Tumgik
#soirée fleury
costumeloverz71 · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
Dress, 1955. Soirée Fleury.
317 notes · View notes
chicinsilk · 4 months
Text
Tumblr media
US Vogue March 15, 1964
Yves SaintLaurent Haute Couture Collection Spring/Summer 1964. Model: Jean Shrimpton. Polka dot, floral banded cage, an enchanting new evening shape in white organza with black polka dots, with crowds of black silk roses circling the sleeves and plunging hem. The sheath inside, white Gazar with black satin strips. Jet earrings. Hairstyles Alexandre de Paris.
Yves SaintLaurent Collection Haute Couture Printemps/Été 1964. Modèle : Jean Shrimpton. Cage à pois, à bandes fleuries, une nouvelle forme de soirée enchanteresse en organza blanc à pois noirs, avec des foules de roses en soie noire cerclant les manches et l'ourlet plongeant. La gaine à l'intérieur, Gazar blanc avec des bandes de satin noir. Boucles d'oreilles en jais. Coiffures Alexandre de Paris.
Photo William Klein
62 notes · View notes
coolvieilledentelle · 7 months
Text
Se retrouver en fin de journée avec la promesse d'une soirée fleurie de bonheur...
97 notes · View notes
coovieilledentelle · 1 month
Text
Se retrouver en fin de journée avec la promesse d'une soirée fleurie de bonheur avec la personne que vous chérissez... Soirée bonheur à vous
43 notes · View notes
swedesinstockholm · 11 months
Text
30 juin
l’autre jour on discutait de la fin de melancholia de lars von trier avec n. et elle me disait que ça l’avait fait réfléchir à son désir de créer quelque chose d’important, à quoi bon si c’est pour que tout disparaisse du jour au lendemain avec l’explosion de la terre percutée par une autre planète? et je lui ai dit que je le voyais pas du tout comme ça moi, que je voulais créer des choses pour pouvoir en jouir tout de suite, parce que le présent est plus important que le futur, je crée parce que je veux être aimée tout de suite, pour être vue et entendue et reconnue, pas pour laisser quelque chose derrière moi ou contribuer à je ne sais quel patrimoine matrimoine littéraire ou artistique. elle m’a demandé si je me contenterais de l’admiration de quelques personnes et j’ai dit que j’étais déjà euphorique quand une seule personne sur tumblr me disait qu’elle aimait me lire. et puis j’ai ajouté non mais si, j’ai très envie de devenir célèbre, évidemment. what’s the point of making great work if everything is going to disappear? the point is now! the point is the present. how very buddhist of me. il me manque plus qu’à tuer mon égo maintenant. à moins que r. s’en soit déjà chargé samedi soir. c’était tellement violent d’entendre sa voix dans mes écouteurs me dire d’un ton grave et ultra sérieux qu’il ressentait pas la même chose que moi. je sais pas pourquoi je m’inflige de l’écouter et le réécouter et le réréréécouter, c’est comme de regarder un accident de la route en passant à côté, je sais que ça va me traumatiser mais je peux pas m’en empêcher, j’aime remuer le couteau dans la plaie, j’aime souffrir. peut être que c’est une tentative de vraiment tuer mon égo. ou peut être que c’est parce que je m’aime pas assez, je sais pas. il dit qu’il s’était aperçu qu’y avait un truc à partir du moment où j’avais utilisé le mot date pour se voir, le moment où moi je me suis dit c’est bon j’en suis quasiment sûre maintenant, c’est bien un date. je crois que c’est bon là, y aura pas de troisième faux date, je ferme mon imagination, mon cerveau est désormais une zone fiction free.
mercredi je me suis promenée au viktoriapark et je me suis assise sur un rocher sous les arbres à la source de la cascade pour m’entraîner à chanter le nouveau couplet de ma chanson. j’ai changé “car tu ne me laisseras jamais sur vu puis disparu” à “car tu ne me diras jamais que tu ne m’aimes pas”. j’adore chanter dehors depuis cet hiver quand je m’entraînais à chanter all that jazz dans la rue en rentrant du théâtre le soir. j’ai acheté un short fleuri des années 90 qui me rappelait un imprimé de mon enfance et puis j’ai acheté le premier tome du journal de georgia nicholson dans un magasin de livres d’occasion pour l’offrir à n. je l’ai feuilleté et ça m’a rappelé à quel point ce livre avait influencé mon écriture à l’époque du blog, et à quel point il m’avait formée en tant qu’écrivaine en fait. avec le journal d’une princesse. je sais même pas si je tiendrais un journal comme je le tiens aujourd’hui sans ces livres. peut être que je me serais jamais mise à l’écriture du tout. je portais mon tshirt céline sciamma qui m’a valu un great shirt! d’une fille probablement lesbienne alors que je mangeais mon donut cream cheese à la fraise sur le trottoir, ainsi que plusieurs regards approbateurs dans les rues de neukölln. un peu déçue de pas avoir eu plus d’interactions avec des filles queer pendant mon séjour quand même, à part la coloc de n. qui me terrifiait un peu, celle qui m’a réveillée à sept heures le jour où j’ai dormi dans la cuisine et qui m’a proposé d’aller finir ma nuit dans la chambre de la fille qui était pas là. n. m’a dit qu’elle travaillait comme videuse au schwuz, le plus grand club queer de berlin, et ça lui allait comme un gant.
dans le bus le soir j’ai posté un appel à lancer des soirées diary slam avec moi après avoir découvert ça dans un bar de neukölln, c’est des soirées où tout le monde peut venir lire le journal de son enfance/adolescence et peut être que je pourrais essayer de lancer le concept à bruxelles et ainsi infiltrer le monde artistico-littéraire bruxellois et devenir une des reines de la scène littéraire locale comme perrine. c’était bien moins dramatique qu’à l’aller dans le bus, j’étais assise exactement à la même place mais j’étais bien moins triste. enfin j’étais surtout triste de quitter berlin, ce qui est une tristesse beaucoup plus supportable. j’ai écouté monument ordinaire en regardant le soleil se coucher derrière les éoliennes, puis je suis passée à avril lavigne en arrivant à leipzig vers minuit. en sortant de la ville je regardais les maisons de banlieue dans le noir et j’avais l’impression qu’on était en france. que leipzig avait glissé quelque part sous fontainebleau, vers là où habitent p. et s. vers une heure du matin j'ai mis sam smith période 2015 mais pas pour être triste, même celle où il dit i love you believe me but not in that way, j’ai pas pleuré. j’ai écouté l’album cinq ou six fois de suite, je sais pas pourquoi ça me faisait du bien.
6 juillet
j’ai enfin brisé la glace avec r. en lui envoyant un tiktok d’un oignon qui chante une chanson d’amour au type qui veut le couper pour le faire pleurer et j’ai dit disons que je viens de briser la glace? et il m’a dit oui tu viens de briser la ce-gla et il m’en a envoyé d’autres et puis on a discuté d’adrienne maree brown et de notre fascination commune pour le rapport extrême que les américains entretiennent avec la nourriture et il est plus du tout revenu sur mes messages qui répondaient à ses questionnements, alors qu’il avait dit qu’il avait des trucs à me répondre, mais peut être que je saurai jamais ce qu’il avait à me répondre parce que tout ce qu’il veut vraiment c’est continuer à pouvoir m’envoyer des trucs drôles et j’ai du mal à comprendre. quand je pensais qu’il avait un crush sur moi ça faisait sens, mais là, je comprends pas pourquoi il s’acharne. en fait je comprends tout simplement pas pourquoi il veut être mon ami. peut être que c’est encore une question de non amour de moi-même. mais moi, est-ce que je peux vraiment être son amie? est-ce que je me voile pas un peu la face? est-ce que je pourrai le revoir un jour sans me rouler par terre de douleur? je veux tellement pas le perdre que je suis prête à tout endurer. hier à la piscine quand je pensais à lui parfois ça me faisait nager comme une forcenée et puis parfois ça me stoppait net et je laissais tomber ma tête sous l’eau comme une morte.
12 notes · View notes
Text
Entre les Dunes
Ca fait plusieurs mois que cette fic est dans mes WIPs, je l'ai d'ailleurs commencé bien avant sa petite soeur La femme de l'esclave, donc je suis contente qu'elle soit enfin fini. Impossible de me décider si c'est du Angst ou du Fluff mais ca part beaucoup d'émotions (disons du Spleen ? A vous de me dire)
Merci à @cheryllollst d'avoir beta, tu es un véritable amour 💖
--
Résumé : Et maintenant, enfin seul dans cet immense désert, Arturus mort et Arthur exilé, le voilà égaré. Qui est-il ?
Entre les Dunes
--
Pendant des années, Arthur a tenté de se persuader de ne pas aimer Guenièvre. Ça a été facile vraiment, entre Aconia, son coeur brisé, sa promesse, sa culpabilité, ses nouvelles responsabilités de roi, la construction du château, tout avait été un prétexte pour éviter sa nouvelle femme. Éviter ses grands yeux curieux, ne pas voir ses joues se colorer à chaque fois qu'il lui parlait ou qu'il la frôlait, ne pas sentir le délicat parfum fleuri qui se dégageait de ses longs cheveux qu'il n'avait pas pu s'empêcher de toucher une nuit pour savoir si ils étaient aussi soyeux qu'ils en avaient l'air. Ce détachement émotionnel lui avait demandé un entraînement assidu qu'il avait suivi religieusement.
Plus les années passaient, plus elle devenait triste et plus il arrivait à jouer son rôle de mari volage et désintéressé, plus c'était simple de se raccrocher à sa promesse. La couleur de ses cheveux et de sa peau, sa taille, son éducation, son poids, la forme de ses yeux, la petitesse de ses mains, la froideur de ses pieds, le son de sa voix, l'odeur de son savon, le bruit qu'elle faisait quand elle mangeait, rien n'allait avec Guenièvre. Il devait tout détester, oui il le devait et il s'y efforçait. C'était son rituel, une des rares choses à laquelle il s'accrochait encore aujourd'hui : penser à Guenièvre. Tous les matins en se réveillant et tous les soirs en s’endormant, il faisait la liste des choses qu'il n'aimait pas chez sa femme avec pour conclusion cette façon qu'elle avait de l'exaspérer et de l'irriter comme personne. Et ça avait marché. Tout ce temps à se répéter comme un mantra qu'il ne l'aimait pas, ne la désirait pas et ne la voulait pas à côté de lui, avait porté ses fruits. Il lui était impossible d'avoir une pensée déplacée pour sa femme et encore moins un geste sans que son corps, entraîné à la repousser, ne réagisse. Plus elle essayait de lui faire plaisir et de lui plaire, plus il pensait à ses défauts. 
Et puis, il y a eu le désert. D'abord le désert de solitude qu'il ressentait même quand il était entouré de centaines de personnes. Le poids de ses échecs qui le réveillait la nuit avec cette sensation pâteuse dans la bouche, comme s'il mangeait du sable et que des grains de poussière imaginaires lui grattaient la peau jusqu'au sang. Suivis par la brûlure de la lame sur son poignet, un désert rouge où se mêlait le sang et le néant. Le désert d'eau qui faisait tanguer l'embarcation de Venec, une étendue bleue et noire, presque infinie que son esprit délirant avait prise pour le voyage vers Avalon.
Mais rien ne l'avait préparé au vrai désert, celui avec la vraie solitude où il n'y avait personne avec qui parler, celui avec le vrai sable qui gratte et qui rentre partout, celui avec la vraie brûlure incessante du soleil qui rendent les lèvres craquelées et la gorge sèche, celui avec le vrai néant, les étendues infinies de dunes traîtres qui n'attendent que le bon moment pour vous engloutir. Ce désert là, où la mort est une chance et il faut lutter pour survivre.
Sa première soirée à la tannerie, quand l'excitation de la journée et l'appréhension de sa nouvelle vie s'étaient un peu dissipées, seul sur son futon tressé posé à même le sol, couché parmis les autres esclaves avec qui il ne partageait que les longues heures de travail, il avait regardé le ciel. Cette liste, tous les défauts qu'il avait trouvé à cette femme qu'il ne reverrait jamais lui était revenus comme une sale gifle. Il ne pouvait pas arrêter de penser à Guenièvre, il l'avait fait depuis près de 15 ans, ce n'était pas une habitude qui pouvait disparaître subitement. Son nez trop long, ses yeux trop grands, ses lèvres trop fines, ses cheveux trop clairs, son air bête, ses mains trop petites et tout le reste de l'immense catalogue qu'il s'était fabriqué. Mais plus il avançait et moins le cœur y était. Ses pensées étaient tournés vers le nord, vers sa Bretagne natale qu'il avait fui il y a de ça plusieurs mois déjà, vers cette femme qu'il était sensé détester, vers ses amis et cette destiné qu'il avait choisi d'abandonner. Sa liste à moitié oubliée, il avait regardé autour de lui, s'attendant presque à voir Guenièvre surgir de derrière une dune en train de rouspéter avec sa voix nasillarde contre le sable et la chaleur.
Au fur et à mesure des jours et des semaines, il s'était acclimaté à cette vie d'esclave. Personne ici ne parlait la même langue mais ils avaient trouvé des moyens de communiquer entre eux avec des grands gestes et des mots fabriqués avec les sons qui les entouraient. Le travail lui était venu assez rapidement. Ce qu'il ne savait pas faire, il l'avait appris en regardant les autres et ses jours étaient rythmés par les chants graves de contrées lointaines et les gestes répétés machinalement. Il s'était habitué à l'odeur et aux sons devenus familiers des tissus qui pataugeaient dans les liquides jaunes, rouges et marrons et des bruits de bâtons sur les peaux mouillées. Sa nouvelle vie était dure mais au moins il était vivant et pour lui qui avait eu envie de mourir tellement de fois, c'était important. 
Il y avait des enfants. Ça n'aurait pas dû être une surprise. Dans un endroit si reculé, c'était comme une petite ville de travailleurs isolés de tout. Vraiment, c'était plutôt logique qu'il y ai des enfants, malgré tout, la première fois qu'il avait vu une petite tête brune courir entre les immenses tas de linges et jouer à cache-cache entre les peaux sur les étendoirs, il n'avait pas pu s'empêcher d'être surpris. Il avait presque oublié qu'Arthur Pendragon était stérile mais que le reste du monde ne l'était pas.
L'anniversaire de sa première année était arrivé sans qu'il ne s'en rende compte et il n'y avait réfléchi que plusieurs jours plus tard quand il s'était assis près d'un des feux pour manger sa ration du soir. L'atmosphère presque détendue des fins de journée jouait avec sa perception du temps et la chaleur mélangée à la fatigue embuait son esprit. La frontière entre passé et présent, entre souvenir et réalité, était devenue floue et même la vision de Guenièvre, emmitouflée dans un gros manteau, s'asseyant près de lui sur le sable ne lui avait pas semblé déplacée. Elle lui avait souri et tout d'un coup les dunes autour d'eux s'étaient transformées en plaines enneigées. Un éclair de lucidité lui avait traversé l'échine, il se souvenait de ce soir-là, il y a une quinzaine d'années, l'anniversaire d'une autre première année, celle de son arrivée en Bretagne. Un autre lui dans une autre vie.
Il avait maudit ce jour qui lui rappelait tout ce qu'il avait perdu, les derniers mots de Mani qui le hantait et les traits flous d'Aconia dont il essayait désespérément de se souvenir. Guenièvre était venue le trouver alors qu'il contemplait les flammes oranges, un bol à peine touché posé à côté de lui, la solitude, le froid et la culpabilité lui lacérant les entrailles. Elle lui avait parlé mais il n'avait jamais réellement écouté ses mots de soutien et d'encouragement. Il ne se souvenait que de la petite boîte qu'elle avait posée sur ses genoux. Un cadeau et l'assurance qu'elle serait toujours à ses côtés dans un murmure timide. Et puis, elle s'était penché sur lui, avait déposé un baiser sur sa joue, avant de le laisser seul. Une sensation de chaleur avait alors envahi son corps, un frisson d'excitation, l'envie tabou qu'il avait eu de la retenir et de se blottir dans ses bras pour un peu de réconfort n'avait pas été la bienvenue et lui avait presque fait mal.
Assis sur le sable encore tiède avec la même envie, la même douleur qui ne l'avait jamais quitté depuis ce jour, il aurait donné n'importe quoi pour avoir Guenièvre près de lui, pour pouvoir puiser un peu de la force qu'elle lui offrait et qui aujourd'hui lui faisait cruellement défaut. C’est là, dans cet endroit aux premiers abord vierge et assassin, entouré de visages inconnus, qu’il avait compris à quel point il avait été stupide. Sans la pression des responsabilités, sans l'appréhension de trahir une promesse, sans la sécurité d'une vie facile, sans les excuses qu'il s'inventait, c'était beaucoup plus dur de justifier ce qu'il avait fait subir à la femme qui avait accompagné presque la moitié de sa vie. Cette femme qui l'avait épaulé et soutenu, qui lui avait posé les bonnes questions, qui l'avait guidé et accompagné du mieux qu'elle avait pu. Il repensait à son visage lumineux, à son sourire, à ses longs cheveux soyeux, à sa façon de toujours positiver. Et plus il pensait, moins il comprenait pourquoi il s'était privé de cette chance d'avoir un allié de taille dans sa quête quasi impossible de trouver un équilibre dans ce merdier sans nom qu'était sa vie.
Il aurait voulu crier à l'injustice, pour lui d'abord, pour elle ensuite, mais il avait décidé d'arrêter de se voiler la face. Le règne de son hypocrisie avait assez duré. C'était lui, c'était sa faute. Il aurait pu être heureux, il aurait pu essayer. Elle avait mérité d'être mère, d'être heureuse, d'être reine. Mais c'était lui qui s'était obstiné à continuer à vivre dans un mirage, à rester fidèle à une ombre et à en craindre une autre. Il aurait dû être courageux, accepter que le vent du changement souffle et guide le navire qui portait son nom, mais au lieu de ça, il avait lutté pour rester ancré dans une illusion. Il avait choisi de rester avec les morts plutôt que de profiter des vivants.
Les femmes dont il s'était entouré, les dieux qu'il avait priés en cachette, les manuscrits de poésie romaine qu'il avait appréciés en secret, tout n'avait été qu'un prétexte pour rester connecté à ce monde qu'il avait trahi. Il avait gardé Arthur le breton dans la paume d'une main et Arturus le romain dans l'autre, en faisant le choix délibéré de ne jamais les départager et de toujours les avoir à portée de main, jonglant avec expertise les deux face d'une même pièce. Essayant de conserver la version de son passé intact, obligé de la voir disparaître peu à peu en ignorant volontairement la version de son futur, la laissant se ratatiner et s'effacer.
Dans les yeux de ses chevaliers, il avait vu les visages des garçons de sa caserne. Chaque rituel celte, chaque danse, chaque tradition bretonne était un pas de plus qui l'éloignait de la mémoire de Mani, du souvenir d'Aconia, de la camaraderie de sa garnison, de sa jeunesse. Mais sa liste, sa promesse, le Graal, la destinée, tout n'était qu'un mensonge. Il ne détestait pas la Bretagne, ni sa vie. Il ne détestait pas Guenièvre non plus, c'était lui qu'il haïssait. Il avait été beaucoup trop jeune pour être roi, pour assumer autant de responsabilités, alors il s'était puni. Il s'était puni pour le meurtre de ses amis, il s'était puni pour ses choix, pour ses échecs, pour sa lâcheté. Trop focalisé sur lui-même pour réaliser ce qu'il faisait subir à son entourage, trop obnubilé par le besoin de cacher Arturus au yeux des bretons pour accepter que quelque chose n'allait pas, trop fier pour demander de l'aide, trop têtu pour concilier les deux moitiés de son âme.
Et maintenant, enfin seul dans cet immense désert, Arturus mort et Arthur exilé, le voilà égaré. Qui est-il ?
Guenièvre avait été une constante dans sa vie, une planète qui gravitait sans cesse autour de son soleil, une amoureuse transie qu'il avait repoussé du pied mais qui revenait toujours à la charge. Mais peut-être que c'était elle son soleil, qui brûlait sa conscience quand il se rapprochait un peu trop près, qui ne disparaissait jamais sauf la nuit où les démons et les fantômes s'en donnaient à cœur joie. Et si c'était lui l'amoureux, se baignant dans un océan de déni, pratiquant la politique de l'autruche, se forçant à haïr une des rares personnes qui ne lui avait jamais voulu du mal. La seule personne qui était enfermée dans le même destin, la même roue infernale, que lui.
"Pouh ! C'est compliqué dans votre tête dites donc. Et si vous essayiez de penser à des choses plus gai ?"
Arthur se tourne vers la place vide à côté de lui où son esprit a conjuré une vision parlante de Guenièvre. Enroulée d'un châle bleu d'où quelques mèches s'échappent, elle n'existe que pour ses yeux. Il ne sait pas s' il est amoureux mais ce qui est sûr c'est qu'il est en train de devenir fou.
Bientôt 8 ans qu'il est à la tannerie, Damian lui a offert une tente pour son usage personnel et une place de contremaître. Arthur a accepté l'un avec grâce mais dort toujours à même le sol avec les autres et prend toujours ses repas au coin d'un feu, jamais seul. Ce n'est que très récemment que Guenièvre a commencé à lui apparaître aussi clairement que si elle était là. Il n'a jamais arrêté de penser à elle et s'est beaucoup demandé, au début, si les traits de son visage allaient rester net dans son esprit ou est-ce que le souvenir de son sourire allait s'effacer comme les autres. D'après ses yeux pétillants, ses joues roses et sa moue boudeuse, il n'avait rien oublié de sa femme. Elle n'est pas un fantôme, ni un esprit malin, un djinn comme ils disent ici, qui vient le tourmenté. À vrai dire il ne sait pourquoi il a commencé à la voir mais il est toujours reconnaissant de ses visites. Il se sent toujours plus serein après avoir vu son visage, plus léger, moins coupable de l'avoir abandonné à l'autre bout du monde. 
"Puisqu'on parle des choses qui fâchent, vous allez m'offrir quoi cette année ?"
Normalement il n'engage pas avec elle, il la regarde, lui sourit parfois, l'écoute mais ne lui parle jamais au risque que quelqu'un l'entende ou le voit et qu'il ai à s'expliquer le pourquoi du comment il parle avec le sable, le vent et les pierres. Mais cette fois, c'est différent et il n'arrive pas à retenir son murmure. 
"Vous verrez bien."
"Allez soyez sympa, dites moi. Je le dirais à personne, je ferais même semblant d'être surprise."
Il se retient de rire. C'est devenu une tradition, tous les ans, à l'anniversaire de son arrivée, il offre un cadeau à Guenièvre, une offrande, qu'il pose quelque part caché dans le sable d'une dune où dans le creux d'un rocher près de la rivière. C'est un peu sa façon de se donner du courage et de la remercier, un écho réponse au cadeau qu'elle lui a fait au coin d'un feu au milieu de la neige.
"Non. Mais c'est quelque chose que vous aimez beaucoup."
Elle tape des mains avec excitation et il est à deux doigts de lever les yeux au ciel.
"Laissez-moi deviner... "
"Certainement pas."
"Quoi ! Pourquoi ?!"
"Parce que vous êtes dans ma tête donc vous allez tricher."
Son air outré est presque comique, la main sur le torse, la bouche ouverte et les sourcils levés le tromperait presque. 
"Depuis qu'on se connaît, est-ce que vous m'avez vu tricher un jour ?"
Il ouvre la bouche pour lui répondre quand il sent une main se poser sur son épaule. 
"Ah, te voilà."
"Damian !"
Arthur se lève d'un bon comme si le Sassanide l'avait pris en flagrant délit de vol. Le vieil homme regarde autour du plus jeune confus. 
"À qui tu parlais ?"
Arthur jette un œil dans la direction de Guenièvre mais elle a disparu. Avec un pincement au cœur (que leur conversation ait été si abruptement coupée), il balaye la question d'un revers de main. 
"Personne. Je réfléchissais à haute voix."
Il est soulagé quand Damian lui tend un petit paquet sans le presser plus que ça. 
"Tiens, je t'ai ramené ce que tu m'as demandé."
Le sourire d'Arthur est chaleureux, presque timide quand il reçoit le cadeau avec un petit merci. 
"Des complications pendant mon départ ?"
"Tu veux vraiment savoir maintenant ? Je te conseille une bonne nuit de sommeil avant d'écouter ce que j'ai à te dire."
L'air exaspéré de son contremaître lui dit tout ce qu'il a à savoir et le Sassanide éclate de rire. 
"Je t'avais prévenu pourtant, c'est toi qui a insisté. Bon tu me feras ton rapport demain alors. Bonne nuit Arthur."
"Bonne nuit Damian."
Arthur le regarde disparaître à l'abri d'une tenture avant de s'allonger pour observer les étoiles, son paquet posé sur son cœur et les bras derrière la tête. Avec un dernier regard sur les milliers d'étoiles scintillantes dans le voile bleu et noir du ciel, il soupir avant de murmurer avec émotion.
"Bonne nuit Guenièvre."
Il l'aime. Il l'a toujours aimé. Il n'a jamais pu se passer d'elle.
Il ferme les yeux et finit par s'endormir.
(Fin)
--
37 notes · View notes
the-swan · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
♡ STORYTIME :: a lie within a dream
CHAPTER 01. peaceful sleep
— et elle chante, Ash, comme si les mots n'en seraient jamais suffisant. de ses doigts à pincer les cordes, de son archet à glisser contre l'instrument : violoncelle ,, comme seul réel ami. vibre les sonorités ,, les muses lui en avaient offert : talent des plus précieux ! seule réussite, sur les terres escarpées.
"again and again ! play ! Ash !"
de ses mains à ne jamais devoir être abîmées, enfant sur laquelle l'on avait tout misé : car de sa seule passion ,, les maladresses en semblaient toujours sournoises. et malgré les blessures, et malgré les efforts, à tuer son petit corps, elle souriait ! celle à être amoureuse des notes idylliques.
CHAPTER 02. farewell, nerverland
— rire angélique, merveille de l'univers ,, elle voltige, sautille sur les pavés, fleurit comme bien trop sage. innocence dans l'âme, naïveté à vouloir en croire bonté dans tous : Ash, elle en suivait les papillons dans la rue, s'arrêtait pour en sentir les fleurs sauvages, comme si tous les maux sur ses épaules n'en étaient que chaos dans quelques uns de ses rêves. et de ses gentillesses toujours trop mélodieuses, à vouloir vivre le jour le jour sans ne plus en être emprisonnée : elle en attrapait les étoiles, de ses paumes, pour pouvoir les protéger à leur tour.
CHAPTER 03. love me like this
tw. violence conjugale ,, coups et blessures
— et dans les contes, les princesses douces et délicates en trouvaient toujours leur prince. sourire à mourir, cœur à s'éteindre. quand elle avait cru, en ses mots. à lui avoir offert tous ses sourires, les lueurs s'en étaient éteintes, dans son regard.
et de ses coups,,
à mourir :
sous ses yeux.
d'un amour sincère ! quand de fin de lycée, tout n'en avait été qu'illusion perfide : jeu bien mené, ficelles à l'avoir suspendue dans les tréfonds des Enfers. car d'une possessivité extrême face à ses douceurs altruistes, les coups étaient venus en redessiner son corps. de quelques galaxies, de quelques étoiles, là, ici : à toujours en afficher sourire sur ses lippes, pour tout dissimuler. à ne rien dire, se taire ! jusqu'à ce que les joues inondées par les pleurs en reçoivent les bénédictions des cieux. protégée de tout un monde : personne n'avait rien vu ! et elle en était effrayée ,, de chaque geste que l'on venait à lui adresser : comme par instinct de survie, face aux cruautés du monde. réactions automatiques, quand délaissée par le démon pour une autre proie ,, les poumons revenaient à fleurir presque trop doucement.
CHAPTER 04. the swan
— court sur scène, de ses délicatesses si merveilleuse ,, sylphide à se faire fraîcheur de vivre : quand sur scène, elle rayonnait. fierté de ses parents, à trop souvent l'ignorer quand elle n'en brillait pas derrière son instrument, elle venait à en aimer chacun des instants où les doigts en caressaient son violoncelle. à l'enlacer, le chérir, comme réelle personne. personnification : de ses romances inventées ! à rêver comme mélodrame de quelques baisers contre ses joues.
Saint Saens :: à la refaire naître.
quand comme un cygne, d'une blancheur aux puretés qui lui en collaient à l'épiderme, elle en était iconique ! connue, là, pour sa bonté infernale ! quand entre banquets et soirées organisées, elle en était toujours au planning ! de son petit corps trop frêle ,, à rayonner. comme pour en cacher, que les étages n'en étaient pas si élevés par rapport à d'autres.
qu'importe ,,
quand chaque jour :
en étaient requiem fleuris.
CHAPTER 05. starlight parade
tw. harcèlement
— et sur son dos, instrument à se balader ! elle sourit à tout le monde, en vient en aide à tous ceux dans le besoin. bonne poire, Ash ! car de quelques travaux, joueuse incroyable : dans ce conservatoire, sa place n'en est que futile. mais elle aime si sentir entourée ! de quelques visages familiers. douceur d'un temps, à côté des concerts réalisés.
à être :
pantin de certains.
car elle en était trop gentille ,, pour en laisser de marbres ceux aux alentours. entre déclarations factices, pour en voir ses réactions, demandes toujours plus saugrenues, comme pour la tester. il y avait parfois les sarcasmes et les petites bousculades ! celles que l'on accuse de pacifique : quand les jeux n'en étaient pas sains. là, entre les couloirs, entre les salles de répétitions. à lui voler son archet, détraquer son métronome ,, quelques mots sur les partitions : ô jamais vraiment mélodieux. et pourtant, Ash, soleil à briller : elle en avait capturé tous ses rayons sans y faire attention !
and they will just get over it one day.
alors à supporter : à en avoir l'habitude. petite poupée à se jouer du monde, à sembler naïve et beaucoup trop bête ,, à pourtant savoir, au fond, que le monde n'en aimait tout simplement pas ceux qui en essayaient d'être heureux.
CHAPTER 06. mad world
tw. pression psychologique
— famille renommée ,, quand papa en était directeur d'une école de musique très fermée, que maman en était professeure au conservatoire. à devoir être princesse parfaite : quand les doigts à s'en abîmer, elle devait jouer, encore et encore, jusqu'à ce que les harmonies en soient divines, jusqu'à ce que le public en pleure. et d'un petit nom, dans le spectacle, famille invitée à de nombreuses cérémonies et divers évènements, à emmener derrière eux, petite muse à briller : elle était celle à rassembler ! Ash. de ses sourires, de ses délicatesses, à s'être faite un nom !
bousculée :
par de nombreux ,,
regards.
quand de quelques mécènes parfois trop vicieux, à se produire ((trop)) souvent, pour son fin corps : elle s'en épuisait souvent ! car les menaces pleuvaient, à ne pas savoir ce qui en adviendrait de sa passion si de ses parents contrariés, elle n'en atteignait pas les Paradis virtuoses. et du haut de leur 82ème étage ,, ô à ne pas en atteindre les sommets ,, il n'y en avait pourtant que désirs à briller, chez ses parents. loin, de celle qui n'en aimait que sa liberté de jouer de son instrument.
4 notes · View notes
jc-en-chemin3 · 1 year
Text
Le Jeudi 5 mai de Cahors à quelque part sur le chemin après Lascabane 26 km.
Après un au revoir à Bruno au petit déjeuner montée très dure avec un escalier très irrégulier pour quitter Cahors. J'ai marché en compagnie de Dominico ancien carabinieri Italien qui démarrait son chemin. Les montées commencent à être moins raides sur le chemin.
Après Lascabane je retrouve Nicole et Stéphane Fleury venus me rejoindre pour un accueil 5 étoiles à Molière.
Un grand plaisir de retrouver le clan Fleury et de refaire le monde en leur compagnie.
Nicole n'a pas eu besoin de beaucoup insister pour que cette soirée soit prolongée d'une journée de repos auprès d'eux.
Donc aujourd'hui vacances avec les poules et les chevaux de l'écurie. Que du bonheur.
Ultreia
2 notes · View notes
omagazineparis · 5 days
Text
JustFab : réinventez votre dressing
Tumblr media
Envie d'un dressing qui vous ressemble, sans vous ruiner et sans passer des heures à écumer les boutiques ? JustFab est là pour vous ! Cette plateforme en ligne révolutionne le shopping avec son concept unique d'abonnement personnalisé. Prête à découvrir tous les secrets de ce dressing nouvelle génération ? C'est parti ! Comment fonctionne JustFab ? Imaginez avoir votre propre styliste personnel, disponible 24h/24 et 7j/7. C'est la promesse de JustFab ! Après avoir créé votre profil en répondant à quelques questions sur vos goûts, votre morphologie et votre style de vie, vous recevez chaque mois une sélection personnalisée de 5 articles, appelée "Showroom". Vous avez ensuite 5 jours pour faire votre choix : craquer pour une paire de bottines en cuir, adopter une robe bohème ou succomber à un sac à main coloré... C'est vous qui décidez ! Le gros avantage ? Vous bénéficiez de prix réduits exclusifs sur tous les articles de votre Showroom : jusqu'à -50% par rapport aux prix boutique ! Et si vous êtes une vraie fashionista, vous pouvez même acheter l'intégralité de votre sélection pour seulement 39,95€, une véritable aubaine ! De plus, vous pouvez shopper à tout moment d'autres articles sur le site, toujours à prix mini. Avis sur JustFab : les points forts Les JustFab addicts sont unanimes : le choix est immense et la qualité au rendez-vous ! La plateforme propose plus de 500 nouveaux modèles chaque mois, allant des chaussures aux sacs à main, en passant par les bijoux et les accessoires. Que vous soyez plutôt classique, bohème, rock'n'roll ou glamour, vous trouverez forcément votre bonheur. Les matières sont soigneusement sélectionnées, comme le cuir véritable pour les chaussures et les sacs, ou la soie pour les foulards. Les finitions sont impeccables et les modèles suivent les dernières tendances repérées sur les podiums et dans les magazines. Côté prix, JustFab se positionne comme une marque accessible, avec des chaussures entre 30€ et 50€ et des sacs entre 20€ et 40€. Un rapport qualité-prix imbattable qui vous permet de vous faire plaisir sans culpabiliser ! A lire aussi : Quels sont les différents types de chaussures femme ? Site de chaussures pas cher : JustFab se démarque Oubliez les sites de chaussures impersonnels et sans âme ! JustFab se démarque par son approche personnalisée et son sens de la communauté. En devenant membre VIP, vous accédez à des avantages exclusifs : réductions supplémentaires, ventes privées, cadeaux d'anniversaire... De quoi vous sentir vraiment privilégiée ! De plus, JustFab met l'accent sur l'inspiration et le partage. Vous trouverez sur le site et l'application de nombreuses idées de looks, des conseils mode personnalisés en fonction de votre profil et des témoignages de clientes. Une véritable communauté de passionnées de mode qui échangent leurs bons plans et leurs coups de cœur. Chaussures pour femme pas cher : une sélection variée JustFab pense à toutes les femmes et à toutes les occasions ! Que vous cherchiez des escarpins élégants pour une soirée chic, des mules confortables pour le quotidien, des bottines tendance pour l'hiver, des sandales colorées pour l'été ou même des baskets pour vos séances de sport, vous trouverez forcément votre bonheur parmi les centaines de modèles proposés. La nouvelle collection printemps-été 2024, par exemple, met à l'honneur les couleurs pastel, les imprimés fleuris, les matières naturelles et les détails tendance comme les brides à nouer ou les talons sculpturaux. De quoi composer des looks frais et légers pour la saison estivale ! Vente en ligne de chaussures mode : l'expérience JustFab JustFab a pensé à tout pour vous faciliter la vie ! Le site internet et l'application mobile sont ergonomiques et agréables à utiliser. Vous pouvez naviguer facilement entre les différentes catégories, filtrer les produits selon vos critères (taille, couleur, style, occasion...) et créer des wishlists pour ne rien oublier. La livraison est rapide (3 à 5 jours ouvrés en moyenne) et les retours sont gratuits sous 30 jours. Vous pouvez donc essayer vos nouvelles chaussures tranquillement chez vous et les renvoyer sans frais si elles ne vous conviennent pas. Un vrai luxe ! JustFab femme chaussures : témoignages et avis clients "JustFab a changé ma vie de fashionista !" "Je suis accro à leur concept d'abonnement personnalisé !" "Les chaussures sont magnifiques et de très bonne qualité !" Les témoignages enthousiastes ne manquent pas sur les réseaux sociaux et les forums. Les clientes JustFab sont conquises par la qualité des produits, les prix attractifs, le service client irréprochable et l'expérience shopping unique. Sur Trustpilot, JustFab obtient une excellente note de 4,2/5, preuve de la satisfaction des clientes. Alors, pourquoi ne pas tenter l'expérience ? Vous pourriez bien devenir, vous aussi, une JustFab addict ! Read the full article
0 notes
ohhmysims · 2 months
Text
Pack d'extension :
A louer | Vie au ranch | Grandir ensemble | Années lycée | Vie à la campagne | Escapades enneigées | Ecologie | A la fac | Îles paradisiaques | Heure de gloire | Saisons | Chiens et chats | Vie citadine | Vivre ensemble | Au travail
Packs de jeu :
Loups-Garous | Mariage | Décoration d'intérieur | SW : Voyage sur Batuu | Monde magique | Strangerville | Dans la jungle | Être parents | Vampires | Au restaurant | Détente au spa | Destination nature
Kits d'objets :
Créations en cristal | Passion cuisine | Paranormal | Tricot de pro | Mini-maisons | Moschino | Premier animal de compagnie | Jour de lessive | Bambins | Fitness | Soirée bowling | Accessoires vintage | En plein air | Chambre d'enfants | Jardin romantique | Comme au cinéma | Accessoires effrayants | En cuisine | Objets ambiance patio | Soirées de luxe
Kits : (Construction)
Châteaux de caractère | Luxe moderne | Coin lecture | Havre végétal | Trésors du grenier | Objets de salle de bain | Objets du quotidien | Chambre pastel | Luxe dans le désert | Petits campeurs | Déco maximaliste | Intérieurs fleuris | Loft industriel | Riad de rêve | Cuisine rustique | Nettoyage de printemps
Kits : (CUS)
Style gothique | A la piscine | Retour de grunge | Collection simtimité | Premiers looks | Tenues de soirées | Tenues de carnaval | Nouveaux styles masculins | Incheon style | Rue de la mode | Look rétro
1 note · View note
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
MERCREDI 20 MARS 2024 (Billet 1 / 2)
Hier, Pierre Guettre et sa petite équipe de jardiniers sont venus « ouvrir » notre terrasse. Vous savez que nous n’avons pas d’enfants, ni de petits-enfants… notre BB à nous, c’est ELLE, sise au sixième et dernier étage de notre immeuble.
L’hiver, comme les ours d’antan (il parait qu’à cause du réchauffement climatique, ça n’est plus le cas), elle hiberne. Mais un peu avant le printemps, nous lui faisons se refaire une beauté. Il y a des années, c’était nous qui nous en chargions mais à un moment cela nous est devenu de plus en plus difficile.
Un peu par hasard, suite à une maladie dont était atteinte une de nos plantes, nous avons fait intervenir un jardinier trouvé sur Internet. Il s’appelait Pierre. Il a sûrement été de très bon conseil et efficace car lorsqu’il nous a dit que nous pouvions utiliser ses services au titre de l’« AAD » et bénéficier d’une aide de l’Etat, nous avons très vite décidé de lui confier « l’ouverture » et la « fermeture » de notre terrasse. Cela fait quelques années qu’il s’en occupe, elle ne s’est jamais aussi bien portée, nous lui en sommes très reconnaissants… et nos vertèbres du dos aussi !
Vous trouverez ci-dessus des photos des « travaux ». Ils s’y sont mis à quatre, toute la journée, et nous pouvons vous dire qu’ils n’ont pas chômé (surfaçage de tous les pots, engrais, taillage des plantes, toutes les dalles passées au Karcher, remise en route et vérification de l’arrosage automatique, etc.) ! Nous leur avons même demandé de changer les trompe l’œil de la cheminée et des murets du fond. Ils étaient en bois, donc fragiles. Il aurait fallu les dévisser tous les ans pour les repeindre. Nous ne l’avons jamais fait. Du coup, ils ne tenaient que 3 ans en moyenne. Comme ce sont des articles très coûteux, et que cela aurait dû être notre 4e investissement, nous avons préféré opté pour des treillis en plastique, certes un peu moins esthétiques mais beaucoup plus pérennes.
Puis ci-dessous, des photos de la terrasse après leur passage.
Bien sûr, à part les Corettes du Japon, les Lilas des Indes n’ont pas encore fleuri (mais il y a déjà plein de petits bourgeons qui pointent le bout de leur nez, idem pour la vigne vierge), ni les lauriers, les pivoines, les spirées et les hortensias pour ne citer qu’eux.  Tout ce petit monde, comme la Belle au Bois Dormant, va se réveiller en temps et en heure… leurs Princes Charmants étant le Printemps, le soleil, la chaleur et pour les Lilas, le mois de juillet.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Et pour finir, nous étions invités hier soir à dîner chez nos voisins du dessous. Christine, la maîtresse de maison, cuisine divinement bien et ses menus sont toujours différents et originaux. Nous nous sommes régalés. Jugez plutôt : en entrée, une crème brûlée aux champignons, puis des pavés de saumon en croûte d’amandes et, au dessert, une salade d’agrumes bien fraîche, surmontée d’un granité au Mojito. Une tuerie !  Soirée gourmande et très sympathique, nous avons passé un excellent moment.
En rentrant, nous avons voulu tester nos éclairages… un prétexte pour déguster un petit digestif (Schweppes aux agrumes / Grand Marnier). Voir les photos ci-dessous.
NB Nous vous en parlons chaque année, si vous êtes à la recherche d’un jardinier et que vous souhaitiez utiliser ses services régulièrement, téléphonez-nous, nous vous donnerons avec plaisir les coordonnées de Pierre. Ceci est bien entendu une publicité totalement désintéressée…
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nous n'avons pas choisi le même paparazzi que Kate ex-Middleton et la photo n'est pas truquée... Par contre, nous trinquons à votre santé !
1 note · View note
chicinsilk · 1 year
Text
Tumblr media
Jean Dessès Spring/Summer 1957. Carmen Dell'Orefice wears an evening dress, sequined bustier sheath, floral print and embroidery. Photo Gleb Derujinsky.
Jean Dessès Printemps/Été 1957. Carmen Dell'Orefice porte une robe de soirée, fourreau bustier à paillettes, imprimé fleuri et brodé. Photo Gleb Derujinsky.
11 notes · View notes
azaleassgc · 3 months
Text
Tumblr media
2018
_ IM031 Komoa Couzou ep Indigo Movement
Aujourd’hui est un commencemant, Yann Le Roux dit Yaxx Le Moal de la maison Graldlon dit le disciple des Azalea, Roi de Plougrescant, molets d’acier, briseur de chaines, tourneur de roues, père des Breizhad ; Breur Gwen Le Roux, héritié Le Blevennec des terres Armoriques, protecteur des Korrigan, créteur d’Ankou ; fils Domi Le Roux & Genev Le Blevennec dit les coupeurs de cheveux, conquérents des Enez, nous presente son premier EP. Couzou. L’ep commence sur Grin, ne cherchez pas à comprendre le nom, il n’y a rien à comprendre ; comme tout breton il peut facilement inventer des mots. Grin commence sur une intro aux ambiances venues des profondeurs – Pour ceux qui suive déjà un peu Komoa ou Yaxx, vous aurez compris qu’il est pas la pour vous faire sourir ou imager un monde fleuri – Cette ambiance, solidement annoncée par l’évolution filtrée d’un synth, vous annonce dès les premières mesures le groove énervé, en colère, qui va vous couler le long de la nuque pendant plusieurs minutes. Au lancement, ce groove d’introduction se transforme pour prendre place sur une énorme basse enveloppée par un jeu d’ambiance angoissant. Le tout tenu par un fil, grâce à la piste de hi-hat simple et intelligemment travaillée ; assez pour ne pas vous perdre. Après quelques tours, une percussion venue d’ailleurs – oui, venue d’ailleurs, clairement – vient accentuer cette sensation d’inquiétude et de combat à la fois, quelque chose de menaçant est en cours. Ankou ?
Couzou, dont on taira l’origine, évitant un ainsi ce qui pourrait être vu comme un acte de trahison pour les Le Blevennec, commence sur une ambiance plus industrielle et rythmée par une loop de perc et une de hihat amplifiant la teinte industrielle. Au drop, surprise, changement d’ambiance avec un retour aux origines de Komoa, comme un retour de l’esprit de Ankou, ce truc mystique qui qualifi les productions Komoa… C’est reparti pour plonger dans les profondeurs. On apprécie particulièrement la sombre ambiance bretonne qui règne sur ce morceau. Non ? La couche industrielle revient peu à peu et joue avec l’ambiance générale du son, accentuée par des nappes de synthé aérées qui montent petit à petit jusqu’a nous faire sortir de cette tempête.
Tooopeia, en collaboration avec Qant, un type assez tordu pour vivre à Paris et qu l’on avait rencontré sur Toulouse l’année dernière pour une soirée de l’équipe Egregore. Depuis il oeuvre pas mal avec eux et nous fait également profiter de ses talents de mastering, un homme à tout faire (et à suivre). Pour Topeia il fait remonter Komoa des profondeurs pour ajouter des notes et mélodies moins… sombres, tout en gardant cette tonalité « meditate ». La production reste dans le même environnement que les deux premières, lent et envoûtant mais avec une touche de groove en plus grâce à la qualité du beat et l’ensemble de samples le ponctuant. C’est sans hésiter une collaboration réussie pour Komoa & Qant qui, on vous le confirme, en privé, se sont bien trouvé en terme de mode de production et choix artistiques, un duo à suivre. Pour finir on vous invite à écouter le Egregore Unighted 002 – Azalea x Sympa pour découvrir « Ker » de Komoa (oui, encore un mot inventé) et Tehran Paranoïa de South Pole Squad a.k.a Komoa & Qant.
Le mot du label :
Next up, debuting on IM, straight outta Toulouse, France, we welcome @komoa .The French have been killing it recently, and people like Komoa and Qant, are the best example. Yung Komoa joins the #indigoshuttle with 2 tracks, « Grin » and « Couzou », accompanied « by « Topeia », a collaboration with another member of the IM familia, Qant. Stompin’ subheavy sounds, these should be tested in every decent soundsystem. Get to know!
Mastered by Hebbe Veerstegh Release Date: August 29th, 2018
Bandcamp
0 notes
articlewave · 3 months
Text
Dancing in Florals: Embrace the Magic of Jupe Champêtre Fashion
Tumblr media
Dans un monde où la mode sert de toile d'expression, l'allure de la jupe champêtre, ou jupes de campagne, apporte une bouffée d'air frais à nos garde-robes. Embrassant la magie des fleurs et le charme intemporel de l'esthétique rurale, la mode Jupe Champêtre incarne un sentiment de joie, de fantaisie et un lien avec les merveilles fleuries du monde naturel. Ce mouvement de style va au-delà du simple vêtement ; c'est une célébration de la féminité, de la beauté de la nature et de l'enchantement que l'on retrouve dans chaque mouvement de la jupe champêtre.
Les origines florissantes de la mode Jupe Champêtre :
La mode Jupe Champêtre s'inspire des paysages pittoresques et des scènes idylliques de la campagne. Nées d'un clin d'œil à la vie simple mais captivante des zones rurales, ces jupes reflètent l'essence de la beauté vibrante de la nature. Le mouvement capture la joie de gambader dans les prés, de danser au milieu des fleurs sauvages et de célébrer le monde naturel à travers le talent artistique de la mode.
Les fleurs florissantes et les designs fantaisistes :
Au cœur de la mode Jupe Champêtre se trouve l'enchantement des fleurs et des motifs fantaisistes. Les jupes présentent souvent des motifs complexes, allant de délicates fleurs sauvages à des fleurs audacieuses, créant un festin visuel rappelant un jardin de campagne en pleine floraison. Les créations transportent celles qui les portent dans un monde où chaque pas est une danse parmi les pétales, et la jupe devient une toile pour les couleurs vibrantes de la nature.
Des tissus qui respirent : une danse de confort et de style :
Le choix des tissus dans la mode Jupe Champêtre est une danse délicate entre confort et style. Les matières respirantes comme le coton et le lin dominent, garantissant à ceux qui les portent une sensation de légèreté et de liberté, tout comme le doux bruissement des feuilles dans le vent. L'accent mis sur le confort ne compromet pas l'élégance du style, car ces jupes allient sans effort l'aspect pratique du quotidien à la grâce de la haute couture.
Du midi au maxi : la polyvalence de la jupe champêtre :
La mode Jupe Champêtre embrasse la polyvalence, offrant une gamme de longueurs allant du midi au maxi pour s'adapter à différents goûts et occasions. Que ce soit pour virevolter dans une prairie ensoleillée ou assister à une garden-party, ces jupes s'adaptent au rythme de vie de celle qui les porte. Les silhouettes fluides dégagent une qualité éthérée, capturant l'essence du mouvement et créant une sensation de jeu dans la foulée de celui qui les porte.
Accessoiriser le charme de la campagne :
Pour véritablement embrasser la magie de la mode Jupe Champêtre, les accessoirisations jouent un rôle crucial. Les chapeaux de paille ornés de rubans, les délicats bandeaux floraux et les ceintures rustiques ajoutent une touche de charme campagnard. Associer les jupes avec des sandales ou des bottines aux tons terreux complète le look, créant un ensemble qui passe sans effort d'une soirée décontractée de jour à une soirée enchanteresse.
L'essor de la jupe champêtre dans la mode contemporaine :
La mode Jupe Champêtre s'est taillée une place dans les garde-robes contemporaines, transcendant les tendances saisonnières. Les influenceurs et les passionnés de mode ont adopté le charme fantaisiste de ces jupes, mettant en valeur leur adaptabilité et leur attrait intemporel. Des collections de défilés au style urbain, Jupe Champêtre est devenue synonyme d'une approche vestimentaire à la fois insouciante et sophistiquée, célébrant la beauté de la nature dans chaque vêtement.
Adopter la féminité et l’autonomisation :
Au-delà de l'esthétique, la mode Jupe Champêtre incarne une célébration de la féminité et de l'autonomisation. Les jupes symbolisent un lien avec les cycles de la nature, reflétant la croissance et l'épanouissement du monde naturel. En adoptant ce style, les porteurs transmettent un sentiment de confiance et un équilibre harmonieux entre force et grâce, reflétant la résilience des fleurs sauvages dans une prairie.
Conclusion:
Danser avec les fleurs : embrassez la magie de Jupe Champêtre La mode nous invite à entrer dans un monde où la mode devient une célébration des merveilles de la nature. Le mouvement capture l’essence de la joie, de la liberté et du charme intemporel de la vie à la campagne. En tournoyant dans ces jupes ornées de fleurs et de fantaisie, nous embrassons non seulement la magie de la mode, mais nous ravivons également un lien avec la beauté enchanteresse qui nous entoure. La mode Jupe Champêtre est bien plus que de simples vêtements ; c'est une danse d'expression de soi, une célébration de la féminité et une ode intemporelle aux champs fleuris de notre imagination.
0 notes
tournesolaire · 3 months
Text
Je veux revenir à la vie simple, aux soirées en terrasse, aux balades à l'arrière du vélo, aux regards complices, aux Heinekens et au vin pêche sur les bords de Seine, aux après midi dans sa chambre dans le garage, aux réveils dans les draps fleuris, aux baignades dans la rivière, aux photos a l'argentique
Je veux revenir à la joie sincère
Je veux revenir au soleil chaud sur ma peau dorée
1 note · View note
teambuilding-team-mpa · 7 months
Text
Tumblr media
Retour sur cette soirée que nous avons eu le plaisir d’animer il y a quelques jours/ remise de trophées des villes et villages fleuris. Notre prestation : sonorisation, diffusion vidéo, conception et animation d’un quiz personnalisé pour près de 500 personnes.
1 note · View note