Tumgik
#réflexion sur faire l'amour
e642 · 4 months
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Je suis en période de révisions et comme d'habitude depuis que je suis dans le monde des études (très longtemps), c'est une période compliquée. Me concentrer, me projeter, la peur de l'échec, les pensées intrusives, tout ça, ça me paralyse. Je sais pas comment faire pour avoir un esprit apte à recevoir des connaissances et surtout à les mémoriser. C'est même pas inintéressant ce que j'étudie. Mais je divague sans cesse. Ça le concerne beaucoup. Il agit tellement bizarrement constamment que ça me fait me poser des questions. Sur moi. Sur lui. Sur nous. Sur les relations. Sur l'amour. Sur l'intérêt. Sur mes limites. Sur ce que j'aimerais. Sur les efforts. Etc. C'est dur de pas trop penser. Et c'est tellement frustrant de me dire que je perds un temps fou sur des réflexions dont je n'aurais sûrement jamais le coeur net. Sur lesquelles il n'y a pas de réponse immédiate. Sur lesquelles je ne devrais même pas être l'auteur. Je suis seule et je ne fais que penser au sens de tout ça. À ma capacité à encaisser ou pas. Je fais l'effort d'écrire, formuler, m'exprimer, parler, mais ça ne marche pas. Il y a un reste qui stagne au fond de moi. Peut-être le déni de certaines choses. Peut-être la culpabilité. La culpabilité fait partie des émotions qui, même énoncée, ne changent rien à l'état. C'est là, c'est irrationnel, ça déforme tout. Toute ma réalité est déformée par ce que me reflète les autres et qui ne me convient pas. J'ai beau le savoir, je n'en suis pas plus légère. 2024 commence comme 2023 a fini, dans le flou, dans la déception, dans l'angoisse et la frayeur. L'impression d'être jamais assez bien. J'ai peur de cette année parce qu'il y aura sûrement une rupture pas évidente dedans, et d'autres choix de vie pénibles si je continue à rien faire pour changer les choses.
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teubay-creepy-weirdo · 11 months
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Revenir sur ses pas ou Tumblr en 2023
Revenir ici sur mes réflexions ou la plupart du temps l'expression de l'amour, de crush et sur ce que ça produit dans mon esprit.
Je me souviens que j'ai commencé à écrire ici car j'en avais marre de me perdre dans mes pensées, de ne pas parvenir à les saisir, à comprendre ce que je pense.
Ça a pris finalement la forme d'une conversation avec moi-même, pour me comprendre.
J'ai assez honte de ces trucs que j'ai écrit, ce n'est pas bien brillant.
Je crois que j'aime assez l'idée de me confier à moi même car je trouve souvent que les choses que j'ai à dire sont assez vaines.
J'ai essayé la poésie, les rimes, faire sens.
J'ai essayé des choses.
J'ai essayé en me disant que ça valait la peine de le dire, de l'écrire quelque part, ici, alors que, qui va sur Tumblr ? Qu'est ce que j'ai, moi, à dire d'intéressant là tout de suite ?
Je me sens comme dans des profondeurs ici, ou les bas fonds de l'humanité si on veut. En juin 2023 j'ai même retrouvé un brouillon : "Quand vais-je sombrer".
Ma grande source d'inspiration ça a été ces crushes, ces béguins, parce que je crois que dans mon passé d'hétéro je n'ai jamais été si bouleversé que par ma découverte de ce qu'est une fille, ce qui a l'air d'une fille ? Avec le temps j'évolue et je trouve que les crushes c'est une idée assez stupide, aussi parce que j'ai désormais vécu des relations et que je saisis mieux ce qui les rend si éphémères.
On aime que l'idée de la personne ou seulement sa beauté soudaine qui nous éclate aux yeux à côté d'un geste anodin qui nous fait nous sentir important.
Je pense à Marie, dans les escaliers, qui m'a proposé son aide pour monter mes affaires, un aspirateur dans les mains. C'est elle qui m'a fait atterrir sur Tumblr me passionnant secrètement par les photos qu'elle y postait.
Bref, je tombe amoureux des gens qui me rassurent. Je n'ai toujours pas vécu une relation où j'aime l'autre autant qu'iel m'aime mais depuis le début je me dis qu'on est pas obligé, de s'aimer de la même manière, que l'important c'est le soutien et j'arrive mieux à donner de la valeur à l'amitié. Avant, je ne me pensais pas désirable, du moins que quelqu'un'e que je trouve désirable ne pouvait pas me désirer et j'en souffrais beaucoup mais aujourd'hui je sais que c'est autre chose et qu'il y a bien 1000 autres choses à penser qu'uniquement les histoires de coeur bien qu'elles réapparaissent toujours quelque part, toujours un crush qui resurgit finalement, mais qui prend une forme inaccessible plus apaisée, sous le signe de l'admiration et de la sensibilité au monde.
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ayanna-tired · 2 years
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Mot de l'auteure
Je suis retombée sur les quelques mots que j'avais écris en guise d'intro à mon roman, je les poste ici...
Du combat ordinaire. Partout autour de moi, des personnes parlent de la peur qu'elles ont de mourir. Pour ma part, je n'ai jamais eu ce genre de peur (ce qui est étrange selon la plupart des gens). D'ailleurs, je suis même allée suivre une formation dans le funéraire lorsque j'avais vingt-et-un ans ! J'ai constaté en leur en parlant que souvent, les personnes qui ont peur de mourir se brident. Elles se laissent ronger par l'inquiétude du temps qui passe, se protègent de leurs propres sentiments ou régissent leurs vies par des habitudes et des rituels très stricts. Nous sommes nombreux à nous contenter de survivre plutôt que de réellement vivre. A refuser d'avoir quelque-chose à perdre, à nous préserver des dangers et des surprises de la vie. Aussi me suis-je souvent demandé : pourquoi on s'interrogeait tant sur ce qu'il y a dans la mort, alors que nous ignorons tout de ce que peut être la Vie. Cette dernière phrase ne m'a pas quittée des années durant ! Et c'est alors que j'étais encore au collège que j'ai commencé à imaginer les réflexions de quelqu'un qui est dominé par ce genre de peurs —ce qui n'était pas bien difficile vu ma mentalité de l'époque— Il me fallait inventer un personnage qui s'interdise de vivre mais qui avait une "excuse" à cela. Mais qu'est-ce qui pourrait bien pousser quelqu'un à renoncer à ce point au bonheur ? Une personne en pleine dépression certainement, touchée par le Spleen Baudelairien ! Mais cela nous l'avons déjà tous déjà vu, ou même tous vécu... Un mal qui ne s'explique pas n'est pas intéressant d'un point de vue strictement littéraire. Il fallait une excuse à cette fuite, pour que je puisse parler de la fuite en elle-même et non du problème qui était insoluble ; aussi, plutôt que “quelqu'un qui ne se bat pas”, j'ai créé “quelqu'un qui se bat mal”. Nathaniel naissait alors lentement dans ma tête, et il existait désormais pour se tromper de combat. Il ne devait pas se battre pour essayer de vivre heureux et épanoui, il devait lutter pour se persuader qu'il menait ce combat. Nath existait dans ma tête... et dans la sienne, j'avais mis la maladie.
Je me suis renseignée sur ce mal, je voulais être crédible. Mais je ne me doutais pas de ce que j'allais découvrir. Ce combat acharné, cette lutte pour la survie, pour la vie... J'ai lu des témoignages, des articles et des informations et me suis sentie étrangement concernée par tout cela. Certains malades se battent jusqu'au bout, ou décident de faire le tour du monde, de vivre pleinement avant la mort. Cette volonté farouche de vivre “pour de vrai” m'a touchée au cœur... et m'a rendue triste aussi. Mais pourquoi donc faut-il être malade pour se battre enfin ? Pourquoi ce courage ne nous touche-t-il pas tous, même ceux qui sont en bonne santé ? Pourquoi encore perdons-nous tant de temps à attendre, à avoir peur ?
Ce roman ne traite pas de la maladie, ni de la mort. Il parle d'un combat que nous avons tous à mener. Un combat pour la liberté de l'esprit, pour la Vie pleine et entière, pour le risque, le bonheur, le pardon... pour l'amour sous toutes ses formes.
Mon récit se devait d'être réaliste, le plus possible. C'est pour cette raison que les passages rudes se marient avec les moments paisibles du quotidien. Je voulais montrer un univers où le désespoir, la peur et la solitude côtoient l'espoir sincère, l'effort, le soutien, la fidélité et l'amour. Et la fin de mon roman est à l'image de cet univers : rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir. Tout tourne autour de cette lutte infinie entre la peur et la Vie, ce combat salvateur et essentiel mais aussi terrible, douloureux et éprouvant.
A nous de faire le choix de le mener...
©Ayanna
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omagazineparis · 5 hours
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Choisir un vrai beau bouquet de fleurs pour la fête des Mères ?
La fête des Mères est la plus belle occasion d'offrir un superbe bouquet de fleurs à celle qui vous a mis au monde. Cependant, une question épineuse se pose : comment choisir un vrai beau bouquet ? Vous n'y connaissez rien en fleurs et ne savez pas comment faire votre choix ? Nous vous aidons à composer un magnifique bouquet de fleurs à offrir à l'occasion de la fête des Mères ! Assurez-vous de choisir un bouquet de fleurs adorées par votre mère La fête des Mères approche à grands pas et il est temps de commencer à réfléchir à ce que vous pourriez offrir à la personne la plus importante de votre vie. Si vous cherchez à offrir un cadeau simple, mais élégant, les fleurs sont un choix parfait. Cependant, pour que votre cadeau soit vraiment apprécié, assurez-vous de choisir un bouquet composé des fleurs préférées de votre mère. Si vous ne voulez pas lui demander directement parce que vous voulez lui faire la surprise, faites travailler votre sens de l'observation et considérez les fleurs qu'elle aime habituellement. Si elle n'a pas de préférence particulière, vous pouvez vous baser sur ses couleurs favorites. Si votre maman a un penchant pour les tons pastel, optez pour des roses ou des pivoines. Si ses préférences vont vers les couleurs vives et éclatantes, elle adorera les tournesols ou les dahlias. Enfin, n'oubliez pas de considérer la signification symbolique des fleurs. Si votre mère apprécie la tradition, offrez-lui des œillets, qui représentent l'amour maternel. Si elle préfère l'originalité, choisissez des tulipes, qui symbolisent le printemps et le renouveau. Ainsi, choisir un bouquet de fleurs adorées par votre maman nécessite de la réflexion et de l'attention. En prenant en compte ses préférences personnelles, vous pourrez lui offrir un cadeau attentionné et qui vient du cœur. Comment trouver le meilleur service de livraison de bouquets ? Maintenant que vous avez fait votre choix, vous devez faire envoyer un bouquet de fleurs à votre maman par un fleuriste qui propose un service de livraison à l'occasion de la fête des Mères. Pour trouver le meilleur service de livraison, vous pouvez faire quelques recherches en ligne et choisir parmi les nombreuses entreprises qui proposent cette prestation. Lisez les avis des clients pour vous faire une idée de la qualité de leurs prestations. Vérifiez également la disponibilité de ces services dans votre région. Ensuite, examinez les politiques de livraison de chaque entreprise. Certaines offrent une livraison le jour même, tandis que d'autres nécessitent une commande préalable de quelques jours. De plus, assurez-vous de vérifier les coûts de livraison et les options de suivi. Veillez aussi à ce que le service de livraison de votre choix utilise des fleurs fraîches et de qualité supérieure pour que votre maman reçoive le plus beau des bouquets. Enfin, optez pour une entreprise qui offre un excellent service clientèle et qui peut répondre rapidement à vos questions et préoccupations. Choisissez des fleurs de saison cultivées en France L'avantage de choisir des fleurs de saison, c'est qu'elles sont plus fraîches et plus durables que les fleurs qui sont importées. Après leur long voyage et un stockage prolongé, ces dernières n'ont pas toujours bonne mine et ne durent pas plus de quelques jours. En choisissant des fleurs de saison cultivées en France, vous pouvez être sûr que votre bouquet sera frais, coloré et parfumé. Par ailleurs, en choisissant des fleurs cultivées localement, vous soutenez les agriculteurs français et contribuez au développement de l'économie locale. Vous pouvez également être fier de savoir que vous avez choisi un produit respectueux de l'environnement, car il n'a pas été importé de l'étranger, évitant ainsi les émissions de CO2 liées aux transports. Enfin, n'oubliez pas que les fleurs de saison cultivées en France n'ont rien à envier à celles des autres pays et offrent une grande variété de couleurs et de textures. Vous pourrez créer une composition florale unique et personnalisée pour votre mère. Selon la saison, vous pouvez choisir parmi une large gamme de fleurs telles que les pivoines, les roses, les lys, les tulipes, les dahlias et bien plus encore. A lire aussi : Où faire garder ses enfants à Marrakech ? Quel est le bon prix pour un bouquet de fleurs de qualité ? Il n'est pas rare que les fleuristes affichent d'énormes différences de prix pour des bouquets comparables. Néanmoins, le prix des fleurs en entrée de gamme tourne toujours autour des 20 à 25 euros le bouquet, hors frais de livraison. Le tarif varie également en fonction de la taille, de la qualité et de la composition du bouquet de fleurs. En moyenne, un grand bouquet est vendu 45 euros. Les fleurs les plus chères peuvent néanmoins coûter jusqu'à 200 euros, frais de livraison compris. Read the full article
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lauragerlain77 · 28 days
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L'avant bras de la mort
 L'avant bras de la mort
(100% histoire vraie)
Excusez-moi d'avance pour cette histoire et son titre surtout
Il y a quelques mois, je constatais des choses étranges sur mon compte Facebook.
Des likes sur pas mal de photos d'une personne que je ne connaissais pas. Et ce, très régulièrement.
Pendant 6 mois ou peut-être plus, j'ai laissé courir, pensant que c'était David qui se manifestait (il adore les faux profils depuis toujours). Et puis un jour, je lui ai envoyé un message.
Je voulais savoir si c'était vraiment lui.
Au bout d'un mois (pas pressé le gars), cet étrange individu me répondit enfin.
Il me dit que non, ce n'était pas David. Et que je ne me souvenais probablement pas de lui.
Je lui demandai alors plus d'indices. Il me dit que nous avions fait l'amour sur les bords de Marne il y a très longtemps.
Désolé de vous décevoir, mais il y a plusieurs hommes qui y sont passés là bas.
Ca ne m'aidait pas plus que cela.
Il continua en me disant que pourtant, il m'avait marqué au fer rouge.
Immédiatement, je pensais à quelqu'un. Le seul homme qui me laissa une trace de main sur la fesse pendant une semaine. Il faut dire que ce n'était pas un tendre celui-là.
Il continua en me parlant de la fois où en bas de chez lui nous avions baisé, et terminé par je cite une sodomie explosive. Effectivement, il s'agissait bien de l'homme auquel je pensais.
Je ne peux vous dire encore aujourd'hui son nom. Je ne sais même pas si je l'ai su un jour.
Lui ne connaissait que mon prénom. Et juste avec ça il m'avait retrouvé sur le net. Etrange, mais passons.
Je l'avais rencontré sur un site de rencontres il y a peut-être 13 ans environ.
Je lui avais seulement envoyé un ou deux messages du type: j'ai envie de baiser, ça te dit ce soir?
Il avait répondu présent. Nous nous étions donnés rendez-vous sur les bords de Marne, dans un coin que je ne connaissais pas encore.
C'était l'été, il faisait très chaud. Je me souviens porter une jupe noire évasée et rien en dessous.
J'avais apporté à boire, de l'alcool. De la vodka sans doute.
Cet homme était immense. Il devait faire 1m90 voire plus. Il avait un corps magnifique.
Mais son visage avait quelque chose de déplaisant, d'étrange. Aucune symétrie. Un gros flou artistique.
Je n'avais jamais vu un tel visage si particulier. Sans être moche, il était...inatteignable.
Oui, d'accord, ça ne veut rien dire. Mais si vous l'aviez vu, vous auriez compris.
Il était direct. Encore plus que moi. Pourtant c'est moi qui lui ai sauté dessus.
J'étais très excitée de base (je devais être en pleine ovulation ce jour-là je ne me cherche pas d'excuses mais quand c'est comme ça, je suis dans un état second où le seul besoin qui éclipse totalement tous les autres y compris celui de dormir et manger c'est celui de baiser) et après quelques gorgées d'alcool et quelques blagues échangées, je ne pus me retenir bien longtemps.
Sauf que ce monsieur ne m'avait pas prévenu d'une chose: tout était proportionnel chez lui.
Il était adossé à un arbre et, tout en le regardant dans les yeux, je lui montai dessus. Je commençai à l'embrasser et il répondit tout de suite à mes baisers sans se faire prier.
Il plaça ses mains sur le haut de mes cuisses puis remonta doucement. Je le sentais bander et ça me faisait déjà peur. Ce n'était pas un sexe de taille normale que je sentais, c'était une monstruosité.
Mais bon, rien ne m'arrête, surtout pas ça. J'ai toujours eu une grande tolérance à la douleur.
Même si là, elle allait être mise à rude épreuve...
Je déboutonnai son jean et ne pus m'empêcher une réflexion sortie des tréfonds de mon étonnement "oh mon dieu!". 
Vous voyez mon avant-bras? Et bien c'était ça. Et encore mon avant-bras était plus fin.
Il était tout aussi dur que mes os (quelle image!) et j'allai m'asseoir sur ça...il fallait avoir du courage.
J'exagère un peu mesdames, messieurs.
Après une petite seconde d'hésitation, je le fis entrer en moi doucement. J'étais bien lubrifiée, aussi cela ne fût pas si terrible.
Tant que c'était moi qui avait le contrôle...Après quelques mouvements, il me souleva (oui, il était super fort) tout en restant en moi et me prit debout contre l'arbre.
Nous étions totalement seuls. Le soleil se couchait à peine. Peu à peu, son visage et son comportement se transformèrent.
Il devenait plus brutal, plus bestial. Il me tenait par les cuisses et ses mouvements se faisaient de plus en plus amples.
Je commençai à gémir de plus en plus fort. Comme j'avais mal à cause de l'arbre dans mon dos, je le stoppai et lui demandai de me reposer par terre.
Je me retournai et lui présentai mes fesses. Il reprit son chemin initial et la position fût vraiment tout autre niveau douleur.
C'en était presque insupportable. Ses mains caressaient mon dos pendant qu'il me prenait de plus en plus fort. Il poussait des cris très excitants. Il aimait ça. 
J'aimais aussi sentir ma peau nue contre cet arbre. Il était frais. Il sentait la vie. Ca me faisait me sentir encore plus vivante. Ça m'excitait encore un peu plus.
Au bout de quelques minutes (vraiment pas longtemps heureusement), il s'agrippa à mes hanches en me disant qu'il allait jouir. Je me retournai, et tant bien que mal le pris dans ma bouche.
Il lâcha une quantité impressionnante de sperme comme j'en avais rarement vu.
J'étais comblée à tous les niveaux.
Nous nous étalions alors dans l'herbe pour nous reposer quelques instants.
Puis je pris dans la tangente comme à mon habitude.
Il me contacta le soir même pour reparler de tout ça. J'adore quand les hommes font du débriefing.
J'aime beaucoup faire ça aussi. Et plus il est rapide et plus j'aime ça.
Ne me laissez pas me reposer et m'endormir, je vais passer à autre chose. Le désir, ça s'entretient.
Il l'avait très bien compris. J'étais sous son charme. Niveau sexe, il était incroyable.
Le reste par contre...il m'énervait tellement! Je l'aurais tué! Il était d'une goujaterie sans nom.
C'est pour cela qu'il ne me revit qu'une autre fois. Assez rapidement d'ailleurs.
Il vint me chercher en voiture près de chez moi et m'emmena chez lui. Sauf que nous n'eûmes pas le temps de monter que nous étions déjà en train de nous sauter dessus.
Il abaissa le siège passager sur lequel j'étais assise et vint me rejoindre. 
J'écartai alors les cuisses autant que je le pus pour le laisser entrer. Après un moment, nous passions à l'arrière sans sortir de la voiture (quel tour de passe-passe, mais avec l'adrénaline, la souplesse est à son maximum).
Je lui demandai alors de m'enculer. J'en avais envie. Même si je savais que j'allais avoir terriblement mal.
Il entra d'un coup sec et je me mis à crier. Mais que c'était bon! C'était si fort. Il commença à faire des va et vient et cette fois il m'était impossible de réprimer mes cris tant je souffrais.
J'ai toujours trouvé du plaisir dans la souffrance comme vous le savez. Je prenais donc beaucoup de plaisir.
Il commença à me mettre des fessées et je sentais que ça le faisait bander encore plus fort.
Il continua pendant un bon moment. Ma fesse droite était en feu. Jusqu'à ce qu'il me sorte la claque explosive qui me fit hurler de douleur.
Il jouit à cet instant précis dans mon cul. Je m'en souviens comme si c'était hier.
Il était vrai qu'il m'avait marqué.
Pendant trois jours, j'eus beaucoup de mal à m'asseoir.
Il me proposa dès le soir même de passer un weekend avec lui et ses amis.
Comprenez un weekend de baise à plusieurs.
L'idée me tentait mais il me sortit une saloperie dont je tairai la teneur. Ou pas.
En gros, mon poids le gênait. Ah! tout en finesse ce mec-là. Il est vrai que j'étais un peu plus ronde à l'époque car je venais d'avoir mon fils. Mais cela restait acceptable, il ne fallait pas pousser mémé dans les orties!
Bien sûr, je disparus aussitôt après cette remarque.
Celui qui me fait une réflexion sur mon physique ne me revoit plus, c'est rédhibitoire.
Ca, et la violence physique (non consentie j'entends). Ce sont ça mes limites.
Celui que je laisserai me frapper n'est pas encore né. Je m'en suis déjà assez mangé jusqu'à mes dix-huit ans. Désormais, je ne tolère plus ce genre de choses. Y compris de mes enfants. 
Vous savez vers l'âge de deux ans, ils peuvent avoir une phase de "je tape". Croyez bien qu'avec moi cette phase n'a pas existé longtemps!
Bien entendu, ce jeune homme demanda à me revoir lorsque nous parlions sur Facebook.
Je me manquai pas alors de lui rappeler sa magnifique réflexion désobligeante en lui balançant que mes cuissots lui souhaitaient une bonne continuation!
Non mais! Le respect dans tout ça, il est où? 
Il me suit toujours avec son vrai compte cette fois...je me demande ce que cela peut bien lui apporter.
Enfin bref, qu'il se branle en repensant à mon cul si ça peut lui faire plaisir, il n'y retouchera plus jamais... 
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christophe76460 · 1 month
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Le film PASSION DU CHRIST :
"Mel Gibson a averti l'acteur Jim Caviezel que jouer le personnage de Jésus serait très difficile et que s'il acceptait, il serait très probablement rejeté par Hollywood.
Caviezel a demandé un jour de réflexion et sa réponse à Mel, qui finançait et réalisait le film, a été la suivante : "Je pense que nous devons le faire, même si c'est difficile". Autre chose : mes initiales sont J.C. et j'ai 33 ans. "Je ne m'en étais pas rendu compte jusqu'à présent.
Mel a répondu : "Tu me fais vraiment peur, tu sais."
Pendant le tournage, Jim Caviezel qui joue le rôle de Jésus a perdu 25 kilos, il a été frappé par la foudre, il a été accidentellement frappé deux fois pendant la scène de flagellation laissant une profonde cicatrice de 15 cm, il s'est déboîté l'épaule quand la croix est tombée dans le trou avec lui sur la croix.
Il a ensuite souffert de pneumonie et d'hypothermie après avoir été presque nu, avec seulement un pagne, sur la croix pendant d'interminables heures. La scène de la crucifixion a pris à elle seule 5 semaines sur les 2 mois de tournage.
Son corps était tellement épuisé et stressé par le rôle qu'il a dû subir deux opérations à cœur ouvert après le tournage.
Jim explique : "Je ne voulais pas que les gens me voient. Je veux juste qu'ils voient Jésus. C'est grâce à cela qu'il y aura des conversions".
Presque comme une prophétie, beaucoup de choses étonnantes se sont produites.
Pedro Sarubbi, qui jouait Barabbas, a senti que ce n'était pas Caviezel qui le regardait, mais Jésus-Christ lui-même, alors qu'il jouait ce rôle, il a dit de Caviezel : "Ses yeux n'avaient ni haine ni ressentiment à mon égard, seulement de la miséricorde et de l'amour."
Luca Lionello, l'artiste qui a joué Judas, était un athée avéré avant le début du tournage. Il s'est finalement converti et a baptisé ses enfants.
L'un des principaux techniciens travaillant sur le film était un musulman converti au christianisme.
Certains producteurs ont déclaré avoir vu des acteurs vêtus de blanc qu'ils n'ont pas reconnus pendant l'une des sessions de tournage, et lorsqu'ils ont revu les enregistrements, ils se sont rendu compte qu'ils ne les voyaient pas dans ces séquences.
La Passion du Christ est le film religieux américain qui a rapporté le plus d'argent et le film classé R le plus élevé de tous les temps, avec 370,8 millions de dollars ! Dans le monde entier, il a rapporté 611 millions de dollars.
Plus important encore, il a touché des centaines de millions de personnes dans le monde entier.
Mel Gibson a payé 30 millions de dollars de sa poche pour la production du film parce qu'aucun studio ne voulait accepter le projet.
Aujourd'hui, Jim Caviezel proclame simplement et hardiment sa foi en Christ, et le miracle qu'a été pour lui de représenter Jésus-Christ en tant qu'acteur et de devenir un plus grand croyant de Christ grâce à cette expérience.
Bonne fête de Pâques
Crédit: Gospel Afrique Francophone
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teumbeleur · 4 months
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Bien que tu ais exprimé le désir de le récupérer, le livre n'atterit jamais dans ta boîte aux lettres. Tu aimais croire qu'il avait non seulement oublié cette demande mais aussi qu'inconsciemment il retenait le bouquin en otage, comme une ultime raison de se revoir. Ainsi bell hooks, par delà sa mort, tenait votre histoire d'amour sur un fil et il y avait quelque chose de beau dans l'idée qu'il se refusait de te rendre un livre intitulé "la volonté de changer", comme si le titre, tant qu'il était entre ses mains, conférair des pouvoirs magiques et la preuve qu'il était toujours en plein changement.
Tu avais aussi décidé de dénommé cette histoire en tant qu'histoire d'amour. Tu avais mis à mal les argumentaires stéréotypés d'instagram et de tes amies, désormais votre histoire, même branlante, serait une histoire d'amour.
Les histoires d'amour sont-elles toutes condamnées à bien commencer? Toute une époque de remise en question, de podcast, de conseil sur comment bien vivre son polyamour, son célibat, ses relations non exclusives, son couple hétéro-normés, toute une cargaison de conseils venant briser les faits établis, et pourtant encore et toujours cette croyance indissociable : "quand c'est le vrai amour, tout est fluide et facile". Donc aucune remise en question, aucune prise de distance, aucun doute, aucune réflexion. L'amour doit nous tomber dessus, comme la pomme de Newton, sans crier gare et l'on se retrouve à se languir dans l'autre des heures durant sans jamais faire un pas de côté, sans jamais se dire "bordel, c'est qui cet•te étrangère qui vient de débarquer et qui bouscule tout?". L'amour comme une évidence, pas un choix, pas une décision, pas un pas franchi.
Et l'autre ne doit démontré aucun défaut, aucune faiblesse, désormais depositaire de notre bien être, de notre plaisir, de nos désirs et jouissance. J'ai déjà trop à porter sur mes épaules, comment pourrais-je en faire de même pour tes affaires?
Peut-on se tromper en début de rencontre, faire marche arrière, s'engueuler, mettre deux trois coups de canifs dans l'histoire, puis revenir après réflexion?
Peut-on dire "je veux bien, mais ça, ça ne me plaît pas et ça pue grave, tu peux le changer?" Peut-on casser l'ambiance auprès de ses potes, en leur disant que c'est le bordel et fini, pour annoncer le contraire 2 mois plus tard sans qu'ils ne viennent tous jouer les thérapeutes de bas étage qui vous lancent "les bases sont pourries, ça s'annonce mal pour la suite".
Il y a des histories d'amour qui filent tel des zodiaque sur des mers lissent pour finir par s'écraser avec fracas, pourtant "les bases semblaient bonnes".
Il y a des gens qui grandissent dans la souffrance, puis vieillissent dans un bonheur infini, d'autres qui ont tout eu dès leur début et on vécu des horreurs.
La vie n'est pas fluides, ni les début, ni les milieux, ni les fins. Les histoires d'amour non plus et aucun protagonistes n'est parfait.
La seule chose qui fait la différence, c'est la volonté qu'on veut y mettre, le choix qu'on y fait, doué de raison.
Nous sommes acteurs de nos histoires d'amour, nous avons une incidence, nous faisons le choix conscient et décidé de construire une histoire peu importe quelle soit avec cet•te étrangère imparfaite, et il n'est jamais interdit de faire deux trois aller-retours, de faire marche arrière, de repartir en avant et de demander à changer pour un meilleur.
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nathalie-noachovitch · 6 months
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La dépendance affective au sein d'une relation de couple est un sujet complexe qui touche de nombreuses personnes à un moment ou à un autre de leur vie. Elle peut se manifester de différentes manières, allant de l'attachement excessif à la peur de l'abandon. Dans cet article, nous allons explorer ce phénomène en profondeur, en examinant ses causes, ses conséquences et en proposant des pistes pour la surmonter. Il est essentiel de comprendre que la dépendance affective découle souvent d'une attente irréaliste que l'autre comble un vide intérieur.
Les Signes de la Dépendance Affective
La dépendance affective se caractérise par une forte nécessité de validation, d'attention et d'affection de la part de son partenaire. Les signes courants de la dépendance affective incluent l'angoisse excessive liée à la séparation, la tendance à négliger ses propres besoins pour satisfaire ceux de l'autre, et la difficulté à prendre des décisions autonomes. Si vous considérez que l'autre a le rôle de combler votre vide et donc de vous rendre heureux(se), vous êtes alors en attente que cette même personne fasse quelque chose pour vous ! À savoir combler votre vide ou votre manque. C'est une chose impossible bien sûr puisqu'il est en vous et non à l'extérieur. L'autre aura beau faire tout ce qu'il pourra, ce ne sera jamais assez pour remplir votre vide ! La recherche de quelque chose chez l'autre et le fait de trouver en l'autre ce qui temporairement nous comble N'est PAS de l'amour mais bien de la dépendance !! C'est là, la très grande différence : La dépendance crée cet attachement que l'on confond avec l'amour. Les Causes Sous-jacentes
La dépendance affective trouve souvent ses racines dans des blessures émotionnelles non résolues. Ces blessures peuvent être le résultat de traumatismes passés ou de souffrances intérieures que nous portons en nous. La dépendance est une blessure ou une souffrance qui s'arrêtera dès lors que nous serons en mesure de les reconnaître en nous et de les accepter pleinement sans chercher à les compenser ou à les combler par une autre personne. En d'autres termes, la guérison de la dépendance commence par une introspection profonde et l'acceptation de nos propres blessures émotionnelles. Notre dépendance sera définitivement terminée dès l'instant où nous saurons nous donner à nous-même ce que nous cherchons à l'extérieur, car une relation saine ne devrait pas servir de pansement pour nos blessures intérieures. La Voie de la Guérison
La guérison de la dépendance affective passe par l'auto-réflexion, la thérapie et le développement de l'estime de soi. Il est crucial de travailler sur l'indépendance émotionnelle et d'apprendre à s'aimer soi-même avant de pouvoir aimer pleinement quelqu'un d'autre. Les couples peuvent également bénéficier de la communication ouverte, de la compréhension mutuelle et du respect des limites personnelles. La dépendance affective est un défi, mais avec du temps, de l'effort et du soutien, il est possible de cultiver des relations plus saines et équilibrées. En conclusion, la dépendance affective est un obstacle fréquent dans les relations amoureuses, mais il est possible de la surmonter. La première étape consiste à reconnaître les signes de la dépendance affective, puis à explorer les causes sous-jacentes. La guérison implique un travail sur soi, l'amélioration de l'estime de soi, et la communication avec son partenaire. En fin de compte, la recherche d'équilibre et d'indépendance émotionnelle peut conduire à des relations plus épanouissantes et enrichissantes. Il est essentiel de comprendre que l'amour véritable ne consiste pas à combler un vide intérieur, mais à partager sa vie avec quelqu'un d'autre de manière équilibrée et saine.
jeveuxsauvermoncouple.com
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secretsdunevielibre · 7 months
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Pensée de la Semaine 41, du 9 au 15 Octobre 2023
💕 « Plus vous faites de bien aux autres, plus vous en faîtes à vous-mêmes » 💖
L'altruisme est une source de bien-être pour soi-même, tant sur le plan psychologique, social que spirituel.
Cette affirmation peut être interprétée de différentes manières :
🟩 Sur le plan psychologique, l'altruisme peut être bénéfique pour la santé mentale. Il peut aider à réduire le stress, l'anxiété et la dépression. Il peut également renforcer le sentiment d'appartenance et de connexion aux autres.
🟧 Sur le plan social, l'altruisme peut contribuer à créer un monde plus juste et plus équitable. Il peut aider à réduire les inégalités et à promouvoir la solidarité.
🟪 Sur le plan spirituel, l'altruisme peut être considéré comme une forme d'expression de l'amour et de la compassion. Il peut aider à développer un sentiment d'unité avec l'humanité.
Bien sûr, l'altruisme n'est pas toujours facile. Il peut parfois nous demander de faire des sacrifices ou de sortir de notre zone de confort ❗
Mais les bienfaits de l'altruisme sont réels et peuvent avoir un impact positif sur notre vie.
Une réflexion pour cette semaine ❗
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Thought for Week 41, October 9-15, 2023
💕 "The more good you do for others, the more you do for yourself" 💖
Altruism is a source of well-being for oneself, psychologically, socially and spiritually.
This statement can be interpreted in different ways:
🟩 Psychologically, altruism can be beneficial for mental health. It can help reduce stress, anxiety and depression. It can also strengthen a sense of belonging and connection to others.
🟧 On a social level, altruism can help create a fairer, more equitable world. It can help reduce inequalities and promote solidarity.
🟪 On a spiritual level, altruism can be seen as a form of expression of love and compassion. It can help develop a sense of unity with humanity.
Of course, altruism isn't always easy. It can sometimes require us to make sacrifices or step out of our comfort zone ❗
But the benefits of altruism are real and can have a positive impact on our lives.
A thought for this week ❗
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e642 · 1 year
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Tu sais, mine de rien, tu as fini par consumer mon âme, à polir mes côtés les plus intéressants, à ternir l'esprit brillant que j'ai pu être. Si on m'avait dit qu'une rupture brisait autant de choses, je crois que j'aurais préféré ne jamais te connaître. Je ne sais pas si c'est mon cœur brisé qui induit cette réflexion ou si je le pense vraiment. On a vécu de belles choses ensemble, très précieuses et inouïes, un réel éveil des sens, mais est-ce que ça en valait la peine finalement ? Puisque tout a été emporté par les vagues, par le vent, par les larmes, par le temps. La seule chose que ton absence m'a laissé c'est le goût déception qui saisit la gorge et qui a contaminé mon estime de moi, mes relations, ma vision des choses. Tu m'as pris l'ambition d'un jour faire naître à nouveau de l'amour et de la dévotion à l'égard de quelqu'un. Tu m'as privée de tant de choses. Je ne te jette pas la pierre, tu n'y peux rien concernant ma gestion des conséquences de tes actes. J'ai réalisé qu'en dépit de ma volonté la plus viscérale, toutes les émotions sont éphémères, ce qui varie entre chaque personne, c'est le temps que ça met à s'éteindre. Je crois qu'on se trompe sur l'amour, on l'a toujours maladroitement et incorrectement qualifié. J'ai idéalisé la durée d'un état qui n'a jamais été fait pour s'éterniser. Je ne crois pas que le respect, la passion, la douceur, l'envie, le désir, les attentions, les projets, les souvenirs soient des choses qui perdurent. Ça s'érode. Certains tiennent plus longtemps et c'est tout en leur honneur. Je ne crois pas que j'y arriverai. J'ai été très déçue. Personne ne pourra me décevoir plus que le tournant qu'à pris ma dernière relation. Au final, j'ai envie de m'épargner, la vie est bien assez pénible pour m'infliger tous ces efforts vains. Toutes ces situations angoissantes. La colère de se sentir incomprise. L'impatience de remarquer que plus aucune graine ne saurait faire germer ne serait-ce que de l'affection. J'ai la terrible sensation que c'est déjà passé, que ça a déjà eu lieu, que c'est fini, que je peux remballer mes affaires. Mon cœur a été tant fragilisé de cet affront sentimental qu'il ne saurait rien faire d'autre que se disloquer continuellement. La désillusion pèse un âne mort.
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caprisunexoticfruit · 9 months
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Après plus d'un an d'absence, je me remets à écrire et à parler de ce qu'il s'est passé dans ma vie et des réflexions que je me suis fait à moi-même sur certain sujet !
! ATTENTION LE POST VA ÊTRE LONG ! (est-ce que ça intéresse qqn ? Non)
Premièrement, j'ai arrêté mes anciennes études car cela ne me convenait pas et au contraire je reniais les études que je voulais faire de base, "le domaine artistique"...pourquoi ne pas avoir fait ces études en premier ? A cause de la pression sociale ? de mes parents ? un peu des deux ? Peut-être. Maintenant, c'est du passé et je fais ce que j'aime donc c'est le principal.
Je ne vais pas m'exprimer sur tout ce qui s'est passée durant l'année sinon on est là encore pendant dix ans et c'est pas ce que je veux, je vais parler surtout des choses marquantes qui me font réfléchir.
Aujourd'hui, j'ai revu un ami après deux ans, et comment expliquer lorsque je l'ai revu cela ne me faisait plus plaisir que ça, en y repensant je trouvais ça un peu bizarre de ressentir ceci alors que cela faisait longtemps...Je doutais peut-être de l'amitié bancale que l'on avait ? Et c'est bien ce qui s'est révélé durant la journée, cette personne était néfaste dans ma vie et je l'avais déjà ressentie mais comme on sait l'amour rend aveugle mais "l'amitié aussi". J'ai découvert à travers cette journée que cette personne n'avait aucun intérêt envers ma personne, elle aimait parler QUE d'elle-même ou la discussion ne tournait qu'autour d'elle. Cette personne ne fait que rabaisser les gens pour se mettre en valeur et en croyant qu'il est supérieur aux autres, ce qui n'est que illusion. Cette personne ME rabaisse intentionnellement. Il reproche certaines choses aux gens qu'ils côtoient mais lui-même ne le fais pas.
Comme par exemple, je n'aime pas les gens qui n'ont pas de discussion, lui qui ne relance aucune discussion, j'ai du alimenté la conversation venant à un moment à court. C'est triste les blancs surtout quand ça fait autant de temps que tu n'as pas vu la personne et que tu viens déjà à court d'idées de discussion après 1h30 et que la personne ne la relance pas la conversation. J'en suis venue à la conclusion de pleins d'évènements qui se sont additionnées que cette personne n'en valait pas la peine et que c'était mieux que je tourne la page sur celle-ci.
La moi d'avant aurait couru après la personne pour essayer de la garder dans son cercle d'ami pour un sentiment "d'avoir des amis". Mais qu'est-ce que avoir des amis ? C'est d'avoir des gens sur qui compter dans les moments tristes comme joyeux. Des personnes qui ne te jugent pas sur tes passions, qui te respectent ! Vous allez vous dire que j'ai coupé les ponts avec cette personne parce qu'elle ne m'apporte rien dans ma vie, ce n'est pas spécialement que ça mais plus une accumulations de choses qui me choisir ce choix.
Chaque ami ne doit pas t'apporter quelque chose dans la vie mais à partir du moment ou tu te sens comme une merde quand tu parles avec cette personne et que la personne ne te valorise pas.
C'est bon la moi de maintenant à bien changer et je préfère m'entourer de peu de gens mais qui sont toujours là quand tu en as besoin. Comme dit une expression : "Vaut mieux être seul que mal accompagné".
Changeons de sujet mais dernièrement, j'ai voulu aller voir un psy pour parler des problèmes que j'ai avec mon père.
Je pense que les gens qui liront peut-être ce texte vont se dire mais comment une personne peut penser comme ça de son père ?
Vous voyez quand une relation qui est au départ les base de celle-ci ne sont pas bien fondées, cela est très dur de construire au dessus. J'en veux à mon père pour différentes façons et c'est dur de passer au delà. Il y a déjà une cassure qui ne pourra jamais se refermer et le problème c'est que mon père essaye de recoller les morceaux, mais ...c'est trop tard. Des fois, je me dis que la vie serait bien mieux si mon père ne serait plus dans ma vie...c'est triste mais c'est la réalité...en ce moment je me rattache à garder contact avec lui mais c'est dur je le fais sinon j'ai des remarques qui me pèse mentalement. D'apparence cela ne me fait pas mal mais tout se canalise et si un jour il y a le malheur qu'on parle un peu de ce sujet...j'explose en larmes, tellement je retiens tout en moi. Tout ceci, je l'écris car je n'ai pas le courage d'en parler à quelqu'un et puis c'est pas facile de trouver les mots pour que les gens comprennent ta situation ou d'en parler tout simplement.
Finalement je pensais que mon texte allait être plus long mais je pense que je vais m'arrêter là !
PS : Cette année j'ai rencontré 2 personnes incroyables avec qui je m'entend super bien et avec qui j'ai la même passion.
Entourez vous de bonnes personnes et suivez votre cœur !
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🟢🇫🇷 QUAND DÉCIDEZ-VOUS DE LE FAIRE AVEC DES FAITS ?
il est inutile de dire déplacer la montagne car la montagne ne bougera jamais
si le fameux ressort ne clique pas !
Voici la phrase qui, enfant, m'a toujours accompagné dans le voyage de ma vie !
Combien de nuits blanches à penser au destin, à l'amour, à me réaliser, au sens de la vie !
Puis un beau jour, après 1000 et 1000 heures de pensées et de réflexions et de travaux intérieurs pas tous beaux, ce fameux printemps a cliqué et tout est parti de là !
Si vous ne l'avez pas encore compris, la fameuse source est votre subconscient, votre pilote automatique, votre génie de la fameuse lampe d'Aladin !
Le destin en fait votre subconscient sans si ni mais même contre votre gré !
Qu'attendez-vous pour convaincre votre pilote automatique de changer les films de votre vie pour une bonne cause pour vous et votre famille ?
Seul votre choix!
si vous les avez vraiment tous essayés et que Zero est fait, qu'est-ce que cela vous coûte d'essayer l'hypnose DCS True et professionnelle de Los Angeles Beverly Hills, même à partir d'un seul DCS audio qui est pour votre bien et celui de votre bien-aimé ?
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omagazineparis · 5 hours
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Choisir un vrai beau bouquet de fleurs pour la fête des Mères ?
La fête des Mères est la plus belle occasion d'offrir un superbe bouquet de fleurs à celle qui vous a mis au monde. Cependant, une question épineuse se pose : comment choisir un vrai beau bouquet ? Vous n'y connaissez rien en fleurs et ne savez pas comment faire votre choix ? Nous vous aidons à composer un magnifique bouquet de fleurs à offrir à l'occasion de la fête des Mères ! Assurez-vous de choisir un bouquet de fleurs adorées par votre mère La fête des Mères approche à grands pas et il est temps de commencer à réfléchir à ce que vous pourriez offrir à la personne la plus importante de votre vie. Si vous cherchez à offrir un cadeau simple, mais élégant, les fleurs sont un choix parfait. Cependant, pour que votre cadeau soit vraiment apprécié, assurez-vous de choisir un bouquet composé des fleurs préférées de votre mère. Si vous ne voulez pas lui demander directement parce que vous voulez lui faire la surprise, faites travailler votre sens de l'observation et considérez les fleurs qu'elle aime habituellement. Si elle n'a pas de préférence particulière, vous pouvez vous baser sur ses couleurs favorites. Si votre maman a un penchant pour les tons pastel, optez pour des roses ou des pivoines. Si ses préférences vont vers les couleurs vives et éclatantes, elle adorera les tournesols ou les dahlias. Enfin, n'oubliez pas de considérer la signification symbolique des fleurs. Si votre mère apprécie la tradition, offrez-lui des œillets, qui représentent l'amour maternel. Si elle préfère l'originalité, choisissez des tulipes, qui symbolisent le printemps et le renouveau. Ainsi, choisir un bouquet de fleurs adorées par votre maman nécessite de la réflexion et de l'attention. En prenant en compte ses préférences personnelles, vous pourrez lui offrir un cadeau attentionné et qui vient du cœur. Comment trouver le meilleur service de livraison de bouquets ? Maintenant que vous avez fait votre choix, vous devez faire envoyer un bouquet de fleurs à votre maman par un fleuriste qui propose un service de livraison à l'occasion de la fête des Mères. Pour trouver le meilleur service de livraison, vous pouvez faire quelques recherches en ligne et choisir parmi les nombreuses entreprises qui proposent cette prestation. Lisez les avis des clients pour vous faire une idée de la qualité de leurs prestations. Vérifiez également la disponibilité de ces services dans votre région. Ensuite, examinez les politiques de livraison de chaque entreprise. Certaines offrent une livraison le jour même, tandis que d'autres nécessitent une commande préalable de quelques jours. De plus, assurez-vous de vérifier les coûts de livraison et les options de suivi. Veillez aussi à ce que le service de livraison de votre choix utilise des fleurs fraîches et de qualité supérieure pour que votre maman reçoive le plus beau des bouquets. Enfin, optez pour une entreprise qui offre un excellent service clientèle et qui peut répondre rapidement à vos questions et préoccupations. Choisissez des fleurs de saison cultivées en France L'avantage de choisir des fleurs de saison, c'est qu'elles sont plus fraîches et plus durables que les fleurs qui sont importées. Après leur long voyage et un stockage prolongé, ces dernières n'ont pas toujours bonne mine et ne durent pas plus de quelques jours. En choisissant des fleurs de saison cultivées en France, vous pouvez être sûr que votre bouquet sera frais, coloré et parfumé. Par ailleurs, en choisissant des fleurs cultivées localement, vous soutenez les agriculteurs français et contribuez au développement de l'économie locale. Vous pouvez également être fier de savoir que vous avez choisi un produit respectueux de l'environnement, car il n'a pas été importé de l'étranger, évitant ainsi les émissions de CO2 liées aux transports. Enfin, n'oubliez pas que les fleurs de saison cultivées en France n'ont rien à envier à celles des autres pays et offrent une grande variété de couleurs et de textures. Vous pourrez créer une composition florale unique et personnalisée pour votre mère. Selon la saison, vous pouvez choisir parmi une large gamme de fleurs telles que les pivoines, les roses, les lys, les tulipes, les dahlias et bien plus encore. A lire aussi : Où faire garder ses enfants à Marrakech ? Quel est le bon prix pour un bouquet de fleurs de qualité ? Il n'est pas rare que les fleuristes affichent d'énormes différences de prix pour des bouquets comparables. Néanmoins, le prix des fleurs en entrée de gamme tourne toujours autour des 20 à 25 euros le bouquet, hors frais de livraison. Le tarif varie également en fonction de la taille, de la qualité et de la composition du bouquet de fleurs. En moyenne, un grand bouquet est vendu 45 euros. Les fleurs les plus chères peuvent néanmoins coûter jusqu'à 200 euros, frais de livraison compris. Read the full article
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semena--mertvykh · 1 year
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Nouvelle route, vieux pays
Le soir de la mobilisation du 28 - le soir où on aurait dû avoir la réunion avec nos Responsables de Master - j'ai laissé ma voiture à Dugommier et je suis rentrée en métro. Le parcours de la manifestation coupait tout l'Est de la capitale et bloquait les grands axes. Il y avait une telle pagaille sur la place Daumesnil que, quand on y repassait, à dix minutes d'intervalle, les voitures n'avaient pas avancé d'un mètre. Tout le monde englué à l'entrée de l'avenue comme si on avait gelé la bande. Je me suis dégagée en deux coups de volant et j'ai avisé la première place libre dans une rue transversale. Je suis Parisienne, hein : quand même les bus n'avancent plus, çà sent vraiment pas bon.
J'ai attendu qu'ils rouvrent les accès autour de la place de la Nation et je suis retournée chercher mon bébé, à onze heures du soir - je l'avais laissée sur une place livraison et je n'avais pas envie de la retrouver, le lendemain matin, avec ses balais d'essuie-glaces tordus.
Sous les panneaux FILLES DU CALVAIRE, le quai du métro était désert et je ne pouvais pas me mettre à pleurer maintenant. Ce n'était pas seulement gagner à la loterie, ce à quoi je devais renoncer. C'était emmener ma vie à une autre échelle. C'était : pouvoir aimer l'homme qui me faisait vraiment envie. C'était : pouvoir dire ce que j'avais à dire sur la musique. Pouvoir me faire des amis parmi des gens qui avaient les mêmes centres d'intérêt que moi. Pouvoir écrire et réfléchir et enseigner et être payée pour cela. Avoir une vie qui valait vraiment la peine d'être vécue.
Mais personne ne t'acceptera jamais en thèse. Tu rêves, ma pauvre. Personne ne voudra de toi nulle part.
Avec un peu de chance, j'allais faire mon Master de musicologie, mais après ? Je ne voyais pas ce que je pouvais projeter, au-delà de ces deux dernières années à l'Université. Il n'y avait plus rien ni personne au-delà. Je savais juste que je n'avais quasiment aucune chance de devenir chercheuse un jour, et que si je ne pouvais pas devenir chercheuse, je n'avais plus rien à faire ici. Je savais aussi ceci : çà n'aurait pas été un tel crève-cœur, de renoncer à Sexy, si j'avais eu la perspective - mais même microscopique - de pouvoir faire de la recherche. Parce qu'alors, j'aurais eu la consolation de me dire que je participais à une entreprise plus grande que moi, qui nous mobilisait tous, et que mon travail, mes réflexions, allaient aider d'autres chercheurs, ailleurs, plus tard - sans parler du privilège d'évoluer dans un milieu infiniment plus stimulant, intellectuellement, que tout ce que je pourrais jamais trouver ailleurs. Dit autrement : je pouvais encaisser, de renoncer à l'amour, à condition de pouvoir garder la vocation. Mais perdre les deux, et en même temps - jamais je ne m'étais sentie plus misérable, plus inutile.
En tout cas, si je restais dans ce pays, j'allais finir par claquer. Çà, au moins, c'était sûr.
Oui, ce soir, le moral n'était vraiment pas bon. Abasourdie, je contemplais la barre électrifiée qui courait entre les rails du métro. Une personne posant le pied dessus pouvait facilement s'électrocuter, juste en gardant l'autre pied sur le sol. Une personne qui a un cœur fragile, par exemple. Et c'était du triphasé qui circulait sous le métal, vraisemblablement. Invisible Sun tournait depuis une éternité dans les écouteurs et, machinalement, mes lèvres ont remué comme si j'ébauchais une prière :
All I want is a place somewhere / Far away from the cold night air
Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie à ce point piégée quelque part. Je me répétais : Bon, la solution je l'ai pas mais il faut que j'en trouve une, vite. Il faut que je me tire d'ici.
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Je ne me voyais plus reprendre ma vie d'avant, avec un boulot dans l'administration. Plus maintenant. En sortant de la Licence Pro, çà m'aurait encore parlé ; aujourd'hui, c'était trop tard. Il s'était passé trop de choses, ces derniers mois. D'une certaine manière, Sexy avait pété le game, comme disait Simon. Il n'était pas le seul, bien sûr, mais quelque chose avait changé, irrémédiablement ; moi, j'avais changé. Et lui y était pour beaucoup.
Contre toute attente, avec ses pulls à encolure, ses hochements de tête langoureux, le piège à filles de sa voix, sa sophistication, Sexy était lui aussi un Game Changer ; le genre dont parlait Roisin Murphy dans sa combustion à double détente et
Everyone knows that I want your body
Peut-être bien qu'on avait plus de choses en commun, lui et moi, que je ne le croyais au début.
En ramenant ma voiture au parking, un peu plus tard, The Longest Road est passé dans les enceintes et je me disais : c'est çà, j'ai pris la route la plus longue ; mais ce n'est pas un choix de ma part : je n'ai pas pu faire autrement ; alors, pourquoi je dois être punie pour cela ?
Je traversais des quartiers que j'avais barbouillés de souvenirs, au fil des années, toutes les façades muettes bien rangées, les ruelles étaient devenues cyclistes depuis la dernière fois alors je faisais demi-tour sur des trottoirs en hochant la tête de lassitude. Tout obscur et désert comme après un cataclysme, ou comme quand j'avais six ans et que je me réveillais dans un hoquet de terreur, convaincue que çà y est, la catastrophe arrive et ils sont tous partis et ils m'ont oubliée. Je rétrogradais pour laisser passer les fourgons de maintien de l'ordre qui ululaient à tombeau ouvert sur les avenues vides, et je me rappelais - comme un message crypté provenant d'une autre vie - le léger coup de volant qu'on donne, sur le Périph, pour faire de la place aux ambulances des interfiles.
Peut-être que j'étais arrivée à ce moment où on ne voit plus que la mort, avec soi, dans le rétroviseur. C'est peut-être pour çà que j'étais aussi seule.
C'est moi que tu veux ? je lui demandais. Ben viens ; viens me chercher ; je vais pas te mâcher le travail.
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christophe76460 · 1 month
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Le film PASSION DU CHRIST :
"Mel Gibson a averti l'acteur Jim Caviezel que jouer le personnage de Jésus serait très difficile et que s'il acceptait, il serait très probablement rejeté par Hollywood.
Caviezel a demandé un jour de réflexion et sa réponse à Mel, qui finançait et réalisait le film, a été la suivante : "Je pense que nous devons le faire, même si c'est difficile". Autre chose : mes initiales sont J.C. et j'ai 33 ans. "Je ne m'en étais pas rendu compte jusqu'à présent.
Mel a répondu : "Tu me fais vraiment peur, tu sais."
Pendant le tournage, Jim Caviezel qui joue le rôle de Jésus a perdu 25 kilos, il a été frappé par la foudre, il a été accidentellement frappé deux fois pendant la scène de flagellation laissant une profonde cicatrice de 15 cm, il s'est déboîté l'épaule quand la croix est tombée dans le trou avec lui sur la croix.
Il a ensuite souffert de pneumonie et d'hypothermie après avoir été presque nu, avec seulement un pagne, sur la croix pendant d'interminables heures. La scène de la crucifixion a pris à elle seule 5 semaines sur les 2 mois de tournage.
Son corps était tellement épuisé et stressé par le rôle qu'il a dû subir deux opérations à cœur ouvert après le tournage.
Jim explique : "Je ne voulais pas que les gens me voient. Je veux juste qu'ils voient Jésus. C'est grâce à cela qu'il y aura des conversions".
Presque comme une prophétie, beaucoup de choses étonnantes se sont produites.
Pedro Sarubbi, qui jouait Barabbas, a senti que ce n'était pas Caviezel qui le regardait, mais Jésus-Christ lui-même, alors qu'il jouait ce rôle, il a dit de Caviezel : "Ses yeux n'avaient ni haine ni ressentiment à mon égard, seulement de la miséricorde et de l'amour."
Luca Lionello, l'artiste qui a joué Judas, était un athée avéré avant le début du tournage. Il s'est finalement converti et a baptisé ses enfants.
L'un des principaux techniciens travaillant sur le film était un musulman converti au christianisme.
Certains producteurs ont déclaré avoir vu des acteurs vêtus de blanc qu'ils n'ont pas reconnus pendant l'une des sessions de tournage, et lorsqu'ils ont revu les enregistrements, ils se sont rendu compte qu'ils ne les voyaient pas dans ces séquences.
La Passion du Christ est le film religieux américain qui a rapporté le plus d'argent et le film classé R le plus élevé de tous les temps, avec 370,8 millions de dollars ! Dans le monde entier, il a rapporté 611 millions de dollars.
Plus important encore, il a touché des centaines de millions de personnes dans le monde entier.
Mel Gibson a payé 30 millions de dollars de sa poche pour la production du film parce qu'aucun studio ne voulait accepter le projet.
Aujourd'hui, Jim Caviezel proclame simplement et hardiment sa foi en Christ, et le miracle qu'a été pour lui de représenter Jésus-Christ en tant qu'acteur et de devenir un plus grand croyant de Christ grâce à cette expérience.
Bonne fête de Pâques
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lesombresdeschoses · 1 year
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THE DARK LORD FROM BULGARIA
Un jour de forte pluie.
— L'âme est dans le sang, c'est ce qu'on dit, je crois ?
— Lévitique 17 : 11. « car l'âme de la chair est dans le sang... »
— Je manque un peu de culture biblique, je l'ai lu il y a longtemps, par curiosité. La religion, c'est pas ma came.
— Ah, oui ? L'opium des peuples n'est pas « ta came » ?
— Humour de camionneur bulgare ?
— Hm.
— Voici mon sang, mon âme, ma vie, mon dernier souffle... c'est du délire ! C'est du cannibalisme, ton truc !
— Je ne peux pas faire autrement. Tu vois, l'eau qui cristallise l'information, cette structure spécifique est la seule énergie qui puisse me garder en vie. L'amour. Mon corps se nécrose.
— Et nous, on vieillit. J'ai toujours cru que les vampires avaient des crocs et se nourrissaient simplement du sang de leur victimes en les infectant ou les vidant complètement. Pas très scientifique comme variante. Un virus qui rendrait immortel... Ah, et l'invisibilité face au miroir. Pas crédible.
— J'adore quand tu réfléchis à voix haute, comme s'il n'y avait personne à cent lieues.
— Je vais refaire du thé. Pourquoi Londres ?
— Je pourrais te retourner la question.
— Mais tu ne le feras pas.
— Pour la culture et le raffinement.
— Tu trouves les anglais raffinés ?
— C'est ton humour qui m'a séduit, je ne peux plus m'en passer. Vous avez ici, une conception du bien et du mal moins tranchée que dans quelqu'autres pays que j'ai visités.
— Tu veux dire qu'on tolère davantage les psychopathes ? Sans doute parce que beaucoup d'entre nous reconnaissent, bien volontiers, leur part d'ombre. Ce petit pays ridicule qui autrefois possédait plus de trois quarts de la planète, on se demande comment ? Des alcooliques dont l'activité favorite est de se mettre sur la gueule à la sortie du pub, après s'être bien mis dans le gosier. C'est que dans les restes du monde les gens sont encore plus débiles ! Ces anglais ne sont même pas foutus de se parler sans avoir bu ! Quel bel Empire ! Et nous autres Écossais, je parie qu'on boit tout autant pour noyer sa honte de s'être fait baisser le froc par des crétins pareils !
— Toute cette rage.
— Tu me parles de culture ! J'avoue Londres est belle et peut-être que j'aime cette ville parce que c'est assurément là que tu trouveras le moins d'anglais aux Royaume Uni. L’Écosse est devenue une foutue maison de retraite pour l'envahisseur ! Je suis flic, je ne devrais pas juger. Enfin j'étais.
— Disons que pour ma part c'est l'Union Européenne que je ne trouve pas à mon goût, concernant mon pays.
— Je devrais éviter de poser certaines questions.
— Toute conversation a son lot d'épines. Il suffit de ne pas se laisser égratigner.
— Quelle poésie, ça c'est du raffinement. T'es plutôt bien conservé pour un vieux singe. Le british est moins duel parce qu'il a appris à se contenter de ce que la vie lui fout dans le gueule, pas grand chose en sommes. Galérer et la fermer. Mais on n'a pas appris à la fermer, on prend ce qu'il y a, on s'exprime, en foutant la merde dans les rues, en montant des music bands, de rock, de punk… on braille dans le micro, on picole, on est content.
— C'est ton côté « psychopathe assumé » qui me laisse libre, alors que ton côté flic devrait m'enfermer sans sommation ?
— Tu ne peux pas échapper à ta condition, si je t'envoie en prison, je te condamne à mort. Tu devras te contenter d'un sang pauvre en amour, mais au moins, tout le monde vivra.
— J'ai failli te tuer.
—Tu sais le nombre de fois qu'on a essayé de me tuer ? J'ai moi même essayé deux fois.
— Heureusement que tu as échoué.
— Rêve.
— Pardon ?
— Rien.
— Tu t'enfonces dans les limbes de ton esprit.
— Qu'est ce que tu dis ?
— Tu sombres dans les méandres de ton esprit.
— Non, non. Un autre mot.
— Tu t'enfonces dans les méandres...
— On s'en fout ça. Tu as dit « limbes ».
— Oui. Tu fais souvent ça. Au bout d'un certain temps de conversation, tu fais l'autiste. Tu t'enfermes dans une sphère impénétrable. Un vrai trou noir de réflexion.
— BlackHole l’avait prédit…
— Quoi ?
— Notre rencontre.
—Intéressant...
— Qui de mieux qu'un psychopathe pour traquer un autre psychopathe... Théo, est-ce que je suis narcissique ?
— Absolument pas.
— Orgueilleuse ?
— Fière.
— Ce n'est pas la même chose. Je ne suis ni sociopathe, ni psychopathe, j'ai même de l'empathie. Un grand sens de l'observation et donc de la déduction. Je connais la nature humaine, j'anticipe parfaitement les faits et gestes de chacun, ça en devient lassant. Si je m'ennuie en compagnie des gens, c'est parce que je les cerne vite. Trop vite. Mais pour BlackHole... Je dois me tromper de profile, depuis le début ! Je ne pourchasse pas un psychopathe, mais une personne comme moi, quelqu'un qui veut non pas jouer, mais me faire passer un message ! BlackHole est un pisteur.
— BlackHole, c'est le tueur en série que tu traques depuis des années ?
— Tueur en série c'est vite dit : généralement pas de cadavre, aucune trace des victimes disparues, à part parfois un peu de sang pour écrire des messages, mais pas assez pour en conclure le décès. Il a à peine dû prélever un litre pour écrire la dernière inscription sur le mur de l'appartement de Siobhan. Et les deux fois qu'il y avait un cadavre sur la « soit disant » scène de crime, le légiste a confirmé : mort naturelle. Chaque.
— Alors c'est moi que tu devrais poursuivre. Je suis de loin plus dangereux.
— Toi je t'ai neutralisé. Tant que tu boiras mon sang, tu ne feras pas de victimes.
— Et tu as confiance ?
— Me cherche pas, Théo.
— Hm. C'est cette force de conviction. Aucuns doutes.
— Si tu me trahis, je le saurai et tu sais que je te tuerai.
— Mais tu vieillis et un jour tu mourras.
— Et bien faudrait peut être que tu commences à y penser, toi aussi ! T'en as pas marre sérieusement ? T'as plus de quatre cents ans ! T'as combien en vrai ?
— Sept cents cinquante et un ans.
— La vache ! Moi ça me raserait mortellement.
— La force de l'habitude.
— Ouais enfin là, ça devient de l'addiction. Crois-moi je sais de quoi je parle et c'est merdique ! Tu devrais consulter, mon cher. J'en connais un bon.
— Suis-je bien en face de Lawrina Mortensen ?
— C'est quoi ce ton ? Il ne va pas du tout avec cette tête ! Je t'arrête tout de suite, tu ne la poseras pas, cette question.
— Bien sûr. Tes déductions sur BlackHole sont de loin plus intéressantes que ma santé mentale.
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