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[saltypeanutnerd]

Tapis Absorbants Alimentaires, Prévisions de la Taille du Marché Mondial, Classement et Part de Marché des 12 Premières Entreprises

Selon le nouveau rapport d'étude de marché “Rapport sur le marché mondial de Tapis Absorbants Alimentaires 2024-2030”, publié par QYResearch, la taille du marché mondial de Tapis Absorbants Alimentaires devrait atteindre 837 millions de dollars d'ici 2030, à un TCAC de 6,9% au cours de la période de prévision.

Figure 1. Taille du marché mondial de Tapis Absorbants Alimentaires (en millions de dollars américains), 2019-2030

Figure 2. Classement et part de marché des 12 premiers acteurs mondiaux de Tapis Absorbants Alimentaires (Le classement est basé sur le chiffre d'affaires de 2023, continuellement mis à jour)

Selon QYResearch, les principaux fabricants mondiaux de Tapis Absorbants Alimentaires comprennent Novipax, McAirlaid's, Aptar, Magic Spa, Sirane, Elliott Absorbent Products, Demi Company, Cellcomb, Dimer GmbH, Tite-Dri Industries, etc. En 2023, les cinq premiers acteurs mondiaux détenaient une part d'environ 39,0% en termes de chiffre d'affaires.

À propos de QYResearch

QYResearch a été fondée en 2007 en Californie aux États-Unis. C'est une société de conseil et d'étude de marché de premier plan à l'échelle mondiale. Avec plus de 17 ans d'expérience et une équipe de recherche professionnelle dans différentes villes du monde, QYResearch se concentre sur le conseil en gestion, les services de base de données et de séminaires, le conseil en IPO, la recherche de la chaîne industrielle et la recherche personnalisée. Nous société a pour objectif d’aider nos clients à réussir en leur fournissant un modèle de revenus non linéaire. Nous sommes mondialement reconnus pour notre vaste portefeuille de services, notre bonne citoyenneté d'entreprise et notre fort engagement envers la durabilité. Jusqu'à présent, nous avons coopéré avec plus de 60 000 clients sur les cinq continents. Coopérons et bâtissons ensemble un avenir prometteur et meilleur.

QYResearch est une société de conseil de grande envergure de renommée mondiale. Elle couvre divers segments de marché de la chaîne industrielle de haute technologie, notamment la chaîne industrielle des semi-conducteurs (équipements et pièces de semi-conducteurs, matériaux semi-conducteurs, circuits intégrés, fonderie, emballage et test, dispositifs discrets, capteurs, dispositifs optoélectroniques), la chaîne industrielle photovoltaïque (équipements, cellules, modules, supports de matériaux auxiliaires, onduleurs, terminaux de centrales électriques), la chaîne industrielle des véhicules électriques à énergie nouvelle (batteries et matériaux, pièces automobiles, batteries, moteurs, commande électronique, semi-conducteurs automobiles, etc.), la chaîne industrielle des communications (équipements de système de communication, équipements terminaux, composants électroniques, frontaux RF, modules optiques, 4G/5G/6G, large bande, IoT, économie numérique, IA), la chaîne industrielle des matériaux avancés (matériaux métalliques, polymères, céramiques, nano matériaux, etc.), la chaîne industrielle de fabrication de machines (machines-outils CNC, machines de construction, machines électriques, automatisation 3C, robots industriels, lasers, contrôle industriel, drones), l'alimentation, les boissons et les produits pharmaceutiques, l'équipement médical, l'agriculture, etc.

[jeux-raconte]

Lorcana

Je vais me plier au buzz ludique du moment et parler du jeu qui défraie la chronique !

Sur le papier ça sonnait plutôt bien. Et ça me faisait envie pour plein de raisons. Alors pourquoi j'en parle comme si il y avait des choses qui ne vont pas ? Parce qu'il y a des choses qui ne vont pas.

Lorcana, pour ceux du fond, qu'es-ce que c'est ? Un JCC, c'est à dire un jeu de carte à collectionner, à la Pokémon ou Magic. Deux joueurs s'affrontent avec chacun un deck, des raretés de cartes, plein de decks possibles... Le twist : la licence ! C'est la plus célèbre des souris américaines qui a ouvert son portefeuille de personnages pour peupler cette première édition d'un peu plus de 200 cartes.

Je commence par les sensations de jeu, et je résume : j'ai trouvé ça très sympa ! C'est fluide, plus simple qu'un Magic pour plusieurs raisons. Déjà, une grosse majorité des cartes peuvent servir de "mana", ou "encre" dans ce jeu, puis qu'on dessine les personnages qu'on invoque. Cela évite donc les mains pleines ou vides de terrains à la Magic. Et puis on ne peut pas jouer de cartes ou d'effets pendant le tour de l'adversaire. C'est chacun son tour, strictement ! Donc cela retire toutes les galères de pile d'effets et réaction, plat préféré des magiciens.

Le jeu a un côté prise de risque, va-et-vien entre les adversaires, puisqu'on ne peut "attaquer" qu'un personnage déjà épuisé parce qu'il a lui-même attaqué, ou qu'il est parti à l'aventure (récolter des éclats de Lore, au bout de 20 on a gagné la partie !). Du coup on réfléchit à l'ordre des actions, quelles actions faire à quel tour, et ça donne un côté puzzle à la réflexion assez plaisant.

Bien évidemment, le jeu est moins profond que d'autres pour le moment. Mais cela ne retire rien au plaisir de jeu, et puis c'est compliqué de juger la valeur d'un jeu de cartes qui n'a qu'un set de cartes et qui vient de sortir.

Toujours du côté des bon points, il y a un côté extrèmement rafraîchissant de prendre un jeu de cartes à sa sortie. Déjà parce qu'il est très populaire, buzz de la sortie ou pas, on verra si cela dure. Du coup, il y a énormément de contenu sur le jeu, groupes facebook, jeu organisé dans les bars à jeux et magasins... Les gens sont très motivés ! Et surtout, on est nettement moins submergé par la quantité de cartes. On fait assez rapidement le tour, on comprend ce qui ne sera pas joué sauf envie très forte de voir ce personnage ou cette illustration ; ce qui est fort, ce qui l'est moins, etc... et on a la sensation de comprendre et d'appréhender la globalité du jeu et de saisir tout ce qui s'y joue. Là où dans une extension de Magic par exemple, si vous n'êtes pas à jour dans tout ce qui existe, ou tout du moins tout ce qui est joué ou vaut le coup de l'être, eh bien c'est très compliqué d'évaluer la puissance d'une carte, ou son utilité. Ou encore, avec le peu de cartes de Lorcana, les combinaisons de cartes utiles émergent rapidement, là où il faut 15 ans de connaissance de Magic pour se dire devant une nouvelle carte "ah ça, ça irait super bien dans un deck avec cette carte d'il y a 7 extensions, et ce commander pas très connu...".

Bon mais alors, où le bât blesse-t-il ?

Eh bien la popularité du jeu et le buzz autour de sa sortie auront été ses premiers ennemis farouches. Faute à la quantité de cartes produite par Ravensburger ? Peut-être. Est-ce qu'ils auraient dû se rendre compte que le jeu faisait un buzz énorme des mois avant sa sortie et imprimer en conséquence ? C'est possible. Un premier set imprimé pour évaluer la masse à produire par la suite ? Probable.

Dans tous les cas, dès la première sortie (le jeu est sortie de manière échelonnée, d'abord en boutique spécialisée, et plusieurs semaines après en grande distribution : cultura, fnac, micromania...), les gens se sont précipité et ont dévalisé les stocks disponibles. S'en suit donc le ballet habituel et malheureusement aussi classique que toxique dans ce genre de situations : les scalpers, la revente aux prix lourdement gonflés, et même les vols dans les boutiques (aux USA mais pas que...). J'ai personnellement acheté "seulement" deux decks de base le jour de la première sortie, et je voulais attendre d'essayer le jeu avant d'en acheter plus. Quelle drôle d'idée ! Le jour même, il n'y avait quasiment plus rien en boutique. La seconde sortie, "grande distribution" ? Au micromania le plus proche de chez moi, seulement 7 boosters ont été livrés. Une trentaine dans les grosses Fnac ou Culturas. On est très loin d'un approvisionnement suffisant pour permettre d'acheter un peu de boosters ! Sans parler de collectionner et d'acheter plusieurs displays, au moins quelques boosters pour varier un peu les cartes des decks et essayer d'en faire soi-même ! Mais non, impossible...

De mon point de vue, c'est la très grosse épine dans le pied du jeu pour le moment. Une réimpression est annoncée pour début 2024, et le second chapitre du jeu arrive mi-novembre. On verra dans quelles quantités. Mais après le premire soir où j'ai pu avoir connaissance d'un draft organisé en boutique, impossible de faire du scellé non-plus, ce qui est mon format de jeu organisé préféré...

J'ai failli revendre les deux decks que je possédais, de dégoût... Il y a bien des solutions pour jouer, des fans ont créé une version PC et Smartphone avec toutes les cartes débloquées, cela permet de tester des decks... Sinon, imprimer des proxys je suppose...

Mon point de vue est très fluctuant, chaque jour je peux passer d'un "wait and see", à un profond mépris teinté de dégoût pour la situation "scalpers / revente" du jeu, mais avec de temps en temps l'envie d'en faire une partie. En tous cas, si la sortie du second chapitre se fait dans les mêmes conditions, ils risquent de perdre un sacré paquet de joueurs, moi y compris.

[maraboutowo]

Sac magique d'argent, rituel pour avoir la fortune

Sac magique d’argent, rituel pour avoir la fortune

Sac magique d’argent, rituel pour avoir la fortune Ce sac magique d’argent a ces origines dans les temps anciens et était auparavant utilisé par des anciens bourgeois pour se faire facilement des sous. Grâce à ce puissant sac magique d’argent, ces anciens bourgeois ont été très riche et plus-que prospère toute en étant dans leurs maison sans travailler et sans bouger un doigt. Maintenant c’est…

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[lesecumeurs]

“Ma seule carte d'abonnement à une salle de concert a pris la poussière toute l'année dans mon portefeuille.”

C’est par l’interview de Jean-Marie et de son frère François que j’avais, en juin 2017, clôturé cette série de portraits. La rencontre n’avait pas manqué de sel puisque les deux frères, que trois ans séparent, n’avaient pas du tout le même rapport à la scène. Jean-Marie a été très actif depuis puisqu’on lui doit, aux éditions Le mot et le reste, plusieurs ouvrages de référence dont “Smile, la symphonie inachevée des Beach Boys” et “Ground Zero, une histoire musicale du 11 septembre”.

Hello Philippe, j'espère que tu va bien. Désolé, j'ai un peu traîné à te répondre. C'est sympa de prendre des nouvelles de "tes" écumeurs” en tout cas.

Ça me fait penser avec amusement (il en faut bien un peu en ce moment) que dans ta série j'étais l'exception, le non-écumeur, celui qui avait une consommation de concerts horriblement raisonnée mettant en relief celle des autres. Cela ne m'empêche pas, comme tous ces autres j'imagine, de conserver un souvenir précis de mon dernier concert, très bon d'ailleurs : Sleater-Kinney, que je voyais pour la première fois, au Trianon, le 24 février 2020. En compagnie de mon frère, le vrai écumeur de la fratrie, dont tu avais aussi tiré le portrait. Après l'annulation des festivals d'été, dont le seul auquel je vais très régulièrement car c'est ma région (la Route du rock), je n'ai pas voulu retourner en concert l'automne dernier avec la contrainte des masques et de la distanciation sociale à respecter : autant j'étais prêt à faire des concessions pour retourner dans les salles de cinéma (l'expérience artistique collective la plus importante pour moi, bien plus que le concert), autant pour les concerts j'ai envie d'y regoûter "comme avant", dans des petites salles ou des bars. À part ça, ma seule carte d'abonnement à une salle de concert a pris la poussière toute l'année dans mon portefeuille : c'est d'autant plus dommage que cela m'aurait fourni une expérience nouvelle puisque c'était celle de l'Opéra de Paris, où je n'ai jamais mis les pieds en quinze ans à (pas plus qu'à l'opéra tout court d'ailleurs avant d'aller voir "Les Noces de Figaro" mis en scène par James Gray fin 2019, œuvre pour laquelle mon amour de néophyte avait suscité l'étonnement amusé de camarades popeux).

J'ai longtemps considéré le concert comme une expérience de second rang vis-à-vis du disque studio : je trouvais que les morceaux étaient forcément moins bien, il fallait piétiner pendant des plombes plutôt que rêvasser dans son fauteuil puis enchaîner tous les passages obligés ("Bonsoir Paris!" ou le petit jeu du rappel systématique), et pour les grands masos, il était possible ensuite de se farcir un "live report" dans la presse voire un disque live. La pandémie n'a pas totalement inversé ma perspective mais m'a permis de prendre conscience du sentiment de manque que je ressen(tirai)s à ne plus aller en concert. Et de l'importance que j'y accorde, si ce n'est dans la découverte de nouveaux groupes, du moins dans l'affection accrue que je peux porter à ceux dont je viens de découvrir les disques et que je "rencontre" sur scène. Écrivant assez peu sur la musique dans la presse en ce moment, et mes projets d'écriture au plus long cours tournant plutôt autour de "vieux" groupes, j'écoute quasi-exclusivement des oldies ces temps-ci. Pas de concerts en 2021, peu de nouveautés de 2021. Et pas une envie folle d'en écouter plus, même si c'est sans doute injuste, car le cycle teasing-single-clip-deuxième-single-album paraît bien étrange en ces temps confinés et reconfinés, qui nous privent du plaisir de la discussion en chair et en os autour des groupes, en concert ou en ailleurs. Je le sais, cette envie reviendra en même temps que les concerts, même si j'attends encore de voir si et quand ils redeviendront comme avant. D'autant que s'ajoute l'écueil du Brexit : début 2019, alors que l'idée d'une pandémie mondiale nous paraissait bien lointaine, j'étais allé à Londres interviewer des musiciens britanniques pour un dossier de "Magic" sur le sujet, et je me souviens notamment de Luke Haines me racontant les astuces que les groupes utilisaient dans les années 1980 pour voyager sans encombres, avant Schengen...

Une phrase de "Sur le rock" de François Gorin sur l'écoute et l'écriture comme activités solitaires, confinées, m'avait marqué quand j'ai lu le livre, et je l'ai interrogé dessus quand j'ai eu la chance de l'interviewer en juin dernier: "La chambre devient aussi un refuge : le critique absolu ne la quitterait pas. Il serait invivable, et il n'existe pas". Je pense qu'après y avoir "goûté", on peut tous le confirmer aujourd'hui : oui, il serait bien invivable !

Photo : Benoit Grimalt, 2017.

[elfenbensord]

reasons of sentiment // remus lupin

[30.4.2018]

Request: Oneshot where Remus and Reader (both adults! not marauders) have to pretend to be a married couple and its so natural for them and everyone around them and shes introverted and gets kinda domestic even in this time and both accidently call the other sweetheart or something like that even when they didn't have to? And Sirius and Co ship them so theres a funny part in it too? - @rocking-like-a-ravenclaw

Author’s Note: Sometimes a lil Sirius-ish pov, it just happened. Also, umm, I don’t really know what or how or why. AND I kinda wanna extend the suffering/pining, so maybe I could make this into like a lil mini series?? That’s an idea.

Masterlist / Request

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“This was your idea”, his footsteps tap against the wet brick road.

“It wasn’t, I’d never come up with anything this idiotic!” her words are sharp, but they make him smile nonetheless. “Anyway, it was either Sirius or me. But we of course know your preferred choice-”

“You”, he’s far too quick to answer.

“Sirius.”

“Stop it!”

“Stop what?”

“You know I’d choose you, don’t think anything else of me!” Let me have the liberty of loving you.

You can’t see them through the rain. They could just be some couple, any couple. Her dress has buttons all the way up, the one by her neck opened. His tweed jacket is already ragged. There’s an umbrella buried in his brown leather portefeuille, long forgotten. All that exists right now is she and she alone.

Coming up from behind, he holds her in his arms and lifts her up, laughter against laughter in the cold evening.

---

The block house is quiet when they finally arrive to the Phoenix Order’s headquarters, Grimmauld place 12,  their clothes wet and heavy from the cascading rain. Sirius wants to make a cheeky comment on their appearances, the smiles on their faces, but he’s too kind tonight to do it. To see his old friend, the one who’s suffered so much and gotten so little in return, happy despite the wet is something he can’t ruin even if forced. I can always call them out on it after dinner, he thinks but never does. Instead, he brushes back his wild hair and leans back in his seat, silently wishing them all the best in this world.

It started as a silly game. Maybe even a drunk one, no one can re-call properly. The “I love you”’s of no meaning, the hand-holding underneath the table. Maybe a kiss or two shared in quiet, dark corridors of the headquarters. It’s almost like this mission was tailor-made for them. To play-pretend married, infiltrate the high society of the London witches and wizards all together. Her faked American accent is a cause for laughter, still her charms make it all believable. With a red-painted smile on her lips and a glass surely filled with expensive, sparkling champagne, she fearlessly takes on the London society. And she doesn’t know it, or maybe she does, or maybe she doesn’t. But she is, she is, she is.

And Sirius Black can’t blame his friend for falling for her.

---

The tea has gone cold, freezing, and she moves her hands to the conversation. Like a conductor, he thinks as he watches.

“I don’t know, I think of happiness as something much simpler.”

Their hands meet, reaching for each other. Her hand sneaks into his, the bruises on his face meaning nothing as the couch underneath them creaks.

“Tell me more”, she leans into his shoulder, into him, “Tell me more about your happiness.”

“Alright”, his eyes meet hers through his glasses. “My happiness would be a quiet, normal life, maybe away from magic, in some small town full of old libraries and flowerpots. Somewhere where time stands still, where a moment can last for forever.”

“That’s lovely… and totally the dream of an old, old man.” She laughs, she means no hurt by it. She never means to hurt anyone.

He decides to play along, “Yes, I’ll become a gray, old man, take up gardening and tell all the younglings about ‘back in my days’.”

“What’ll you tell the children?” She traces his knuckles with a fragile finger.

“I’ll tell them that once upon a very old time, there was a girl called (Y/N), and she could not whistle if so her life depended upon it.” Her laugh, her laugh, her laugh.

“Alright, and what happened to her?”

“Well, despite her not being able to whistle at all, and the fact that she wore her hair in silly hairstyles”, he ruffles her head, then gives her silly pigtails a small tug, “she was very lovely in all other ways, and she could -- and would -- do whatever she pleased. End of story.”

“Hmm”, she holds his hands in hers, breathing into his ear and he feels like doing something. “You’re shit at telling stories, you should know that.”

Her laugh, his laugh, their laugh.

“But Remus”, her voice breathes life into his limbs, “it doesn’t have to be just a dream.”

For a moment, their eyes meet. It’s a naked, true rendezvous of their souls. She’s not fearless enough to keep it, keep the moment, but she’s got the words on her side, “And I’d be happy to share it all with you.”

He can’t ever speak an answer for that, but he can hardly wait to hear it all again. He likes discussing futures with her, for she always says what he needs, and maybe she even means it. He’ll be patient, call it hope. He’ll hope for it, hope for her.

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“But what about the little cottage in that small village? Did all that mean nothing to you?” Her words are not shouted, meaning they hurt even more. They prick his skin, small drops of blood peeking out. And her tears break his little loving heart. “Why are you doing this?”

He didn’t notice the brown suitcase by her feet, the cleaned-until-spotless rooms, he didn’t realise what she’d do for him, where she’d go with him. When he does, which is when it’s all far too late, he’ll want to rip his own lungs out in an attempt to breathe her air again.

The simple case in his own hands speaks for itself. The words are on the tip of his tongue, the words he promised himself a thousands times he wouldn’t ever say. I love you, come with me.

The rain outside drains, cleans, his thoughts, thank Merlin. He could so easily make such a expensive little mistake. His mother has trained him to speak his mind, he’ll make her disappointed yet again. With a face glittering with tears and sobs breaking through his sentences, he turns around. “I’m leaving this now. I… I wish you all the best.”

“Tell me you never loved me, say it to my face.”

She’s impossible, Miss Troublesome. And I love her.

His steps come to an end, he forces himself to turn around. Though his feelings are spilling out onto her carpet through his shiny eyes, he says it, “I don’t love you.”

He’s a liar now, no better than a thief, but he tries to save his own soul by not adding the definite ‘never’. The rain washes the tears off, it helps him turn his back on her and walk towards a new life. A life of possibilities. The life of a liar.

---

“Remus?” Her voice echoes through the halls of the old school building. For once, they’re not somewhere bathing in memories; they didn’t know each other back in the school days. His neck snaps when he turns around, hungry for a glance of her, scared to death of what she might do.

“What are you doing here?” It’s not his question to ask, but he better beat her to it.

“If you’d cared to send a letter, you’d know that I’m a teacher now.” The bitter sting of her voice digs deep into his chest like arrowheads. She’s grown, her hair is longer, she walks with confident.

“(Y/N)...”, it’s been years since the extraordinary combination of letters has left his mouth.

“That’s professor (Y/L/N) to you now.”

He feels like laughing, but doesn’t dare to. A small smile still wanders on his mouth.

He’s wearing that same tweed jacket, almost falling into pieces now, and the familiar portefeuille swings lightly in his left hand. He looks too thin, she quietly notes. Since she became a professor, she’s become quick to notice things like that.

A group of fifth years walk down the corridor, chatting amongst themselves. As they walk by (Y/N), once his, now her own, they look at her with respect. “Good morning, professor.”

“Good morning, Justin, Sophie, David.” All these teens she keeps track of, they all love her. She’s young, she’s beautiful, she has it all.

He stands beside her, awkwardly observing the exchange of words on a Sunday morning. She waits until the students, her students, are gone out of sight before she turns to Remus and slaps him across his face.

“That hurt!” The red makes his mind clear.

“You deserved it!” He did.

“No, I didn- Yes, yes I did.” I’m sorry, I’m sorry, I’m sorry for everything.

His cheek stings, the pain makes him feel better.

“What are you doing here? Another plan to abandon the ship?” So much pain.

“No, I’m here to see Dumbledore.”

“I’ll walk you there, even though I’d much rather continue to enjoy my morning in blessed silence.” She’s read even more books since last time, he can tell from the way she speaks. And he also knows that she knows that he very well knows the way to Dumbledore’s office. That’s a small comfort to him. A minimal one, but comfort nonetheless.

“So what do you teach?” He already knows, he figured it out years ago.

“Herbology, and I’m pretty darn good at it.”

“I can imagine.”

The silence which follows carries the ten years of quiet between the pair.

And then she turns to him, her eyes ready to speak the truth, “Where did you go-”

“Ah, Remus, there you are!” A silver man with half moon shaped spectacles, greets his old protege. She gives him one lasting look, nods a small greeting to the headmaster and then scurries off to her greenhouses. His eyes linger at her running form, wondering what on Earth could’ve happened next.

---

Her Wolfbane flowers are doing very well, especially considering the circumstances. A small smile forms on her lips as she notices how the Asphodel is flowering yet again. The dirt underneath her nails proves that she’s passionate, the flowerpots stacked upon piles of books that she’s an avid reader. Greenhouse number three is her home, here she spends her days with her plants and her books and herself. And that has been enough, was enough. It all was fine until his stupid eyes found hers in the corridor. Stupid, idiotic, lovely, handsome Remus Lupin.

A small knock on the door to her house made out of windows is enough for her to swear a quiet curse under her breath. She meets Remus, her eyes tired and still in love.

“You have no idea of many times I wanted to come back, how many times I regretted what I did.”

“But you still did it. You still left us all.”

She turns her back on him, much like what he did to her so many years ago. Her hands find a distraction -- an unpotted plant -- everything to stop the tears from coming. Remus watches her, hands fumbling and heart aching. Her shoulders start to shake, her barricade has fallen. Grasping the wooden table until her knuckles turn white, her breaths heaving in and out like waves crashing into a broken shore.

He reaches out, “(Y/N)-”

“I loved you. I still do.” Her hands fumble for her worn-out apron, her fingers leaving stains of dirt that no tears could clear.

The next thing he does he will regret bitterly.

“I’m sorry.”

He turns his back on her for the second time, now leaving him a liar and the foulest of men.

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She’ll say goodbye to greenhouse number three, and then she’ll start a new chapter in her life, one as a writer. She’ll write about the thing she dearly loves -- plants and greens -- and the unwritten book will become beloved by both students and professors. The last two weeks have been spent teaching up the new professor in Herbology, the kind-hearted Neville Longbottom, and packing up her few possessions. A final goodbye, then the turn of yet another page.

The windows reflect her face, they mirror every wrinkle that has set its mark on her skin, the parentheses on both sides of her mouth prove her many laughters, the ones on her forehead confirms her many worries. Her mind bathes in nostalgia, drowns in memories. The good choices, the bad choices. The many delights, the few but bitter regrets. A knock echoes through the glasshouse, she turns around and expects to see her unlikely but good friend Sibylla Trelawny, or possible another students who has come to wish her goodbye and good luck. The ragged man who enters is uninvited, almost a stranger to her eyes.

He speaks without giving her a chance to escape, “I came here with no expectations, but only to confess that my heart is, and always will be, yours.”

He looks too thin, she notes. Remus Lupin steps inside her world with his badly patched-up tweed jacket, and the old portefeuille heavy with ‘should’ve’s and ‘could’ve’s’ dangling in his hands. He’s an intruder, a thief of words, a love forever felt. This is not how she thought it would be.

“I know I have nothing to offer, but I’m yours if you’ll have me”, he continues, a foolish, pleading look on his scarred face as he puts his heart on display for her. And for the second time, she turns her back on him.

But only for a moment.

One hands clasped by her mouth, the other suddenly clings to his ragged jacket. “You fool, you absolute moron”, his arms hold her in an embrace sweeter than death, “I never want to be parted from you ever again.” Her words make his melt.

But he just has to ask, “But can you be happy, with nothing more than me?”

Breathing a few times, drying her eyes with the clean back of her right hand, she gives him her answer, “I believe that I will be undeniably happy.”

Greenhouse three became a silent solitude for their love, their patience. They have suffered all the hurt which love brings with itself, without getting to enjoy all of the advantages. But they’ll forget that as he holds her with tears staining his tweed jacket.

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[tagnon123]

Témoignage Portefeuille Magique,Porte-monnaie magique,bedou magique,wallet magic

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[dujeu]

Opensea pour soutenir Solana NFT en avril

À la suite d'une série de fuites au cours des derniers mois, le marché NFT le plus populaire, OpenSea a confirmé hier, le 29 mars avec une vidéo Twitter le soutien des jetons non fongibles à base de Solana.

La nouvelle a rendu compte de tous les médias traditionnels comme l'excitation construit. Notamment, le Tweet d'Opensea a réussi à obtenir plus de 9 000 retweets, 2 582 Citation Retweets et 21 000 goûts. L'intégration des États vidéo vient en avril, bien que la date exacte n'a pas encore été annoncée.

Perçu comme le "tueur éthérée", Solana ne fait que la deuxième fois qu'après Ethereum, lorsqu'il s'agit de NFTS avec sa capitalisation boursière estimée à environ 1,5 milliard de dollars. Solana se développe rapidement, en particulier dans l'espace NFT, car il offre des transactions moins chères de manière plus énergétique que l'éthéréum.

Opensea est le premier et le plus populaire marché NFT se concentrant principalement sur Ethereum, avec une intégration pour le sidechain polygone et ceux avec X et Tezos immuables l'année dernière. Seulement en janvier, OpenSea Trading Volume a dépassé 5 milliards de dollars. Selon Decrypt, la Société est évaluée à 13,3 milliards de dollars et a récemment augmenté 300 millions de dollars dans une série de la série C.

Top NFT Collections sur Solana.

Il y a des collections sur Solana qui font très bien en termes de transactions et de volume. Dégénéraire APE Academy - Magic Eden, une collection d'APE similaire à l'ennui Ape Yacht Club a un prix de plancher de 88 sol et un volume de trading total de 342 147,57 sol.

Le Solana Sinkey Business est une autre collection NFT populaire avec un prix de 275 sols et 281 118 SOL Volume total. Solana Sinkey Business est une collection de 5000 un singe à base de pixels généré de manière aléatoire unique avec une taille de la communauté respectable.

Les autres collections NFT incluent la déchirure Cryptopunks, les Solpunks et le jeu P2E, Aurory.

Solana fonctionne en connectant des portefeuilles Web3 telles que Phagent et Solflare.

[lemanichien-blog]

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[grandmaitremediumlaterre]

RITUEL MAGIQUE POUR ALLER A LA PROSPERITE DE MAITRE

Vous qui avez tous essayé et sans résultat ou qui êtes en difficulté, la malchance vous poursuit, les problèmes vous paraissent désespérer; ne vous faite plus de soucis. Tous vos problèmes seront résolus définitivement ( MÊME A DISTANCE ) et tous vos souhaits seront réalisés très rapidement et garantis à 100 %. Je suis un marabout qui peut intervenir dans les domaines suivants: - Désenvoûtement.... -Porte feuille magique..... - Protection contre les mauvais sorts.... - Amour: Retour de l'être aimé, maraboutage d'une femme ou d'un homme, mettre fin à un divorce, attirer quelqu'un... -Problème d'enfant............ -Problème d'accouchement............. - Chance: Ce qu'il vous faut pour avoir plus de chance aux jeux, pour ne plus être poissard dans la vie... - Travail: Ce qu'il vous faut pour trouver un travail, ne pas se faire virer, pour être augmenté, pour réussir les entretiens d'embauche. - Business et affaires: Ce qu'il vous faut pour avoir de succès lorsque vous montez une entreprise, pour mieux négocier les contrats, pour faire venir les clients et attirer des partenaires * Portefeuil magic qui vous proucure d'argent jusaqu'à 25000 euros par mois

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Mais pourquoi donc des gens continuent-ils de donner de l'argent à Magic Leap ? - #Ankaa

Mais pourquoi donc des gens continuent-ils de donner de l'argent à Magic Leap ? Et si Magic Leap n’était, ni plus ni moins, que le prochain Gorilla Glass des Apple et autres Google en matière de réalité augmentée ? Et si les bailleurs de fonds de cette mystérieuse startup n’étaient pas juste des fous furieux au portefeuille qui fuit ? Le point sur cette étrange é... https://ankaa-pmo.com/mais-pourquoi-donc-des-gens-continuent-ils-de-donner-de-largent-a-magic-leap-2/ #Actualités_:_Informatique #Casque_De_Réalité_Virtuelle #Réalité_Virtuelle #Technologie

[bestsmartphonesreviews]

Mais pourquoi donc des gens continuent-ils de donner de l'argent à Magic Leap ?

Et si Magic Leap n'était, ni plus ni moins, que le prochain Gorilla Glass des Apple et autres Google en matière de réalité augmentée ? Et si les bailleurs de fonds de cette mystérieuse startup n'étaient pas juste des fous furieux au portefeuille qui fuit ? Le point sur cette étrange éventualité. from ZDNet News http://ift.tt/2yKXLcV via IFTTT