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#la bande-son imaginaire
epilepticsaints · 2 months
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onlymexico · 1 year
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La bande-son imaginaire
Es un proyecto de darkwave electrónico originario de la ciudad de Oaxaca, en México, surge en 2014, luego de que los hermanos Óscar Tanat (músico, realizador audiovisual, poeta, editor y teatrero) y Heri Ángelo Tanat (Músico, teatrero y editor de video) hicieran un proyecto de teatro llamado “En el cabaret del horror”, que luego evolucionaría hacia la conformación de la banda.
La invitación al violinista Jairo Moncada (miembro de la banda entre 2014 y 2019) harían de la banda un terceto. Rápidamente la banda comenzó a ganar renombre en la escena subterránea mexicana gracias a la creación de videoclips conceptuales, a sus conciertos teatrales y llenos de energía, y a sus cada vez más aclamados álbumes que combinan elementos varios de la cultura popular mexicana con referencias del arte mundial, además sus letras mezclan el español y el francés. Actualmente es la banda emergente más exitosa de la escena oscura nacional.
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eject91 · 8 months
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La Bande-Son Imaginaire - Chez Toi
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tomthefanboy · 2 years
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I heard this over the credits of Los Espookys s2e4 and was instantly obsessed.
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radioalpes · 2 years
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mushroomjar · 6 months
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Goths, I call to you: send me your favorite goth album recommendations
I've been trying to get more into specific goth bands lately rather than just listening to random songs, but I find it a bit overwhelming trying to listen to entire bands' discographies, so for now I've been trying to listen to albums and see which ones I like most
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gothmusiclatinamerica · 9 months
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"Pos Novela Negra" by Oaxaca, Mexico-based darkwave and electro cabaret act La bande-son imaginaire off of 2021 album La muerte en vintage
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anwiel13 · 5 months
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Till with La Bande Son Imaginaire, his support band
Credits: labande_sonimaginaire
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L’effondrement sous la complexité. La preuve par les agriculteurs ». L’édito de Charles SANNAT
Ce que je voulais partager avec vous c’est la cause de la colère.
Une colère normative. Une colère administrative. Cette colère, c’est celle de tous ceux, qui, dans leur vie, veulent faire quelque chose.
Quoi que vous vouliez faire, ce pays est devenu un enfer sur terre.
Il faut des permis, des autorisations, des dossiers, des validations, des formulaires, des accords, des refus, des dispenses, des dérogations aux obligations intenables et des temps interminables à remplir des documents pour satisfaire l’appétit insatiable d’une administration devenue totalement folle et hors de contrôle. Nos technocrates, de Paris à Bruxelles, de Berlin à Madrid, ont créé un monde imaginaire parfait mais qui ne fonctionne plus.
En plus d’être surveillée par les satellites de la Commission Européenne tous les trois jours en attendant les survols de drones de l’administration fiscale ou de la police de l’environnement, chaque tâche autrefois simple est devenue compliquée comme le fait de tailler une haie, de couper une haie ou de déplacer une haie.
Plus rien n’est possible dans une complexité étouffante.
Le résultat c’est évidemment l’effondrement de la productivité dans les pays européens et occidentaux qui sont tous partis dans le même délire de contrôle normatif. Cette volonté de contrôle est très facilement « datable ». Tout a commencé à partir du 11 septembre au nom de la lutte contre le terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le financement du terrorisme, puis après au nom de la lutte contre le blanchiment d’argent sale, puis après au nom de la lutte contre la fraude fiscale.
Bref, chaque année nous empilons de nouvelles normes.
Puis après sont apparus de nouveaux besoins comme la mise en accessibilité, comme la rénovation énergétique, comme encore, la protection des données. Nous avons de la RGPD, ou des DPO, des types occupés à nous couper les cheveux d’abord en 4. Puis en 8. Puis en 16. Maintenant ils nous cassent tous les pieds puissance infinie.
Que l’on soit dans le BTP avec la gestion des DIB, que l’on soit pêcheur avec une sardine trop longue, éleveurs de porcs ou de cochons ce qui est la même chose, que l’on soit dans une boulangerie ou dans une poissonnerie il faut du contrôle, de la traçabilité tout doit être enregistré, consigné, surveillé, contrôlé.
Dans son délire toujours plus total, il faudra bientôt envoyer toutes les factures de toutes les entreprises directement à Bercy via une plateforme dématérialisée. Votre facture adressée à Bercy sera alors validée par l’administration fiscale puis envoyée à votre client qui pourra payer…. ainsi le système génial pensé par nos psychopathes de la technocratie européenne pourront tout surveiller en temps réel, tout taxer et rien ne leur échappera plus.
Ces abrutis pensent qu’ils vont payer les dettes comme ça.
Mais quelle bande d’imbéciles en costards slim et aux chaussures pointues de consultants de chez McKinsey.
Vous savez ce qu’il va se passer ? L’effondrement des ressources fiscales.
Vous savez pourquoi ? Parce que tout est tellement compliqué qu’il arrive un moment où mieux vaut rester couché. C’est ainsi que l’URSS s’est effondrée.
Quand on passe plus de temps à faire des plans quinquennaux et à contrôler avec le KGB et les commissaires politiques, la productivité tend vers 0. Nous en sommes exactement là.
(Source : https://insolentiae.com/leffondrement-sous-la-complexite-la-preuve-par-les-agriculteurs-ledito-de-charles-sannat)
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epilepticsaints · 15 days
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sata-cable · 4 months
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tagged by @halfopen <3
my top 5 songs rn :+3
✰Vanidad - Valgur (LISTEN TO THIS)
✰Macabre - La Bande-Son Imaginaire
✰Hell is Here - Cryalot
✰And If You Forget - Christ vs Warhol
✰Generator - Justice
I tag @gamergoo @c-130jsuperhercules130 @narashite @amygdalae @0atchi
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ambipolis · 2 years
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Lundi 22 août 2022
Federico Fellini 
Le rapport de Federico Fellini au cinéma a sans doute évolué au cours de sa vie et de son activité professionnelle, mais reste largement insaisissable. Insaisissable ce grand illusionniste qui a intitulé un de ses ouvrages écrits : Je suis un menteur.
Dans la tradition des grands conteurs à forte dimension onirique qui nous font rentrer, comme dans La Cité des femmes dans le tunnel de nos rêves.
Federico Fellini a été proche dans sa jeunesse de Roberto Rossellini et d’Anna Magnani et n’a pas alors totalement échappé au néo-réalisme d’après la seconde guerre mondiale. On peut y voir des empreintes dans La Strada. Mais dès Le Cheik blanc et par la suite l’univers fellinien s’en est détaché avec un imaginaire parfois proche de la bande dessinée comme dans Le Cheik blanc puis d’une fantaisie débridée spectaculaire qui n’exclut pas un tragique plus ou moins sous-jacent.
Dans La dolce vita comme dans Huit et demi notamment on ressent une certaine fascination pour une société en perte de repères, voire décadente, thème prégnant dans les films sur la Rome antique tels que Fellini Roma et surtout Satyricon.
Mais le thème de l’innocence comme dans Les Nuits de Cabiria et des souvenirs d’enfance (Amarcord) fait le pendant et fait aussi partie de cet onirisme ambivalent. Giulietta Masina incarne majestueusement cette phase lumineuse y compris dans la douleur. On la retrouve avec l’acteur principal et double de Fellini Marcello Mastroianni dans Ginger et Fred.
On pourrait se risquer à considérer que l’œuvre de Fellini est « apolitique », tourne le dos à la politique, comme le fait le parti majoritaire français, celui des abstentionnistes.
Ce serait oublier un de ses derniers films E la nave va, film de fin de vie, dans les brumes de la fin d’une civilisation qui peut faire penser au Titanic.
Après avoir réussi à nous faire rêver pendant plusieurs décennies, Fellini parvient à nous faire entrevoir un avenir menaçant, en décomposition, qui demeure séduisant, fascinant.
Jean-Loup ARNAUD
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lualluna0 · 2 years
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Adhelfí Psikhí - αδελφή ψυχή - 01.
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01.
Je suis là, planté derrière le comptoir, fixant le mur, à attendre avec ennui le moindre client qui se déciderai à emprunter un livre aujourd’hui. La grande aiguille de l’horloge a presque traversé la moitié du cadran, et heureusement pour moi, l’heure de la fermeture allait bientôt sonner.
Je m’appelle Luna et j’ai 21 ans. Depuis la semaine dernière, je travaille dans cette petite bibliothèque du centre, mais j’ai l’impression d’y être depuis des mois. Aujourd’hui, on est samedi, j’aurai pu aller me balader, boire un café, sortir ce soir et rencontrer des gens, ou mieux, faire la grasse mat’ mais ce n’est pas dans mes options, malheureusement. J’ai quand même de la chance, cet endroit est chaleureux et silencieux. La porte d’entrée est à ma droite et les escaliers qui permettent d’aller à l’étage sont en face de moi. Je peux apercevoir les étagères vues d'ici, car c’est un étage ouvert. On dirait un peu le hall d’un vieux motel. Mais je m’y sens bien, c’est l’essentiel.
J’ai trouvé ce petit boulot à côté de mes études dans le graphisme pour m’aider à payer mon loyer. La bibliothèque n’est pas très loin de mon école. J’ai toujours aimé lire même si ça se résume à des romans fantastiques ou policiers. Je suis venue à Paris juste pour aller dans cette école. Malheureusement mon appart se trouve assez loin de la bibliothèque. J’ai pas le choix, j’ai pas la thune : c’est aussi simple que ça. À l’école, mon emploi du temps n’est pas chargé : il ne me reste que quelque matière à valider pour réussir mon année. J’aurais aimé ne pas devoir repasser cette année, mais je n’ai pas vraiment été sérieuse…
Je vivais en collocation avec ma bande de potes dans le sud de la France, là où je suis née : à Toulouse, la ville rose. On n’a pas vraiment géré la coloc à vrai dire, à la place, on a bu des litres et fumé des hectares -oups. Maintenant ce n’est pas que je regrette, mais un peu quand même. Si j’avais eu mon diplôme, je serais encore chez moi, avec mes amis, je serais surement en formation chez un graphisme ou dans une agence à faire des affiches ou des logos pour des clients et non à revoir toutes les bases des logiciels et à faire des projets pour des demandeurs imaginaires.
Je suis soudainement sorti de mes pensées quand la cloche du magasin sonne. Un jeune homme entre et me sourit en guise de bonjour. Je lui rends son sourire avant de le voir monter les escaliers qui mènent vers les rayons de livres et de disparaître. Bizarre. Il a l’air un peu plus vieux que moi, mais pas de beaucoup plus. Il est habillé en ensemble de survête Lacoste et il porte une casquette. Je sais que l’habit ne fait pas le moine mais quand même, ce n’est pas tous les jours qu’on voit des mecs comme ça rentrer ici -même si en vrai on voit pas grand monde rentrer ici tout court. Je suis assez curieuse (et anxieuse) ce qui ne me rend pas vraiment discrète dans ce genre de situation. J’essaye de tendre l’oreille pour essayer de le situer dans le magasin, ne pouvant entendre que ses pas à travers le plafond. Au moment où je m’apprêtais à monter pour lui proposer mon aide, je le vois redescendre, un livre de poche à la main. Il a son regard plongé dans les premières pages du bouquin comme s’il vérifie son choix. Il lève les yeux et nos regards se croisent. Je détourne le regard et retourne vers l’ordinateur, faisant mine d’être occupé. Je ne comprends pas pourquoi je suis autant perturbé par ce garçon. Peut-être parce qu'il a l'air mystérieux et intriguant. Un bruit sourd me fait lever la tête. Il avait posé le livre à plat sur le comptoir.
 « J’aimerais bien l’emprunter st’eu plait, s'exprima-t-il en me regardant dans les yeux.
— Oui, pas de soucis, je lui répondis, un peu impressionné. J’ai un visage pour être aimé de Paul Eluard, un petit livre blanc avec une bande bleu et un visage dessiné au contour noir. De la poésie, encore plus intrigant. « Tu as déjà un compte ici ?
— Oui, c'est Ken Samaras, dit-il avec un sourire narquois sur les lèvres.
Je hoche la tête et tape son nom sur le clavier et son compte apparait aussitôt. Victor Hugo, Guy de Maupassant, Charles Baudelaire et j’en passe : que des livres de poètes et de grands auteurs.
— La date de rendu est dans deux semaines, mais tu peux toujours rallonger d’ici là en passant directement à la boutique.
— Ouais merci, bonne journée ». Il se retourne et sort comme il est rentré. Je reste planté là en me posant des tonnes de questions sur lui, et sur moi ! Il t’arrive quoi là ! Puis l’ennui a repris sa place habituelle et je continue à fixer le mur, assise derrière le comptoir.
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I'm standing behind the counter, staring at the wall, bored waiting for a client who will decide to borrow a book today. The large pointer of the clock almost went through half of the dial, and fortunately for me, the closing time was about to ring. My name is Luna and I'm 21. Since last week I work in this small library of the center but I feel like I have been there for months. Today is Saturday, I could have gone for a walk, have a coffee, go out tonight and meet people, or better yet, sleep in', but that's not my option, unfortunately. Lucky for me, this place is warm and quiet. The front door is to my right and the stairs that allow you to go upstairs are in front of me. I can see the shelves from here because it's an open floor. It's like an old motel's lobby. But I feel good in there. I found this little job next to my graphic design studies to help pay my rent. The library is not very far from my school. I have always liked to read, even if it sumarizes to fantastic novels or detective ones. I came to Paris just to go to this school. Unfortunately my apartment is quite far from the library. I have no choice, I don't have the money: it's as simple as that. At school, my schedule is not busy: I have only a few subjects to validate to succeed in my year. I wish I didn't have to come back this year but I wasn't really serious...
I lived in a collocation with my gang of friends in the south of France, where I was born: in Toulouse, the pink city. We didn't really manage the roommate, actually, but instead we drank gallons and smoked acres -oops. Now, it's not that I regret it, but a bit. If I had graduated, I'd still be home, with my friends, I would probably be in training at a graphic design or an agency to make posters or logos for clients and not to review all the software's bases and to make projects for imaginary applicants. I suddenly went out of my mind when the store bell rang. A young man came in and smiled at me as a greeting. I give him back his smile before I see him climb the stairs to the bookshelves and disappear. Weird. He looks a little older than me, but not much older. He's dressed in a Lacoste suit, and he's wearing a cap. I know the clothes don't make the man, but still, it's not every day you see guys like that coming in here -even if you don't actually see a lot of people coming in here at all. I am quite curious (and anxious) which does not really make me discreet in this kind of situation. I try to reach out to try to locate him in the store, only hearing his steps through the ceiling. As I was getting ready to go up and offer him my help when I saw him come down again, with a pocket book in his hand. He looks into the first pages of the book as if he's checking his choice. He looks up and our eyes meet. I look away and go back to the computer, pretending to be busy. I don't understand why I'm so disturbed by this boy. Perhaps because he looks mysterious and intriguing. A thud makes my head rise. He had laid the book flat on the counter.
— " I would like to borrow it, please, he said looking into my eyes.
— Yes, no worries, I replied, a little impressed. J'ai un visage pour être aimé from Paul Eluard, a small white book with a blue stripe and a face drawn with a black outline. Poetry, even more intriguing.
— You already have an account here?
— Yes, it's Ken Samaras, he says with a smirk on his lips.
I nod and type his name on the keyboard and his account appears immediately. Victor Hugo, Guy de Maupassant, Charles Baudelaire and more: all books by poets and great authors.
— The delivery date is in two weeks, but you can always extend by going directly to the store.
— Yeah, thank you, good day." He turns around and comes out the way. I stand there asking myself tons of questions about him, and about me! What happens to you there! Then the boredom come back and I continue to fix the wall, sitting behind the counter.
*English is not my first language. I apologize if the sentences are not clear or if there are mistakes. xoxo
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timriva-blog · 3 months
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Le scénariste et la dictature
Héctor retrace le destin d’Héctor Oesterheld, scénariste de bande dessinée assassiné par la dictature argentine en 1978. Mais, plutôt que de bâtir un tombeau, Léo Henry ouvre son livre à tous les imaginaires à même de combler le vide créé par la guerre secrète, sans procès ni arrestations officielles, menée par les généraux. Héctor pointe la difficulté de cerner une réalité qui s’est elle-même…
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sonmelier · 3 months
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92. VHS Head | Phocus
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🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 Angleterre | Skam | 52 minutes | 14 morceaux
Ade Blacow, alias VHS Head, maîtrise avec brio l'art de la manipulation sonore et fusionne avec maestria les éléments futuristes et les sonorités rétro. Son objectif ici ? Proposer la bande originale la plus captivante qui soit pour un film imaginaire de science-fiction horrifique. Entreprise plus que réussie, avec même un sentiment de sidération devant cet empilement de textures à la puissance évocatrice hors norme.
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