Journal des Dames et des Modes, Costumes Parisiens, 25 juin 1828 (marked 24 juin 1828 in a note by the publisher), (2609): Chapeau de paille de riz du Magasin de Mme Millet, Boulevart Italien, No. 20. Robe de foulard. Pélerine de tulle à quadrilles appliqués. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Paille de riz hat from Millet's shop. Foulard gown. Pelerine of tulle with 'quadrilles appliqués' (diamonds). Further accessories: gloves, lorgnette, handkerchief, flat shoes with straps. The print is part of the fashion magazine Journal des Dames et des Modes, published by Pierre de la Mésangère, Paris, 1797-1839.
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Nous ne sommes jamais seules sur le chemin...
Je n’ai pas pris le temps de m’investir intensément dans le projet “Portraits de Femmes” sur Compostelle, car j’avais besoin de temps pour digérer ma propre expérience. Tous ces ressentis, toutes ces rencontres, toutes ses prises de conscience personnelles. Il faudra encore du temps pour tout prendre en compte, pour réaliser à quel point cette aventure m’a apporté et transformé… Le moment viendra ;)
En attendant, je vous partage le magnifique portrait d’Aline, de Poitiers. Un soleil sur mon chemin. Elle m’a fait rire, elle m’a inspiré par sa détermination et m’a touché par ses peurs qu’elle a vaincues… Je vous laisse découvrir !
Aline, pourquoi parcoures-tu Le Chemin de Compostelle ?
Pendant plusieurs années, j'ai vu les pèlerins passer devant ma maison sur la voie de Tours et je me suis toujours dit : « Moi aussi, un jour je ferai le chemin ! ». Au départ, l’idée était plus d'un challenge (Aline est coach sportive… on comprend mieux la notion de challenge ;) ) mais au fil des années c'est devenu un ''rendez-vous’’. En effet, je pars sur le chemin 9 jours par an depuis 4 ans maintenant !
Il me semble que c’était la première fois que tu le faisais seule, quelles ont été tes craintes avant de partir ?
En effet, cette année je suis partie seule les 6 premiers jours. Jusque-là j'étais accompagnée… car pour moi c'était l'inconnu, j’avais peur de me tromper de chemin, peur de faire de mauvaises rencontres, peur de m'ennuyer et de ne pas avoir quelque chose à partager…
Finalement qu’est-ce que tu retiens du fait de l’avoir fait en partie seule ?
Maintenant, l’ayant fait seule, j’ai trouvé quelque chose d'incroyable : une liberté encore plus présente et une facilité à aller vers les autres pèlerin(e)s, aussi bien le soir à table que sur le chemin. Les rencontres se faisaient naturellement et ces rencontres ont été très très belles.
Il y’a tellement de bienveillance sur ce chemin !
Quelles sensations cela t’a procuré ?
En marchant seule, j’ai pu faire attention à mon corps un peu plus que d'habitude, très à l'écoute du moindre bobo et surtout j'ai marché en pleine conscience à l'affût du moindre bruit des oiseaux et de la nature. J’ai beaucoup aimé pouvoir m'arrêter quand je le voulais pour méditer ou prier ou encore pour prendre de belles photos.
Une anecdote du chemin ? Ou une émotion inoubliable sur l’une de tes chemin ?
Lorsque je suis rentrée dans une petite chapelle, une pèlerine était en train de chanter une magnifique chanson… Nous étions plusieurs à rentrer discrètement dans cette chapelle et nous nous sommes laissés envahir par l'émotion de cette chanson. Sa voix était si enfantine, c’était tout simplement magnifique ! Nous avions tous les larmes aux yeux à la fin et nous l'avons remercié avec des applaudissements pour ce moment qu’elle nous a offert, c’était incroyable !
Quel(s) conseil(s) aux femmes qui n’osent pas se lancer seules ?
Pour celles qui veulent partir seules, surtout n'hésitez pas !
C'est bien comme on me l'a dit plusieurs fois ''nous ne sommes jamais seules sur le chemin'' et c'est vrai, je valide !
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