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#lias saoudi
groovytimes · 3 months
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My introduction to Fat White Family. Well, mark me down as scared and horny.
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dustedandsocial · 2 years
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Dusted&Social #07 (11-24-22)
Pictured: Carla dal Forno  
The Reflecting Skin - Limb Off éstudy - Heavy dancing Decius feat. Lias Saoudi & Maggie The Cat - Masculine Encounter II Terebentina - Três pontos (...) Dim Garden - Elle Tombe La Lune Persher - Face To Face Cloth Eva Geist & Chikiss - Zhiva Sessiya De Ambassade - Palette Christina Vantzou - Tongue Shaped Rock Escuela de Aviación - Un niño Carla dal Forno - Stay Awake Dead - Light, Flicker, Dark 106 (Phew & Dowser n) - Tattakata Padkarosda - Pótolható Vagy Kat Haus - FITTED SHEET Shake Chain - Internet Spiritual Emojis - Stop World GIF Rotrum - Tutelary Slumberland & Sainkho Namtchylak - Zarja Zakat Zarja Maxime Denuc - Ouverture Citron Citron - Rapace The Gabys - How Can I Prepare Taranoya - Human Desire Joo Jung-yi (주정이) - 기다려 (Wait)
https://www.mixcloud.com/dustedandsocial/dustedsocial-ep-07-11-24-22
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fakefrench10 · 11 months
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Ulysses
has been following me. First Rob Doyle, right? M tells me that’s one of his favorite authors and that he is talking about his new book, that was still in making I understood, at this bookstore cafe. They have pretty good bagels there. So there was Lias Saoudi and Rob. Lias.. Ouf. An instant big deal. I watched thhons of videos of him. I mean lives and interviews. That as a preparation for the event. A better preparation would be to read things about Rob. To read anything about Rob. I was even late. An instant big obsession with Liases nose. Is he gonna read this and hate me for all the typos or hate me?
The event was an interview of sorts. Lias making it all about Rob. I don’t remember too much of the interview. The nose. But one thing “ Permanent vigilance holds one back from becoming a writer” or becoming a Rob, or a dancer or a cook or a 40 years old punk or asking someone out for three years or asking someone out.
That’s when I got the This is the ritual. I think a chain of obsessions started. He starts with the story of Ulysses. And I think,!what’s the big deal. I read it as a child. Must have been the oldest book I have ever seen. Hard cover, yellow, with faded illustrations. Very elaborate ones too. That’s where I knew what a smell of book was. Read it a few times even. Was my favorite story. He didn’t mean that Ulysses. He meant this other one, which I haven’t read, because nobody did.
I told M there was something hidden in that book and I absolutely had to read it. M, who reads literally everything, says to never even try. Says ‚You don’t need to read it, you just have to know about it’. Me, I don’t think so. Not for any reason, but because I don’t believe in anything, but in little fixations that come free to me. Like my nickname.
At this point it was about a year and many months I hadn’t used my records player. Since Gabor closed Mitte Records to spend more time with his family. A working day. Before going to the bathroom, when I could, like every other morning, put a stupid cartoon in french, I played a randomly picked vinyl, like the year and the many months never happened. Not a too randomly picked vinyl, because there were three elephants on a turtle on the cover. I checked the artist. Ulises.
There are this people. You don’t even think about them. Because, what’s the point. They are too unavailable. Not too unavailable. Too … I don’t even know. Anything I say here will sound too cheesy. Let’s say too curly. We had a moment. Kind of a big one too. Might go into the Afterlife even. But I am scared for my lips. Then he writes me to meet soon. I check the name. Ulises.
I don’t focus on the spelling. I did this time. I am a minus in spelling anyway. Ulises is as good as Ulysses. Except the last one autocompletes.
A lot of other books came my way. But no other obsessions. I shouldn’t say obsessions. But coincidences. That I notice now. Three months later, I am looking for a used Ulysses book to buy and the nearest library, because also The Arcades Project, which I have to read, at least a bit, is hard to find online. And Ulises writes.
Going fast and slow on my sewing machine pedal, I am thinking, is that a good thing, when someone writes you while taking a bath? And it’s not your casual bath. Water and foam. The way he does it, he makes a big deal out of it. A bath bomb, oils of sorts, candles. Maybe a drink even. When he is done, he will put on his after bath rob, not the after shower one. Boris Vian’s L’écume des jours, I imagine.
Hopes to see me one day.
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adjst · 2 years
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digital999placebo · 2 years
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WHEN IS LIAS SAOUDIS SEX THERAPY BOOK DROPPING I NEED IT SO BADLY
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dissidentlibrary · 2 years
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My current reading is a rollercoaster of disgust and laughter.
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matthias-songbook · 4 years
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Pourquoi le mec de la Fat White Family a (presque) raison à propos d’IDLES
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Petit résumé d’un clash un poil plus profond que la moyenne
Autant être clair d’entrée de jeu : il ne s’agit pas ici de donner les bons points ou de blâmer un tel ou un tel. Quand deux têtes pensantes du punk anglais contemporain s’échauffent, on s’imagine bien que quelques étincelles vont jaillir malgré le nihilisme avéré de la friction.
Petit rappel des faits : en février 2019, Jason Williamson, moitié du duo Sleaford Mods, admet son désamour pour le quintet de Bristol IDLES, dans une interview accordée à The Guardian. Malgré un premier album apprécié (Brutalism, paru en 2017), le punk de Nottingham les accuse d’appropriation culturelle, notamment auprès de la working class britannique, éternel sujet du milieu punk local. Rien de bien dramatique en soit, jusqu’à ce qu’un autre groupe s’en mêle, lui aussi connu pour ses saillies politiques et ses propos provocateurs : la Fat White Family. Dans un post Facebook au vitriol (censé faire la promotion de leur tournée de l’époque), le groupe apporte son soutien inconditionnel à Williamson (tout en se foutant de sa gueule... quelques lignes plus bas), et en profite pour en rajouter une couche et insulter plutôt copieusement les membres d’IDLES. “La dernière chose dont on ait besoin dans cette culture de plus en plus puritaine, c’est une bande de tocards de la classe moyenne qui nous hurlent d’être gentils avec les immigrés ; vous appelez ça de l’art, j’appelle ça de la vanité.”
Plus d’un an plus tard, Joe Talbot, leader d’IDLES, prend la peine de répondre à toute cette agitation, toujours dans les colonnes de The Guardian, à l’occasion de la sortie d’Ultra Mono, leur troisième album. Se présentant comme “quelqu’un de très violent par le passé”, le chanteur allie le geste pacifiste de son groupe à la parole, ajoutant que ces invectives, si elles l’ont évidemment “mis en colère”, l’ont également “rendu plus fort” - de quoi corroborer l’image de canailles repenties que lui et le reste de la bande brandissent, de façon honnête à n’en pas douter.
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Aujourd’hui, Lias Saoudi, leader de la Fat White Family, renvoie à nouveau la balle dans le camp adverse dans ce qui ne devrait absolument pas être le dernier acte de la pièce. Dans le huitième chapitre de sa série écrite Life Beyond the Neutral Zone, petit journal du confinement publié sur le site The Social, le musicien tient à “clarifier son point de vue” au sujet de ses confrères, en mettant cette fois les formes - et surtout le fond - à ses pensées. “Voilà un groupe qui prétend défendre la solidarité, combattre toute forme de préjudice, mais qui ne peut pas s’empêcher d’éprouver du mépris envers tous ceux qui n’adoptent pas son point de vue, celui d’une classe moyenne urbanisée, qu’ils s’approprient complètement” écrit-il, en profitant pour rappeler les violences et les humiliations subies durant son enfance en tant que fils d’immigrés algériens. “Qui est Joe Talbot pour pointer ces gens du doigt et les juger ? Qui est-il pour leur enlever le droit d’être fiers de leur pays ?” Pour Saoudi, racisme et xénophobie ne sont pas qu’une affaire d’accusation, ne sauraient être combattus que par le seul prisme de la dénonciation, mais par d’autres biais, comme l’éducation, l’assimilation ou le cheminement de pensée. A ce titre, l’artiste évoque “une gauche à qui l’avenir appartenait”, aujourd’hui cantonnée à l’utopie et à l’auto-flagellation. En filigrane, une critique de la culture américaine et de sa conception de la justice, rendue de plus en plus publique, de plus en plus prégnante dans les sociétés occidentales - un rapprochement qu’on laisse volontiers à l’appréciation de son auteur, comme le reste d’ailleurs.
Sur une note plus personnelle (et légèrement plus positive), Saoudi évoque sa définition de l’art politique, soit “la capacité de donner une vision pertinente du monde via le prisme d’expériences personnelles” - ce qu’il reproche à Talbot, jugeant ses textes plats, comme “générés par un algorithme créé par The Guardian” (que voulez-vous, Rome ne s’est pas faite en un jour). Toujours aussi changeant, il témoigne, dans le même paragraphe, d’un certain respect envers les prestations live d’IDLES. Au final, le texte regorge d’honnêteté, de bon sens, mais aussi d’avis tranchés qui ne poussent personne à les épouser. Et c’est précisément là que je veux en venir.
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Au-delà de notre capacité à être d’accord ou pas avec un propos, une opinion, ce clash a le mérite de rappeler qu’il y a, en de rares occasions (il est vrai), quelque chose de plus profond que l’invective primaire - et ce même s’il faut des mois pour en arriver à des explications claires et construites.
J’aime bien IDLES. Il n’est pas ici question de se présenter comme étant pro-ceci ou anti-cela. C’est qu’à la lumière de ce nouvel épisode, qui va cette fois un peu plus loin que l’attaque frontale, voire “trollesque”, je peux tout-à-fait comprendre qu’on puisse au moins s’interroger sur la vision un brin “tarte à la crème” des idéaux culturels et sociétaux pour lesquels Joe Talbot et sa bande se battent, avec toute la vigueur qu’on leur connaît. On s’est retrouvés (moi y compris) ébahis de voir ces trentenaires durs à cuire, barbus et tatoués, chanter les vertus de l’amour, de la tolérance et des fleurs - le tout en étant raccord avec la violence formelle induite par le style musical auxquels ils s’attaquent (histoire de boucler la boucle). Mais au final, vont-ils plus loin que le gimmick ? Là est toute la question, et il se pourrait bien que personne ne soit d’accord.
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whyterobinmusic · 5 years
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oh what this? just Lias Saoudi being an icon
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BTS Stills from Feet
📸: Lou Smith
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-fat-white-family/
INTERVIEW - Fat White Family, thérapie rock
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Coup de maître pour le 3e album du groupe punk le plus déjanté d’Angleterre. Interview sans filtres.
Serfs Up! aurait pu ne pas voir le jour. Fat White Family aurait pu ne plus exister, rongé par ses démons intérieurs. Mais, après des années à dynamiter la scène londonienne en se droguant outrageusement et en buvant jusqu’à plus soif, la bande de musiciens a frôlé la catastrophe lorsque le guitariste Saul Adamczewski a dû quitter le navire, dévoré par l’héroïne. Au détour de notre conversation dans les bureaux parisiens de leur label, le teint livide et l’œil délavé, il nous explique sa définition de la liberté : “Dire et faire ce que tu veux, même si c’est abusif.”
Son complice Lias Saoudi, chanteur et principal songwriter des Fat White, est alors parti prendre l’air à Sheffield : “C’est une ville éloignée de la folie du quotidien, qui nous a apporté plus de temps, plus de discipline… et de sobriété.” Accompagné de son frère Nathan, qui officie aux claviers du groupe, il a accueilli avec soulagement le retour du sale gosse Adamczewski. Ce qui amuse la presse depuis 2013, date de sortie de leur premier album, Champagne Holocauste, qui aurait pu les tuer : de l’excès en tout genre du matin au soir. De quoi donner des performances incontrôlables comme des chansons 100 % punk. “Notre indépendance tient au fait que nous sommes liés par le fun, l’humour, nos références, explique Saoudi. Mais c’est une bataille constante.” Si Songs for Our Mothers (2016) enfonçait le clou d’un rock sans concession, Serfs Up! est étonnamment plus construit, plus accessible peut-être, “moins chaotique” d’après Adamczewski, mais toujours viscéralement radical. Il représente une revanche sur le destin qui aurait pu connaître une issue tragique : “Chez nous, tout nouvel album est une victoire”, sourit Saoudi. “Une petite victoire, poursuit Adamczewski. Faut bien faire le boulot. On s’est infligé tellement de trucs, on a tellement rendu notre vie tellement merdique qu’on se réjouit déjà beaucoup d’être là et de pouvoir même chanter des chansons.”
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Serfs Up! est engagé, comme tous les disques de Fat White Family. “La montée du populisme n’a plus rien a voir avec la classe ouvrière qui se soulève partout dans le monde, commente Saoudi. Comme s’il y avait une erreur de révolution. Certains vont jusqu’à réclamer moins de pouvoir. C’est un échec, et c’est tellement ironique…” Mais qu’on n’aille pas leur parler de protest songs, même si des titres comme “Tastes Good With the Money”, qui profite de l’intervention de Baxter Dury, n’en sont pas si loin. Lorsqu’on évoque un des vers de l’album, “Down the bright white apology of my skin”, Saoudi répond : “On ne sait pas si c’est sur la race, l’aliénation, le viol, l’amour, la tendresse, la guerre, la violence, la chair… Tout ce qui fait notre monde, pour l’embellir ou le contaminer.”
Dans le clip de l’ouverture de Serfs Up!, “Feet”, on voit les membres de Fat White Family rejouer un inquiétant remake de Querelle de Fassbinder, lui-même inspiré de Querelle de Brest de Jean Genet. L’ombre des régimes fascistes du passé, qui les ont toujours questionnés, habitent la vidéo.
Cette proposition témoigne de la curiosité intellectuelle d’un groupe qui fait mine de ne pas être trop malin, et qui refuse de se montrer sous son meilleur jour : “Les gens attendent de l’artiste qu’il soit cool et sympa, et ça, c’est au-dessus de nos forces, sourit Saoudi. Nous ne sommes pas là pour les réconforter face à la culture de la peur ambiante, juste pour leur montrer qu’ils ne sont pas seuls, que nous aussi on remonte nos manches pour affronter le réel.” Car le rock demeure leur échappatoire (et un excellent prétexte pour rester en vie), comme l’affirme Adamczewski : “La musique, c’est la seule thérapie disponible facilement pour nous.”
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Sophie Rosemont
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paul-lannes · 7 years
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J’ai fait un dessin de Fat White Family !
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joelearmonth-blog · 7 years
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sarahpiantadosi · 8 years
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ANOTHER MAN Spring Summer 2017
Styling by Ellie Grace Cumming.
Featuring Lias Saoudi aka Johnny Rocket.
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cheap-wynos · 5 years
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Touch The Leather
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twinkandwink · 7 years
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The Moonlandingz - Trinity Centre, Bristol 23rd Nov 2017 
Fun and Crazy gig with ladies stage invasion
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alexstorm · 2 years
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just to break away from all the gf talk, shortly after lias saoudi from fat white family talked mad shit about alex in an interview ( he called him a moron, a cunt and cringe) his band got signed by domino lmaooo. I’d like to think that alex actually pulled some strings to make it possible bc he has a sense of humor haha
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