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#jeu concours lampe design
nedgis · 3 months
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Jeu concours NEDGIS x TALA : gagnez la lampe baladeuse The Muse !
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ecoledeschartes · 6 years
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Mémoire de Pékin
Julie Glodt effectue son stage de 4e année au centre de recherche en sciences humaines de l'Université du Peuple, à Pékin. Voir la carte des stages 
Le stage réalisé au mois d’octobre 2018 à l’Université du Peuple de Pékin ne correspond pas en propre à la découverte d’une institution culturelle traditionnellement en charge de la préservation du patrimoine. Toutefois il m’a permis d’approcher la préservation du patrimoine chinois à travers la recherche et le déploiement de technologies numériques. Sur bien des points, le projet « Mémoire de Pékin » a évoqué le travail du service de l’Inventaire en France, destiné à rassembler des informations sur le patrimoine face à la modernisation. Sur bien d’autres, il m’a amenée à m’intéresser à des sujets auxquels je n’avais que peu réfléchis jusqu’alors. Ce projet est encore dans une phase pilote, où les idées germent et où de nombreuses initiatives sont prises.
Préserver la mémoire de l’ancien Pékin
Le projet 北京记忆 (Beijing jiyi), « Beijing memory », que l’on traduit ici par Mémoire de Pékin, a été initié en 2013. Il est approuvé par le bureau de planification en Philosophie et Sciences Humaines de Pékin. Dirigé par la professeure Feng Huilin, il est composé d’une équipe d’enseignants et d’étudiants[1]. Le cœur du projet consiste en la préservation numérique du patrimoine de la capitale. La « perte de mémoire » engendrée par la modernisation sert d’élément déclencheur à ce projet. Sa genèse est similaire à celle du Service de l’Inventaire, créé en 1964 et auquel André Chastel assignait également la mission de préserver le patrimoine, même le plus humble, menacé par les destructions[2]. De la même façon, le projet Mémoire de Pékin n’est lié à aucune considération financière, ni même à la restauration physique des monuments.
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Page d’accueil du site pekingmemory.cn
Cette entreprise s’inscrit dans le mouvement des digital memories, qui convoque un large nombre de technologies numériques afin de documenter et de préserver le patrimoine culturel. En 1992, l’UNESCO a par exemple lancé le projet « Memory of the World » qui s’est donné pour mission de préserver et de donner accès à la documentation sur le patrimoine mondial et particulièrement celui menacé par les guerres et les pillages[3]. Lancé en 2008, le portail « Europeana » réunit un milliers de centre d’archives, de bibliothèques et de musées afin de conserver le patrimoine écrit et audiovisuel de l’Europe[4].
Depuis la fin de la Révolution culturelle, la Chine a organisé une administration en charge du patrimoine et multiplié les lois pour sa protection. Aujourd’hui, le patrimoine, bâti comme intangible, est devenu un enjeu important pour l’insertion de la Chine dans le jeu des puissances mondiales. La Chine est par exemple le deuxième pays en terme de patrimoine intangible reconnu par l’UNESCO[5]. Toutefois, alors même que cette protection patrimoniale a été mise en place, depuis les années 1980 de nombreuses destructions ont modifié la physionomie de la ville[6]. L’exemple le mieux connu pour Pékin est la destruction ou la modification des hutong, les rues traditionnelles et des siheyuan, les maisons à cour, dont l’agencement ne correspond plus aux modes de vie contemporains[7].
Dans le cadre de ce projet, vingt-trois sujets ont été définis par la professeure Liang, puis ont été débattus au sein d’un comité d’experts en histoire culturelle. Citons parmi ces catégories les événements historiques, l’éducation, l’art, les coutumes, les palais, les maisons à cour, les résidences de personnes célèbres, les temples, les jardins… Cette mémoire numérique de l’ancien Pékin s’attache à une grande diversité de sujets qui tend à élargir la notion de patrimoine en prenant non seulement en considération le patrimoine bâti, le patrimoine littéraire ou encore le patrimoine intangible. Cette définition élargie du patrimoine permet de décloisonner les champs de réflexion et de développer l’interdisciplinarité. Les contenus scientifiques présentés sur le site spécialisé abordent d’ailleurs bien souvent de front l’histoire, la situation économique, les coutumes, l’architecture des lieux étudiés ou encore la biographie des personnalités qui y ont vécu[8]. Pour l’heure, le site spécialisé présente déjà une belle diversité de sujets en s’intéressant au patrimoine bâti traditionnel (le temple confucéen), au patrimoine perdu (les murs et les portes de la ville),  au patrimoine technique (le chemin de fer Jing-Zhang), au patrimoine rural (le village de Chuandixia) ou encore au patrimoine intangible (les spécialités culinaires et l’Opéra pékinois).
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Page principale du site spécialisé sur le village de Chuandixia
L’équipe du projet Mémoire de Pékin ne dispose pas de chercheurs en étude du patrimoine, mais recrute les rédacteurs des sujets spécialisés dans différentes institutions telles que les archives municipales de Pékin ou l’Institut d’Histoire et de Culture de l’Université du Peuple. Chaque chercheur dispose d’un référent choisi parmi les professeurs, qui les accompagnent dans leurs recherches, leur transmettent les lignes directrices du projet et servent de relais avec les autres membres de l’équipe. Ce recrutement semble personnel et prend en compte les capacités de chaque chercheur. L’ordre des sujets traités est aussi fonction de la disponibilité des chercheurs et s’établit avec un certain pragmatisme. La situation est en cela bien différente du Service de l’Inventaire où les chercheurs sont recrutés par voie de concours et attachés à l’institution. Dans le cadre du projet Mémoire de Pékin, ce recrutement personnel permet la multiplication des centres d’intérêt et des compétences. Madame Wang, qui étudie l’ancien village de Chuandixia, n’a pas reçu de formation en étude du patrimoine et fait donc figure d’autodidacte. Le recrutement personnel des chercheurs peut être aléatoire et pragmatique, toutefois il permet également un élargissement de l’élaboration du discours scientifique sur le patrimoine. Ces chercheurs travaillent parfois en équipe avec d’autres professeurs ou avec des élèves. Pour l’étude de Chuandixia, des élèves de l’Université ont lancé une campagne d’archives orales et de collecte des anciens arbres généalogiques auprès des habitants du village. Un autre partenariat créé avec Ye Zhurun, professeur au département d’architecture de l’Institut d’Ingénierie Civile et d’Architecture de Pékin permettra peut-être la reconstitution en trois dimensions d’une ancienne maison bombardée pendant la seconde guerre sino-japonaise.
Créer une mémoire numérique 
Contrairement à la majorité des institutions en charge du patrimoine bâti en France, le projet Mémoire de Pékin présente la spécificité d’élaborer le cadre numérique où sera disposée l’information en même temps que celle-ci est élaborée. Cette concomitance permet de développer une véritable théorisation sur la préservation numérique des données.
Le projet se déploie au travers d’une base de données et deux sites Internet. L’un traite des sujets spécialisés abordés par les chercheurs (www.pekingmemory.cn). Le second est un site collaboratif destiné à collecter des souvenirs et des documents des visiteurs (www.mypekingmemory.cn). Ces sites Internet rassemblent de nombreux types de media : des images, des vidéos, des enregistrements sonores, mais aussi des modèles en trois dimensions. Ils convoquent différentes technologies telles que le Geographical Information System (GIS), la reconnaissance faciale, la reconnaissance d’image ou encore le Natural Language Processing (NLP) pour extraire automatiquement des informations des documents écrits. Le projet utilise pour sa structure l’ensemble des logiciels désignés sous l’acronyme LAMP (Linux, Apache, MySqL, PHP).
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En guise de conclusion pour le site de Taizhou (taizhou.irm.cn), l’équipe a publié une vidéo aérienne de la ville qui permet aux visiteurs d’avoir une appréhension globale de l’urbanisme de l’ancien village
À rebours des institutions culturelles françaises qui ont du adapter les informations scientifiques qu’elles produisent aux technologies numériques, le projet Mémoire de Pékin élabore une réflexion en amont. D’autres problèmes peuvent néanmoins se poser quand l’information est manquante ou insuffisante. En effet, le projet ne dispose pas de collections propres, ni même des archives créés par les chercheurs et il est parfois nécessaire de chercher le contenu par d’autres biais. Le site GIS Péking memory (gis.pekingmemory.cn) est en cela un bon exemple. Il s’agit d’un projet étudiant qui vise à répartir sur une carte interactive d’anciennes photographies de Pékin. Toutefois il est ardu de rassembler ces anciennes photographies dans la mesure où aucun partenariat n’a été créé avec des institutions culturelles recélant ce genre de documentation : les centres d’archives ou les bibliothèques. La question du copyright ne trouve pour l’instant de réponse que dans l’impossibilité faite aux visiteurs de télécharger les ressources.
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Page d’accueil du site GIS Peking memory
Le projet Mémoire de Pékin vise en premier lieu à la préservation numérique d’informations concernant le patrimoine pékinois. Une réflexion est menée sur la conservation, l’ordonnancement et la mise en ligne de ces données. L’équipe du projet élabore une théorisation sur l’élaboration d’un cadre numérique, qu’il leur est possible ensuite d’exporter dans d’autres projets, telle que la mémoire de Taizhou (taizhou.irm.cn). La méthode conçue pourrait donc servir de référence pour d’autres villes et villages en Chine.
Placer le public au centre de la réflexion 
Le concept de « mémoire » développé dans ce projet implique que l’information revêt d’ors et déjà une forme appropriée pour le public. Il ne s’agit en effet pas simplement de collecter les données mais de les rendre accessible et lisible. Par conséquent, une grande attention est portée à l’aspect des sites Internet. Leur design s’apparente en quelque sorte à des choix éditoriaux. La conception graphique des sites spécialisés est confiée à une entreprise nommée Monokeros. Les différentes parties du discours se déploient selon une lecture verticale qui permet de naviguer librement. De nombreux liens sont déployés dans chaque partie et sous-partie, tandis qu’une introduction et une conclusion donnent une unité à l’ensemble. Il est attribué à chaque partie une identité particulière grâce à des arrières plans choisis pour renvoyer l’atmosphère culturelle dont il est question. La police des titres a été réalisée spécialement par un calligraphe de renom, Luo Yang. Elle imite la graphie manuscrite et semble lier les technologies numériques aux plus anciennes méthodes de préservation de l’information.
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Exemple d’une sous-partie dédiée aux maisons traditionnelles dans le site dédié à Taizhou
Le design des sites Internet n’est pas seulement un moyen de les rendre plus beaux. Leur attractivité est évidemment un moyen de choisir le public auquel les professeurs souhaitent s’adresser. Le projet pourvoie des contenus scientifiques sous une forme agréable et ludique. Ces sites Internet peuvent toucher un grand nombre de visiteurs, qu’ils soient étudiants, amateurs, touristes ou chercheurs. Toutefois, ils ne répondent pas à tous les besoins des chercheurs qui réclameraient sans doute plus de références et la possibilité de télécharger des données. La convocation de technologies numériques s’insère dans la multiplication récente des moyens de médiation et de promotion du patrimoine en Chine. Marina Svensson note : « A growing number of Chinese citizens are thus today using a wide range of digital technologies to document, celebrate and debate local traditions and heritage »[9]. Le projet Mémoire de Pékin encourage également la publication de livres aux presses universitaires de l’Université du Peuple. Il est donc possible de toucher un autre public, moins habitué aux technologies numériques.
La base de données en ligne (search.digitalmemory.cn) permet aux visiteurs d’avoir accès aux informations et aux documents versés par les chercheurs dans une base de données à usage interne. Ici encore de nombreux dispositifs sont mis en œuvre pour permettre la plus grande accessibilité. Le visiteur peut effectuer une recherche simple par mots-clefs ou catégories ou encore une recherche avancée. Une carte présente également la localisation des différentes informations, tandis qu’un « memory cube » rend compte des sujets les plus fréquents de la base de données. Des tags et des liens entre les documents sont encore ménagés. Enfin un guide de classement présente l’architecture du site aux visiteurs tout en leur permettant de déboucher directement sur un contenu.
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Le « memory cube » présente aux visiteurs le contenu de la base de données
Le site collaboratif constitue une des plus grandes découvertes réalisées durant ce stage. Ce site a été publié l’année dernière et rassemble les mémoires de Pékin conçus par tout un chacun : les habitants, les visiteurs, les amateurs. Il rassemble à la fois des souvenir de promenade et des travaux scientifiques tels que quelques extraits du doctorat de Donia Zhang à propos des hutongs[10]. Ce site permet de mettre en valeur ce qui jusqu’alors avait peu été abordé dans l’étude du patrimoine : les émotions, les souvenirs personnels, les modes de vie en lien avec le patrimoine. Rodney Harrison declare en 2013 : « [It is] important to bring the affective qualities of heritage “things” more squarely into the critical heritage studies arena »[11]. Ce site est appelé à être développé dans les prochaines années, toutefois certaines applications concrètes pourraient déjà être envisagées. Les différentes initiatives individuelles et associatives pourraient être rassemblées sur ce site. Une prise de conscience patrimoniale plus large pourrait être diffusée. Enfin ce site collaboratif pourrait encore permettre une définition plus « démocratique » de ce qu’est le patrimoine et ainsi éviter le monopole des institutions culturelles traditionnelles[12].
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Ma contribution au site collaboratif présente des photographies prises au Palais d’Été
La Mémoire de Pékin est un projet multiforme qui convoque un grand nombre de savoir-faire pour préserver le patrimoine de l’actuelle capitale. De nombreuses démarches demandent encore à s’épanouir dans le futur. L’équipe du projet se trouve dans une période matricielle, où un véritable travail de théorisation sur la méthode employée, mais aussi la notion même de mémoire est encore possible. La « mémoire » permet d’aborder avec plus de fraîcheur ce concept si complexe qu’est le patrimoine. La mémoire est nécessairement entretenue dans le présent et s’écrit dans le présent. Au-delà de la « mémoire vive » qui nous renverrait aux technologies abondamment déployées dans ce projet, la mémoire s’attache avec humilité aux mouvements de l’âme, aux émotions, à l’attachement aux lieux où nous vivons. La mémoire suppose un entretien, des choix, un devoir peut-être. La « mémoire collective » implique inéluctablement le public. Le pari du projet Mémoire de Pékin est de tout miser sur les technologies numériques pour préserver, voire « recréer » l’atmosphère culturelle de l’ancien Pékin. Plus prudents, nous préférerions y voir une belle occasion de collecter des informations et de promouvoir le patrimoine pékinois auprès d’un public élargi.
Notes
Ce stage a été réalisée sous la direction du professeur Xu [email protected].
Chastel (André), L’inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France, Paris, 1967.
https://en.unesco.org/programme/mow
https://www.europeana.eu/portal/en
Svensson (Marina), « Evolving and contested cultural heritage in China : the rural heritagescape », dans Reconsidering Cultural Heritage in East Asia, éd. A. Mastuda et L. E. Mengoni, Ubiquity Press, 2016, p. 34.
“Despite the developments in conservation in the 1980s and 1990s, destruction of historical fabric has occurred et an unprecedented pace.” Whitehand (J.W.R), Gu (Kai), « Urban conservation in China : Historical development, current practice and morphological approach », dans The Town Planning Review, vol. 78, n. 5, 2007, p. 650. On pourra lire également : Zhang (Yue), “Steering Towards Growth : Symbolic Urban Preservation in Beijing, 1990-2005” dans The Town Planning Review, vol. 79, n. 2/3, Planning the Chinese City, 2008, p. 187-208.    
Sur les rénovations des maisons à cour : Zhang (Donia), « Courtyard Houses of Beijing : Lessons from the Renewal », dans Traditional Dwellings and Settlements Review, vol. 27, n. 1, 2015, p. 69-82.
Lire Liang (Zhang), La naissance du concept de patrimoine en Chine, XIXe-XXe siècles, Ipraus, Editions Recherches, 2003. L’auteur montre l’importance du rôle tenu par le patrimoine littéraire dans la conception du patrimoine chinois, surpassant en cela l’authenticité matérielle. Serait-il possible de voir dans l’interdisciplinarité défendue dans le projet Mémoire de Pékin une caractéristique de la notion de patrimoine en Chine ?  
Svensson Marina, “Heritage 2.0, Maintaining Affective Engagements with the local Heritage in Taishun”, dans Chinese Cultural Heritage in the Making, Experiences, Negociations and contestations (ed. Christina Maags et Marina Svensson), Amsterdam University Press, 2018, p. 277.
Courtyard Housing and Cultural Sustainability : A Study of Housing Renewal and Redevelopment in Beijing and Suzhou”, réalisé à Oxford Brookes University en 2012, publié par Ashgate en 2013, puis Routledge en 2016 sous le titre Courtyard Housing and Cultural Sustainability : Theory, Practice and Product.
Harrison Rodney, Heritage : Critical Approaches, London : Routledge, 2013, quoted par Svensson Marina, “Heritage 2.0, Maintaining Affective Engagements with the local Heritage in Taishun”, in Chinese Cultural Heritage in the Making, Experiences, Negociations and contestations (éd. Christina Maags et Marina Svensson), Amsterdam University Press, 2018, p. 275.
C’est la question que pose notamment Marina Svensson dans son article « Heritage 2.0, Maintaining Affective Engagements with the local Heritage in Taishun », dans Chinese Cultural Heritage in the Making, Experiences, Negociations and contestations (éd. Christina Maags et Marina Svensson), Amsterdam University Press, 2018. L’auteur déclare p. 275 : « These technologies [digital technologies] at least in theory, provide a more participatory and democratic platform for discussion on and critical celebrations of the cultural heritage ». Plus critiques, Joel Taylor et Laura Kate Gibson soulèvent que les technologies numériques peuvent aussi entretenir des structures non-démocratiques, notamment par la mise en place de catégories prédéfinies qui influencent les contributions des visiteurs. Lire “Digitalization, digital interaction and social media : embedded barriers to democratic heritage” in International Journal of Heritage Studies, 23, 5, p. 417.
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dusudaunord · 8 years
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Jeu-concours : une lampe aGlow à gagner
Pour ce nouveau jeu-concours, nous avons décidé de mettre en jeu un beau cadeau : une lampe aGlow, au prix de 129 €.
Nedgis, des luminaires originaux
Créée en 2015, par deux passionnées de décoration, Nedgis est spécialisée en luminaires insolites. Anagramme de DESIGN et de SIGNED, cette boutique en ligne propose une sélection à la fois riche et originale de luminaires signés de designers. Ainsi, Nedgis propose un autre regard sur le luminaire design.
Les plus grandes marques côtoient des noms plus anonymes. Mais tous les objets sont de très bonne qualité. Ces luminaires insolites offrent des éclairages aussi inattendus que leur design. Il y a en donc pour tous les goûts et toutes les envies.
Jeu-concours : une lampe aGlow à gagner
Pendant 2 semaines, on vous propose un jeu-concours. A gagner : une lampe aGlow de Kreafunk. Cette lampe sans fil vous permet de faire varier l’intensité de la lumière comme vous le souhaitez. Mais surtout cette baladeuse est aussi une enceinte bluetooth. L’autonomie de la lampe aGlow est de 20h. Vous pourrez l’emmener partout. Elle est parfaite lors de vos soirées sur la terrasse, dans votre tente ou encore dans votre salon. De quoi voyager en douceur et en toute tranquillité !.
Pour jouer, il suffit de répondre à la question suivante.
Chargement en cours…
Informations complémentaires
Le concours est ouvert jusqu’au mercredi 8 février 2017, 12h. Le gagnant sera tiré au sort parmi les participants à l’aide du site random.org.
http://ift.tt/2jdeDxD
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nedgis · 5 months
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Jeu concours Foscarini X Nedgis : tentez de remporter la lampe Binic ! 🌊
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nedgis · 7 months
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Jeu Concours :  gagnez la belle lampe à poser Neotenic Griotte de Petite Friture !
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nedgis · 1 year
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