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#ravi roy
akultalkies · 1 year
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Brinda Acharya, Kush Acharya, Roy Badiger, Ravi Kalabrahma, Anoop Sagar, Radhesh Shenoy, Srikanth Sriki
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suchananewsblog · 2 years
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The Night Manager trailer: Anil Kapoor and Aditya Roy Kapur play a dangerous game of love and betrayal in remake of John Le Carre's spy thriller - Times of India
Aditya Roy Kapur and Anil Kapoor are all set to present the Indian audience with the spy thriller – The Night Manager. The upcoming series is an Indian adaptation of the British TV series starring Tom Hiddleston and based on John Le Carre‘s spy thriller. Dropping the first trailer of the upcoming series, Anil wrote in a social media post, “A dreaded arms dealer, a night manager and a dangerous…
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sh0esuke · 1 month
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" Puppy Love "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Arlong The Saw.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Malgré les actes cruels qu'il commettait depuis son retour à la surface, Arlong avait le cœur tendre. Il le cachait, brisé et piétiné par le passé. Cependant, en sa présence, sous son regard d'une innocence pure, il ne savait plus comment taper du pied et s'affirmer. Elle, son amie de longue date, la fille qui avait fait chavirer son cœur et qui continuait de le mener par le bout du nez, malgré les années et les monstruosités dont il avait été témoin.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟏𝟔𝟓.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sous les yeux pétillants de Arlong, la jolie sirène gloussa. Elle camouflait son sourire derrière sa main, les yeux clos, et son cœur battant à tout rompre. Elle en sentit chacune de ses palpitations. Arlong, quant à lui, avait les pieds plongés dans l'eau, il était assis sur le bord de sa piscine personnelle donnant accès à la mer, la sirène devant lui étant dans l'incapacité de le rejoindre sur la terre ferme.
Les autres hommes poissons habitants Arlong Park, compagnons et amis de Arlong, avaient depuis longtemps disparu, séparés en plusieurs groupes qui s'en étaient allés récolter leurs dûs dans les villages de l'île Conomi. Une fois le bâtiment vidé, Arlong avait rejoint la sirène et, sans s'en être rendu compte, une heure et demie s'était déjà écoulée. Trop occupé par son rire et son savoir enthousiaste, l'homme poisson requin scie en aurait presque oublié la rage qu'il portait envers le monde des hommes, et, ainsi, il ne songeait qu'à elle. Cela fut la raison pour laquelle Arlong regardait la sirène, ou plutôt : la raison pour laquelle il ne l'a quittait plus du regard.
« Tu es tellement drôle, Arlong. » miaula la demoiselle, des étoiles dans les yeux. « Les garçons dans le district des hommes poissons ne sont pas comme toi. Ils sont ennuyants et si faibles... Il n'y a que toi qui sait te montrer aussi parfait. »
L'ego de Arlong s'en retrouva boosté, l'homme poisson bomba le torse, un sourire carnassier dessiné sur ses lèvres humides. La jolie sirène, elle, occupée à l'admirer, s'accouda contre le bord de la piscine. Elle reposa sa mâchoire contre la paume de sa main et fit parcourir ses pupilles qui brillaient d'admiration sur le splendide visage de Arlong. Elle se mordit la lèvre inférieure à la vue de son fier torse marqué au fer rouge, aucunement tâché par des cicatrices. Car Arlong n'était pas le type d'homme à tomber au combat, il n'était pas le type de garçon à essuyer des coups, il était celui qui les assénait.
« Le district des hommes poissons, ça me rappelle des souvenirs. »
« Oh, tu devrais y revenir un de ces jours ! » s'exclama la sirène. « Je suis sûre que tout le monde serait ravi de te voir ! »
« Après tout ce temps ? J'en doute. »
Arlong déposa une main sur le crâne de la demoiselle, sa paume était si grande et ses doigts si longs que le tout vint presque recouvrir sa tête. La jeune femme gloussa à ce geste, sa queue tressaillit et son cœur bondit dans sa poitrine. Elle serra ses poignets contre sa poitrine. Ses yeux donnèrent l'impression de s'être changés en cœur, Arlong pensa même qu'elle s'était métamorphosée en roc. Cependant, l'intensité avec laquelle elle le regardait lui certifiait le contraire.
« Tu seras accueilli en héros, même le roi Neptune devrait se déplacer ! » affirma-t-elle. « Tu as fait tellement pour nous protéger, jamais nous ne pourrons assez t'être reconnaissant. »
Arlong grinça des dents, il retira sa main d'elle et la plaça ensuite sur le bord de la piscine. Il savait que son admiration avait un côté pervers. L'obsession qu'elle lui vouait était malsaine, Arlong n'était pas quelqu'un de bien. Arlong prenait plaisir à torturer enfants et femmes. Il en avait même tués. Aveuglé par son désir de vengeance, il se savait monstre et non héros. Cependant, être vu de cette manière par la fille dont il était épris depuis l'enfance lui faisait de l'effet. Aussi innocente que splendide, elle lui vouait un amour aveugle auquel il répondait par les mêmes symptômes. Arlong voulait juste profiter de ça, encore un peu plus longtemps, il voulait qu'elle continue à le regarder avec ces gros yeux globuleux semblables à des cœurs qui ne battaient rien que pour lui.
C'était égoïste, mais Arlong l'était, égoïste. Qui avait-il de mal, alors, à profiter de la situation ? C'était tout ce dont il avait toujours rêvé. Il était servi.
« T'es bien gentille, mais ça fait longtemps que l'équipage de Fisher Tiger n'est plus vu en héro. Il faut te faire une raison. »
« Je suis sûre qu'un jour on vous rendra justice. »
Glissant la paume de sa main sur sa joue, la demoiselle pencha la tête sur le côté afin d'avoir accès au profil de Arlong. Elle lui sourit de manière stupide, toujours avec ce regard intense et accompagnée par les battements rythmés de son organe thoracique. Arlong en rougit. Il détourna le regard et se racla la gorge.
« Tu resteras toujours mon héros, moi. » avoua-t-elle. « Après tout c'est toi qui m'as sauvée la vie lorsque ces stupides humains ont cherché à m'enlever. Je m'en souviens comme si c'était hier. »
De cet acte charitable, en était née une obsession. Ce fut une journée banale où un Arlong très jeune, enfant, avait vu la jolie sirène, plus jeune de quelques années que lui, se faire emprisonnée par un groupe de pirates. Elle s'était débattue aussi fort qu'elle avait pu. Elle s'était souvenue de ce que ses parents lui avaient dit à propos des humains, de leur dangerosité et de leur avidité, alors, lorsqu'elle s'était retrouvée face à eux, elle avait immédiatement cherché à s'enfuir. Et si Arlong ne les avait pas sauvagement assassinés ce jour là, elle serait sûrement morte aux mains d'un dragon céleste ou utilisée comme décoration dans un aquarium.
Arlong était devenu bien plus que son sauveur, il était devenu son Dieu.
« C'est rien. J'allais pas les laisser t'emmener. »
Émue, la sirène déposa sa main gauche sur la sienne. De l'eau gouttait de ses doigts, la main de Arlong finit aussi trempée que la sienne. La demoiselle profita de son silence pour entremêler ses doigts aux siens. Arlong déglutit. Il jeta un coup d'œil à sa main et serra ses doigts entre les siens tout en relevant son regard dans le sien. Ce contact physique les reliant fit tambouriner leur deux cœurs à vive allure, Arlong déglutit de nouveau tandis que la jolie jeune sirène, elle, fut incapable de respirer autre chose que son odeur et de contempler autre chose que son faciès.
« Tu as un si grand cœur, pas étonnant que tu sois arrivé à faire tout ça. » songea-t-elle en faisant référence à Arlong Park. « Tu me garderas avec toi lorsque tu auras conquis tout East Blue, n'est-ce pas ? »
« Pourquoi pas. » répondit-il.
« Oh, oh ! Comme c'est excitant ! J'ai hâte de voir à quoi ressemble le reste du monde ! » elle s'enthousiasma. « Est-ce que tu crois qu'il y a des parcs d'attraction comme sur l'archipel Sabaody ? J'aimerais tous les essayer ! »
Arlong sentit ses doigts s'accrocher aux siens, la sirène était si heureuse à l'idée d'enfin pouvoir profiter de la terre ferme qu'elle fut incapable de contrôler sa force. C'était avec des étoiles dans les yeux qu'elle déblatérait son désir de profiter des constructions humaines, et Arlong l'écoutait attentivement. Il tendait l'oreille, hochant la tête lorsqu'elle citait le grand huit, les auto-tamponneuses, la nourriture à base de sucre; tels que la barbe à papa ou la pomme d'amour, et se rapprochait d'elle lorsqu'elle tirait avidement sur son avant-bras de sa main libre.
« C'est réel, Arlong ? Tu vas vraiment faire tout ça ? »
« C'est que justice. » répondit-il.
« C'est fantastique. Tu es fantastique ! »
Elle avait suffisamment approché l'homme poisson requin scie pour que, finalement, elle puisse embrasser son menton. La sirène l'avait attrapé, puis elle remontait sa paire de lèvres jusqu'à la commissure de sa bouche. Et enfin, sa joue. Elle baisa cette partie avec des yeux clos et sa peau poisseuse toute chaude. Arlong rougit face à ce geste. Il la regarda avec surprise, serra sa prise sur sa main un peu trop fort, sentit ses yeux s'écarquiller et son souffle se couper. C'était agréable. Son odeur, sa peau, ses doigts, ses lèvres, tout ce qui se passait autour d'eux, et ce silence aussi... Arlong et la sirène étaient, à s'y méprendre, seuls au monde. Il n'y avait qu'elle et l'amour de sa vie. Lui et la fille de ses rêves.
Et alors qu'elle se recula de manière brusque, le regard fuyant à cause de son geste spontané qu'elle regretta subitement, elle apportait ses mains hésitantes à sa poitrine, et détournait le regard. Ce fut avec une certaine honte qu'elle regarda partout sauf dans la direction de Arlong.
« Pardon. Je n'aurais pas dû. »
« Non. Non, c'est rien. »
Arlong avait avoué cela tout en apportant ses doigts à sa mâchoire, il les avaient ensuite remontés sur sa joue. Sa joue tachée par son rouge à lèvres, sa joue toute rosie par un joli sentiment d'embarras qui s'emparait de lui. Les pupilles de Arlong tremblèrent. L'homme poisson tremblait de tout son être à vrai dire, son cœur fou en était à coup sûr le responsable. Et tandis que la demoiselle fut incapable de regarder son premier amour dans les yeux, ce dernier, quant à lui, fut incapable de cesser de la contempler.
« Je suis heureux de savoir que tu as confiance en moi. »
Arlong déposa de nouveau sa main sur le sommet de son crâne, il força la sirène à planter ses yeux dans les siens et refusa de la laisser partir.
« Tu plaisantes ? » s'étonna celle-ci. « Bien sûr que j'ai confiance en toi, Arlong ! Tu es le futur héros de l'île des hommes poissons, un grand avenir t'es destiné. Et je n'ai pas besoin de voir dans le futur pour le savoir. »
Enroulant ses doigts autour de son poignet, la jeune femme apporta la main de Arlong entre ses seins.
« Mon cœur, c'est lui qui me le dit. Et j'ai autant confiance en lui que toi. »
Un sourire carnassier prit place sur les lèvres de Arlong.
« J'en doute pas. Après tout, y'a qu'un pirate de ma trempe qui régnera sur les quatre mers. C'est mon destin. »
À ces mots, la sirène frémit.
« Oui, c'est ça. »
Apportant le dos de ses doigts contre sa joue, la jolie demoiselle sourit plus fort. Elle sentit le pouce de Arlong caresser sa joue, elle zieuta sa main d'ici et resserra sa prise sur son poignet dans l'optique de le faire continuer. Elle ne voulait plus le lâcher. Et ce n'était pas comme si Arlong désirait le contraire. Il la toisait de toute sa hauteur, contemplant l'état docile et amoureux sans lequel elle se trouvait. Et il la trouva splendide, il la trouva si belle qu'il en terminait bouche bée.
« Il n'y a que toi qui puisse le faire, Arlong. Il n'y a que toi qui puisse tous nous sauver... »
Et ce fut sur ces mots rempli d'espoir, que la demoiselle ferma les yeux et poussa un long soupir. Arlong, quant à lui, resta muré dans un silence dont la jolie sirène ne compris point le sens. Mais il fut si réconfortant qu'elle y porta peu d'importance.
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smua70 · 3 months
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Chapter 21, Uptown Funk and Amadeus, of The War of the Hs is up!
The dance-off and rescue wind down, but the situation in Hell is about to freeze over.
A chant of “Amadeus, Amadeus!” draws his attention. Sure enough, Wolfgang Amadeus Mozart, still wearing his distinctive white wig and red coat, emerges. By his side is the Austrian rock singer Falco, encouraging everyone to sing along to his biggest hit. Wolfgang seems to enjoy the attention, for he grins and waves at the crowd of souls. Behind him, Beethoven sings “Ode to Joy.” After him come even more composers and performers and singers from every genre of music: jazz, rock, country, gospel, and many more. John Lennon passes by with Roy Orbison; George Harrison, with Ravi Shankar.
“There goes Dame Vera Lynn,” Aziraphale breathes in an awed voice. “She sang our song, Crowley!”
“I remember.” A quick miracle sends her to the front of the line climbing up the staircase. Another miracle helps him find Freddie Mercury. The rock legend appears as he did at the height of his career, in a sleeveless white shirt and blue jeans.
Crowley cups his hands around his mouth and bellows, “Freddie! Over here!”
“Anthony, darling!” he calls back. “I should’ve known you were behind this!”
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aforcedelire · 2 months
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My Lady Jane, Cynthia Hand, Brodi Ashton & Jodi Meadows
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J’ai adoré et dévoré la série, du coup je voulais absolument lire le livre, et devinez quoi ? C’ÉTAIT ENCORE MIEUX. Pour celles et ceux au fond (et qui hésiteraient, foncez), My Lady Jane se passe en 1553 en Angleterre. Le roi Edward VI, fils de Henry VIII (celui avec ses six femmes), est mourant ; il décide de nommer sa cousine, lady Jane Grey, comme héritière du trône. (Dans la vraie vie, lady Jane Grey a gouverné l’Angleterre 9 jours avant d’être décapitée. Ici… vous verrez !) Sauf que Jane est plus intéressée par ses livres que par la couronne. Mais ce n’est pas tout : une femme ne peut pas gouverner seule ; du coup, on la marie à lord Gifford Dudley, qui a la fâcheuse tendance de se transformer en cheval au lever du jour. Oui, parce que ici, certains humains ont le pouvoir de se transformer en animaux (on les appelle les Ethians), et sont persécutés pour ça. Bref, voilà donc Jane à la tête du royaume, avec un mari homme la nuit et cheval le jour, et des tas de personnes qui ne veulent pas la voir sur le trône. À commencer par Mary Tudor, la sœur d’Edward…
Bon vous avez dû le comprendre dès le début du post, mais j’ai BEAUCOUP TROP AIMÉ. C’était trop trop bien. Déjà, j’ai adoré le mélange entre historique et fantasy… Mais surtout, c’est un roman extrêmement DRÔLE ! C’est super original, et aussi très ludique ; moi qui aime beaucoup l’histoire des reines et des rois, je ne connaissais pas celle de lady Jane Grey et j’ai été ravie de la découvrir, surtout sous ce prisme ! J’ai aussi beaucoup aimé avoir les trois points de vue différents, de Jane, de Gifford et d’Edward.
En plus, il y a une petite romance qui va bien et qui se met en place doucement, et qui m’a RAVIE. J’ai adoré la relation entre Jane et Gifford, j’ai adoré Gifford, et j’ai adoré Jane. Elle déboîte et elle est vraiment cool !
C’est différent de la série (ils ont supprimé et rajouté des choses, il y avait des personnages en plus dans le livre, et des motivations différentes), et j’ai trouvé ça super intéressant d’avoir vu la série et lu le livre. Et pour le coup, pour celleux qui hésitent, vraiment lisez-le et regardez-la. Ça se complète très bien !
Dès 14 ans.
23/07/2024 - 30/07/2024
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asta-daily · 2 months
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Mouseys - Cheese attractor
MOUHAHAHA! It's done! Finally!
Professor? Are you alright?
YES, more that ever! Come and see my Cheese attractor! One pull of this lever, all the world cheese will be ours!
Are you sure that…
SWITCH ON! Our King will be ravished!
/* Pencil doodle on A6 sketchbook - Porte-mine sur carnet A6 */
MOUHAHAHA ! Enfin ! Il est fin prêt !
Professeur ? Tout va bien ?
OH OUI ! Venez ! Venez voir mon attracteur de fromages ! Un petit levier à pousser et tous les fromages du monde viendrons à nous !
Vous êtes sur que…
C'EST PARTI ! Notre bon Roi sera ravi !
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ltalaynareor · 6 months
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Baudouin IV de Jérusalem
Aujourd'hui marque l'anniversaire du décès de Baudouin IV de Jérusalem. Cela fait 839 ans que ce roi est décédé. En cette occasion, je tenais à rendre un petit hommage à ce héros qui n'eut jamais l'occasion de vieillir.
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"Je me suis contenté de donner (au roi), faute d'épouse, l'ami dont le Seigneur, qui l'aimait tant sans doute, puisqu'il l'a tellement éprouvé, n'a peut-être pas voulu le priver." SERGE DALENS.
De tous les "Grands Hommes" de l'Histoire, Baudouin IV de Jérusalem est l'un de mes préférés. Il y a quelque chose de presque mystique dans ce roi, qui atteint de la lèpre doit guider son royaume en perdition dans des méandres inextricables. Il combat contre ses ennemis, fait respecter sa justice et sa loi et malgré sa maladie qui le ronge jour après jour tient bon. Il incarne sa ville et sa foi. Il ne peut avoir d'épouse, alors il essaye de faire le bien et de choisir un bon époux à sa sœur Sybille. Son premier époux, le bon marquis, meurt en lui laissant un fils, le second sera un enfer qui entraînera une myriade de problèmes. Et quand enfin ses souffrances prennent fin après un règne de 10 ans et alors qu'il n'a que 24 ans, les loups qu'il tenait en laisse se déchaînent et Jérusalem, ce royaume qu'il aimait tant, tombe en même pas deux ans.
(J'adore Saladin et je suis ravie que ce soit lui qui ait conquis Jérusalem. Si Baudouin IV avait pu vivre et régner sur la ville 80 ans, son histoire aurait elle était différente ? Certainement. Honnêtement, qui aime Guy de Lusignan ? Je pourrai faire une dissertation sur la bataille de Hattin, mais tel n'est pas le sujet de ce post.)
Comme écrivit Juliette Benzonni dans la dédicace de Thibault ou la Croix perdue " A la mémoire de Baudouin IV, le jeune Roi lépreux qui fut le plus pur héros du royaume franc de Jérusalem".
Serge Dalens écrivit ce très beau texte qui me fit verser quelques larmes de désespoir pour ce garçon-roi que je plaignais autant que j'admirais : "Baudouin voudrait s'arrêter de vivre, de régner, de combattre : impossible, il est le Roi. Il voudrait fuir, se réfugier en quelque couvent, se terrer au moins en quelque pièce obscure: impossible, il est le Roi...."
Peut être que cette idée de pureté, de résilience, cette chevalerie, ce sens de l'honneur et du devoir est quelque chose qui nous fait cruellement défaut aujourd'hui ?
Dans mon cas, je suis infiniment reconnaissante envers ma grand-mère qui, alors que je n'avais que 10 ans, et rien à lire, m'a un jour tendu "l'Étoile de Pourpre" de Serge Dalens. Sans elle, jamais je n'aurais découvert cet homme qui m'a fait verser mes premières larmes et à allumé une flamme qui ne s'est jamais éteinte pour l'Histoire.
Alors, pour finir, j'aimerais simplement dire merci. Merci, à ce roi pour être un modèle et pour accompagner mes pensées et mes journées. Merci votre majesté. Du plus profond de mon cœur, j'espère que votre repos est plus doux que le fut votre vie.
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bangalorebangs · 13 days
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National gallery of modern art portrays beautiful paintings are sketches by popular artists like Rabindranath Tagore Raja Ravi Verma, Jamini Roy, Amrita Sher-Gil etc. Its a must visit sight for art lovers . NGMA also showcases the portraits , folk art , tribal art and many more.
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hwssouthasia · 8 months
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I have a personal headcanon that India uses a last name with northwestern origins because that's the region where the Indus Valley civilization used to exist so it feels comforting to him. Either that or his last name is 'Gupta' as it would remind him of the Gupta empire which is credited with India's Golden Period.
What do you think?
That’s interesting indeed! I think if I remember correctly about the past times when I used to RP as India, I used ‘Ravi Singh’ and then the next time and in almost all the fics you’ll see listed on my AO3 I used ‘Nalin Roy’ cuz I just loved the way it sounded.
I feel like with most Hetalia characters they don’t tend to stick to any one singular name—you can see this best with the Pakistan OC I use on this blog how they went from Aahan to Akmal. And I think Nalin used to have different names but it’s been a minute since I reread my older works (like by while I mean a year or so. I’m always rereading my older fics cuz it’s fun!)
I like the idea of him having a last name with northwestern origins, but I also like him purposely choosing a name that reminds him of his glory days. If there’s anything I know about the India I RPed and wrote about it’s that he’s forever looking back with fond regards even if it wasn’t like…as golden as he thinks it was.
This was a lot to think about! Thanks for asking!
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akultalkies · 1 year
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Arya Babbar, Ravie Sudha Choudhary, Rajveerr Singh, Nawal Kishor Shukla, Priya Shreshtha, Varun Joshi, Vandana Verma, Aparnna Mallik, Sanju Solanki, Aditya Roy, Mohammad Salauddin, Vanshika
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De Julian à Kieran
CORRESPONDANCE PRIVÉE : TOUTE DIVULGATION ENTRAINERA LA PEINE DE MORT
De la part de : Julian Blackthorn de Blackthorn Hall
A l’attention de : Kieran, Roi de la Cour des Ténèbres
Eh bien nous sommes revenus de la Cour des Lumières. Bonne nouvelle : nous avons la pelle à poisson. Mauvaise nouvelle : nous n’avons pas appris grand-chose et nous avons éveillé beaucoup de soupçons. Mais je serai ravi de te raconter le déroulé des événements, en espérant que ça te soit utile. J’espère aussi que tu considèreras que c’est un échange équitable contre la faveur que tu dois maintenant à un phouka. (Je suis quasiment certain que cette faveur impliquera de te demander d’acheter un chapeau.)
Nous étions assez nerveux à l’idée d’y aller, même avec l’invitation d’Adaon : la dernière fois que nous étions dans le Royaume des Fées, ça ne s’était pas bien passé. Tout n’était que fumée grise, neige, phalènes et terres qui dépérissaient. Tout ça semble être du passé maintenant, le Royaume a de nouveau l’air en pleine santé. C’était l’automne là-bas, et le sol était recouvert de feuilles, toutes rouges et dorées.
Bref, nous avons suivi les instructions d’Adaon et sommes entrés dans le Royaume par un vieux tertre dans le parc de Primrose Hill. Nous nous sommes retrouvés dans une clairière où deux immenses portes en bois émergeaient du sol. Et Adaon était là pour nous accueillir, ce qui était sympathique de sa part.
Mais il n’avait pas du tout l’air content. Il s’est précipité vers nous et nous a avoué qu’il avait dû dire à la Reine que nous venions.
- Il ne se passe pas grand-chose sous son toit, a-t-il ajouté, dont elle n’a pas connaissance. C’est pour cette raison qu’elle a la main mise sur le pouvoir depuis tout ce temps, en partie.
Il avait un regard si misérable qu’Emma lui a assuré que tout allait bien et que nous ne faisions rien que la Reine désapprouverait, ni même dont elle se soucierait. Il a vaguement secoué la tête :
- L’on ne sait jamais ce dont Sa Majesté se souciera. Ni ce qu’elle désapprouvera. Elle m’a prié de vous conduire tous les deux dans la salle du trône dès votre arrivée, et c’est donc ce que je dois faire.
Là, j’ai commencé à être un peu plus inquiet. J’ai rappelé à Adaon qu’il avait garanti notre sécurité. Il a répondu :
- Selon les lois de l’hospitalité, sans parler des Accords, elle ne peut pas vous faire de mal ni vous retenir contre votre gré, si votre but est vertueux.
Mais il a de nouveau secoué la tête.
- Laisse-moi deviner, ai-je lancé. La Reine seule a le pouvoir de déterminer si notre but est vertueux ou non.
Adaon a esquissé un faible sourire.
- Exactement.
Mais il nous a conduit vers la salle du trône.
Le thème de l’automne était tout aussi présent dans cette salle que dans la clairière. Même davantage. Mais ce n’était pas par rapport à la fin de la période de végétation, ni à la tristesse que l’été soit fini. C’était plutôt comme une célébration des récoltes. Ce que je veux dire, c’est qu’il y avait des cornes d’abondance débordant de calebasses, de pommes, de poires, d’épis de maïs. Il y avait des ballots de foin, ce qui est assez drôle parce que personne dans cette salle du trône n’a jamais fait de ballots de foin, crois-moi. Des pixies avec des ailes de papillon ardentes faisaient le tour du plafond.
La Reine était, sans surprise, sur son trône. Elle portait une robe qui était faite entièrement, je te le jure, de scarabées d’un vert étincelant cousus ensemble. Ses cheveux encadraient son visage comme une explosion de flammes rouge doré. Elle n’a plus l’air chétif et décharné, tel que la dernière fois que nous l’avions vue, et elle semblait irradier un pouvoir qui lui manquait avant.
Il y avait les groupes d’elfes habituels dispersés dans la salle – des courtisans, je suppose – commérant, gloussant, assis avec indécence. Donc tout paraissait normal de ce côté-là. Ils nous ont à peine adressé un regard. Ils ont simplement tendu le cou, compris que nous n’étions pas intéressants et repris leur flânerie.
Je m’attendais à ce que la Reine se mette tout de suite à nous insulter, mais elle était en réalité assez cordiale. Pas chaleureuse. Mais pas hostile non plus. Évidemment elle a voulu que nous la complimentions pour la décoration d’abord. Elle a désigné la salle du trône d’un grand geste de la main et entamé la conversation :
- Vous avez choisi une charmante saison pour venir nous rendre visite.
- C’est plus fun que la dernière fois, a remarqué Emma.
- Et pourtant, vous avez choisi de revenir, a commenté la Reine comme si ça la réjouissait, malgré… l’absence de fun lors de notre dernière rencontre.
- Nous n’avions pas vu notre ami Adaon depuis longtemps, ai-je déclaré. Le plaisir de sa compagnie nous manquait.
- Si telles sont vos paroles, a répliqué la Reine.
Je suppose que ça se traduit par « C’est clairement des conneries ».
- Comme vous vous en doutez certainement, je ne suis pas sans savoir que votre frère est le consort du Roi de la Cour des Ténèbres.
- Seulement l’un de ses consorts, a corrigé Emma.
La Reine l’a ignorée.
- Assurément, vous avez anticipé que je vous soupçonnerais d’espionnage.
- Nous ne sommes pas ici pour le Roi de la Cour des Ténèbres, ai-je déclaré, mais plutôt pour nos intérêts à la Cour des Lumières. Notre famille est en effet liée à la Cour des Lumières de plusieurs manières. Comme vous le savez.
La Reine m’a également ignoré.
- Votre meilleure défense, selon moi, est qu’il est si évident que l’on vous choisisse comme espions, que certainement Kieran Kingson (je pense que c’était censé être une insulte envers toi, ou moi, ou nous deux) ferait un choix plus réfléchi.
- C’est bien vrai, est intervenue Emma.
- Eh bien, a lâché la Reine. Racontez-moi une fable. Quelle est la raison de votre venue ?
J’ai pensé que nous n’avions rien à perdre avec la vérité – nous ne faisions vraiment rien dont la Reine aurait dû se soucier. Alors je lui ai raconté toute l’histoire : nous avons hérité d’une maison à Londres, la maison est maudite, nous voulons rompre la malédiction. J’ai insisté sur le fait que ni la maison ni la malédiction n’étaient liées au Petit Peuple. (Je n’ai pas mentionné Round Tom, puisque j’ai pensé que ça nous éloignerait du sujet principal.)
Pour rompre la malédiction, nous devons (entre autres choses) obtenir cette pelle à poisson. Nous avons appris qu’elle était ou avait été la propriété de Socks MacPherson le phouka. Nous sommes venus négocier avec lui pour la récupérer, et nous nous sommes arrangés avec Adaon pour recevoir une invitation parce que nous n’avions aucun moyen de contacter MacPherson directement.
- Tout ce que nous voulons, a continué Emma, c’est faire du troc avec MacPherson pour récupérer la pelle à poisson. Nous pouvons faire ça juste ici, dans la salle du trône, si l’on peut le faire appeler.
La Reine a semblé très intéressée tout d’un coup :
- Vous êtes prêt à régler cette affaire ici, sans jamais visiter la Cour à proprement parler ?
J’ai confirmé que nous partagions grandement le désir de la Reine que nous ne visitions pas la Cour.
Elle a paru surprise, mais elle a appelé l’un des courtisans et lui a chuchoté quelque chose.
- On enverra chercher le phouka, a-t-elle annoncé. Prince Adaon, quand les Nephilim auront terminé leur négociation avec lui, vous les escorterez dehors et leur donnerez congé.
Adaon a répondu par une révérence.
- Et maintenant, a repris la Reine avec un rapide mouvement des yeux, je vous prie de m’excuser, car je vois que l’on me demande.
Nous nous sommes décalés pour la laisser descendre de son trône. J’ai vu qu’un homme était entré. Je ne l’ai pas reconnu, mais c’était clairement quelqu’un d’important : il était vêtu complétement différemment de toutes les autres personnes. Au lieu de la tenue appropriée pour la Cour, il portait une cape à capuche gris-vert, et son visage était dissimulé par un masque en forme de tête de faucon. Ses vêtements étaient plus appropriés pour la chasse en forêt que pour autre chose, mais ils étaient parfaitement propres. Je ne savais pas quoi penser de lui. Mais je me suis dit qu’il valait mieux inclure sa description. Tu m’as dit de faire attention à tout ce qui pouvait être nouveau ou discordant, et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’il l’était.
Nous avons attendu en discutant avec Adaon pendant quelques minutes avant que Socks MacPherson n’arrive. Nous avions déjà rencontré quelques phoukas avant – l’un d’entre eux est le portier du Marché Obscur de Los Angeles, comme tu t’en souviens peut-être – et j’avais pensé que MacPherson serait comme eux, mais non, c’est un type complétement différent. Il portait un immense chapeau rond en fourrure d’où dépassaient ses oreilles. C’était beaucoup pour un seul chapeau.
Il semblait surpris que la Reine nous ait laissés seuls. Il a affirmé qu’il était désolé si nous avions été tourmentés outre mesure à cause de lui. Je lui ai précisé qu’elle avait probablement eu l’intention de nous surveiller de son regard menaçant mais qu’elle avait dû partir à l’improviste. MacPherson a haussé les épaules :
- Elle croit que tout est un mouvement dans sa partie d’échecs à cinq dimensions. Mais parfois, quelqu’un veut simplement m’échanger quelque chose contre un ustensile de cuisine. En parlant de ça, j’ai la pelle à poisson.
Il avait avec lui une sorte de sac fourre-tout dont il a sorti la pelle. Tout de suite, le Détecteur de Fantômes a sonné bruyamment. MacPherson a sursauté et est allé se cacher derrière l’un des groupes de courtisans. Mais nous voyons toujours son chapeau. (Et ses oreilles qui tremblaient au-dessus du chapeau.) Alors nous nous sommes approchés et lui avons expliqué que c’était simplement un outil qui détectait les objets maudits que nous recherchions, et que le bruit était une bonne nouvelle puisque ça confirmait que la pelle à poisson était bien celle que nous recherchions. Puis les courtisans nous ont éloignés ; nous les empêchions de reprendre leur important badinage.
Socks a grommelé, c’était à parier, ce « minable Spoon » lui avait donné une pelle à poisson maudite.
- Je ne sais pas pourquoi j’ai accepté ce marché, a-t-il poursuivi. Je n’en ai même pas l’utilité. Je suis végétarien.
Il nous a enfin demandé ce que nous avions à offrir, nous lui avons annoncé que c’était une faveur de ta part et avons expliqué en quoi nous étions qualifiés pour offrir une telle chose. Il a trouvé l’offre acceptable et nous avons ramené la pelle à poisson à la maison.
En résumé : Sock MacPherson est protégé par la Cour des Lumières mais n’a pas hésité une seule seconde à accepter une faveur de la Cour des Ténèbres. La Reine reste méfiante, elle avait des soupçons sur nous. Mais il faut aussi s’en méfier parce que son comportement était étrange. C’est certain que la Cour des Lumières cache quelque chose, étant donné que la Reine a été extrêmement soulagée au moment même où elle s’est rendu compte que nous n’allions pas quitter la salle du trône pour aller jeter un œil à la Cour. Mon intuition, qui n’a pas vraiment de fondement, c’est qu’elle ne cache pas quelque chose, mais bien quelqu’un – s’il s’agissait d’un objet, sûrement pourrait-elle le cacher quelque part où nous ne pourrions pas le voir ? Mais ce n’est qu’une impression.
C’est tout. Je te suis infiniment reconnaissant, comme toujours, pour toute ton aide. Je suis sûr que tu t’attendais à plus d’informations que le contenu de cette lettre, mais j’espère que tu y trouveras une utilité.
Embrasse Mark et Cristina pour nous. Nous t’embrassons également. Et surtout, gloire à Kraig.
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/688227415184588800/julian-to-kieran
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frisquette27 · 1 year
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Bonjour à tous !!
Voici enfin le chapitre 4 de UN PHILTRE SANS PHILTRE
Comme d'habitude ce n'est pas de la grande écriture (mais moi je m'amuse beaucoup) un grand merci à @miung-dreamer et à @kamomille9 pour leur soutien sur cette histoire :)
UN PHILTRE SANS PHILTRE : CHAPITRE 4
Un silence pesant régnait dans la pièce, le Roi légèrement avachi sur sa chaise attendait avec anxiété les remontrances de sa mère et de son horrible tante qui tardaient à venir ce qui ne présageait rien de bon, et pour clore le tableau ses beaux-parents les avaient rejoints dans la salle à manger. Il avait autre chose à gérer aujourd’hui, enfin surtout quelqu’un à gérer et ce n’était pas une sinécure. Le repas fut rapidement servi, aucun des serviteurs ne voulait s’attarder dans la pièce tellement l’ambiance était glaciale. La Tante d’Arthur posa bruyamment son verre et d’un air dédaigneux s’adressa directement au couple royal de Carmèlide.
« Donc vous devez être ravi, vous voilà à nouveau les beaux-parents du Roi de Bretagne, comme quoi les mariages mènent à tout »
Elle se tourna vers son neveu et toujours sur le même ton.
« D’ailleurs faudra m’expliquer pourquoi vous êtes allez la chercher l’autre cruche, elle n’était pas bien dans sa forêt ! »
« Oh l’autre cruche comme vous dites c’est ma fille ! »
« Et alors vous pensez que cela m’impressionne, et d’ailleurs on voit que vous l’avez bien éduqué votre fille, elle a le culot de ne pas venir nous saluer, elle se prend pour qui ? »
« La Reine de Bretagne » répondit sobrement Arthur
Avant que les sœurs de Tintagel puissent répondre la porte s’ouvrit avec fracas sur ladite Reine de Bretagne. Elle avait pris le temps de se changer avant de venir certes ce n’était pas la jolie robe quelle arborait ce matin mais ce n’était pas une de ses tenues habituelles d’apparat de Reine. Elle avait opté pour une robe légère qui épousait parfaitement ses formes.
Elle s’assit en silence à côté de sa belle-mère, Arthur s’était redressé sur son siège vivement à son arrivée. Oh pourvu qu’elle ait pris la tisane des enchanteurs se dit-il. Elle sourit et s’adressa timidement à Dame Ygerne.
« Je vous prie de m’excuser de mon retard Mesdames, je suis vraiment navré, j’ai eu ..une urgence et … »
« Une urgence de quoi, de broderie, vous n’allez pas me faire croire ma pauvre fille que vous ayez quoi que ce soit d’urgent dans votre vie ou ne serait-ce d’important » coupa Dame Cryda
« Vous n’avez aucun sens de la bienséance, quand vous recevez des personnes importantes vous devez au minimum vous présentez à eux dès leurs arrivés »
« Je pense que vous perdez votre temps ma sœur, une idiote pareille ne peux pas comprendre, d’ailleurs stupide comme elle est, je suis surprise qu’elle soit encore en vie, elle doit oublier souvent de respirer »
Guenièvre ne bougeait pas, un sourire sur les lèvres, elle encaissait les piques les unes derrières les autres. Arthur était soulagé à priori le remède devait fonctionner, il retrouvait sa femme timide. En vrai Guenièvre ne se laissait pas toucher par les propos de sa belle-famille, certes la tisane avait calmé son euphorie mais elle avait toujours la sensation d’être libre dans sa tête en tout cas plus libre que d’habitude. Donc elle se fichait royalement ce que vous pouvez dire ces deux mégères, elle se contentait de sourire, de toute façon elles seraient bientôt parties donc pas de vague, surtout pas de vague. Elle avait cessé de les écouter puis elle comprit que les insultes avaient changé de cible et son humeur changea, la colère revenait au grand galop. Elle serrait les poings sous la table, elle devait se retenir.
« Qu’est ce que vous voulez ma chère sœur avec un guignol pareil, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose, de toute façon je vous l’ai toujours dit un batard reste un batard »
La reine se mit à remplir excessivement son assiette, le visage fermé, extrêmement concentré à ne pas craquer.
« Ben qu’est ce qu’elle nous fait celle là encore, vous avez perdu du poids pendant votre petite escapade et du coup vous comptez vous rattraper, de toute façon oublié, vous ne plairez jamais à l’autre pignouf » dit Dame Cryda puis en s ‘adressant au Roi « Parce que ça aussi vous n’êtes pas capable de le faire, ben oui l’héritier, en même temps quand on vous voit on comprend qu’il ne vaut mieux pas se reproduire, il pourrait être aussi minable que vous. Vous nous avez toujours fait honte ! D’ailleurs vous êtes bien un enfant non désiré, qui voudrait d’un enfant comme vous ! »
S’en était trop pour Guenièvre, elle se leva vivement de sa chaise tout en attrapant son assiette
« Oh mais vous avez raison Dame Cryda, mon assiette est vraiment trop pleine, stupide comme je suis je vais être obligé de tout jeter à la poubelle » dit Guenièvre exagérément gaie, se caricaturant elle-même.
Elle se plaça derrière Dame Cryda et renversa tout le contenu de son assiette sur la tante d’Arthur qui poussa un cri d’effroi.
« Ben quoi ! » dit la Reine alors que Dame Cryda se levait en hurlant « j’ai jeté à la poubelle ..parce que c’est ce que vous êtes une poubelle, vu toute les ordures qui sortent de votre bouche »
« Mais vous n’êtes pas bien ma pauvre fille »
« Alors je vais faire très simple puisque à priori je suis stupide alors vous ouvrez grand vos oreilles car je ne me répèterais pas, vous dites encore une fois, une seule fois du mal d’Arthur et ce n’est pas de la nourriture que vous prendrez dans la figure mais mon poing »
Le Roi s’était levé choqué par la scène mais il ne put s’empêcher de sourire à la situation, à priori la potion devait encore faire effet mais il était touché que sa femme ai pris sa défense. Elle avait encaissé toutes les critiques qui la concernait mais n’avait pas supporté que l’on dise du mal de lui. Une chaleur tourna dans son ventre, il repensa au baiser dans le laboratoire, la chaleur atteint ses joues. Il allait de surprise en surprise aujourd’hui, il devait se l’avouer ce n’était pas pour lui déplaire.
Plus il la regardait, plus il la trouvait jolie sa femme, oui SA femme, il avait quand même de la chance de l’avoir avec lui dans le fourbi que pouvait être sa vie. Il regrettait de plus en plus son serment, d’ailleurs pourquoi se raccrochait il encore à ce serment. Il fut coupé dans ses pensée par sa mère.
« Et vous ! Vous ne dites rien, vous la laisser faire, vous la laissez nous parler de la sorte, jamais du temps d’Uther une telle chose se …. »
« Ah non » la coupa la jeune femme « Vous n’allez pas encore nous bassiner avec votre Uther, vous n’avez que ce nom à la bouche, franchement après tout ce que j’ai entendu sur lui on ne peut pas dire que c’était quelqu’un si bien que ça. Et puis Zut vous avez raison, on ne peut pas comparer Arthur à votre fabuleux Uther, oui on ne peut pas comparer le meilleur Roi que la bretagne est connue à un tyran. Arthur vaut mieux que dix de vos Uther, Arthur il est intelligent, juste, gentil et même très beau enfin vous … vous devriez être fière d’être sa mère, Voilà !»
La mère d’Arthur se rassit indiquant par un geste de faire de même à sa sœur.
« Celle-là, je ne l’avais pas vu venir depuis quand avez-vous ce genre de caractère ? Non ne vous m’éprenez pas j’apprécie qu’une reine ne soit pas une petite chose sans défense mais disons que vous passez d’un extrême à l’autre »
Guenièvre tendit une serviette à dame Cryda tout en montrant sa propre joue.
« Vous ferez attention vous en avez un peu là ! Ce n’est pas que votre compagnie est désagréable en vrai si elle est désagréable mais bon j’ai autre chose à faire »
Elle sentait bien que les effets de la potion revenaient au galop, elle préférait pour le bien être du Royaume de s’éloigner des deux femmes. Elle partit donc sans un geste ou surtout une parole supplémentaire. Arthur voulu la rattraper mais le bras de sa mère l’obligea à se rassoir.
« Vous la verrez plus tard, nous n’avons pas fait toute cette route pour une simple visite de courtoisie, nous devons discuter, vous devenez de moins en moins populaire auprès du peuple. »
« Ah ben tiens ça faisait longtemps, et vu que je suis un gros guignol du coup que dois-je faire pour que ma cote de popularité remonte »
« Ne le prenez pas comme ça » dit sa mère
« Vous devez replanter l’épée » dit Dame Cryda
« Cela rappellera que vous êtes le Roi » enchaina sa mère
« Non, mais ça va bien, je suis le Roi, j’ai pas à leur rappeler toutes les cinq minutes à toutes cette bande crétin »
« Dans ce cas il n’y a pas trente six solutions, il faut un héritier »
« Ben pour une fois je suis bien d’accord avec vous, on ne va pas l’attendre cent sept ans l’héritier » répliqua Dame Séli
Arthur s’était adossé à son siège, n’écoutant plus la conversation entre sa mère et sa belle-mère, perdu totalement dans ses pensées. Un héritier, avoir un enfant avec sa femme, ce n’était pas la première fois qu’il pensait aux conséquences de son serment, au-delà de la distance qu’il avait dû instaurer entre lui et sa femme, ne pas avoir d’héritier était la conséquence qui le taraudait le plus. Pourtant aujourd’hui plus que les autres, il se demandait si n’était vraiment pas le moment de dire adieu à son ancienne vie et de renoncer à son serment. Cela le tentait quand même beaucoup d’avoir un enfant et surtout avec sa femme. Le souvenir de leur baiser dans le laboratoire le hantait, il devait aller retrouver rapidement sa femme.
Au détour d’un couloir Guenièvre tomba sur sa suivante, elle avait les joues rosies, les yeux brillants
« Oh ma Reine » Angharad fondit en larme
Oubliant toute retenue la Reine la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux affectueusement.
« Ne vous mettez pas dans des états pareils, qu’est ce qui ne va pas ? »
« Non ma Reine, tout va bien, même très bien, je pleure de joie et c’est à vous que je dois ce bonheur » 
« Oh ! » comprit elle « Il vous a demandé en mariage ! »
« Oui, oui » répondit Angharad tout en fondant de nouveau en larmes.
« Oh mais ne pleurez plus c’est merveilleux, vous allez épouser l’homme que vous aimez. Vous allez devenir une femme de chevalier. Oh mais c’est merveilleux vous allez pouvoir être officiellement mon amie »
« Vous allez devoir me trouver une remplaçante, je suis vraiment désolé du désagrément Madame »
« Ne vous inquiétez pas pour ça ! J’ai déjà ma petite idée » dit-elle en riant
Elle relâcha sa suivante et recula vivement, ce qui fit sursauter cette dernière. La Reine était prise tout à coup d’un doute, si le projet idiot des seigneur Perceval et Karadoc était mené à bien, Angharad devra quitter le château pour suivre son mari. Ah non, elle n’allait pas perdre son amie la plus fidèle, mais empêcher la création de ce clan autonome signifiait que l’autre morue restait au château. Cela revenait à choisir entre son amie et son ennemie. Le registre, oui c’est ça le registre pourquoi elle n’y avait pas pensé avant.
« Angharad, il faut que je parle absolument à votre fiancé. Ou est-il ? »
« Parti en mission avec le seigneur Karadoc »
Bon à la taverne quoi ! se dit la Reine, elle n’allait quand même pas aller à la taverne toute seule. Oh et puis pourquoi pas. Elle laissa en plan sa suivante et parti en courant vers les écuries.
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kamomille9 · 1 year
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 5
Hello Everybody !
Oui, je sais je vous ai fait attendre mais je ne vous oublie pas !!
Bonne lecture et dites-moi ce que vous en pensez !!!  
Chapitre 5 : La Conviction
Guenièvre de Carmélide n’aurait jamais pensé apprécier autant ce voyage avec le chevalier gallois. Il était un peu simple d’esprit et pas très adroit mais d’une gentillesse incroyable et d’un humour tordant. Toute sa vie, elle avait été habituée aux hommes bougons et repliés sur eux-mêmes. A contrario, Perceval ne se privait pas pour dire ce qu’il pensait. Il n’avait aucun filtre, ses émotions étaient toujours sincères et ses paroles dépourvues de toute méchanceté.
Oui, Guenièvre n’avait vraiment pas l’habitude…
Ainsi, ils discutèrent de tout et de rien, ne s’arrêtant que la nuit pour se reposer, jusqu’à ce qu’enfin ils aperçoivent la grande maison bourgeoise appartenant à sa tante.
Ils se présentèrent aux gardes à l’entrée qui firent relayer l’information. Quelques minutes plus tard, une petite dame brune, coiffée d’un chignon compliqué, vêtue d’une robe rouge bordeaux et or, se précipitait vers eux.
_ Ma Reine ! Pourquoi ne m’avez-vous donc pas prévenu de votre visite ? Cela vous aurait épargné cette attente !
Les gardes laissèrent entrer les deux voyageurs et Guenièvre en profita pour prendre sa tante dans ses bras.
_ Ma très chère tante, comme je suis heureuse de vous voir ! Toutes ses formalités sont à présent inutiles, je ne suis plus Reine et je viens humblement vous demander refuge…
Fraganan ouvrit grand les yeux mais préféra se taire en jetant un coup d’œil furtif aux gardes.
_ Venez, entrez donc ! Vous devez êtres épuisés après ce long voyage.
_ Je vous présente le Seigneur Perceval, un chevalier du Roi, qui a tenu à m’accompagner jusque chez vous.
_ Je vous remercie Seigneur Perceval d’avoir pris soin de ma nièce durant ce long voyage.
Le chevalier gallois exécuta une brève révérence avant de répondre :
_ J’allais pas la laisser toute seule quand même ! Elle dit qu’elle est plus la Reine mais pour moi elle sera toujours l’épouse du Roi Arthur et donc notre Reine à tous !
_ Quelle fidélité ! Je dois dire que c’est agréable d’avoir encore de valeureux chevaliers capables d’une telle qualité !
Guenièvre sourit doucement à Perceval en secouant la tête.
_ Perceval a tendance à dire ce qu’il pense sans réfléchir. Je lui suis reconnaissant mais il sait très bien que ma décision d’annuler ce mariage est complètement justifiée !
_ Vous allez me raconter tout ça devant un bon déjeuner ! Vous devez avoir faim !
Alors que Perceval acquiesçait joyeusement, Guenièvre ne pouvait s’empêcher de penser que la boule formée dans sa gorge, même après trois jours de marche, n’était pas encore descendue…
-o-
Le repas fut plaisant. Guenièvre était ravie de revoir son oncle Owen, duc de Lindon. Il était le seul homme de sa famille à préférer la parole aux actes. C’est un érudit qui aime les livres et le calme. Rien à voir avec son père ou son grand-père ! Yvain restait un cas à part… Mais après ce qu’elle avait vécu, c’était ce dont elle avait besoin : le calme. Après avoir mangé, Fraganan accompagna Guenièvre à sa chambre laissant son mari avec Perceval.
_ Seigneur Perceval, je vous remercie d’avoir amener ma nièce ici. Je pense que c’est le meilleur endroit pour qu’elle puisse faire le point et se ressourcer.
_ C’est pas faux. Je souhaitai vous demander un service que je préfère que la Reine ne m’entende pas.
_ Guenièvre n’est plus Reine mais je vous écoute.
_ Non mais laissez tomber, elle sera toujours la Reine pour moi ! Je voudrais prévenir la bonniche de la Reine que nous sommes bien arrivés sans encombre mais je ne sais pas écrire…
_ Je vois… N’avez-vous point peur qu’écrivant à cette jeune femme, le roi finisse par l’apprendre ?
_ Bah si… mais justement, je voudrais aussi rassurer le Roi… Je suis certain qu’il doit s’inquiéter pour sa femme…
_ Seigneur Perceval, Guenièvre n’est plus la femme du Roi !
_ Oui mais ça c’est comme le fait d’être Reine, pour moi elle sera toujours la femme du Roi Arthur et je sais qu’il aime sa femme le roi.
_ Vous avez l’air bien sûr de vous…
_ Je sais pas pourquoi tout le monde pense que le Roi il aime pas sa femme. Moi j’ai toujours su qu’il aimait Guenièvre.
Owen regarda intensément ce chevalier plein de convictions. Sa femme était très proche de la Reine. Il savait donc que Guenièvre, même si elle ne leur avait jamais clairement dit, n’était pas heureuse avec son mari. Il avait donc du mal à croire et comprendre ce que lui disait Perceval. Toutefois, une telle conviction, une telle foi, une telle confiance en ses propos, faisaient douter le duc de Lindon…
_ Très bien Seigneur Perceval. Nous allons écrire ensemble cette lettre et nous l’enverrons par la suite sans que ma nièce ne le sache…
_ Ça me gène un peu de pas lui dire mais j’ai peur qu’elle soit pas très joisse si elle l’apprend…
_ Non, vous avez raison ce n’est pas nécessaire qu’elle le sache… Et puis, comme elle le dit si bien, elle n’est plus la Reine, elle n’a donc aucun ordre à vous donner en la matière !
Perceval esquissa un sourire. Il ne comprenait pas tous les mots du duc mais il en saisissait le sens. Guenièvre avait eu raison de venir ici. C’était beaucoup plus calme que Kaamelott. La preuve : il n’y avait eu aucun cri pendant le repas…
-o-
_ Comment as-tu fait pour faire annuler ton mariage ? C’est un vrai tour de force !
En tête à tête avec sa nièce, Fraganan ne s’était jamais formalisée avec les formules de politesse. Guenièvre en avait toujours été sincèrement heureuse. Ses parents ne l’avaient jamais respecté même en tant que Reine mais avec Fraganan c’était différent. Elle aimait que sa tante si douce et calme reste aussi proche d’elle malgré son accession au trône, si on peut appeler ça comme ça…
Guenièvre expliqua donc à sa tante ce qu’il s’était exactement passé. Elle n’omit aucun détail et s’autorisa même à vider son sac pour toutes les années de maltraitances émotionnelles qu’elle avait subi. Elle n’avait jamais abordé tout ça avec personne, autre que Lancelot, car elle ne voulait pas que la rumeur puisse se propager sur le sujet. Le peuple était déjà conscient que le Roi n’était pas amoureux de la Reine et cette humiliation était bien suffisante à son goût.
Une fois le récit terminé, Fraganan se contenta de s’approcher de la jeune femme et l’a pris dans ses bras. Elle l’avait laissé parler et avait bien écouté tous les déboires qu’elle n’avait jamais su voir lorsque Guenièvre venait leur rendre visite. Là, bercée tendrement par sa tante, Guenièvre soupira de soulagement, comme si elle avait retenu sa respiration durant toute son histoire, et pleura. Elle pleura sur sa vie, sur son mariage, sur son ex-mari qu’elle aimait malgré tout et sur son impuissance à le rendre heureux.
_ Pourquoi ne pas avoir tenté ta chance avec Lancelot au lieu de venir ici ? demanda Fraganan quand sa nièce fut calmée.
_ J’ai besoin de réfléchir… Je ne suis pas amoureuse de Lancelot. Je suis peut-être naïve mais en quinze ans je n’ai pas su voir qu’il était amoureux de moi…
_ Il y a une raison à ça ?
_ Une simple, évidente et triste : je suis amoureuse d’Arthur…
La sœur de Léodagan acquiesça doucement. Elle le savait mais était-ce bien raisonnable de continuer à aimer quelqu’un qui vous a fait tant de mal…
_ J’ai besoin de me poser loin de tout ça. De peser le pour et le contre. Je ne sais pas si cet amour que je voue à Arthur pourra partir en jour… Je ne sais pas non plus si je suis capable d’aimer sincèrement Lancelot. Tout ce que je sais c’est que je veux être heureuse, aimer et être aimée complètement. Je ne veux plus de demi-mesure. Arthur ne m’a jamais aimé… Je dois donc simplement savoir si je veux donner une chance à Lancelot ou pas…
_ Je comprends… Reste ici autant que tu le souhaites. Tu sais que tu es la bienvenue ici…
_ Merci beaucoup…
_ Néanmoins, es-tu consciente qu’en annulant ton mariage, tu as également ouvert la porte à tous les bons partis du pays qui vont vouloir épouser la princesse de Carmélide ?
_ Je sais… C’est pour ça que je suis partie sans dire où j’allais.
_ La rumeur va finir par se répandre Guenièvre. Nos serviteurs vont forcément en parler autour d’eux et la nouvelle atteindra tout le pays. Comment feras-tu alors ?
_ J’ai encore un peu de temps avant que cela n’arrive et tous ses prétendants devront d’abord passer par mon père !
_ Le connaissant, il voudra sélectionner le meilleur parti possible…
_ Ou faire tout ce qu’il peut pour que je redevienne Reine…
_ Tu serais prête à envisager cette possibilité ?
_ Un mariage sans amour, sans respect, sans gentillesse ? Certainement pas non…
Guenièvre soupira bruyamment sous le triste regard de sa tante. Elle n’était certainement pas opposée à redevenir la femme d’Arthur Pendragon… Cependant, elle ne voulait plus de sa vie d’avant… Depuis trois jours, elle retournait cette histoire dans sa tête. Elle savait qu’elle avait pris la bonne décision. Elle l’assumait et si elle devait rester malheureuse toute sa vie autant qu’elle soit libre plutôt qu’enchaîner à son Roi.
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deathlesssaints · 11 months
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DEAR LITTLE BIRD (forum twitter +18)
Nous aimerions vous dire que c’est une mascarade mais ici à Sainte-Maxime ça fait plusieurs années que personne ne dort sur ses deux oreilles. Si notre jolie petite ville portuaire offre un cadre de vie idylle, avec ses doux étés et le perpétuel bruit des vagues, elle est pourtant la victime d’un compte twitter s’amusant à révéler les plus sombres secrets de nos maximois. Que feriez vous si vous vous sentiez épier chaque seconde, d’être suivi ? Que feriez vous si votre moindre écart se retrouvait exposer au reste du monde sans que vous n’ayez eu le temps de cligner des yeux ? Seriez vous prêts à remettre votre vie entre les mains de quelqu’un dont on ne connaît ni le visage, ni le nom ? Et si cette personne était celle qui pouvait aussi vous détruire ? Maître ou maîtresse des lieux, V. sévit chaque jour pour sa propre notion de la justice. Avec lui, impossible de mentir ou de tricher, les règles du jeu c’est lui qui les créer et honnêtement, ce n’est pas un jeu auquel nous avons envie de participer de notre plein gré. Ce génie du mal sait se cacher, passer entre les mailles du filet, il est quelconque. Peut-être l’avez-vous déjà croisé ? Derrière son écran, il est pourtant roi car lui sait tout de nous alors qu’on ne sait rien de lui. Bienvenue à Sainte-Maxime là où finalement la vie n’est pas réellement un long fleuve tranquille.
LE FONCTIONNEMENT
Nous avons conscience qu'entrer sur DLB entraîne un moment d'adaptation, puisque le forum défie les codes des forums sur forumactif. Nous l'avons tous vécu. Pour rendre le jeu plus facile et plus lisible, nous avons donc installé une codification du jeu. Évidemment, les membres pourront vous aider à vous adapter au mieux à ce nouveau fonctionnement !
> : le guillemet fermé indique un rp au présent c'est généralement ainsi que vous démarrez votre rp c'est-à-dire que les actions décrites dans celui-ci se passeront à l'heure à laquelle vous rp. >> : les deux guillemets fermés indique un rp au passé, en général c'est le rp au présent qui se transforme au lendemain de son lancement au passé pour laisser placer aux actions actuelles. (sms)/(mms)/(mp)/(whatsapp) : indications pour échanger via des messages les sms/mms sous-entendent des discussions de manière classique et les mps seraient des messages échangent par la messagerie instantané de twitter ou via whatsapp comme indiqué. Dear Little Bird est un forum qui tient depuis maintenant sept ans. Nous espérons vous y voir nombreux et que vous serez tentés de rejoindre l'expérience Twitter. On serait ravies de vous accueillir parmi nous. ♡
Le staff de DLB.
Pour nous rejoindre : notre discord !
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phantom1fanatic · 1 year
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⟼ 𝖢𝖠𝖭𝖮𝖭 𝖬𝖴𝖲𝖤𝖲 ⟻
below you will find the various canon characters i have played or are willing to play from various fandoms. i am willing to play these characters against other canon characters or original characters too. keep in mind that i do prefer to double when it comes to canon/original pairings, but may be swayed to a single pairing depending on plot.
last updated: october 18th, 2023
note: any & all characters are or are aged up to 18+
911/911 Lonestar
Athena Grant, Carlos Reyes, Evan ‘Buck’ Buckley, Edmundo ‘Eddie’ Diaz, Henrietta ‘Hen’ Wilson, Howie ‘Chimney’ Han, Judson Ryder, Marjan Marwani, Paul Strickland, Ravi Panikkar, Tyler ‘T.K.’ Strand
Across the Spider-Verse
Hobart ‘Hobie’ Brown, Miguel O’hara, Miles Morales, Peter B. Parker, Spiderman Noir
Arrowverse
Barry Allen, Jefferson Jackson, John Constantine, Leonard Snart, Oliver Queen, Ray Palmer, Sara Lance
Detroit: Become Human
Connor RK800, Connor RK900, Gavin Reed, Kara, Luther, Markus
Good Omens
Aziraphale, Beelzebub, Crowley, Famine, Gabriel, Maggie, Muriel, Nina
Kingsmen
Agent Tequila, Gary ‘Eggsy’ Unwin, Hamish ‘Merlin’ Mycroft, Jack ‘Agent Whiskey’ Daniels, Roxanne ‘Roxy’ Morton
MCU
Arthur Harrow, Charles Xavier, Clint Barton, Eddie Brock, Erik ‘Killmonger’ Stevens, Erik Lehnsherr, Gamora, Helmut Zemo, James ‘Bucky’ Barnes, Katherine ‘Kate’ Bishop, Khonshu, Layla El-Faouly, Marc Spector/Steven Grant/Jake Lockley, Makkari, Matt Murdock, Monica Rambeau, Natasha Romanoff, Nebula, Peter Parker, Peter ‘Three’ Parker, Peter Quill, Pietro Maximoff, Loki, Sam Wilson, Scott Lang, Shuri, Stephen Strange, Steve Rogers, Thor, Tony Stark, Wanda Maximoff, Xu Shang-chi, Yelena Belova
Stranger Things
Billy Hargroves, Dimitri, Jim Hopper, Robin Buckley, Steven Harrington
Supernatural
Castiel, Dean Winchester, Gabriel, Lucifer, Sam Winchester
Ted Lasso
Colin Hughes, Isaac McAdoo, Jamie Tartt, Keeley Jones, Rebecca Welton, Roy Kent, Sam Obisanya, Ted Lasso, Trent Crimm
The Walking Dead
Daryl Dixon, Glenn Rhee, Maggie, Green, Michonne Hawthorne, Rick Grimes, Shane Walsh, Tara Chambler
Umbrella Academy
Allison Hargreeves, Ben Hargreeves, Diego Hargreeves, Klaus Hargreeves
Misc.
Alan Grant (Jurassic Park)
Arthur Pendragon (Merlin)
Harvey Spector (Suits)
Ian Malcom (Jurassic Park)
Jake Sully (Avatar)
John Nolan (The Rookie)
Merlin (Merlin)
Michael Ross (Suits)
Neytiri (Avatar)
Owen Grady (Jurassic World)
Tim Bradford (The Rookie)
Toph Beifong (ATLA)
Zuko (ATLA)
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useramor · 1 year
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tagged by @diazly to do this
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ravi and taylor should be flipped i don’t agree with that
tagging @henswilsons @roy-kents @911onabc @firsttobleed @evcndiaz @butchdiaz :)
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