#taille moyenne
Explore tagged Tumblr posts
les-belles-mecaniques · 2 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Mercedes-Benz W15 est une automobile produite par Mercedes-Benz de 1931 à 1936. Considérée aujourd'hui comme une voiture familiale de taille moyenne, elle a reçu la désignation de chùssis W15 et a été vendue sous le nom de Typ 170 en versions « Limousine » à quatre portes (berline/berline) et Cabriolet.
wikipedia
MB 170 Limousine 4 TĂŒren W15 1935-36
67 notes · View notes
au-jardin-de-mon-coeur · 9 months ago
Text
Tumblr media
BƓuf Bourguignon
Ce ragoĂ»t campagnard français classique est parfait pour les mois d'hiver. Copieux, mais pas lourd, il combine les mariages parfaits de lĂ©gumes d'hiver rĂ©confortants comme les carottes, les oignons et les panais avec la saveur rĂ©confortante du bƓuf, du bacon et une touche de cognac. Il se conserve Ă©galement trĂšs bien pour les restes, vous pouvez donc le prĂ©parer la veille et le rĂ©frigĂ©rer toute la nuit Ă©galement.
Ingrédients
1 cuillĂšre Ă  soupe d'huile d'olive extra vierge
8 tranches de bacon coupées épaisses
2 livres de bƓuf coupĂ© en cubes de 2 pouces
sel au goût
poivre noir au goût
1 gros oignon jaune coupé en dés
2 échalotes coupées en dés
4 gousses d' ail hachées
3/4 lb de carottes pelées et tranchées
1/4 lb de panais pelés et tranchés
1/2 tasse de cognac
1 bouteille de vin rouge sec
2 tasses de bouillon de boeuf
1 cuillÚre à soupe plus 1 cuillÚre à café de concentré de tomate
3/4 cuillÚre à café de feuilles de thym séchées
4 cuillÚres à soupe de beurre non salé fondu
3 cuillĂšres Ă  soupe de farine
1 lb d'oignons perlés surgelés
1 lb de champignons de Paris bruns coupés en tranches épaisses
1 cuillÚre à soupe de thym frais coupé en dés
Tumblr media
Instructions
Préchauffez le four à 250 degrés. Faites chauffer l'huile dans une grande cocotte ou une marmite allant au four jusqu'à 250 degrés à feu moyen. Ajoutez le bacon et faites-le cuire jusqu'à ce qu'il soit croustillant des deux cÎtés. Retirez le bacon et réservez-le.
SĂ©chez les cubes de bƓuf avec du papier absorbant et saupoudrez-les de sel et de poivre. Faites-les cuire par lots jusqu'Ă  ce qu'ils soient dorĂ©s de chaque cĂŽtĂ©, en veillant Ă  ce qu'ils forment une couche uniforme au fond de la casserole, environ 5 minutes. Retirez-les et rĂ©servez-les.
Ajoutez les oignons, les Ă©chalotes et l'ail dans la poĂȘle et faites revenir jusqu'Ă  ce qu'ils soient translucides, environ 10 minutes, en remuant toutes les quelques minutes. Ajoutez les carottes et les panais et laissez cuire encore 5 minutes. Ajoutez le cognac et reculez, utilisez une allumette pour l'allumer afin de brĂ»ler l'alcool. Lorsque le feu s'Ă©teint, coupez le bacon croustillant en petits morceaux et remettez-le ainsi que le bƓuf dans la casserole.
Ajoutez le vin et suffisamment de bouillon de bƓuf pour couvrir toute la viande et les lĂ©gumes. Ajoutez la pĂąte de tomate et le thym et portez le mĂ©lange Ă  Ă©bullition.
Couvrir, retirer du feu et mettre au four pour poursuivre la cuisson pendant 1 heure 15 minutes Ă  1 heure 30 minutes, ou jusqu'Ă  ce que le bƓuf soit tendre et les lĂ©gumes bien cuits. Retirer du four et remettre sur le feu Ă  feu moyen-doux.
Fouetter ensemble 2 cuillÚres à soupe de beurre fondu et la farine jusqu'à obtenir une pùte épaisse. Incorporer cette pùte au ragoût jusqu'à ce qu'elle se désintÚgre, puis ajouter les oignons grelots surgelés.
Dans une casserole de taille moyenne, faites revenir les champignons dans les 2 cuillÚres à soupe de beurre restantes à feu moyen-élevé jusqu'à ce qu'ils noircissent et deviennent légÚrement ridés, environ 6 à 10 minutes. Ajoutez les champignons au ragoût et baissez le feu pour laisser mijoter.
Laissez cuire encore 20 minutes avant de retirer du feu. Salez et poivrez à votre goût, décorez de thym frais et servez immédiatement.
Bon AppĂ©tit Ă  toutes et tous ! 😋
SpĂ©ciale dĂ©dicace pour mon amie @olgaromana avec cette recette bien française ! 😉
81 notes · View notes
coovieilledentelle · 4 months ago
Text
Tumblr media
A table ...
Gateau aux pistaches et ananas frais
Tumblr media
Voici la recette pour un gĂąteau aux pistaches et Ă  l’ananas de taille moyenne, mesurĂ©e en grammes pour plus de prĂ©cision. Cette recette donne environ 8 Ă  10 parts.
Ingrédients
Pour la Base du GĂąteau
200 g de farine tout usage
150 g de sucre en poudre
100 g de beurre fondu
3 Ɠufs
1 cuillÚre à café de levure chimique
1 pincée de sel
1 cuillĂšre Ă  cafĂ© d’extrait de vanille
Pour les Pistaches
100 g de pistaches décortiquées, non salées
50 g de poudre d’amandes (optionnel pour renforcer le goĂ»t de noix)
Pour l’Ananas
200 g d’ananas frais ou en boĂźte, coupĂ© en petits morceaux (si en boĂźte, bien Ă©gouttĂ©)
1 cuillĂšre Ă  soupe de jus de citron
50 g de sucre brun ou cassonade (pour une caramélisation légÚre)
Pour la Garniture (Optionnel)
Quelques pistaches concassées pour la décoration
Sucre glace pour saupoudrer
Instructions
PrĂ©paration des IngrĂ©dients PrĂ©chauffez votre four à 180°C. Beurrez et farinez un moule Ă  gĂąteau d’environ 22 cm de diamĂštre. Si vous utilisez de l’ananas frais, Ă©pluchez-le et coupez-le en petits morceaux. Si vous utilisez de l’ananas en boĂźte, assurez-vous de bien le laisser Ă©goutter.
CaramĂ©lisation de l’Ananas (Optionnel) Dans une poĂȘle, faites chauffer le sucre brun ou cassonade avec le jus de citron Ă  feu moyen. Ajoutez les morceaux d’ananas et laissez-les caramĂ©liser lĂ©gĂšrement pendant 5 Ă  7 minutes, en les retournant de temps en temps pour qu’ils soient bien enrobĂ©s. Cela va accentuer leur saveur et apporter une note caramĂ©lisĂ©e au gĂąteau. Retirez du feu et laissez refroidir.
PrĂ©paration des Pistaches Placez les pistaches dans un mixeur et broyez-les grossiĂšrement. Vous pouvez conserver quelques morceaux plus gros pour ajouter du croquant, et mĂ©langer une partie avec la poudre d’amandes pour une texture plus fine.
PrĂ©paration de la PĂąte Ă  GĂąteau Dans un grand bol, fouettez les Ɠufs et le sucre jusqu’à ce que le mĂ©lange devienne pĂąle et lĂ©gĂšrement mousseux. Ajoutez le beurre fondu et l’extrait de vanille, puis mĂ©langez bien pour obtenir une pĂąte homogĂšne.
Ajout des IngrĂ©dients Secs Tamisez la farine, la levure chimique et le sel, puis incorporez-les dĂ©licatement au mĂ©lange d’Ɠufs et de sucre. Ajoutez ensuite les pistaches broyĂ©es et la poudre d’amandes, si vous en utilisez. MĂ©langez jusqu’à ce que la pĂąte soit bien homogĂšne.
Incorporation de l’Ananas Ajoutez les morceaux d’ananas caramĂ©lisĂ©s et mĂ©langez dĂ©licatement pour les rĂ©partir uniformĂ©ment dans la pĂąte. Veillez Ă  ne pas trop mĂ©langer pour prĂ©server la texture des morceaux d’ananas.
Cuisson du GĂąteau Versez la pĂąte dans le moule prĂ©parĂ© et lissez le dessus avec une spatule. Enfournez le gĂąteau pendant environ 35 Ă  40 minutes, ou jusqu’à ce qu’un cure-dent insĂ©rĂ© au centre en ressorte propre. La surface doit ĂȘtre lĂ©gĂšrement dorĂ©e et ferme au toucher.
Refroidissement et DĂ©moulage Laissez le gĂąteau refroidir dans le moule pendant 10 minutes, puis dĂ©moulez-le sur une grille pour qu’il refroidisse complĂštement avant de le dĂ©corer.
Garniture et Service Une fois le gùteau refroidi, saupoudrez-le de sucre glace et ajoutez quelques pistaches concassées pour la décoration. Servez-le en tranches, nature ou avec une cuillerée de crÚme fouettée pour encore plus de gourmandise.
27 notes · View notes
chic-a-gigot · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Le Petit écho de la mode, no. 16, vol. 17, 21 avril 1895, Paris. 19. Patron d'une blouse Cassive. Col Marie Stuart. Ville de Paris / BibliothÚque Forney
(19.) Patron d'une blouse Cassive. — Taille moyenne, offert gratuitement Ă  toutes nos lectrices. Cette joue blouse est en soie glacĂ©e bleu bleuet et vert fondu; la doublure, entiĂšrement ajustĂ©e et baleinĂ©e, est recouverte devant par la blouse formant un pli polichinelle retournĂ© au bas et retenu par des fronces sur la doublure ajustĂ©e, la doublure du dos ajustĂ©e est recouverte par couture au milieu et ne formant pas la blouse; le col droit est recouvert d’un col drape en biais, la manche ordinaire est recouverte d’un gros ballon, Ă  l'intĂ©rieur duquel est pose un plus petit ballon en crin vĂ©ritable, qui soutient la manche.
(19.) Cassive blouse pattern. — Medium size, offered free to all our readers. This pretty blouse is in cornflower blue and molten green ice silk; the lining, entirely fitted and boned, is covered in front by the blouse forming a turned-up pleat at the bottom and retained by gathers on the fitted lining, the fitted back lining is covered by sewing in the middle and not forming the blouse; the straight collar is covered with a draped slanted collar, the ordinary sleeve is covered with a large balloon, inside which is placed a smaller balloon in real horsehair, which supports the sleeve.
Matériaux: 6 mÚtres de soie glacée.
Explication du tracĂ©. — Notre patron se compose de 9 piĂšces: 1. Devant blouse; 2. devant ajustĂ©; 3. dessous de bras; 4. cĂŽtĂ©; 5. dos ajustĂ©; 6. dos tendu; 7. manche ajustĂ©e avec dessous tracĂ© par un pointillĂ©; 8. ballon; 9. col droit.
Explanation of the pattern. — Our pattern consists of 9 pieces: 1. Blouse front; 2. fitted front; 3. underarm; 4. side; 5. fitted back; 6. tense back; 7. fitted sleeve with dotted underside; 8. balloon; 9. straight collar.
84 notes · View notes
aurevoirmonty · 1 month ago
Text
Tumblr media
« L’Europe noire » : l’effarement d’une Italienne en visite Ă  Paris.
Ce texte est la traduction d’un article Ă©crit par Gloria Callarelli, paru sur le site Fahrenheit2022.it. Gloria est directrice de la rĂ©daction de ce site et cadre du mouvement nationaliste italien Forza Nuova. Elle a sĂ©journĂ© Ă  Paris les 10 et 11 mai 2025 pour participer au Forum de la Paix organisĂ© par Les Nationalistes et au C9M. Elle dĂ©crit ici ses impressions dans le Paris grand-remplacĂ©.
Imaginez que vous preniez le mĂ©tro Ă  Paris, que vous descendiez Ă  un arrĂȘt et que, lorsque vous montez l’escalator jusqu’à la surface, vous ne voyiez personne (et je dis bien personne) qui soit autochtone. DerriĂšre, devant : personne. Vous regardez autour de vous et vous vous demandez si vous ĂȘtes vraiment toujours dans une ville europĂ©enne ou si vous avez pris le mauvais train et vous ĂȘtes retrouvĂ© dans une rĂ©gion de Somalie, du Mali ou du Congo. Le regard de quelqu’un qui vous identifie comme un Ă©tranger sur son propre territoire est un regard que l’on n’oublie jamais ; une poignĂ©e de femmes, en particulier, scrutent nerveusement « l’envahisseur » : elles discutent entre elles et finissent par vous crier, d’un ton menaçant et dans un anglais hĂ©sitant, de ranger votre smartphone car elles ont peur d’ĂȘtre filmĂ©es : « Pas de photo, pas de photo ». Tout autour, des hommes de taille moyenne et mĂȘme grande debout sur les trottoirs en train de discuter, des magasins pleins, des gens qui vont et viennent. Et personne, et je dis bien personne, sauf vous, n’est d’origine europĂ©enne. VoilĂ  le paysage bouleversant de Paris en 2025, notamment le territoire situĂ© au nord, Ă  deux pas de Montmartre et de la basilique du SacrĂ©-CƓur. Zones trĂšs touristiques.
Vous regardez autour de vous dans les magasins, vous cherchez en vain un sentiment d’appartenance et vous essayez de comprendre comment il est encore possible de dire que le plan Kalergi n’existe pas, que ce que vit l’Europe n’est pas une vĂ©ritable invasion, une substitution Ă  part entiĂšre. Et soyez prudents car tout Paris est, pour le meilleur et pour le pire, comme cela. Commerces, services : c’est partout la mĂȘme tendance, mĂȘme si elle est peut-ĂȘtre moins marquĂ©e dans le centre-ville clinquant. Plus de 48 % des immigrĂ©s prĂ©sents aujourd’hui en France viennent d’Afrique, dont la moitiĂ© d’Afrique subsaharienne. Une augmentation qui s’est produite ces derniĂšres annĂ©es, notamment dans les annĂ©es 2000.
Certains Français tentent de m’expliquer l’origine du phĂ©nomĂšne. L’un d’eux, un chercheur, A., nous dit : « Tout d’abord, Ă  l’origine de tout cela, il y a l’idĂ©ologie rĂ©volutionnaire de 1789, qui prĂ©suppose l’égalitĂ© de tous les hommes. AprĂšs des annĂ©es de propagande en ce sens, on refuse d’envisager qu’il puisse y avoir des diffĂ©rences entre Africains et EuropĂ©ens. »
Comme si l’idĂ©ologie jacobine ne suffisait pas, ajoutons-y l’argent ignoble et les intĂ©rĂȘts politiques de certains groupes de pouvoir : « nos racines sont attaquĂ©es pour des raisons bassement Ă©conomiques : les employeurs, par exemple, sont contents d’embaucher des travailleurs Ă  bas coĂ»t, mĂȘme s’ils effectuent un travail moins qualifiĂ©. De plus, poursuit-il, certains groupes, notamment d’origine sioniste, promeuvent activement le mĂ©tissage et l’immigration depuis des dĂ©cennies. Les groupes les plus influents sont la LICRA (une organisation « antiraciste ») et le CRIF (reprĂ©sentants officiels des juifs français). Ils s’opposent activement aux patriotes et nationalistes français qui tentent de dĂ©noncer la situation : la LICRA, en particulier, a militĂ© pour l’adoption de toutes les lois antiracistes depuis les annĂ©es 1970 ; des lois qui empĂȘchent les Français de formuler des diagnostics sur l’immigration, de peur d’ĂȘtre poursuivis. » Beaucoup ont Ă©tĂ© condamnĂ©s Ă  des amendes ou Ă  de la prison, d’autres sont confrontĂ©s Ă  des poursuites judiciaires pour cela : il suffit de penser à Yvan Benedetti, prĂ©sident du mouvement nationaliste « Les Nationalistes ».
« Le CRIF », explique l’universitaire, « a rĂ©cemment Ă©tĂ© promu partenaire officiel d’une institution gouvernementale chargĂ©e de rĂ©primer les “discours de haine”, tandis que la LICRA a le droit d’intervenir dans les Ă©coles pour rééduquer les enfants Ă  l’antiracisme. Elle le fait Ă©galement pour la police, le football et les entreprises. Les deux associations sont, bien entendu, subventionnĂ©es par l’État. »
De plus, en France, il n’y a pas de crucifix dans les Ă©coles, sauf si elles sont chrĂ©tiennes, et il est interdit aux Ă©lĂšves d’afficher des symboles religieux. Jusqu’à il y a quelques annĂ©es, la rĂšgle du « double jus soli » était en vigueur : c’est-Ă -dire qu’un enfant nĂ© sur le territoire de l’État acquĂ©rait automatiquement la nationalitĂ© française si l’un des deux parents Ă©tait nĂ© en France, mĂȘme s’ils n’avaient pas la nationalitĂ© française. Aujourd’hui ce n’est plus le cas : il faut encore attendre d’avoir 16/18 ans. Un retour en arriĂšre qui en dit long sur la catastrophe sociale qui frappe la France depuis ces annĂ©es d’acceptation de l’immigration, avec des emplois et des Ă©coles occupĂ©s en grande partie par des non-autochtones.
A. nous confie Ă  la fin de son discours, avec une pointe d’amertume : « Je ne comprends pas pourquoi, alors que les Français perçoivent ce phĂ©nomĂšne au quotidien, la plupart d’entre eux ne rĂ©agissent pas, voire mĂȘme agissent en sa faveur. Pour moi, cela reste un mystĂšre. »
En Italie, malheureusement, le gouvernement continue Ă  pousser dans la mĂȘme direction en parlant de Jus soli, Jus Scholae, etc. Les mots de propagande jetĂ©s au vent par les partis politiques qui siĂšgent dans les institutions sont remplacĂ©s en rĂ©alitĂ© par des bateaux de personnes dĂ©sespĂ©rĂ©es qui s’installent sans but dans les villes et par des propositions politiques destructrices. Autrefois, les manifestations des soi-disant « extrĂ©mistes » arrĂȘtaient le droit du sol : sinon nous serions aujourd’hui comme en France. À ce jour, nos villes sont Ă  peine sur le point de connaĂźtre ce phĂ©nomĂšne, et de grandes agglomĂ©rations comme Milan et d’autres sont dĂ©jĂ  en train de s’effondrer. Et nous avons un tiers des effectifs français. En plus des Africains, une bonne partie des immigrĂ©s en Italie viennent d’Asie et dans les villes ces groupes prennent le contrĂŽle de certains commerces : stations-service, marchĂ©s surtout, mais aussi magasins ethniques qui envahissent les banlieues et, de plus en plus, certaines zones urbaines plus centrales. La criminalitĂ© est en augmentation et est clairement d’origine Ă©trangĂšre, les donnĂ©es parlent de 31% de la population carcĂ©rale totale. Les Ă©coles sont bloquĂ©es par une Ă©ducation lente et affaiblie, certains immigrants de la seconde gĂ©nĂ©ration participent au trafic de drogue, font preuve de violence et d’arrogance ce qui empĂȘche la croissance saine de nos enfants et rend nos villes de plus en plus dangereuses, gangrĂ©nĂ©es par la drogue et le crime.
Ce sont des donnĂ©es concrĂštes, pas des thĂ©ories. Ce sont les rĂ©sultats que chacun de nous a sous les yeux chaque jour. Et dans ce scĂ©nario, le gouvernement italien veut ralentir le retour des Italiens Ă  l’étranger tout en accĂ©lĂ©rant l’obtention de nationalitĂ©s faciles. Une folie aveugle. À ce stade, on pourrait penser, voire mĂȘme dĂ©libĂ©rer. Une vĂ©ritable intĂ©gration n’est pas possible : les Ăąmes des diffĂ©rents pays sont trop diffĂ©rentes pour y penser. La folie de l’immigration Ă  tout prix rĂ©pond Ă  un plan bien prĂ©cis qui veut affaiblir les diffĂ©rents pays, effacer les traditions des peuples, Ă©liminer la religion chrĂ©tienne et apporter le chaos pour imposer le contrĂŽle des lobbies.
Ils nous ont (presque) remplacĂ©s : prendre conscience du phĂ©nomĂšne, connaĂźtre l’histoire et ne pas avoir peur d’aimer sa propre nation et de dĂ©fendre ses propres particularitĂ©s et beautĂ©s signifie sauver les nouvelles gĂ©nĂ©rations du communisme social et anti-raciste et de la mort certaine de notre histoire et de nos identitĂ©s. Prendre conscience de tout cela et s’y opposer politiquement pour ne pas succomber est, aujourd’hui, un acte courageux et rĂ©volutionnaire. Aujourd’hui, c’est un nouveau LĂ©pante.
10 notes · View notes
chicinsilk · 4 months ago
Text
Tumblr media
US Vogue February 1, 1961
White alligator shoe, buckled on the tongue. The heel, in grooved brown leather, medium size. By Evins, of Fleming-Joffe alligator.
Chaussure en alligator blanc, bouclée sur la languette. Le talon, en cuir marron rainuré, de taille moyenne. Par Evins, de l'alligator Fleming-Joffe.
Photo Gordon Parks vogue archive
7 notes · View notes
selidren · 4 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Note : Au cas oĂč, je prĂ©cise qu'Ange est un personnage canoniquement bisexuel, mĂȘme si il prĂ©fĂšre les hommes. Ce retournement vient du jeu, mais il est cohĂ©rent avec le personnage.
Printemps 1937 - Champs-les-Sims
4/6
Ce que je n'ai appris que rĂ©cemment, c'est qu'Ange se posait Ă©galement des questions. Il a arrĂȘtĂ© de se rendre Ă  ses soirĂ©es. Non pas par "excĂšs de moralitĂ©" comme le dit ClĂ©o, mais, selon ses propres mots, parce qu'il avait fini par rĂ©aliser qu'il me voulait bien davantage que quiconque. Quand il me l'a avouĂ©, ça a Ă©tĂ© un choc. Je ne m'en doutait absolument pas, et rĂ©ciproquement. J'ai bien appris de Grand-MĂšre et de mes mĂ©saventures, je cloisonne mes Ă©motions Ă  l'extrĂȘme. Ange, de son cĂŽtĂ©, a appris Ă  cacher ses Ă©motions pour des raisons Ă©videntes. Mais tout ça, tu le sais dĂ©jĂ  non ? Au moins, nous n'avons pas fini comme deux idiots de romans Ă  l'eau de rose qui souffrent de s'aimer sans trouver les moyens de se l'avouer.
Transcription :
Ange « Ah
 ah...ah, ah, ah ! »
ArsinoĂ© « Quoi ? J’ai dit quelque chose de drĂŽle ? »
Ange « Pardonne moi ma chĂšre
 C’est juste que
 C’est cocasse car, ce que je voulais te dire c’est que
 je suis tombĂ© amoureux de toi, NoĂ©. »
Arsinoé « Oh... »
Ange « Je me demande quel jugement on peut bien porter sur un homme qui tombe amoureux de son Ă©pouse. Je ne te demande rien, bien Ă©videmment, mais je n’avais plus envie de te mentir. »
Arsinoé « Et bien, à ce propos... »
Ange « Tu as rencontrĂ© quelqu’un c’est ça ? AprĂšs toutes ces annĂ©es
 enfin, je comprends. »
ArsinoĂ© « Je ne sais pas si on peut dire que je l’ai rencontré  Mais il est vrai que depuis quelques annĂ©es, je commence Ă  porter un nouveau regard sur quelqu’un. »
Ange « Oh, je
 je le connais ? »
ArsinoĂ© « Je pense. C’est un bel homme de taille moyenne, avec une prestance que l’on pourrait qualifier d’aristocratique, et qui est, selon ses filles, le meilleur papa du monde. »
Ange « Tudieu ! Je vois maintenant de qui Anna tient sa cruauté ! Tu as voulu me faire mourir de jalousie ? »
Arsinoé « Oui, un peu. Pardon... »
Ange « Ce n’est rien. »
ArsinoĂ© « Quel couple d’idiots nous faisons. A nous tourner autour sans rien nous dire pendant si longtemps
 Je ne pensais pas que tu voudrais de moi. »
Ange « Et moi de mĂȘme. Et dire que je reproche Ă  Anna de ne pas assez exprimer ses Ă©motions... »
ArsinoĂ© « Les adultes pensent ĂȘtre des modĂšles, mais la rĂ©alitĂ©, c’est que nous faisons simplement semblant devant les enfants. Tu en avais parlĂ© Ă  quelqu’un ? »
Ange « Oui, à Antoine. Il a juré de garder le secret. Et toi ? »
ArsinoĂ© « A Lola, la sƓur de Lucien. La pauvre vivait aussi un amour impossible Ă  cette Ă©poque. »
Ange « Amour impossible
 Quelle ironie pour un couple mariĂ©. »
7 notes · View notes
hippography · 1 year ago
Photo
Tumblr media
LE CHEVAL DE TRAIT BELGE est essentiellement un Cheval de gros trait, lent, apte Ă  la traction des plus lourdes charges. Son rendement journalier en travail atteint, en moyenne, 2 millions de kilogrammĂštres. 1. Favori de Neusart, Champion des Étalons, LiĂ©ge 1930; Ă  M. de Donder. 2. Éeu-d’Or de Nortinroux, Étalon de 4 ans, grande taille, 1er prix 1930. 
Vie Ă  la Campagne, Vol. 65, 15 Octobre 1930
20 notes · View notes
transparentgentlemenmarker · 16 days ago
Text
Les familles royales et trĂšs riches misent souvent sur la Suisse lorsqu'il s'agit de l'Ă©ducation de leurs enfants. C'est ici que se trouvent les six Ă©coles les plus chĂšres du monde, dont quatre dans le canton de Vaud. Pourtant, elles restent peu connues de la population. Dix de nos Ă©coles se sont hissĂ©es dans le top 100 du «Spear's School Index» de 2025, un classement annuel d'un magazine britannique qui recense les «meilleures» Ă©coles privĂ©es internationales. «Elles sont connues pour leur discipline acadĂ©mique, leur diversitĂ© culturelle et sont devenues synonymes d'excellence», peut-on y lire. Si l'on dĂ©taille le classement mondial en fonction des frais de scolaritĂ©, on est encore plus Ă©tonnĂ©: la Suisse abrite les six Ă©coles les plus chĂšres du monde. Pourtant, elles restent peu connues par la population. Il faut dire que peu de citoyens ont le luxe de se les offrir. Les internats suisses, sanctuaires des ultra-riches. Lorsqu'une famille en Suisse envoie ses enfants Ă  l'Ă©cole, cela ne coĂ»te en gĂ©nĂ©ral pas une fortune. Et ceux qui souhaitent faire des Ă©tudes supĂ©rieures paient en moyenne entre 500 et 1200 francs suisses par semestre. En revanche, Ă©tudier Ă  la cĂ©lĂšbre universitĂ© amĂ©ricaine de Harvard coĂ»te environ 80'000 dollars par annĂ©e. Et encore, celĂ  reste nettement moins cher que dans les Ă©tablissements figurant dans le «Spear's School Index» de 2025. En Suisse, ces Ă©tablissement de luxe sont toutes des «boarding schools», des internats privĂ©s oĂč les Ă©lĂšves sont non seulement scolarisĂ©s, mais aussi hĂ©bergĂ©s et encadrĂ©s. Des internats non pas pour des enfants Ă  problĂšmes, mais pour les plus riches parmi les riches. PalmarĂšs.
6
Tumblr media
Lyceum Alpinum Zuoz, 122'400 dollars par annĂ©e. Dans la Haute-Engadine, avec une vue splendide sur les Alpes, il semble particuliĂšrement agrĂ©able d’étudier. L’école privĂ©e de Zuoz, dans les Grisons, propose Ă  ses Ă©lĂšves une formation selon le programme suisse de la MaturitĂ© fĂ©dĂ©rale ainsi que le BaccalaurĂ©at international, reconnu dans le monde entier. Cet Ă©tablissement privĂ©, fondĂ© il y a plus de 125 ans, dispense ses cours en allemand et en anglais. La formation se veut globale, visant non seulement le dĂ©veloppement acadĂ©mique, mais aussi personnel, social et Ă©motionnel des Ă©lĂšves. «GrĂące Ă  des classes de taille moyenne de 18 Ă©lĂšves seulement et Ă  un excellent rapport Ă©lĂšves-enseignants, les Ă©lĂšves bĂ©nĂ©ficient d’un suivi individualisĂ©. L’esprit de Zuoz dĂ©finit la philosophie de l’école, oĂč la tradition rencontre la pensĂ©e progressiste. Dix week-ends par an, des sorties scolaires sont organisĂ©s, oĂč les Ă©lĂšves participent Ă  des activitĂ©s comme le rafting, des randonnĂ©es en montagne, des sorties en luge ou des excursions dans des musĂ©es ou au théùtre.
5
Tumblr media
La Garenne International School, 133'300 dollars par annĂ©e. SituĂ©e Ă  1300 mĂštres d'altitude dans la station vaudoise de Villars-sur-Ollon, La Garenne compte parmi les internats les plus exclusifs d’Europe. Cette Ă©cole Ă  gestion familiale accueille environ 200 enfants provenant de plus de 35 nationalitĂ©s et propose des programmes tels que le BaccalaurĂ©at International ainsi qu’un enseignement bilingue en anglais et en français. Les frais de scolaritĂ© incluent l’hĂ©bergement, les repas, les cours, les journĂ©es de ski, et mĂȘme les uniformes scolaires. L’école met l’accent sur une Ă©ducation globale en plus de l’accompagnement acadĂ©mique, elle offre des acadĂ©mies sportives, ainsi que des programmes artistiques et en lien privilĂ©giĂ© avec la nature.
4
Tumblr media
CollĂšge Alpin Beau Soleil, 138'500 dollars par annĂ©e. Cette Ă©cole privĂ©e est Ă©galement situĂ©e Ă  Villars-sur-Ollon. Elle offre Ă  ses Ă©lĂšves une formation complĂšte, avec un accent particulier sur les activitĂ©s extrascolaires telles que l’art et le sport. Selon «Spear’s», cette Ă©cole prestigieuse s’adapte en permanence aux nouvelles tendances Ă©ducatives. Les cours sont dispensĂ©s en anglais et en français. L’ambiance y serait exceptionnellement familiale, mĂȘme pour une Ă©cole privĂ©e. Et la situation gĂ©ographique unique de l’établissement fait parfois office de salle de classe en plein air.
3
Tumblr media
CollĂšge Aiglon, 163'800 dollars par annĂ©e. Environ 400 Ă©lĂšves, ĂągĂ©s de 9 Ă  18 ans, Ă©tudient dans un cadre pittoresque au village alpin de ChesiĂšres, dans le canton de Vaud, tout prĂšs du domaine skiable de Villars-sur-Ollon. L’accent est mis sur le travail rigoureux, mais l’approche globale valorise aussi le dĂ©veloppement physique, Ă©motionnel et social de chaque Ă©lĂšve. «A Aiglon, des exigences acadĂ©miques Ă©levĂ©es rencontrent une large gamme d’activitĂ©s extrascolaires», Ă©crit «Spear’s». Sa situation dans les Alpes permet une Ă©ducation en plein air et un apprentissage par l’expĂ©rience, oĂč les Ă©lĂšves peuvent pratiquer le ski, la randonnĂ©e, ou encore participer Ă  des expĂ©ditions en extĂ©rieur comme partie intĂ©grante de leur vie scolaire. Ces derniĂšres annĂ©es, l’établissement s’est de plus en plus engagĂ© en faveur d'une culture inclusive et diversifiĂ©e.
2
Tumblr media
Institut le Rosey, 167'000 dollars par annĂ©e. L’établissement est surnommĂ© «l’école des rois» et ce n’est pas sans raison. Le roi Juan Carlos d'Espagne, le roi Fouad II d’Égypte et le roi Albert II de Belgique ont tous Ă©tĂ© Ă©lĂšves au Rosey, qui existe depuis 1880 et possĂšde un campus principal Ă  Rolle (VD) ainsi qu’un deuxiĂšme site Ă  Gstaad. Le campus de Rolle, situĂ© au bord du Lac LĂ©man, dispose de deux piscines, de terrains de tennis, d’un yacht scolaire, d’un stand de tir, d’un centre Ă©questre, et d’une immense salle de concert. L’approche bilingue de l'institut oĂč les cours sont dispensĂ©s en anglais et en français attire des Ă©lĂšves du monde entier. Chaque Ă©lĂšve y bĂ©nĂ©ficie d’un suivi personnalisĂ©, grĂące Ă  un rapport exceptionnel de 150 enseignants pour 420 Ă©lĂšves. Et ceux qui terminent leur scolaritĂ© ici accĂšdent Ă  des cercles extrĂȘmement exclusifs. En effet, les diplĂŽmĂ©s reçoivent un accĂšs Ă  un portail privĂ© en ligne, contenant les coordonnĂ©es de presque tous les anciens Ă©lĂšves encore en vie.
1
Tumblr media
Institut auf dem Rosenberg 183'000 dollars par annĂ©e. MalgrĂ© la prĂ©pondĂ©rance de la Romandie, la premiĂšre place revient Ă  Saint-Gall. FondĂ© en 1889, l’Institut auf dem Rosenberg compte Ă  peine 300 Ă©lĂšves issus de plus de 50 nationalitĂ©s diffĂ©rentes. Selon «Spear’s», l’école accorde une grande importance au dĂ©veloppement du caractĂšre et Ă  une Ă©ducation globale, avec une philosophie basĂ©e sur les valeurs d’intĂ©gritĂ©, d’empathie et de responsabilitĂ© sociale. Chaque Ă©lĂšve bĂ©nĂ©ficie d’un programme acadĂ©mique sur mesure, adaptĂ© Ă  ses besoins, intĂ©rĂȘts et objectifs spĂ©cifiques qu’il excelle dans le domaine acadĂ©mique, sportif, artistique oĂč entrepreneurial.
3 notes · View notes
saltlakritsegott · 3 days ago
Text
Tumblr media
Produit du Cambodge : La sapotille, saveur et santé
La Sapotille (Manilkara zapota) est le fruit du sapotillier. En chinois, elle est appelĂ©e äșșćżƒæžœ (rĂ©nxÄ«nguǒ), en anglais sapodilla, et en khmer ល្មុត l (mout). C’est un fruit populaire pour son gout sucrĂ©, que l’on trouve en abondance sur les Ă©tals des marchĂ©s cambodgiens et d’Asie. Un kilo de sapotille coĂ»te entre 8 et 10 000 Riels.
Origine
Originaire du sud du Mexique, l’arbre fruitier a Ă©tĂ© introduit aux Philippines lors de la colonisation espagnole puis cultivĂ© en grande quantitĂ© en Inde, au Pakistan, en ThaĂŻlande, en Malaisie, au Cambodge et au Vietnam oĂč il s’accommode merveilleusement des conditions climatiques.
Savoureux
La sapotille ressemble Ă  une petite pomme ovale de la taille d’un citron. Elle pĂšse en moyenne entre 75 et 120 grammes. Sa peau, marron et crevassĂ©e, couvre une chair fondante et succulente de couleur jaune Ă  brun rougeĂątre lorsque le fruit est Ă  pleine maturitĂ©. La saveur de ce fruit Ă  maturitĂ© est trĂšs sucrĂ©e et proche du caramel. La sapotille peut contenir plusieurs noyaux. En raison de la forte prĂ©sence de saponine dans les noyaux, mieux vaut Ă©viter de les ingĂ©rer.
Bon pour la santé
La haute teneur en sucre fait de ce fruit une excellente source d’énergie. Mais, il possĂšde aussi bien d’autres vertus pour la santĂ©. La sapotille contient Ă©galement en quantitĂ©s des tanins, des antioxydants connus pour leurs propriĂ©tĂ©s antibactĂ©riennes, antiparasitaires, antivirales et anti-inflammatoires. La sapotille contient aussi de la vitamine A et C. lorsque le fruit est bien mĂ»r, il s’enrichit de fer, cuivre et potassium.
Cuisine
Bien qu’elle ne nĂ©cessite aucune prĂ©paration particuliĂšre pour s’avĂ©rer dĂ©licieuse, la sapotille peut ĂȘtre utilisĂ©e dans une salade de fruits, pour relever une tarte ou une confiture, Ă  condition de ne pas la cuire, elle risquerait de perdre sa saveur.
2 notes · View notes
lilias42 · 12 days ago
Text
La rédac' : Liz montre son dernier reportage à Dunamis et inversement
Tumblr media Tumblr media
Liz est la ressortissante de VĂ©nus Ă  la rĂ©daction et la grande reporter. Il y a un article Ă  faire en milieu hostile, c'est pour elle, tout simplement parce qu'un vĂ©nusien, ça tient Ă  peu prĂšs Ă  tout. Faut dire, quand ta planĂšte, c'est une pression 90 fois plus Ă©levĂ© que celle sur Terre, 470°C / 750 kelvins en moyenne, des vents de 350 km/h, une atmosphĂšre ultra Ă©paisse avec 90% de CO2, plus des nuages d'ammoniac... ouais, elle va Ă  cĂŽtĂ© d'un trou noir, ce sera juste un jour lĂ©gĂšrement mauvais pour elle. Elle est donc toujours en voyage aux quatre coins de la galaxie et dĂšs qu'elle revient Ă  la rĂ©daction, elle montre ses notes et ses photos Ă  Dunamis. Il l'aide Ă  rester en place en lui tenant la main sur son Ă©paule, puis quand c'est lui qui lui explique sa derniĂšre enquĂȘte, elle passe ses bras autour de ses Ă©paules.
Si sur VĂ©nus, elle marche, Ă©tant donnĂ© que le reste de l'univers a une pression moins forte, les vĂ©nusiens ont tendance Ă  flotter en permanence Ă  cause de la force qu'exerce leur corps pour tenir la pression de leur planĂšte d'origine. Les normes autour des portes dans les stations stellaires comme celle oĂč se trouve la rĂ©daction ont donc Ă©tĂ© adaptĂ© autant pour que les jupitĂ©riens puissent passer sans se baisser, mais elle rase aussi le plafond pour que les vĂ©nusiens n'aient pas Ă  se contorsionner pour passer. Il y a Ă©galement des rampes un peu partout pour qu'ils s'accrochent et ce n'est pas rares que des bureaux soient mis en hauteur, toujours pour s'adapter Ă  eux. Etant donnĂ© qu'on est dans une sociĂ©tĂ© trĂšs hĂ©tĂ©roclites avec des gens qui viennent de tout le systĂšme solaire, voir de ceux voisins, avec des tailles et des organismes trĂšs diversifiĂ©s, c'est rentrer dans les habitudes de tous d'adapter les maisons / locaux pour que cela permette Ă  un maximum de monde de les utiliser et s'adapter Ă  chacun.
Ce n'est pas rare que les personnes assez grandes laissent les vĂ©nusiens s'accrocher Ă  eux d'une main mais, quand on le tient aussi, c'est seulement pour les proches, ce qui est le cas pour Liz et Dunamis qui sont ensembles. Ils ont surtout une relation Ă  distance Ă  cause de leur emploi du temps respectif, ils sont quand mĂȘme tous les deux journalistes mais pas sur les mĂȘmes sujets mais, ça leur va trĂšs bien. DĂšs qu'ils sont ensemble Ă  la rĂ©daction, ils passent un maximum de temps ensemble, avec les autres s'adaptent aussi Ă©tant donnĂ© que tout le monde fait pareil (c'est aussi le cas quand Aura revient et reste coller Ă  Spirit tout le temps).
Et petit bonus, un petit Ă©change entre Liz et Aura au sujet du tourisme spatial. Liz est quelqu'un de trĂšs calme qui perd rarement son sang-froid mais, vu ce qu'elle entend,. J'ai eu l'idĂ©e aprĂšs avoir vu le Dessous des Images au sujet du voyage de Blue Origin avec Katty Perry et toutes les autres qui - pour ma part, selon ce que je sais, et j'ai pas d'avis sur Katty Perry, j'Ă©coute mĂȘme pas sa musique donc, vraiment osef Ă  son sujet - ressemblait plus Ă  un voyage touristique qu'Ă  un vrai voyage scientifique, surtout qu'un ami m'avait dit y a pas longtemps que l'Etat du Texas Ă©tait en partie ravagĂ© Ă  cause des lancements spatiaux car juste, c'est ultra polluant et ça rejette beaucoup de gaz toxiques. Donc, si on pouvait Ă©viter de transformer l'espace en destination touristique, ce serait pas mal...
Tumblr media
2 notes · View notes
basilepessoart · 2 months ago
Text
Comme ça 41 Moutons sera sous le filet, et aussi mettons des murs sur les cÎtés pour faire ressembler ça au paddel car c'est à la mode, avec des trans chauves qui défilent entre les jeux à poil "pour l'entertainment", et des nains à grosse bite, également à poil, qui font des galipettes en pétant.
Basile Pesso, Land of Somewhere, 15 avril 2 025 (Fb)
---
"Le tennis a Ă©voluĂ©, mais ses rĂšgles sont restĂ©es figĂ©es. La hauteur du filet n’a pas changĂ©, alors que la taille moyenne des joueurs est passĂ©e de 1m75 Ă  1m90, et que leur puissance s’est considĂ©rablement accrue. Il serait peut-ĂȘtre temps d’adapter le matĂ©riel Ă  cette nouvelle rĂ©alitĂ©. RĂ©duire la taille des raquettes, par exemple, pourrait redonner plus d’équilibre au jeu. »
(Toni Nadal, post de Tennis Temple)
2 notes · View notes
photographe-a-roulettes · 11 months ago
Text
Tumblr media
GĂ©ant des Flandres - L'adulte pĂšse en moyenne 6,5 Ă  8kg, mais certains individus peuvent atteindre 10 Ă  11kg. Ses oreilles peuvent mesurer jusqu'Ă  20cm. Sa taille totale peut ĂȘtre apparentĂ©e Ă  celle d'un berger des Shetlands.
Lieu : Bio-Topia, Dunkerque
7 notes · View notes
coovieilledentelle · 3 months ago
Text
Tumblr media
A table ..
Rouleau Citron Meringué à la New-Yorkaise
Tumblr media
Fruits et légumes
‱ 100 ml De jus de citron frais
‱ 1 Zeste d'un citron non traite
Condiments
‱ 3 Blancs d'oeufs
Autre
‱ 1 CuillĂšre Ă  cafĂ© d’extrait de vanille
‱ 100 g De beurre doux, coupĂ© en morceaux
‱ 100 g De farine de blĂ© (tout usage, faible en gluten)
‱ 100 g De sucre
‱ 150 g de sucre en poudre
‱ 3 Jaunes d’Ɠufs
‱ 4 ƒufs frais (taille moyenne) đŸ„š
‱ 1 pincĂ©e de sel
Découvrez la recette du Roll Citron Meringué à la New-Yorkaise . C'est un dessert qui capture l'essence des pùtisseries new-yorkaises. Cette recette détaillée vous guide à chaque étape du biscuit au meringue.
Commencez par le biscuit. PrĂ©chauffez le four Ă  180°C. SĂ©parez les blancs et les jaunes d'Ɠufs. Fouettez les blancs jusqu'Ă  ce qu'ils soient fermes.
Incitez le sucre et continuez Ă  fouetter. La meringue doit ĂȘtre lisse et brillante.
MĂ©langez les jaunes d'Ɠufs, le zeste de citron et le jus de citron dans un bol.
Ajoutez la farine et mélangez jusqu'à obtenir une pùte homogÚne.
Incorporez délicatement la meringue à la préparation, en veillant à ne pas la casser.
Étalez la pĂąte sur une plaque recouverte de papier sulfurisĂ© et enfournez pour 10 Ă  12 minutes.
Une fois le biscuit cuit, roulez-le dans un linge humide. Cela lui donne sa forme de roulĂ©. PrĂ©parez la crĂšme au citron en mĂ©langeant le jus et le zeste de citron, le sucre et les Ɠufs.
Faites cuire le mélange au bain-marie jusqu'à ce qu'il épaississe. Laissez-le refroidir.
Garnissez le biscuit roulĂ© avec la crĂšme au citron. Recouvrez-le d'une couche de meringue. Enfournez Ă  nouveau pour dorer la meringue. Votre dessert gourmand est prĂȘt !
18 notes · View notes
chic-a-gigot · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media
Le Petit écho de la mode, no. 23, vol. 17, 9 juin 1895, Paris. Patron gratuit de mante luchonnaise. Ville de Paris / BibliothÚque Forney
TracĂ© du patron de mante. — 1. MoitiĂ© de la manche. — 2. Col. Patron coupĂ© pour taille moyenne, pouvant convenir Ă  toutes les tailles.
(11.) Mante Luchonnaise. — Nous offrons Ă  nos lectrices un patron de vĂȘtement utile pour se couvrir le soir au bord de la mer, ou Ă  la campagne ; de mante courte il peut devenir un manteau long en ajoutant la longueur voulue. Sa forme est trĂšs simples, un rang ou deux de fronces Ă  l’encolure, montĂ© sur un col Ă©vasĂ© coupĂ© de biais, il se fait en tissu des PyrĂ©nĂ©es, lĂ©ger et chaud, de nuance « biche ». Un galon moutonneux et une frange boule en laine entourent ce vĂȘtement, un double rang de cette garniture simule une seconde pĂšlerine.
Mantle pattern. — 1. Half of the sleeve. — 2. Col. Pattern cut for medium size, suitable for all sizes.
(11.) Luchonnaise Mantle. — We offer our readers a useful clothing pattern to cover themselves in the evening by the sea, or in the countryside; From a short coat it can become a long coat by adding the desired length. Its shape is very simple, a row or two of gathers at the neckline, mounted on a flared collar cut on the bias, it is made of Pyrenees fabric, light and warm, in a “doe” shade. A sheepskin braid and a ball fringe in wool surround this garment, a double row of this trim simulates a second cape.
MatĂ©riaux: 3 mĂštres de tissu grande largeur, 7 mĂštres frange et galon. Si l’on fait cette mante longue on supprimera la garniture du bas.
62 notes · View notes
alexar60 · 2 years ago
Text
Le musicien fantĂŽme
Tumblr media
L’averse me rĂ©veilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissĂšrent plutĂŽt Ă  penser qu’elle somnolait. Soudain, je rĂ©alisai une chose importante. Elle leva la tĂȘte en mĂȘme temps que moi.
Merde, le coffre !
AussitĂŽt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oubliĂ© la bĂąche de la petite carriole attachĂ©e Ă  mon vĂ©lo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idĂ©e de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris
à bicyclette. C’était aussi son idĂ©e du camping sauvage. Surtout que nous Ă©tions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut dĂ©jĂ  rempli et nos affaires trempĂ©es, je m’acharnai Ă  recouvrir la carriole. Karen rĂ©cupĂ©ra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida Ă  y voir mieux. Tout-Ă -coup un Ă©clair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanĂ©ment. En dessous, notre tente n’échappa Ă  l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  plusieurs kilomĂštres.
PĂ©trifiĂ©s par cet accident naturel, trempĂ©s, fatiguĂ©s, nous restĂąmes Ă  regarder la tente se rĂ©duire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son tĂ©lĂ©phone, il n’y avait pas de rĂ©seau. Le mien Ă©tait restĂ© Ă  cĂŽtĂ© de mon sac de couchage
dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille
 Bref, je me retrouvai perdu dans un pays Ă©tranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivĂ©s, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les Ă©paules. C’est Ă©vident !
Nous partĂźmes Ă©clairĂ©s par les lampes de nos vĂ©los. La charrette que je tirai parut lourde Ă  cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai Ă  aller moins vite que mon amie. AprĂšs quelques kilomĂštres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrĂ©e. La chance fut de notre cĂŽtĂ© car la grille n’était pas fermĂ©e.
DĂšs lors, nous pĂ©nĂ©trĂąmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires Ă©clairaient la route amenant Ă  un grand manoir. Avec ses tours sur le cĂŽtĂ©, il aurait eu sa place parmi les chĂąteaux de la Loire. Nous descendĂźmes et posĂąmes nos vĂ©los contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale Ă©tait grande ouverte. Le hall Ă©clairĂ© par un lustre semblait vide si ce n’est cet Ă©trange personnage habillĂ© d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos dĂ©boires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et rĂ©pondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hĂŽtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientĂŽt commencer.
Il nous pria de le suivre. AussitĂŽt nous entrĂąmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous Ă©tions en plein contraste avec eux. Nous Ă©tions trempĂ©s, les cheveux dĂ©goulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt Ă  capuche, Karen Ă©tait habillĂ©e d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vĂȘtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vĂȘtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hĂŽte Ă©tait dĂ©jĂ  parti. Alors, nous avançùmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pĂąleur extrĂȘme. Tout leur corps parut voilĂ©. De mĂȘme, un lĂ©ger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchĂąmes dans un silence glacial. HĂ©las, les deux seules places disponibles Ă©taient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chĂ©rie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut rĂ©primandĂ©e par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est Ă  ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffĂ©s en arriĂšre, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se dĂ©plaça en mĂȘme temps que lui. Je remarquai la prĂ©sence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son Ă©paule, et Ă  l’aide son archet, il commença Ă  jouer. DĂšs les premiĂšres notes, je fus subjuguĂ© par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, TchaĂŻkovski
Chaque mouvement Ă©tait juste et touchait le cƓur. Chaque note reflĂ©tait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tĂȘte sur mon Ă©paule tout en serrant mon bras. Elle Ă©tait fascinĂ©e par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensĂ© Ă©couter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensĂ© ressentir autant d’émotion en Ă©coutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-ĂȘtre par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les Ăąmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne rĂ©alisai pas que personne ne jouait au piano. Il Ă©tait seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrĂȘta subitement. Il Ă©carta les bras en croix avant de baisser la tĂȘte en signe de remerciement et de salut. Je me mis Ă  applaudir, accompagnĂ© par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de mĂȘme, je tournai la tĂȘte et fus stupĂ©fait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
OĂč sont-ils passĂ©s ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restĂąmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-Ă -coup immense.
Soudain, trois gros coups rĂ©sonnĂšrent, puis un rire
un rire glacial
un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla Ă  moi. Nous regardĂąmes les portes mais personne n’entra. Nous restĂąmes un long moment dans le silence Ă  attendre sans savoir quoi faire. Nous entendĂźmes un oiseau piailler. DĂšs lors, nous comprĂźmes que le jour se levait. Nous profitĂąmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les Ă©normes toiles d’araignĂ©es un peu partout dans la salle et le hall. Je dĂ©couvris la porte Ă  moitiĂ© abimĂ©e, Nous quittĂąmes le lieu qui paraissait abandonnĂ©e. D’ailleurs la majeure partie des fenĂȘtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessĂ©, nous pĂ»mes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de dĂ©clarer la perte de mes papiers suite Ă  l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda Ă  mon amie, ensuite Ă  un traducteur leur version. Il semblait horriblement embĂȘtĂ©. Il se leva discuta avec un collĂšgue, prit ma dĂ©position, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hĂŽtel restaurant.
AprÚs une douche, un peu de repos, nous descendßmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passĂ© la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller lĂ -bas. Il parait qu’il est hantĂ©.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restùmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriĂ©taire Ă©tait si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un dĂ©fi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son Ăąme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagnĂ©, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une Ăąme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son chĂąteau chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je prĂ©fĂ©rais laisser cette histoire aux lĂ©gendes du coin. D’ailleurs, Karen Ă©tait d’accord : Confirmer une histoire de fantĂŽme pouvait nous ĂȘtre nuisible ainsi qu’au fantĂŽme. DĂšs lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle Ă©tait succulente.
Alex@r60 – aoĂ»t 2023
33 notes · View notes