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#pauvres creatures
grandboute · 5 months
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Exceptionnel !
Poor things - pauvres créatures
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havaforever · 5 months
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PAUVRES CREATURES - L'année cinéma commence très fort avec "Poor Things", dernier bébé-monstre de Yorgos Lanthimos, qui nous livre ici une satire sous forme de conte initiatique, en mode relecture très inspirée de Frankenstein.
Dans une époque vaguement victorienne peut-être hybridée à celle des années 2075, un savant crée Bella, une femme adulte avec l'esprit d'un enfant. Créature qui va néanmoins très vite se développer. Bella découvrira le monde, les femmes, les hommes, et surtout le sexe.
La première demi-heure, en noir et blanc, nous plonge directement dans une ambiance très malaisante. Mêlant du body horror aux pires intentions humaines, elle nous invite à embarquer pleinement dans le coeur de ce récit initiatique coloré et passionnant.
Les acteurs sont fantastiques. Emma Stone incroyable dans le rôle cette "créature" qui grandit intellectuellement, et découvre son corps, son esprit, le monde, la place attendue de la femme. L'actrice donne par ailleurs allègrement de sa personne, on croule sous des scènes les unes plus trashs que les autres. Impossible de ne pas citer Mark Ruffalo, désopilant en séducteur invétéré, qui voit peu à peu son monde d'effondrer alors que sa "sex doll" mûrit et lui échappe.
La direction artistique est démente. On est dans une espèce d'univers steam punk avec de l'Art Nouveau à tous les étages. Yorgos Lanthimos utilise énormément les grands angles, montrant toutes les coutures de ce monde poétique, du moins tel que Bella le perçoit. Les costumes certainement tout droit sortis des ateliers des créateurs les plus fous, sont sublimes.
Le récit comporte pas mal de lourdeurs et de temps morts, trop longs pour être porteurs. Et pourtant malgré quelques détours largement inutiles du scénario, et la très grande créativité de sa mise en forme, c'est le propos qui prime très rapidement.
Certains (beaucoup) ont réduit Pauvres Créatures à un film féministe, mais ses thèses débordent largement cette apparence première. "Poor Things" parle de parentalité, de religion, et de relations entres les hommes et les femmes. Avec certes, la place des femmes dans la société, et la façon dont elles sont perçues et/ou contrôlées. Mais on est très loin du pamphlet stérile et redondant de tant d'autres films opportunistes.
Personnellement j'y ai surtout perçu une mise en scène très pertinente de ce que nous apprendrait l'intelligence artificielle sur le fonctionnement mécanique et désincarné des humains, et de nos sociétés dépourvues de leurs emballages moraux, changeants et relatifs. C'est très vite à travers ce prisme que le film m'est apparu captivant : une généalogie de notre morale, de nos comportements et de tous les travers d'un féminisme souvent contradictoire, vue non par Nietzsche, mais sous l'angle des ChatGPT et autres programmes qui nous "singent" littéralement…
Bref, "Poor Things" est riche d'idées, de sensations, de perspectives nouvelles, et remue le bide. C'est aussi un long-métrage très drôle. Comme dans les précédents films de Lanthimos, l'humour est absurde, noir, cruel, et souvent inattendu. Si vous adhérez au style du réalisateur, vous y trouverez très largement votre compte !
NOTE 17/20 - Ce voyage fantastique et fantasmatique regorge d'idées de génie, d'images sublimes et riches, le tout directement sorti du cerveau à la fois complexe, étrange et extraordinaire de Yorgos Lanthimos.
La génétique du réalisateur de The Lobster semble être composée de Mary Shelly et de Ruben Ostlund et de bien d'autres, dans une version remanipulée d'extravagance et de baroquisme flamboyants.
On est choqués, éblouis, embarqués par une créativité aussi rare qu'impressionnante.
Ames sensibles, s'abstenir.
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victortalkingmachine · 8 months
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thank you @athelstan-anglecyning for tagging me :-)
favorite color: i never really had one tbh.. but i will say red 🔴
last song: "la goualante du pauvre jean" by édith piaf
last movie: i think it's still heathers
currently watching: nothing i guess but i really need to catch up on ghosts...!!
other stuff i watched this year: of my own volition i watched chicago (1927), sedmikrásky, the league of extraordinary gentlemen, & europe after the rain: dada and surrealism, and then for school there was cabaret (1972), hamlet (2000), stalingrad (1993), & the lives of others... maybe more who knows
shows i dropped this year/didn't finish: clone high—about halfway through season two i decided that i just could not take it anymore you understand
currently reading: i am still on valerie and her week of wonders & twenty thousand leagues under the sea </3
currently listening to: "hungarian rhapsody no. 2" remains in my mind which counts as listening to it to me
currently working on: i have been attempting to write something. and i have many partially finished drawings. as per usual
current obsession: jean-désiré bouvier.. my creature
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valentin10 · 2 months
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Emma Stone et Yórgos Lánthimos, le duo de «Pauvres Créatures» de retour dès cet été à l'affiche de «Kinds of Kindness» | Vanity Fair
Emma Stone et Yórgos Lánthimos enchaînent les projets. — À lire sur www.vanityfair.fr/article/emma-stone-yorgos-lanthimos-duo-pauvres-creatures-de-retour-kinds-of-kindness
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Here Is The Full List Of 2024 Oscar Winners
L'Académie des Oscars a rendu son verdict ce dimanche 10 mars 2024 en direct de Los Angeles. Lors de cette 96e cérémonie
OSCAR DU MEILLEUR FILM
«Oppenheimer», de Christopher Nolan
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OSCAR DE LA MEILLEURE RÉALISATION
Christopher Nolan «Oppenheimer»
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OSCAR DE LA MEILLEURE ACTRICE
Emma Stone «Pauvres créatures»
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OSCAR DU MEILLEUR ACTEUR
Cillian Murphy «Oppenheimer»
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OSCAR DE LA MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
Da'Vine Joy Randolph «Winter Break»
OSCAR DU MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
Robert Downey Jr. «Oppenheimer»
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OSCAR DU MEILLEUR FILM D’ANIMATION
«Le garçon et le héron», de Hayao Miyazaki
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OSCAR DU MEILLEUR FILM INTERNATIONAL
«La Zone d'intérêt», de Jonathan Glazer Grande-Bretagne
OSCAR DU MEILLEUR SCÉNARIO ORIGINAL
«Anatomie d’une chute», de Justine Triet et Arthur Harari
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OSCAR DU MEILLEUR SCÉNARIO ADAPTÉ
«American Fiction», de Cord Jefferson
OSCAR DES MEILLEURS EFFETS SPÉCIAUX
«Godzilla minus one», de Takashi Yamazaki
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OSCAR DE LA MEILLEURE CHANSON
«What Was I Made For ?», dans «Barbie». Billie Eilish et Finneas O'Connel remportent le deuxième Oscar de leur carrière grâce à "What Was I Made For"
OSCAR DE LA MEILLEURE MUSIQUE DE FILM
Ludwig Göransson «Oppenheimer»
OSCAR DES MEILLEURS DÉCORS
James Price, Zsuzsa Mihalek et Shona Heath «Pauvres créatures»
OSCAR DES MEILLEURS COSTUMES
Holly Waddington «Pauvres créatures»
OSCAR DES MEILLEURS MAQUILLAGE ET COIFFURE
Nadia Stacey, Mark Coulier et Josh Weston «Pauvres creatures»
OSCAR DU MEILLEUR MIXAGE DE SON
«La zone d’intérêt», de Jonathan Glazer
OSCAR DU MEILLEUR MONTAGE
«Oppenheimer», de Christopher Nolan
OSCAR DU MEILLEUR DOCUMENTAIRE
«20 days in Mariupol», de Mstyslav Tchernov
OSCAR DE LA MEILLEURE PHOTOGRAPHIE
«Oppenheimer», de Christopher Nolan
OSCAR DU MEILLEUR COURT-MÉTRAGE DOCUMENTAIRE
«The Last Repair Shop», de Kris Bowers et Ben Proudfoot
OSCAR DU MEILLEUR COURT-MÉTRAGE D’ANIMATION
«War Is Over ! Inspired by the Music of John & Yoko», de Dave Mullins
MEILLEUR COURT-MÉTRAGE DE FICTION
«La Merveilleuse histoire de Henry Sugar», de Wes Anderson
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John Cena
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lemagcinema · 5 months
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Pauvres créatures, pas le meilleur Lanthimos, mais le plus célébré
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Pauvres Créatures est reparti de Venise avec le Lion d’or. Quoi que le conte fonctionne plutôt bien, les amateurs de Lanthimos de la première oeuvre pourraient regretter le virage ici abordé.
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/films/good/pauvres-creatures-pas-le-meilleur-lanthimos-mais-le-plus-celebre/
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0 notes - Posted May 10, 2022
#4
"In den Poren der frauenfeindlichen Narrationen verbirgt sich die Widerständigkeit der Frauen."
~ Die Erschöpfung der Frauen, Franziska Schutzbach S. 43
0 notes - Posted April 20, 2022
#3
watched the first two eps of "The Haunting of Bly Manor" with my gf. surprised by how much I like the characters, they are really three-dimensional. the main character is in equal parts outspoken and fragile, she didn't shy away from being frank with the kids uncle but she obviously has her own struggles with panic attacks etc.
And the boy, I wonder if he's possessed? Possibly the demon/creature sprang over from the former governess or she sacrificed herself for them. Might explain Miles question in the school lesson, if demons need permission to enter men (yes), his curious strength and weird behaviour towards the protagonist. What does he mean with the talk about needing to find keys though? Keys to what? And how does the emphasis on the innocence of animals fit into this? Why do the children leave at midnight to the lake (I'm assuming).
Why does the former governesses boyfriend turn up? Was he possessed as well (and has passed it onto her, driving her to suicide)? Is Owens remark that people are born and die in Bly relevant?
Anyway, I'm quite excited for the next episode.
3 notes - Posted October 12, 2022
#2
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saw "much ado about nothing" at the globe today. one of these experiences making me wish I had photographic memory in order to go over every moment again and again. the scenery showing a villa in post-war italy. the wonderful period-appropriate costumes (and Beatrice was the only one of the women wearing pants! very fitting). the hilarious physical comedy - while eavesdropping, Beatrice got tangled in a sort tennis net, then stepped onto the sprinkler on the lawn. The whole theatre was laughing. They also constantly involved the audience, like looking at someone in the audience during the "one woman is fair, yet I am well" monologue.
I also stood during the whole performance, having chosen the cheapest tickets, meaning I was mich closer to the actors and it made for a wholly different interaction with the crowd, it was so immersive. and the actress playing beatrice was so attractive. certainly helped keep my eyes on the stage
4 notes - Posted October 16, 2022
My #1 post of 2022
one thing I like about "Tender is the Flesh" is how it's not a perfect dystopia. The systems has cracks showing, people are sometimes more, sometimes less aware of the inhumanity of this. Not everyone is 100% on board, 100% brainwashed, no matter what the media tries to instill in people. Think of the job applicant getting sick when seeing the slaughtering process for example.
That's what draws you in though, that's the terrifying aspect of it. This world seems so realistic and natural, it's not comfortingly distant from our own reality. And even "good" people, normal people who sort of recognize the atrocity of it, participate in the system because they need to.
21 notes - Posted October 14, 2022
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l-anna-art · 3 years
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(English version first, and the French one after)
Dawn was breaking in the park, flooding the place with its first rays and coloring the sky with purple and blue. Through the glass of his cage, Izuku felt their warmth against his feathers, gradually flooding his body with a pleasant sensation. These rare moments of peace reminded him of the months before his capture, when his mother still snuggled up to him to bring him more warmth during the cold nights.
But that was long ago.
The park was beginning to come alive, drowning in the daily brouhaha as the "keepers" appeared here and there. His unfortunate neighbors, more inclined to this way of life, were already awake and noisy, ready for the morning pittance.
Izuku stood still, keeping his eyes stubbornly closed as humans came and went in the various enclosures, calling out to the creatures trapped inside for who knew what, and he didn't react more when someone knocked against the glass separating him from the outside.
Instead, he hid his face so similar to theirs under his wing and huddled a bit more in the false nest.
However, when one of the humans decided finally to enter into his cage, he stood up and hissed violently. The newcomer was tall, much taller than Izuku who was barely up to his waist. He stood back, both hands hidden in leather stretched forward, making sounds that were probably meant to be reassuring, a bucket and a net at his feet. A golden mane surrounded the angular face of the male who, as he lowered himself to his level, attempted an inviting smile. 
Two blue pearls peered down at him.
"Hello Midori," he said, slowly.
If he could, he would burst them.
But the human, as all the others before him, hid his ears under metal and leather, protecting him from his voice. So singing wouldn't do any good beyond attracting more like this one.
Instead, he took refuge as best he could in the heights. He reached the poor block of bark served as his perch, and with his claws clumsily planted in his support, he flapped his wings, - so much shorter than they should be - unbalanced and uncomfortable since the loss of his flight feathers.
Looking at his wings, he felt the urge to cry again at their loss, cut off and stolen away from him, trapping him on the ground and tearing the sky away from him.
He should have taken his first flight weeks ago, now. He should have soared into the sky, a green and free flash as his mother would have been.
He didn't know if he would ever get this chance.
While Izuku was immersed in his thoughts, the blonde approached again, which forced Izuku to hiss louder. A growl left his throat as he unconsciously puffed up his feathers, pointing the mobile claws of his wings at the intruder and slamming his paw against the bark, hoping to scare the newcomer away. 
He didn't want his feathers to be touched. He didn't want anyone to touch him too.
The other one must have understood the message, since he finally backed off with a sigh, speaking in his strange language and dropping some meat at the foot of his perch before retreating from his prison.
Version française :
L’aube se levait dans le parc, inondant la place de ses premiers rayons et colorant le ciel de pourpre et de bleu. A travers la vitre de sa cage, Izuku senti leur chaleur contre ses plumes, inondant peu à peu son corps d’une sensation agréable. Ces rares instants de paix lui rappelaient les mois avant sa capture, quand sa mère se blottissait encore contre lui pour lui apporter plus de chaleur durant les nuits froides.
Mais c’était avant.
Le parc commençait à prendre vie, se noyant dans le brouhaha quotidien alors que les “soigneurs” apparaissaient ici et là. Ses voisins de malheur, plus prompts à ce mode de vie, étaient déjà éveillés et bruyants, prêts pour la pitance du matin.
Izuku resta immobile, gardant ses yeux obstinément clos alors que les humains allaient et venaient dans les différents enclos, appelant les créatures piégées à l’intérieur pour qui savait quoi, et il ne réagit pas plus quand on toqua contre le verre qui le séparait de l'extérieur.
A la place, il cacha son visage si semblable aux leurs son son aile et se blottit un peu plus dans le faux nid.
Cependant, quand l’un des humains se décida à rentrer dans sa cage, il se redressa et siffla violemment. Le nouveau venu était grand, bien plus grand qu’Izuku qui lui arrivait à peine au bassin. Il resta en retrait, les deux mains cachées dans du cuir tendues en avant, émettant des sons qui se voulaient probablement rassurants, un récipient et un filet à ses pieds. Une crinière d’or coiffait le visage anguleux du mâle qui, alors qu’il s’abaissait pour se mettre à son niveau, tenta un sourire invitant. 
Deux perles bleues le toisaient.
“Bonjour Midori,” dit-il lentement.
S’il le pouvait, il les lui crèverait.
Mais l’humain, comme tous les autres avant lui, cachait ses oreilles sous du métal et du cuir, le protégeant de sa voix. Alors chanter ne servirait à rien au-delà d’en attirer plus comme lui.
A la place, il se réfugia du mieux qu’il pu dans les hauteurs. Il atteignit le pauvre bloc d’écorce qui lui servait de perchoir et les serres maladroitement plantées dans son support, il battit des ailes, - bien plus courtes qu’elles ne devraient l’être - déséquilibré et mal à l’aise suite à la perte de ses plumes de vol.
En regardant ses ailes, il ressentit l’envie de pleurer face à leur disparition, coupées et volées loin de lui, le piégeant au sol et lui arrachant le ciel.
Voilà des semaines qu’il aurait dû prendre son premier envol, maintenant. Un éclair vert dans le ciel comme l'aurait été sa mère.
Il ne sait pas s’il en aura un jour l’occasion.
Pendant qu’Izuku était plongé dans ses pensées, le blond s’approcha encore, ce qui força Izuku à siffler plus fort. Un grondement quitta sa gorge alors qu’il gonflait inconsciemment ses plumes, pointant les griffes mobiles de ses ailes vers l’intrus et frappant sa patte contre l’écorce, espérant faire fuir le nouveau venu. 
Il ne voulait plus que l’on touche à ses plumes. Il ne voulait que plus personne ne le touche.
L’autre dû comprendre le message, car il finit par reculer dans un soupir, parlant dans sa langue étrange et déposant de la viande au pied de son perchoir avant de se retirer hors de sa prison.
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underleaves · 3 years
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It's time to give you some background about my Rookies.
The story takes place in my universe of Hominus, an alternative world to ours where magic exists but is declining and where magical creatures gradually lose their magic and are in constant conflict with humanity. In this world the intermediate stages between original creatures and humans are called Animalïs. Animalïs of the same type often group together in clans, the isolated ones taking refuge in "Forts" where the diversity is important.
The idea of the 4 initiators of the Rookies project is to build a Fort where to welcome all the young animalïs on the border of humanity and to try to awaken the spark of magic that remains in them to operate a backtrack. And if that works, to train them to become a link between the Forts of Europe thanks to their multicultural side. Sometimes shields, sometimes messengers or spies, protecting and uniting the forces of all beings still somewhat linked to magic and preventing them from suffocating in their isolation would be their way of protecting the great magic.
It is a completely crazy project to which they will have wanted to give a chance anyway, considering that at worst, they would have created a Fort where a generation unable to integrate because almost human, but not enough to go unnoticed in the human world could grow up in a protected environment.
For example, during his recruitment Volya feared that he wouldn't be accepted because he could only make claws appear and disappear (while he was typically the portrait of the poor kid who has nowhere to go that the initiators were looking for.), Lille can jump higher than a normal human and she has a micro-muzzle on which she has no control, and Lāsma can summon or revoke fins at will. ^^
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Il est plus que temps de vous préciser un peu le contexte autour de mes Rookies.
L’histoire se passe dans mon univers d’Hominus, un monde alternatif au nôtre où la magie existe mais est déclinante et où les créatures magiques perdent peu à peu leur magie et sont en conflit permanent avec l’humanité. Dans ce monde les stades intermédiaires entre les créatures originelles et les humains sont appelé Animalïs. Les animalïs d’un même type se regroupent souvent par clans, les isolés se réfugient dans des « Forts » où la mixité est importante.
L’idée des 4 initiateurs du projet des Rookies est de construire un Fort où accueillir tous les jeunes animalïs à la frontière de l’humanité et de tenter de réveiller l’étincelle de magie qui reste en eux pour opérer une marche arrière. Et si ça marche, de les former pour qu’ils deviennent un lien entre les Forts d’Europe grâce à leur côté multiculturel. Tantôt boucliers, tantôt messagers ou espions, protéger et unir les forces de tout les êtres encore un tant soit peu liés à la magie et les empêcher de s’asphyxier dans leur isolement serait leur façon à eux de protéger la grande magie.  
C’est un projet complètement fou auquel ils auront voulu donner une chance quand même, en se disant qu’au pire, ils auraient créé un Fort où une génération incapable de s’intégrer car quasiment humaine, mais pas assez pour passer inaperçu dans le monde des hommes pourrait grandir dans un environnement sain et protégé.
Pour exemple, lors de son recrutement Volya craignait qu’on ne veuille pas de lui car il pouvait seulement faire apparaître et disparaître des griffes (alors qu’il était typiquement le portrait du pauvre gosse qui n’a nul part où aller que les initiateurs recherchaient.), Lille a une bonne détente et un micro-mufle sur lequel elle n’a aucun pouvoir et comme je vous l’ai déjà précisé, Lāsma peut invoquer ou révoquer des palmes à volonté. ^^
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allons-y-langues · 4 years
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Another spooky French show!
Keeping in theme with shows I watched as a child- here’s a vocab list for Crypte Show (also known as Tales from the Crypt Keeper en anglais)
 Saison 1, ep 3 “Frissons Garanti” FULL EPISODE -YouTube-
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VOCAB LIST IN UNDERCUT
Frissons Garanti - Thrills guaranteed
Un petit goûter - A little snack
Un cauchemar - Nightmare 
Un cimetière - Graveyard 
Une clé - Key 
Une casquette - A cap
Visage - Face
Au secours - “Help”
Protéger - Protect 
Feignant - Lazy 
Horrible bête - Horrible beast 
Une histoire de fou - A crazy story 
Zut - Damn/darn
Je l'ai échappé - “I escaped it” 
Un chevalier - A knight 
Un marais - A swamp 
Mordue - Bitten
Piétiné - Trampled 
Griffés - Scratched 
Battu - Beaten
Courageux/use - Courageous
Réveillez-vous - “Wake up”
La cabane - The shack
Créature - Creature
Pierre tombale - Gravestone 
La statue de moyens-âgés - The middle-aged statue 
Plaisanter - To joke
Ce bonhomme - “This guy”
On s’en fiche - “We don’t care”
Il s’agit que d'un rêve - “It’s just a dream”
Souffrance - Suffering 
En train de dormir - Sleeping 
Petit gars - Little guy 
Les bandes dessinés - Comic books
Un boulot - A job
A brimer - to bully
Un pauvre diable - A poor devil
Comme-toi  - “Like you” 
Rôtir en enfer - “Roast in Hell” 
La conscience tranquille - A clear conscience 
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loveffooled · 3 years
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@carvesbrides​​   continued   from   here.
vehement   declaration   would   lead   inevitably   to   the   fumbling   of   the   doe.   his   emerald   hues   glinting   with   some   mixture   of   terror   and   worry,   object   of   his   concerns   before   him   now   as   he   dares   with   shaking   limbs   to   step   back   to   the   comfortable   distance   afforded   to   him.   indicated   then,   by   the   district   lack   of   aggression.   in   spite   of   the   fear   that   grips   him,   wracks   his   fingers   and   worries   the   space   between   brows   in   a   tender   crease,   his   voice   reflects   a   sort   of   genuine   tenderness   that   would   give   cause   for   many   a   creature   to   wince.   the   folly   of   man   was   ne’er   trusting   in   their   fellow   humans,   and   thus,   becoming   that   which   made   them   in   the   first   place.   of   course,   the   brave   fools   who   continue   on   without   such,   bear   the   wounds   of   a   life   lived   daringly.   and   he   had   many   a   wound   to   bear   to   those   who   would   care   enough   to   ask.   his   voice   like   honey,   reassuring,   gentle.   the   voice   of   his   mother   in   his   mind   :   easy,   easy,   mon   chéri.   move   with   kindness   and   kindness   in   turn   you   will   get.   a   creed   he   lived   by,   and   surely,   would   die   by.
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            ❛      easy ,   easy .   oh ,   toi   pauvre   chéri .   i’m   not   going                         to   hurt   you ,   and   i’m   not   going   to   touch   you .     ❜
it   was   the   truth,   as   much   so   as   he   could   convey   through   his   words   alone.   palms   raised   and   open   in   some   sort   of   movement   to   ease   his   mind.   not   a   step   made   to   trek   upon   the   space   he   needed.   his   lips   spill   forth   his   softness.   no   such   command   from   his   ethereal   form,   more   some   hushed   guidance   from   some   heavenly   creature   sat   upon   your   bedside   in   the   early   hours   of   morn   on   a   day   you   thought   you   wouldn’t   survive.
        ❛      breathe ,   breathe ,   mon   chéri .   can   you   do   that   for   me ?     ❜
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classical-vanity · 4 years
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Questions tag
Tagged by @the-3rd-of-may, thank you!
Favorite color? Blue
Last song I listened to? Munny Right by Jon Bellion (going through Brock Boeser’s relax playlist, this is the first time I ever heard that song lol, great playlist tho) (moved on to Sweet Creature in the meantime)
Favorite artists?  Harry Styles, Lana del Rey, Tor Miller, The Weeknd, Mt. Joy, Arkells, Tom Rosenthal, Joji, Blackbear, Cage the Elephant, Glass Animals
Last movie watched? The Devil All The Time
Last show watched? The Punisher
Bubble tea or coffee? Bubble tea
I tag: @lareinedususpense @conqueresses @giveyouthisgiveyouthat @harryssolotour @itsapinkerababy @athenaefilia @thecynical-idealist @wittlecritter @luxe-pauvre if you want to do it ofc xx
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absentheisme · 4 years
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L’humanité
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Soir bleu - Edward hopper 1914
Que se passe-t-il quand autrui fait défaut dans la structure du monde ? Seule règne la brutale opposition du soleil et de la terre, d’une lumière insoutenable et d’un abîme obscur : “la loi sommaire du tout ou rien.
Michel Tournier et le monde sans autrui - Gilles Deleuze
La toute première absence qu’on expérimente, c’est celle de l’Autre. Dans la prime enfance, la disparition momentanée du parent engendre la panique, seul repère d'un être dont le monde se limite à un visage. Plus les années passent, plus elle se prolonge, chaque nouvelle rencontre induisant une future séparation. Car, au fond, on vit toujours avec l’absence de quelqu’un. On apprend à supporter le manque, un pincement au coeur, on en fait son quotidien. Revoir ceux qui nous ont manqué est alors d’autant plus fort. Cependant, qu’advient-il d’un être qui n’a pour seul reflet que lui-même, n'ayant pour opposant que son ombre ? Le fantasme de la parfaite solitude et de son impact sur l’humain a fait couler beaucoup d’encre, les écrivains comme les philosophes s’en saisissant pour démontrer la nécessité ou le danger induit par la présence d’autrui. L’humanité reste-t-elle intacte dans la solitude ?
Dans Vendredi ou les limbes du pacifique, on suit le lent cheminement d’un homme vers une appréhension nouvelle de son rapport aux autres. Être maître dans la solitude la plus totale exerce sur lui un intérêt particulier. Au fur et à mesure des jours et de sa connaissance de l’île, il élabore des règles qui ne sont qu’un moyen de se raccrocher à une société perdue, à une humanité disparue. La volonté de régner n’est rien d’autre qu’une quête de lien par la servitude. De même, son souverain bien est transcendant, le salut, sa vie soumise à des principes qui le dépasse, comme une réminiscence d’un hiérarchie toute humaine. Vite s’estompent les premières joies de la solitude. Les réflexions se ternissent avec l’étalement du temps, la prégnance de l’isolement, et vient l’inévitable questionnement existentiel.
Si un jour on m’avait dit que l'absence d’autrui m’aurait fait douter de l’Existence, comme j’aurais ricané. [...] Exister qu’est-ce que ça veut dire ? ça veut dire être dehors, sistere ex. Ce qui est à l’extérieur existe. Ce qui est à l’intérieur n’existe pas.
Si n’existe que ce qui est en-dehors de nous, alors évoquer devient véritablement faire émaner du Verbe, ex vocare, faire naître. La parole perd de son sens quand seul, les jours passent, les mots se font rares puis se taisent. Seul reste un corps et le silence, ses pensées sont des illusions, le papier de son log book reste le seul lien entre lui et lui-même, peut-être la seule preuve de son existence. À force de silence, les contours du Réel se font flous, l’existence de Speranza même n’est plus qu’un douloureux doute.
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Thérèse - Alain Cavalier 1986 
Il se pourrait bien qu’un jour, je disparaisse sans trace, aspiré par le néant que j’aurais fait naître autour de moi.
Car, le néant, il le fait naître en se taisant, au fur et à mesure qu’il comprend que l’être de l'homme qu’il est n’est qu’un moyen de connexion à l’autre. Son visage se fait roc, car la solitude l’a rendu impassible. Feindre des expressions, des sentiments, ne suffit pas pour réveiller en ses traits l’éclat du lien social. On pourrait alors penser que la plus grande félicité lui viendrait par retrouvailles de ce contact perdu, trop longtemps rêvé ; ce serait être bien naïf. Aussitôt que Vendredi s’établit sur l’île, Robinson s’empresse de l’écraser sous toutes les tendances humaines de domination que sont : l’esclavage, la théorie de supériorité des races, l’ethnocentrisme, le prosélytisme, et la xenophobie.
En un microcosme, cette fois accompagné d’un être auquel il peut imposer sa volonté, l’homme si avide de présence et de l’Autre se fait despote, recréant maladroitement la société qu’il connaissait en Angleterre. Une société de privilèges, où lui, l’homme blanc, a tous les droits sur ceux qu’il juge inférieur. Il veut le modeler à son image car il se pense parfait, la plus belle des créatures de Dieu. Pour lui, il est civilisateur, bienveillant, voulant protéger cette pauvre âme errante de l'éternelle damnation. Investi d’un but nouveau, sa vie reprend du sens. L’humanité en tant que groupe lui manquait, il en a perdu la sienne.
Le lien très étroit entre les deux humanités, qu’elle soit ensemble du genre humain ou  bienveillance de ses membres les uns envers les autres, pose la question de l’existence de l’une sans l’autre. Robinson, en perdant autrui perd peu à peu ce respect qui devient une volonté exacerbée de domination lors de la redécouverte d’un altérité. Toutefois, malgré des débuts difficiles, c’est au contact de Vendredi qu’il apprend et découvre, à partir du moment où il cesse de vouloir à tout prix lui être supérieur. Le voyage leur aura ainsi permis de “frotter et limer [leurs] cervelle[s] contre celle d’autrui”, au sens le plus montaigniste qui soit. Que se passe-t-il cependant quand ne vient pas la remise en question, quand la solitude s’insinue jusqu’à en faire disparaître la moindre trace ?
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Poolside - Hiroshi Nagai 1970
Frankenstein or the modern Prometheus en est certainement la démonstration la plus flagrante et saisissante. Deux solitudes s’y opposent, celle du docteur, tellement plongé dans ses pensées et futures expériences qu’il en néglige la réalité, seul dans son château, et celle de sa créature, venu au monde sans repère, ensemble de membres rapiécés aussi vite mis au monde qu’abandonné. Frankenstein a voulu se faire Dieu en créant l’homme, mais a été incapable de l’amour inconditionnel nécessaire à un père, plus enfant lassé de son nouveau jouet qu’autre chose. Être mis dans cet état de silence et de solitude par autrui est d'une violence extrême qui pousse l’individu à remettre en question sa raison d'être et le propre de son existence. La créature est tellement déconnectée du genre humain qu’elle n’a pas de nom, premier signe d’humanité. Pourtant, elle est le personnage le plus touchant et bon de l’oeuvre.
God, in pity, made man beautiful and alluring, after his own image; but my form is a filthy type of yours, more horrid even from the very resemblance. Satan had his companions, fellow-devils, to admire and encourage him; but I am solitary and abhorred.
Ainsi, la solitude naît de ce qu’on lui refuse l’altérité, trop plein de préjugés sur son apparence que sont les autres êtres humains. Ce n’est pas qu’il perd son humanité dans le manque de l’autre mais plutôt que l’absence de compréhension de son rapport à son environnement le pousse à commettre des actes que l’on pourrait qualifier d’inhumains, si oeuvre d’un être informé du fonctionnement du monde. Le meurtre ne naît que d’une difficulté à apprehender son corps face à celui des autres qui n’aurait pas lieu d’être si on l’avait guidé, si on l’avait élevé.
Listen to me, Frankenstein. You accuse me of murder; and yet you would, with a satisfied conscience, destroy your own creature. Oh, praise the eternal justice of man!
Sa solitude fait grandir sa haine à l’égard des humains qui le rejettent, le chassent et l’insultent. Il aura beau essayer de communiquer, de tisser des liens avec autrui, le dialogue s’est rompu définitivement au moment de son abandon. Il est un être d'incompréhension, que personne ne comprend et qui ne se comprendra jamais lui-même.  
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Mercredi 16 décembre 2020
Nick Cave toujours et noël approche
Bon, encore une fois je me retrouve à me rappeler que je tiens un journal et que ça fait un moment que je ne l'ai pas nourri. Alors voilà, hop, on se retrousse les manches et au boulot ! Ah, si seulement c'était un vrai travail, si j'étais payé à la ligne, je serais probablement heureux. Encore une fois je me demande qui me lit, il se pourrait que j'écrive dans le vide, mais je crois que Melissa reste une fidèle lectrice, d'après ce qu'elle m'a dit. Alors, j'espère qu'au moins elle lira ce récit. Hé, si tu me lis, je te salut, vieille amie ! Peut être que Dilara aussi me lira si je lui dit que j'ai posté ce soir. J'ai parlé de Dilara ici dans le passé ? C'est une bonne amie, une artiste talentueuse, une merveilleuse belge, un jour nous irons faire les musées ensemble !
Qu'est ce que j'ai à raconter ? Alors que les jours passent, je plonge dans une exploration encore plus profonde de l'oeuvre de Nick Cave. C'est mon obsession du moment. Je veux tout savoir, tout entendre et tout lire sur le sujet. Je pose beaucoup de questions à mon frère puisqu'il est sensé le connaître depuis 15 ans. Parfois il me répond, et d'autres fois il me renvoie vers Wikipedia. L'autre jour, il m'a dit que j'étais quand même sacrément obsessif et que si je n'étais pas un amateur de musique, je serais probablement un serial killer, avant d'ajouter « il faudrait quand même que tu saches au moins manier un couteau pour ça ». Eh bien je ne sais pas si il a raison...enfin si, je sais que je suis incapable de découper des gens en morceaux, je préfère manier le vinyle et la platine. Je lui ai répondu que j'étais probablement autiste (en ne plaisantant qu'à moitié). C'est vrai que je suis un peu obsédé, quand j'ai un sujet en tête je ne pense qu'à ça et ça dure des semaines, des mois, voir des années. Picasso, par exemple, m'a accompagné pendant au moins trois ans, le temps que je lise tout ce que j'avais à lire sur lui, que j'achète tout ce que j'avais acheter en beaux livres sur son œuvre et puis il y eu le grand final, lorsque je suis allé au musée Picasso et que j'ai pu enfin admirer ses œuvres de mes propres yeux, en vrai et de tout près. Après ça, j'ai bien digéré le sujet et maintenant je suis passé à Nick Cave. Je ne sais pas combien de temps tout ça va me prendre, il faudra bien que je finisse par le voir sur scène pour bien l'intégrer complétement. Et puis je le rangerais dans le panthéon des grands artistes aux côtés de Dylan, Neil Young, Bowie et compagnie. Ainsi, il m'accompagnera jusqu'à la fin de mes jours.
Depuis la dernière fois, Justine, Canel et moi avons continuer notre nouveau hobby qui consiste à streamer une heure de musique chacun notre tour. Les semaines passent et les thèmes s'enchaînent. J'ai plein d'idées de nouveaux thèmes, et la semaine prochain j'en ferais un spécial noël, j'ai hâte.
J'ai noté dans mon bloc note virtuel des idées de sujets à aborder ici. Il y a « les rêves récurrents ». C'est vrai que j'ai, depuis des années, des rêves récurrents, qui persistent au fil des ans. Le plus ancien étant « le retour au collège » dans lequel je me vois revenir enfin au collège de Lafrançaise. Quitter ce collège a été une sorte de traumatisme (pauvre chou, je suis fragile, n'est ce pas?) pour moi et il semblerait que je n'ai jamais pu tout à fait m'en remettre puisque 20 ans après, je continue de faire des rêves dans lesquels je retourne au collège, parfois j'y retrouve mes vieux amis d'alors... Que dirait un psy de tout ça ? Le mien ne m'interroge jamais sur mes rêves. En ce moment, je dirais depuis plusieurs mois, j'ai un autre rêve qui revient régulièrement, c'est un rêve dans lequel reviennent des membres de ma famille, oncles, tantes, cousins et cousines. Je ne sais pas pourquoi je rêve d'eux, alors que je les vois quasiment jamais, sinon très rarement. J'ai un drôle de rapport avec mes cousins. Nous ne sommes pas proches, nous ne nous voyions quasiment plus et pourtant je les ai dans un coin de ma tête et j'aime bien savoir ce qu'ils deviennent. J'ai bien revu Jimmy à Paris ces dernières années, avec lui j'ai pas mal discuté, parfois sur messenger. A vrai dire je suis le seul des cousins à avoir un contact avec lui. Il y a des mois de ça, j'ai envoyé un message à Vincent (il a le même age que moi, c'est là notre seul point commun) en lui suggérant que nous allions boire un verre ensemble, à l'occasion. Il m'a répondu quelque chose du genre « pourquoi pas, passe à la maison un de ces quatre ». Bon, je sais qu'il est peu probable que ça arrive. De toute façons, il n'a plus le temps pour ça. Lui comme ses frères et les autres cousins ont une vie désormais. Ils sont parents, ils ont un job, une maison, plus le temps pour les trivialités, ils sont adultes, eux. Maintenant, ,nous sommes condamnés à nous croiser une fois tous les deux ans chez la grand-mère et lors des enterrements (qui vont irrémédiablement arriver de façon de plus en plus régulière dans les années à venir, c'est la vie, enfin, c'est la mort, enfin, vous m'avez compris). Voilà tout ce qui nous lie. Les cousins, ce sont des amis que l'on a pas choisi. Je n'ai plus grand-chose en commun avec eux, mais parfois je me prend à rêver qu'on se revoit et qu'on se retrouve à discuter de nos vies. Pourtant, cette éventualité m'effraie, si je devais leur parler de ma vie d'individu qui ne contribue en rien à la société, contrairement à eux, j'aurais terriblement honte...
Noël approche, sinon. Ca explique ma bonne humeur. Quand noël approche je me sens bien. Je bénie ce jour du fond de tout mon cœur d'athée ! Cette année encore nous allons réveillonner chez mon frère. Sauf que, covid oblige, nous ne pouvons pas être nombreux alors cette année nous ne verrons pas la belle famille de mon frère, à savoir ses beaux parents et son beau frère, des gens bien sympathiques au demeurant. Et puis, cette année nous serons dans sa nouvelle demeure. Et le petit Paul grandit, peut être qu'il va commencer à réaliser que noël va avoir lieu ? Il est peut être encore un peu petit... j'ai acheté tous les cadeaux des gens, en tout cas. J'ai vraiment hâte de leur offrir, surtout ceux de mon frère, on verra dans ses yeux si j'ai visé juste cette année. Et j'ai hâte de découvrir ce qu'il va m'offrir. Ce suspense me tue ! J'adore ça.
J'avais prévu de voir Justine et Canel, et d'aller au cinéma en leurs compagnies. Sauf que, loupé, ce sera pas pour ce mois puisque les cinémas n'ont pas rouverts... quelle déception. J'avais aussi prévu d'organiser un truc avec elles pour le soir du 31 décembre, mais ce jour là, il y aura le couvre feu. Eh oui, c'est toujours 2020, l'année qui nous fait bien chier ! Je ne m'en plains toutefois pas trop, tant que mes proches et moi avons la santé, il faut s'estimer heureux, je crois, avant de hurler « pire année ! ».
Je crois que j'ai assez écris pour ce soir. J'espère que je n'ai pas écris trop de bêtises, pardonnez-moi si c'est le cas, après tout je ne suis qu'un homme avec la maturité d'un adolescent, ne l'oubliez pas avant de me juger !
Bande son : Lovely Creatures, Nick Cave and The Bad Seeds
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lemagcinema · 11 months
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Pauvres Créatures de Yórgos Lánthimos
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Un film de Yorgos Lanthimos Avec: Emma Stone, Mark Ruffalo, Willem Dafoe, Ramy Youssef, Jerrod Carmichael, Margaret Qualley, Christopher Abbott, Damien Bonnard, Kathryn Hunter, Suzy BembaAprès s’être noyée pour échapper à son mari violent, le cerveau de Bella Baxter est remplacé par celui de son enfant à naître.
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/microcritique/pauvres-creatures-de-yorgos-lanthimos/
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asta-daily · 4 years
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Adventure - Shadow Giant
The plenipotentiary pauses to catch their breath, their clawed hand resting on their knees. After that, they stand again ad starts to yell at the top of their lungs : - "Noble Shadow Giant! We bid you! Welcome!" They pause.- "You've entered! The sovereing kingdom! Of Sulei-kin! We do hope! Your intentions! Are peaceful!" Another pause. -"Please state! Your business! (heavy breathing) We're in the middle! Of the! Attribution festival." It must have been quite the effort and the poor creature looks exhausted. What will you do? - Respect their traditions and leave the place. - Ask about the Attribution Festival, out of curiosity, - or suggest me something else? ***
Le plénipotentiaire fait une pause pour reprendre son souffle, ses petite mains griffues sur ses genoux. Une fois prêt, iel se redresse et hurle de tous ses poumons :- "Noble Ombre Géante ! Nous te ! Saluons !"Pause.- "Vous avez pénétré ! Sur nos terres ! Du royaume de ! Sulei-kin ! Nous espérons ! Que vos Intentions ! Sont Pacifiques !"Une autre pause.-"Dites nous ! S'il vous plait ! La raison ! De votre ! Visite ! (Iel reprends son souffle) Nous sommes ! En plein Festival ! de l'Attribution !"
L'effort a du être conséquent car la pauvre créature semble complètement épuisée. Que ferez-vous ? - Respecter leur coutume et les laisser en paix, - Demander ce qu'il retourne de ce festival des Attributions, par curiosité, - Me suggérer autre chose. Pencil doodle on A6 Sketchbook / Porte-mine sur carnet A6 Choose your own direction       
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