Tumgik
#san delphine
dumbthunder · 2 years
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In honor of my girlfriend "doodling" Tazer,
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I've decided to post a story featuring her.
Constructive criticism or any kind of feedback is appreciated.
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Welcome to San Diego.
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drex223 · 2 months
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What is the salary cap for the nwsl? Seems like some teams (San diego, Gotham) just have unlimited money to sign players. Are all these players just taking big pay cuts?
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pinesource · 3 months
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Chris Pine at the Ralph Lauren x Esquire Dinner held at Via San Barnaba on June 15, 2024 in Milan, Italy. (Photo by Delphine Achard/WWD via Getty Images)
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thebusylilbee · 2 months
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" Après 2024, 2030 sera-t-elle une nouvelle année olympique en France ? Le Comité international olympique (CIO) a désigné mercredi 24 juillet les Alpes françaises comme site organisateur des Jeux olympiques d’hiver. Après plusieurs semaines d’incertitude liée à l’actuelle vacance du pouvoir, c’est une victoire pour Emmanuel Macron qui a défendu personnellement la candidature de la France devant le comité mercredi 24 juillet au matin. 
Le CIO conditionne néanmoins la validation définitive de ce projet à la présentation des garanties financières et juridiques par lesquelles le pays hôte s’engage à couvrir les éventuels déficits de l’événement et à livrer les équipements en temps voulu. [...]
À quarante-huit heures de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, le sujet des Jeux d’hiver apparaît lointain. C’est pourtant maintenant qu’il faut s’en préoccuper, tant qu’il est encore temps de les arrêter. Coûts financiers, flou budgétaire, impact environnemental et verrou dans un modèle économique mortifère pour l’écosystème alpin : les problèmes posés par d’éventuels JO dans les Alpes sont nombreux et sérieux.
Si les plans climat et les schémas bas-carbone adoptés tant bien que mal par nos institutions ont un sens, si le souci budgétaire affiché par l’exécutif est réel, le projet de JO 2030 devrait être remis en question. Mettre en suspens la candidature et offrir aux citoyennes et citoyens la possibilité de se prononcer sur sa pertinence serait un signe de santé démocratique.
Ce serait aussi un geste de confiance envers la population, trop peu consultée sur les grands projets. Ceux-ci engagent pourtant les habitant·es, riverain·es et contribuables pour des années dans des trajectoires souvent polluantes et coûteuses.
Un demi-milliard de dépenses publiques
Le budget de fonctionnement annoncé pour les JO d’hiver s’établit à 2 milliards d’euros, selon le rapport du mois de juin de la commission de futur hôte – document qui comprend l’analyse du projet par un jury désigné par le CIO.
Cette enveloppe représenterait un coût de 462 millions d’euros pour la puissance publique – à partager entre l’État et les régions organisatrices. C’est autant que l’aide exceptionnelle débloquée par le gouvernement en février pour les hôpitaux. Ou que les financements annoncés en 2023 pour le plan logement devant permettre aux personnes sans domicile d’accéder à des solutions de logement pérennes. Ou encore que le fonds annuel de rénovation du bâti scolaire. C’est donc beaucoup d’argent, surtout dans le contexte du plan d’économie de 10 milliards d’euros décidé par Bruno Le Maire en février 2024.
Est-ce le meilleur usage à faire des subsides publics ? La question est d’autant plus pertinente que le montant à débourser sera en réalité sans doute beaucoup plus élevé : 2,4 milliards d’euros au total, pour une dotation publique comprise entre 800 et 900 millions d’euros, selon un rapport de l’Inspection générale des finances non publié, mais cité par le media La Lettre. Matignon, qui a commandé ce rapport, n’a pas répondu aux questions de Mediapart.
Une forte contribution de l’État
Dans le détail, les quelques informations publiques sur le volet budgétaire de cette candidature interrogent. La part de financement public, autour de 23 %, est beaucoup plus élevée que dans les dossiers d’autres pays, a remarqué Delphine Larat, membre du collectif No JO : 0 % pour la Suède pour les JO de 2026 – et retoqué de ce fait, 4 % pour l’Italie, 6 % pour la Chine (2022), 14 % pour le Kazakhstan (2022). Le montant et la part de provisions pour imprévus sont également « hors norme », autour de 258 millions d’euros pour la France, ajoute-t-elle.
Or les économistes des infrastructures ont bien documenté la sous-estimation systématique du coût des JO, dont les budgets ne prennent pas en compte tout un ensemble de dépenses plus ou moins cachées : les exonérations fiscales (nombreuses), les dépenses de sécurité ou de transports publics, etc.
Les rapporteurs de la commission de futur hôte s’inquiètent d’ailleurs à plusieurs reprises de la soutenabilité financière du projet, citant la construction des villages olympiques et d’une patinoire à Nice (Alpes-Maritimes).
Constructions massives dans les Alpes
Tout en promettant de « s’attaquer aux conséquences du changement climatique », le dossier des JO 2030 prévoit des constructions massives. Pas moins de cinq villages olympiques sont annoncés, avec 700 lits en projet au Grand-Bornand (Haute-Savoie), 700 supplémentaires à Bozel (Savoie), 1 500 à Nice – où la patinoire pourrait coûter 50 millions d’euros. Celle-ci pourrait prendre place sur des terrains destinés initialement à construire des logements sociaux. Et le projet serait particulièrement énergivore compte tenu du climat méditerranéen de la ville – un choix baroque pour des Jeux d’hiver.
Un « réseau routier olympique » devra par ailleurs être mis en place, notamment pour pallier les routes « étroites » dans les zones de montagne. L’empreinte carbone de l’ensemble est estimé entre 700 000 et 800 000 tonnes équivalent CO2 – sans aucun élément pour le vérifier –, soit autant que la consommation annuelle moyenne de 80 000 personnes en France.
Avec le réchauffement des températures, la neige tient de moins en moins en petite et moyenne montagne. Lors de l’édition 2022 de la Coupe du monde de biathlon au Grand-Bornand, en Haute-Savoie, elle a dû être livrée par camion avant la tenue des épreuves. Comment imaginer que la situation sera différente en 2030 ? Les canons à neige et retenues collinaires sont très consommatrices en eau, et, de ce fait, remis en cause par les défenseurs des écosystèmes. En 2022, la justice a suspendu l’autorisation d’une retenue d’altitude à La Clusaz, en Haute-Savoie, que la mairie voulait construire pour produire de la neige artificielle. C’est l’un des lieux choisis pour les JO de 2030.
Opacité antidémocratique
En l’absence de consultation et de référendum sur la tenue de JO d’hiver en France en 2030, il n’y a pas eu d’information correcte du public : le budget n’est pas publié en détail et le dossier de candidature n’est pas consultable en ligne. La clé de répartition entre État et régions n’est pas connue. Il n’y a pas eu d’étude alternative à la construction des nouvelles infrastructures, ni de contre-expertise du budget présenté par la France.
Avoir des JO dans les Alpes en 2030 « serait formidable pour inventer le modèle de Jeux d’hiver de demain qui doit être plus durable, qui doit s’adapter aux changements climatiques », a encore déclaré Emmanuel Macron au JT de France 2. Le chef de l’État semble se tromper de priorité : plutôt que le business olympique, c’est la montagne, son milieu naturel et les personnes qui y vivent qui doivent être défendus pour avoir une chance de perdurer.
La bonne question à poser est simple : cela est-il compatible avec des JO d’hiver ? Car, au vu des investissements nécessaires, ils enfermeraient ces territoires en plein bouleversement climatique dans un modèle touristique inadapté et dépassé.
Jade Lindgaard "
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desviesennoiretblanc · 7 months
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Hier est déjà du passé
Il y a eu ce gros chat qui, un jour de décembre 2023, m'a suivie d'un bout à l'autre de la rue jusque chez moi. Depuis, lorsque j'approche de son domicile, il miaule et vient à ma rencontre. Nous échangeons un bonjour et quelques caresses (à sens unique, cela dit). Un nouvel ami ?
Il y a eu des émotions d'ordre culturel, au cours de la même semaine, celle du 19 au 25 février 2024. Émotions cinématographiques d'abord, avec le film Sans jamais nous connaître d'Andrew Haigh, belle histoire d'amour et de fantômes sur fond de Pet Shop Boys ou de Frankie Goes To Hollywood. Émotions théâtrales ensuite, avec la pièce Il n'y a pas de Ajar, où planait un autre fantôme, celui d'Émile Ajar, double de Romain Gary, à travers la voix de son fils, Abraham, imaginé par Delphine Horvilleur pour nous questionner sur notre/nos identité(s) ; un spectacle hilarant, émouvant, talentueusement mis en scène et interprété par Johanna Nizard.
youtube
Il y a eu des pensées. Je sais que j'ai pensé à lui. Je crois que j'ai pensé à lui chaque jour sans en avoir conscience. Penser à lui, c'est un peu comme respirer, je le fais sans m'en rendre compte. Est-ce que si j'arrête de penser à lui, j'arrête de vivre ?
Il y a eu des oiseaux. Ces mouettes qui faisaient un boucan d'enfer (qui poussaient des cris d'orfraie ?) alors que je tentais de me concentrer sur ma lecture sur le quai de la gare d'Amiens. Et ces pies occupées à déheuter (verbe picard) la terre des jardins, captivantes à observer.
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scandisea · 2 months
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Delphine Cascarino announces her departure from Lyon
she says she wants to have another experience abroad. Reminder there is a rumor that links her to San Diego in the USA
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carolemm · 4 months
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Encore un très beau livre, très émouvant et parfois drôle de Delphine Bertholon 🌺 Je n’ai pas trop envie d’en parler pour ne pas le déflorer : laisser le bonheur de la surprise. De magnifiques portraits de personnes du quotidien.
Je ferai donc des citations.
« Je sais ce que je risque. Ce que nous risquons.
Mais je vais avoir trente ans, papa. J'imagine qu'il est temps de faire enfin cela... Grandir. »
«Aujourd'hui, je pense à ceux qui disent « partir» à la place de « mourir».Papa, si seulement tu avais pu te contenter de partir. »
« La vie, c'est vraiment n’importe quoi ! […]Tant d'années, elle s'était sacrifiée au bonheur de notre famille, à la tenue du pavillon, réprimant ses désirs au profit des nôtres, à toi et moi, papa, et de quelques autres, amis, voisins, le cœur en forme de main éternellement tendue, le regard en compresse apposé sur le monde. Avec toi, elle faisait le maximum pour maintenir le mariage à son top. »
« Réclamer de l'amour a une âme si cassée, c'était comme faire l'aumône auprès d'un sans-abri. »
«Ce n'était pas de la colère, c'était de la déception, une immense et intolérable déception, l'impression désespérante que décidément personne, non, PERSONNE n'était digne de confiance. Que tout le monde, tôt ou tard, finissait par partir. Que quoi qu il arrive, on est toujours tout seul. Définitivement et inexorablement tout seul. Je prenais conscience pour la première de cette vérité-là, la plus inaltérable des vérités. »
« [...] s'éloigner de ce qui est pour espérer un autre sera... »
« Les craintes se déplacent, semblables à ces poussières qu'on cache sous les tapis et qui ressortent ailleurs, plus denses, plus noires, parce qu'additionnées aux nouvelles poussières, éternel recyclage d'angoisses embouteillées. »
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goalhofer · 2 months
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2024 olympians representing non country of residence part 1
USA: Jaime Czarkowski, swimming (Calgary, Alberta); Catalina Gnoriega, archery (Mexicali, Mexico); Colin Heathcock, fencing (Beijing, China) & Jennifer Mucino-Fernandez (Ciudad Mexico, Mexico) Afghanistan: Kamia Yousufi, athletics (Mashhad, Iran) Albania: Chermen Valiev, wrestling (Moscow, Russia) Algeria: Saoussen Boudiaf, fencing (Roubaix, France); Mehdi Bouloussa, table tennis (Saint-Denis, France); Carole Bouzidi, canoeing (Paris, France); Messaoud Dris, judo (Paris, France); Zohra Kehli, fencing (Bagnolet, France); Koceila Mammeri, badminton (Lyon, France); Tanina Mammeri, badminton (Lyon, France) & Kaylia Nemour (Saint-Benoît-La-Forêt, France) Antigua & Barbuda: Ellie Shaw, swimming (Fairfax County, Virginia) & Tiger Tyson, sailing (Auckland, New Zealand) Argentina: Pascual Di Tella, fencing (Brooklyn, New York); Emiliano Grillo, golf (San Diego, California); Nadia Podoroska, tennis (Alicante, Spain); Alejandro Tosti, golf (Gainesville, Florida) & Rocco Ríos-Novo, soccer (Los Angeles, California) Aruba: Philip Elhage, shooting (Willemstad, Curaçao) & Just Van Aanholt, sailing (Willemstad, Curaçao) Australia: Alex De Minaur, tennis (Alicante, Spain); Thaisa Erwin, equestrian (Middleburg, Virginia); Raphaelle Gauthier, swimming (Montreal, Quebec); Daniel Golubovic, athletics (Manhattan Beach, California); Min Jee, table tennis (Seoul, South Korea); Miloš Maksimović, water polo (Novi Sad, Serbia); Jacob Merčep, water polo (Dubrovnik, Croatia); Kathryn Mitchell, athletics (Monte Carlo, Monaco); Georgii Okorokov, wrestling (Yakutsk, Russia); Hilary Scott, equestrian (Valkenswaard, The Netherlands); Ajla Tomljanović, tennis (Boca Raton, Florida); Josh Turner, rugby (Hamilton, New Zealand); Samantha Whitcomb, basketball (Ventura, California) & Joshua Yong; swimming (Bandar Seri Begawan, Brunei) Austria: Lorena Abicht, sailing (Hamburg, Germany); Valentin Bontus, sailing (Poetto, Italy); Alina Kornelli, sailing (Munich, Germany); Lukas Mähr, sailing (Eichenzell, Germany); Elisabeth Straka, archery (Hamburg, Germany) & Josef Straka, golf (Vestavia Hills, Alabama) Azerbaijan: Tiffany Hayes, basketball (Winter Haven, Florida); Uşangi Kokauri, judo (Gori, Georgia); Zelym Kotsoiev, judo (Vladikavkaz, Russia); Magomedkhan Magomedov, wrestling (Aleksandriskaya, Russia); Georgi Meshvildishvili, wrestling (Tbilisi, Georgia); Alexandra Mollenhauer, basketball (Lindale, Texas); Mariya Stadnyk, wrestling (Lviv, Ukraine) & Marcedes Walker, basketball (Philadelphia, Pennsylvania) Bahrain: Amani Al-Obaidli, swimming (Brisbane, Australia); Tigist Gashaw-Beday, athletics (Addis Ababa, Ethiopia); Askerbii Gerbekov, judo (Roscha, Russia); Gor Minasyan, weightlifting (Gyumri, Armenia); Lesman Paredes (Buenaventura, Colombia) & Akhmed Tazhudinov (Gergebil, Russia) Belgium: Thomas Detry, golf (Dubai, U.A.E.); Adrien Dumont-De Chassart, golf (St. Johns County, Florida) & Delphine Nkansa, athletics (Paris, France) Benin: Valentin Houinato, judo (Sainte-Geneviève-Des-Bois, France) & Alex Kpade, swimming (Le Havre, France) Bermuda: Dara Alizadeh, rowing (Brookline, Massachusetts) & Erica Hawley, triathlon (Boulder, Colorado) Bolivia: Esteban Núñez, swimming (Antibes, France) Brazil: Nicolas Albiero, swimming (Louisville, Kentucky); Angelina Costantino, soccer (Jersey City, New Jersey); Laura De Andrade, tennis (Barcelona, Spain); Tatiana Dos Santos, surfing (Kauai County, Hawaii); Camilla Gluckstein, gymnastics (Atlantic Highlands, New Jersey); Nathalie Mollhausen, fencing (Milan, Italy); Thiago Monteiro, tennis (Buenos Aires, Argentina); Rodrigo Pessoa, equestrian (Wilton, Connecticut); Luana Silva, surfing (Honolulu County, Hawaii); Felipe Toledo, surfing (San Clemente, California) & Thiago Wild, tennis (Buenos Aires, Argentina) British Virgin Islands: Adaejah Hodge, athletics (Douglasville, Georgia) Brunei: Hayley Wong, swimming (Pudong, China) Bulgaria: Aik Mnatsakarian, wrestling (Akhalkalaki, Georgia); Kevin Penev, gymnastics (Penfield, New York) & Magomed Ramazanov, wrestling (Khasavyurtovsky, Russia)
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dumbthunder · 2 years
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15 questions 15 mutuals
I was tagged by the lovely @sergeantnarwhalwrites. I didn't realize that it supposed to be one of your OCs answering this, I guess my eyes skipped a line when reading yours. Tazer will be answering these.
I'm tagging @marinesocks @nanashi23 @justnerdy15 @starstruck-strife @manathen @aohendo @fearofahumanplanet @kyofsonder @the-finch-address @athenstheidiot some of you mightve been on @sergeantnarwhalwrites tags, so sorry if I doubled you up
1. Are you named after anyone?
Go ahead and guess where I got the name Tazer from.
2. When was the last time you cried?
I saw Everything Everywhere a few weeks ago and I bawled in the movie theater. Oh wait, I think it was when I saw that dead baby bird in the park. Errrr.... maybe it was when i thought my brother was hurt. Can we come back to this?
3. Do you have kids?
I have a kid brother. I mean, he's an adult now, but he'll always be a kid to me <3
4. Do you use sarcasm?
Oh all the time. I have two friends that don't get it and its hilarious.
5. Whats the first thing you notice about people?
You can tell a lot about someone by looking at their eyes. Where they look. How they look at things or you. If they have some fire in their eyes.
6. Whats your eye color?
Plain ol' brown. Does red count if they're blood shot?
7. Scary movies or happy endings?
I love happy endings. I hope that I can get one someday. Not soon, maybe once I'm old and done with the whole hero thing I can settle down.
8. Any special talents?
Besides stretching my arms and bursts of electricity? Uhhh....
9. Where were you born?
San Delphine born and raised. Go Astros! (I'm not really into baseball, my friend used to play for them)
10. What are your hobbies?
Some would say my hero work is my hobby, or the gym, but recently I've taken up knitting for those long hours at a stake out.
11. Do you have any pets?
I wish. I'm too busy to take care of anything else. I've got a few plants at home, but I don't count them as pets.
12. What spots did you play/have you played?
If you don't count power lifting as a sport, we can't be friends. I haven't gone to a competition since I got my power tho. Since I'm stronger than most everyone now its not fair.
13. How tall are you?
Six foot even, but I say five ten when anyone asks. This can be our little secret ;)
14. Favorite subject in school?
Gym, PE, whatever you called it. I was too busy taking care of my brother to care about school.
15. Dream job?
I'm living the dream. A bona-fide superhero. Unless I'm on the news, then I'm a "dangerous vigilante". Some people don't appreciate the work I'm doing. Smh my head.
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From Lyon to San Diego.
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A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours, Où les vives clartés s'éteignent une à une, Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour Descendent mollement et dansent à la lune,
Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments, Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre Pour le repos charnel ou l'assouvissement, Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,
Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour, Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille Comme une fleur à qui le vent porte l'amour, Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,
Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux, Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles, Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau, Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !
Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux, Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux, L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.
Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer Dans la brume mouillée, agile et taciturne.
A ce coeur si rompu, si amer et si lourd, Accorde le dormir sans songes et sans peines, Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour, Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...
Anna de Noailles
[Delphin Enjolras - Le murmure de la mer]
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Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
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Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
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Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
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Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur. 
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Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus. 
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Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
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Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et  confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
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Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre. 
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oreruui-sims · 4 months
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Meet the newest resident of San Myshuno: Delphine Demarché
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softsan · 4 months
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・⊹ 🎐 ˙ ̟!! ATEEZ PIRATE KING AU - Y/N’S NAME
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✉️ ・ 𝐌𝐀𝐒𝐓𝐄𝐑𝐋𝐈𝐒𝐓 ・ 𝐌𝐎𝐎𝐃𝐁𝐎𝐀𝐑𝐃 ・ ᝰ
˚ 🌥️ ⊹ kim hongjoong ⤍ delphine ˚ 🌥️ ⊹ park seonghwa ⤍ yara ˚ 🌥️ ⊹ jeong yunho ⤍ kelpie ˚ 🌥️ ⊹ kang yeosang ⤍ coral  ˚ 🌥️ ⊹ choi san ⤍ haeun ˚ 🌥️ ⊹ song mingi ⤍ river ˚ 🌥️ ⊹ jung wooyoung ⤍ azure ˚ 🌥️ ⊹ choi jongho ⤍ meri
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rayondelun3 · 6 months
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Encore un roman magistral écrit par Delphine de Vigan. Impossible de trouver aussi captivant et troublant et émouvant et magnifique juste après la lecture de Rien ne s'oppose à la nuit... Pour ne pas rester sur ma faim et pour avoir relu des centaines de fois Jours sans faim je me suis dit que j'allais trouver un des livres de Delphine de Vigan que je n'avais pas : Les gratitudes. Ça m'a l'air tout aussi émouvant. Je suis définitivement sous le charme de l'écriture de cette autrice formidable. Je ne peux que recommander. Je sens que je vais relire encore et encore Rien ne s'oppose à la nuit pour collectionner quelques phrases, quelques citations.
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