Terms of Misaaq
Misaaq. That one time where you make a decision to accept your faith.
Misaaq. That time when you decide all other faiths are false and this faith is the true faith.
Misaaq. That time you decide that the Dai who leads the faith is the true Dai and that he is henceforth your lord and master.
Misaaq. That one time where you agree that there will be consequences for leaving the Misaaq.
That your spouse (wife) will immediately become haram.
That you will have to do 30 Haj barefoot.
That all your wealth will instantly become haram and any wealth you accumulate after leaving the Misaaq will also be haram.
The point is if you have chosen to leave the Misaaq, what does it matter to you what is deemed Haram by the custodians of the Misaaq? It's like the club you have joined and now that you have sold your membership, the club pool is now haram to you.
Why would you want to do 30 Haj?
If the Misaaqs need to be renewed multiple times a year because you may have inadvertently violated one or more of its terms, then it would seem violating the terms of Misaaq really does not have any consequences. You can just sit in at the next Misaaq and reviolate the terms as and when you feel like it again.
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The only way to unviolate yourself is to reviolate yourself again in the healing stinging waters of regeneration
Fool me once, shame on you, Fool me twice, shame on me for giving in, Fool me thrice, let’s hatefuck.
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Emilio de' Cavalieri - Aria d'Armonia: Dalle più alte sfere
Laurie Reviol, Soprano Tirami Su, Erin Headley, director Milos Valent, violin Peter Spissky, Violin Keren Bruce, viola da gamba Juraj Kovac, viola da gamba Erin Headley viola da gamba, lirone Alexander Weimann, harpsichord, organ Elizabeth Kenny, chitarrone
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TF2 Fanfic: Permutations
“See, that’s the beauty of it: nobody knows if it’s all true or just speculative garbage. But it kind of gets you thinkin’, don’t it… Makes you wonder how different those billions of other yous in those alternate universes are from this. What sorta life choices did we make in those realities that made us what we were? Did those permutations make us turn out for the better? Or hell, did we already bite the dust out there long ago?”
[ Read it on AO3 ]
Keywords: helmet party, conundrums of philosophy, no respawn, semi-sfw, nsfh (not safe for heart)
-artwork and fic details under the cut-
This fic started out as a drabble that I found myself expanding and completing over a week’s worth of lunchtimes and all-nighters. Which was surprising even for myself, because in all my years lurking in the awfully talented TF2 fandom I’ve never made it past the obstacle that was fear of criticism (who doesn’t worry about that though), especially in my writing.
I still think the characterisations in this story could be much better, but it’s a first step at least. So thank you if you’ve read this far, and I hope you enjoy the story too despite its non-stop cruelty.
// yes, the colours in this illustration were very much inspired by Shinkai Makoto
// PTS scatter brushes courtesy of DA/revioLATE
// drawing process gif: sta.sh/01hv2g23fznc
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Vox Satanae - Episode #389
Vox Satanae – Episode #389
Vox Satanae – Episode 389 – 182 Minutes – Week of 23 April 2018
This week we hear works by Costanzo Porta, William Lawes, Attilio Ariosti, Jiří Antonín Benda, Gioachino Rossini, Pietro Mascagni, and Steven Stucky with performances by Coro Modulata Carmina, Michelangelo Gabbrielli, Sigiswald Kuijken, Wieland Kuijken, Toyohiko Satoh, Edward Witsenburg, Gustav Leonhardt, Laurie Reviol, Musica…
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Nikita Bellucci. Pictures. Photo gallery REVIOLE-MOI
nouvelle
les soirées officielles ça n'a jamais été le fort de l'homme Ni celle de sa femme du reste...mais présentons-les d'abord L'homme est physicien, physique théorique, en ce qui concerne sa femme, elle est peintre
la tête lui tourne, quelqu'un a du glisser une substance dans son verre, mais qui? et pour quel motif?...il s'interroge Mais tout s'embrouille comme un dekstop qui bogue l'écran
il se réveille dans une pièce vitrée De l'autre côté sa femme ligotée et baillonnée, assise sur une chaise de bois un peu branlante, à poil, dépouillée de ses droits de se défendre, de s'expliquer : la pécheresse n'a pas droit à la parole Derrière celle-ci des images défilent sur les murs éclairés de l'inrérieur : celles d'une orgie à laquelle participe l'inculpée Une voix se fait alors entendre
avoue, tu ignorais que ta femme était une pute de première? (à l'écran, deux types pénètrent en double les trous de madame Nikita Hogarth pendant qu'elle suce à tour de rôle une dizaines de mecs hyper bandés et lèche autant de p'lottes a l’allure assez juteuses) Si tu remarques, cher collègue, il y a un petit trou sur la vitre qui pointe directement sur ta p'lotte et sur la table, juste à côté de toi, une arme et dans cette arme il n'y a qu'une seule balle C'est comme à la roulette russe sauf que dans notre jeu le hasard est contrôlé, pipé, si tu préfères Le hasard et pas les dés Alors voilà l'enjeu, où tu descends cette salope et tu retournes paisiblement à tes recherches sans qu'aucune accusation ne soit portée contre toi...ou bien tu te descends et je la laisse partir -tu sais, confrère, si tu savais le nombre de Grands Messieurs -et certaines Grandes Dames, il faut bien l'avouer- qui en passant par nous se sont débarassés d'une femme -ou d'un mari- dont ils -ou elles- n'avaient plus que faire À toi de décider, parce que c'est une décision, pas un choix et sache que si le hasard est pipé, je te rappelle que les dés ne le sont pas, sans décision de ta part vous mourrez ici au bout d'une éternité en essayant de deviner à quoi pense ta femme, peut-être cherche-t-elle à te dire que tout cela est faux ou encore peut-être espère-t-elle ton pardon... Qu'importe ! Cela ne nous concerne pas Ou plutôt, cela ne concerne que toi
tu peux arrêter cette saleté de film, hurle soudain l'homme sans obtenir de réponse Il s'assoit alors sur le bord du grand lit confortable...à sa gauche une table sur laquelle l'attend son repas et à sa droite une douche (et devant un doute) (ajoutons également sur le sol un ventilateur et une chaud-fret parce que dans les deux pièces séparées par une vitre la température est très variable, contrôlée de l'extérieur, passant d'une chaleur suffocante à un froid glacial, mais l'homme ne se sert ni de l'un ni de l'autre) à l'écran une fille brasse un sextoy dans le vagin de madame Nikita Hogarth
la jalousie monte en lui d'abord comme une suggestion, une simple visite de courtoisie, puis elle finit par prendre toute la place, le convive devient intrus, ça arrive avec certains invités En fait, l'homme habrite sa jalousie, le mépris à son égard...elle...l'aime-t-il...est-il prêt à la sacrifier pour assouvir sa jalousie, son ressentiment...
effraction mais qui ne vient pas de l'extérieur, la jalousie est -mais en désertion de tout Être, de toute Êtrâlité transcendante- le coeur de l'amour, centre acentré, exilé, proche de la haine mais qui n'est pas la haine...l'amour la véritable religion : réelle : proximmanente, religion, ou religion {non}-positive, que prêchait Christ jusqu'à ce que le Dogme réinstaure le joug de la transcendance de l'Être, du mass-média, sous le poids du péché, de la positivité pénale et intégrale
l'homme semble écrasé par la chaleur tandis que la femme, ELLE, semble frigorifiée La séparation absolue des états thermiques rend difficile toute évaluation de température d'un espace à l'autre, d’une temporalité en l’autre, comme s'il s'agissait de deux univers inconciliables et ce que l'homme, au sens général, ne partage pas, il peut difficilement le concevoir
sexuellement le concevoir être honnête avec lui-même, Un test Souvent il avait fantasmé ces images, sa femme, l'imaginant au milieu d'un gang bang...ce fantasme, cette virtualité de chairs réelles il en avait joui à l'os dans une sorte d'état où s'amassaient les possibles, les compossibles et les impossibles Mais maintenant la réalité tranchait, lui dérobait son fantasme...peut-être au fond n'est-ce que ça la jalousie : se faire piquer sa femme virtuelle? Pourtant elle n'était pas imaginaire, plutôt iconique, une imaginale, une messagère entre le fictif et le réel, une passagère entre le réal et le réel Mais désormais... comme si brusquement vous appreniez que Dieu existe, de manière certaine, qu'il se présente devant vous en personne Que se passerait-il si Dieu, l'Être, le Moi existaient réalement? Dieu deviendrait un pur objet externe OneDollar
sa femme était devenue une chose, s'était comme extraite de lui...mais est-ce si sûr? Peut-être que ce qu'il voit n'est que l'extériorisation interne de son fantasme (on voit toujours que ce qu'on veut voir, c'est bien ce qu'on dit, non?...)peut-être à ce moment même est-elle le plus proprement {lui-même}? Combien de fois au lit, quand ils baisaient, et ça souvent, il l'avait traitée de pute en sentant son pénis l'écarter, lui ouvrir violemment les lèvres de sa fente qui se frottaient...alors elle relevait les jambes, dilapidant toute pudeur faussement féminine...c'est ça une putain La femme d’un intellectuel Et ces images qui défilaient sur le mur derrière elle qui l'aggravaient, la soulignaient, peut-être les inventaient-ils au fur et à mesure…
ou c’est ELLE qui les projetaient?...
il sent qu'elle voudrait dire quelque chose et pense qu'il donnerait n'importe quoi pour l'entendre à nouveau...mais ses mots n'ont-ils pas toujours été les siens, ces mots qu'il lui mettait dans la bouche et qu'elle prononçait si docilement, amoureuse, actrice consciencieuse?...
la chaleur devient presqu'insupportable mais il se refuse d'avoir recours au ventilateur, faisant simplement glisser son avant-bras sur son front
ces images pourraient fort bien être autres, aux autres, des icônes religieuses par exemple...la jalousie est-ce que ça se réduit pas en bout de ligne dans l'actualisation d'un seul possible, d'un « fais de la place »...la proclamation ou la réclamation d'une certitude, d'une essence immuable, prioritaire, propriétaire...la descendre serait alors un geste proprement légitime Or l'angoisse c'est que peu importe qui il tue, peu importe qui meurt, ils mourront ensemble
si le virtuel se cristallise, en revanche, l'acte disperse, s'abolit de lui-même et, après avoir chanter un moment, revient mendier à la porte du possible Alors si la fourmi accueille son hôte avec dédain et mépris, elle qui a conservé ses principes, évitant toute dépense excessive, expressive...et pourtant ce qui rend la mendiante qu'est la cigale supérieure c'est qu'elle a fait l'expérience de l'Autrement que soi, ne s'est pas résignée sottement à prêcher à tous vents la vertu, préférant pécher, faire l'expérience de la vertu dans la logique du Vice : le péché {est} le coeur de toute vertu, de toute foi authentique -en amont d'un principe fondé en certitude, à la fourmi la cigale pourrait demander : à ton principe Dieu existe, qu'arriverait-il s'il existait réellement? Ou pis : Autrement? Vois-tu pas que le fonds du réel c'est le possible, l'infini {non}-positif ,c'est l'autrement-qu'e Soi Si Dieu existait réellement, il lui deviendrait possible de ne pas exister, comme le Bien absolu habrite le Mal, la présence l’abscence : fais l'expérience de ton Dieu, éprouve sa logique en son coeur
l'angoisse c'est le possible, quand un réseau de gestèmes se tisse, en fait une multiplicité de réseaux, de carrefours où possibles, compossibles, impossibles s'entremêlent La {religion} de Christ qui se fonde sur l'angoisse, ne dispose d'aucune voie assurée Le Dogme n'est pas une religion, c'est une politique d'État, un pense-bête de choses à faire dans la journée... Or si Dieu existe c'est un hasard, s'il n'existe pas c'est un hasard aussi Rien n'est pipé
le Dogme, celui du Logos, de l'Être, repose sur la volonté -de pouvoir- essentielle : maîtriser, en la refoulant, l'angoisse, en y substituant la peur comme on change de chaîne, la Terreur au profit du maintient de la Certitude Voilà sur quoi se fonde l'onto-théologie et dans ses vitrines la métaphysique occidentale -et même la science, en tant que Raison, s'appuiera sur les même principes, le même volontarisme, dit rationnel, raisonnable, refoulant de l'angoisse : mieux vaut une fracture de la cheville Il faudra attendre Kierkegaard, Freud et Nietzsche, mais il y des précurseurs, comme autant de brèches, qui longent toute l'histoire de la théologie et de la métaphysique, pour que ressurgisse l'angoisse, retour du refoulé de la Certitude, théologique, métaphysique et scientifique Celle-ci, en se posant comme critère du vrai, ne constitue rien d'autre en somme qu'une épicerie métaphysique
si je me tue, l'humanité n'aura pas accès à ma grande théorie...de toute façon un autre trouvera et pis anyway, l'humanité changera toujours pour le pire...sans angoisse
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