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#le vent se lève
poonyo · 1 month
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Le vent se lève... Il faut tenter de vivre! The Wind Rises (2013), dir. Hayao Miyazaki
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musenemesis · 5 months
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Karl Houtteman
Le vent se lève
Le vent tombe
Le vent danse
Le vent joue avec moi…
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marysmirages · 2 years
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The wind is getting stronger (2022)
"Le vent se lève!… Il faut tenter de vivre!" Paul Valery illustration for Hayao Miyazaki's cartoon "The wind rises"  and Tatsuo Hori's autobiographical novel "The wind has risen" (1937).
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coovieilledentelle · 6 months
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Les vacances, pour moi c'était la mer. La mer, je courais après elle, elle courait après moi, tous deux on faisait ce qu'on voulait. C'était comme dans les contes de fées : elle changeait les gens. A peine arrivés, ils n'avaient plus la même couleur, ni la même façon de parler. Ils étaient tout de suite remis à neuf, on aurait dit des autres. Elle changeait aussi les choses et elle les expliquait. Avec elle, je savais l'horizon, le flux et le reflux, le crépuscule, l'aube, le vent qui se lève, le temps qui va trop vite et qui n'en finit plus.
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cpoupa · 14 days
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hi!!! NOS CHANTS EN ECHO ; c’est généralement dans le gris et le brouhaha qu’elle vous trouve, l’île aux échos. Un flyer rédigé à la main à demi détaché d’un vieux mur décrépi, une annonce radio prodiguée par une voix nasillarde qui crépite ou encore une carte postale à l’aspect vieilli qui se glisse entre deux retards de paiements. Elle s’invite toujours là où vous l’attendez le moins, là où vous en avez le plus besoin. L’invitation est toujours différente, comme conçue spécialement pour vous — sans que votre nom y figure pourtant. Elle se présente toujours comme une coïncidence, ne s’impose jamais ; alors libre à vous de l’ignorer ou de prendre votre téléphone et de composer le numéro, seule constante qui y figure toujours. C'est l'Amiral qui décroche à chaque heure du jour et de la nuit. Il vous crie par-dessus les bruits de la mer agitée qu’il attendait votre appel et lorsque quelques heures plus tard vous posez le combiné votre bouche est sèche et votre valise à demi faite. Le vent frais se lève doucement et avec lui entraine l'envolée des mouettes….. — Fc réels — Lowfantaisy (dons légers, légendes, île coupée du reste du monde au point de l'oublier si on la quitte…) — Pas de minimum de rps par mois, ni de mots https://nos-chants-en-echo.forumactif.com/ LE FORUM A REVÊTU SA V4. Nouveaux visages pour les PNJ, nouvelle intrigue….. Nous vous attendons avec impatience ! Alors à très vite !
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Le vent s'engouffre avec insolence par les planches disloquées du vieil hôtel. Edgar, le tenancier à la gueule burinée, frotte un verre avec un torchon qui a connu des jours meilleurs. — Tu crois qu'ils vont pointer leur nez aujourd'hui ? lâche Clara tout en jouant avec le vieux poste qui crachote un air de jazz. Edgar pose le verre et contemple la poussière dansante dans un rayon de lumière. — Ils reviennent toujours ! Pour le charme de l'ancien monde. La porte couine et Monsieur Léon, l’habitué, fait son entrée. — T'as gardé mon poison préféré d'avant-guerre, Edgar ? Son clin d'œil est aussi brillant que sa calvitie. — Pour toi, toujours, rétorque Edgar en tirant une bouteille cachée sous le comptoir. Clara sourit. — Et comment va votre dame ? — Mieux qu'ce vieux rafiot ! s’esclaffe Léon. Elle pense que je vais taquiner le goujon. Si elle savait que je viens m'abreuver d'réminiscences… Soudain, une gamine à l’air débrouillard et au reflex en bandoulière débarque. — Je peux shooter ? C'est d'la balle, on se croirait flanqué dans une autre époque ! Edgar lui lance un regard entendu. — Vas-y, mitraille. Mais même en rafale, ton appareil ne capturera jamais les histoires… La gamine s'installe, son œil vif cherchant l'angle parfait. — J'suis là pour les histoires cachées, moi. Léon lève son verre, amusé. — Alors, t'es au bon endroit, môme. Ici, chaque recoin a son récit. La porte grince une nouvelle fois. Une silhouette encapuchonnée s'avance, brandissant un avis de démolition. — Dernière tournée les croulants ! crache-t-elle d'une voix sinistre. Les regards se croisent, voguant sur le silence lourd que l'intrus vient d’imposer. L'éclat de rire de Léon résonne, défiant le futur. — Immortalise ça, gamine ! Quand les murs tomberont, nos fantômes danseront encore. À la vôtre pour l'éternité !
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jean-pierre-fr · 19 days
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La douce étoile de mes rêves, j'entends ta voix dans mon sommeil. Et dans mon coeur le jour se lève, tous les périples d'un océan. Ne sauraient égaler ma peine, mes joies, mes peurs et le chant des Sirènes. Comme tes sourires, si beaux et attirants, tu es un ange, unique ; fidèles. Seront mes sentiments pour toi, de toutes les fleurs tu seras celle; que tendrement mon coeur cueuillera. Quand les orages imaginaires, noyeront mes larmes sous un torrent de pluie. Assourdissant mes sens par le tonnerre,dans les ténèbres ton rire restera joli. je ne crains pas de perdre mes souvenirs, quand en automne les feuilles s'envoleront. Dans le vent qui emporte mes soupirs; et évite tes oreilles soigneusement.
Garfae
The sweet star of my dreams, I hear your voice in my sleep. And in my heart the day rises, all the journeys of an ocean. Could not equal my pain, my joys, my fears and the song of the Sirens. Like your smiles, so beautiful and attractive, you are an angel, unique; faithful. Will be my feelings for you, of all the flowers you will be the one; that tenderly my heart will pick. When the imaginary storms, drown my tears under a torrent of rain. Deafening my senses by the thunder, in the darkness your laughter will remain pretty. I do not fear losing my memories, when in autumn the leaves will fly away. In the wind that carries my sighs; and avoid your ears carefully.
Garfae
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sabinerondissime · 2 months
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Soleil, cigales et petit vent du matin, le combo parfait de mes vacances. Je ne me lève jamais aussi tôt quand je suis chez moi ! Ici, la chaleur dans la chambre me réveille mais je ne m'en plains pas. Je fais mon café et je sors sur la terrasse pour le déguster en attendant que la famille se réveille. Savoir apprécier les bonheurs simples, c'est une chance. J'espère développer encore plus à l'avenir cette satisfaction dans ces petites choses si faciles à obtenir.
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carraways-son · 2 months
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Lundi
Hier, le ciel étirait son tapis volant. Aujourd'hui, tout se complique, s'obscurcit. La vie n'aime décidément pas la légèreté. La guitare aérienne de Wes Montgomery plane pour rien dans la pièce. Le vent se lève et l'orage est annoncé. Je m'inquiète des prochains jours, mais en attendant, tournent les pages... Nina Bouraoui fait partie des auteur(e)s que j'aime relire. Quand bien même tout nous sépare, elle sera toujours ma sœur, ma nièce préférée, mon amie : J'ai un destin amoureux. J'ai plusieurs vies. J'ai plusieurs corps sous mon corps. Je suis au début de tout. Je suis à la fin des jours heureux (Nina Bouraoui, "Poupée Bella").
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memory-echo · 10 months
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Love Under a Leaky Parasol - Part 1
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The first meeting between Jiro and Nahoko is very curious due to the reference to Paul Valéry’s poem “Le Cimetière Marin”. After young Nahoko rescues Jiro’s hat, she says “Le vent se lève”, and he replies with “Il faut tenter de vivre”. Just what are the odds that two characters would ever quote this poem to one another as some kind of commentary on life?!
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It’s difficult to imagine a more striking first meeting. Jiro and Nahoko share an extraordinary, mystical understanding due to their knowledge of that poem. “Le Cimetière marin” is a meditation on life, mortality, and the impermanence of existence. The characters’ recitation of the poem suggests a shared sensitivity and a recognition of the beauty in the midst of life’s transience. 
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The characters are brought together by the wind: that whimsical and incomprehensible force. Jiro is taken aback by her recitation of the poem, and their secret understanding causes a huge stir in the heart of the young aeronautical enthusiast, and has a profound impact on his life. The line “The wind is rising! We must try to live!” is a call to action, a reminder to cherish the time we have, and to live life to the fullest. Jiro and Nahoko are both dreamers; Jiro yearns to design beautiful airplanes, and Nahoko wants to live a full and meaningful life. They’re both drawn to the beauty of the world around them, and they both have a deep appreciation for life.
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icariebzh · 6 months
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youtube
"Tous ces mots terribles qui font des chansons Parlant de misère , d'ennui , de prison Ne sont que des leurres chassant nos démons Bâillonnant la peur , pendant un moment Chanter, c'est pas vivre , mais c'est l'espérer Chanter, c'est survivre , quand on est vidé Vidé de ses illusions, tout nu et tout con Essoré, déboussolé, cassé, piétiné Je ne suis ni meilleur, ni plus mauvais que vous Contre vents et marées, envers et contre tout J'ai chevillé dans le cœur un rêve de bonheur Un jour nouveau qui se lève chasse mon chagrin Un geste, un regard, un mot, un ami qui vient Deux arbres dressés dans le ciel, la lune et la nuit Deux amoureux dans un champ font comme leurs parents Une fille qui revient d'un voyage très loin Tous ces mots terribles qui font des chansons Une fille qui revient d'un voyage très loin."
François Béranger
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x-heesy · 10 months
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Wonderful I could cry 😭
Lève-toi
Où que tu sois
Vers la terre, vers le vent
Vers la fin de l'été
Vers l'Ouest, vers le blanc
Vers le froid, traverser
Les nuits, les angoisses
Vers le vide ou vers Mars
J'irai vers toi
Où que tu sois (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
Alors, toi et moi, on se voit
Mais le plus souvent, c'est de dos
Là-haut, que pensent-ils de tout ça?
Qu'est-ce que l'amour à vol d'oiseau?
Quand les choses s'inverseront
Que le temps rayera les mots
J'irai vers toi à reculons
À reculons
Vers la terre, vers le vent
Vers la fin de l'été
Vers l'Ouest, vers le blanc
Vers le froid, traverser
Les nuits, les angoisses
Vers le vide ou vers Mars
J'irai vers toi
Où que tu sois (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
Alors, toi et moi, on se voit
Mais le plus souvent, c'est de dos
Là-haut, que pensent-ils de tout ça?
Qu'est-ce que l'amour à vol d'oiseau?
Quand les choses s'inverseront
Que le temps rayera les mots
J'irai vers toi à reculons
À reculons
Parce que c'est le-, c'est l'esprit du sport français
On pourrait aller boire un drink. En regardant la, le bassin olympique
Alors là, volontiers, ça me... Tu vois
Et surtout qu'il y a un fabuleux coucher d'soleil, avec
Déjà y a un bateau qui va très vite, mais c'est pas l'plus beau
L'plus beau, c'est celui qui est derrière, avec ses voiles, cette petite montagne
Quel paysage @luna--zylum @frenchpsychiatrymuderedmycnut @luckylucian @edgarmoser 🇫🇷
Get up
Wherever you are
Towards the earth, towards the wind
Towards the end of summer
Towards the West, towards white
Towards the cold, cross
The nights, the anxieties
Towards the void or towards Mars
I will go to you
Wherever you are (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
So you and I see each other
But most often, it's from behind
Up there, what do they think of all this?
What is love as the crow flies?
When things turn around
That time will erase the words
I will go towards you backwards
Backwards
Towards the earth, towards the wind
Towards the end of summer
Towards the West, towards white
Towards the cold, cross
The nights, the anxieties
Towards the void or towards Mars
I will go to you
Wherever you are (oh-oh-oh-oh-oh, oh)
So you and I see each other
But most often, it's from behind
Up there, what do they think of all this?
What is love as the crow flies?
When things turn around
That time will erase the words
I will go towards you backwards
Backwards
Because it’s the-, it’s the spirit of French sport
We could go for a drink. Looking at the Olympic basin
So there, gladly, that gives me... You see
And above all there is a fabulous sunset, with
There's already a boat that goes very fast, but it's not the most beautiful
The most beautiful is the one behind, with its sails, this little mountain
What a landscape
@savage-flirtation @dakota-283 @invincible-selfxmade-punk @taygertot @boanerges20 @derflaneur @cumpletelyhappythesecond @faccaldo 😭🥰
A reculons by Flavien Berger, Rebeka Warrior ❤️‍🔥 v5
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muzukashiidesune · 2 months
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富士山 (Mont Fuji)
Juliette se recouche sous son duvet épais, dans la lumière du matin. Nos futon sont installés à même le sol, sur le tatami beige, et quand elle remonte le duvet sous son nez, je ne discerne plus rien que ses cheveux bruns étalés sur l’oreiller. Un bout de front pâle, peut-être. Je ferme les yeux.
Mes draps me semblaient encore chauds de sommeil, lorsque je m’y suis renveloppée. Une odeur de bois règne dans la chambre. Mes cils entrouverts. Des particules flottent, en suspension dans la lumière. Lorsque Juliette cesse de remuer, elles se figent doucement à leur tour.
Il nous reste une bonne heure avant qu’on nous appelle pour le petit déjeuner.
Nous nous sommes levées avant l’aube, sonnerie faible de téléphone, tirées d’un rêve profond. Obscurité complète dans la chambre.
J’ai pris le volant de ma petite voiture, vaillante Honda Light qui avait fait dix heures de route la veille. Entre les vignes, l’air était gris, l’herbe terne, les rues étroites. En montant les côtes, ma Honda est lente. Sans musique, demi sommeil.
Arrivées au sommet, nous n’étions déjà pas seules. Une file devant les guichets, où un couple de personnes âgées aux mains tremblantes échangent les tickets contre des clés de casier. Le ciel vire du gris au mauve, et l’espace d’un instant, on a peur d’arriver trop tard.
Dans les vestiaires, femmes et enfants, à divers stades de dénuement.
La tête lourde, j’enlève mes vêtements, les déposent dans un panier en osier. L’air est frais sur ma peau. La lumière change — c’est presque l’heure. Serviette en main, nous dévalons le petit sentier de pierre jusqu’aux bains. Au premier pas dans l’eau, la plante des pieds me brûle. Contraste avec la roche froide.
On glisse dans l’eau de l’onsen tout juste quand la brume se lève.
Par delà le rebord de pierre, une grande vallée s’étale, telle une flaque à nos pieds. Derrière nous, les alpes japonaises. Le soleil en émerge lentement. Il est cinq heures. La vallée est encore grise.
Au loin, Fuji se dore.
Son sommet enneigé brille, du bleu au rose. Plus haut que tout ce qui l’entoure.
L’eau de l’onsen scintille, claire, et sa vapeur se lève lentement. Disparaît dans l’air en volutes dorées. Le vent est frais, altitude et fin avril, il donne envie de glisser son corps encore plus profondément dans l’eau chaude.
Je crois en la magie — ou peut-être manque-je de sommeil.
Par la fenêtre de notre chambre de ryokan, maintenant, les vignes sont vertes et brillantes, feuilles nouvelles. Fuji, dans le coin gauche, est bleu noir à sa cime. Sa neige coule du haut, carte postale, en de larges traînées veineuses.
Juliette dort à nouveau, et je me tire hors de mes couvertures.
L’eau chaude que l’auberge nous a préparée hier est encore fumante dans son thermos. Je la fais couler dans une petite tasse bleue, sans poignée. Elle se colore presque immédiatement de vert pâle au contact des feuilles thé.
Je m’assois au bord de la fenêtre.
Une heure passe. Le soleil réchauffe mes vêtements, la chambre se gorge de jaune. Je pense à Hokusai.
Quand Juliette se réveille, je lui demande si l’on s’habitue jamais à cette vue. Fuji grandeur, à tous les détours. Juliette vit à ses pieds depuis deux ans.
De sous son duvet, deux yeux qui clignent. Paupières du dessous qui se plissent, sourire, puis re-disparaissent dans un mouvement de cheveux.
« Non, » me répond-elle. « Ça prend toujours par surprise. »
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lerefugedeluza · 8 months
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Cher hiver, 
Sache que je ne t’aime pas. 
Ta nuit, ta pluie, ton gris, ton froid. Tout ça me rend presque totalement imperméable à tes charmes. 
Pourtant tes quelques flocons de neige, tes chocolats chauds, tes feux de cheminée, tes gros pull tout doux, sont des choses que j’adore. 
Mais tes pluies glaciales incessante, ton soleil qui se lève bien trop tard et se couche beaucoup trop tôt, tes journées toutes grises, ton vent cinglant et tes arbres nus et moroses font que je n’arrive pas à t’aimer, que j’ai même du mal à te supporter. 
Oui, parfois ton ciel est bleu, dénué de tout nuage, parfois ton soleil brille et ses rayons viennent un peu illuminer et réchauffer ton ambiance si froide et si morne. Mais ça ne suffit pas. 
Comme les autres saisons, tu as trois mois pour toi et même si février est un peu plus court que les autres, j’ai toujours l’impression que tu dures mille ans, que tu ne t’arrêteras jamais. Dès janvier, je ne ne crois plus au printemps. 
Tu me rends triste et me vide de toute énergie. Moi qui adore me lever tôt, du moins avec le soleil, tu me donnes envie de dormir toute la journée, voire de rejoindre mon lit mi-décembre et de ne plus en sortir avant les premiers rayons de soleil doux de mars.
Je crois que si, comme beaucoup d’autres êtres vivants sur cette planète, je te passais à hiberner, je m’en porterai beaucoup mieux. Il n’y a rien de plus fatigant que ces journées sans lumière que je passe avec toi, hiver. 
Et puis, maintenant que je fais des vidéos, tes nuits qui tombent très tôt et qui ne se lèvent jamais vraiment me frustrent énormément, car tes journées sans soleil rendent toutes mes images toutes tristes et lugubres, alors que moi, je voudrais partager de la chaleur, de la lumière et de la joie. 
Alors oui, c’est vrai, les journées de neige ont quelque chose de magique. Un silence si apaisant. Mais tu n’as plus assez de flocons pour en recouvrir les pleines et les vallées plus que quelques jours par an. Je sais que ce n’est pas de ta faute et que toi non plus, tu ne maîtrises pas la météo. Mais tout de même, il fut une époque où je t’aimais pour les batailles de boule de neige, pour les premières traces de pas déposés sur ton manteau blanc après une nuit de neige. Je t’aimais pour ces matins de calme et de paix qui surgissaient lorsqu’en ouvrant rideaux ou volet, on découvrait que notre paysage s’était totalement fait recouvrir de blanc. 
Tant pis, les glissages en luge se feront un prochain hiver peut-être. 
En attendant, je prends mon mal en patience, je compte les jours avant le printemps, avant les journées douces et ensoleillées, avant les fleurs et les feuilles qui sortent, avant les oiseaux qui reviennent d’on ne sait où. 
Ne m’en veut pas si je ne t’aime pas hiver. Si je ne t’aime plus. C’est juste que tu me rends triste et déprimée et qu’au bout de seulement quelques jours passés avec toi, je me languis tant du printemps et du beau temps. 
D’ailleurs j’espère qu’il arrivera bientôt, plus tôt que prévu, avec son énergie, sa chaleur et ses journées douces, que je passerai allongée dans l’herbe ou au milieu des fleurs qui grandissent. 
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Quelques trucs bien. Novembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Apprécier de dormir du sommeil du juste 
Dire au revoir à ma sœur en pleurant et en se serrant dans les bras. En tout, 10 jours de séparation comme une éternité de solitude pour moi et un séjour de vacances pour elle 
Apercevoir un renard détaler et se planquer dans la nuit des fourrés 
Participer avec les jeunes à l’atelier de peinture. Laisser libre cours à la couleur 
Ramener maman à la maison après quelques jours d’hospitalisation. Savoir qu’elle sera bientôt soignée 
Fêter l’anniversaire de ma sœur dans une soirée folle avec des plumes, des paillettes et du champagne ! Retrouver les amis qui ont joué le jeu déguisé et s’amuser ! 
Voir un faisan dans le jardin, près de l’olivier. Penser que l’oiseau a trouvé là un espace de sécurité pendant la chasse qui est de saison
Valider l’inscription à une formation professionnelle. Sentir s’ouvrir une fenêtre dans la routine 
Craquer pour deux décos de Bambi pour mon petit M. : « mon premier Noël »
Prêter une robe toute neuve à ma sœur afin qu’elle soit à son aise et à son avantage lors d’une fête familiale par alliance, et qu’elle se sente « magnifaïque », moi qui ne suis pas la reine du shopping 
Aller dans les bimbeloteries avec ma meilleure amie pour acheter des décos de Noël pour elle, des décos d’anniversaire pour ma sœur : il y a de la paillette, de l’or et de l’argent. Tout ce qui fait chaud au cœur 
Savourer la douceur de l’automne porté par le vent chaud du Sirocco. Enlever des couches de vêtements au fil de la journée 
Entendre chanter le rouge-gorge dans le froid du matin 
Constater que les jours raccourcissent à vue d’œil et avoir quand même du plaisir à allumer la lampe de chevet pour bouquiner 
Recevoir un message élogieux sur ma poésie. Ressentir de la reconnaissance et le regret du silence actuel 
Aller à l’atelier de peinture. Retrouver le plaisir du geste au pinceau et la joie de la couleur pure. Partager ces ressentis avec les jeunes 
Entendre hurler la chouette dans la nuit puisque je me lève de très bonne heure chaque matin 
Discuter avec ma cousine au téléphone en buvant du vin blanc. La sentir plus forte et indépendante. Lui confier quelques conseils de ma grand-mère pour continuer à avancer 
Passer du temps avec maman. Préparer de la soupe et des tenues vestimentaires pour la semaine. Être là, juste là 
Accueillir une amie qui se sépare. Écouter et accompagner la prise de conscience. Faire confiance avec de la tisane 
Échanger des ouvrages avec un auteur. S’essayer à la critique littéraire. Attendre aussi son retour sur mes poèmes 
Envoyer un message amical à un collègue en arrêt de travail. Lui dire qu’il manque 
Savoir que maman m’attend pour aller se coucher. Prendre le temps pour elle aussi 
Voir et câliner mon petit M. quasi quotidiennement. Bonheur 
Constater les énormes progrès de deux de mes jeunes patients. Me sentir si fière pour eux désormais apaisés pour pouvoir scolarité presque normalisée 
Accompagner maman pour la visite de l’appartement de ma fille. La sentir heureuse de cette sortie exceptionnelle 
Apprécier comme une grâce les étoiles scintillantes du petit matin dans le ciel lavé par la pluie et nettoyé par le vent. Trouver de bons côtés à l’insomnie
Aller au cinéma avec mon fils pour voir le dernier Miyazaki en VOSTFR
Manger des gaufres ensemble. Monter et/ou descendre d’un ou deux étages dans la maison pour partager avec la famille et les amis présents. Se régaler ensemble 
Bricoler avec mon fils. Améliorer la possibilité d’aérer sa chambre pendant l’hiver puisqu’il aime le froid 
Envoyer à une amie virtuelle une enveloppe avec un de mes bouquins dedans. Donner de la matière et du concret par les mots 
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marie-swriting · 14 days
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On Y Va Ensemble - Stiles Stilinski
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Drabble Masterlist
Résumé : Avec Stiles, vous faites une soirée films d'horreur, mais vous le regrettez plus tard quand vous entendez un bruit bizarre.
Warnings : mention de films d'horreur, sentiment de peur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 883
Version anglaise
Prompt utilisé : "Please tell me that was the wind" (S'il te plait, dis-moi que c'était le vent) de cette prompt list faite par @the-moon-dust-writings
Le titre La Nonne apparaît sur l'écran d'ordinateur de Stiles. Pop-corns en bouche, vous commencez à regarder le troisième film d'horreur de la soirée. Comme pour les précédents, vous n’êtes pas tant effrayés. Vous sursautez seulement à quelques moments, mais rien de grave. Cependant, quand le générique défile, tu sens l'angoisse prendre possession de ton corps en repensant aux différentes histoires. Par fierté, tu ne montres rien à Stiles. Il n'a pas l'air d'avoir peur donc tu ne vas pas te dégonfler. Autrement, tu sais qu'il va te taquiner jusqu'à ta mort.
     Fatigués par votre soirée films d'horreur, Stiles pose son ordinateur avant d'éteindre la lumière. Enlacés, vous êtes prêts à vous endormir. Enfin, c'est le cas pour Stiles. Tes yeux sont grands ouverts, tes sens à l'affût de la moindre menace. Tu essayes de te rassurer en te rappelant que ce n'est pas la réalité. Tu tentes de penser à des moments drôles pour oublier la Nonne et autres monstres. En vain. Tu t'éloignes du corps de ton petit ami pour te tourner. Peut-être que dans une autre position, tu arriveras à dormir ? Mais encore une fois, tu restes éveillée. Tu soupires en te retournant dans le lit.
- Tu ne dors pas ? te demande Stiles, te faisant sursauter car tu pensais qu’il dormait.
- Je n'arrive pas à trouver ma place.
- Moi non plus.
Tu grognes de frustration. Tu te colles de nouveau à Stiles quand un bruit retentit. Vous vous regardez, complètement paniqués.
- S'il te plait, dis-moi que c'était le vent, chuchotes-tu.
- Oui, c'était sûrement ça, te rassure-t-il, mais un nouveau son se fait entendre.
- C'était quoi ça ? Va vérifier !
- Quoi ? Mais pourquoi moi ? rétorque Stiles, outré et en allumant sa lampe de chevet.
- Parce que c'est chez toi.
- Et alors ? Tu devrais y aller.
- Pour quelle raison ? le questionnes-tu, choquée.
- C'est pas toi qui dis que pour tuer le patriarcat faut détruire les normes de genre ? Dans ce genre de situation, logiquement c'est l'homme qui y va et bah, on change. Va voir, s'exclame-t-il en tentant de te sortir du lit.
- Vous, les hommes, le combat pour l'égalité c'est que quand ça vous arrange ! Allez, Stiles, descends. T'as une batte, je te rappelle ! tentes-tu de le convaincre.
- Je peux très bien te la passer.
- Ton père est shérif. Tu t'y connais mieux en sécurité.
- Ça ne veut rien dire.
- Stiles, si je meurs à cause d'un démon, je reviendrai te hanter.
- Y/N, les démons n'existent pas, te contredit Stiles en tentant de cacher sa peur.
- Ouais, et on pensait pareil pour les loups-garous. Et puis, si t'es si sûr, va vérifier.
- Je bouge pas d'ici, proteste-t-il et tu lèves les yeux au ciel.
- Bon, tu sais quoi ? On y va ensemble. Prends ta batte.
Vous sortez du lit, totalement apeurés. Stiles se saisit de son arme de fortune et te regarde, attendant tes indications :
- Passe devant, je te suis.
- Pourquoi je passerai devant ? s'indigne Stiles.
- Si tu m’aimes vraiment, tu voudras te sacrifier pour me sauver, affirmes-tu avec un grand sourire.
Stiles te regarde, exaspéré par ton argument, avant de rouler des yeux. Tu pouffes avant de lui embrasser la joue.
- Je rigole, tu sais bien que je ne te sacrifierais pas, ajoutes-tu plus sérieusement. Allez, tu as l'arme et je suis juste derrière toi, t'inquiète.
      Stiles soupire avant de s'exécuter. Il ouvre doucement la porte pendant que tu t'accroches à son haut de pyjama. C'est ridicule, mais tu te sens plus rassurée. En haut des escaliers, vous remarquez de la lumière venant de la cuisine, signalant la présence d'un inconnu. La panique devient de plus en plus forte. Tu fais mentalement ta dernière prière quand vous descendez les dernières marches. Stiles lève un peu plus la batte alors que vous vous rapprochez de la cuisine. Il te fait signe de ne pas faire de bruit. Vous vous apprêtez à entrer, mais vous lâchez un cri quand, par surprise, la personne apparaît. L'intru porte sa main sur sa poitrine en sermonnant Stiles. En ouvrant les yeux que tu avais fermés sans t'en rendre compte, tu vois seulement Noah, devant vous, désespéré.
- Mais qu'est-ce que vous fichez, bon sang ?
- On...
- Bah, en fait...
Stiles et toi balbutiez quelques secondes avant que Stiles informe en essayant de paraître naturel :
- On voulait te faire peur.
- Me faire peur ? Il est quatre heures du matin, vous devriez être en train de dormir.
- Bah, je suis totalement d’accord, on devrait. Notre blague n'a clairement pas marché en plus.
- Ouais, peu importe. Je vais me coucher. Et vous aussi, dit Noah en faisant un pas en avant. Au fait, Stiles, ta batte de baseball n'est pas une arme, ajoute-t-il en regardant son fils de haut en bas.
Vous attendez que Noah soit monté dans sa chambre avant de reprendre une respiration normale. Vous restez silencieux pendant une seconde, vous sentant complètement idiots.
- Tu ne te rappelais pas que ton père rentrait maintenant, toi ? le réprimandes-tu.
- Ça va être ma faute maintenant ?
- Oui ! Si tu avais réfléchi deux minutes, on n'aurait pas paniqué pour rien.
- C'est toi qui m'as fait paniquer, à parler de démon, rétorque-t-il.
- Oh, s'il te plait ! T'étais déjà en flippe avant.
- Bref, coupe Stiles, plus jamais de films d'horreur après minuit. Et personne ne doit jamais savoir pour ce soir. 
- Je suis d’accord. 
Drabble Masterlist
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