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#jupe rouge
4nuttyaddict · 2 years
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Jupe asymétrique en jersey rouge. Page facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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(via Minijupe avec l'œuvre « Texture corset noir et fleur brodées rouges » de l'artiste Fantasyplus)
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lours-postal · 1 year
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2023 – 221
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chicinsilk · 2 years
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UK Vogue October 1987 ❤️❤️❤️❤️❤️
Model Christy Turlington wears, white cotton shirt, with black piping and button by Kriss. Short red wool fitted skirt and wide patent leather belt by Otto Glanz. Gilt chains, earrings. Harvey Nichols.
Le mannequin Christy Turlington porte une chemise en coton blanc avec passepoil et bouton noirs de Kriss. Jupe courte ajustée en laine rouge et large ceinture en cuir verni par Otto Glanz. Chaînes dorées, boucles d'oreilles. Harvey Nichols.
Photo: David Bailey Coiffure: John Frieda Make-up/Maquillage: Cheryl Phelps-Gardiner
vogue archive
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chic-a-gigot · 2 months
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La Mode illustrée, no. 15, 12 avril 1896, Paris. Robe en lainage rayé vert-de-gris. Robe en lainage beige. Robe en mohair bleu marine. Robe en taffetas gris. Modèles de chez Mmes Coussinet-Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe en lainage rayé vert-de-gris.
La jupe unie est faite en lainage rayé, la basque du corsage assez longue, plissée derrière, fendue plusieurs fois sur les hanches, s'écarte devant de façon à laisser voir un gilet long et pointu en soie côtelée crème, orné de petites poches encadrées de galons vert-de-gris. Le corsage est garni de larges revers en soie crème, encadrés de galons. On pose sur le gilet de la gaze crème, terminée au bord supérieur sous un nœud de gaze. le col droit est entouré d'une fraise en gaze. Les manches sont ornées de boutons.
Chapeau en crin blanc, garni de nœuds crème et de roses nuancées.
Verdigris striped wool dress.
The plain skirt is made of striped wool, the basque of the bodice is quite long, pleated at the back, slit several times at the hips, spreads at the front to reveal a long, pointed cardigan in cream ribbed silk, decorated with small framed pockets. verdigris braid. The bodice is trimmed with large cream silk lapels, framed with braid. Cream gauze is placed on the vest, finished at the upper edge under a gauze knot. the straight collar is surrounded by a gauze ruff. The sleeves are decorated with buttons.
White horsehair hat, trimmed with cream bows and shaded roses.
Robe en lainage beige.
Cette robe se compose d'une jupe unie et d'un corsage, plat derrière, froncé devant, terminé par une ceinture. Le corsage est orné devant d'un jabot en dentelle auquel se rattache un col avec ruche en gaze. Les autres garnitures du corsage se composent d'un col en perles brodé sur de la gaze, et de larges revers. Les manches sont garnies de ruches. Le chapeau, fait en paille satin beige, est orné de rubans beige et rouge.
Beige woolen dress.
This dress consists of a plain skirt and a bodice, flat at the back, gathered at the front, finished with a belt. The bodice is decorated in front with a lace frill to which a collar with a gauze ruffle is attached. Other bodice trimmings consist of a beaded collar embroidered on gauze, and wide lapels. The sleeves are trimmed with ruches. The hat, made of beige satin straw, is decorated with beige and red ribbons.
Robe en mohair bleu marine.
Robe en mohair bleu marine avec corsage plat et jupe à godets unie. Le corsage, terminé par une ceinture, est orné d'un plastron en guipure brodé de perles, encadré par des garnitures en gaze noire brodée de perles. Les manches sont ornées de revers semblables; le col droit est garni d'une fraise en dentelle.
Toque en tulle de soie noir, garnie d'une couronne de fleurs de pommier, et de rosaces en dentelle.
Navy blue mohair dress.
Navy mohair dress with flat bodice and solid godet skirt. The bodice, finished with a belt, is decorated with a guipure bib embroidered with pearls, framed by black gauze trims embroidered with pearls. The sleeves are decorated with similar cuffs; the straight collar is trimmed with a lace ruff.
Black silk tulle hat, garnished with a crown of apple blossoms and lace rosettes.
Robe en taffetas gris.
Cette robe, en taffetas gris, a une jupe large, fendue de chaque côté deux fois jusqu'aux hanches; les fentes sont remplies avec du taffetas gris plus foncé, plissé. Les bords de l'étoffe par devant, bordant les plis, sont ornés de boutonnières simulées et de boutons en nacre grise.
Le corsage est garni derrière d'une basque courte ondulée; il forme un corselet devant. Le bord supérieur du corsage par devant est couvert par de la soie fine plissée; on y pose en outre un morceau de passementerie terminé en pointe. Les manches sont ornées de revers en dentelle et de boutons; on fait retomber sur le col droit des morceaux de dentelle.
Chapeau rond en paille grise, garni de rubans gris et de plumes rouge ombrées.
Gray taffeta dress.
This dress, in gray taffeta, has a wide skirt, slit on each side twice to the hips; the slits are filled with darker gray, pleated taffeta. The edges of the fabric at the front, bordering the pleats, are decorated with simulated buttonholes and gray mother-of-pearl buttons.
The bodice is trimmed behind with a short wavy basque; it forms a corselet in front. The upper edge of the front bodice is covered by fine pleated silk; a piece of trimmings finished in a point is also placed on it. The sleeves are decorated with lace cuffs and buttons; pieces of lace are placed on the right collar.
Round gray straw hat, trimmed with gray ribbons and ombré red feathers.
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Au café du Nord, les habitués sirotaient leurs verres en commentant les potins du jour. « T'as vu la gueule de Robert hier soir ? On aurait dit qu'il avait gobé la Dent du Chat ! » lançait l'un. « Bah, c'est pas d'hier qu'il carbure au mauvais rouge », répondait l'autre. Le Café du Nord, c'était aussi le refuge de Marcel, un vieux bougre qui avait traversé les guerres, les amours et les désillusions. Chaque matin, il prenait son petit noir au comptoir, les yeux perdus dans le vague, écoutant les bruits familiers : le froufrou des jupes, le brouhaha des discussions, le cliquetis des cuillères dans les tasses. Il écoutait distraitement les histoires de Fernand, un ancien marin qui racontait avec passion ses péripéties en mer. « Tu sais Marcel, la mer, c'est pas comme ici. Elle te prend tout, mais elle te donne aussi beaucoup. » Et Marcel, sans lever les yeux, répondait invariablement : « T'as peut-être raison Fernand, mais moi, mon océan, c'est ce café. » Mireille, la serveuse, passait entre les tables, son plateau chargé de verres. Elle avait une beauté rêche, un regard qui en avait vu des vertes et des pas mûres. Chaque client avait sa petite histoire avec elle, chaque histoire avait sa chanson, et chaque chanson son souvenir. Mais le temps a effacé les figures familières. Aujourd'hui, ce volet fermé, c'est comme une paupière lourde sur des souvenirs éteints.
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perduedansmatete · 4 months
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j’ai vraiment un tshirt du che tout rouge qui appartenait à l’ex de ma cousine ça fait je sais pas combien de tris de fringues que je fais sans réussir à le virer car je suis persuadée de trouver une occasion de le mettre et que ce sera trop cool sachant que la dernière fois que je l’ai porté c’était au second tour en gueule de bois car oui… j’étais allée voter mais trêve de mauvais souvenirs je vais le ranger une fois de plus et peut-être qu’un jour je le mettrai avec une petite jupe et je me trouverais drôle et cool
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reveaufeminin · 1 year
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Nikki Sia, cette fois avec une jupe rouge, novembre 2022.
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wittylittle · 7 months
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« Don’t forget to wear the special panties »
Je suis arrivée chez la Licorne américaine un peu après 19h30. Il m’avait demandé d’opter pour un style « short skirt, tee shirt, beautifully slutty kind of innocent look. » J’ai ajouté des bas au genoux, retenus par des porte-jarretelles apparents sous ma jupe d’écolière. Et j’avais apporté un sac avec tous mes jouets préférés.
Il m’a expliqué comment la soirée allait se dérouler. J’allais manger avant que ce ne soit trop froid. Et il allait contrôler la vibration dans ma culotte pendant que je goûtais ce qu’il m’avait préparé.
Mais j’avais mal compris, j’avais oublié que je devais porter la culotte vibrante. Il m’a expliqué que j’allais être punie pour cette omission. Il m’a aussi dit que je serais punie pour mon retard.
Nous allions donc manger, puis je me ferais corriger et ensuite il allait s’assurer que je serais immobile et qu’il pourrait me faire les choses que j’avais trouvé excitantes dans le BDSM checklist.
J’étais donc consentante…
Après le souper il m’a traîné au sous sol et ma demandé de m’installer sur ses genoux. Il a décidé que je méritais 15 bonnes claque sur les fesses.
J’adore me faire spanker. Surtout dans cette position. J’étais déjà très mouillée. Il le fait tellement bien, en me caressant entre chaque coups. Et mes fesses deviennent chaudes et rouges.
Il m’a ensuite bandé les yeux au lit. Je devais me masturber avec mon jouet préféré devant lui pendant qu’il me filmait avec son téléphone.
Puis il a enchaîné. Je ne devais pas bouger pendant qu’il testait des choses sur moi. Des glaçons. Qui finissaient dans ma chatte. De la cire chaude qui sentait le sapin de noël qui coulait sur moi. Des jouets dans ma chatte, sur mon clit. Il filmait ce qu’il voulait pour me le montrer plus tard.
Je ne pouvais toujours pas bouger quand il a décidé de me baiser.
Sérieux c’était très facile. J’adore me laisser faire. Il prenait soin de moi. Je me sentais comme une princesse.
Il me mordait les cuisses, j’ai plein de bleus.
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On a pris une pause. Il m’a dit que si j’étais une bonne fille j’aurais droit à un massage après la 2e séance.
Cette fois je devais me déshabiller devant lui. J’ai retiré ma culotte et je lui ai lancée. « Come here » il me regardait. « What made you think you can throw things at me? »
Ma punition ? 25 coups. Et je devais les compter. Les fesses encore brûlantes, je devais le remercier en m’agenouillant devant lui. J’étais redevenue une good girl.
De retour au lit, il a recommencé son manège. Encore, pas le droit de bouger, des glaçons sur mon corps. Des jouets vigoureux dans ma chatte et ma bouche ouverte pour qu’il puisse se faire plaisir. J’avais la permission de bouger mon cou pour le satisfaire. Je ne pouvais venir que si sa queue était dans ma bouche. C’était le règlement.
Après la séance on a mangé des craquelins, un délicieux cheddar vieilli et des fraises en écoutant un album de Bowie. On s’est embrassés et teasé sur le canapé en se collant. J’ai dormi chez lui.
Brunch, balade, café et hop, la Licorne américaine me demandait si je pouvais le revoir mercredi prochain.
I AM A GOOD GIRL.
Thank you very much indeed.
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4nuttyaddict · 2 years
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Jupe gothique en coton et dentelle. Lien facebook: https://www.facebook.com/4-nutty-addict-850962241666113
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magguy-crossdresser · 11 months
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… Ce jour, c’était un essai «  Red and Black » de hauts talons rouges et d’une mini jupe assortie en vinyl rouge également.
Suis en quête de Sissy pour prendre les futures photos… 😉…💋
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des-paroles · 10 months
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Vulgaire la jupe trop courte?
Vulgaire le décolleté plongeant?
Vulgaire les talons aiguilles?
Vulgaire les cheveux rouges?
Vulgaire les yeux charbon?
Vulgaire le rouge pulpeux sur les lèvres ?
Vulgaire les tops dévoilant les ventres?
Vulgaire les fesses moulées dans un legging?
Regardez vous, si petits devant tant de beauté
Regardez et ne pas toucher
Regardez et caresser si bon vouloir
Appréciez et ne dites rien
Il n'y a pas de vulgarité sans le regard de l'autre
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chicinsilk · 1 month
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Harper's Bazaar February 1958
Renée Breton wears a pink-red wool suit, the jacket floats backwards from a slightly rolled collar and is balanced on a thin stem skirt. By Monte-Sano & Pruzan. Hat; Dior-New York raw straw wheel; Cadoro ruby red and pearl earrings; Brilliantly clear “True Red” treatment lipstick from Charles of the Ritz.
Renée Breton porte un tailleur en laine rose rouge, la veste flotte vers l'arrière depuis un col légèrement roulé et est en équilibre sur une fine jupe tige. Par Monte-Sano & Pruzan. Chapeau; Roue en paille brute de Dior-New York ; boucles d'oreilles rouge rubis et nacrées Cadoro ; Rouge à lèvres traitant « True Red » brillamment clair de Charles of the Ritz.
Photo Louise Dahl-Wolfe
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sanstatouage · 10 months
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X
Jeux Érotiques
Le jeu avait simplement commencé par quelques regards, négligemment échangés lors des cours magistraux. Au début, Lila avait cru à un hasard, elle fixait naturellement les professeurs et les professeurs, eux, promenaient leurs yeux dans toute la salle, lorsqu'ils parlaient. Ces échanges subtiles se faisant de plus en plus nombreux, la jeune femme fini par croire à un intérêt purement professionnel de la part de sa professeure. Elle excellait en lettres modernes et avait déjà été de nombreuses fois félicitée, grâce à ça. Les yeux noirs de Madame Francés n'étaient donc qu'un encouragement à l'écouter un peu plus, ou encore un compliment pour son assiduité ? Naïve et encore jeune, Lila y croyait. Jusqu'à ce soir-là.
Comme beaucoup de jeunes adultes, Lila aime sortir, danser, boire. Le tout jusqu'à en oublier la vie, jusqu'à en perdre le souffle, jusqu'à en perdre la tête. Chaque vendredi soir, elle sort avec ses amis, chaque samedi matin elle dit « plus jamais ça » et chaque samedi soir, elle recommence. Ce samedi-là ne fait pas exception. La jeune femme fait face une dernière fois au miroir, le minois ravi. Il fait chaud, déjà, alors elle porte un short ridiculement court, un petit crop-top au crochet blanc. Ses longs cheveux sont lâchés dans son dos, de longues boucles rousses roulant contre ses reins. Un petit perfecto en simili-cuir, quelques bijoux et elle prend sa voiture, récupère quelques uns de ses amis.
C'est une petite troupe déjà bien échauffée qui arrive dans un des bars les plus branchés de la ville, situé sur un bateau et flottant dans l'immense cours d'eau qui traverse la ville. Sur le pont, des tables et des serveurs et serveuses qui voguent entre elles, des cocktails très colorés sur leurs plateaux. Dans la cale est aménagée une pièce immense où viennent danser les gens fatigués de boire. Un endroit dépaysant, où Lila vient s'évader tous les week-end... sans se douter que ce voyage-là sera sans doute d'autant plus exotique.
Sur place, ils retrouvent encore quelques potes de fac, un petit groupe déjà attablé autour d'une bonne bière fraîche ou d'un mojito alléchant. Lila s'assied parmi eux, commande à son tour un Blue Lagoon. Les conversations débutent, les esprits s'échauffent... Lila, elle, reste pleinement maîtresse d'elle-même. Force est de constater que ses petites soirées lui ont donné une certaine résistance et heureusement. A une table non loin, viennent de s'installer deux femmes. Et la présence de l'une d'elle... vient de déposer un sacré poids dans l'estomac de Lila. Madame Francés, Celene de son prénom, est installée juste à côté de la fenêtre, les coudes posés sur la table. C'est la première fois que Lila la voit... hors de la fac. La professeure a laissé tomber son chignon pour rassembler son incroyable chevelure noire sur l'une de ses épaules. Oubliée la sage tenue chemisier-jupe fourreau-chaussures à petits talons, la belle et tranquille femme est désormais vêtue d'une robe d'un rouge provoquant, moulante, fendue sur sa cuisse. Sa poitrine généreuse est pleinement offerte au regard, un collier doré roulant sur le moelleux de la chair bronzée. Machinalement, elle repousse une mèche de cheveux ébène, échange quelques paroles avec son amie, rit... Lila déglutit. Madame Francés est belle, libérée des carcans scolaires, femme parmi les femmes... Une nouvelle gorgée de son cocktail et elle tente d'en revenir à la conversation, s'empêchant de regarder à nouveau sa professeure. Perdue, elle ne remarque pas que c'est à son tour d'être regardée... désirée.
« Et voilà pour vous un autre Blue Lagoon, de la part de la dame en rouge, près de la fenêtre. » Lila fixe un instant le serveur, stupéfaite. Il a posé le verre devant elle, chuchotant quelques mots juste à côté d'elle pour qu'elle soit seule à les entendre. La dame en rouge... Lila relève la tête. Madame Francès est là, le menton appuyé sur son poing, observant son élève avec un sourire doux aux lèvres. Son amie parle au téléphone, lancée dans une discussion visiblement passionnante, laissant la liberté à la belle espagnole de séduire qui elle veut. Elle semble si assurée, c'en est presque provoquant. Lila l'observe un instant sans sourire, histoire de bien lui faire comprendre qu'elle n'est pas amusée par la situation... Quand la professeure se lève, lui jette un dernier regard en coin, une invitation on ne peut plus clair. Lila repousse le verre, sourcil froncé. Alors c'est comme ça ? Elle s'imagine gagner avec cette technique si simple ? La jeune femme se lève aussitôt, traversant la foule pour pousser la porte précédemment traversée par sa professeure. Elle mène à des escaliers qui descendent dans la cale, direction... les toilettes. Tellement, tellement prévisible...
Lila les descend rapidement, le battement de la musique la faisant vibrer, son pas rendu plus léger par l'alcool. A peine assez, elle a encore toute sa tête, et toute sa volonté. Ce n'est que pour faire payer à cette femme qui ose tout qu'elle est venue et elle le sait. La porte s'ouvre à la volée, Madame Francés est appuyée sur le lavabo, visiblement amusée.
« Je peux savoir ce que vous me voulez ?! »
Le ton de Lila est sec, son visage sérieux. On dirait une fillette qui joue mal la comédie. Celene s'approche, riant discrètement.
« Ces vêtements te mettent en valeur, Lila. »
Lila fait la moue.
« Vous pouvez parler, vous avez vu votre robe ? »
Un pas et Celene brise la distance entre elles. Lila regarde en haut, à droite, à gauche... tout, pour ne pas voir l'arrogante poitrine de sa professeure.
« J'en déduis qu'elle te plaît ? Regarde moi, Lila... c'est pour toi que je l'ai mise. »
La professeure prend doucement la main de son élève et la pose sur ses propres hanches, où l'on sent le tissu délicat de son vêtement et... rien d'autre. Ici, on aurait dû sentir la couture de son string, de sa culotte... peu importe, mais on aurait dû sentir quelque chose.
« Et ça aussi, c'est pour toi. »
Lila a les joues rouges et le cœur battant la chamade. Sa professeure... l'invite explicitement à partager un moment, là tout de suite. Un moment intime. Ses doigts se referment sur le tissu, elle sent la peau chaude au travers. Elle pourrait l'enlever, la repousser, foutre le camp de ces toilettes où elles sont seules, loin de la réalité. Elle pourrait... elle pourrait. Celene noue ses bras autour de sa taille, se rapproche, petit à petit. Ne se voyant pas repoussée, la professeure se fait de plus en plus téméraire. Une seconde et elle est blottie contre elle. Une seconde de plus et elle embrasse son cou, y laissant de petites traces rouges, sensuelles. Encore une seconde et leurs respirations s'accélèrent, leurs mains hâtives cherchent les limites de leurs vêtements. Le petit top en crochet est repoussé pour laisser les seins de Lila nus. La robe rouge si provocante est remontée sur les fesses de Celene, désormais offertes aux caresses, aux griffures... et même à une petite fessée qui fait couiner de surprise la femme. C'est à deux mains que Lila prend son fessier superbe, l'agrippant fermement. Leurs lèvres se joignent dans un baiser furieux, la jeune étudiante repousse sa professeure contre les lavabos. Ses doigts se baladent, s'enfoncent dans la chair souple, s'en vont même jusqu'à caresser ses cuisses, puis entre elles, là où poussent quelques petits poils aussi noirs que ses cheveux.
« Depuis combien de temps... ? »
Celene ricane, saisit une poignée de cheveux roux vifs.
« Depuis la première fois où mes yeux ont croisé les tiens. »
Alors c'est ça... ? Ça a toujours été plus que ça, plus qu'un regard venu d'une professeure fière d'une de ses élèves ?! Presque trahie, Lila la repousse encore, la soulève brutalement pour l'asseoir sur le dessus du lavabo, les fesses nues sur le marbre glacial. Madame Francés la voulait depuis le début, n'attendant visiblement que la bonne occasion pour lui faire part de son attirance. Le moment est là, enfin, intense et brutal... enivrant. La colère ne s'attarde pas, chassée par l'envie charnelle, si difficile à contrôler, à repousser. Les yeux dans les yeux, les deux femmes mènent une danse rythmée par la musique, pourtant si lointaine. Lila met un genou à terre, puis l'autre. L'une des mains de Celene se perd dans ses boucles, l'autre tient le tissu de sa robe relevé, s'offrant au regard de sa jeune élève. Lila n'a jamais embrassé entre les cuisses d'une femme et ses amants étaient toujours médiocres dans ce même acte. Mais entre femmes... elle ressent instinctivement là où embrasser, là où mordre... ses paupières se ferment, elle inspire profondément son parfum, ses lèvres courant sur la peau douce de ses cuisses. La poigne de la professeure se referme sur ses cheveux, l'incitant à venir un peu plus près, un peu plus intimement. Pour la forme, Lila y résiste, faisant soupirer Celene de dépit.
« Viens, s'il te plaît... Lila... »
Jugeant le ton assez suppliant, la jeune femme lui accorde un baiser sur le pubis, puis un autre, encore un, sa bouche caressant les petits poils drus, puis son clitoris, ses lèvres gonflées par l'excitation. Un soupir plus fort au-dessus d'elle et elle s'autorise à glisser sa langue le long de la fente trempée, les plaisirs féminins gouttant sur le marbre du lavabo. La belle robe rouge risque d'être souillée... Ses doigts qui crissent contre le vêtement, qui le repoussent, qui découvrent le ventre de Madame Francès... Et la femme qui gémit, les cuisses grandes ouvertes, la tête renversée en arrière, une cascade de cheveux noirs lui tombant contre les reins. Lila entend son prénom une fois, deux fois, cinq fois... puis cesse de compter alors qu'elle l'embrasse à pleine bouche, qu'elle dévore son intimité, qu'elle boit ses sucs à même la source. C'est délicieux, un nectar bien plus sucré, bien plus doux que la semence masculine, que Lila a toujours si peu aimé. Encouragée par les mouvements de sa désormais amante, elle la déguste jusqu'à la conduire royalement sur le chemin d'un orgasme bruyant, violent. Lila relève la tête, les yeux luisants, le menton trempé. C'était pour elle... c'était par elle.
Madame Francès remet pied à terre, tremblante sur ses talons hauts. Elle attire sa jeune élève dans une étreinte, échange avec elle un baiser encore mouillé de ses plaisirs. Lila l'enlace, presse ses fesses, la dévore de baisers... elle aussi en veut, sa culotte lui colle à la peau, son ventre la brûle terriblement.
« A toi, ma Lil... »
Des bruits de pas dans le couloir et la jeune femme cache sa poitrine découverte, sa professeure redescend tant bien que mal sa robe avant de l'attirer dans l'une des cabines. Les deux amantes se cachent en riant, comme deux adolescentes découvrant les plaisirs de la chair, ainsi que tous ses secrets. L'une intime à l'autre le silence, alors que la cabine d'à côté se fait occuper. Les jeux reprendront quand elles seront à nouveau seules... et en attendant, pourquoi ne pas se couvrir de baisers ?
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eiffel21 · 10 months
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Mot valise
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Petite, j’ai souvent écouté Dorothée me seriner ce qu’elle avait mis dans sa valise : sa belle jupe grise, quelques chemises, et les fameuses chaussettes rouges et jaunes à petits pois... ad nauseam. La valise de Dorothée ne m’a jamais inspirée. Une accumulation d’objets dont elle n’aurait finalement que peu l’utilité en vacances… Qui emmène une perruque qui frise, un kilo de poires pour la soif, sérieusement ?
Personnellement, j’aurais bien vu dans la valise quelques haïkus, une pivoine pourpre, la douceur du museau d’un cheval, une photo de mes parents jeunes, la tirade de Cyrano, le chant du merle, un disque de Nina Simone, un dessin d’enfant, l’Elsa d’Aragon, le vent chaud dans les pins, une plume bleue et de l’encre rouge, un carnet fleuri et surtout... des mots pour le remplir !
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solis-menta · 2 years
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Prendre corps
je te flore ~ tu me faune ~ je te peau ~ je te porte ~ et te fenêtre ~ tu m’os ~ tu m’océan ~ tu m’audace ~ tu me météorite ~ je te clé d’or ~ je t’extraordinaire ~ tu me paroxysme ~ tu me paroxysme ~ et me paradoxe ~ je te clavecin ~ tu me silencieusement ~ tu me miroir ~ je te montre ~ tu me mirage ~ tu m’oasis ~ tu m’oiseau ~ tu m’insecte ~ tu me cataracte ~ je te lune ~ tu me nuage ~ tu me marée haute ~ je te transparente ~ tu me pénombre ~ tu me translucide ~ tu me château vide ~ et me labyrinthe ~ tu me parallaxes ~ et me parabole ~ tu me debout ~ et couché ~ tu m’oblique ~ je t’équinoxe ~ je te poète ~ tu me danse ~ je te particulier ~ tu me perpendiculaire ~ et sous pente ~ tu me visible ~ tu me silhouette ~ tu m’infiniment ~ tu m’indivisible ~ tu m’ironie ~ je te fragile ~ je t’ardente ~ je te phonétiquement ~ tu me hiéroglyphe ~ tu m’espace ~ tu me cascade ~ je te cascade à mon tour ~ mais toi ~ tu me fluide ~ tu m’étoile filante ~ tu me volcanique ~  nous nous pulvérisable ~ nous nous scandaleusement ~ jour et nuit ~ nous nous aujourd’hui même ~ tu me tangente ~ je te concentrique ~ concentrique ~ tu me soluble ~ tu m’insoluble ~ en m’asphyxiant ~ et me libératrice ~ tu me pulsatrice ~ pulsatrice ~ tu me vertige ~ tu m’extase ~ tu me passionnément ~ tu m’absolu ~ je t’absente ~ tu m’absurde ~ je te marine ~ je te chevelure ~ je te hanche ~ tu me hantes ~ je te poitrine ~ je buste ta poitrine ~ puis ton visage ~ je te corsage ~ tu m’odeur ~ tu me vertige ~ tu glisses ~ je te cuisse ~ je te caresse ~ je te frissonne ~ tu m’enjambes ~ tu m’insupportable ~ je t’amazone ~ je te gorge ~ je te ventre ~ je te jupe ~ je te jarretelle ~ je te peins ~ je te Bach ~ pour clavecin ~ sein ~ et flûte ~ je te tremblante ~ tu m’as séduit ~ tu m’absorbes ~ je te dispute ~ je te risque ~ je te grimpe ~ tu me frôles ~ je te nage ~ mais toi ~ tu me tourbillonnes ~ tu m’effleures ~ tu me cerne ~ tu me chair cuir peau et morsure ~ tu me slip noir ~ tu me ballerine rouge ~ et quand tu ne haut talon pas mes sens ~ tu es crocodile ~ tu es phoque ~ tu es fascine ~ tu me couvres ~ et je te découvre ~ je t’invente ~ parfois tu te livres é~ tu me lèvre humide ~ je te délivre ~ je te délire ~ tu me délire ~ et passionne ~ je t’épaule ~ je te vertèbre ~ je te cheville ~ je te cil et pupille ~ et si je n’omoplate pas ~ avant mes poumons ~ même à distance ~ tu m’aisselle ~ je te respire ~ jour et nuit ~ je te respire ~ je te bouche ~ je te baleine ~ je te dent ~ je te griffe ~ je te vulve ~ je te paupière ~ je te haleine ~ je t’aime ~ je te sens ~ je te cou ~ je te molaire ~ je te certitude ~ je te joue ~ je te veine ~ je te main ~ je te sueur ~ je te langue ~ je te nuque ~ je te navigue ~ je t’ombre ~ je te corps ~ je te fantôme ~ je te rétine ~ dans mon souffle ~ tu t’iris ~ je t’écris ~ tu me penses
Ghérasim Luca - La fin du monde, « Poésie »
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