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chic-a-gigot · 11 months
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La Mode illustrée, no. 29, 21 juillet 1912, Paris. Les nouvelles fleurs en tissu. Louise Villas. No. 1. — Rose en ruban. (Contour de la fleur: 40 centimètres.) No. 2. — Rose en taffetas. (Contour: 13 centimètres.) No. 3. — Rose pompon. (Contour: 6 centimètres.) No. 4. — Pavot. (Contour: 27 centimètres.) Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. — Rose en ruban.
Exécution. — Tailler une rondelle de mousseline à patron de 6 centimètres de diamètre. Se procurer du ruban de faille très souple de deux jolis tons de rose. Le plus foncé réservé pour le cœur de la fleur. Il faut 1 mètre 30 de chaque teinte sur une largeur de 6 centimètres. Froncer ensuite le bas du ruban en réduisant la longueur à 40 centimètres au plus.
Pour simuler les pétaies il suffit de "pincer" le ruban de distance en distance en fixant les plis par un point. Les premiers pétales sont formés à 10 centimètres de distance (prise à la lisière du ruban), puis on augmente progressivement jusqu'à 18 centimètres pour les plus grands pétales.
Ceci fait, on commence par coudre au centre de la rondelle l'extrémité froncée du ruban foncé, puis l'on tourne en colimaçon en cousant le ruban. La jonction des deux teintes est invisible, puisqu'elle s'opère sous un pétale. Une fois la fleur terminée on repousse intérieurement la rondelle de mousseline, afin de produire une cavité qui donne du relief à la fleur. Ajouter une tige avec feuillage artificiel.
Cut a round of patterned muslin 6 centimeters in diameter. Get some very flexible faille ribbon in two pretty shades of pink. The darkest reserved for the heart of the flower. It takes 1.3 meters of each shade over a width of 6 centimeters. Then gather the bottom of the ribbon, reducing the length to 40 centimeters at most.
To simulate the petals it is enough to "pinch" the ribbon from distance to distance by fixing the folds with a point. The first petals are formed 10 centimeters apart (taken from the edge of the ribbon), then gradually increase to 18 centimeters for the largest petals.
This done, we start by sewing the gathered end of the dark ribbon in the center of the washer, then we turn in a spiral by sewing the ribbon. The junction of the two shades is invisible, since it takes place under a petal. Once the flower is finished, the muslin disc is pushed back inside, in order to produce a cavity which gives relief to the flower. Add a stem with artificial foliage.
No. 2. — Rose en taffetas.
Ce genre de fleur est destiné aux garnitures de robes, employées en bouquets pour retenir les plis d'une draperie, ou rangées sur le devant des corsages en guise de boucle de ceinture.
Chaque rose se compose d'un cœur et de cinq pétales. Le cœur se fait avec un biais de tissu replié. Il a une longueur de 12 centimètres sur une largeur de 5, centimètres, ce qui donne 2 centimètres 1/2 une fois replié.
Commencer à fixer le fil à l'extrémité d'un des bords supérieurs mis en double, descendre en biais en comptant les points jusqu'au bord inférieur, remonter en formant le même nombre de points et continuer ces zigzags sur toute la longueur du biais. Tirer fortement le fil. Rouler cette petite ruche qui formera des pointes chiffonnées, la lier par le pied, et couper le surplus du tissu. Ses pétales sont des carrés de toile de soie ayant 10 centimètres de largeur pour les deux premiers, 12 centimètres pour les trois autres, cinq pétales étant nécessaires pour faire ces roses. Après les avoir taillés, on les ploie en "mouchoir" et l'on passe un fil allant d'un angle à un autre, en prononçant plus ou moins la courbe du côté de la pointe du milieu suivant le relief que l'on désire obtenir. La pointe qui reste au milieu doit être ensuite supprimée.
Tirer sur le fil sans trop serrer et arrêter solidement. Procéder de cette façon pour chaque pétale. Les monter ensuite autour du cœur en commençant par les plus petits.
Les feuilles s'obtiennent aussi avec avec un carré de tissu. On les reploie également en mouchoir. Mais ici on coupe l'étoffe de façon à former deux triangles, ce qui fait deux feuilles par carré.
Reployer ensuite le triangle. Faire une couture partant du sommet jusqu'au bas. Retourner ce cornet. Le côté pointu simule le haut de la feuille. Le bas froncé très serré forme des plis imitant les nervures. Chaque feuille se fixe ensuite sous la rose qui doit rester assez plate.
Each rose consists of a heart and five petals. The heart is made with a folded fabric bias. It is 12 centimeters long by 5 centimeters wide, which gives 2.5 centimeters when folded.
Begin to fasten the thread at the end of one of the upper edges doubled, go down on the bias by counting the stitches to the lower edge, go up by forming the same number of stitches and continue these zigzags over the entire length of the bias. Pull the thread strongly. Roll up this little ruffle which will form crumpled points, tie it by the foot, and cut off the excess fabric. Its petals are squares of silk canvas, 10 centimeters wide for the first two, 12 centimeters for the other three, five petals being necessary to make these roses. After having cut them, we fold them in a "handkerchief" and we pass a wire going from one angle to another, by pronouncing more or less the curve on the side of the point of the medium according to the relief which we desire. The tip that remains in the middle must then be removed.
Pull the thread without tightening too much and stop firmly. Proceed in this way for each petal. Then mount them around the heart, starting with the smallest ones.
The leaves are also obtained with a square of fabric. They are also folded into a handkerchief. But here we cut the fabric so as to form two triangles, which makes two sheets per square.
Then fold the triangle back. Sew a seam from top to bottom. Return this cone. The pointed side simulates the top of the leaf. The very tight gathered bottom forms pleats imitating the ribs. Each leaf then attaches under the rose which must remain fairly flat.
No. 3. — Roses pompon.
Destinées soit à un chapeau, soit comme bouquet de corsage.
Ces roses se font en toile de soie de deux tons avec feuillage artificiel. On procède pour les faire comme pour les précédentes, avec cette différence que les dimensions en sont très réduites. Le cœur est taillé sur une longueur de 12 centimètres sur 3 centimètres de largeur. Les zigzags sont beaucoup plus petits et on adapte ce cœur à une tige de laiton qui sert de monture à la fleur. Les pétales, au nombre de six, se cousent un à un. Les premiers carrés ont 4 centimètres 1/2 de largeur, les autres 5 centimètres 1/2. Procéder comme pour le précédent modèle, en enveloppant bien le cœur de façon à ce que la fleur ne soit pas trop épanouie. Enfiler les fils de laiton dans des tubes de caoutchouc et terminer par quelques feuillages.
Intended either for a hat or as a corsage.
These roses are made of two-tone silk canvas with artificial foliage. We proceed to make them as for the previous ones, with this difference that the dimensions are very small. The heart is cut over a length of 12 centimeters by 3 centimeters wide. The zigzags are much smaller and this heart is adapted to a brass rod which serves as a mount for the flower. The petals, six in number, are sewn together one by one. The first squares are 4.5 centimeters wide, the others 5.5 centimeters. Proceed as for the previous model, wrapping the heart well so that the flower does not bloom too much. Thread the brass wires into rubber tubes and finish with some foliage.
No. 4. — Pavot.
Pour faire cette jolie fleur on emploie du ruban à picots qui existe en de charmants coloris souvent ombrés, ce qui permet dans la largeur de trouver deux fleurs d'un ton différent. Il faut environ 75 centimètres de ruban sur une largeur de 12 centimètres pour faire deux fleurs, soit 6 centimètres de largeur pour chaque fleur.
Diviser en cinq parties ces 75 centimètres. Les séparer. Froncer le bas de chaque bande en partant du picot et en décrivant une courbe comme pour les roses. Abattre ensuite les pointes qui restent de chaque côté. Serrer fortement le fil et arrèter.
L'armature du cœur consiste en un bouton quelconque de 1 centimètre de diamètre ou d'une simple rondelle de carton rembourrée d'ouate, que l'on adapte à un fil de laiton. Recouvrir ensuite cette armature avec une sphère de toile de soie vert pâle en la fronçant autour de la tige.
Passer des fils noirs en les entrecroisant sur toute la surface du cœur. Adapter autour une petite ruchette ayant 1/2 centimètre de hauteur et faite comme il à été dit pour les cœurs des roses. Presser fortement les plis afin d'imiter les pistils et coudre autour du cœur. Employer du taffetas ou de la toile de soie noire, gros bleu, violet ou un ton changeant très foncé. Une fois le coin terminé, placer les pétales autour en les chevauchant l'un sur l'autre. Terminer par une branche de feuillage.
On peut tout aussi bien employer du ruban sans picots; et ces fluers, exécutées en rouge, imitent à s'y méprendre les coquelicots des champs.
To make this pretty flower we use spiked ribbon which exists in charming colors often shaded, which allows in the width to find two flowers of a different tone. It takes about 75 centimeters of ribbon over a width of 12 centimeters to make two flowers, or 6 centimeters in width for each flower.
Divide these 75 centimeters into five parts. Separate them. Gather the bottom of each strip starting from the picot and describing a curve as for the roses. Then cut down the remaining tips on each side. Tighten the thread strongly and stop.
The frame of the heart consists of any button 1 centimeter in diameter or a simple round piece of cardboard stuffed with wadding, which is fitted to a brass wire. Then cover this frame with a sphere of pale green silk fabric by gathering it around the stem.
Pass black threads criss-crossing them over the entire surface of the heart. Adapt around a small hive 1/2 centimeter high and made as it was said for the hearts of the roses. Firmly press the folds to imitate the pistils and sew around the heart. Use taffeta or silk black, deep blue, purple or a very dark changing tone. Once the corner is finished, place the petals around it, overlapping them one on top of the other. Finish with a branch of foliage.
You can just as well use ribbon without pins; and these flowers, executed in red, imitate field poppies unmistakably.
Louise Villas
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 173
Aménagement du Second (en vue de la touze estivale)
Dans la semaine qui a suivi notre décision d'aménager le second étage en dortoir, Olivier nous faisait passer les plans et nous rencontrions l'entrepreneur pour le devis.
Il est arrivé toujours aussi " sexe " même avec 3 ans de plus. Short court, cater aux pieds et marcel blanc immaculé. Dans le séjour/salon, nous étalons les plans sur la grande table et lui expliquons ce qu'on attend de lui. Nous montons voir sur place. Il donne quelques coups de tournevis dans les cloisons pour vérifier que ce ne sont, justement, que des cloisons en briques. Nous parcourons tout l'étage et il nous dit qu'il va devoir revenir avec son plombier et son électricien afin d'établi un devis qui tienne la route. Il nous quitte après un apéro léger et l'assurance de revenir dès le lendemain fin d'après midi avec ses collègues.
Ils déboulent à 4. Il me les présente, deux mecs 40aine le plombier et l'électro et, le dernier la 20aine, son Second. Si le Maçon et ses collègues sont softs (pantalon et chemisette), son Second lui est dans la tenue que son chef avait la veille, short aux jambes roulées sous les fesses, marcel blanc moulant et Cater aux pieds. Je déshabille ce dernier du regard. Un beau mec musclé, bronzé, avec un sourire " Colgate " qui lui barre le visage. Quand nos regards se croisent, je reconnais un des apprentis de la piscine. Il me fait un clin d'oeil complice.
Nouveau passage au Second, les deux artisans complémentaires prennent leurs notes et nous quittent. Le Maçon et son Second restent un peu afin de soit disant vérifier l'état de la piscine 3 ans après. Ils commencent par faire le tour du bassin, vérifiant la terrasse, les margelles. Pour vérifier le rebord intérieur, le Second se met à 4 pattes et se penche au dessus de l'eau. Le Maçon à mes cotés me fait la remarque que s'il s'est bien développé (son apprenti), c'est toujours la même salope que quand ils étaient venu faire la piscine. Je me penche au dessus du jeune mec et pose ma main droite sur son short tendu par ses fesses musclées. Ce simple geste le fait se cambrer. Il m'a l'air d'avoir évolué aussi de ce coté là, je me rappelais un jeune mec beaucoup plus timide. En attendant, mes doigts glissent sous la ceinture qui baille dans son dos. Je ne perçois pas le tissu d'un slip. Comme j'en fais la remarque au Maçon, il me dit que c'est plus simple et plus rapide quand il a besoin de se vider les couilles. Je me redresse et je soupèse son paquet. Son 18 épais commence à s'alourdir et je lui défais ceinture et boutons. Le pantalon tombe sur ses pieds et je retrouve la belle bite avec laquelle j"avais joué. Son Second s'était retourné ;et sans se relever, sa bouche est venue avaler la queue de son patron. J"ai pu voir que mes leçons de l'époque avaient bien porté leurs fruits (cf. la piscine parution en 2007 ou 8). C'est toute entière qu'il lui a enfoncé dans la bouche. Ma main du coup passait des couilles pendantes à la gorge du suceur, sentant se soulever le larynx à chaque passage de gland. Je passais derrière le pompeur et les bras autour de sa taille, je déboutonnais son short. Il m'a un peu aidé pour que je le fasse glisser à ses genoux. J'ai découvert un beau fessier blanc rond, musclé et rasé de près.
Son patron me dit que je peux y aller, il s'assure qu'il est toujours " clean " quand il va chez des clients. De mes pouces j'écarte ses deux fesses et de vois une superbe rondelle rose plissée sans aucun poil. Je fais part de mon admiration. Maçon me dit qu'il s'était rappelé mes conseils et qu'il lui faisait faire mes exercices de contractions anales. Et pour me le prouver, sous mes yeux, Second s'est mis à faire palpiter son anus. Un véritable appel à la bite ! Maçon a senti mon excitation et très gentiment (où très commerçant), me dit que je peux en profiter. Après tout, j'avais bien participé à la formation de son apprenti. En 2 secondes je suis à poil sauf la queue revêtue de sa kpote. la " salope " en a profité pour se défaire de son short et de son marcel. Avec juste ses Caters aux pieds, il est encore plus bandant ! Son patron lui aussi s'est mis à l'aise. ;Ils reprennent la position, Second les jambes écartées. Je m'agenouille entre elles et pose mon gland sur sa rondelle. Son patron me dit que je peux y aller, il l'avait déjà enculé dan la matinée. j'ajoute une noisette de gel à l'interface et sans prévenir, enfonce mes 20cm jusqu'aux couilles. Surpris Second en ouvre encore plus la bouche et de ce fait, se prend son boss derrière les amygdales. Cela coupe court à tous reproches. Il serre son anneau et je ne peux plus bouger. Je caresse sa taille et le félicite d'une telle prouesse. Il se détend et je commence mes va et vient. Je commente à son patron le plaisir que son trou me donne. Il me dit que ça lui fait ça à lui aussi et c'est pour cela qu'il l'avait gardé et pas l'autre apprenti (même et probablement à cause du fait qu'il ait été plus expérimenté de la chose, l'autre apprenti). En attendant je me régale à sodomiser ce beau jeune homme. Sa position penchée en avant, les mains accrochées aux cuisses de son boss, me fait découvrir son dos et le développé en V de ses dorsaux. Ma main caresse ses muscles et je sens sous mes doigts frémir sa peau à leur passage. J'en glisse une sur son torse. Les pecs aussi sont bien développés et vu la taille des tétons, je me doute qu'il doit se les faire travailler. Quand mes doigts les font rouler, il gémit de façon fort convaincante tout en serrant sa rondelle ! Son boss me dit que l'année après la construction de notre piscine, son apprenti est venu loger chez lui et que comme cela il a bien pu le prendre en main (si l'on peut dire). Je le félicitais du travail effectué. Il me dit qu'en général ses clients en était très content et que ce ;plus de " services " par rapport à ses confrères lui assurait bon nombre de chantiers. Car même les hétéros les plus coriaces se laissaient tenter par le beau corps de Second et la promesse de plaisir qu'il pouvait leur donner. Promesse en partie connue par, en général, une pipe avant les signatures de commandes.
Je me régale de ce cul musclé et mes coups de reins semblent lui donner toutes satisfactions. Avec son boss, nous nous rappelons nos premières expériences ensemble autour du trou en chantier (la piscine, pas celui de l'apprenti !). D'ailleurs, à ce propos je me souviens que Maçon baisait bien et je lui indique que vu comme il était dur dans la bouche de son Second, il pourrait sans difficultés perforer mon cul.
Je lui tends une kpote et Second se charge de la lui enfiler. J'ai juste eu le temps de poser une grosse noix de gel sur ma rosette qu'il se positionnait derrière moi. Le temps de m'enfoncer à fond dans le cul de Second et je le sentais pousser sa bite large dans mon trou. Détente, il entre son morceau. La largeur me fait grimacer à la première intromission mais après ça va. Ses grandes mains rugueuses me prennent aux hanches et il me tire vers lui. Collé à son pubis, je sors de Second jusqu'à ne laisser que mon gland emprisonné dans son trou. Là je leur demande de ne plus bouger et je m'active. Sortie de Second = pénétration de Maçon et inversement enculage de Second = libération de mon trou. ça marche quelques instants jusqu'à ce que le Maçon soit trop excité et qu'il prenne les choses en main (si l'on peut dire). Là j'ai reçu des coups de bite qui par ricochet me faisait m'enfoncer dans Second et je profitais qu'il se retire pour faire la même chose. Pour moi peu de différence à part une certain " virilité " dans le geste mais pour Second, mes coups de bite se sont fait nettement plus hard et il devait s'arque bouter pour résister à la poussée de nos deux corps. Second a été le premier à juter sur le pavage de la terrasse. Ses contractions anales m'ont conduit à la même extrémité et enfoui au fond de ses boyaux, j'ai rempli ma kpote alors qu'au même moment je sentais le Maçon remplir la sienne plantée bien au fond du mien (de boyau).
Etalés sur les fauteuils de jardin, j'ai demandé à Maçon s'il ne recevait pas régulièrement des primes pour la réalisation du chantier. Il m'a répondu que non car quand cela se présentait, il laissait la chose à Second. Du coup je me tournais vers lui et lui posait la même question. Il m'a répondu franchement qu'il n'avait pas à se plaindre allant jusqu'à recevoir près de 10% (du montant facturé par son boss) sur certains chantiers un peu long. Rapide calcul mental et son boss avec moi, nous avons exprimé notre étonnement. Second de sourire et de nous dire que oui, il savait se " sacrifier " et que oui, il était devenu très bon à la chose (ça je m'en étais aperçu tout seul !).
Rapide passage aux douches du sous sol et nous étions présentables quand Marc est arrivé. Enfin avec Second toujours aussi sexe avec son short dont les bords roulés soulignaient le bas de ses fesses. D'ailleurs Marc y a réagit. J'ai vu se gonfler la masse qui lui pend en haut des cuisses. Le temps que je résume l'état d'avancement du projet, il fixait Second. Maçon qui s'en était bien aperçu lui a carrément proposé de baiser son Second histoire qu'après il soit réceptif à nos explications d'aménagement.
Sans attendre sa réponse, Second est venu s'agenouiller devant lui et sans attendre non plus de permission, lui a défait ceinture et braguette pour pouvoir sortir du boxer ses 22 cm. Après juste un " miammm " de commentaire, il a grand ouvert la bouche et sous nos yeux, nous avons vu disparaître entièrement la queue de Marc. Bien que nous soyons vidés récemment Maçon et moi, je me suis remis à bander et lui aussi. Un coup d'oeil appuyé d'un mouvement de tête de Marc et je m'agenouillais à mon tour mais devant Maçon pour imiter Second. Sans difficultés j'avalais les 18cm dans ma gorge (habituée a 22 de Marc et parfois plus de certains de nos amis, mais alors pas en position a genoux !).
Et les deux sucés d'échanger sur les techniques respectives de leurs deux suceurs. L'un appréciant les coups de langue enveloppant son gland quand il occupait la bouche, l'autre kiffant mes déglutitions quand il pénétrait ma gorge. Du coup, je m'appliquais à plus faire tourner ma langue sur le gland au passage de ma bouche et j'entendais mon voisin tenter la déglutition en gorge profonde. De chaque coté les mains sont venu se poser sur nos tête et prendre le relais pour le rythme, avec la remarque que nous étions deux bonnes salopes qui s'amélioraient à chaque instant. Un quart d'heure plus tard, notre savoir faire les avait entrainé vers l'issue attendu et Second et moi recevions leurs spermes. Moi sur mon polo et Second entre son marcel et la peau de son cou.
Avec le souvenir de la piscine et la stimulation d'une prime en cas de fin de chantier 4 semaines plus tard, nous avons conclu le marché.
Pendant toute la durée du chantier, j'ai fait deux points journalier avec notre " maître d'oeuvre " et /ou son Second. J'ai mieux compris pourquoi Maçon avait embauché Second. Ok coté sexe il assurait et même plus que bien mais aussi coté taf professionnel, il s'est révélé être une pointure. Organisation, surveillance, prise de décision, second n'a pas fait une faute. Et 4 semaines de chantier plus tard, nous entrions en possession d'un second étage totalement refait.
Comme prévu, nous disposons maintenant d'un dortoir de presque 100 m² avec tout au bout, contre le pignon l'installation sanitaire. Sur le mur gauche, les 6 lavabos (nous avons décidé d'en mettre plus que lors de nos premières idées), en face contre l'autre mur, les 3 WC et entre les deux les douches. Finalement, avec cette disposition, nous avons pu mettre 10 pommes de douches couplées par deux et avançant perpendiculairement au pignon. Le tout sur une surface carrelée avec juste une marche/rebord pour assurer qu'aucun débordement d'eau ne passe coté couchage.
Dans la zone " nuit ", Marc a décidé de faire réaliser un grand sommier de 10m de long par 2m de large et de le fixer au sol au centre de la pièce avec par dessus 5 matelas de 2m x 2m.
Dans le sommier, d'un coté des grands tiroirs pour y caser les couettes en cas de besoin et de l'autre un série de plus petits pour les accessoires indispensable dans notre maison : kpotes, gels, poppers, gants et une sélection de plugs et godes réalistics.
Je tapissais les murs de posters de stars du porno au cas, improbable, où certains manqueraient d'inspiration !
Résultat : une seconde salle de baise grand format dans la maison.
Nous décidions Marc et moi de la garder secrète jusqu'à son inauguration le WE de la Méga touze.
JARDINIER
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l'équipe du Ranch pour l'été
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Une civilisation peut-être aussi  supérieure qu'elle veut - si le nerf viril se détend, ce n'est plus  qu'un colosse aux pieds d'argile. Plus imposant l'édifice, plus  effroyable sera la chute.**
Ernst Jünger, La guerre comme expérience intérieure.
**A  civilisation perhaps as superior as it strives to be - if the virile nerve relaxes, it is nothing more than a colossus with feet of clay. The  more imposing the edifice, the more terrible will be the fall.
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Petits souhaits
Ce sont ces petits souhaits qui accompagnent chacun d'entre nous, jour après jour, parfois sans qu'on s'en aperçoive. Et pourtant, ils reviennent toujours vers nous parce qu'ils veulent nous dire quelque chose. Souvenez-vous du sentiment que vous avez éprouvé lors de votre premier baiser, ou lorsque vous marchiez pieds nus dans une prairie humide. Rappelez-vous la fois où nous nous sommes laissés tomber dans la neige et avons fait des anges de neige avec nos bras. Souvenez-vous de la joie que vous avez éprouvée en voyant la première neige, mais aussi de votre tristesse parce que vous vous doutiez qu'un jour la neige fondrait à nouveau. Ce sont ces petits souhaits intérieurs qui nous rappellent que la vie vaut la peine d'être vécue. Je vous souhaite de toujours vous en souvenir.
"Un optimiste ne reste pas sous la pluie, il se douche sous un nuage."
MIRKO
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francebonapartiste · 4 months
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1er mars 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, c'est le début des Cent-Jours
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Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.
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Aux côtés de l’Empereur se trouvaient les hommes qui formaient en quelque sorte son gouvernement sur l’île d’Elbe : le général Bertrand, chargé des affaires intérieures et l’un de ses plus proches conseillers, le général Drouot, assumant le rôle de ministre de la Guerre, et Peyrusse, trésorier de la Couronne. Se trouvaient également le général Cambronne, le Dr Fourreau de Beauregard mais aussi Pons de l’Hérault, ainsi que son personnel, incluant Marchand, son premier valet de chambre, et Saint-Denis, surnommé “le mamelouk Ali”.
Pendant la traversée, Napoléon s’était retiré dans sa cabine, plongeant dans l’élaboration des proclamations qui marqueraient son retour. Ces missives, soigneusement préparées à l’avance, étaient destinées à être distribuées dès son arrivée, toutes deux datées du 1er mars, jour symbolique de son débarquement et du renouveau.
Dans son discours adressé au peuple français, il justifiait son retour en expliquant les circonstances de son départ en 1814, attribuant son échec à la trahison des maréchaux Augereau et Marmont.
Aux soldats, il dévoile les voies de la gloire et prononce les paroles qui deviendront emblématiques :
“La victoire avancera au pas de charge. L’Aigle, arborant fièrement les couleurs nationales, planera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame.”
Après trois jours de navigation, la flottille arrive enfin au mouillage dans l’anse du golfe Juan. Napoléon, arborant fièrement le drapeau tricolore français, décide de procéder au débarquement. Une escouade de grenadiers est envoyée en reconnaissance pour s’assurer que les côtes sont sûres. La côte est en effet sans défense, aucune batterie côtière n’étant présente à cet endroit, démontrant ainsi que les autorités n’ont à aucun moment envisagé que Napoléon tenterait un débarquement dans le sud de la France.
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Le lendemain matin, Napoléon consulte une carte pour planifier la suite de son itinéraire vers Grenoble. Il décide de suivre la route des Alpes plutôt que de traverser la vallée du Rhône, où il a été conspué l’année précédente en se rendant à l’île d’Elbe. La troupe se remet en marche, avec Napoléon montant à cheval et ses hommes à pied.
Au cours de la journée, des contacts sont établis avec les autorités locales et la population. Certains habitants manifestent leur soutien à Napoléon en illuminant leurs maisons et en criant “Vive l’Empereur”, tandis que d’autres observent son passage avec une certaine indifférence.
Après avoir stationné quelques heures à Cannes, Napoléon repart à l’aube en direction de Grasse. Ainsi se clôt, sur le littoral français, la première étape de ce que l’on appellera plus tard le “vol de l’Aigle”, un périple qui devait mener l’Empereur jusqu’à Paris en vingt jours.
***
On March 1st, 1815, a major historical event occurred when Napoleon Bonaparte landed at Golfe-Juan, marking the beginning of a period known as the Hundred Days. That day, a small flotilla appeared off the French coast, ending Napoleon's exile on the island of Elba. Departing from Elba on February 26th, Napoleon was aboard the Inconstant, accompanied by six other ships, along with his close associates and about a thousand soldiers from his guard.
Alongside the Emperor were the men who formed his government on the island of Elba: General Bertrand, in charge of internal affairs and one of his closest advisors; General Drouot, serving as Minister of War; and Peyrusse, the Crown Treasurer. Also present were General Cambronne, Dr. Fourreau de Beauregard, as well as Pons de l'Hérault, along with his staff, including Marchand, his head valet, and Saint-Denis, nicknamed "the Mameluke Ali."
During the crossing, Napoleon retreated to his cabin, immersed in drafting proclamations that would mark his return. These carefully prepared messages were intended to be distributed upon his arrival, both dated March 1st, the symbolic day of his landing and renewal.
In his address to the French people, he justified his return by explaining the circumstances of his departure in 1814, attributing his failure to the betrayal of marshals Augereau and Marmont. To the soldiers, he unveiled the paths to glory and uttered words that would become iconic: "Victory will advance at a quick pace. The Eagle, proudly displaying the national colors, will soar from steeple to steeple to the towers of Notre-Dame."
After three days of sailing, the flotilla finally anchored in the bay of Golfe-Juan. Napoleon, proudly displaying the French tricolor flag, decided to proceed with the landing. A squad of grenadiers was sent out for reconnaissance to ensure the coast was secure. Indeed, the coast was undefended, with no coastal battery present, demonstrating that the authorities had never considered Napoleon attempting a landing in southern France.
The next morning, Napoleon consulted a map to plan the rest of his route to Grenoble. He chose to follow the Alpine route rather than crossing the Rhône Valley, where he had been reviled the previous year on his way to Elba. The troop resumed their march, with Napoleon riding on horseback and his men on foot.
Throughout the day, contacts were made with local authorities and the population. Some residents showed their support for Napoleon by lighting up their homes and shouting "Long live the Emperor," while others watched his passage with indifference.
After spending a few hours in Cannes, Napoleon set off again at dawn towards Grasse. Thus ended, on the French coast, the first stage of what would later be called the "Flight of the Eagle," a journey that would lead the Emperor to Paris in twenty days.
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lisaalmeida · 1 year
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" Danser sous la pluie est plus que danser. Il y a là quelque-chose de l'ordre du sublime, du transcendant. C'est un acte à la fois d'acceptation et d'insoumission, un baiser et un pied-de-nez adressé aux forces du ciel. Danser sous la pluie est insensé et prophétique, une grande déclaration d'amour qui préfère le corps aux mots, un ballet sans autre musique que ces airs intérieurs que redonnent notre coeur. C'est le défi de la joie que lance l"humanité au ciel, comme une valse amoureuse dans les bras de la vie.On offre son visage à la caresse de l'eau et on se laisse tourner la tête dans l'incongru manège du ciel qui ne nous tombe plus dessus puisqu'il nous mêle à lui, puisque nous l'épousons dans cette étrange noce. Que cette folie est douce et qu'elle est enivrante. Se dessaisir de soi-même pour être soi-même saisi dans la ronde joyeuse qui d'un petit bout de caillou tournoyant dans le vaste univers, nous fait une terre où virevoltent nos pas.
Laissez vous inviter à danser sous la pluie, c'est l'âme agie du monde qui vous prend par la main pour faire tourner le monde aux battements des coeurs. Et invitez le monde à venir dans vos bras pour entrer tous les deux dans un même amour".
Tydé
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chicinsilk · 6 months
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US Vogue December 1963
Sondra Peterson wears a brown suede calfskin coat; slightly fitted, with vertically cut pockets; a domed suede hat. Sensational brown mink boots with suede feet, low grooved heels. Mink handbag, brown calfskin handles, calfskin interior. Mancini Boots; handbag from Roger Model; both for the Givenchy Boutique.
Sondra Peterson porte un manteau en veau velours brun ; légèrement ajusté, avec des poches coupées verticalement ; un chapeau bombé en daim. Bottes sensationnelles en vison marron avec pieds en daim, talons bas rainurés. Sac à main en vison, anses en veau marron, intérieur en veau. Boots Mancini ; sac à main de Roger Model; tous deux pour la Givenchy Boutique.
Photo Henry Clarke vogue archive
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aurevoirmonty · 7 months
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Les hommes du nouveau regroupement seront, certes, anti-bourgeois, mais par le biais de la conception supérieure, héroïque et aristocratique de l'existence mentionnée précédemment.
Ils seront anti-bourgeois parce qu'ils méprisent la vie facile ; anti-bourgeois car ils ne suivront pas ceux qui promettent des avantages matériels, mais ceux qui exigent tout d'eux-mêmes ; anti-bourgeois, enfin, parce qu'ils ne sont pas préoccupés par la sécurité mais aiment une union essentielle entre la vie et le risque, à tous les niveaux, adoptant le caractère inexorable de l'idée nue et de l'action précise pour l'homme qui se tient sur ses pieds, ayant déjà traversé le feu purificateur de la destruction extérieure et intérieure.
Julius Evola, Orientations
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dandanjean · 4 days
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Être un géant
Être un géant, le zen appelle cela avoir les pieds sur la terre et la tête dans le ciel. C’est devenir soi-même une montagne et se libérer des limites du connu. C’est devenir un océan de sagesse silencieuse. Ce n’est pas chose facile. Ceux qui ont cherché à acquérir cette force intérieure se sont souvent mis à l’écart des hommes ; ils ont construit leur retraite troglodyte, leur cabane au fond…
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 164
Livraisons des tableaux
Comme promis lors du vernissage, Moitié a fait la livraison du tableau à Kev. Aussitôt après son passage j'ai eu droit à un coup de fil de ce dernier pour me dire qu'il s'était tapé le livreur( Moitié en personne). Il m'a dit que c'était une véritable salope ! ça je le savais déjà pour l'avoir pratiqué l'été dernier. Je lui ai dit que lorsque j'avais entendu qu''il s'était proposé pour la livraison, j'avais déduit qu'il (Kev) lui avait tapé dans l'oeil. A cela il m'a répondu que lui, c'était pas l'oeil qu'il avait visé. Très classe !! Comme je lui disais qu'il avait une nouvelle fois " élargi " le cercle de ses amis, il s'est félicité de lui en avoir mis de quoi l'occuper quelques jours. Je le détrompais rapidement en lui annonçant que Bo-gosse faisait du 24 x 5,5 et qu'il devait déjà s'en occuper au moins une à deux fois par jour vu sa libido. Kev de me répondre qu'alors c'était pour cela qu'il était entré aussi facilement (bien que très correctement serré après).
Pour conclure il me dit que le tableau faisait très bien au dessus de son canapé.
Celui d'Emma est arrivé le jeudi et dès le lendemain les tapissiers étaient là pour l'accrocher au mur.
En attendant le WE et la livraison de mon achat, j'organisais au pied levé un dimanche sexe. Eric pour commencer, Moitié aimant les tailles au dessus de la moyenne, puis Igor avec ses jumeaux et pour finir nos voisins Bruno et Arnaud.
Depuis que nous avons Samir et Ammed, Marc ne s'occupe plus de l'intendance. Comme ça il n'a pas remarqué les préparatifs, ce sera un dimanche surprise.
Nous accueillons Bo-gosse et Moitié en début de soirée. Grâce au GPS plus une orientation par téléphone pour les derniers kms, ils arrivent sans problèmes jusque chez nous.
Je me charge de faire les présentations après que nos " hommes " les aient débarrassés de leurs manteau et blouson, en définissant qui est qui, artiste et galeriste.
Ils nous félicitent pour le style de notre service, Bo-gosse laissant trainer ses yeux sur les culs moulés de cuir de Samir et Ammed.
Moitié, lui, essaye de savoir ce que cache, mal, les jeans de Marc.
Comme il est déjà tard, nous passons direct à l'apéro. Whisky tassé pour Bo-gosse et Martini blanc pour Moitié pendant que Marc défait l'emballage de la toile. Il la pose sur un des canapés, se recule puis me fait venir à ses cotés. J'attends avec fébrilité son avis. Il me prend dans ses bras et m'embrasse d'abord gentiment puis plus violemment, oubliant nos invités. Quelques toussotements amusés nous ont rappelé leur présence. Bo-gosse admire notre décoration intérieure, cosy mais contemporaine, non sans nous féliciter pour le choix de la commode Louis XV avec sa marqueterie, son marbre et ses bronzes dorés (seule pièce ancienne) qui tranche contre son mur blanc. Moitié, lui est plus intéressé par la piscine que l'on aperçoit fumer dans la fraîcheur du soir.
Samir vient nous prévenir que nous pouvons passer à table. Le diner est parfait et Bo-gosse réitère ses félicitations. Le fait que nos serveurs soient uniquement vêtus de leur shorty en cuir moulant leurs formes généreuses, n'empêche pas un service stylé. J'a senti plusieurs fois l'envie que Bo-gosse avait de leur mettre la main aux fesses et avant que cela n'arrive, j'ai fait la mise au point indispensable, Samir et Ammed nous servent mais uniquement pour la maison (oui je sais pas totalement mais il n'y a qu'avec nous et dans certaines conditions que cela déborde).
Déception de Bo-gosse qui, je pense, en aurait bien mis un dans son lit ce soir. Nous finissons de dîner. Pendant le café, la conversation dévie sur l'été dernier, les vacances et les touzes. Ils nous en ont raconté quelques unes pas mauvaises. Marc ayant cerné l'homme, a proposé à Bo-gosse un échange de mec pour la fin de soirée. Je le regarde un peu surpris. Mais n'est ce pas ce que j'avais inconsciemment cherché en faisant venir ce couple dans la maison ? Pas de café, Marc nous entraine direct vers le baisodrome de l'étage (grande chambre occupé par deux grand lits de 2m au carré dont un mur et le plafond sont recouverts de miroirs avec bien sur salle de bain attenante). Moitié, à peine le seuil franchi, s'est attaqué aux vêtement de Marc, je me venge sur ceux de Bo-gosse. Ils se retrouvent cote à cote, à poil avec deux salopes à leurs pieds en train de leur octroyer la meilleur pipe qu'ils savent faire.
Ce n'est pas une compétition ente Moitié et moi, mais on pourrait s'y méprendre.
Marc est plus court (2 cm) mais ses 5 mm de plus en diamètre compensent largement. C'est d'ailleurs l'avis de Moitié qui sans peiner vraiment, en prend quand même " plein la gueule ". Je suis aussi bien servi de mon coté et ma tête bloquée entre les fortes mains de Bo-gosse je lui sers de masturbateur buccal.
Les queues sont raides et gonflées à fond. Bientôt je suis poussé en arrière. Le risque de jute de mon partenaire de jeux devenant quasi insurmontable. Marc ayant de son coté eu la même réaction, je me tourne vers Moitié et nous entamons un roulage de pelle où chacun retrouve dans la bouche de l'autre le goût de son propre mec.
Sans décoller nos lèvres, nous nous faisons déshabiller. Un ordre et nous voilà en 69 en train de nous bouffer réciproquement nos attributs sexuels. Moitié est correctement équipé même si c'est plus petit que moi. A la bouche je dirais un bon 17cm x 4,5. Alors que nous obéissons à l'ordre donné, je vois Marc se pencher pour manger le cul de Moitié au moment ou je sens contre ma rondelle, une langue chaude et mouillée lubrifier le passage.
Ça doit stimuler mon partenaire de 69 car je sens une aspiration plus intense sur ma queue. Je m'applique pour faire aussi bien. Déchirure de pochette, doigts plein de gel dans le cul et soudain, l'assaut synchronisé. Je vois sous mes yeux ce qui se passe derrière moi au même moment, la pénétration d'une rondelle qui n'attendait que cela. Bien que bâillonnés par nos bites, Moitié comme moi arrivons a émettre un avis favorable. Nous nous faisons pilonner ainsi un bon moment avant que je ne sente Bo-gosse me soulever et basculer en arrière sur le lit. je me retrouve à le chevaucher. Dans la minute qui suit, Moitié est dans la même position, mimétisme ou parti pris de faire tout pareil ? Rotation de 180° et nous faisons face à nos enculeurs. C'est à notre tour de bosser un peu. Je joue une variation de contractions anales sans faire aucun mouvement. J'attend qu'il n'en puisse plus. C'est le cas quelques minutes plus tard. Il me prend par les hanches, me soulève avant de me laisser retomber et m'ordonne de galoper. Bien chef ! Je m'exécute, à mes cotés Moitié fait comme moi. Je saute alors un bon 1/4 d'heure sur sa queue. Puis il me fait rouler sur le dos et le creux de mes genoux contre ses biceps, il me pousse en arrière pour que je relève le cul. en position de pompe (sportive), il me pompe (sexuellement).
Nous explosons tous les 4 à quelques 10ains de secondes d'intervalle. Je crois que je suis le premier, les 24 cm de Bo-gosse en cause !
Je tire Moitié sous la douche. il me félicite pour Marc qui l'a bien maitrisé coté montée en excitation. Je le remercie pour le sien de mec et de m'avoir prêté ses 24 cm efficaces. Alors que nous nous séchons, je lui annonce, sous le sceau du secret, que demain y'aura touze à domicile.
Nous rejoignons nos Hommes et avec Marc, je laisse nos invités dormir.
Nous avons une petite discussion avant que la fatigue nous emporte. Marc est très content de ses deux cadeaux. Pour le tableau j'en était sûr, mai je ne vois pas l'autre. Il me prend dans ses bras et me dit " Moitié ".
Réveils vers 10h pour nous 4. Avant le petit dèj, je plonge me dérouiller par une bonne demi heure de nage. Je suis assez vite rejoint par Bo-gosse. Marc ne déteste pas mais pas aussitôt le matin, quand à Moitié, le sport autre qu' " en chambre " ça pas l'air d'être son truc.
Sans espérer battre Ric, je force sur le papillon, en plus ça fait des épaules de déménageur ! Bo-gosse aligne les longueur de crawl.
Ce dernier est surpris une nouvelle fois quand nous trouvons Ammed sur le bord de l'eau à nous attendre avec des peignoirs comme nous décidons d'arrêter.
Petit déjeuner roboratif et nous rejoignons Marc et Moitié déjà en action ! Marc va pour s'excuser auprès de Bo-gosse mais ce dernier lui dit de laisser tomber, que Moitié était une vraie salope qui n'avait jamais réussi à se retenir devant une belle queue.
Bien qu'un peu fatigué, nos deux bites sortent de leurs torpeurs et gagnent en volume. Le spectacle de Moitié faisant du cheval sur les genoux de Marc, avec en plus comme bande son les gémissement qui vont bien, nous excite. Je me penche sur Bo-gosse et embouche son gland, le goût légèrement " javel " disparaît vite et je me retrouve avec sa main sur mon crane qui dirige ma pipe.
Variation de vitesse et de profondeur, il me dit que je suis un des rare à réussir à le bouffer jusqu'à l'os. Je me dis que soit il ne voit pas grand monde en dehors de Moitié, soit les parisiens sont des chochottes ! Les jeunes de notre bande maîtrisent tous cet exercice.
Le coup que j'ai de déglutir en rafale alors que son gland encombre ma gorge le prend par surprise et il ne peut se retenir. J'ai juste le temps de reculer et un geyser blanc sort de sa bite à 10 cm de mes yeux. Pour un peu je distinguerais chaque spermatozoïde qui le compose. Moitié, de son coté, pousse un soupir de délivrance en claquant une dernière fois ses fesses sur les cuisses de Marc en train de reprendre sa respiration (suspendue quelques instants) alors qu'il se vidait au fond du trou de l'artiste.
Je profite que nous ayons besoin de nous rafraichir pour faire visiter à nos nouveaux amis le sous sol, sa salle de muscu et la salle d'eau associée. Remarques sur les avantages d'être en province, puis tous le monde sous les douches. Quand nous remontons, j'entends une voiture entrer dans la cour. Ce ne peut être qu'Igor et ses jumeaux.
Exacte, ils franchissent la porte comme Marc arrive dans l'entrée. " Surprise " ! Marc comprend tout de suite et me demande si nous avons d'autres invités. Je vais pour ajouter " les voisins " que Bruno et Arnaud traversent la pelouse (le portillon entre nos deux parcs). Une moto arrive, c'est Eric qui nous rejoint.
Les jumeaux sont toujours aussi " sex " et Moitié comme Bo-gosse ne s'y trompe pas. Arnaud est toujours fashion-victime mais c'est comme mon petit frère, je lui pardonne. Moitié remarque tout de suite la protubérance que fait le sexe d'Eric sous le cuir de la combi.
Présentations des hommes puis du tableau. Igor aime bien et demande à Moitié s'il en a d'autre dans le style (homme nu), ou s'il lui peindrait les jumeaux ? Moitié, pas vicieux du tout, lui a alors dit que cela dépendait du physique des sujets. Ni une ni deux, voilà les jumeaux en train de nous faire un strip-tease au milieu du salon. Alors qu'ils avaient encore leurs slips, bien remplis, sur les fesses, tous, autour, nous bandions comme des malades.
Moitié m'a demandé un appareil photo. Je lui ai prêté notre numérique et pendant une bonne demi heure, il a fait poser les jumeaux. Debout, couchés, assis, la ; ; ; ; ; ; pa-patte... nan je rigole ! mais il les a mitraillé. Après nous avons tous donné notre avis sur la plus belle position (non sexuelle !! faut suivre). Finalement, Igor et les jumeaux ont optés pour Tic couché au sol la tête vers la droite et au dessus de lui, Tac couché sur le canapé, la tête dirigée vers la gauche. A Charge à Moitié de rendre cela, artistique et excitant.
Comme nous (les passifs ou Actifs/passifs) sommes en sou nombre, j'ai demandé à Samir de nous envoyer Jimmy. De nouveau quelques brèves explications, l'instant est aux sexes et aux culs !
Je roule un méga patin à Tac et ça lance la touze. Tic s'occupe avec gourmandise des 24 cm de Bo-gosse, Arnaud " tète " Marc pendant que Moitié découvre la bite d'Eric et que Jimmy alterne entre les bites d'Igor et de Bruno. La musique de fond, est couverte par les divers bruits de sucions qui émanent des suceurs, slurp, slurp.
Marc propose de continuer dans notre donjon. Accord immédiat des habitués et coup d'oeil interrogateur de nos parisiens. Samir et Hamed nous apportent les grand manteaux et nus dessous nous traversons la cour ensoleillée mais encore froide.
Dès la porte passée, je garde Bo-gosse et Moitié sans le sas et pousse les autres de l'autre coté en leur demandant de nous faire un tableau vivant.
Quand Marc nous appelle, nous entrons à notre tour.
La lumière est comme il faut et nous ne sommes pas éblouis par elle mais par contre nos deux nouveaux amis sont surpris. Ils ne s'attendaient probablement pas à une installation pareille.
Bruno encule Tic posé sur le sling central. Marc fait de même sur Tac plié en deux sur une selle de cheval avec en face de lui Eric qui lui masse les amygdales avec son gland. Arnaud se prend les 22cm d'Igor attaché en croix contre le mur. Un spot éclaire plus particulièrement la selle spéciale (celle équipé d'un gode au bon endroit).
Dans leurs dos, je leur demande comment ils trouvent notre " petite " installation. Quelques propos élogieux plus tard, Moitié se défonçait tout seul sur la selle à gode. (gode moyen d'environ 22 x 5,5). Le tableau défait, chacun se colle, lèche, embouche ou rempli son voisin. Nous sommes quelques uns autour de la selle à gode à regarder Moitié se dilater en vue de se faire Eric. Nous ne sommes pas pressés. Je sens un torse nu se coller à mon dos. J'essaye de deviner qui c'est. Pas de poil sur le torse donc pas Bruno, plus qu'un peu plus grand que moi, ce ne peut être que Bo-gosse. Il se penche et glisse dans mon oreille qu'il va réellement kiffer quand Moitié se fera enculer par les 26cm d'Eric. Je n'en doute pas vu que ses propres 24 cm sont bien raide et prennent place entre mes cuisses et que son gland soutient mes couilles.
Eric qui connaît bien la maison, remplace le gode de la selle par un de la taille au dessus, dans les 25 de long. Je lui demande pourquoi il n'est pas passé direct à notre " monstre " (28 x 6,5), il nous dit qu'il aime quand il y a encore un peu de résistance.
Le torse pris dans les bras de Bo-gosse, je sens son bassin aller et venir et son gland me masser le périnée. Ça m'excite et je sens mon anus réagir favorablement. Je n'y tiens plus et à mon tour me plie en travers de la selle, mes jambes écartées. Bo-gosse ne s'y trompe pas, c'est bien une invitation à ce qu'il me bourre le cul.
Kpote et gel, j'ai le temps de saturer de poppers mes narines avant de subir l'assaut. Bien qu'excité, je sens passer les 24 cm de bite raide de Bo-gosse. Il se fixe quelques instant au fond de mon trou. Mon anus se fait à la dilatation. Je relève la tête juste à temps pour admirer Moitié se faire enfiler par Eric. Il déguste, bien qu'habitué aux 24cm de son mec. C'est, je crois le diamètre qui lui pose quelques problèmes. Je re-sniffe un peu de poppers et lui jette le flacon. Il le porte sous son nez et aussitôt ses traits se détendent. Cela laisse le champ à Eric pour l'enculer à fond. J'entend a dessus de moi, Bo-gosse féliciter Eric pour l'enculage de sa salope.
Je tourne un peu la tête et j'aperçois les autres se faire du bien. Igor se fait Arnaud dans un des slings accompagné à droite par Marc qui se tape Tac et à gauche par Bruno qui encule Tic. Ils discutent tous les trois des avantages de Ti et de Tac. Ce qui leur vaut un peu plus tard un échange de bite. Marc enculant Tic à son tour et Tac se faisant limer par Bruno, le tout sous les conseil de leur père bien au fait des différences sexuelles qui individualisent chacun des jumeaux (physiquement, c'ets très difficile de savoir qui est qui.
Moitié couine de façon fort peu virile mais très expressive du plaisir qu'il est en train de prendre avec la queue d'Eric entre ses fesses.
De mon coté les 24cm de Bo-gosse me font beaucoup d'effets et je prends un pied fou à me faire limer profondément. Je veux voir Bo-gosse jouir, je me tourne sur le dos et garde l'équilibre sur la selle en fixant mes chevilles sur ses épaules. Ce n'est pas la position la plus confortable que j'ai connue mais je peux voir son visage et dans ses yeux la montée du jus de ses couilles à son gland. Je joue de mon anus (contractions, blocage de queue...) et quand je sens qu'il va exploser, je le retiens au fond de moi. Il remplit sa kpote en gueulant un grand coup. C'est le signal car les autres actifs à leur tour se libèrent aussi. Eric visse le corps de Moitié sur sa queue et comme pour moi, il se vide au fond du cul de Moitié. Par contre, alors que nous nous désolidarisons assez rapidement, Eric reste encre bien 5mn planté dans Moitié sans débander d'un pouce. Ce n'est que lorsque nous sommes tous autour d'eux qu'il se décide. Nous admirons tous la quantité de sperme qui est emprisonnée derrière le latex. Avant de filer aux douches collectives du fond de la pièce.
Inconsciemment, chacun retrouve son partenaire et alors que je me fais masser par Marc, Bruno lave Arnaud avec des gestes très tendres, c'est Moitié qui savonne Bo-gosse et chez le trio, Igor s'occupe de Tac qui lui même s'occupe de Tic avant de changer de configuration. Nous regagnons la grande maison ou Samir et Ammed nous servent café et petits gâteaux. Moitié est captivé par les jumeaux. Avec Arnaud, nous nous isolons à un bout du salon alors que nos " vieux " discutent à l'autre bout de la pièce.
Ce n'est qu'en début de soirée et à cause de la route pour Paris que nous nous séparons. Nous avons réussi à garder Igor et ses fils pour le diner.
JARDINIER
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rouquins slipés
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Une civilisation peut-être aussi  supérieure qu'elle veut - si le nerf viril se détend, ce n'est plus  qu'un colosse aux pieds d'argile. Plus imposant l'édifice, plus effroyable sera la chute.**
- Ernst Jünger, La guerre comme expérience intérieure.
**A civilisation perhaps as superior as it strives to be - if the virile nerve relaxes, it is nothing more than a colossus with feet of clay. The  more imposing the edifice, the more terrible will be the fall.
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wubblesred · 29 days
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Ghoulcy week day 1 SFW
Bonjour, voici ma participation à la semaine ghoulcy. Le thème du jour 1 en SFW est froide nuit dans les terres désolées. J'espère que ça vous plaira. Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
Cela faisait maintenant quelques jours que la goule et Lucy voyageait à travers les terres désolées à la recherche de son père mais malgré ça, la jeune femme ne connaissait rien de la créature, même pas son nom. En fait l'homme ne lui avait presque pas adresser la parole à part pour lui dire quand ils s'arrêtaient et quand Lucy devait prendre son tour de garde ainsi de suite. La jeune femme d'ailleurs n'osa pas non plus dire quoi que soit, elle ne savait pas comment réagir face à lui. Bizarrement, elle rêvait d'une interaction plus social avec l'homme même si cela paraissait fou en repensant à leur précédents échanges cependant cet homme connaissait son père, l'histoire des abris et surtout elle en était persuader, un cœur tendre se cache sous la carapace d'acier de cette goule.
Cooper Howard, quant à lui, fut étonné du comportement de la petite tueuse. Sûrement le choc des révélations sur son père. En effet depuis que la jeune femme l'avait suivi, celle-ci ne parlait pas et se contentait de hocher la tête et obéir quand il lui disait quelque chose. Étrangement, l'homme se languissait de la voix fluette de la douce brune. Il s'était déjà imaginer l'engueuler et lui dire de la fermer aux nombreuses histoires qu'elle pourrait raconter ou toutes les questions qu'elle aurait pu poser auxquelles elle n'aurait jamais eu de réponses mais rien de tout cela n'arriva vu que Lucy gardait sa bouche close. Peut-être était-ce à lui de faire le premier pas vers elle, après tout ils allaient travaillé ensemble. Ces pensées eurent l'effet d'un électrochoc dans l'esprit de la goule, envisageait-il vraiment de briser cette ambiance silencieuse pour rouvrir le moulin à paroles qu'était la petite tueuse. Non il ne valait mieux pas, finit-il par se dire intérieurement. Toutes pensées à propos de la jeune femme se turent quand l'homme se rendit compte que la nuit était bien tombée et décida de s'arrêter ici pour dormir.
L'ambiance était pesante dans leur campement, Lucy fuyait constamment le regard de la goule et ce dernier trouvait ça agaçant étonnamment. Les deux individus avaient de plus en plus de mal à s'ignorer et à savoir quoi ressentir l'un pour l'autre. Du côté de la jeune femme, l'appréhension et la rage faisaient d'avantage place à l'admiration et l'attirance. Deux choses qui horrifiaient la brune autant qu'elles l'a comblaient, un seul regard vers la goule lui apportait réconfort et elle se savait en sécurité. Après tout, l'homme l'avait secouru quelques fois depuis qu'ils voyageait ensemble. Ce dernier d'ailleurs n'était pas mieux lotit au niveau de ces émotions envers sa petite tueuse. En effet, au début elle n'était qu'une épine dans son pied, un moyen d'arriver à ses fins mais il fallait qu'il se rende à l'évidence, la jeune femme occupait une grande partie de ses pensées depuis leur rencontre. Désormais, il regardait toujours derrière lui, être sûr qu'elle le suivait toujours, qu'elle aille bien. En quelques jours, Lucy s'était insinuer sous sa carapace avec sa personnalité et sa beauté, en dépit de son mécontentement face à cela, Cooper aimait ces sentiments enfouit depuis si longtemps qui revenait à la surface. L'envie d'entendre sa voix, de sentir sa chaleur et cette possessivité qu'il ressentait, pour l'instant ils n'étaient qu'à deux, comme si elle lui appartenait à lui seul. Cependant les deux personnes avaient peur du tournant qu'avait pris leur sentiments en si peu de jours et prirent la décision, sans se concerter, d'essayer de cacher au plus profond d'eux les émotions que l'autre leur procuraient.
Lucy n'en pouvait plus de ce quasi silence constant au camp, elle décida donc de le briser après tout la goule la trouvait sûrement déjà agaçante donc un peu plus un peu moins ça ne changeait rien.
« Vous avez un nom ? » La jeune femme se frappa mentalement la tête, de toute les choses à dire ce fut celle-là qui sorti...
« Cooper... Cooper Howard. » Lucy releva sa tête d'un coup, ses grands yeux bruns s'agrandirent.
« Comme le grand acteur ? » Son sourire fit place à la surprise face au regard de la goule. «  Non ! Vous êtes LE Cooper Howard. J'ai vus tout vos films une centaine de fois, mon frère se moquait tout le temps de moi parce que j'avais un énorme béguin sur vo...us... Euh... Je vais aller me coucher moi hein vous prenez le premier tour de garde d'accord ? Super bonne nuit. »
Sa dernière phrase fut dite d'une traite tandis qu'elle se coucha sur le sol, dos à l'homme. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle lui avait balancer tout ça, il l'a prenait déjà pour une gamine avec tout ceci ça allait être encore pire. Franchement parfois elle devrait vraiment apprendre à la boucler. C'était vraiment la honte surtout que l'homme n'avait rien dit et ne semblait avoir aucune réaction.
Cooper était loin de n'avoir aucune réaction, sa petite tueuse était réellement pleine de surprise. Un coin sombre de son esprit rigolait se demandant si petit Henry savait que sa petite princesse en pinçait pour l'homme à qui il avait tout pris, l'homme qui était toujours en vie et seul avec sa fille. Savoir ça apportait aussi une sorte de chaleur dans son cœur. Bordel, deux cents ans à être fermer à tout sentiment sauf la revanche et savoir où était sa fille, tout ça balayer parce que Lucy foutu MacLean lui dit avoir eu le béguin pour lui, enfin l'ancien lui. Ça ne sert à rien de s'attarder là-dessus autant l'oublier et faire semblant de rien le lendemain, la petite en sera reconnaissante il en est sûr.
La goule fini par s'approcher de la jeune femme endormie, ça allait être son tour de garde. Cependant en arrivant à sa hauteur, il remarqua qu'elle était prise de tremblements et ne semblait pas avoir dormi à cause de ça. L'homme ne ressentait pas la douleur du froid étant irradié, ce fut un des avantages à être ainsi, la chaleur constante. Cela lui donna malheureusement une idée pour aider sa camarade. Jurant dans ses dents, il retira son manteau avant de s'allonger à côté d'elle et entourer sa taille avec son bras pour la plaquer contre lui et pour finir déposer son manteau sur eux.
« Qu'est-que vous faites ?! » S'interrogea-t-elle en claquant des dents.
« Je te réchauffe poupée, j'ai pas envie que tu meures de froid et je crois que toi non plus. »
Lucy n'osa rien dire d'autre, ses sens étaient en ébullition et elle espérait que l'homme ne voyait pas son visage rouge ni qu'il comprenne à quel point il lui faisait de l'effet. Le béguin était de nouveau bien présent dans le cœur de la jeune femme. Elle se raidit en sentant son souffle au creux de son oreille mais il lui ordonna juste de s'endormir, ordre qu'elle ne pu s’empêcher de suivre.
Au petit matin, après avoir fait quelques échanges de tour de garde, c'était le dernier tour de Lucy avant qu'ils ne doivent reprendre la route. Durant la nuit, elle s'était retourner pour être face à lui, la chaleur de son corps était toujours aussi intense et avait repousser le vent glacier qui était entrer dans le sien la veille. Elle ne pu s'empêcher d'amener délicatement une main sur le visage de l'homme et d'en dessiner tendrement les contours. Depuis la révélation d'hier soir, elle avait passer chacune de ses gardes à observer son visage, malgré les ravages des radiations la brune voyait et reconnaissait les traits de Cooper Howard.
« Tu joues à un jeu dangereux, poupée. » Grogna l'homme en agrippant le poignet de la jeune femme.
« Désolé... » Lucy voulu ramener sa main à elle mais Cooper la gardait bien contre son visage. L'amenant même à sa bouche pour embrasser son index nécrotique, sa langue passant sur le pli de la cicatrice qu'il avait causé.
« J'ai pas dit que ça me déplaisait mais es-tu sûre que c'est ce que tu veux ? Et ton petit copain alors ?
« Maximus ? Je pense pas que ce soit l'homme fait pour moi. »
« Oh ça s'est sûr ma petite tueuse. Que dirais-tu que je t'aide à l'oublier ? »
« Okie Dokie » Soupira Lucy face à l'intensité des mots et du regard de l'homme face à elle.
Autant Maximus avait eu l'effet d'une petite amourette dans son cerveau et presque rien dans son corps. Autant Cooper la faisait fondre et son corps s'embrasait sous son regard. C'était un torrent passionné qui déferlait en elle rien qu'en pensant à la goule, elle avait hâte de voir ce qu'il allait lui réserver à la suite de leur voyage ensemble. Après avoir remballer leur petit campement approximatif, Cooper tendit sa main vers sa petite tueuse, main que cette dernière s'empressa d'attraper. L'homme en profita pour attira sa poupée à lui et l'embrasser pleinement comme il le désirait secrètement depuis qu'il l'avait vu. Les deux compagnons ne s'étaient pas attendu à un tel retournement de situation mais cela ne les déplaisait guère. Ils étaient même pressé de voir où cette aventure les mènerait.
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lupitovi · 1 year
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Je sais d’où je viens jamais où je vais Je veille au chevet d’un secret qui me plaît Parlons bien parlons fort parlons court Et si les fauves menacent mes rêves J’entretiendrai le feu autour C’est vrai je cherche encore le prénom de mon ombre J’suis perdu dans la foule dont j’aime tant le nombre Si l’avenir est flou l’horizon n’est pas sombre Et cette envie de vie m’éloigne des décombres Je cherche le bonheur dans les plis des visages Et je salue les gens moi qui suit de passage À mes "je ne sais rien" je veux rendre un hommage Je suis fier d’habiter rue des enfants pas sages Au bord de la folie je protège les miens Sans mesurer les risques puisque rien ne m’appartient Je fais tourner le monde sous mes pieds de vilain Et j’aime quand je tombe je n’ai pas mis les freins Je cherche à pleins poumons je respire où c’est pur Dans l’haleine d’un frère ou au vent d’aventure Je tente parfois je plante mais quand c’est bon ça dure Je cherche des heures calmes à tout de suite le futur Je sais d’où je viens jamais où je vais Je veille au chevet d’un secret qui me plaît Parlons bien parlons fort parlons court Et si les fauves menacent mes rêves J’entretiendrai le feu autour Calligraphe sans kalam Caravane cadencée Agencer les mots pour avancer Je dois franchir les douanes de la pensée Laissez passer place à ma classe inférieure À chaque cadenas y a sa pince-monseigneur À la recherche d’un éden intérieur Je voyage à l’aveugle pour mieux toucher l’ailleurs Nomade dans l’âme que le mystère attire Y a pas à dire la routine y a pas pire L’ enfermement me transforme en satire   Ici mon cœur s’enflamme pour un pont à bâtir Si je me perds c’est pour mieux me retrouver Mon ton est grave mais m’empêche pas de groover Je changerais bien le monde si je le pouvais J’ai quelques vers en offrande pour le prouver Je sais d’où je viens jamais où je vais Je veille au chevet d’un secret qui me plaît Parlons bien parlons fort parlons court Et si les fauves menacent mes rêves J’entretiendrai le feu autour
Marc Nammour & Loïc Lantoine - Les fauves
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ernestinee · 1 year
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Aujourd'hui, j'ai ressorti mon manteau préféré pour aller en ville, il est jaune vif. Justement on parlait ce matin d'un documentaire qui explique que la vie devient grise, qu'on assume de moins en moins les couleurs. Par convention, par discrétion, par peur de se démarquer. J'adore le jaune, j'ai ce manteau depuis une éternité et je l'avais délaissé pendant que la mode était au jaune. Maintenant que c'est bien passé, je ressors le jaune pour la fin de l'hiver.
Je suis allée à la ludothèque et j'ai loué des jeux parce que j'ai une nouvelle patiente à partir de lundi et c'est une rééducation inhabituelle. Elle n'a qu'un an, je ne suis pas équipée pour les tout-petits. Elle a une surdité modérée, ce n'est pas ma première surdité mais je vais passer une partie du weekend à relire des infos sur la structure du bilan et la prise en charge.
Cet aprem, il faisait lumineux et je suis allée marcher, j'ai mis mon pilou bleu vif et mon legging du yoga et quel périple, que dis-je, quelle épopée ! (Oui bah j'exagère si je veux)
Donc d'abord il faut savoir que j'adore marcher seule mais que j'ai de grosses appréhensions, j'avais donc prévu d'aller faire le tour d'un lac où l'ambiance est plutôt sereine et sécurisante. Il y a des observatoires à oiseaux et on n'y croise que des photographes bien équipés et machinalement, j'ai roulé en voiture vers un endroit tout à fait différent. C'est un bois quadrillé presque mathématiquement par des sentiers, impossible de se perdre. Il y a deux petits lacs que j'adore parce qu'ils sont remplis de grenouilles à la fin du printemps.
Bon alors j'arrive là en me disant "ah beh tiens qu'est ce qu'on fout là" ("on" c'est ma voiture et moi, oui) puis en me disant "bon ok tant pis" il ne restait plus que deux heures avant la pénombre du soir, et en plus j'ai des comptes à régler avec cet endroit. Le weekend c'est fort fréquenté alors que j'avais envie de calme mais bref. Je marche et j'ai pas fait 100 m que je croise un groupe de mecs en train de courir. Puis 100m plus loin un groupe de vététistes, ils ont tous fait attention à la flaque qui était à proximité et j'ai trouvé ça sympa, je suis vite contente moi, sauf le dernier qui m'a éclaboussée et là je me suis dit "pfff c'est vrai que ça aurait été chouette le vélo" parce que j'aime bien rouler dans les flaques aussi, et être pleine de boue, et je me suis sentie comme une merde d'être là en train de marcher mon tel à la main pour les photos, et puis je me suis dit "pfff flemme de mettre le porte-vélo quand même" puis je me suis dit "mais quelle moule c'est incroyable !" Puis je me suis dit "oh hé c'est bon hein ça suffit je n'arrête pas de la semaine j'ai bien le droit d'avoir la flemme le samedi!" Puis je me suis dit "en plus c'est plein de boue, c'est pas moi qui vais devoir nettoyer un vélo ce soir dans le froid et dans le noir", alors je me suis dit "cheh !" rapport au type qui avait éclaboussé mon legging haha vous saurez tout sur mon dialogue intérieur palpitant voilà voilà.
Puis j'ai vu par terre des feuilles en forme de coeur, ce sont des feuilles d'aulne, et du coup je me suis rendue compte que j'avais dépassé le croisement que je prends habituellement parce que généralement je reste du côté chênes, hêtres, bouleaux et pins. J'ai vu une maison à vendre en plein milieu du bois. J'ai bifurqué et ça sentait l'urine de sanglier et effectivement un peu plus loin il y avait des traces de sangliers qui avaient retourné la terre très récemment peut-être la nuit d'avant. Là j'étais revenue du côté des chênes. Il faisait plus calme que d'habitude. Pas concernant les promeneurs et leurs chiens mais les oiseaux surtout, le murmure de la forêt. J'ai trouvé que c'était joli les espèces de motifs des feuilles de chênes qui se répètent sur le sol. J'ai pensé à ce qui me touche en ce moment.
J'ai eu un peu froid et je me suis rendue compte que ma fermeture éclair descendait toute seule jusque sous mon sternum parce que.... j'ai pris des boobs (😎😁) par contre il y a des trous pour les pouces et je trouve que ça devrait être totalement généralisé. Je me suis dit que j'aimerais me crocheter des mitaines pour mettre avec les gilets un peu nuls qui n'ont pas de trou pour le pouce.
Puis je suis arrivée le long du lac et je suis contente,avec tout ce qu'il a plu, il n'est pas aussi sec que l'année dernière. Vraiment je suis contente, j'avais eu peur pour cet endroit lors de la sécheresse de l'été. Juste à côté il y a le deuxième lac c'est l'endroit où un connard en qui j'avais confiance avait essayé de me contraindre il y a presque deux ans. Ça n'a plus jamais été pareil d'aller dans ce bois, j'ai déjà essayé sans succès de me réapproprier le lieu, parce que j'aimais cet endroit, je m'y sentais comme dans un cocon malgré le bruit des promeneurs. Enfin comme je suis arrivée jusqu'à ce bois sans m'en rendre compte, je me suis dit que c'était l'occasion de chasser les démons au moins un peu. J'y suis allée, le long du lac avec le sapin, dans les fougères qui grattent, et qui sont fanées en ce moment. J'ai repensé à la série d'évènements qui ont mené à cet après-midi là. C'est loin d'être mon pire vécu, celui-là n'est pas arrivé à ses fins, mais le fait que j'avais confiance donne un goût particulier.
J'ai arrêté de bouger, j'ai réussi à inhiber un bruit après l'autre pour ne plus entendre que les quelques oiseaux, j'ai reconnu la sittelle torchepot et je m'y suis accrochée comme à une bouée. Quand on tente d'effacer des souvenirs, c'est un peu comme quand on gomme un truc alors qu'on avait appuyé trop fort sur le crayon.
Après je suis retournée sur le sentier principal, j'ai cherché la sittelle du regard. Ce n'est pas facile sauf si on connaît son rythme de déplacement. C'est un oiseau rapide qui vole de tronc en tronc. Il s'accroche au tronc et se promène dessus, tête à l'envers. Je l'ai trouvée, ainsi qu'un rouge gorge et un pic épeiche. J'ai cherché des plumes de pic épeiche sur le sol mais je n'en n'ai pas trouvées. Elles sont superbes, noires avec des points blancs. Encore une fois, j'ai trouvé le bois très silencieux, même pour la saison et j'ai compris la raison de ce silence en arrivant à la voiture. Il y avait un panneau, que je n'avais pas vu dans l'autre sens, avec les dates des battues de chasseurs, et la dernière date d'hier. Le bois est traumatisé encore, il lui faudra quelques jours pour s'en remettre, comment peut-on laisser entrer des armes, et la violence de ce panneau rouge et jaune, dans la poésie des sittelles, des plumes de pic épeiche et des dentelles de feuilles...
Le bois était dans la pénombre et le froid s'est fait plus piquant assez vite. J'avais les cuisses un peu endormies par le froid, 0,5° m'a dit la voiture, et j'aime bien la sensation de la peau qui se réveille quand la température remonte dans la voiture.
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whencyclopedfr · 2 months
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Palenque
Située au pied de l'altiplano du Chiapas, dans l'actuel Mexique, Palenque était une importante cité maya qui prospéra entre 600 et 750 de notre ère. Le nom de Palenque vient de l'espagnol et signifie "lieu fortifié", mais le nom maya d'origine, nous le savons maintenant, était Lakamha. Situé à la jonction des hautes terres et des plaines côtières, le site prospéra en tant que centre de commerce intérieur, ce qui permit à Palenque de contrôler un vaste territoire et de former des alliances bénéfiques avec d'autres villes puissantes telles que Tikal, Pomoná et Tortuguero. Palenque est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
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oviri7 · 1 year
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Une civilisation peut-être aussi supérieure qu'elle veut - si le nerf viril se détend, ce n'est plus qu'un colosse aux pieds d'argile. Plus imposant l'édifice, plus effroyable sera la chute.
Ernst Jünger - La guerre comme expérience intérieure
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