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#polyrythmique
sonmelier · 1 year
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94. Ève Risser Red Desert Orchestra | Eurythmia
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🇫🇷 France | Clean Feed | 45 minutes | 8 morceaux
Rassemblé autour de la pianiste alsacienne Eve Risser, ce collectif de musiciens africains et européens s’engage de concert dans une envoutante chevauchée polyrythmique en territoires afro-jazz. 
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erictrochu · 7 years
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(ERT aka Eric TROCHU)598ème composition at home "Live", recomposition d'un titre du 26 janvier 2016, de bonne humeur et tout le toutim !  :)
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tournevole · 4 years
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VOL Porté par bien des ailes de l’amour, je vis la démesure des éléments, la douceur de ses chutes, l’effarement, les airs uniques d’une musique polyrythmique, la couleur sonore de vents dispersés, le bruit sourd des grillons, les rires, les échos de différents courants. Je veux m’arrêter ici et là, être le geste de l’épi de blé dans le vent, m’embourber dans la noirceur de raisins foulés. Au milieu de souffles divers je traverse un nœud de branches et de destins, la chaleur du soleil, l’aura noire de la nuit, la peau de pain et les ailes lustrales. Je vole, non que je craigne la nuit de cendre ni le vent froid d’acier dépouillé, mais parce que les ailes se déploient en un point solaire, luminaires dans la poussière de l’août. Je guette comme un hibou l’ombre grise des pins, la campagne désolée, l’eau de la lune, et, les yeux lourds, je lève le voile, âme d’amour, amour sur chaque aile.
PEDRO SERRANO
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rollingstonemag · 6 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/la-scene-rock-du-mali-du-niger-et-de-lalgerie-est-plus-vivante-que-jamais/
La scène rock du Mali, du Niger et de l'Algérie est plus vivante que jamais
Sidi Touré, BKO, Tal National et Imarhan sont les fers de lance d’une évolution survitaminée des rythmes et des sons ethniques
Alors que des groupes de rock américains se tournent vers l’EDM avant-gardiste pour rajeunir le genre, les guitares électriques africaines et les instruments traditionnels grincent avec une intensité toute nouvelle après des années trop silencieuses. Là-bas, le scénario romantique du carrefour à la croisée des chemins a été remplacé par un vigoureux commerce culturel international et interethnique au Mali, au Niger et en Algérie. Au milieu de la myriade de variations de la musique africaine, le rock est de nouveau à la hausse.
L’auteur-compositeur et guitariste Sidi Touré vit à Bamako, la capitale du Mali, mais il a grandi à Gao, situé entre le fleuve Niger et le désert du Sahara, à quelques centaines de kilomètres à l’est de Tombouctou. Né d’une noble lignée Songhaï, Touré a vécu parmi les Bozos, les Bambaras, les Fulanis et les membres des Touaregs dans le « désert du blues« . Ce dernier a peut-être inspiré son nouveau Toubalbero, flashy et urgent, un électrochoc avec les sons folkloriques acoustiques qui dominent ses quatre précédents albums. Djadjé Traoré a ajouté une guitare électrique saturée aux côtés du ngoni amplifié d’Ourmane « Papou » Dagnon (un luth recouvert de peau de chèvre) ) et du batteur Mamadou « Mandou » Kone. Sidi Touré avait défié sa famille pour devenir une sorte de griot sans véritable bonne foi. Maintenant, il est encore pire: un griot rocker. Et la distorsion fait office d’une authenticité nouvelle.
Le groupe Tal National se déclare lui-même « Rock and roll puissant d’Afrique de l’Ouest »
Toubalbero est un terme de Goa pour définir un grand tambour traditionnel qui rassemble une communauté. Touré étend ce sentiment d’enchantement communautaire surdimensionné dans des chansons comme Heyyeya, qui reflète un jour de mariage – « rien que le bonheur, rien que la joie » – dans un micmac polyrythmique de plus en plus frénétique. Guitares et ngonis dévoilent des solos et des cris de Touré extasiés pendant Tchirey, une explosion d’urgence de sept minutes au tempérament de tonnerre. Le vaudou fait partie de la tradition spirituelle Songhaï et le groupe de Touré résonne quelque part à la périphérie de l’envoutement.
BKO, d’un autre côté, nécessite une oreille attentive. Le quintet innovant et bruyant sonne comme un Congotronics assourdissant avec des ngonis amplifiés. On trouve aussi des jeli ngonis ou des plus gros donso ngonis (aussi appelés « harpe de chasseur ») aux côtés des percussionnistes sur djembe et tambours dum-dum, ainsi qu’un tube en métal dentelés appelé karagnan. BKO (du nom du code de l’aéroport de Bamako) a donné suite à leur premier album Bamako Today sorti en 2014 avec Mali Foli Coura, traduit par « le nouveau son du Mali« .
Mali Foli Coura est effectivement très innovant, synthétisant des éléments griots et donso dans des morceaux comme le très afrobeat Mali Liberela, un avertissement à la population de ne pas devenir complaisante maintenant que les djihadistes ne terrorisent plus le nord du Mali de façon régulière. Des rythmes simples de danse polyrythmiques accompagnent les paroles chargées spirituellement de Dirty Donso sur le masque komo, tandis qu’un ngoni noyé dans la pédale wha-wha conduit Strange Koreduga, une danse traditionnelle interprétée par des bouffons et des clowns. Pourquoi Mali Foli Coura se conclut avec la très fleur bleue Mon Amour est un mystère. Chaque bataille mérite une ballade, bien sûr, et BKO gagne la sienne en transcendant l’afro par l’afro-punk.
Le groupe Tal National originaire du Niger ne cache pas ses allégeances, se déclarant lui-même « Rock and roll puissant d’Afrique de l’Ouest » sur sa page web. Formé en 2000 par le guitariste et (au moins à temps partiel) le juge municipal Hamadal « Almeida » Moumine, le groupe le plus populaire du pays concocte un tourbillon sonore de divers ingrédients culturels. À 380 km à l’est de Gao, la capitale du Niger est également polyglotte, et ses communautés Fulani, Hausa, Songhaï et Touareg se reflètent dans les 13 membres du Tal National. (L’approche collective est particulièrement utile lorsque le groupe de six membres doit jouer deux concerts en même temps.)
Les membres du groupe touareg Imarhan ressemblent à des rockeurs
Tal National sont les stars du math-rock de l’Afrique de l’Ouest. Le rappeur-chanteur nigérian Zara Moussa donne le premier couplet sur le titre d’ouverture de Tantabara, leur quatrième album depuis 2009, avant que tout le groupe ne saute dans la jubilation et décolle au galop sans relâche à travers un groove 12/8 complexe en langue hausa. Enregistré dans un studio improvisé de Niamey par Jamie Carter, un producteur de Chicago plus connu pour avoir travaillé avec Joan of Arc et Chance the Rapper, Tantabara a une ambiance minimaliste et indie-rock qui rappelle le punk afrojazz de Brooklyn Sunwatchers ou Yonatan Gat, guitariste de Tel Aviv.
« Nous sommes un peuple qui vit dans les montagnes sans eau« , entonne l’un des sept chanteurs présents sur les huit morceaux de Tantabara, cette fois dans la langue Tamashek du peuple Touareg. « Nous sommes un peuple qui vit dans ces lieux non pas parce qu’il y a de l’or ou des dollars. » Probablement le titre le plus rapide et le plus grondant enregistré à ce jour, Akokas offre tout sauf une pause. Dans leurs vestes de cuir noir et leurs Levis déchirés, les membres du groupe touareg Imarhan ressemblent à des rockeurs. Imarhan (qui signifie « ceux qui se soucient de moi« ) sont la deuxième génération de guitaristes « assouf« , comme on nomme le style profondément groovie des soi-disant « enfants de Tinariwen« . La connexion est forte. Le chanteur et guitariste d’Imarhan, Iyad Moussa Ben Abderahmane, a suppléé Ibrahim Ag Alhabib pendant quelques années alors que le fondateur de Tinariwen avait besoin de temps en famille. Le bassiste de Tinariwen, Eyadou Ag Leche, a aussi produit son deuxième album, Temet.
Robuste mais chaud, Temet contient des claquements de main, des répondeurs vocaux féminins, et les percussions granuleuses tindé symboles de la musique touareg, mais avec des guitares entremêlées et sans exclamations hurlantes. « Tout le plaisir se termine dans la mort, vous devez le savoir« , Ibrahim chante avec vivacité dans Tamudre (« vivant« ), un rock-noir qui se prépare à un sombre solo façon Keith Richards avant de disparaître avec quelques secondes de larsens. Basés à Tamarasset, en Algérie, Imarhan sont des citadins qui pimentent incessamment les grooves d’assouf avec du disco, du funk et du reggae selon les besoins. « Vous devez fonctionner dans le monde d’aujourd’hui et utiliser Internet et tout le reste« , a déclaré Ibrahim à Andy Morgan du Guardian, « mais vous ne devez pas lâcher les bases de votre ashak [langue Tamasheq pour dire la dignité et l’hospitalité] – C’est essentiel.  » Ils sont plus proche de John Lee Hooker que d’Hendrix, mais vous pouvez les sentir élever leur inspiration toujours plus haut, dans l’obscurité, à la lisière de la ville, dans le désert, n’importe où.
Écrit par Richard Gehr, traduit par Baptiste Manzinali
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theopillault · 4 years
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Frontlines : Nihiloxica, tumulte polyrythmique
Fruit du télescopage réussi entre des percussionnistes ougandais du Nilotika Cultural Ensemble et deux jeunes producers de Leeds — fan de Refused et d’Aphex Twin, le groupe polyrythmique Nihiloxica est en train d’épingler Kampala sur la carte des villes africaines qui bouillonnent fort. Décrit par Gareth Main comme « le meilleur groupe sur Terre actuellement » dans The Quietus, Nihiloxica est sur le point de libérer ladite Terre du confinement grâce à Kaloli. Un premier album signé chez Crammed Discs, un des meilleurs labels sur terre actuellement. PAM a rencontré Spooky-J, batteur du super-combo : le Nyege Nyege Festival, les marabouts dans la ville, la première partie d’Aphex Twin et la scène ougandaise… Il nous dit tout.
Lire l’itw in situ ici.
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                                 QUASI STELLAR OBJECTS # 6
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⟶ OD BONGO (live AV)
OD Bongo est un trio qui marie les larsens vidéos d'Hugo Saugier à la musique de deux figures de l'underground techno, Somaticae (In Paradisium, Tanzprocess) reconnu pour ses beats indus sauvages, et C_C (ThirdType Tapes), docteur ès feedback et représentant des formes les plus radicales de dub. Le trio propose une longue plage industrielle et polyrythmique, à la recherche d'une transe psychédélique souvent mise de côté dans les productions techno contemporaines. Hugo Saugier transformera les murs du Le 100 ECS en écran éclaté à 360°.
⟶ RICHARD FRANCES & KONPYUTA (live AV)
Lors des performances du musicien Richard Francés et du duo de vidéastes Konpyuta, image et son entrent dans une troublante symbiose. Leurs “paysages synthétiques”, visuels et sonores immergent le spectateur dans une méditation synesthésique hors du temps, hypermoderne et archaïque. Le trio présentera un nouveau live technoïde et expérimental. Richard Francés est également membre de Juju et Pointe du Lac, et fondateur du label Hylé. Il collabore depuis 2012 avec Konpyuta, duo vidéo fondateur du groupe a/v Dasein et des soirées Quasi Stellar Objects.
⟶ DOMOTIC (live AV)
Que cela soit sous son nom de scène ou avec l’un de ses projets parallèles (Centenaire, Egyptology, Karaocake), Stéphane Laporte éclaire discrètement la musique pop-expérimentale depuis une quinzaine d’années. Ses performances live solo (récemment éditées au format cassette sur le label Err Rec ) explorent à la fois le bruit et la mélodie, la techno et l’ambient, l’écrit et l’improvisé, à l’aide de claviers analogiques et de machines à bandes. Son live sera accompagné d'un collage vidéo en work-in-progress. ⟶ Ambiance assurée par Sainte Rita entre les lives : musiques psychédéliques, ambiant, indus... ____________________ Quasi Stellar Objects programme des projections, des concerts et des lives AV (film, signal analogique ou numérique) avec pour mots d’ordre : singularité, radicalité, poésie. ____________________ Jeudi 28 novembre 2019 100 ECS, 100 rue de Charenton, Paris 12e Métro : Ledru-Rollin, Gare de Lyon De 20h à 23h - début à 20h30 précise Entrée 10 € - Tarif réduit 7 € Bar à prix ok
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francois-and-marie · 5 years
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P6070340_Lum1 on Flickr.
Sons of Kemet XL à NOS PRIMAVERA SOUND 2019. L'orchestre polyrythmique conduit par le saxophoniste tenor Shabaka Hutchings aura été pour nous un des shows les plus énergique, futuriste et fascinant de ce festival. C'est une musique mutante, mélange audacieux de fanfare caribéenne, d'éthio-jazz, de free jazz psychédélique, de slam, … qui est taillée pour le live avant tout. Avec ses 4 batteurs (Tom Skinner, Edward Hick, Maxwell Hallett, Jonathan Scott), son tubiste (Theon Cross) et Joshua Idehen au Slam, Sons of Kemet XL, incroyable machine à danser, a mis son public en trans en enchainant les titres de son dernier album “Your Queen is a Reptile”. Sons of Kemet incarne avec son leader le renouveau du jazz outre Manche depuis plusieurs années. Shabaka Hutchings est aussi à la tête de deux autres formations tout aussi passionnantes : “The Comet Is Coming” et “Shabaka and the Ancestors”. C'est un des concerts qui restera un des grands moments de ce festival que nous apprécions chaque année un peu plus.
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ntx-mag · 7 years
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Vatican Shadow - Rubbish Of The Floodwaters
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Arf, il fallait bien qu’on vous parle un jour ou l’autre de Vatican Shadow, alias Prurient. Et quelle plus belle occasion que la sortie d’un maxi venant fêter les vingt ans de son label Hospital Productions ! Un anniversaire en grande pompe puisqu’il se fait sur le prestigieux label berlinois Ostgut Ton, une première pour l’artiste basé à NYC, et qui fait suite à une résidence au non moins célèbre Berghain.
Vu les références susmentionnées, on pouvait logiquement s’attendre à un EP plus Minimal et boom boom que ses productions habituelles. Pourtant « They Deserve Death » ne prend pas vraiment cette direction, bien que ce titre soit moins dark que la moyenne en ce qui le concerne. Assez court et dénué de rythme, le titre est une sorte de mini symphonie analogique, plein de delay et basé sur une approche très "métronomique".
Naturellement on retrouve quand même du son taillé pour le dancefloor : « Rubbish Of The Floodwaters » propose ainsi un cross stick vintage sur le upbeat, avec un côté très linéaire une fois que le hi-hat débarque. Pour le reste on retrouve la patte de Dominick Fernow, avec de nombreux sons mystérieux, furtifs voire industriels, qui donnent l’impression d’être rentré dans une église digitale. L’ensemble repose sur un bourdon continu, ce qui crée une sorte de tissu sonore dans lequel les sons ricochent et renforce l’ambiance introspective.
« Weapons Inspection » semble repartir exactement là où le sillon de la face précédente s’était arrêté, avec une atmosphère encore assez funèbre. Les plages sonores se font plus longues en revanche, créant un mouvement de balancier planant. Le kick se fait également un peu plus percutant toutefois, et le rythme se complexifie progressivement. Là aussi l’approche est assez polyrythmique, notamment grâce à la présence d’une sorte de clave et d’un hi-hat façon balai. Globalement le morceau est plutôt Techno mais parvient à préserver ce côté un peu louche et menaçant, tout en étant calme (big up à celui qui comprend cette phrase !).
Au final, c’est vrai que Rubbish Of The Floodwaters est assez sombre et minimal, il n’est donc pas si étonnant de le retrouver sur le label allemand en fin de compte. De l’autre côté on retrouve les bidouillages de cassettes et de claviers MIDI qui ont fait la réputation du ricain, quoique cet EP soit plus facile d’approche que d’autres éléments de sa discographie. Alors évidemment c’est pas joyeux joyeux, mais dans l’ensemble les tracks sont moins torturées que la moyenne, notamment par rapport aux sorties estampillées "Prurient". Bref, c’est cool.
Vatican Shadow - Rubbish Of The Floodwaters
Sites Officiels : Vatican Shadow / Prurient
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affairesasuivre · 4 years
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Le streaming du jour #1946 : Tangents - ’New Bodies’
Dans la foulée de l’EP Stents + Arteries, ce troisième opus de Tangents confirme le petit miracle d’osmose aventureuse du quintette australien, héritiers de Tortoise ou The Necks - voire dans les passages plus expérimentaux The Third Eye Foundation, quand le désespoir des orchestrations surgit de rythmiques liquéfiées comme sur Gone to Ground - capables d’irriguer du même souffle libertaire et mélangeur leurs méditations improv jazz aux textures irradiées (Immersion) et leurs épopées post-rock polyrythmiques aux arrangements poignants (Lake George, Swells Under Tito).
Le combo, où l’on retrouve notamment le musicien électronique anglais Ollie Bown du duo Icarus (déjà défendu à l’époque par Temporary Residence Ltd.), revient justement d’une tournée avec les séminaux Chicagoans du label Thrill Jockey et les lignes de vibraphone du pianiste Adrian Lim-Klumpes sur Lake George, les synthés goovesques et autres mélodies de guitare tropicalistes du génialement mutant Terracotta ou encore les accents stellaires du fervent Arteries ne trompent pas sur la filiation, avec toutefois un lyrisme plus prononcé chez les Australiens qui prend le pas sur l’abstraction des auteurs de TNT, par le biais notamment du violoncelle de Peter Hollo (pour le coup, on pense un peu à feu Slow Six, aussi).
Épique et feutré (la batterie et les percussions de l’hyperactif Evan Dorrian donnant le ton), vraiment jazz mais vraiment plein d’autres choses aussi (du dub à la folk en passant par la musique contemporaine répétitive à la Steve Reich), foisonnant d’instruments et de sonorités et pourtant d’une clarté sans faille (même sur le nébuleux Oort Cloud qui clôt l’album sur 7 minutes de bouillonnement impressionniste et onirique mené par un piano vibrant, des drones irisés et la guitare cosmique de Shoeb Ahmad), New Bodies est un disque de paradoxes, celui d’un groupe sans contraintes ni attaches qui suit le fil de son inspiration sans se soucier des étiquettes, pour le plus grand plaisir de nos oreilles toujours avides de territoires vierges à explorer.
Chef-d’œuvre ! 
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streetnsports · 7 years
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David Douglas : Entre pop aérienne et techno contemplative
David Douglas : Entre pop aérienne et techno contemplative
“Spectators Of The Universe” est le nouvel album de producteur/artiste/réalisateur néerlandais David Douglas, publié via Atomnation Records. Après “Moon Observations” en 2014, Douglas continues à perfectionner sa musique, emmenant l’auditeur vers un voyage disco ensoleillé, polyrythmique et mélodique.
Inspiré par les écrits astrologiques de son homonyme du XVIIIe siècle (qui était explorateur et…
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wonkea · 7 years
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Hailu Mergia - Yegle Nesh - Philophon records - 2015 AWESOME ETHIOPAN MUSIC with occidentals accentuations Une vague de mélodies élégantes portées par un sublime rythme funky polyrythmique . 30 ans après Hailu Mergia is still the master !
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                         QUASI STELLAR OBJECTS #2
⟶ JUNG AN TAGEN - Agent Im Objekt (LIVE A/V)
Nous sommes excités de vous présenter le travail de Jung An Tagen, récente recrue des Editions Mego, qui présentera pour la première fois en France son live audiovisuel "Agent Im Objekt". Avec l'ordinateur, Jung An Tagen élabore un chaos sonore très maitrisé qui transgresse la syntaxe de la clubmusic. Les sons sont polis et brillants, mais se comportent de manière étonnamment organique, formant des moirés polyrythmiques et des essaims de vibrations aiguës qui troublent les sens. Visuellement et musicalement, sa performance est un défi à la perception. (malheureusement déconseillés aux photosensibles)
>> https://soundcloud.com/jungantagen
⟶ MERYLL AMPE & KONPYUTA (LIVE A/V)
Travaillant à partir d'enregistrements glanés dans son quotidien retenus pour leurs qualités acoustiques, la musicienne Méryll Ampe applique des techniques directement liées à la sculpture : tailler dans la masse, modeler, sculpter.  A l'écran, le duo Konpyuta transforme en direct des images filmées ou générées par le biais d’un synthétiseur vidéo. Pour ce live, un oscilloscope analogique permet de visualiser les ondes émises par le dispositif sonore tandis que le signal vidéo généré par le synthétiseur est utilisé par Méryll Ampe comme source sonore. Ainsi, les éléments enregistrés se superposent aux signaux émis audibles et visibles, dans un geste constant de génération, d’injection et de redistribution.
>> http://meryllampe.com/
>>https://konpyuta.squarespace.com/
⟶ MATTHIAS PUECH (LIVE)
En plus d'être musicien, Matthias Puech est programmeur et chercheur en informatique théorique, compétences qu'il met à profit dans sa musique en concevant ses propres instruments à l'aide d'algorithmes inspirés de la physique et de la biologie. Ses compositions, instantanés contemplatifs de paysages imaginaires qui floutent la frontière entre synthèse sonore et field recording, sont influencées par sa fascination pour les phénomènes naturels et les concepts mathématiques. Pour cet événement, il interprétera une pièce inédite mêlant audio-naturalisme et synthèse sonore.
>>  https://mqtthiqs.github.io/
⟶ INFOS PRATIQUES
Samedi 17 novembre 2018
au 100 ECS, 100 rue de Charenton, Paris 12e
Métro : Ledru-Rollin, Gare de Lyon
De 20h à 23h45 - début des lives à 20h30
Entrée 10 euros - Espèces et CB
Bar à prix doux
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