Tumgik
#pas de maillot de bain
philoursmars · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52825 photos
2010. La fin d’été en Auvergne, à Vichel. Dans les environs : 
- Issoire
- le reste : baignade dans l’Allagnon, sous les ruines du Château de Léotoing.
3 notes · View notes
perduedansmatete · 1 month
Text
deuil national le papy qui me fait des crêpes tous les étés depuis que je suis enfant dans sa petite cabane juste en face de l'océan vient de dire à ma mamie qu'il arrêtait cette année et qu'il redonnait la main à son neveu et même plus dans la petite cabane mais dans un préfabriqué... je savais que ça allait arriver un jour mais comment dire... c'est donc ça vieillir ? perdre tous les petits bonheurs qu'on croyait éternels ? j'étais déjà si triste quand il a perdu sa femme et j'ai peur de ne plus jamais le revoir, puis c'est lui qui faisait les meilleures crêpes de la cabane, fines, moelleuses, croustillantes juste comme il faut, beurrées et salées à la perfection, on s'attendait tout le temps avec mes amies pour prendre nos crêpes après la baignade, courant en serviette pieds nus sur les épines de pins, des algues coincées dans nos maillots de bain ou dans notre cou, il demandait toujours de nos nouvelles, espérait qu'on restait tout l'été, je me souviens aussi que quand mon papy est parti les parents de mes amies nous avaient emmené voir l'océan pour nous changer les idées, il y avait beaucoup de vent en ce jour d'août, il ne faisait vraiment pas beau mais lui il était dans sa cabane, il nous a mis la plus grosse dose de nutella qu'il ne nous avait jamais mis (on lui en demandait toujours beaucoup et il nous en mettait toujours plus qu'aux autres) bref je l'aime et mon cœur se brise un peu (beaucoup) de savoir que c'est fini (il a intérêt à passer nous faire coucou de temps en temps)
21 notes · View notes
naturallyadventured · 2 months
Text
Tumblr media
delphinemarieyoga
I LOVE MYSELF 12/21 Aujourd'hui, j'avais envie de vous parler du rapport à la nudité ✨. Pfiou gros chapitre pour moi. La nudité c'était impossible pour moi pendant très très longtemps. A cause de mon éducation, je n'ai jamais vu de corps nu d'adulte étant enfant, mais aussi à cause de mon rapport avec mon corps, qui était loin des normes attendues par la société. Je fuyais les miroirs, je me cachais sans cesse, je me regardais (trop) peu même sous la douche. Et cela a participé au désamour de mon corps pendant de longues années. Je voyais bien que ma conception de la nudité n'était pas "saine". Mes copines avaient un rapport si différent et plus libéré avec cela. Et puis j'ai rencontré mon chéri qui m'a beaucoup bousculée sur le sujet, en m'entourant de bienveillance et d'amour. En me répétant que mon corps était beau et qu'il n'y avait pas de honte à le montrer. C'est resté très compliqué, même si cela a évolué doucement. Je crois que le déclic a été ma grossesse et la naissance de mon fils. Je n'avais plus envie de me cacher. J'avais envie que lui puisse me voir complètement, sans filtre, comme la vie l'est. Qu'il n'intègre pas ces traumatismes qui me sont propres. J'avais aussi envie de lui montrer que c'est normal, que tous les corps sont beaux et différents, qu'il n'y a rien de bizarre ou de sale, car oui c'est ce que j'ai longtemps ressenti. Alors aujourd'hui je ne me cache plus pour m'habiller, je m'autorise à me balader nue chez moi quand j'en ai envie, à sortir de la salle de bain sans serviette, à plonger nue dans l'océan (ou à retirer le maillot au large si je suis en France 🤣), à dévoiler ma poitrine. Ca fait un bien fou! Et cela fait clairement partie de mon chemin d'acceptation! Et vous, dites moi, il est comment votre rapport à la nudité?
22 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 132
Emma WE à la baule Hôtel Casino l'Hermitage
L'absence suivante de Marc, Emma s'est payé les services de son Escort boy préféré (c'est à dire moi).
Je suis passé la chercher dans mon nouveau bolide. Trop bonne cette caisse ! Elle m'avait juste dis de faire un bagage bord de mer pour 4 jours. Donc, draps de bain et maillots, chemisettes, polos et bermudas, baskets, lunettes de soleil et graisse à traire (je commence à être suffisamment bronzé pour tenter ça). Je n'oublie pas mon oreille et décide du diamant qui rend mieux sur mon cou bronzé actuellement que le rubis.
Elle est en robe d'été très légère. Petit bagage dans le coffre et nous voila parti direction Nantes. Je suis ses explications au fur et à mesure. Saint Nazaire, passage par la cote : Saint Marc où Tati a tourné les vacances de monsieur Hulot, Pornichet jusqu'à La Baule et destination hôtel de l'Hermitage où elle avait réservé une suite. Après avoir fait déposer nos bagages, nous avons déambulé dans l'hôtel pour repérer restaurants et salle de sport (2 piscines et une salle de muscu / training).
Nous avons croisé quelques " mères " avec leur fils et quelques hommes accompagnés de " neveux ". Pour nous c'est très clair et nous ne nous en cachons pas. Je la tiens par la taille sans équivoque quand à nos relations. Nous avons le temps pour un bain avant le dîner. Retour à la chambre ou nos sacs avaient été défaits et nos affaire rangées dans le placard. Alors que nous nous déshabillons pour enfiler nos maillots de bain, je ne peux résister à la vue de son corps encore parfait, en contre jour. Je suis nu aussi et je me colle dans son dos. Mes mains faisant le tour de son corps pour aller épouser le galbe de ses seins. Elle est plus petite que moi quoique grande pour une femme (1m75). Ma bite dressée contre mes abdos glisse dans le haut de ses fesses (elle a de très grandes jambes) et je masse doucement la peau satinée de ses tétons. Sa respiration raccourcit et ses tétons gonflent et se dressent. Je plie les jambes et passe ma queue entre ses cuisses, mon gland vient alors frotter les lèvres qui protègent son sexe. Doucement je pousse sur ses épaules et la pousse en avant. En même temps, son bassin bascule et bite vient tout naturellement s'enfoncer dans son vagin. Elle est brûlante ! Je la plie un peu plus, elle prend appui sur la table basse et je peux saisir ses hanches pour un assaut en règle. Alors que je la lime sur toute ma longueur, faisant en sorte qu'elle apprécie mes va et vient par une variation de vitesse et d'angle de pénétration, mes pouces écartaient ses fesses et sa rosette m'apparait. Je laissais couler un filet de salive juste dessus et utilisais mes pouces pour la faire entrer. Je suis tout luisant de son lubrifiant naturel, je sors complètement, pose mon gland au dessus sur l'anus et attend qu'elle me demande d'y aller. Emma n'attend pas et recule brusquement. Elle s'empale d'elle-même sur mon sexe. Je la laisse faire et elle continu jusqu'à me prendre en entier. Je reprends les commandes et démarre une sodomie puissante. Elle a beau s'accrocher à la table, mes coups de rein la soulèvent à chaque coup. Elle me masse à coup de contractions anales et alors que je cherche à sortir pour juter, elle me serre en elle et j'explose. Mes mains sur ses épaules la plante le plus possible sur mon pieu.
Douche, maillots, peignoirs et nous descendons à la piscine extérieure. Je n'avais pas fait attention mais elle est d'eau de mer. Agréable le petit goût salé.
Quand nous quittons nos peignoirs, nous sommes admirés. Bon je ne suis pas trop mal fait mais Emma pourrait n'avoir que 30ans tellement elle est svelte et bien faite. Je fais le tour du bassin avec les yeux, pas de concurrence possible, les vieux sont vieux et les plus jeunes ressemblent à ce qu'ils sont, des gigolos. Un seul sort du lot, dans mes âges, brun, assez musclé, rasé, qui accompagne un des plus vieux en présence. Nos regards se croisent, je suis sûr de le retrouver à la salle de gym plus tard.
Le bassin est quasi vide. Nos plongeons sont parfaits et cote à cote nous crawlons une bonne demi-heure.
Après quelques instants couchés sur des méridiennes, je vois approcher le jeune brun. Il me demande si je ne l'accompagnerais pas à la salle de muscu/training histoire de ne pas être seul. Il me le demande car à ce qu'il voit je suis probablement le seul à être intéressé. En plus de son physique avantageux, je note de superbes yeux verts.
Il est encore tôt (dans l'après midi), je me lève et dépose un baiser sur les lèvres d'Emma qui me glisse tout bas que je n'ai pas de kpote sur moi. Je la regarde comme si ce qu'elle me disait était incongru puis éclate de rire.
Présentations, Sasha, Franck. Je suis mon nouvel ami. Dans les couloirs je peux admirer ses fesses admirablement moulée par le slip de bain, rondes musclé comme j'aime ! Il me demande si je suis avec ma femme. Je réponds que comme lui je suis au travail. Il s'arrête ne comprenant visiblement pas. Je précise, bien oui, je suis Escort, Emma est une cliente. Il éclate de rire et me dit qu'il est lui avec son grand père. Je lui réponds que c'est exactement ce que disent tous les gigolos. Il finit par me convaincre que pour lui c'est réellement le cas.
A la salle de sport, nous discutons entre les exercices. J'apprends qu'il vient d'avoir son BAC et que le séjour à l'hôtel est un cadeau pour sa mention bien. Je le félicite. Il fait de l'aviron, ce qui explique qu'il affiche un volume musculaire supérieur à celui des jeunes de son âge. Nous enchainons le travail des pecs avec celui des bras puis après s'être admirés dans les glaces, touchés un peu pour vérifier respectivement nos muscles (et uniquement pour cela bien sur !), nous sommes remontés sur la terrasse. Quand je rejoignais Emma, je lui faisais part de l'invitation à la table du vieux et de son petit fils pour le soir même. Je lui précisais que nous n'avions pas eu besoin de kpote puisque nous ne nous étions qu'entrainés.
L'image de Franck est dans ma tête quand nous rentrons à notre chambre. La porte passée, quand je déroule la serviette que j'avais autour des reins, Emma voit que je bande. Je la pousse sur le lit et après lui avoir arraché le maillot, la pénètre un peu à la hussarde. Elle est chaude et lubrifiée. Le soleil ou ma présence ?? Je ne me pose pas la question sur le moment et elle profite de mon excitation sur Franck. Je fais quand même attention à ce qu'elle trouve aussi son plaisir.
J'avais mis dans mes bagages au dernier moment un pantalon blanc et quelques polos de marque. Ils suffiront pour la soirée.
Nous retrouvons Franck et son grand père pour un apéritif sur la terrasse. Présentations, Le vieux nous sourit avec un oeil complice et me remercie de distraire son petit fils qui commençait à se morfondre à ses cotés malgré les nombreuses fois où il l'avait enjoint à aller sortir avec ceux de son âge. Le vieux est plein d'humour et nous passons une bon moment tous les quatre.
Il est 23h passé quand le vieux propose à Emma de l'escorter au Casino et se tournant vers nous, nous dit d'aller de notre coté, si Emma est d'accord bien sur. Avec sa bénédiction, nous les quittons non sans que j'ai remarqué que Franck recevais un paquet de billet de son grand père. Nous avons fait un détour par notre suite pour que je me munisse aussi de numéraire (et de kpotes) et nous voilà partis à pieds vers le centre de La Baule. Le temps que nous y arrivions, j'ai presque tout su de la vie de Franck, fils unique lui aussi, peu d'amis, pas de copine, à son ton j'ai cru deviner qu'il n'en avait même jamais eu (de copine à baiser).
1ère étape dans un bar face à la plage. Il m'offre la boisson, alcoolisée. Après avoir vidé son verre, il trouve le courage de me questionner sur Emma. J'ai droit à un " mais heu..., tu la sautes ? " Bien sur, c'est même la raison principale de ma présence à ses cotés. Je lui explique aussi que c'est le cas de quelques jeunes qui accompagnent les vieux dans notre hôtel. Il est stupéfait, il n'y avait pas pensé. Je lui demande s'il l'a déjà fait. Je n'ai pas besoin de préciser quoi, il me répond " non pas encore ". Son bronzage et la lumière basse m'empêche de voir s'il rougit mais j'en suis presque sûr. Je lui propose d'aller en boite. Nous regagnons l'hôtel et demandons à l'accueil les adresses du coin. Il nous propose l'Indiana, la boite du casino qui est sur place mais je préfère nous éloigner. Nous nous décidons pour une boite en extérieur. Je vais chercher la voiture. Sifflements d'admiration quand je m'arrête devant Franck. Il manque de se prendre la portière dans le menton quand cette dernière s'ouvre (fixation mouette) puis se coule à mes cotés. Il a les yeux grands ouverts quand je démarre de façon peu discrète. Il est séduit par la caisse (j'aurais préféré par moi !) et me demande de faire un tour. Il est tard, sur semaine, il y a peu de risque que nous tombions sur la gendarmerie. Je décide d'aller sur Nantes. Aller par la 4 voies pour montrer à Franck le potentiel de la voiture (j'ai été raisonnable 220 Km/h seulement) mais il est scotché au baquet par les accélérations. Retour par la côte. Je m'arrête en surplomb de la mer et je sors de la voiture pour admirer la mer sous la lune. Il me suit et se met à ma droite. Sans rien dire, je passe mon bras sur ses épaules pas plus. Il ne le repousse pas et même j'ai l'impression qu'il se colle à moi. Je tourne mon visage vers lui pour parler quand il fait de même et nos lèvres se touchent. Il se fige comme si le monde s'était arrêté de tourner. J'entrouvre ma bouche et ma langue sort lécher ses lèvres. Il reste sans bouger. Je m'enhardi et l'insinue jusqu'à buter sur ses dents. Ses yeux grand ouverts me regardent fixement. Ma langue insiste et il entrouvre sa mâchoire. Aussitôt j'en profite et ma langue entre en contact avec la sienne. Effet reflexe ou chimique (salives) mais il se décrispe et vient au devant de ma pelle. Il passe son bras autour de mon cou et dans la lumière des phares, nous nous embrassons gentiment. Je le laisse faire, il m'embrasse ainsi un bon moment avant de se reculer. Il me regarde droit dans les yeux et me dit qu'il avait super aimé cela. Je l'attire alors vers moi et lui roule une pelle de mec, exigeante, violente, agressive. Il répond sur le même registre. Nous nous décollons et il me dit qu'il aime toujours ça. Puis il se souvient que je suis venu avec Emma et me demande ce qu'il en est. Je lui dit que je suis bi tendance homo. Ça le fait rire le distinguo.
Collés l'un contre l'autre, nous ne pouvons pas ne pas remarquer que nous bandons tous les deux comme des taureaux. Je m'écarte et lui prend le sexe en main par dessus son jeans. Beau morceau probablement 18 x 6 (il m'a l'air assez large). Il empoigne sans chichi la mienne. Je me penche vers lui et lui demande s'il veut que nous allions plus loin dès ce soir. Réponse positive. Pas possible de faire ça sur place ni dans la voiture. Je pense à la salle de muscu qui doit être vide à cette heure. Retour direct, voiture au parking, nous nous glissons dans les couloirs pour atteindre notre objectif. Porte verrouillée, merde ! cela n'arrêt pas mon Franck qui armé d'une carte téléphonique débloque le penne. Je lui fais part de mon admiration. Réponse : comme Louis XVI il aime bien la serrurerie ! (il me cache des trucs). Il fait nuit mais les baies vitrées donne de une clarté blafarde.par derrière les rideaux à lamelles. Franck se rapproche de moi et sa bouche avide colle la mienne. Sa langue me pénètre et la mienne vient au contact. Chaud, très chaud. Les polos valsent et les pantalons suivent. Ses slips ne tardent pas et nos peaux se collent. Pas d'expériences le petit mais pas de tabou et pas farouche pour autant ! Il me masturbe et je fais de même. Maladroitement il tente de me sucer. Pour une première c'est pas génial je sens les dents, pas de profondeur... je me recule et lui dis de me laisser faire. Sa bite est bien large et je ne m'étais pas trompé sur sa longueur. Délicatement je suce son gland, il sur-réagit et je dois bloquer immédiatement la montée de sève. Cela fait j'enfonce sa bite dans ma bouche et il sent bien quand son gland passe de l'autre coté, dans ma gorge. Il me dit qu'il kiffe trop ça. Je me redresse et il se jette sur mon sexe pour me faire pareil. C'est mieux que la première fois, je ne sens plus les dents mais il hoquette à chaque fois qu'il en prend trop en bouche. il est un peu déçu de ne pas me rendre les même sensations (c'est mignon les puceaux quand même !). Je lui dit que ce soir c'est moi qui m'occupe de lui. Je le pousse à se coucher sur un banc de muscu et le reprend en bouche. j'y vais doucement. Je glisse sur ses couilles un peu trop velues à mon goût et alors que je lui relève les jambes, lèche le périnée jusqu'à son anus. Bref mouvement de recul qui cesse dès que ma langue se met à jouer sur les plis.
De lui même il met ses mains sous ses genoux pour les tirer vers lui et m'offrir encore plus son intimité. Je me régale, salive, pousse avec ma langue, la pointe au centre, pénètre quelques millimètres, recommence jusqu'à pouvoir lui mettre un doigt. Il manque de me juter dessus et stoppe lui même son éjaculation (grande pratique de la masturbation). Quand j'arrive à lui mettre deux doigts plein de salive, je me redresse et à son oreille lui demande s'il veut que je l'encule. Excité par mes deux doigts qui jouent dans son fondement, il accepte puis me demande si ça va faire mal. Je le rassure, ouvre une pochette de gel et lui en fait rentrer le plus possible dans son trou, avec un troisième doigts qui passe bien. J'enjambe le banc et ses chevilles sur mes épaules, je me penche pour lui rouler un patin. Ça tire ses cuisses et ouvre bien sa rosette. Je pose mon gland enkpoté dessus et très doucement pousse. Son anus glissant s'ouvre mais je dois quand même appuyer plus fort pour le passer en entier. Je ne bouge plus. J'ai senti Franck un peu sur la défensive. Je lui propose de cesser là. il refuse me disant que nous allons jusqu'au bout.
Je me redresse un peu, prend ses cuisses à pleines mains et doucement les tire vers moi. Cm par cm ma bite pénètre ce beau mec. Il me regarde fixement dans les yeux et je vois le moment ou la douleur se mue ne plaisir. je n'ai le temps que de faire trois aller et retour qu'il ne peut se retenir et se jute dessus. Je me retire, les premières fois quand on a juté, l'excitation tombe et la sodo peut devenir douloureuse. Pas la peine qu'il connaisse cela. Comme il a vu que je n'avais pas joui, il se penche pour recommencer sa pipe. Son action plus la vue de son dos musclé et de son cul rond, je jute à mon tour lui inondant le dos de mon sperme.
Douche rapide, nous arrivons 1/2h avant la fermeture de l'Indiana. Sur la piste la fatigue s'est estompée et notre complicité est totale. Nous nous faisons draguer par deux minettes bien roulées et pas farouches. Elles n'hésitent pas à nous offrir un verre et nous explique rapidement qu'elles sont en vacances (on s'en serait douté !) seules dans la maison de leur grand mère. Je pousse Franck du coude et lui dis que ce serait un bon plan pour qu'il goûte à la meuf. Elles sont mignonnes et prête à se laisser faire. Je note téléphone et adresse et c'est Franck qui leur dit que nous les appelons vers midi. Je le raccompagne à sa chambre et m'aperçois qu'elle est totalement indépendante de la suite de son grand père. Va falloir qu'il explique pourquoi nous n'y sommes pas aller tout à l'heure.
Quand je rejoint notre suite, je trouve Emma endormie nue en travers du lit. Je ne peux m'empêcher de lui passer la langue dans le dos de sa nuque à son anus. Cela lui arrache un frisson mais ne la réveille pas. Je me pose à ses cotés et m'endors.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
31 notes · View notes
Text
Tumblr media
Et oui, faut pas rêver.....!!!
Le lundi, remets-toi vite au sport et de rêve sera ton corps !!!
Allez, hop.......c'est parti pour une série d'abdos....dips....pompes....barres...oui...oui...on continue et on lâche rien....on pense au maillot de bain !!!
#au-jardin-de-mon-coeur
18 notes · View notes
lesdamesmures · 3 months
Text
Tumblr media
Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes. 
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques. 
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait. 
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager. 
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule. 
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou  en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
10 notes · View notes
ralhiel · 9 months
Text
Galeries libre service
Je pique l'idée de la merveilleuse @nuitdhiverasa et je vous laisse les quelques galeries (tenus ou non) des différentes personnes que j'ai ! Si jamais vous voulez graph dessus, n'hésitez pas ! Cela me fera toujours plaisir de voir des petites têtes que j'ai joué/je joue avoir des nouveautés !
Go Minsi Zhao lusi - Yuan NGC1961 (attention, nudité, maillot de bain etc) Lee Chaeyoung - Isa - STAY C Lee Nakyung- Fromis_9 Yoon Seeun - STAYC Jun Hyosung (ex secret) Lee Ahin (ex momoland) Lee Yeoreum - WJSN Xu Jiaqi Kim Yerim - Yeri - RED VELVET Thi Ngoc Nguyen Kim Jung Eun - @Luvjayne Yagi Arisa Moon Gayoung Ha Sooyoung - Yves (( EX Loona )) Naoi Rei - IVE
Nana Ouyang
26 notes · View notes
boite-a-idees · 2 months
Text
Suggestions, crédit, ect.
En voyant passer certains billets, je prends conscience que je n'ai jamais vraiment donné mes "règles" ou exigences, même si je n'aime pas vraiment dire ça. Faut dire aussi que je n'ai jamais réellement pris conscience ou accepté le fait que mes avatars puissent être utilisés par des rpgistes ... Suggestions : j'accepte d'en recevoir, par mp ou autre. Je me réserve évidemment le droit de ne pas y répondre. Je n'accepte pas les avatars qui sont trop dénudés, maillot de bain ect. Mon style est relativement sombre alors les choses lumineuses ou faites pour des rpg city gentils, je ne sais pas faire. Crédit : eh bah oui, c'est important. Créditez donc Lilie. Ce sera suffisant, pas "Boîte à Idées". Hébergement, redimensionner : vous pouvez enregistrer mes créations sur vos pc pour pouvoir les héberger ailleurs. Cependant, merci de ne pas les redimensionner. FA le fait automatiquement. Merci de ne pas les retoucher ou vous les approprier.
Et voilà, je pense avoir fait le tour. Si jamais d'autres choses me viennent à l'esprit, ce sera édité. Merci pour vos likes, repartages, commentaires et suggestions. Ca fait toujours plaisir ♥
13 notes · View notes
colorel11 · 11 months
Text
Tumblr media
Le 5 juillet 1946, au bord de la piscine Molitor, à Paris, le public découvre: le bikini,crée par Louis Réard (ingénieur automobile..pourquoi,pas)
Ce maillot de bain deux pièces,est baptisé du nom de Bikini, un atoll de l'archipel des Marshall sur lequel les Américains ont fait un essai nucléaire quelques jours plus tôt.
Les mannequins professionnels s'étant "défilées", c'est à une danseuse du Casino de Paris, Micheline Bernardini, à qui son créateur s'adresse pour sa présentation officielle à la presse internationale
43 notes · View notes
randomnameless · 3 months
Note
3H est un otome game ???? Alors là c'est la meilleure
La classe des Lions de Saphir c'est un peu ça lol
Plus sérieusement, avec l'introduction de l'avatar qui est censé représenter le jouer et la mise en avant des relations parasociales ("coucou moi c'est Linfan et je suis votre fils/fille!" osef) on a de plus en plus d'éléments qui poussent les jeux FE vers le fameux "dating sim", l'avatar va se marier avec qui? Le type ténébreux et mystérieux, le mec toujours optimiste, l'archétype de la princesse de glace qui ne se dégèle qu'aux cotés de son love interest, la tsundere, la hikikomori...
Bref, les personnages sont presque tous réduits à être de potentiels love interest et donc à entrer dans une case pour "plaire" au joueur...
Malgré tout, on ne va pas se mentir, FE n'est pas pensé/réalisé pour être un jeu qui vise un public féminin - si on peut tout autant faire son choix entre "waifus" et "husbandos", la cinématique d'introduction de Camilla est bien là pour rappeler que même si on joue Corrine, le public majoritairement visé reste... le public masculin qui est capable de jeter de l'argent non virtuel pour acheter des unités Gullveig sur FE Heroes.
"Oui mais random, les jeux peuvent aussi viser le public féminin qui trouve les femmes attrayantes!"
Certes, mais il ne faut pas se voiler la face - c'est quelle version de Billy que Dedel dessine dans le jeu?
Si certains (ou certaines?) on pu voir de l'inclusivité dans ce jeu, ben tant mieux pour eux, mais on ne m'enlèvera pas l'idée que les relations F/F dans ce jeu (et dans Nopes!) c'est juste pour titiller la nouille de joueur - surtout quand on les compare aux nombreuses (mais sous-entendues comme dans le reste de la franchise!) relations M/M.
Monica qui compte le nombre de fois où Dedel sourit ou parle ou mentionne le nom de Barney/Hubert/le chat gris du monastère c'est... absolument pas du même niveau que Rodrigue qui jure à Lambert de s'occuper de son fils et qui ne jure que par Lambert même des années après sa mort (et ce alors que Nopes nous révèle que Matthias aussi était censé faire partie de la bande, mais qui c'est qui nous parle sans arrêt de Lambert, Rodrigue ou Matthias? Est-ce qu'ils étaient juste "potes"?), ou Dimitri et Felix/Dedue...
Il y a Doro, qui a plus d'affinité avec certains personnages féminins, mais d'un point de vue "Doyliste" comme on dit, qui est le personnage féminin qui est attiré par les autres femmes? Bernie, Leonie ou Doro ?
Qui peut se marier avec Billie, Mercedes ou Annette?
J'entends que Billy ne peut pas non plus se marier avec Dimitri et Claude, donc niveau inclusivité M/M on est pas là non plus, mais justement.
FE Fodlan, pour la représentativité sur le volet "dating sim" est au ras des pâquerettes, en faisant du cru, l'avatar Billie aime les pastèques (sauf Dedel!) parce que Cuboon l'a bien dit en expliquant que deux femmes en maillot de bain c'est un "milk truck" - Billy lui finit avec des tokens pour faire progressiste mais rien de bien méchant qui permet de mettre en avant une relation M/M entre l'avatar du joueur et un personnage - Alois et Gilbert sont tellement ignorés par la fanbase et les devs qu'ils ont été retirés de Nopes, Yuri a vu le jour avec un DLC et Jeritza... n'est jouable que dans une route de FE16.
En gros, un jeu où les personnages féminins attirés par les femmes ont toutes de grosses poitrines, ça me fait d'avantage penser au mindset "milk truck" de Cuboon (avec les sous-entendus dégeulasses qui vont avec!) qu'à un effort d'IS de faire de l'inclusivité.
FE a toujours traité les relations homoerotiques avec assez de classe chez les hommes, alors voir la façon dont les couples entre femmes sont explorés... parfois ça passe (même si ça souffre toujours de la comparaison avec leur "alter ego" entre hommes!) et parfois, ça finit en alts de FEH où deux femmes sont "attirées" l'unes par l'autre par une sorte de magnétisme mammaire qui les forcent à presser leurs seins l'une contre l'autre.
Loin d'être un otome game, FE16 pour moi se rapproche d'un dating sim à destination d'un public spécifique, qui n'est absolument pas le public des otome games.
Heureusement que ça reste tout de même un jeu FE donc malgré tout appréciable, mais quand on se rend compte que le choix entre Fleur Vermeille et Neiges Argentées se résume à "et tu veux finir avec quelle waifu? Rhea - que tu dois avoir harcelé pour faire un soutien A pour obtenir toutes les réponses et sa conclusions pendant le début du jeu - ou Dedel?" je pense que je ne fais pas partie du public visé par FE16.
Et ça reste quand même une bonne chose que FE Fodlan ait réussi à toucher plus de joueurs que ceux qui étaient visés par les développeurs de Fodlan - si tout le monde a pu en tirer quelque chose de positif ou au moins passer un bon moment c'est tant mieux, même si je pense qu'il ne faut pas prêter trop d'intentions aux développeurs qui ont toujours eu l'arrière-pensée de faire une carte "Dedel en nuisette".
C'est un peu comme un anniversaire, tu prépares un gâteau pour l'enfant qui fête son anniversaire parce que c'est son préféré, mais ses copains le mangent aussi et le trouvent super bon : tant mieux pour tout le monde non?
Mais il ne faut tout de même pas oublier que le gâteau, au début, n'avait pas été fait pour leur faire plaisir à eux.
8 notes · View notes
sous-le-saule · 10 months
Text
La lumière sous la porte
Quand elle monte se coucher, il y a encore de la lumière sous la porte de la chambre de son fils. Tous les soirs, il lit jusqu’à pas d’heure. Il devrait dormir, il a école demain, il va être fatigué. Mais à 17 ans, il est assez grand pour décider lui-même de son temps de sommeil.
Elle est loin, l’époque où elle lui lisait une histoire après l’avoir bordé dans son lit. Tous les soirs, sans faute. Elle tire de la fierté d’avoir contribué à en faire un grand lecteur.
Que lit-il d’ailleurs, en ce moment ? La paume de la main contre la porte, sans un bruit, elle hésite. Elle aimerait le lui demander. Et savoir ce qu’il en pense. Mais il est tard. Et dans sa chambre, il a droit à son intimité, elle ne veut pas déranger.
En se démaquillant dans la salle-de-bain, elle dresse la liste mentale des choses à faire demain. Il ne faut pas qu’elle oublie de lessiver son maillot de foot. En revenant du travail, elle pourrait s’arrêter à la pâtisserie pour lui prendre un éclair au chocolat dont il raffole. Un petit plaisir après sa grosse journée de cours.
Il y a toujours de la lumière sous la porte quand elle passe devant la chambre pour aller se coucher. Délicatement, pour ne pas réveiller son mari.
Elle reste allongée longtemps sans trouver le sommeil. Elle sait ce qui la tarabuste, elle voudrait bien ne pas y penser mais c’est peine perdue. Elle n’a jamais été capable de mettre ses angoisses en sourdine – elle ne se souvient d’ailleurs pas de sa dernière bonne nuit de sommeil.
Il a dit que l’année prochaine, il ne partirait probablement plus en vacances avec eux. Il a dit ça gentiment – ils ne se disputent jamais. Juste qu’il aimerait partir avec ses copains, le prochain été.
Elle ne s’y attendait pas si tôt.
Et il n’a plus qu’un an d’études avant l’université – ou ce qu’il voudra faire d’autre. Il n’a pas encore décidé, et ça aussi, ça la tracasse. Peut-être qu’il louera une chambre d’étudiant dans une autre ville.
Elle le revoit bébé, et maintenant il est sur le point de quitter le nid. Elle est fière de lui, bien entendu – c’est la plus grande réussite de sa vie, son enfant – là n’est pas la question. Elle s’inquiète, ça aussi c’est une évidence – cesse-t-on jamais de s’inquiéter à partir de la seconde où on devient parent ?
Mais la pensée qu’elle n’arrive à chasser, là, étendue dans l’obscurité, et qui lui fait verser des larmes silencieuses, c’est la perspective de son inutilité. Le vide qui l'attend. Que devient-on quand la personne autour de laquelle on a organisé sa vie depuis des années n’a plus besoin de vous ?
Que va-t-elle faire lorsqu’il n’y aura plus de lumière sous la porte ?
21 notes · View notes
philoursmars · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52795 photos
2009. Une semaine en Auvergne, à Vichel
- les 4 premières le lac de Vernet-la-Garenne...et définitivement, Sapho n’aime pas l’eau
- le reste : l’Allagnon entre Lempdes et Lanau
2 notes · View notes
leseffrontesfr · 1 year
Photo
Tumblr media
C’est un mec qui m’a tout fait comprendre. Julien... Non, Adrien. C’était à la soirée chez Lucie. On parlait de l’emprise patriarcale sur notre corps, l’obligation d’être belle, le maillot de l’année dernière de plus en plus échancré sur mes fesses alors que c’est censé être du stretch, tout ça… Lucie commençait un super régime à base de yaourt au lait de soja suggéré par son prof de yoga ayurvédique. Moi, j’étais dans un terrible régime hypoglycémique sans sel contre les peaux d’orange, mais je n’en pouvais plus. J’étais au bord des larmes dès que je passais devant un kebab, alors que je n’en mange jamais ! Adrien revenait de la cuisine avec une bière et des chips au vinaigre. Adrien… Ou Lucien ? Je crois que c’était Lucien. Et alors, Lucien, qui était déjà bien bourré, éclate de rire et nous dit : « Les meufs ! LES MEUFS ! Nan mais sérieux… Les meufs, là. Vous me faites trop marrer. Toujours pareil. Et le régime de Marie Claire, et le régime de Elle, et le régime de Closer ou de Gala, et le régime de ceci, de cela… Toujours pareil. Et ça rentre pas dans son froc, et ça rentre plus dans sa robe, et ça fait craquer son string... » À ce moment il a repris une pleine poignée de chips croustillantes et dorées à souhait… Je voulais le mordre ! « Les meufs… Quoi ? Faut arrêter de vous prendre la tête pour votre boule. Regarde, tu tournes les pages, c’est que de la pub ! De la pub, de la pub, de la pub… Les filles qui posent, là, elles ont dix-huit ans max. Et elles ont été choisie pour avoir l’air de ce que la plupart des meufs ne sont pas. Meufs, vos magazines, là… C’est fait pour vous faire acheter des trucs. Des fringues trop moulantes, des régimes à la con, des bouquins à la con sur des régimes à la con, des kilos de maquillage, tout ça... même de la chirurgie ou je ne sais pas quoi. Et vous, vous achetez, comme des connes. Et vous vous privez. Et après c’est : “Ouin, ouin, le regard-des-zommes”, “Ouin, ouin, l’oppression des injonctions du truc patriarcal, là”. Mais qu’est-ce qu’on s’en fout ? » (Il a ponctué d’un petit rot.) « Laissez tomber, quoi. Lais-sez tom-ber. » Je n’écoutais déjà plus Aurélien. Je m’étais ruée sur la pizza que Caro avait sorti du four pour la distribuer. J’ai pris trois parts, j’ai tout goinfré en quelques secondes.
Ce type m’avait fait prendre conscience de mon conditionnement : si je m’étais tant privée chaque année pour être sexy, ce n’était pas seulement à cause du poids du regard lubrique des machos phallocrates sur mes rondeurs de femme forcément belle — car toutes les femmes sont belles — non, il y avait un autre ennemi qui complotait contre l’émancipation de notre féminité naturelle pour faire du profit : les fabricants de maillots de bain. C’est à cause d’eux, à cause de leurs tissus trop serrés, trop moulants (surtout quand ils sont mouillés), que nous souffrons toutes de la faim, en 2023, alors que pendant ce temps des enfants meurent de faim aussi mais ailleurs. Alors j’ai décidé que cette année je ne ferai plus de régime et je ne mettrai plus de maillot. J’ai déjà posé mes réservations dans des camping naturistes. L’été sera libéré et je ne manquerai plus le buffet. Je serai belle et à poil au soleil ! En attendant, il faut vraiment que j’arrive à mettre le ventre dans l’eau, ça retend les bourrelets (je l’ai lu sur Doctissimo). Brrr ! C’est glaciaaaaal ! https://leseffrontes.fr/index.php/2023/04/30/leffrontee-du-mois-davril-2023-helene/
40 notes · View notes
Text
Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée 
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix  
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer 
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita 
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire 
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence 
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop 
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes 
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy 
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte ! 
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été 
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa 
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu’à maintenant 
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler 
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents 
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage 
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture 
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail 
Attendre avec impatience les vacances d’été 
Tumblr media
20 notes · View notes
homomenhommes · 11 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 178
La touze 2011 - 1
Toute la semaine qui a précédé la touze, avec Samir, Ammed et Jimmy quand il n'était pas auprès des clients, nous avons préparé la maison.
Le donjon a été revu, de la vérification des attaches aux lits de l'étage, des réserves de savon et PQ à celles des gels, kpotes et graisse à fist en cas de besoin.
La salle de muscu qui plaira sûrement à certains pour y baiser à coup sûr mais aussi à mettre les corps en valeur (je pense aussi bien à Ric qu'à moi même et même second, sans compter Arnaud qui ne sera pas insensible à paraitre sous son meilleur jour).
Le baisodrome du premier et le nouveau dortoir du second ont été équipés de leurs propres réserves de consommables pour jeux sexuels, les grandes glaces du premier dépoussiérées pour les plus narcissiques d'entre nous. Avec Samir, j'ai fait un saut chez le marchand de " linge de maison" chercher notre commande de draps de bains et peignoirs. Pour éviter l'effet maison de convalescence, nous les avons pris de toutes les couleurs de l'arc en ciel.
Au dernier moment, je pense aux baises qui auront lieu autour de la piscine. elles vont produire une bonne quantité de sperme qui devra disparaître avant que les corps plongent à nouveau dans l'eau. Les douches de la salle de muscu ne suffiront pas et surtout seront trop éloignées pour qu'il n'y ait pas un mec couvert de sperme à tomber dedans ! J'appelle en urgence Maçon et lui explique la problématique. Il arrive le lendemain avec Second et surtout avec la solution. Quatre douches d'extérieurs avec leurs bacs qu'ils installent en bout de terrasse. Seul marque de mon imprévoyance, les tuyaux d'arrivée et d'évacuation. Second y avait pensé et ils les ont recouvert d'un espèce de tube carré coloré façon bois.
Dans la semaine, j'ai reçu aussi ma commande de maillots de bains. Entre ES et Aussiebum, ce n'est pas moins de 60 boxers et slips que nous avons reçus. Deux par participant à notre touze, c'est cadeaux pour l'été. Comme j'avais prévu que nous aurions quelques impondérables, j'ai même ce qu'il faut pour note dernier invité, Second.
Nous aurons finalement 30 invités auxquels Marc, Jimmy et moi nous nous ajouterons ! Heureusement que la maison est isolée sinon les bruits qui vont s'en échapper ferraient jaser dans le village !
Comme la semaine avance, l'excitation monte dans la maison.
Jeudi : retour de Marc (je n'irai pas voir Emma cette semaine).
Il ne bosse pas vendredi. Dès qu'il entre dans la cour, je me précipite vers lui. Il m'a manqué comme à chaque fois. Nous nous embrassons passionnément. En simple short en jeans coupé, je sens se développer contre mon sexe déjà bandé sa propre bite. Je le pousse contre sa voiture et m'agenouille rapidement. En descendant j'ai pris soin de défaire sa ceinture et de baisser pantalon et slip en même temps. Ma bouche vient chapeauter son gland. Je me l'enfonce profond jusqu'à ce que mes dents buttent sur son pubis et mon menton sur ses couilles. Ses mains viennent derrière ma tête appuyer pour vérifier que je ne peux en prendre plus. En apnée, je sens mon sang affluer au visage. Il me relâche. J'entame alors une pipe comme il me dit que je suis le seul à lui faire (c'est gentil de le dire même si je n'en crois pas un mot, Jimmy, entre autre, est aussi bon sinon meilleur que moi !). Je le suce comme si ma vie dépendait de ce qu'il allait me donner. Au bout d'un bon 1/4 d'heure, j'obtiens son précieux liquide. J'en avale un peu car vu le volume je ne peux tout garder en bouche et me relève dès que je sens ses couilles essorées. Nous reprenons notre roulage de pelle avec cette fois un " lubrifiant " spécial. Trop, trop bon ! Nous ne cessons notre baiser que quand nous nous sommes partagés la totalité de ses spermatozoïdes.
Réajusté, et moi bandant serré/compressé dans le jeans, nous montons à la maison.
J'accompagne Marc qui se change pour une tenue plus WE. Comme il me voit très chaud et qu'il ne rebande pas encore, il attrape un plug dans notre table de nuit et me l'enfonce direct (de l'utilité de découdre les fonds de culotte), histoire de me faire patienter. Même excité comme je l'étais, je l'ai senti passer. La pression du plastique sur ma prostate a entretenu ma bandaison comme la douce douleur de la compression de ma queue.
Nous descendons prendre un apéritif. Le dernier avant le rush du WE touze. Malgré la chaleur, je me colle dos contre le torse de Marc. Nous passons un moment de tendresse où sa main libre me caresse le torse et les abdos s'autorisant parfois un pincement de téton. Dès que je le sens bander de nouveau, je suis sur le sujet. Rotation avec glissement au sol et ma bouche retrouvait le gout de son sexe. Il n'a pas fallut longtemps pour que sa tige soit de nouveau raide comme du bois. Là pas de tergiversations, j'expulse le plug et je m'assois sur ses cuisses en me plantant sur son pieu. Je reste assis le temps que l'élasticité de mon anneau le fasse se coller au cylindre de sa bite. Puis, j'entame la chevauchée. Pour moi, sur mon homme, elle est toujours fantastique !
Me faire prendre ainsi (juste par la fente du jeans) me rappelle nos premières baises quand il m'enculait alors que je travaillais au jardin. Je me penche et nous nous roulons un patin. Il me soulève et sans sortir de moi, me pose dos sur le canapé. Je lève mes jambes sur ses épaules, il reprend notre baiser tout en me limant à coups secs. Ça, plus l'écrasement de mon paquet ajoutés à sa langue qui fouille ma bouche, j'explose de plaisir. mes contractions anales ont raison de sa résistance et je le sens se vider dans mon cul. Bon, très bon !
Je vais me changer, rester avec du sperme froid autour de la bite et le jeans trempé, c'est pas agréable. Mais je renfile le même modèle de short, après tout la soirée n'est pas finie et cela fait 1 semaine que nous ne nous sommes vu.
Diner en tête à tête. Je lui explique ou nous en sommes question préparation du WE. Il me fait parler des parents de Théo. Je lui explique le coup en détail, cotés sexe comme affaire. Il me demande si j'ai bien briefé Samir et Ammed. Je le rassure. Il ont bien compris le rôle de " sécurité " qui leur incombe. Sécurité par rapport à l'extérieur : filtrage et surveillance, sécurité des participants : kpotes, gel et pratiques safe-sex obligatoires. Tout doit se faire dans l'accord des partenaires, pas de rapport non consentis. Là, je pense à Théo qui pour le moment reste encore très accroché à moi ! Même si je crois que ce WE va être pour lui un des grands moments de sa vie.
Dans la soirée, nous faisons l'amour avec une tendresse inhabituelle, probablement en compensation du sexe débridé que nous allons pratiquer dès le lendemain soir.
Vendredi :
Le premier à nous rejoindre est Arnaud notre jeune voisin. Il s'invite dès le café histoire de nous aider. Tic et Tac, peu de temps après, se font déposer par leur père (Igor) sur le chemin de son taf. Dans le milieu d'après midi, arrivent pêle-mêle : Franck, Ric, Jean, Phil et Luc, et nos amis de La Palmyre, Jérôme et son copain Frédéric, Manu et Le premier Théo (Théo1). En fait nous avons récupéré tous les étudiants du " groupe ". Ammed distribue à chacun sa dotation du WE (peignoir, drap de bain et maillots). Je les laisse autour de la piscine le temps d'aller chercher Ed et Théo. Je prend la 300C et fait un aller et retour rapide même si j'ai du recevoir les conseils exceptionnels de leurs parents. Ed de s'interroger sur les raisons du changement parental et Théo de lui préciser, avec une pointe de jalousie, que ce n'est que pour mon cul et qu'ils n'en ont toujours rien a cirer de leurs deux fils. Je suis un peu choqué de la façon dont il dit cela mais Ed soupire de soulagement. Il ne se voyait pas surveillé et dans l'incapacité de continuer notre " petit arrangement ".
Quand nous arrivons, ils sont accueillis bruyamment par la troupe déjà présente. Ed est complètement dans le bain, Théo montre un peu plus de réserve et me colle. Je lui présente tout le monde et le trouve fasciné par les jumeaux. Ils reçoivent leurs cadeaux et se changent devant tout le monde. Samir et Ammed se chargent de leurs affaires. Tac, qui a compris le " problème " de Théo, le prend sous son aile. Jusque là, tout le monde s'est retenu malgré quelques barres bien visibles sous les maillots.
Il faut dire que pour certains, cela fait une bonne année qu'ils ne se sont vu et ils ont plein de choses à dire. Je passe d'un groupe à l'autre et saute d'une conversation où les mecs qui ne se connaissent pas se situent par rapport à moi et Marc (quand nous les avons rencontrés et comment) à une autre où ils s'expliquent leur situation actuelle question baises et financement de leurs études...
Marc nous rejoint en début de soirée quand Bruno et Igor arrivent.
Alcoolisation autour d'un Barbecue. Je suis étonné que personne n'ait encore ne serait ce que sucer une bite ! Je crois que tout le monde attend le top départ de Marc.
Il a lieu après le dessert, et c'est par Ric qui se met à poil pour plonger dans l'eau. Tous les maillots volent en l'air (ça va être facile de retrouver le sien !) et alors commence la première touze du WE. Alors que j'essaye de voir si tout le monde est ok, avec un ou plusieurs partenaires, je me fais happé par un trio composé de Franck, Manu et Théo1. J'ai juste le temps d'apercevoir mon Théo dans les bras des jumeaux. Pèles dans tous les sens, mes lèvres s'écrasent alternativement sur celles de mes partenaires. Nos mains s'égarent qui sur une bite qui sur une rondelle. Et quand tout le monde est bien raide, nous passons aux pipes. Par 2 puis par 4, nous nous léchons la queue avec voracité. Je pense que mes partenaires se sont mi d'accord et comptent me faire un début de WE en beauté. Je me retrouve soudain avec Manu et Théo1 en train de me sucer à deux (trop bon de sentir les deux langues remonter ma tige et se battre sur mon gland) et Franck à me mettre la sienne (de bite, pas de langue) bien au fond de ma gorge. Ma situation évolue quand Théo1 s'attaque à ma rondelle. Il a bien progressé depuis l'été dernier et son anilingus est parfait. Sa langue dépose une couche de salive puis il la met en pointe pour essayer de pénétrer. Entre mon cul, ma bite et ma bouche, je suis occupé de partout. A l'extrême, il me manque une queue dans chaque main et je me transforme en homme orchestre !
Je sens Manu dérouler une kpote sur ma bite et placer son trou jute devant. J'ai juste à donner un petit coup de rein et je suis dans la place. Gémissement de notre part à tous les deux ! Frank quitte ma bouche et s'équipe. Je veux sa bite en moi. Je lui demande de m'enculer et pour faciliter la chose m'écrase sur Manu pour rehausser mon anus. J'enfonce mes 20cm entiers dans Manu et attend Franck. Il écarte mes fesses avec ses mains et plonge son sexe dans mon trou. Yeahh, c'est bon ! Théo1, libre, remplace Franck dans ma bouche. En fait il alterne entre la mienne et celle de Manu. Quand il se fait sucer par ce dernier, j'ai sa langue qui vient se batte avec la mienne. Le temps de se caler et nous bougeons tous en harmonie. Nous ne mettons pas longtemps à atteindre le point de non retour et j'explose dans Manu quand je sens Franck remplir sa kpote. Théo1 n'a que le temps de se retirer de ma bouche avant de juter copieusement sur le dos de Manu qui jute à son tour. L'échafaudage se défait et nous nous écroulons les uns sur les autres.
Reprise de souffle et je relève la tête pour voir ou en sont les autres. Je cherche surtout à savoir avec qui mon Théo baise. Je le trouve en sandwich avec les jumeaux. J'avais raison quand je m'étais dit qu'il les avait kiffé ces deux là ! Tac lui façonne le cul quand Tic lui lime les amygdales. A ce que je vois il aime ça en plus, quelle belle petite salope !
Marc est sur Ric alors que Phil et Luc se font Ed. Plus loin j'aperçois Jimmy en train de se faire la bite d'Igor et Bruno se changer d'Arnaud en mettant entre ses cuisses le cul de Jean. Quand à ce dernier, il teste les compétences des Palmyriens Jérôme et Frédéric.
Samir et Ammed passent entre nous et avec des coups d'oeil discrets vérifient la présence de kpote sur toutes les bites qui s'enfoncent dans les culs.
Je leur fait signe et ils nous apportent à boire, la flemme de se lever !! Nous nous décollons quand même quand le sperme deThéo1 est froid et qu'il nous rend tout poisseux. Direction les douches de la salle de muscu. Nous nous y lavons et massons les uns les autres jusqu'à ce que l'arrivée d'autres touzeurs nous en chasse.
Retour au niveau " baise ". Les derniers protagonistes en action explosent peu de temps après notre arrivée, belle performance ! je glisse dans la piscine et nage lentement, juste pour me décontracter. Quand Ric nous rejoint, nous entamons une compétition en tout petit bassin (10m). Comme d'habitude, au crawl et à la brasse, je gagne, en papillon, je lui cède la première place. Franck arrive toujours 3ème mais c'est une histoire de centième d'après nos supporters.
Cette soirée de fin juin est bien chaude et nous sommes encore à minuit nus ou presque sur les galets ... non la terrasse, certains encore emmêlés.
Mon Théo me rejoint au retour des douches avec Tac. Il tombe dans mes bras et m'embrasse avec la langue. Tac s'assoit à mes cotés et lui caresse les flancs. Je m'aperçois qu'il a du se passer quelque chose entre eux. J'ai juste un pincement au coeur. Après tout, ce serait plus simple qu'il tombe amoureux de quelqu'un d'autre que moi qui suis déjà doublement pris (Marc et Emma). Mais quelque part cela avait flatté mon égo et je me vexe intérieurement de ce qu'il m'ait vite remplacé. Peut être affabulais je ? D'autant plus qu'il se blotti au creux de mes bras.
Mais quand Tac me dit que j'ai trouvé là un super petit mec en continuant à caresser ses jambes venues se poser sur les siennes, je n'ai plus de doute, au moins de ce coté là. Ce WE verrait il la fin de la relation fusionnelle entre les jumeaux ?? Non car Tic nous rejoint, s'assoit sur mon autre coté et avance la main pour caresser mon Théo. Ce qui m'achève c'est la remarque de Théo. Levant la tête vers moi, il me dit que mes amis sont trop bons. Je voulais qu'il perde son innocence et qu'il ne s'attache pas uniquement à moi. Je crois que c'est réussit ! Il me demande quand même si cette nuit il pourra dormir avec eux. J'acquiesce, que faire d'autre ! Je reste encore quelques instants avec eux puis les quitte pour retrouver Marc.
Il est en pleine discussion avec Igor et Bruno.je me mets derrière lui, me colle à son dos et mes bras sous les siens, le serre fort contre moi, la tête sur son épaule. Il ressent mon léger désarroi et m'entraine à l'écart du groupe. J'ai beau sourire quand je lui raconte que Théo (le mien) est en train de tomber amoureux des jumeaux, il voit bien que cela me fait un peu mal et me serre très fort dans ses bras. J'y reste bien 5mn puis me secoue et lui dit que ça va passer. Nous regagnons le groupe et nous leur demandons de nous suivre pour leur montrer les capacités de couchage.
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
14 notes · View notes
Text
Tumblr media
_cleo__patre_
☀️Welcome Summer☀️ Et hop un pti #freeboobs pour fêter ça 🥳 Ma technique pour des bains en tenue d’Eve ? - Aller nager tôt le matin - Choisir une plage peu fréquentée - Enlever votre maillot une fois immergé dans l’eau - Nager avec votre costume de bain autour du bras Ça fait un bien fou, on se sent libre et léger 🙃 Même si idéalement il faudrait le laisser au bord de l’eau mais bon c’est pas politiquement autorisé de se balader à poil 😎 « Alors là, elle dépasse les bornes Cléo Pâtre, elle nous encourage à nous baigner tout nu ! » Et ouais ✌🏻 c’est comme ça qu’on est nés non?! Et n’oubliez pas ce qu’il faut faire pour avoir un summer body : avoir un corps, aller à la plage et kiffer 😎 Oui, on a toutes des bourrelets, de la cellulite, des complexes mais on fait un joli 🖕🏼 à tout ces dictats et on y va, l’esprit léger ☀️ D’ailleurs, je suis persuadée que le fait de se baigner nu nous permet d’aimer notre corps 🤍 Casser les barrières pour ne faire qu’un avec celle qui ne portera jamais aucun jugement sur nous : la nature 💙 Alors, vous allez tenter ce parfum de liberté ? 😉 Bon été à tous les Adam et Ève qui me lisent ☀️🏖🙃
20 notes · View notes