
Aujourd'hui j'aimerais vous parler d'un film qui m' a touché comme on ne le fait que trop rarement de nos jours avec le 7eme art.
"Demain tout commence" avec le génialissime Omar Sy.
J'adore cet acteur qui a une puissance incroyable, et c'est ce qui a arrêté mon choix sur ce film lors de l'incontournable "On regarde quoi?" netflixien que nous connaissons tous, donnant généralement lieu à un scroll interminable de nos écrans en quête du "bon choix".
Je ne m'attendais pas à finir en larmes à bousiller mon maquillage.
Pas les petites larmes de "ah oui c'est touchant" que les coeurs sensibles finissent toujours par lâcher devant un beau passage.
Non.
20 bonnes minutes de pleurs véritables.
Profonds.
A l'heure où je vous parle, mes joues sont encore humides, et j'ai décidé d'abandonner l'idée de me remaquiller.
Alors peut-être que cette histoire me touche moi plus qu'elle ne devrait.
Mais elle n'en reste pas moi prenante, saisissante, et le jeu d'acteur d'Omar Sy, bluffant comme à son habitude.
Je ne saurais que trop vous le recommander et ne vous spoilerai donc pas le coeur de l'histoire.
Simplement l'idée principale, qui est l'amour d'un père qui ne pensait jamais grandir lui-même pour une fille qu'il ne savait pas qu'il avait.
Un amour indescriptible tellement il est fort.
Du genre qui vous fait évoluer vers la meilleure version de vous-même naturellement, pour le bien de ce petit être innocent qui ne dépend à présent plus que de vous.
Avec le recul de ce moment émotion, je m'interroge sur pourquoi ça a résonné en moi à ce point...
Passé, présent, futur.
Tout en connaissant parfaitement la réponse en ce qui concerne le passé.
Moi je n'ai jamais connu ça.
Cet amour inconditionnel.
D'aucun de mes deux parents.
Ni hier ni aujourd'hui.
A la fin du film, Samuel, le personnage principal, conclut par :
"Je ne suis pas un héros, j'ai juste fait du mieux que j'ai pu et au final c'est ça d'être parent".
Je sais que les miens, et surtout mon père, sont également dans ce cas là.
Rien n'était volontaire de leur part.
Et c'est ce qui fait que je n'éprouve aucune rancoeur.
Ni l'indifférence, ni le mépris, ni toutes ces cicatrices que je porte en moi et sur ma peau.
Ils ne sont pour rien non plus dans cet enfer que j'ai du traversé presque seule, et dont je suis revenue transformée à jamais.
Mais ils n'étaient pas là.
Aucun d'eux deux n'était à mon chevet quand j'ai du passé la semaine à l'hôpital après mon agression, terrorisée.
J'aimerais vous dire qu'ils avaient une raison valable.
Qu'ils étaient entrain de sauver le Monde ou coincés à l'autre bout du globe.
La vérité c'est que mon père se trouvait à moins de 2 km, et ma mère à 2 heures de train.
Un trauma crânien, la lèvre ouverte en deux, le bras fracturé par le choc de l'accident de ma voiture qui avait fait un tout droit sur un arbre à 70km/heure après que j'ai perdu connaissance au volant de m'être échappée de cet homme qui avait voulu abuser de moi, et mis du GHB dans mon verre.
Non, ils n'étaient pas là et ils ne souhaitaient pas l'être.
Pire que cela, les mots de ma mère resteront à jamais gravés dans ma tête : "Mais qu'est-ce que tu portais aussi pour avoir provoqué ça?".
Il m'a fallu un paquet de sessions avec une psychologue qui m'a clairement sauvé la vie après coup, pour réaliser que depuis le départ le problème ne venait pas de moi.
Que ce n'était pas moi qui avait un défaut de fabrication et qui ne méritait pas leur attention, leur amour, qu'ils me refusaient avec acharnement.
Je ne la remercierai jamais assez de m'avoir ouvert les yeux et permis de dire : "STOP" à leurs comportements abusifs.
Alors nous n'étions pas battus, nous ne manquions de rien avec mon frère, si ce n'est de l'essentiel: la compréhension que peu importe nos actions notre valeur ne serait jamais remise en cause par eux.
Ceci pour le passé.
En ce qui concerne le présent, je vais bientôt avoir 35 ans.
Ma vie est en chantier à tous les niveaux, je me demande tous les jours si le projet pro que j'ai entrepris n'était pas trop ambitieux, trop challengeant, les leçons de vie n'arrêtent pas de pleuvoir du ciel, et la dernière en date c'est mon genou blessé qui m'immobilise.
Privée de défouloir, c'est à dire de sport, forcée de regarder la réalité des choses comme elle est, ces choses qui se rajoutent pour mon projet parce que je veux peut-être "trop bien faire", le temps qui passe, et ça m'angoisse.
Voguant de Charybde en Scylla entre la douleur fracassante de mon genou, comme des coups de marteau directement assenées à mon os sans même bouger, les anti-douleurs qui me rendent à moitié dyslexique, et cette peur de ne pas être à la hauteur, je me sens asphyxiée.
En réponse de quoi je me suis naturellement tournée vers une activité plus manuelle cette semaine et me suis remise à coudre.
Une vie sentimentale remplie de navires dérivant vers l'inconnu dans une mer agitée.
En quête de la bonne destination, de la bonne personne.
Les différents capitaines à leur bord présent tous des qualités indéniables, mais je doute qu'aucun d'entre eux ne me soit destiné.
Je pense que je n'étais qu'une île de passage qui leur a permis de s'orienter sur la bonne route.
Toutefois certains m'ont touchée plus que d'autres.
Nico, par la sensibilité qui se cache derrière une carrure imposante, l'intellect qu'on ne devinerait pas de prime abord derrière son mètre quatre vingt dix de muscles, son talent pour l'écriture, mais surtout sa profondeur.
Attentionné, bienveillant, je lui parle de tout avec une facilité surprenante et surtout en restant moi-même à chaque instant.
Il m'a montré de bien des manières, mais notamment en venant me faire la surprise d'assister au cabaret qu'organisait mon studio de danse aérienne, qu'il ne s'intéressait pas à moi pour les mauvaises raisons.
Au fond je n'ai pas grand chose à lui reprocher hormis le fait de toujours être marié après trois ans de séparation, et de penser que toutes les femmes sont vouées à lui faire ce que lui a fait la sienne, c'est à dire profiter de ses temps d'absence en mer (il est scaphandrier) pour goûter à tout le voisinage.
Je n'étais pas là et je ne suis personne pour juger, mais je disais à l'un de mes meilleurs amis pas plus tard que ce matin au téléphone qu'avec un homme pareil à vos côtés, je ne voyais pas quels types de problèmes tu pouvais avoir.
Ce matin au réveil on s'envoyait encore des réels de plongée avec des requins (notre passion commune) et trois minutes plus tard il m'appelait en Visio pour me montrer sa plateforme pétrolière et me demander comment allait ma jambe.
J'aime cette spontanéité.
Juste avant il me partageait une vidéo d'un couple qui faisait des figures de gymnastique/portés acrobatiques ensemble et c'est totalement le genre de choses que je me verrais faire avec lui juste pour le fun.
Quant à "nous", nous ne sommes que des amis épistolaires qui se partagent leurs aventures et qui se sont datés brièvement.
Et puis il y'a Laurent.
Rencontré très récemment, il m'a fait l'effet d'une tornade de force 4.
Père également, tout aussi traumatisé par son ex mais d'une manière différente, lui ne vit qu'à quelques pâtés de maison de chez moi.
Je ne m'explique toujours pas ce qu'il s'est passé, ni le pourquoi du comment.
Ca a duré à peu près 30 secondes, mais dans ses bras je me sentais chez moi.
On ne s'est pas quittés pendant 24h, à vivre quasi nus, parler, cuisiner, rire, en oubliant le reste du Monde.
Un bref instant j'avais visualisé à quoi pourrait ressembler la vie avec lui et son enfant, adorable par ailleurs.
Lui c'est le genre d'homme vers qui je ne vais jamais.
Réservé au premier abord, d'une apparence "bon chic bon genre" en décalage complet de mon univers de badass rock'n'roll.
Toutefois il ne faut pas présumer d'un livre à sa couverture, et il est tout aussi aventurier que je ne le suis, voire plus.
Extrêmement viril, sûr de lui, une force tranquille et un regard qui m'hypnotise à chaque fois.
Ce que j'aime le plus chez lui, avec le recul, c'est sa dévotion à sa famille, à sa fille.
Pour le reste je pense que son océan est sûrement trop éloigné de mon île, et surtout, qu'il ne sait plus dans quelle direction naviguer.
Tous deux ont dans le font exactement le même problème: faire suffisamment confiance à quelqu'un, et en l'occurrence moi, pour baisser leur garde et se montrer vulnérables sans faire un bond en arrière tout de suite après.
Est-ce que l'un d'eux m'est destiné? Ou aucun des deux?
Je n'en ai aucune idée.
Peut-être qu'ils devaient juste me faire réaliser qu'après une carrière épanouissante, une entreprise à mission en plein boom, ce que je désire le plus c'est de fonder une famille.
Donner à un enfant, qu'il soit de mon sang ou pas, cet amour inconditionnel qui m'a tant manqué.
Comprendre que je serai une super maman, rock'n'roll et un peu dingue, mais que je ferai toujours en sorte que mon enfant se sente en sécurité avec moi, qu'il puisse me parler de tout, sentir mon soutien, réaliser son potentiel et ses rêves propres.
Construire une famille authentique avec un homme qui deviendra mon mari, qui me traitera toujours comme son égal, avec respect et considération.
Dans ma tête, quand je l'imagine, il est par là quelque part à me chercher.
Il ne me prendra jamais pour acquise et remerciera le ciel tous les jours de m'avoir mise sur sa route.
Ambitieux, brillant, talentueux, attentionné, un vrai gentleman qui ne conçoit pas qu'on puisse faire du mal à des femmes ou des enfants.
Le genre aux valeurs old school, qui cherche à vous protéger, jamais à vous contrôler ou vous posséder.
Oui, quand je ferme les yeux et que je pense à lui, je comprends que chaque chose doit arriver en son temps, mais que quand il me prendra dans ses bras je ne douterai plus.
Toute cette peine, toutes ces épreuves, s'envoleront pour ne plus laisser place qu'à une immense quiétude, apaisante.
"Tu es chez toi, et je ne compte aller nul part" me dirait-il à l'oreille, avant de me serrer plus fort contre lui.
Un partner in crime qui me challengera au quotidien à devenir la meilleure version de moi-même, qui m'inspirera, qui me soutiendra, et qui aimera chaque partie de moi, l'ombre comme la lumière.
Qui valorisera tout ce que je lui donnerai, parce qu'il sait qu'il n'y a pas de limites à ce que je peux donner de moi-même quand j'aime vraiment quelqu'un.
Dans mes rêves, je ne peux pas me détacher de lui.
Son contact suffit à tout me faire oublier, il me regarde comme si j'étais la 8ème merveille du monde et me donne la confiance de briller un peu plus fort.
Mon égal en toute chose, on se partagerait le lead sans jamais se sentir en compétition l'un avec l'autre.
Une équipe.
Elegant, raffiné, il n'hésiterait pas à m'entraîner dans un parking pour se rapprocher de moi d'un peu plus près, ou me prendre par la main pour partir à l'aventure sur un coup de tête.
Mais surtout, quand je le visualise, lui, la vie qu'on pourrait avoir, je ne vois pas le poids de l'habitude, chaque journée est un nouveau cadeau que nous chérissons tous deux.
Il sait qui je suis, il voit ma valeur mieux que personne, et il a réponse à tout.
Le genre qui prévient ton assistante qu'il a prévu de t'emmener en weekend surprise sur la côte italienne, qui t'a déjà préparé une valise et qui va te dire "que oui tu as le droit de te détendre un peu aussi, lâches cet ordi" quand tu lui diras que tu ne peux pas partir.
J'aime à tout contrôler, ça me rassure, mais je saurai céder avec lui.
Ce qui nous emmène donc au futur.
Une bien belle perspective, de faire partie d'une équipe qui respecte notre individualité mais pour laquelle vous sacrifiiez tout, jusqu'à votre propre vie.
La dévotion même.
Pas de négligence ici, pas de mépris ou d'indifférence.
Un jour qui sait, j'aurai l'occasion de réparer ce qui a été brisé pour donner tout ce qu'on m'a volé.
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chamboulements · 6 months
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C'est fait. Je t'ai demandé de sortir définitivement de ma vie.
Maxime, si tu savais comme ça fait mal, si tu savais comme tu me fais souffrir.
Je regrette de t'avoir rencontré. J'aimerai revenir au 22 juin et refuser cette rencontre.
Parce que depuis le 22 décembre je ne dors plus, je n'ai pas fait une seule nuit complète depuis, je suis épuisée.
Parce que cette grossesse a un impact physique et psychologique auquel je ne m'attendais pas. Je refuse ce qu'elle vient travailler.
Parce que tu mens. Tout le temps. Que je ne peux pas te faire confiance. J'ai longtemps pensé que tu étais perdu, que tu te mentais à toi-même et donc aux autres. Aujourd'hui je pense que tu m'as menti consciemment, que tu as joué avec moi et ça c'est non. Tu es l'une des rares personnes à connaître ma vulnérabilité et tu en as profité.
Parce que tu me mets en colère, suffisamment pour que, parfois, j'ai la tentation de prévenir ta femme. Mais je ne veux pas lui faire du mal, tu lui en fais assez. Je lui souhaite de te quitter, elle mérite tellement mieux que toi !
Tu lui as promis de ne plus être infidèle mais tu continue de me dire que tu as envie de moi. Tu lui as promis de ne plus être infidèle et pourtant tu es toujours très actif sur un site de rencontres infidèles bien connu...
Tu n'en n'as pas marre de mentir et de causer de la souffrance aux personnes que tu dis aimer et respecter ?
J'en viens à te détester et pire encore : à me détester de t'avoir laissé me traiter comme ça, de m'avoir brisé un peu plus que je ne l'étais déjà.
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le-mzungu · 9 months
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C'est sécuritaire, sauf quand...
Tu ne connais pas les habitudes de conduite locales. Et ici, faut avoir le coeur solide, la conduite est un ti-peu plus chaotique, sans toutefois être digne de ce qu'on voit dans bien des pays d'Asie.
Mais disons simplement que y'a pas des tonnes de feux de circulation et que y'a plus de coins de rues sans stop dans aucune direction... Et que le dépassement est toléré, peu importe par où il est fait : Il y a de la place en sens inverse, vas-y. L'accotement est relativement libre, fais-toi plaisir!
Malgré tout ça, ça ne pourrait pas être plus sécuritaire, selon moi.
Les limites de vitesse ne sont pas seulement respectées, mais bien souvent jamais atteintes. Pourquoi rouler vite, quand c'est plus sécuritaire et agréable d'aller doucement?
Si un piéton met le pied sur un passage piétonnier, tout le monde s'arrête, tant qu'il n'est pas de retour sur le trottoir.
Quand deux (ou plusieurs) véhicules se croisent, ou si quelqu'un fait une manoeuvre complexe comme reculer un autobus pour sortir d'un stationnement, tous font bien attention de s'arrêter ou de s'éviter. La "priorité" théorique d'un vehicule sur un autre ne l'emporte pas sur le bon-sens.
Bon, tout n'est pas rose, faut aussi accepter un certain bordel organisé:
Comme motocycliste, si la lumière est rouge, la coutume veut qu'on s'agglutine tous devant et autour des premières autos pour partir les premiers. (Le tout en profitant des avantages mentionnés précédemment sur le dépassement, bien sûr)
Il y a peu de feux de circulation mais ceux-ci sont respectés, par contre, lorsqu'il y a un stop, ça n'a pas plus de force que les 1001 coins de rue où il n'y a aucune indication. On fait quoi dans ces cas-là? Ce qu'on veut... en faisant attention.
La qualité des rues est un mélange de celles de l'Ontario et des pires endroits au Québec : la plupart des routes sont neuves et assez impeccables. Mais quand c'est moche, Kandahar peut aller se rhabiller. Et en 2 coins de rue, tu peux passer de l'asphalte bien lisse à une rue en pavés taillés à la main et un peu cahoteuse, puis à de la terre rouge où les autos et les pluies quotidiennes ont taillé une infinité de trous et de rigoles.
Principale similitude avec l'Asie : klaxonner, c'est signifier que tu n'as pas l'intention d'arrêter et/ou qu'il y a un danger (et que bien souvent, ce dit danger, c'est celui qui klaxonne)
Toutes choses considérées, je suis positivement surpris, overall. Je m'attendais à quelque chose de bien pire, ayant déjà goûté à des conditions de conduite... originales, disons.
Pas trop triste de conduire ici. Et les habitants de notre quartier qui m'ont vu me balader en moto-taxi pendant deux semaines trouvent ça ben cool de voir un étranger blanc s'intégrer comme ça et ils se gênent pas pour me le dire, en mots ou en mimes!
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bloodychicks · 11 months
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LA RUPTURE
Elle, l'attend à la maison dans le canapé, nerveuse et impatiente, ça fait plusieurs jours qu'il a comme disparu. Bien sûr, dans un couple, on n'est pas obligé de se parler tous les jours, cependant, une semaine sans signe de vie, sans même un bonjour répété, il sait qu'elle n'aime pas ça. Sa jambe gigote nerveusement sur le sol tout en se rongeant la peau des doigts, nerveuse et passant par de multiples émotions. Tant qu'elle le voyait, elle oublierait tout, l'amour rend aveugle et il le sait, parce qu'à chaque fois ça marche. Ils savent tous deux que cela n'a rien à voir avec de la tromperie. Évidemment, c'est autre chose.
Il vient d'arriver et soulagé d'enfin le voir, elle se lève et lui saute dessus, l'embrassant et le serrant dans ses bras jusqu'à ce qu'il tape sur son dos pour qu'elle s'éloigne et le laisse respirer. En l'emmenant s'asseoir sur le canapé, elle attend sa nouvelle excuse de sa nouvelle disparition en lui tenant la main.
— Je suis désolé de cette longue absence, en ce moment, je n'ai pas trop confiance en moi. Je ne sais pas pourquoi, je sens que je deviens désagréable et ce n'est vraiment pas comme ça que je veux me comporter avec toi.
Il semble chercher ses mots assez longtemps pour que ç'ait l'air sincère. Elle continue de l'écouter, jusque-là, ce discours, elle le connait par cœur, elle serre les dents, comme toujours. Voyant qu'elle ne lui répond pas, il continue sur sa lancée : — Sache surtout que je t'aime très fort et que tu es ce qui est de mieux dans ma vie.
Une fois qu'il eût fini de parler, son soulagement se change en déception, elle s'y attendait, mais cette fois une chose se casse en elle, « c'est tout ? », « rien de nouveau par rapport aux dernières fois ? » pense-t-elle avec un sourire crispé.
— Et dire qu'inconsciemment, je m'attendais à quelque chose d'inattendu, chuchote-t-elle.
Elle lâche sa main, qu'il tente de retenir, montrant sur son visage de l'incompréhension. Elle continue en parlant cette fois pour qu'il entende.
— Tu m'as manqué, tu sais ? Je préfère que tu sois désagréable, mais que tu me parles ! Même si je suis la meilleure pour me plaindre, je sais écouter. Alors parle moi, on est un couple merde !
De manière fluide et posée, elle lui proposait, comme à chaque fois depuis la première fois, son oreille pour qu'il extériorise ses émotions refoulées à celle qu'il aime. Son regard était plein d'amour et surtout plein d'espoir envers une relation en évolution, vers quelque chose de plus saint. Lui la regarde un peu plus confiant, cherchant à la rassurer.
— Je sais écouter aussi, mais je ne sais pas parler, je garde tout pour moi et là, ce soir en arrivant, je pensais à trop de trucs en même temps et ça m'a rendu à la fois en colère et triste. — Si tu veux discuter, je suis là toute la nuit si tu veux. Je suis là aussi pour ça aussi.
Une main se mettant sur son avant-bras, elle semblait plus calme, lui faisant un petit sourire.
— Un couple se partage les galères, les colères et les tristesses, non ?, lui dit-elle. — Non, mais ne t'en fais pas, je vais continuer à stocker tranquillou, sinon je vais m'effondrer, je ne peux pas me le permettre. — Pourquoi ça ? J'ai eu l'occasion de me faire une séance de pleur bien salée tout à l'heure, alors permets-toi, il n'y a pas de soucis.
Sa main, plus tôt se voulant rassurante, serra son bras, se sentant peu à peu de plus en plus agacée par tant de retenue. Il ne paraissait pas le sentir, mais elle retenait beaucoup de frustrations.
— Parce qu'il faut que je tienne pour le travail, mes problèmes personnels et pour toi aussi. Ainsi, lorsque j'aurai ma session de pleur et, j'espère que tu seras là quand ça arrivera, je pourrai me dire que j'ai passé bien pire.
Elle lui lâche la main, elle commençant à bouillonner intérieurement. Il agissait toujours ainsi, pensant pour elle. Même si au début, c'était mignon, au fur et à mesure, ça l'énervait. Cela se sentait dans sa voix, plus sèche et elle sans retenue.
— Tenir pour moi ? Ça veut dire quoi ces conneries ? Je ne veux pas ! Il faut comprendre que si tu es mon pilier, je veux l'être pour toi aussi. En disant que tu gardes tout pour toi, je ne te soutiens pas, en tout cas pas autant que toi. Je suis plus jeune, mais pas plus fragile, sache-le. — Je comprends bien ce que tu ressens et j'espère que tu resteras toujours comme ça. Je pense juste que je ne suis pas prêt à tout lâcher. Même ma sœur m'en a parlé, je devrais m'ouvrir. Mais, j'ai l'impression que si je le fais, je ne pourrai jamais refermer la porte comme avant, tout va me toucher personnellement. — Entre-temps, je dois te regarder souffrir en silence et me sourire sous prétexte de me protéger de tes pleurs… Désolé, je n'en veux pas.
Elle se lève imposante et le regarde d'en haut. Lui était tellement surpris par sa réaction inhabituelle, qu'il ne comprendra pas ce qui va lui arriver.
— Sors de chez moi s'il te plaît, dit-elle, d'une voix d'abord calme, mais sèche et froide. — Quoi ? un sourire parfaitement nerveux se dessine sur les lèvres du jeune homme. — Je te quitte ! Dégage de ma maison.
Elle le lève de force, le poussant vers la sortie. Lui résiste, essayant de lui faire changer d'avis, mais sa décision était déjà prise. Une fois mis dehors, elle referma la porte a clé sans se retourner.
C'est ainsi que se brisa le lien de ces deux personnages.
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prowrestlingmarc · 2 years
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Josh Alexander (c) vs. Bully Ray - Impact Wrestling Hard To Kill 2023
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D'un point de vu purement in-ring Bully Ray n'a jamais été un très grand lutteur en solo... Néanmoins il a toujours su compenser son manque de Workrate par un excellent Storytelling et une attitude que peu de lutteurs modernes ont. Cela pouvait donc sembler idiot de le confronter à Josh Alexander qui lui est un peu tout le contraire : un catcheur ultra-technique qui semble parfois un peu manquer de personnalité et de charisme... finalement grâce à cette stipulation Bubba Ray a pu faire oublier son manque de technique et même de cardio pour faire parler son talent de storyteller et nous a de ce fait permis d'assister à un 1v1 d'une bonne facture.
Ce Full Metal Mayhem nous a rappelé que la moitié de la Team 3D et ancien leader des Aces and Eights n'est pas un innovateur du TLC pour rien et que le champion IMPACT! lui n'est pas bon que dans de longs combats face à des bons adversaires techniques.
Bully Ray avait fait le choix de rendre la rivalité personnelle, le canadien a bien fait ressentir qu'il en avait contre le vétéran et cela nous a permis d'avoir droit à quelque chose d'une sincérité et d'une violence assez réelle.
Je m'attendais au pire et finalement le PPV Hard to Kill a eu le droit à un Opener de toute beauté.
Note de Cagematch : 7.52
Note Personnelle : *** 3/4
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travesti-modanie · 2 years
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Soutien de famille pour continuer à se travestir
Comme tous les travestis, j'ai vécu plusieurs expériences mémorables/qui ont changé ma vie, notamment une première introduction aux vêtements pour femmes, me faire prendre, être dépassé avec un certain degré d'acceptation ou non, des expérimentations sexuelles, etc.
Il est difficile de choisir mon « moment le plus fier » parce que cela implique de la fierté, mais je choisirai d'être présenté à ma famille avec acceptation de se travestir à l'âge de 14 ans.
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J'ai grandi en étant obsédé par ma mère. J'ai étudié son apparence, son style et son comportement. Je détestais aussi être un enfant. Je voulais ressembler et me sentir comme une femme adulte. J'ai commencé à imiter secrètement ma mère quand j'avais 10 ans. L'imitation comprenait l'habillage, le maquillage et le tabagisme. Je sentais que c'était mal et j'avais peur de me faire prendre. J'avais surtout peur de perdre l'amour et le respect de mes parents. Bien sûr, je me suis fait prendre. Je me suis souvent fait prendre parce que mes envies étaient plus grandes que ma peur. Être attrapé avec faux sein entraînait toutes sortes de peur, de remords et de confusion.
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J'ai été « PRIS » en train de m'habiller et de fumer pour la dernière fois à l'âge de 14 ans. Je m'attendais au pire, mais j'ai reçu le meilleur de mes parents. Le mieux est l'acceptation et le soutien. Malheureusement, le meilleur n'inclut pas la compréhension. J'essaie toujours de comprendre ce que je ressens et de lui donner un sens. J’ai reçu une fausse fesse de rembourrage comme cadeau. Elle est vraiment utile à accentuer mon silhouette féminine.
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beatlesonline-blog · 2 years
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