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#livre de rituel
papercatlab · 2 years
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(via In French: Book of Shadows 36 Pages Working With the Ancient - Etsy Italy)
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fieriframes · 5 months
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[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés. 
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c’est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
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fashionbooksmilano · 6 months
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Geisha Une tradition vivante
Kyoko Aihara
Editions Soline, Courbevoie 2001, 128 pages, 24x29cm, ISBN 978-2876774315
euro 30,00
email if you want to buy [email protected]
C'est un privilège rare que de franchir les rideaux armoriés des anciennes maisons de thé japonaises, d'où la méconnaissance du rôle joué par les hôtesses de ces lieux rompues aux arts de divertissement et connues sous le nom de geishas. Historiquement, ces femmes sont associées à Kyoto, l'ancienne capitale du japon, où les exigences traditionnelles de leur formation sont toujours en vigueur aujourd'hui. Geisha explore tous les aspects de la vie, souvent pénible, de ces femmes remarquables leur costume, leur coiffure et leur maquillage élaborés, les cérémonies et les rituels auxquels elles participent, leur excellence dans la pratique des arts traditionnels et les relations qu'elles entretiennent avec les hommes et le monde extérieur. Les maiko et les geiko de Kyoto occupent une place à part dans la culture japonaise. II y a un siècle encore, on les voyait déambuler dans les rues de la ville, comme d'autres femmes aux activités proches dans d'autres villes du Japon. Aujourd'hui, leur existence se trouve menacée ; peu de femmes choisissent ce métier exigeant. En effet, de nombreuses années d'études leur sont nécessaires pour perfectionner leur connaissance des arts, apprendre à mener une conversation avec brio afin de divertir les hommes dans le respect de la tradition et à participer aux festivals saisonniers. Kyoto est la seule ville à proposer une formation de haut niveau qui garantit que les maiko et les geiko en exercice sont les véritables gardiennes du patrimoine culturel de leur pays. Le livre éclairant de Kyoko Aihara, richement documenté et illustré de photographies originales, dresse un portrait détaillé d'un pan de la société japonaise encore nimbé de mystère.
Kyoko Aihara est née à Yokohama, au Japon. Diplômée en histoire de l'art de l'Université de Tokyo, elle est ensuite allée étudier l'allemand à Cologne. Depuis 1994, elle est journaliste et photographe free-lance au Japon. Elle a publié de nombreux livres (tous illustrés de ses propres photographies) et rédigé pour de multiples journaux et magazines japonais des articles sur un vaste éventail de sujets. Les contacts privilégiés qu'elle a noués avec les maiko et les geiko de Kyoto lui ont permis de pénétrer l'univers des maisons de thé de la ville et d'écrire ce livre remarquable, unique en son genre.
07/12/23
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lepartidelamort · 4 months
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« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
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recapqsmp · 10 months
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Vendredi 18/08 - Le retour du roi
Mike et Fit ont continué leur quête pour retrouver Walter et Pac. Ils ont trouvé une nouvelle photo dans le backpack ressemblant à l'horloge de la gare. Dans l'horloge, il y avait un coffre, contenant la photo du cimetière, ainsi qu'un livre disant "Combien de temps reste t-il ? J'ai compté depuis si longtemps". Arrivé là bas, ils ont remarqué qu'une bougie manquait comparé à la photo. En creusant à l'endroit où devait se trouver cette bougie, ils sont tombés sur une salle remplie d'horloges et de sabliers. En revenant vérifier le sac, ils ont reçu une image indiquant "55551" (21). Ils en ont conclus que la suite de l'énigme arriverait lundi.
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https://clips.twitch.tv/FamousHealthyWaffleMoreCowbell-yor_QI0rBkhuZiUf
Etoiles est revenu sur le serveur. Il était toujours dans le nether, mais une sharestone l'attendait. En la prenant, il est arrivé dans un donjon. En avançant dedans, il est tombé sur une base de la fédération, bloquée par une porte verrouillée. En fouillant très rapidement (non), il a fini par trouver la carte d'accès. Dedans, il a pu trouver une shulker box contenant la description du bouclier, ainsi qu'une photo. En creusant sous la box, il a trouvé le bouclier, nommé "CPV2". En sortant du nether, le code l'attendait, avec son épée. Il l'a combattu, et a pu apercevoir à quel point son bouclier est extrêmement fort : il n'a pris aucun dégât. Il a ensuite expliqué aux autres joueurs ce qu'il lui était arrivé.
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Maximus et Aypierre ont invité tous les joueurs à participer à l'invocation du Night Wolf. Ils se sont transformés dans leur fursona (McFurry et PawPatrol), et ont effectué un rituel pour faire apparaître le Night Wolf (joué par Vegetta). Mike a aussi révélé sa tenue de furry : MikeFurry.
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https://clips.twitch.tv/ThankfulThirstyGarageWoofer-I3J0kpEHouID_Rer
Des oranges sont apparues devant Foolish, l'emmenant pendant un très long voyage jusqu'à chez lui. Dedans, il a trouvé un livre, nommé "Mémoires n°1", écrit par Mr.Mustard.
Maximus a reçu la visite de Cucurucho, lui demandant de le suivre. Il l'a emmené à la table de chirurgie, lui a appliqué un sédatif, et l'a opéré. Néanmoins, Maximus est tombé dans le coma.
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https://clips.twitch.tv/PleasantHumbleKoalaTwitchRPG-fXZunFFJhav2Gl1p
ElQuackity s'est connecté en annonçant que ça serait le dernier jour de son personnage. Il a rejoint BadBoy et les oeufs à l'école, et a plaisanté en disant qu'il fallait commencer à harceler un peu les oeufs pour qu'ils s'endurcissent. Il a tenté de bully Pomme, mais BadBoy et elle sont rentrés à la maison. ElQuackity et Roier ont détruit une grosse partie de l'école, brûlant les dessins décorant le bâtiment. BadBoy, en revenant, s'est apperçu de ce qu'ils avaient fait. Il a donc décidé de détruire une partie de la pyramide de Quackity en retour, pour lui montrer ce que ça fait.
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https://clips.twitch.tv/AlluringObeseCarabeefKappaWealth-uPrcelZCqlCgY8Pd
ElQuackity, après avoir chanté une chanson avec eux et Cellbit, est parti en disant que c'était la dernière fois qu'ils pourraient se réunir de cette manière. Il s'est rendu en bâteau dans le restaurant bob l'éponge de la murder party, où une plaque de téléportation l'attendait. Celle-ci l'a emmenné dans une salle d'entrainement secrète, où un oeuf, nommé "Egg A1" l'attendait. Il lui a ouvert la porte, et lui a demandé d'effectuer un parcours au dessus de la lave. Malheureusement, il a échoué son dernier saut, et est mort dans la lave. ElQuackity a ensuite pris une autre plaque de téléportation, l'emmenant dans les bureaux de la fédération. Il a pu faire apparaître une entrée secrète derrière le logo A0, le menant vers le bureau "AB", contenant des super-ordinateurs, dont un affichant ce qui semble être des résultats d'analyse effectué sur des candidats de l'élection (etoiles quackity foolish felps et baghera), dont 50% serait effectué, ainsi qu'une image d'un désert.
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https://clips.twitch.tv/LitigiousAcceptableChickpeaPRChase-TgQTW8YHO5Xv6vmu
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Quelques trucs bien. Septembre 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Prévoir le dernier week-end de septembre au bord de la mer avec mon amie C. Penser que cela peut devenir un rituel de la rentrée ou de la fin de l’été 
Retourner à la médiathèque pour prévenir de la reprise de l’atelier d’écriture dès le mois prochain 
Réussir à finaliser le bilan d’un jeune en opposition. Se satisfaire de peu 
Dormir une nuit entière et se sentir d’attaque de bon matin 
Être invitée à l’anniversaire d’une ancienne collègue de travail comme « personne qui compte »
Être consciente que je ne suis ni l’abbé Pierre, ni Mère Teresa. Me le rappeler au cas où 
Prendre des nouvelles d’une amie inquiète pour la santé de son père. Sentir que je prends soin d’elle en le faisant 
Organiser l’anniversaire de maman à la maison
Bouquiner dans mon lit le matin après une nuit complète et plusieurs autres d’insomnies 
Lire un livre bouleversant d’amour impossible et de poésie salvatrice 
Espérer que ma fille puisse se rapprocher de la maison pour un domicile voisin. Penser qu’elle a toujours eu beaucoup de chance dans la vie et que cette opportunité en est encore une, même si elle n’est plus seule pour prendre les décisions 
Trouver enfin une solution d’organisation pour mettre en place l’atelier de peinture, arts et musées 
Recevoir par courrier deux bouquins : un choisi et un offert par mon amie P. Savourer la lecture par anticipation 
Aller enfin à un vrai rendez-vous, depuis longtemps. Provoquer la rencontre et déjà envisager la prochaine 
Écouter à la radio Fatou Diome parler de créativité de l’écriture et de la liberté d’expression 
Continuer à penser des projets : atelier de peinture, atelier de lecture, etc. Malgré la résistance de mes collègues de l’équipe éducative 
Vivre le retour des insomnies : endormissement et/ou réveil nocturne 
Répondre positivement à un rendez-vous attendu depuis des mois. Rester dans l’expectative : j’y vais, je verrai !, essentiel de la philosophie de l’action 
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aforcedelire · 3 months
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Pour l’amour des dieux, Sarah Underwood
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À Ithaque, 300 ans après les aventures de Pénélope et d’Ulysse, douze jeunes filles sont sacrifiées rituellement pour apaiser la colère de Poséidon. Cette année, Léto, 17 ans, fait partie des marquées. Lorsqu’elle se réveille après son exécution, elle se retrouve sur une île uniquement habitée par une très belle jeune fille, Mélantho. Qui va l’aider à maîtriser ses nouveaux pouvoirs, et qui va lui apprendre qu’il existe un moyen de stopper la malédiction et le massacre d’innocentes : tuer le prince d’Ithaque.
Aloooors j’ai bien aimé. Mais c’était un peu facile par moments, un peu ado par d’autres, et… y’a un triangle amoureux, qui je trouve n’a rien à faire là, est bancale et n’apporte rien à l’histoire. Sinon, c’était intéressant : l’autrice s’inspire de l’Odyssée, en particulier du moment où au retour d’Ulysse les douze servantes de Pénélope sont pendues pour trahison, accessoirement parce qu’elle se sont fait violer (youpi 🥳) par les prétendants. À partir de là, Sarah Underwood tisse une histoire de malédiction sur plusieurs siècles. Ça, c’était plutôt cool (par contre j’ai appris selon une interview depuis retirée d’Internet qu’elle n’a jamais lu l’Odyssée ? c’est chaud), et j’ai aussi bien aimé qu’on aborde le sujet de la violence des hommes (les soldats, les pirates, les rois, les dieux)… mais c’est à peu près tout. Le personnage de Léto est parfois pas super bien écrit, à coup de « c’est l’élue qui nous sauvera toustes », soit elle maîtrise très vite ses pouvoirs et comprend les implications de la prophétie, soit elle est complètement paumée (je vous ai parlé du triangle amoureux qui n’apporte rien à l’histoire ???) et c’est un peu relou. J’ai bien aimé le personnage de Mélantho, par contre, il était tragique à souhait et pas trop trop creux. En soi, c’était une lecture plutôt cool, la fin est plutôt réussie (tragédie grecque à souhait) et je pense que si j’avais lu ça pendant mon adolescence j’aurais vraiment kiffé. Mais je deviens de plus en plus exigeante avec mes lectures, et c’est parfois un peu relou. Pour les amoureuxses de mythologie et de réécritures, ça peut être vraiment génial. Moi j’ai bien aimé, mais je sais déjà que d’ici quelques mois j’aurais potentiellement oublié ma lecture… (en même temps plus d’une centaine de livres par an, pas trop le choix)
10/03/2024 - 11/03/2024
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mmepastel · 1 year
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Quelle snob je suis. J’avais copieusement ignoré Muriel Barbéry en raison du succès de L’élégance du hérisson, l’assimilant à une sorte d’Anna Gavalda…
Heureusement, une amie chère m’a conseillé celui-ci. Vu que je suis en train de regarder avidement La cuisine des maikos sur netflix (j’en reparlerai, c’est sûr), on peut dire que je suis In the mood for Japan. Particulièrement Kyoto, l’ancienne capitale nippone.
Ce livre a été parfait pour moi en ce moment. Un souffle léger mais odorant, une respiration, une gorgée de beauté.
L’héroïne, Rose, alourdie par une mélancolie atavique, arrive à Kyoto pour lire le testament de son père, fraîchement décédé, et qu’elle n’a jamais connu. Sa mère a refusé toute sa vie durant de parler de lui, et a scellé son silence par un suicide.
Complètement déphasée, Rose se réveille chez Huro (feu son père), et rencontre Paul, un belge immigré au Japon, également blessé par l’existence, qui travaillait pour Huro (marchand d’art fortuné et esthète) et était son ami. Il trimballe Rose de temples en cimetière, de gargote en restaurants, et subit sa mauvaise humeur. Car Rose est en colère. A juste quarante ans, elle n’a pas trouvé sa place dans sa vie, exerce la botanique, mais semble dénuée d’ancrage, de connexion à elle-même ; elle est méfiante et pleine de ressentiment pour ce père absent et déstabilisée par le mode de vie japonais.
Mais la magie de Kyoto opère. Le circuit pensé par son père et respecté par Paul lui permet, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte, de ressentir des choses inhabituelles, la beauté, la fragilité des choses. On effleure une vision du Japon à travers ses yeux et ses sens. Pays tourmenté, fondamentalement malheureux, il a choisi de ne vivre que pour la beauté, pour transmuer le malheur en un jardin spirituel, d’intégrer les morts dans leurs vies, de célébrer la nature avant les cendres. La prose de Muriel Barbéry fonctionne par petites touches, dévoile des descriptions poétiques d’un grand raffinement, sans livrer la clé. Les chapitres ce succèdent, précédé d’une anecdote liée aux artistes japonais ou à des légendes anciennes, chaque déplacement de Rose ressemble à un rituel sacré énigmatique.
Au bout du chemin, elle a fait peau neuve, elle peut mourir et renaître, son puzzle intime semble reconstitué.
A l’arrivée, on a un très beau roman, qui rend hommage au mystère japonais (j’ai vraiment eu l’impression qu’ils avaient compris davantage de choses que nous sur le monde), à son savoir silencieux, à sa beauté grave et intense.
A l’arrivée, on a très envie d’aller à Kyoto !
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aboutanancientenquiry · 9 months
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"PRÉSENTATION
La religion des anciens Grecs fait régulièrement l’objet d’introductions et de synthèses. Le présent ouvrage s’en distingue par la réflexion qu’il propose sur la pluralité inhérente à ce système religieux. En effet, la tension entre unité et pluralité, entre général et particulier est constitutive des relations que les Grecs entretenaient avec leurs nombreux dieux. À partir de ce constat, plusieurs questions traversent le livre. Quelle est la pertinence des termes de religion et de polythéisme pour comprendre la Grèce antique ? Doit-on parler de « religion grecque » au singulier ou au pluriel ? Les figures divines se dissolvent-elles dans la variété de leurs cultes jusqu’à en devenir méconnaissables ? Peut-on parler de « croyance » dans ce cadre ? La pratique sacrificielle était-elle strictement locale ou bien fondée sur un arrière-plan partagé par toutes les communautés grecques ? En prenant l’Enquête d’Hérodote comme fil rouge, l’investigation entend rendre justice à un foisonnement de dieux et de rituels, et rendre intelligible la pluralité fluide d’un système complexe, bien loin de l’impression de chaos à laquelle nos propres déterminismes culturels risquent de le réduire.
English summary: The religion of the Ancient Greeks has already been the subject of a whole series of introductions and syntheses whose usefulness is no longer in doubt. The present work differs from them by the reflection it offers on the plurality inherent in this religious system. Indeed, the tension between unity and plurality, between the general and the particular, is constitutive of the relations that the Greeks had with their many gods.
Based on this observation, several questions run through the book: What is the relevance of the terms "religion" and "plurality"? Is there a "polytheism" to understand Ancient Greece? Should we speak of Greek religion in the singular or plural? Do divine figures dissolve in the variety of their cults to the point of becoming unrecognizable? Can we speak of "belief" in this context? Was the sacrificial practice strictly local or was it based on a background shared by all Greek communities? Taking Herodotus' Inquiry as a common thread, the investigation intends to do justice to a profusion of gods and rituals, carefully distinguishing between the fluid plurality of a complex system and the impression of chaos to which our own cultural determinisms risk reducing it.
Vinciane Pirenne-Delforge (born 1963 in Belgium) teaches at the University of Liege and since 2017 has been the Professor of Religion, History and Society in the Ancient Greek World at the College de France. Her main fields of investigation are the ancient Greek religion -particularly its gods and ritual norms-, the functioning of ancient polytheistic systems and the historiography of religions. She has notably published L'Hera de Zeus. Ennemie intime, epouse definitive (2016) and, more recently, Le Polytheisme grec comme objet d'histoire (2018)."
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aurevoirmonty · 9 months
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"En passant, afin d'établir des distinctions plus précises, il est intéressant de mentionner le fait que le monde de la Tradition était également familier avec ce qu'on appelle le 'Chemin de la Main Gauche' — un chemin que j'ai déjà discuté ailleurs (Métaphysique du Sexe, Le Yoga du Pouvoir) : il comprend la transgression de la loi, la destruction et l'expérience orgiastique sous diverses formes, mais en partant d'une orientation positive, sacrée et 'sacrificielle' dirigée vers le 'haut', vers la transcendance de toutes limites. C'est l'opposé de la recherche de sensations violentes simplement parce que l'on est intérieurement brisé et instable, dans une tentative de rester d'une manière ou d'une autre sur ses pieds. Le titre du livre de Wilson, 'Rituel dans l'Obscurité', est des plus appropriés : il évoque presque l'idée de célébrer dans l'obscurité et la pénombre ce qui, dans un contexte différent, aurait pu constituer un rite de transfiguration."
Evola
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pauline-lewis · 6 months
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This is Us, le temps retrouvé
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Parmi les séries que je regarde, il y a celles qui commencent et se terminent, qui sont circonscrites dans le temps, qui occupent une heure de mon temps. Cela ne veut pas dire que je ne les aime pas mais simplement qu’elles sont de l’ordre de la pure fiction, qu’elles sont autres, qu'elles s'éteignent en même temps que la télévision. Et puis il y a les autres, celles qui vivent avec moi. Celles qui font que parfois, quand je cuisine ou que je brode, je me mets à penser à elles. Celles qui lancent entre nous des débats, des débriefs, des conversations impromptues plusieurs heures après avoir vu un épisode. Il y a eu Friday Night Lights et les moments de sagesse de Coach Taylor qui continuent de me guider (Clear eyes, full hearts, can’t lose). Il y a eu Halt and Catch Fire, Cameron et puis Joe — ah, Cameron et Joe —, et mon incapacité encore aujourd’hui à écouter So Far Away de Dire Straits sans avoir envie de pleurer. Et puis il y a eu This is Us — série qui m’a valu des débats sans fin, des conversations imaginaires avec ses personnages, qui a fendillé légèrement la paroi entre la réalité et la fiction. J’ai parfois pensé à Randall, à Kevin, à Jack, à Kate, à William (souvent, j’ai souvent pensé à William), à Rebecca presque comme si je les connaissais et qu’ils pouvaient traverser mon imaginaire pour débarquer dans mon salon, je me suis lancée dans des diatribes contre Toby comme si on avait dû nous-mêmes le supporter à un repas de famille.
Et puis j’ai pleuré, j’ai tellement pleuré devant cette série, j’ai parfois cru que comme dans Alice au Pays des Merveilles j’allais inonder le salon. Il m’est arrivé plus d’une fois de me féliciter d’avoir réussi à me retenir de verser des larmes pendant tout un épisode avant de capituler, à la dernière minute, devant une traitrise des scénaristes (un speech de Kevin, des images de joie simple au ralenti et — ça a marché à tous les coups — l’usage sournois de To Build a Home de The Cinematic Orchestra).
J'aime vivre avec la fiction, la laisser infuser en moi sur le temps long. J'adore retrouver un livre chaque soir dans mon lit, remettre les pieds dans cet autre monde laissé la veille. This is Us a ainsi traversé toutes les saisons avec nous jusqu’à devenir un rituel du week-end, de décembre à décembre, une série regardée avec les chats sur les genoux et une tasse de thé dans la main. Partout où la vie me menait cette série venait faire écho à ma réalité, à mes émotions. Il y a parfois eu des liens étranges, des échos qui multipliaient mes larmes. Quand j’étais particulièrement perdue, un épisode où Kevin explique le sens de la vie à ses nièces m’a remise sur le bon chemin. L’année dernière, j’ai fini mon bilan annuel en citant l’épisode dans lequel William encourage son fils à se laisser aller, à ouvrir ses fenêtres, à moins s’angoisser. Je m’y suis accrochée si souvent par la suite.
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This is us raconte la vie de triplés et évoque au fil de ses six saisons beaucoup de thématiques très différentes : l’adoption, être le seul enfant noir dans une famille blanche, le rapport au corps, l’échec et la réussite, le traumatisme de la guerre, les violences conjugales, la mort, l’amour et le couple, le deuil, le divorce, les addictions, la maladie, et tout ce que nous laissons derrière nous. Mais ce qui m’a le plus touchée dans cette série (et qui m’a fait verser autant de larmes) c’est la manière dont elle parle du temps qui passe. Par son dispositif scénaristique, bien sûr — la série alterne entre l’enfance des triplés et leur présent — mais aussi par la façon très concrète dont elle regarde ses acteurices vieillir.
Il y a, au cœur de son histoire, un deuil formateur qui scinde toutes les existences en deux et l’on peut dire que toute la série montre comment chacun·e essaie de s’en remettre en tentant d’avancer et de laisser le passé être le passé. En archivant la vie de famille par les nombreux flashbacks (et scènes dans lesquelles on voit Jack, le père, filmer ses enfants), la série permet à ses personnages d’arrêter de revenir sans cesse en arrière. Toute la série essaie de nous réconcilier avec la notion de futur. Aller de l’avant cela ne veut pas forcément dire que l’on trahit le passé, que l'on se laisse aller à l'oubli, que l'on fait disparaître nos fantômes.
This is us est aussi une ode à tous ces petits moments, ceux dont Rebecca parle beaucoup dans la dernière saison : ces samedis après-midi à ne rien faire de particulier, simplement à vivre, à être ensemble. Ce sont ces petits instants dont Willam parle lui aussi, en nous disant qu’il faut les attraper, les chérir, qu’ils deviennent plus fragiles avec le temps. Ce sont aussi ceux que Jack évoque avec ses deux fils en leur expliquant qu’il ne faut pas désirer grandir trop vite, que plus on vieillit et plus on veut arrêter le temps. Ces petits instants ce sont aussi ceux que je vivais moi-même en regardant cette série, ces goûters de week-end que nous partageons à deux, blottis l’un contre l’autre, que j’essaie si souvent de garder quelque part dans mon cœur, ces instants tellement ordinaires qu'on oublie parfois de les chérir. Par moment, je trouvais les images que faisaient naître la série si fortes que j’en venais à me réconcilier avec le temps qui passe. Quand Kevin dit à Kate qu’il aimerait arrêter le temps pour que la santé de sa mère ne décline pas, elle lui explique que les bons moments ne pourraient alors plus advenir. Je me suis accrochée à cette idée-là.
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La famille est peut-être le lieu où l’on voit le temps passer avec le plus de clarté puisque tout le monde y vieillit, y grandit, que les dynamiques se modifient sans cesse autour des mois et des années qui défilent. This is Us s’articule autour de la récurrence annuelle de Thanksgiving, de ces moments pendant lesquels toute la famille repense invariablement au père absent tout en faisant vivre sa mémoire. Les fêtes de fin d'année sont pour moi le moment où je songe systématiquement à mes grands-parents, à l’odeur de la cheminée à Concarneau, à celle de la mousse tapissant la crèche à Douarnenez. Noël se configure et se reconfigure aussi autour de celleux qui ne sont plus, autour de celleux qui grandissent et vieillissent. Et ce sont des pensées si fragiles, parfois si sensibles qu’on ne veut pas les laisser grandir en nous. This is Us est venue recueillir toutes ces impressions, leur a donné une forme fictionnelle rassurante ou douloureuse. À plusieurs moments, les morceaux « rapportés » de la famille Pearson s’amusent de leur propension au drama et aux larmes. Mais leurs larmes existent pour que les nôtres puissent enfin couler. Beaucoup de mes pensées sont venues se loger là, dans ces épisodes parfois douloureux, et dans cette façon dont la série prenait au sérieux des angoisses que je n'osais même pas me formuler.
Et puis il y a cet endroit de la fiction où nous commençons à nous regarder nous-mêmes à travers les personnages et qui a été particulièrement évident pour moi avec cette fratrie de trois et cette famille soudée. J’ai souvent pensé à mes big three à moi, à nos propres cris de guerre, à nos enfances et nos conversations d'adultes.
Quand, à la fin de la série, Randall dit à son frère et sa sœur que quand il pense à sa famille, il les voit toujours, elleux et leurs parents, j’y ai retrouvé quelque chose de ma réalité. De doux, de sensible, de précieux, une pensée que j'ai tenue dans mes mains comme un petit feu, comme ces souvenirs fuyants que William nous invite à attraper en faisant des gestes avec ses longs doigts.
This is us est, évidemment, une série sur la famille, sur les souvenirs partagés, sur les petites rivalités et les bonheurs immenses, sur ces liens ordinaires qui deviennent, parfois, avec les bonnes personnes, vraiment extraordinaires.
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whencyclopedfr · 7 months
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Samaritains
Les Samaritains sont une secte religieuse de Juifs vivant près du mont Garizim, à Naplouse, à Hébron, en Cisjordanie. Cette communauté diffère du Judaïsme traditionnel par la déclaration de ses adeptes qu'ils n'acceptent que les cinq livres de Moïse (la Torah), et non les livres des Prophètes ou les textes ultérieurs. Se désignant eux-mêmes comme 'gardiens de la Torah' (shomrei ha-torah), leurs rituels et pratiques sont considérés comme les plus anciens et les plus valides de la tradition juive. Les shomerim hébreux auraient peut-être conduit aux 'Samaritains' latinisés.
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nordiamus · 8 months
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Mon projet du moment!
Renaissance est un light novel de fantasy historique, type isekai/réincarnation. Des mentions de l'univers d'H2S, mon livre de JdR, sont présente, mais il n'est absolument pas nécessaire de le connaître pour lire l'histoire. Tous vos commentaires seront les bienvenus.
Actuellement publié sur l'Atelier des Auteurs!
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swedesinstockholm · 10 months
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4 août
j’ai marché jusqu’à mon ancien appart de la rue de la bûcherie, je sais pas pourquoi je me sens obligée d’y aller à chaque fois, il y a le pèlerinage chantal akerman et il y a le pèlerinage lara de 2013, au bord du suicide comme chantal. peut être que je me sens obligée d’y aller pour me rappeler du chemin parcouru justement, même si j’ai toujours pas l’impression de m’en être sortie, que le chemin parcouru n’est pas si long que ça, que j’ai peut être juste marché jusqu’au bout de la rue, c’est toujours ça. je suis plus la lara de 2013, j’ai donc du parcourir… quelque chose.
en me promenant dans le quartier je me suis rappelé du jour où on m’avait coupé l’électricité parce que j’avais pas fait de nouveau contrat en emménageant, et j’ai de nouveau envisagé la fiction et la troisième personne. me distancer de mon personnage en disant elle. elle était au téléphone avec edf dans la rue. elle a passé la nuit dans un hôtel miteux de st. michel parce qu’on était au mois de janvier et qu’il faisait un froid glacial dans son appartement-cave plongé dans l’obscurité après qu’on lui avait coupé l’électricité. elle n’avait pas d’amis qui pouvaient l’héberger. il y avait bien la fille dont elle était éperdument amoureuse, la fille hétéro qui lui avait fait découvrir qu’elle aimait les filles, mais la dernière fois qu’elle avait passé la nuit chez elle lui avait laissé un souvenir bien trop douloureux pour recommencer l’expérience. etc.
à la librairie du palais de tokyo en attendant que la pluie s’arrête j’ai feuilleté tous les livres de sophie calle et ça m’a donné terriblement envie de jouer avec ma vie de nouveau, comme elle avec ses modes d’emploi, ses rituels, ses espèces de défis, ses filatures, ses échanges avec paul auster, etc. quelqu’un veut bien être le paul auster à ma sophie calle et mes donner des instructions à suivre? quand elle a fait son projet du carnet d’adresses, elle espérait secrètement que ça allait se transformer en histoire d’amour, qu’elle tomberait amoureuse du propriétaire du carnet d’adresses perdu à travers les témoignages des gens contenus dans le carnet et qu’en se rencontrant, il tomberait amoureux d’elle à son tour. finalement quand elle l’a retrouvé il était très fâché contre elle et il lui en voulait terriblement d’avoir mis le nez dans sa vie privée. ça m’a rassurée, un peu, de voir que sophie calle aussi se laissait bercer par ses illusions.
5 août
j’arrêtais pas de penser à john wilson à paris. enfin à sa série. à force de la regarder je voyais tout à travers ses yeux et ça me donnait envie de filmer d’autres choses que d’habitude, à l’horizontale, pour faire les choses sérieusement. dans une interview on lui demande si filmer cette série lui avait plus ou moins fait aimer l’humanité et il dit plus, et malgré ma misanthropie, moi aussi quand je la regarde, elle me donne cet élan d’affection pour les gens et le monde qui me réchauffe le coeur.
en marchant dans une rue très animée qui débouchait sur le centre pompidou un soir, j’ai senti que ça me donnait de l’énergie, toute cette agitation, c’était vivifiant comme une promenade au vent sur la plage, ça m’a fait le même effet, mais en plus submergeant, parce que sur la plage y a moins de choses à regarder. là y avait trop de choses à regarder, je sais pas ce qu’il s’est passé, ça m'a grisée, c'était comme une grosse vague qui me tombe dessus. je me prenais tout comme une énorme vague qui me passait par dessus la tête. peut être que finalement c’était plus comme une baignade dans les vagues que comme une promenade venteuse sur le plage, et les vagues c’était les gens sur les terrasses et les trottoirs et les bribes de conversation que j’attrapais et les vitrines et les couleurs et les odeurs des restaurants et des magasins qui débordaient sur la rue.
ça s’est reproduit hier dans le 10e, quand je suis arrivée dans la rue avec la porte st. martin au bout. ça s’est beaucoup gentrifié depuis que j. y habitait il y a dix ans mais ça reste très mélangé. ça bourdonnait de partout et je me suis sentie tellement submergée de nouveau que je me suis arrêtée sur le trottoir pout absorber. sur le trottoir d'en face, un type qui prenait sa pause clope absorbait la rue lui aussi, en plus de sa cigarette. ça m’a rappelé quand r. s’était arrêté au milieu du carrefour alsacien pour absorber le paysage et que le feu rouge était passé au moins six fois au vert avant qu'on se décide à traverser. maintenant que j'y repense je me demande s’il fait ça souvent, ou si c'était juste pour m’impressionner.
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bonheurportatif · 1 year
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Quelques trucs bien en décembre
1er décembre Laisser le téléphone faire son boulot de répondeur Mettre la main sur un câble HDMI Rétablir un atelier qui tanguait 2 décembre Refuser de collaborer à un jeu de dupes Faire du calcul mental Jouer au fact-checker 3 décembre Manger au resto avec les filles Croiser un couple d'amis et rigoler un peu Commettre un court texte profanatoire
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4 décembre Remonter des rives inexplorées de la Charente Passer enfin un coup de fil à sa mère Trouver une idée de cadeau pour sa benjamine 5 décembre Voir les premiers givres sur les toits de la ville Acheter une guitare Manger une mousse au chocolat 6 décembre Écrire un monovocalisme en e pour l'atelier du soir Prendre ses marques pour une autre longue série d'ateliers à venir Faire une commande groupée de calendriers annuels 7 décembre Marcher sur la plage Ramasser des nacres Décider de garder les filles au chaud 8 décembre Dormir une petite heure de plus Manger tout seul au resto Arriver enfin à se connecter à un des réseaux du campus 9 décembre Attendre un vieil ami sur le quai de la petite gare Se promener ensemble sur la plage, légers, et dans le vent froid. Croquer par jeu dans une olive cueillie sur l'arbre et amuser ses compagnons 10 décembre Écarter les mauvaises pinces à linge des bonnes pinces à linge Recevoir d'un ami le catalogue de l'expo Édouard Levé Recevoir un mail inattendu de São Paulo 11 décembre Nourrir une grande tablée de grands enfants Avoir envie de relire Catherine Meurisse Être tout seul sur la route des marais 12 décembre Provoquer le rire de sa fille dès le matin (et encore à midi) (et le soir en lui montrant qu'il neige) Marcher à la fois dans le sable et dans la neige Être comme un enfant
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13 décembre Recevoir ses calendriers Plein Temps Libre et passer les récupérer à la Coop S'offrir un bounty par la même occasion et trouver un chouette bouquin dans la poubelle en jetant l'emballage 14 décembre Au lever, dans la maison silencieuse, entendre très distinctement le ressac Repartir de l'atelier avec un sac de bûches cadeau Reprendre le chemin de la salle de sport 15 décembre Régler enfin le problème de phare défaillant Prendre un café avec une sérigraphe sympa Manger des chouquettes avec les étudiants 16 décembre Régler le problème de chasse d'eau Venir à bout d'une tuyauterie récalcitrante Fermer et purger le robinet extérieur 17 décembre Livrer un congélateur en express, sans aucun contretemps Retrouver par hasard sa chérie dans les rues de la ville et finir la promenade avec elle Prendre un goûter en famille, avec chocolat chaud et nounours à la guimauve 18 décembre Déjeuner sur le pouce, à même le plat Faire du sport dans une salle vide à l'heure de la finale de foot Réussir une plutôt bonne carbonara 19 décembre Revenir sur ses lectures de l'année Trouver une grosse enveloppe à bulles à son nom dans la boîte aux lettres Recevoir une photo de Marcel Proust signée par Éric Chevillard
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20 décembre Se faire porter son café au lit Échanger trois mots avec Mme-Patate Faire une tournée comparative des bûches artisanales locales avec sa chérie 21 décembre Profiter seul de quelques scènes du premier matin de l'hiver : un lever de soleil rose, l'approche d'un piaf pour becqueter les boulettes... Recevoir deux fois plus de livres en cadeau que ce qu'on avait commandés Faire, au débotté, une virée familiale au restaurant 22 décembre Aider son fils à mettre en page son journal étudiant Poursuivre une lecture très, très stimulante Se coucher moins enrhumé que ce matin 23 décembre Se réveiller deux bonnes heures avant toute la maisonnée Prendre tous les raccourcis pour entrer et sortir de la zone commerciale S'amuser du récit de la vie du sociologue taciturne 24 décembre In extremis, décorer et illuminer le sapin Faire les derniers cadeaux avant le rush Faire danser sa sœur
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25 décembre Se réveiller avant tout le monde et disposer de quelques minutes pour un café en amoureux Retrouver le rituel familial du brunch de Noël S'arrêter sur chaque case et chaque planche du dernier livre de Blutch 26 décembre Balancer verre, carton et tout-venant à la déchetterie Laver et faire réviser la voiture Faire un mini-sac pour le séjour à venir 27 décembre Prendre la route à l'horaire souhaité Arriver plus tôt que prévu Avoir une place de parking surprise incluse dans la location 28 décembre Régler le problème de réseau en itinérance Regarder défiler une ville que l'on ne connaît pas depuis un métro que l'on ne connaît pas Réussir des pizzas dans un four qu'on ne connaît pas 29 décembre Remonter le fleuve à pied jusqu'au pont-transbordeur Retrouver des amis en vacances Acheter des cahiers à la réglure originale, sans savoir ce qu'on va en faire 30 décembre Pique-niquer face aux vagues et rouleaux Dire ses premiers mots en basque S'offrir une séance de sport improvisée 31 décembre Augmenter d'une unité sa collection de traductions de La Vie mode d'emploi Assister à des vrais feux d'artifices tirés de partout en ville Et boucler une année de notes de trucs bien quotidiens
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Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre. > Quelques trucs bien en novembre.
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claudehenrion · 1 year
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Dissertation sur un drame sans fin…
 En rassemblant plein de souvenirs pour raconter ou rappeler, la semaine dernière, les trois erreurs impardonnables que l'Occident s'entête à commettre et à répéter en permanence sans, bien sûr, le moindre espoir de “bénéfice” pour qui que ce soit, une erreur de plus est venue à la surface, au moins “aussi pire” que les autres : se tromper à répétition n'a jamais contribué à faire éclater la vérité… L’autre titre que j'envisageais pour cet éditorial était “Dissertation sur les causes réelles de l'un des grands drames qui menacent le futur de l'humanité”. Trop “clivant’‘ ; j'ai raccourci…
Ces ’'causes réelles”, qui sont si complexes et si difficiles à expliquer tiennent à la tendance qu'ont les occidentaux de mettre les récits des “livres Saints” sur un pied d'égalité, en ce qui concerne leur véracité (sans doute sont-elles dues à la passion des français pour l'égalitarisme, par système !, même si l'expérience montre bien que, indépendamment de tout contenu dogmatique ou rituel, une telle équation “ne tient pas la route’' : à en croire les historiens. Or force est de constater que, autant ce que rapporte la Bible est, en gros, exact (ce qui est de plus en plus vérifié par toutes les découvertes récentes (cf. n/ édito n°1330 – ’'La Bible et la science”, daté du 2/12/2020), autant les récits que l'on trouve dans le Coran sont assez souvent approximatifs, au point de rendre impossible toute approche historique, et il est certain que l’islam a donné une autre issue que nous à la querelle  science / foi….
Retour sur images : on peut tenter un parallèle osé entre les manières dont l'Occident traite deux sujets d'inquiétude récents de leurs mandants/électeurs –qui devraient être en droit d'attendre exactement le contraire de toutes ces non-solutions ramassées dans des catalogues de réponses mauvaises– : l'attaque de notre civilisation par un islam en rupture avec l'humanité, d'une part, et “ce qu'ils ont fait du covid”, de l'autre… “Des mauvaises solutions à Islam et au covid” serait un autre titre valable pour cet éditorial……Dit comme ça, ça a l'air idiot… mais je pense que, argumenté, on peut en tirer des leçons et faire jaillir une petite lumière.
Sortant de l'effroyable période du covid, il n'est pas indécent de se demander si la créativité et les libertés prises avec la vérité historique démontrée ne remettrait pas en cause (pour partie, au moins), le récit officiel relatif au covid. Nous avons payé cher pour avoir écouté ces politicards qui nous ont tant menti, tant contraints, tant  désinformés… et se sont se sont bien foutu de notre gueule, pour rester poli ! Or, mutatis mutandis bien évidemment, le récit ‘’arabe’’ traditionnel peut donner l'impression d'être difficilement compréhensible et si approximatif qu'il est autorise, en quelque sorte, à mettre très sagement en doute tout narratif issu de ces sources.
L'ensemble du récit traditionnel des origines n’est bien sûr pas à rejeter a priori, par principe, ce serait faire comme “eux’' : attaquer les messagers sur des non-sujets connexes,  pour ne pas avoir à se confronter aux messages, et parler de ’'bien/mal” subjectifs au lieu de “vrai/faux” objectifs ! Cependant, il n’est pas déplacé de dire que le récit islamique est considéré par pratiquement toutes les sources non-exclusivement internes comme un scénario, comme une hypothèse parmi toutes celles que formulent les chercheurs pour expliquer différents éléments relatifs aux origines de l’islam –sources scripturaires, traditions, vestiges, artefacts divers, etc.. selon les bonnes vieilles règles de la méthode scientifique : on formule des hypothèses et des scénarios possibles à confronter aux données disponibles.
Un exemple, cité par l'historien Stephen J Shoemaker, spécialiste de l’histoire et l’historiographie des débuts de l’islam : Mahomet lui-même, réputé mort en 632, aurait participé aux premières batailles de la Conquête, comme le suggèrent de nombreuses sources contemporaines de ces événements, datées de 691 à 741 (liste disponible, en cas de doute !) De très nombreux textes affirment, chacun à sa façon, que “le Prophète Muhammad était encore vivant en 634, et qu’il dirigea les premières incursions arabes hors d’Arabie (’le Prophète est apparu avec les Saracènes” ou “Muhammad dirigea lui-même les incursions contre les Perses”.  Il ajoute que la “Sira’' (= la biographie de Mahomet) ne donne qu'une image du Prophète idéalisée par les musulmans de ce temps-là, ce que confirme Hocine Kerzazi, Docteur en sociologie des religions, dans Islamo-diversion (L'Harmattan, 2021) et dans Origines de l’islam : le déni musulman. Cet historien musulman explique que (je cite) : ’'La confrontation du récit traditionnel à ces données invalide globalement ce qu'on désigne par  ’'l’hypothèse musulmane”, qui se révèle incapable de rendre compte de l’ensemble du dossier historique, à ce moment.’’.
Et la recherche historique fait sans cesse des découvertes nouvelles… qui invalident chaque jour davantage le substrat de la tradition musulmane… dont les grandes lignes prévalaient, il y a peu de temps encore, dans certains milieux scientifiques. Cette évolution remet en mémoire les reproches que formulait déjà le grand Ibn Khaldoun, dans l’introduction de ses Prolégomènes (1377), contre les “historiens” musulmans. Cela pourrait n'être qu'un “détail de l'Histoire”, une religion ayant peu de raisons ni vocation de jouer les historiens. Mais hélas, il n'en est rien, car l'islam, contrairement au judaïsme (un peu) et aux christianismes (totalement) n'est pas une “religion”, nous l'avons montré récemment, mais un mode de vie dont il est interdit de mettre en doute l’emplacement d une virgule (les “croyants” de stricte obédience disent que le Coran ne pouvant être traduit (écrit en arabe –pour eux “la langue que parle Allah”), Il ne peut être lu que dans le langage arabe).
Ce double déni permet, d'un côté que soient contesté l'enseignement de toute vérité historique chronologiquement démontrée… ce qui débouche, logiquement, sur l'atroce assassinat de Samuel Pati –qui ne sera vraisemblablement pas le dernier, hélas : entre ce qu'affirme le Coran et ce que démontre la “science des hommes”, le croyant ne doit pas hésiter : c'est le Livre Saint qui a raison. D'où une des difficultés majeures que rencontrent nos enseignants : ils énoncent des faits vérifiés, expliqués et contrôlés… et un élève de 10 ans se lève et affirme, en étant sûr d'avoir raison, que c'est faux. Le Livre dit que Mahomet est mort en 632… et plein de preuves démontrent que ce n'est  sans doute pas exact ? Une seule réponse : Il est mort en 632, point final… ce qui devient grave si on se souvient que pour plus de 57 % des jeunes musulmans vivant en France (nés ou immigrants, français ou pas) la Charia'a a raison contre les Lois de la République (sondages multiples faits par IFop pour le Point)… Il y a vraiment de quoi se faire du souci.
Un autre résultat, encore plus grave, puisqu'il fait vivre le Monde en état de guerre permanente depuis 1946, nous renvoie à la phrase “Jérusalem, troisième lieu Saint de l'Islam”, sujet, raison d'être et version moderne d'une “guerre de 100 ans” en cours entre Israël et le monde arabe, et de l’“exportation” de ce conflit en termes politiques, humains et terroristes dans le monde entier. Nous en parlons souvent, car c'est sans doute une des sources majeures de l'instabilité actuelle du monde.
La tradition musulmane dit que “Al Qods” (= la Sainte, nom arabe de Jérusalem) est “la troisième ville Sainte de l'islam”, après La Mecque et Médine, puisque la sourate 17, ’'al-Isra’' (= le Voyage Nocturne), dit : “Gloire à celui qui a fait voyager de nuit son serviteur de la Mosquée sacrée (la Mecque) à la Mosquée très éloignée”, sans que le Coran ne cite le nom de Jérusalem. Même si les traditions associent ce lieu à ce texte coranique et si les exégètes musulmans reconnaissent à l'unanimité le Mont du Temple dans l’expression “la mosquée la plus éloignée”….. bien des lectures proposent d'autres “Mosquées lointaines” possibles. Jérusalem comme étant le lieu du voyage nocturne, apparaît à la fin du Ier siècle de l'Hégire, sans doute inspirée par l'existence de ce temple immense dont le souvenir avait frappé des peuples bédouins, habitués aux habitats “légers” des peuples nomades.
Tenu compte de ce que nous savons sur les approximations et les à-peu-près qui caractérisent l'histoire musulmane, il n'est pas indécent de se demander si le terme du voyage nocturne de Mahomet a bien été Jérusalem…  Cette seule hypothèse –sur laquelle je ne me prononce évidemment pas, ne “cochant aucune des cases” nécessaires pour le faire : je ne fait que mentionner une idée qui circule et “est dans l'air du temps”– donne le vertige : tant de larmes, de haine, de violence, pour une incertitude ? Mais la rigueur scientifique a du bon, à condition qu'elle soit partagée !
H-Cl.
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