Tumgik
#lâcher-prise le contrôle
lafeedelaverite · 2 months
Text
Parfois, nous devons nous défaire de nos fardeaux pour trouver notre équilibre.
Plus nos fardeaux sont lourds, plus il peut être difficile de trouver un équilibre dans nos vies. Peut-être sommes-nous à la recherche d’un endroit où décharger ce poids, ou peut-être essayons-nous de le garder en nous-mêmes. Mais, dans tous les cas, nous pouvons éprouver un certain soulagement, en apprenant à garder notre équilibre, lorsque nous laissons aller nos problèmes. Pense à ton…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
needtowriteaf · 6 months
Text
Tumblr media
À propos du désir. 
Mon psy m’a dit qu’il existait deux catégories de personnes dans ce monde.
La première est composée de personnes qui mènent une vie faite de haut et de bas constant, alternant entre les pics de bonheur intenses, et les redescentes vertigineuses de tristesse. Elles passent d’un sentiment à l’autre, sans arrêt, guidé uniquement par leur désir. Cherchant à nouveau la jouissance de les avoir assouvis. Et ce, même si cette satisfaction n’est que passagère.
Le seconde catégorie est faite de celles qui, paralysées par la peur du chagrin qui suit l’instant de bonheur, se refusent de trop grandes effusions de joie. Celles-ci ne se laissent pas submerger, ni par les sentiments heureux, ni par ceux qui font mal. C’est alors une vie monotone, sans désir ni contentement. L’exaltation est synonyme d’effondrement, car elles se projettent déjà dans l’après, dans la perte. Plus l’euphorie est grande, plus la désillusion est douloureuse.
L’une, est insouciante et rêve d’être éprise d’ivresse émotionnelle, de s’y laisser prendre et tournoyer, sans lutte. Elle n’a que faire de l’atterrissage, tant que la chute est belle. 
L’autre, se mure dans la crainte et refuse de lâcher prise. Elle reste aux commandes de sa tour de contrôle. Rien ne viendra perturber son petit équilibre interne. 
Pour ma part, j’oscille perpétuellement entre ces deux mécanismes. Une partie de moi aspire à vivre des choses bouleversantes. Des histoires qui marqueront mon âme et même, ma chair [..]
Mon alter-égo, lui, ne cesse d’auto-saboter ce projet. Je ne m’ouvre jamais totalement. J’érige une liste de critères inatteignables, que j’exige à l’autre de remplir. Je ne laisse pas les individus m’atteindre trop profondément. De toute façon, dans 5 ans, je serai parti alors, à quoi bon ? 
« En fait, il me faudrait un homme qui me suive partout » 
C’est ce que j’ai dit à mon psy. Il a rigolé. Cette phrase à elle seule, résume mon mécanisme d’attachement dysfonctionnel, et a débouché sur toute cette réflexion autour du désir. 
Je veux sauter en parachute, mais j’ai peur du vide. 🪂
4 notes · View notes
ernestinee · 2 years
Text
Ça faisait longtemps la petite insomnie là. 1h30, toujours pas fermé l'oeil.
Je suis toute remuante parce que C'EST TROP BIEN LE TRAPEEEEEZE !!
Haha j'en n'avais pas encore vraiment parlé ici mais je fais des progrès de fou, genre aujourd'hui j'ai appris plusieurs postures au tissu et j'ai su les enchaîner, et j'ai appris à faire le grand écart tête en bas en me tenant au trapèze.
Je mets une photo d'une des postures de tissu et c'est pas la plus compliquée.
Tumblr media
Gérer son corps à l'envers, utiliser la mémoire kinesthésique, répéter les mêmes mouvements encore et encore, visualiser, lâcher prise sur la hauteur, compenser mentalement le mouvement de balancier qu'on ne contrôle pas, mais contrôler chaque muscle séparément, chaque inspiration qui recentre sur soi et chaque expiration lorsque l'on gaine les abdos pour monter une posture ou la freiner. Allonger les pieds, mettre la tête en arrière et ajouter de la grâce à des postures si peu naturelles à quelques mètres au dessus du tapis.
J'ai des bleus partout avec les cordes, j'ai des courbatures dans les abdos, les jambes, les bras et jusqu'au milieu des mains pendant 3 jours, mais qu'est ce que j'aime cette sensation de corps auquel je peux faire confiance.
Par contre je ne dors pas, je bosse demain je vais être ko et les chats prennent toute la place. Bon c'est pas comme si j'étais pas habituée aux petites nuits, on va gérer comme d'haaaab.
Oh et en parlant des chats, j'ai une photo trop mignonne. Voilà voilà c'est des petits chouchoux.
Tumblr media
16 notes · View notes
healer-777-blog · 10 months
Text
Tumblr media
Réchauffement climatique - ou alerte mondiale ? (jeu de mots en anglais entre Global Warming – or Global Warning?)
Par Martin Brofman - écrit en 2010 et suivi par l'article de Philippe Hannetelle en 2023 "Conscience globale et changement climatique".
Les scientifiques ont attiré notre attention avec des images de l'espace montrant la fonte des glaciers, la diminution des calottes polaires, des prédictions terribles de ce qui pourrait / pourrait / va se produire avec de légères augmentations de la température de la terre.
Une conférence des Nations unies sur le changement climatique s'est tenue à Copenhague en décembre 2009, à laquelle ont participé des dirigeants du monde entier, afin de discuter de la situation et de prendre des décisions. Certains affirment que la conférence a été un succès, tandis que d'autres ne sont pas d'accord. Difficile de dire qui a raison.
Ce que nous savons, c'est qu'immédiatement après cette conférence sur le réchauffement climatique, l'hémisphère nord a connu des tempêtes de neige et des vagues de froid record.
Comment comprendre cette situation ?
On a beaucoup parlé d'une nouvelle phase de notre évolution planétaire, une phase que certains appellent l'ère du Verseau, et l'une des caractéristiques de cette ère est que nous fonctionnerons de plus en plus comme une famille mondiale, en pensant au-delà des frontières individuelles, et en reconnaissant que c'est une nécessité, puisque nous devons travailler ensemble pour résoudre les problèmes qui nous affectent tous.
Certains décrivent ce changement de conscience planétaire comme un mouvement du chakra du plexus solaire vers le chakra du cœur. Le chakra du plexus solaire concerne le pouvoir, le contrôle et/ou la liberté, les intérêts individuels, tandis que le chakra du cœur concerne les relations avec les autres.
Lorsqu'un individu passe par ce processus, il prend la décision profonde d'évoluer, et cette évolution peut être facile ou difficile, selon la façon dont il a fonctionné au niveau du chakra du plexus solaire.
S'il a fonctionné du point de vue du contrôle, en décidant ce que les autres devraient faire pour satisfaire ses propres besoins individuels perçus, et qu'il veut passer à l'acceptation et à la relation, il doit passer par le lâcher-prise. Plus ils s'accrochent au contrôle, plus les choses deviennent incontrôlables, jusqu'à ce qu'un choc les oblige à accepter ce qui est et à reconnaître l'importance des concepts mutuels de liberté. Lorsqu'ils y parviennent et voient les choses sous un nouvel angle, ils peuvent se voir avec compassion et comprendre que toute la douleur et l'inconfort qu'ils se sont infligés sont dus au fait qu'ils se sont accrochés au contrôle.
Vivre l'aspect de la liberté dans le chakra du plexus solaire rend la transition beaucoup plus douce.
Nous sommes sortis de 2000 ans de chakra du plexus solaire, où notre force de motivation était nos propres intérêts primaires, et nous avons maintenant commencé à penser davantage comme une famille mondiale. Certaines parties du monde ont davantage progressé dans cette direction que d'autres, mais quoi qu'il en soit, nous sommes sur la bonne voie. L'évolution est, après tout, inévitable.
Certains disent que la Terre a une conscience et qu'elle est sensible à ce qui se passe en relation avec les êtres qu'elle soutient et entretient.
Peut-être qu'à la suite de cette conférence sur le changement climatique, les gens sont désormais plus conscients de la manière dont ils utilisent les ressources planétaires, et la Terre mère pourrait répondre à ce changement, considérant qu'elle n'a plus besoin de créer des avertissements terribles sur ce qui pourrait être autrement.
Nous devons attendre de voir si tout ce temps froid et cette neige record ont eu pour effet de reconstituer les glaciers et les calottes polaires. Si c'est le cas, nous pouvons peut-être considérer qu'il s'agit simplement d'un avertissement mondial, qui nous a permis de faire face à une menace commune perçue, afin de nous motiver à établir des relations différentes de celles que nous avions auparavant, davantage comme une famille mondiale qui comprend l'importance de communiquer et de travailler ensemble pour un bien commun, d'une manière qui fonctionne pour tout le monde.
Martin Brofman -2010 ©
------------------------------------------------------------------------
Tumblr media
Conscience mondiale et changement climatique
Ce que Martin a écrit il y a treize ans est devenu non seulement un réchauffement climatique, non seulement un avertissement, mais une menace pour la vie de tous les êtres vivants.
Du point de vue où tout commence dans notre conscience, nous avons attiré à nous une menace qui devrait et doit maintenant nous faire réagir. Et comme nos perceptions créent notre réalité, plus les gens perçoivent ce qui se passe comme une menace, plus cette menace se manifeste dans la réalité physique.
Lorsqu'il y a un symptôme dans le corps physique, le reste du corps se mobilise pour aider la partie disharmonieuse, et il est bon de soutenir les efforts du corps pour se guérir lui-même en le nourrissant de pensées positives et en envoyant de l'amour à la partie du corps qui en a besoin.
Lorsque notre planète a commencé à présenter des symptômes liés au comportement humain, quelques voix se sont d'abord élevées pour faire prendre conscience de notre attitude à l'égard des êtres vivants. D'un autre côté, nombreux étaient ceux qui voulaient que l'humanité continue dans la même direction sans rien changer, tandis que d'autres préféraient ne rien dire et pratiquer la politique de l'autruche.
Maintenant que les symptômes sont visibles partout sur la planète, la majorité des gens continuent dans la même direction, vers le mur, même si de plus en plus commencent à sentir qu'il faut changer quelque chose, mais surtout les autres avant eux.
Notre espèce humaine, par son comportement, continue aveuglément à démontrer son irrespect du vivant et son stupéfiant nombrilisme. Combien de secousses devrons-nous encore affronter avant que chacun d'entre nous, dans sa conscience, n'entreprenne un changement profond ?
Les changements climatiques, les températures élevées en de nombreux endroits, les incendies, les inondations et les cyclones plus forts que jamais, les guerres et la pauvreté nous montrent que nous devons nous mobiliser ensemble pour prendre une autre direction que celle vers laquelle nous nous dirigeons si nous continuons à voir, à entendre et à ne rien faire.
Tout cela reflète une énergie du plexus solaire très forte, où se mêlent la compétition, la volonté de prendre le pouvoir sur les autres, la négation des droits de nombreux êtres humains et animaux, le sentiment de séparation (moi ici et les autres à l'extérieur).
L'élément lié au chakra du plexus solaire est le feu, et ce chakra est le chakra du soleil. Lorsque l'on met trop d'emphase sur un chakra, il est en disharmonie, et il y a apparition de symptômes liés aux aspects de la conscience liés à ce chakra - en termes de pouvoir il peut s'agir de se sentir impuissant, de donner son pouvoir/liberté à l'extérieur, en termes de contrôle il peut s'agir de se contrôler soi-même, de vouloir contrôler les autres, de se sentir séparé.
La conscience de groupe, qui est la somme de toutes les consciences individuelles, est actuellement déséquilibrée et attire des expériences qui reflètent son état de conscience.
La prise de conscience d'un nombre croissant de personnes, voyant le lien entre le corps et l'esprit et la nécessité pour chacun de changer son comportement intérieur et extérieur, peut nous permettre de changer la direction de l'humanité. Tout peut être guéri, mais pour que la guérison fonctionne, chaque individu doit cesser de se regarder le nombril et réaliser que nous vivons une transformation extraordinaire, et faire en sorte que cette transition se fasse d'une manière plus douce qu'à l'heure actuelle.
Il s'agit de prendre la décision consciente de se déplacer vers le cœur.
Ce qui gouverne le monde en ce moment, c'est la peur. Et plus nous nous concentrons sur la résistance, plus nous l'augmentons et plus nous attirons des événements où la peur se manifeste.
Bien sûr, dans l'absolu, nous pourrions tout changer tout de suite, mais il faut du temps pour que chacun fasse un choix. Chacun est créateur et a le pouvoir de changer et d'aider son entourage à changer. Pourtant, jusqu'à présent, beaucoup de gens veulent revenir à l'ancien monde "où c'était mieux", justifiant leur façon d'être et leurs réflexes.
Alors oui, il faut du courage pour regarder à l'intérieur de soi, pour reconnaître ce qui ne fonctionne pas, pour le changer, pour être honnête avec soi-même et avec les autres, pour être généreux et pour avoir la volonté de se concentrer sur ce que l'on peut faire, chacun dans son domaine, pour aller vers un monde meilleur.
Cela demande un grand changement, de cesser de juger et de dénigrer les autres, quels qu'ils soient, et de prendre la décision consciente d'aller vers ton chakra du cœur, un endroit où tu peux voir le monde avec compassion, en acceptant les autres, quoi qu'ils aient fait.
À la fin de la journée, tu peux te demander combien de temps tu as passé à être compatissant, à accepter et à ressentir un amour inconditionnel pour toi-même et pour les autres. Et le lendemain, tu te dis que tu feras encore mieux.
Dans diverses philosophies ésotériques, ce moment est également décrit comme un moment où le pendule cosmique arrive à son point final de descente avant de remonter, et ce moment peut être chaotique en fonction de l'attitude de chaque individu et donc de la conscience du groupe.
Un autre point de vue est parfaitement expliqué dans plusieurs ouvrages, dont un en particulier "Les Yugas". De ce point de vue, l'humanité passe par des âges clairement discernables, ou yugas. Chaque yuga modifie la conscience de l'humanité. Alors que nous nous trouvons dans le Dwapara Yuga ascendant, cela a commencé par la montée en puissance de l'individu et la longue poursuite du bonheur personnel sans tenir compte de son impact sur les autres. Vers la fin du Dwapara Yuga, l'humanité apprendra que le bien-être des autres est essentiel au bonheur de chaque individu, et l'exploitation, l'iniquité et l'injustice prendront progressivement fin.
Le développement de l'humanité est inextricablement lié au développement de la conscience de chaque homme.
Puissions-nous tous être un exemple pour les autres, les aider à voir les choses autrement et à agir pour matérialiser une autre réalité.
Avec amour et gratitude,
Philippe Hannetelle - 2023 ©
The Yugas - David Steinmetz and Joseph Selbie - Crystal Clarity Publishers
fondationbrofman.org
2 notes · View notes
gfxced · 10 months
Text
youtube
Je pose ça, là. J'ai été malade ces quatre derniers jours avec fièvre et toux et pendant la pire nuit pour m'endormir j'ai pensé au stoïcisme. Lâcher prise paradoxallement signifiait reprendre le contrôle.
Marcus Aurelius est l'un de mes philosophes antiques préféres, avec Diogène de Sinope. Le cynisme c'est relativement semblable au stoïcisme, mais en plus radical punk à chiens qui fait des fucks dans la face des passants. Vu que je ne suis pas quelqu'un de chaotique, ou en tout cas pas sur cet aspect là, le stoïcisme me convient mieux.
Voilà, bon. Ma vie depuis qu'on est rentrés de vacances, c'est un peu le bordel, mais un gentil bordel. Du désordre au sens premier et beaucoup de procrastination. Je vous raconterai.
Un peu de Marc Aurèle pour remettre le pied à l'étrier, ça ne peut que faire du bien.
6 notes · View notes
ecriremonbonheur · 1 year
Text
Tumblr media
« Il faut beaucoup de courage pour accepter les choses que l’on ne peut pas changer »
Je ne sais pas pour vous, mais la dernière annêe a été pênible pour ma part.
Non seulement à cause de tous ces événements qui ont entouré ma séparation - dont je vous raconterai un jour l’histoire. Mais aussi toutes ces petites et grandes choses dont je n’avais aucun contrôle et qu’il m’a fallu accepter. Ma rêsilience a été mis au défi plus d’une fois. Lorsque des événements hors de ton contrôle viennent bouleverser ton existence, le lâcher prise deviens inévitable. Autrement, tu te mets à en vouloir à la planète entière et c’est la haine qui te gagne.
J’admets avoir adhéré à cette haine à un certain moment.
C’était inévitable et tout à fait normal dans les circonstances
J’ai du mettre ma vie sur pause - et c’est peu dire.
C’est d’ailleurs le cas depuis les quatre dernières années. Il est grand temps que je puisse me voir évoluer dans une autre situation que d’obéir aux gestes des autres. De subir des conséquences pour des actions qui ne m’appartiennent pas. Enrayer ces jugements de cette partie de moi qui ne me définissent pas en réalité.
On a beau avancer avec une confiance en soi débordante et en ignorant le regard des autres, on survie mal lorsque les liens de confiance s’effritent avec ceux qui nous entourent.
Qu’ils soient connus ou inconnus…. Tout est une question de réputation.
Une réputation que je me dois de reconstruire aujourd’hui.
Du courage il m’en a fallu.
Je le reconnais, bien humblement.
Et du courage, il m’en faudra encore… mais je saurai faire ce qu’il faut pour avancer.
🦋Pat
4 notes · View notes
christophe76460 · 25 days
Text
Tumblr media
🔴 Laisse Dieu te guider!
😐 Fais une pause et prends le temps de réfléchir 🤔 à la dernière fois où tu as réellement accepté de te laisser entièrement guider par quelqu'un d'autre - d'une façon telle que tu as été obligé d'abandonner tout contrôle et de faire entièrement confiance à cette personne 😐.
😊 Si nous sommes honnêtes, beaucoup d'entre nous avons du mal à faire complètement confiance. 🙂 Et même lorsque nous décidons de le faire, il nous arrive finalement d'essayer de reprendre un peu de contrôle.
🤕 Nous avons peur d'être blessé.
☹️ Nous avons peur d'être vulnérable.
😞 Nous avons peur d'être mal dirigé.
😟 Nous avons peur d'être rejeté.
🫴 Mais voici la vérité: lorsque nous plaçons nos craintes dans les mains du Dieu d'amour, cela prépare nos cœurs ❤️ à cultiver une plus grande intimité avec lui.
😇 Dieu connaît ton cœur, il voit tes difficultés et il est conscient de tes faiblesses. Et il est là - exactement là au milieu de tes angoisses et de tes peurs - prêt à te guider, t'enseigner et te conduire dans la vérité.
🗣️ Laisse les mots du psalmiste devenir ta prière aujourd'hui..."Conduis-moi dans ta vérité et instruis-moi, car tu es le Dieu de mon salut: je m'attends à toi chaque jour." Psaume 25/5
✍️ Le psalmiste, David, non seulement reconnaît son besoin d'être guidé mais place également sa confiance en Dieu en tant que sauveur et source d'espérance quotidienne.
📖 Ce psaume nous rappelle que nous pouvons faire entièrement confiance à Dieu et le laisser nous guider. Il est la main qui te tient fermement, te permet de lâcher prise et de connaître la vraie liberté.
❓ Alors, pourquoi ne pas t'en remettre totalement à la direction de Dieu aujourd'hui? Qu'attends-tu pour t'abandonner à lui et faire confiance à son amour et sa direction?
#AMediter #amediter #eglisechretienne #bonnejournee #ParoledeDieu #ConfianceEnDieu #FoiEnDieu #bonlundi #BonneSemaine
0 notes
isauriedejuin · 27 days
Text
L'amour fleurit avec les épines des roses
la vie est une drôle de chose
elle nous emmène là où on ne sait pas
elle nous entraîne avec un je ne sais quoi
comme un jeu avec des milliers d'options
les choix prennent de nouvelles directions
Écouter son cœur est certainement
le plus difficile des entraînements
car il faut être pleinement soi
sans parasite ni petite voix
En un lâcher prise total
ce qui peut-être génial
Mais aussi terrifiant
le contrôle des sentiments
L'amour fleurit avec les épines des roses
car c'est dans l'adversité que l'on ose
prendre le risque d'aimer
être vulnérable et blessé
Comme cela est facile
mais l'équilibre est fragile
pourtant parfois le cœur est scellé
d'une muraille il est entouré
Et pour réussir à passer de l'autre côté
pour briser la glace ensorcelée
il faut probablement un éclair déchirant
un feu ravageur et brûlant
Celui d'un seul et unique
ou de plusieurs éclectiques
1 note · View note
lafeedelaverite · 15 days
Text
Être soi-même dans un monde qui essaie constamment de faire de nous quelque chose d'autre est le plus grand des accomplissements.
Parfois, nous faisons certaines choses seulement pour obtenir l’approbation des autres. Nous nous convainquons que ce n’est pas le cas, alors qu’en réalité, ça l’est. Dans ces moments-là, lorsque tu ne te sens pas en accord avec toi-même, demande-toi : fais-je cela pour moi-même ou pour les autres ?  Trouver sa propre voie, sa propre identité, sa propre authenticité au milieu de toutes les…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
santeholistique · 4 months
Text
Choisir entre la sécurité du CONTRÔLE et la liberté du LÂCHER-PRISE
Lorsqu’il s’agit du travail personnel, on en vient vite à devoir choisir, entre maintenir le CONTRÔLE sur notre vie et oser le LÂCHER-PRISE. Ce choix n’est pas anodin, mais au contraire conditionne la future réussite de notre travail personnel.
Lorsqu’il s’agit du travail personnel, on en vient vite à devoir choisir, entre maintenir le CONTRÔLE sur notre vie et oser le LÂCHER-PRISE. Ce choix n’est pas anodin, mais au contraire conditionne la future réussite de notre travail personnel. Le CONTRÔLE Le contrôle consiste pour un être humain à rester comportementalement dans un cadre prédéfini par sécurité. Le contrôle peut être défini…
View On WordPress
0 notes
kittyfraise · 4 months
Text
Le symbole du papillon
Déployez vos ailes, soyez unique, abandonnez-vous au changement. Parfois nous résistons au changement, même si nous l’avons demandé. Parfois, le challenge consiste à lâcher prise sur ce qui est hors de notre contrôle. Le papillon nous invite à faire confiance aux forces invisibles qui nous guident, même lorsque nous ne voyons pas le chemin à travers les circonstances. N’oubliez jamais que…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
omagazineparis · 5 months
Text
L'acceptation du lâcher prise
Le lâcher prise consiste à accepter ce qui se présente, non pas au sens d’un cautionnement de l’évènement mais au sens de l’accueil d’une réalité. Son intérêt est de nous décrocher de la souffrance, toujours liée au refus des faits et de l’environnement, humain ou non. Ce refus de la réalité entraîne une résistance et un conflit en soi.  Il est toujours possible de changer en soi une habitude qui revient à notre insu ou un défaut dont on ne veut plus. C’est un travail qui donne ses fruits à moyen terme car, comme Mark Twain l’a écrit : « On ne se débarrasse pas d’une habitude en la flaquant par la fenêtre, il faut lui faire descendre l’escalier marche par marche ».Or on ne peut changer que ce qu’on voit. Tentez de ramasser par terre un crayon que vous ignorez ou que vus ne voyez pas. Vous aurez beaucoup de mal. Rejeter la réalité ne permet pas le changement ni la résolution de problème. La première étape du changement commence donc par l’Acceptation de ce qui arrive ou de ce que nous ressentons. Synonyme d’objectivité et d’adaptation, l’acceptation n’est pas à confondre avec soumission, résignation ou fatalisme, notions qui sous-entendent une impuissance ou une incapacité à changer le cours des choses. A lire aussi : L’anxiété : un orage silencieux dans l’âme Au contraire, l’acceptation s’applique sur un évènement ponctuel et n’empêche pas que l’on puisse avoir une action sur le cours des choses pour que cela aille mieux. C’est ainsi qu’il est préférable d’accepter la chaleur, la différence d’autrui, la douleur, voire la mort. Et ce n’est pas pour autant qu’il faille renoncer aux mesures de prévention ou de résolution de problème. Une personne acceptant sa longue maladie ne doit pas arrêter son traitement pour autant. L’acceptation dont je parle n’est pas exclusivement intellectuelle mais bien plus profonde et complexe. Résultante du lâcher-prise, elle constitue souvent l’étape finale d’un processus, comme celui du deuil. Après un décès familial, la perte d’un emploi ou d’un objet cher, j’ai beau comprendre intellectuellement que je ne reverrai plus l’objet de ma tristesse, le processus demande néanmoins davantage de temps pour que je cesse de souffrir ; l’acceptation accélère considérablement ce processus. De la même manière, prendre conscience que je ne suis pas exactement la même personne que celle que je rêverais d’être peut être difficile, pour certaines personnes idéalistes ou perfectionnistes qui ont du mal à s’accepter tels qu’elles sont à un moment donné. En lien : Les biais cognitifs et comment les reconnaître Dans ce cas, l’acceptation ne doit pas être une résignation définitive, mais simplement une acceptation de la réalité telle que je la vis ou telle qu’elle se présente ici et maintenant. Je peux être déçu en découvrant de moi-même un aspect que je considère négatif, mais c’est en l’identifiant et en l’acceptant pleinement que je pourrai mettre en œuvre des actions destinées à changer cet aspect. Cette acceptation de la réalité n’est souvent pas immédiate. Les ennemis de l’acceptation sont la prévalence des émotions (déni ou fuite, aversion, colère, doute ou peur) ou l’attachement aux préjugés, illusions, généralisations, jugements de valeur, maîtrise et contrôle de tout, et tout ce qui est engendré par ce que divers auteurs appellent l’orgueil, l’Ego ou le Mental.Ils ont pour effet de plaquer une réalité déformée sur l’environnement et de nous faire vivre dans une dualité, un conflit intra personnel plus ou moins conscient entraînant tension et souffrance puis symptômes, expressions du « mal-à-dit ». Libérée du Mental, l’acceptation est l’étape qui va considérablement réduire la difficulté ou la souffrance car elle entraîne immédiatement une modification de nos façons de voir, une appréhension de la réalité, un reconditionnement de notre production hormonale et une facilitation de notre adaptation à l’environnement.Elle nous permet ainsi de mieux vivre notre vie. Par Eric Brabant Read the full article
0 notes
gavertania · 5 months
Text
Une trace blanche
La première fois, c'était à Strasbourg. Une trace blanche sur un Beau Livre, qui m'attend, patiemment. Ai-je vraiment envie de franchir cette étape. Comme le sexe, y'a un monde après. Les cristaux dans la narine, ça m'effraie, je sens la poudre couler le long de ma gorge, le goût amer, les effets commencent à venir. Je m'attendais à plus, y'a rien de grave. Plus tard, un quart de taz. Rien. Je résiste ? Un demi alors. Toujours rien. Peut-être que je suis défoncé et que je ne le sais pas. Ça me frustre. J'ai l'impression d'inventer ce que je ressens. Je parle à personne, je suis en introspection. En même temps j'ai pas envie de lâcher prise, dans le contrôle, les jambes bien droites sur la terre. Je rentre à 6h, je ferme les yeux, je vais passer une bonne nuit, tant pis, ça marche pas avec moi, un peu comme l'amour. Explosion, feu d'artifices, jouissances partout sur le corps, les yeux s'écarquillent mes dents tremblent. Enfin. J'ai peur, c'est plutôt violent, je veux pas faire un bad trip, prenons ça à la rigolade. C'est drôle. Je sais ce qui m'arrive sans contrôle. J'ai le droit de ressentir, de pas avoir peur en étant bien.
1 note · View note
undertheblackcloud · 5 months
Text
Encore des jours difficiles, trop difficiles
J’ai mal. Tout me fait mal. Tout est douloureux et difficile. Je suis épuisé de tout ce qu’il y a à faire, surtout que je ne vois tellement pas l’intérêt. Je suis tellement contradictoire, je me mets la pression pour faire les choses, faire comme il faut, accepter les journées différentes, les changements. Je me mets même la pression pour ne pas me mettre la pression. Tout ça m’épuise. Ça m’épuise de faire des efforts pour accepter de ne pas savoir tout faire. Ça m’épuise de faire des efforts pour me sentir bien. Ça m’épuise de faire des efforts pour lâcher prise. C’est contradictoire.
Essayer d’être quelqu’un que je suis pas, quelqu’un qui est ok avec le bordel, quelqu’un qui est ok avec le changement, qui ne veut pas avoir le contrôle sur tout… ça m’épuise. Même si je veux pas être qui je suis. Je veux lutter contre cette personne que je suis. Je suis pas comme il faut. Je me fais mal à moi-même en étant comme ça. Mais être quelqu’un d’autre… ça m’épuise.
Ça m’épuise de montrer un masque, de cacher mes sentiments. De tout garder à l’intérieur, par peur des conséquences si je dis la vérité. Si je suis moi-même. Et ça m’épuise aussi de sortir tout ça. C’est contradictoire, tout est tellement contradictoire. Ça ne fait pas de sens. Et ne pas comprendre… ça m’épuise.
Ça m’épuise de réfléchir, de faire face à ce que je ressens, de me laisser le ressentir. Sortir du déni, c’est nécessaire, mais ça me ramène aussi ce nuage noir de douleur, de vérité, de haine, de tristesse. Ça me ramène à la futilité de tout ce que je fais. A la futilité de mon existence même. Pourquoi vivre, si c’est pour passer mon temps à éviter de réfléchir et de faire passer le temps ? Pourquoi vivre, si je prends aucun plaisir dans ce que je fais ? Si j’ai l’impression tous les jours d’avoir aucun intérêt à exister ? J’arrive pas à avancer, parce que, obligatoirement, avancer implique aussi traverser ce nuage. Et je n’y arrive pas. Quand je gère plus, quand le masque tient plus et tout s’écroule, je veux juste arrêter d’exister. Parce que je me rends compte des réalités horribles que j’ai enfoui. Et je peux pas y faire face.
Aujourd’hui, je vais pas vraiment mieux. J’ai juste accepté que je devais remettre le masque. Que je devais sortir du nuage parce que je ne peux pas exister dedans. Mais la crise existentielle, la futilité de toutes mes actions reste présente. Juste, à chaque fois que j’y pense je dois faire un virage rapide pour éviter de baigner dedans. Pour éviter de craquer.
Ce que je ne peux pas dire… C’est la haine profonde de moi-même. La haine de mon existence même, qui est tellement inutile, voire, pire, néfaste. La haine de mon fonctionnement, contre lequel j’essaie de me batailler, mais qui, au final, prend le dessus malgré moi. Cette rigidité horrible, ce besoin impardonnable de contrôler tout, tout le monde, en les blessant sur le chemin. De critiquer les autres parce qu’au moins les critiquer c’est moins douloureux de me critiquer. Parce que si je continue de me critiquer, de me détester, de me haïr, je vais pas tenir. Je vais pas savoir rester, me garder entier si je continue de le ressentir. C’est la haine des autres qui m’ont amené ici. La haine de ceux qui m’ont cassé, ceux qui m’ont laissé me faire encore et encore et encore du mal. La haine de ceux qui n’ont pas vu ce que je vivais. Et encore la haine de moi-même, parce que j’étais incapable de m’ouvrir. De montrer ce que je vivais. D’être honnête. D’accepter que j’étais profondément cassé, que je ne gérais absolument rien et que je n’ai jamais su gérer. La haine qui m’ont dit de continuer à tout enfouir et m’occuper pour ne jamais jamais penser. La haine parce que malgré tout, peu importe, je peux jamais jamais jamais sortir cette haine par de la colère, par de l’énervement, par des cris, parce que c’est pas possible. La voix qui me répète que c’est mieux de me casser en morceaux avant de laisser la haine sortir comme ça. La haine de ceux qui n’arrivent pas à m’aider parce que j’ai peur de ce qui se passera s’ils y arrivent pas. Parce que je sais que je ne gère pas, que j’en suis incapable, que si je reste seul je vais pas survivre. Parce que j’ai peur de ce qui arrivera si j’enlève le masque. Même si le masque ne tient plus, est cassé aussi, si je perds ce mensonge qu’il me permet de croire, le mensonge que je sais gérer… Je ne pourrais plus vivre. Je ne peux pas vivre dans ce nuage noir. Même si le fait même de porter le masque me casse encore et encore un peu plus tous les jours. J’ai besoin du mensonge pour ne pas sombrer totalement.
Les mensonges. Les mensonges que j’essaie de me faire croire parce que si seulement j’avais tout inventé ce serait plus simple. Parce que si seulement je faisais exprès je pourrais arrêter. Parce qui si seulement j’avais pas vraiment envie de mourir les pensées s’arrêteraient un jour. Parce que si c’était des mensonges peut être un jour le nuage disparaîtra.
La réalité, la vérité, c’est pas aussi simple que ça. La vérité, c’est que je dois me débrouiller avec ça. Je dois sortir ça d’une manière ou d’une autre, m’exprimer pour comprendre, pour que les autres puissent me comprendre. Je dois faire le travail et c’est INJUSTE. Je devrais pas avoir à réparer les erreurs des autres. Les blessures que je n’ai pas demandées. L’exclusion, les critiques, les barres mises trop hautes, les incompréhensions. J’ai pas demandé d’être cassé. J’ai pas demandé de pas comprendre. J’ai pas demandé d’être incapable de gérer. Et c’est INJUSTE que je dois faire tout ce travail. J’ai pas envie de faire ça, c’est pas JUSTE.
1 note · View note
christophe76460 · 4 months
Text
Tumblr media
Dieu nous demande aujourd’hui,……acceptes-tu de lâcher prise et de me laisser prendre le contrôle ? me feras-tu confiance ? Nous nous accrochons si souvent à nos choix coupables, ne croyant pas vraiment que Dieu comblera les vides de notre vie…… je refusant de Jésus, de laisser remplir tous les vidéos et de m’aider à lâcher prise sur moi-même……… notre moi est si difficile à lâcher…… seigneur, tu me rassures … tu me libères toujours tu me libères toujours et me guides …… merci pour cette transformation en espoir … avec toi, je ne serai jamais perdante!!!! ❤️❤️❤️❤️
0 notes
manue-ringo · 1 year
Text
Chapitre 84 : Rapprochement
Tumblr media Tumblr media
Je vous en pose des questions ? Fox. Renchéri-t-elle d'un air sarcastique.
Je croyais que vous aviez arrêté ? Dit Mulder.
Ouais et alors ? J'en ai envie. J'en ai besoin. Répondit-elle quelque peu tremblotante de nervosité.
Mulder s'approcha d'elle pour tenter de la calmer.
Andréa, écoutez moi. S'il vous plaît, vous n'êtes pas obligé de faire ça. Ce n'est pas bon pour vous. Surtout après ce qu'il vous est arrivé. Dit-il en tentant de lui faire lâcher prise.
Mais foutez moi la paix nom de Dieu ! De quoi je me mêle ? S'écria Parker. Elle fit tomber le briquet dans la foulée par accident. Mulder en profita pour le ramasser.
Rendez-le-moi ou je vous bute ! Dit-elle en s'approchant de lui d'un air menaçant.
Mulder eut un sourire moqueur. Il paraissait amusé par la situation.
Vraiment ? J'aimerais bien voir ça. Dit-il pour la provoquer.
Parker crut halluciner. Elle reprit :
Vous me faites quoi là ? Vous croyez que ça m'amuse ?
Allez y frapper. Dit-il toujours un sourire au coin des lèvres.
Espèce de… Elle se mordu nerveusement les lèvres puis ajouta :
D'accord petit enfoiré, vous avez gagné. Qu'est-ce que vous voulez ? Une gâterie peut-être ? Dit-elle avec agacement.
Le jeune homme leva les yeux au ciel puis reprit en glissant le briquet dans la poche arrière de son pantalon :
Venez donc le réclamer si vous y tenez tant. Dit-il en la défiant du regard. Parker resta interdite face à la provocation de son partenaire. Elle eut un rire gêné puis reprit :
C'est quoi ce jeu douteux ? Vous vous sentez bien chéri ? Elle s'approcha doucement de lui en le défiant à son tour.
Je reconnais que c'est tentant en effet. Renchérit-elle en le fixant intensément du regard. Parker se prêta finalement au jeu en le saisissant par les hanches pour venir se blottir contre lui avant de laisser sa main gauche glisser doucement à l'intérieur de la poche de son pantalon. Parker ne le lâcha pas des yeux en exécutant ce geste affriolant. Mulder n'avait toujours pas bougé. Il tenta de cacher sa gêne face à l'audace de sa partenaire. Il se contenta de soutenir son regard dans un sourire satisfait.
Ça va, tu prends ton pied ? Osa-t-elle dire d'un air malicieux après avoir récupéré son bien. Elle relâcha son étreinte après coup pour ne pas se laisser envahir par les sensations agréables que renvoyait son corps.
Avouez que c'est mieux que de s'empoisonner les poumons. Ajoute-t-il en ne la quittant pas du regard.
Elle se mordu les lèvres avec provocation puis reprit :
Arrête ça petit pervers. À moins que tu préfères que je reprenne là où nous en étions la dernière fois. Tu te rappelles ?
Un sourire béat se dessina sur les lèvres du jeune homme. Il répondit :
Je croyais que nous n'étions que de simples associés. Dit-il avec ironie.
À toi de voir. Personnellement, je n'en ai rien à faire. Il n'y a rien de mal à se faire plaisir de temps en temps non ? Dit-elle en lui adressant un clin d’œil complice. Les deux agents se toisèrent longuement du regard sans oser franchir le pas. Bien qu'ils en avaient terriblement envie, Parker et Mulder préférèrent en rester là. Parker déclara d'un air plus sérieux :
Bon aller, fiche moi le camp. Mieux vaut rester raisonnable. Je t'ai fait une promesse à ce sujet. Je tiens parole.
J'apprécie le geste. Désolé pour ça. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris honnêtement. Dit-il dans un rire gêné.
C'est normal quand on travaille avec une fille aussi sexy que moi. Dit-elle d'un air chapardeur. Ils se mirent à rire nerveusement durant un instant.
Bon, je vous… Je te laisse. Bonne nuit. Dit-il timidement.
La porte se referma. Parker mit un certain temps pour retrouver ses esprits. Bon sang, mais qu'est ce que tu es en train de faire pauvre sotte ? S'interrogea la jeune femme à elle-même. Parker venait de réaliser à quel point ce rapprochement soudain l'avait perturbé. La jeune femme n'avait définitivement plus le contrôle sur ses agissements. Les sentiments qu'elle ressentait à l'égard de son partenaire redoublèrent d'intensité. La jeune femme ne se reconnaissait plus. Cette idée l'a terrorisé. Elle qui avait toujours eu le contrôle sur tout. Mulder avait réussi à lui faire perdre tous ces moyens. Les rôles semblaient à présent s'inverser. En y repensant, Parker n'était pas certaine de pouvoir continuer à faire semblant. Encore moins depuis cet échange tumultueux dans ce bar. En réalité, elle n'arrivait pas à tourner la page. Bien qu'elle l'avait cherché, Parker ne se doutait pas que Mulder réagirait de cette façon. Ce baiser, aussi bref soit-il, semblait avoir provoqué bien plus de dégâts qu'en apparence. Le regard qu'elle portait sur lui avait changé, ses désirs aussi. Parker donnerait n'importe quoi pour revivre ce moment d'euphorie. Une partie d'elle rejetait cette idée déshonorante, car la jeune femme avait sa fierté. De plus, il y avait bien plus important à faire que de penser à ce genre de puérilité. Mais après tout, en y réfléchissant, ces moments de complicités entre eux lui permettait de fuir un bref instant tout ses problèmes.
Le réveil fut difficile pour la jeune femme. Parker n'avait presque pas dormi de la nuit. Elle consulta sa montre, il était déjà plus de dix heures passé. Sa mauvaise humeur se fit sentir. La jeune femme n'avait pas prévu de faire une grasse matinée. Elle se prépara à la va-vite puis partit rejoindre ses associés. À son arrivé, elle ne trouva personne. Mulder et Scully n'étaient pas dans leurs chambres. Leur voiture était pourtant toujours là. Parker commençait à se faire du souci. Où étaient-ils passés ?
0 notes