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#toujours aimé ce film
ernestinee · 1 year
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J'ai reçu les scans de mes négatifs de Paris, Bruxelles et Amsterdam.
Alors Paris, j'en n'ai que deux qui me plaisent mais j'étais clairement pas inspirée, entre cette ville qui n'est pas faite pour moi, la météo maussade en février dernier et l'ado et son père qui ont passé la journée à s'engueuler, j'avais fait la plupart des photos avec mon tel, en particulier des tags, stickers, et aussi les peintures du musée d'Orsay. Il faut dire aussi que je ne connaissais pas encore le rendu du film que j'avais choisi (lomography color negative 35 mm en 400).
Bref j'avais bien aimé une vue sur un pont, et heu j'imagine que c'est le jardin des Tuileries, la deuxième photo.
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Il y a aussi eu deux sorties à Bruxelles avec ce même film, l'une lors du festival de cirque qui avait été annulé à cause de la pluie qui était tombée pile au mauvais moment, mais la pluie va si bien à Bruxelles que ça ne m'avait pas ennuyée. Ça n'avait ennuyé personne en fait, il ne faisait pas froid et les gens mangeaient en terrasse sous les parasols, c'était juste parfait comme ambiance. J'avais fait peu de photos, je m'étais concentrée sur des storys en cherchant à chaque fois une musique qui parle de pluie.
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Et l'autre sortie à Bruxelles était en juillet pour la fête nationale, il avait plu un peu le matin pour qu'on puisse parler de drache nationale, puis le soleil était revenu tranquillou et ça fait de beaux constrastes. La troisième photo, c'est un méga moules-frites.
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Puis sur ce film il y avait aussi une petite sortie au bois, toujours sous la pluie parce que c'est le seul moment où cet endroit a vraiment le calme et les couleurs qui me plaisent et le film donne un chouette rendu un peu forêt magique.
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D'ailleurs c'était un peu magique, cette fois-là.
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chifourmi · 11 months
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Je suis sortie hier avec Ju' et à un moment elle m'a déposée en voiture près de chez le Dieu Grec et j'avais littéralement 1 minute de marche à faire mais j'ai quand-même réussi à me perdre parce que j'étais bourrée. Je suis restée en appel avec Ju' mais c'était compliqué pour elle de m'aider du coup j'ai demandé à 2 meufs random et on est devenues MEILLEURES POTES. Je vous jure on parlait comme si on se connaissait depuis des années et on s'est dit qu'on allait devenir un trio?? On sautait dans tous les sens tellement on était contentes de s'être trouvées, c'était adorable j'ai trop aimé ce moment omg. Y en a une qui a insisté pour qu'on se fasse des soirées films, c'était trop mims. Par contre elles étaient aussi nulles que moi pour trouver l'endroit alors qu'il suffisait de tourner à gauche, ça me tue. Bref du coup on vivait notre meilleure vie à 3 quand des mecs nous ont abordé en disant "hot combien l'une de vous dort dans le coffre de ma voiture"??? Wtf?? Puis au final on a sympathisé avec eux, y en avait un TROP drôle et un trooop sympa (pires descriptions mdr). On a pas ajouté le mec drôle sur insta parce qu'il était en couple et il ne préférait pas mais on a ajouté le mec trop sympa et on s'est dit qu'on ferait peut-être une soirée ensemble la semaine prochaine!!
Finalement les 2 meufs ont appelé un de leur pote PAS BOURRÉ pour qu'il m'aide enfin à trouver l'appart du Dieu Grec. Il l'a appelé et a enfin pris les choses en main. On s'est tous dirigés chez lui du coup, les 3 débilos et le mec hyper sérieux. Je crois qu'il était saoulé de ouf le pauvre.
On s'est donnés nos numéros et elles m'ont demandé si tout se passait bien avec mon plan câlin, on s'est dit bonne nuit et tout aaahhhh c'était trop chou. BREF wtf il se passe toujours 10milliards de choses en soirée.
Et finalement après nos câlins, le Dieu Grec s'est endormi paisiblement et moi j'étais là en mode "qu'est-ce ce qui vient de se passer ce soir??" Et aussi j'avais trop envie de continuer nos câlins, j'étais pas du tout fatiguée c'était horrible j'ai pas dormi de la nuit.
(10/11/2023)
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basilinixe · 4 months
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4, 21, 25 La Baronne for the Character ask game? (Also 14, 24 for Castabot if you want :D)
Merci pour l'ask !! :D
La Baronne
4. If you could put this character in any other media, be it a book, a movie, anything, what would you put them in?
Alors, je sais pas trop si la question parle d'une œuvre préexistante ou juste d'un autre médium de manière générale, du coup je vais parler des deux !
Pour ce qui est de l'œuvre préexistante, la réponse qui me vient immédiatement, c'est METTEZ 👏 LA BARONNE 👏 DANS 👏 LE FILM 👏 Come on, Belette mérite pas de devoir s'occuper de toute la Meute toute seule, elle mérite qu'on l'aide (*tousse* de manière plus efficace que Renard *tousse*)
Et pour ce qui est un autre médium de manière générale, en vrai je pense que she would thrive in a slice of life basé sur Néo-Versailles et la vie à la Cour post saison 4 (et je dis pas ça juste parce que j'ai envie d'en voir davantage sur comment Néo-Versailles s'est développée post saison 4)
21. If you're a fic writer and have written for this character, what's your favorite thing to do when you're writing for this character? What's something you don't like?
Perso je pense que la Baronne sait toujours très bien ce qu'elle veut, mais qu'elle le dira quasiment jamais outright. Du coup, c'est assez amusant d'imaginer ses subtils stratagèmes et ses intricate rituals pour obtenir ce qu'elle veut ! D'autant plus que Van Der est super oblivious x)
Et ce que j'aime moins, je dirais que c'est pas facile de lui donner des dialogues où elle est emotional sans que ça sonne ooc, à la fois à cause de la façon dont elle parle et de son côté très renfermé.
25. What was your first impression of this character? How about now?
Alors, je crois qu'au début j'étais assez neutre envers son personnage (même si, comme tout le monde je pense, j'ai beaucoup aimé quand elle a remis Octave à sa place avec quelques gifles bien placées x) ). Mais quand mon obsession pour Van Der s'est développée, par extension j'ai commencé à m'intéresser à elle, et maintenant je l'aime beaucoup ! J'aime beaucoup comme elle détonne avec la majorité des personnages de la série sans que ça sonne out of place ! Et aussi, son chara design omg, j'aime trop la façon dont elle est habillée.
Je trouve qu'elle est un personnage sous-utilisé dans les différents fanworks, mais du coup j'en fais mon affaire 🫡
Le Castabot
14. Assign a fashion aesthetic to this character.
Alors, question compliquée en vrai, vu que j'y connais vraiment rien en mode xD
Mais en tout cas, je trouve que le Castabot est un silly little guy très gender, et il porte très bien la moustache et le chapeau quand il en met ! Donc I guess que je lui mets juste un chapeau rigolo
24. What other character from another fandom of yours reminds you of them?
Hmm, a bit of a strech, mais je dirais peut-être Momo de Avatar the last airbender ? Silly little mascotte volante, mais aussi un peu sassy
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pauline-lewis · 5 months
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Hier j'ai vu pour la première fois Je t'aime, je t'aime d'Alain Resnais (co écrit avec Jacques Sternberg, sorti en 1968) et c'est un film que j'ai aimé avec passion.       Ça raconte l'histoire d'un homme qui se remet d'une tentative de suicide et accepte de participer à une expérience scientifique autour du voyage dans le temps. En théorie, il devrait retourner le temps d'une minute dans son passé. En pratique, la machine s'affole et il revit toutes les dernières années de son existence en fragments décousus. Des instants de tendresse, de colère, d'ennui, de discussions philosophiques, des instants qui n'ont pas toujours de sens mais ont existé dans sa vie et il faut bien faire avec. C'est un film sur la manière dont nous nous construisons malgré nous en puzzles éparpillés, un film sur la dépression, la tristesse qui prend comme une vague, sur le temps perdu au travail (il y a une scène géniale dans laquelle le personnage principal compare à l'aide de deux montres le temps du bureau et le temps du dehors), sur l'écriture et les jobs alimentaires. C'est un film sur l'humour qui émerge à des moments inattendus.       Il y a des dialogues qui resteront avec moi pour toujours comme quand Claude Rich dit, le visage impénétrable, à quel point il est "flou" (et ce n'est pas un personnage particulièrement aimable, notamment à cause de son rapport aux femmes mais il m'a bouleversée malgré tout).       C'est peut-être ça d'ailleurs — c'est un film sur le flou étrange d'une vie humaine, impossible à résumer et pourtant fascinante à regarder. Ça tente mille choses et ça les réussit toutes (je vous avais dit que j'avais aimé ce film avec passion). J'écrirai peut-être plus longuement dessus mais je voulais archiver ça là. Vous dire que s'il croise votre chemin, vous pouvez sans crainte aller à sa rencontre.
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aurevoirmonty · 1 month
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REQUIEM POUR UN FAUVE
Quand les Français pleurent Johnny, Bébel et, désormais, Alain Delon, ils pleurent une France révolue. Je me compte parmi ces Français puisque Delon a été l’icône de ces Trente Glorieuses illusoires qui accouchèrent d’un cauchemar dans lequel nous évoluons en attendant une catastrophe qui est déjà là. Delon a imprimé notre imaginaire et s’est identifié à la France jusqu’à mourir avec elle…
Chacun a son Delon. Moi, c’est celui des années 50 et 60, Plein Soleil, Mélodie en sous-sol, les Fauves, La Piscine et, plus tard, le chef d’œuvre Mort d’un pourri. Jamais aimé le cinéma de Melville et ses parodies sinistres de films US.
Avant de se prendre au sérieux et de se concevoir comme un « monument », il fut ce jeune loup décharné et magnifique auquel nous rêvions de ressembler. Il était une sorte James Dean français, rebelle sans cause toujours, personnage de Drieu la Rochelle sans le savoir, même si le Feu Follet échut à son ami Maurice Ronnet.
Laissons aux charognards le soin prochain de dépecer sa mémoire. Moi, pour compter deux amis de mon entourage qui eurent à le bien connaitre, je me suis forgé une idée lointaine du personnage, à la fois grand seigneur et salaud impardonnable. Jamais de demi-mesure…
Mon Delon, celui qui nous est commun sans doute, c’est cet homme solitaire, le misanthrope qui préférait les animaux aux êtres humains, l’ami indéfectible de Jean Marie Le Pen et le rebelle qui posait fièrement aux côtés de Léon Degrelle. Ce n’est pas tout mais ce n’est déjà pas mal…
Christian Rol
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lilias42 · 6 days
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Helloooo! J'ai vu que tu mentionnais le conte de l'Auvergnat dans une réponce! Est ce qu'il y a d'autre légende qui t'inspire quand tu ecrit ?
Coucou ! Merci pour la question ! Et ah ! Contente de voir quelqu'un d'autre qui connait ce conte ! :D
Et c'est pas si rare que je m'inspire de contes plus ou moins directement. ça peut être des éléments de contes qui sont repris tel quel de conte par exemple, comme le coup du crapaud maléfique et il y aurait peut-être aussi un moment où quelqu'un tenterait de graver une croix sur le père de Dil, Caemgen, pour affaiblir ses pouvoirs et tenter de l'exorciser, même si ça finit avec Caemgen qui rétorque "mec, j'ai littéralement un chapelet sur moi, ça sert à rien".
Sinon, je pense qu'en inspirations plus lointaines, même si ce n'est pas vraiment des contes, il y a le Roman de Renart que j'ai lu y a un moment et que j'avais vraiment beaucoup aimé, surtout que j'avais une version en ancien français alors ça mettait bien dans l'ambiance de l'époque. J'aime beaucoup le personnage de Renart avec son côté très malin, qui s'en sort toujours grâce à sa ruse mais qui peut se faire doubler par plus malin que lui avec Tibert le chat, mais qui compte aussi beaucoup sur sa femme dans les quelques histoires où elle apparait (on le voie confier son fort à son épouse lorsqu'il part par exemple). Qui sait, c'est peut-être de là que vient inconsciemment le côté roublard de Gwilim qui n'hésite pas à frauder le roi et passer au-dessus de la loi pour que ses sujets ne finissent pas complètement exsangues d'impôts. Sinon, je m'inspire aussi des contes russes, surtout ceux qui ont été retranscrit en film d'animation par les studios soviétiques Soiouzmoultfilm qui sont vraiment magnifiques (faut dire, quand ton budget, c'est l'Etat pour former de bons petits soviets, ça aide), en particulier le film "Le Petit Cheval Bossu" qui est adapté d'un opéra, ou la "Princesse-grenouille" qui lui vient d'un conte russe, que j'ai beaucoup regardé quand j'étais petite, même si j'ai lu la version écrite bien plus tard (les deux sont disponibles sur Youtube).
Sinon, il y a aussi la mythologie grecque (et les quelques brides de mythologie perso qu'avaient les romains mais bon, les romains, c'est des militaires, ils vont à l'essentiel - même leurs villes ont un modèle de camp militaire pour dire ! - et ils sont complètement dans l'orthopraxie [même manière de faire dans un cadre religieux, en opposition avec l'orthodoxie où là, c'est tout le monde pense la même chose], faut que ce soit un maximum carré et sans accro sinon, il recommence tout, même s'ils peuvent "tricher" pour avoir le résultat qu'ils veulent [comme faire jeuner les poulets la veille pour être sûr qu'il ait de l'appétit quand on fera la prédiction par exemple]) qui m'inspire beaucoup, surtout quand mes histoires sont pendant l'Antiquité, même si je reprend rarement les histoires au pied de la lettre et j'adapte les récits pour notre époque et / ou que ça passe mieux pour le scénario vu que souvent, on ne voie pas les héros pendant les exploits guerriers mais, dans le quotidien et avec des civils tout autour qui doivent se débrouiller pour savoir comment tu te débrouilles pour gérer un alcoolique à l'alcool très mauvais qui a eu la mauvaise idée d'avoir une super force (coucou Héraclès version grecque où si ces actes sont dignes d'être admirés, son comportement est TOUT ce qu'il ne faut pas faire pour un homme grec). Après tout, les grecs faisaient eux-mêmes des modifications dans leurs histoires, que ce soit car ils ont un trou de mémoire, pour plaire au public, ou pour faire l'histoire qu'ils préfèrent eux alors, je ne me prend pas la tête avec le respect du matériel source pour rester coller au "canon" de la mythologie.
En gros, c'est souvent ça avec les légendes qui m'inspirent : on garde le squelette et on adapte selon ce qui arrange. De toutes façons, c'est de l'oral à la base alors, ça a dû être modifier des milliers de fois avant d'arriver jusqu'à nous. Quitte à me prendre la tête, je préfère le faire pour que l'histoire se tienne plutôt que de respecter religieusement un canon dont tout le monde se fichait à l'époque.
Faudrait que je lise aussi du Georges Sand vu qu'elle a retranscrit pas mal de contes du Berry, ou les légendes arthuriennes, même si je lis vraiment pas beaucoup pour l'instant, surtout que je suis en voiture en ce moment pour le boulot, pas en transport alors, voilà quoi. Enfin, je me débrouillerai bien !
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daily-gaston · 14 days
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Un avis sur la série "animée" et le film sur notre gaffeur bien nommé ?
Pour la série animée, je suis assez d'accord avec l'avis commun que ç'aurait été mieux si ça avait été animé "pour de vrai". Mais honnêtement, plus j'y pense et plus je me dis que c'est pas tellement l'animation qui fait que ça me plaît pas, parce que au final elle est pas si mal? Je pense surtout que c'est parce que ce ne sont que des gags existants, et comme je les connais par cœur je m'ennuie un peu mdr (mais ça contribue bien à me faire oublier si tel ou tel gag était avec Fantasio ou Prunelle 😭). En même temps, je pense pas que ça aurait été mieux avec de nouveaux gags. Peut-être que Gaston marche juste pas très bien comme dessin animé 💔
Et puis les voix aussi. J'ai pas aimé la plupart des voix pardon...
Par contre, j'ai adoré le film, et ça fait que j'ai vachement moins de trucs à dire dessus... Les acteurs sont bien choisis (toujours éclaté par comment ils ont trouvé l'acteur de Gaston 😭), les bureaux en cases de bd je trouve ça génial même si c'est très subtil (ils en parlent dans le making-of sur le dvd), et je trouve que les personnages sont très bien intégrés dans notre époque sans être dénaturés (side eye au film Spirou et Fantasio...).
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soletear · 1 month
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tag game du rpg
règles du jeu:créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — j'ai un peu du mal à compter et établir une durée parce que j'ai une mauvaise mémoire, mais je dirais une dizaine d'années... et seulement 5 ans sur forum.
quel était le premier personnage que tu as créé? — le tout premier je ne m'en souviens plus du tout, c'était sur une simulation de vie mais en rp, bref. mon premier perso sur un forum c'était Elvira quelque-chose (faut pas me demander de me souvenir des noms de famille...) et c'était une chasseuse de vampires !
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'aimais beaucoup nina dobrev (la faute à tvd), puis mila kunis, bella hadid et zendaya. parce que oui, je jouais que des femmes à l'époque.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les univers post-apocalyptiques (ça dépend en réalité du contexte, je suis certaine que certains peuvent être géniaux) et dès qu'il y a des zombies. ça, c'est vraiment un gros non pour moi, ça ne m'attire pas du tout (mais j'ai eu le courage d'essayer pour faire plaisir à un ancien partenaire, je n'ai même pas fini ma fiche de présentation). et harry potter, pour des raisons évidentes de boycott de l'autrice.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — comment me détacher du enemies to lovers qui hantent mes nuits et mes journées. je suis très fan de ce lien, de cette incompréhension initiale entre les deux, puis du moment où ils réalisent que finalement, de la haine à l'amour il n'y a qu'un pas, et l'acception de leurs défauts mutuels. j'aime aussi beaucoup les familles brisées, avec des liens complexes où l'amour se mêle à la frustration et la rancoeur. et plus globalement, tous les liens nuancés.
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — je suis plutôt team réel. j'adore la fantasy, mais j'ai souvent du mal à y rester et à évoluer parce que ce sont des contextes qui me demandent plus d'énergie pour me plonger dans le personnage et les détails de l'univers. cependant si je devais choisir un fandom, ça sera shadow and bone parce que j'ai vraiment adoré la série et que je reste fan des grishas.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — reprendre pas forcément parce qu'une fois que je mets les personnages au placard, ils y restent... mais j'ai adoré jouer un personnage bipolaire inspirée de rue dans euphoria, elle était chaotique et authentique. je ne m'ennuyais jamais, ni en rp, ni en sms. elle était parfaite dans son imperfection.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas trop, je ne pense pas. en général, j'essaye toujours de varier les plaisirs parce que je n'aime pas avoir des personnalités trop proches les uns des autres, auquel cas je me mélange les pinceaux. donc au final, j'essaye toujours de trouver des archétypes différents.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — au tout début de mon aventure rpgique, j'ai lu beaucoup de despentes et sa plume m'a beaucoup aidée à façonner la mienne. même si je l'ai perdu pendant ma pause avant de rejoindre les forums. pour les personnages, en général, je m'inspire surtout des séries, des films, et des musiques qui m'entourent. parfois des livres aussi, mais c'est curieusement plus rare.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — j'ai récemment lu Blue sisters de Coco Mellors, et bien que j'ai trouvé le livre un peu long (les chapitres sont interminables), j'ai beaucoup aimé découvrir ces trois soeurs en prise avec l'addiction. j'ai trouvé leur histoire et leur combat vraiment touchants !
☞ je tag: j'arrive un peu après la bataille du coup vous avez peut-être déjà été tou.te.s tagué.e.s donc faites le si vous en avez envie et puis c'est tout 🫶🏼
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philippebresson · 1 month
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Quand l’actrice Romy Schneider disparait le samedi 29 mai 1982 à l’âge de 44 ans, Alain Delon vient se recueillir longuement dans la chambre où elle repose. Il écrira pour elle cette dernière lettre. Je ne sais pas si Delon était "intelligent", Marie Laforêt prétend qu'il ne l'était pas..., mais cette lettre est terriblement belle. Elle semble avoir été écrite avec le sang de son cœur. Et elle me touche, terriblement.
« Je te regarde dormir. Je suis auprès de toi, à ton chevet. Tu es vêtue d’une longue tunique noire et rouge, brodée sur le corsage. Ce sont des fleurs, je crois, mais je ne les regarde pas. Je te dis adieu, le plus long des adieux, ma Puppelé. C’est comme ça que je t’appelais. Ça voulait dire «petite poupée», en allemand.
Je ne regarde pas les fleurs mais ton visage et je pense que tu es belle, et que jamais peut-être tu n’as été aussi belle. Je pense aussi que c’est la première fois de ma vie – et de la tienne – que je te vois sereine et apaisée. Comme tu es calme, comme tu es fine, comme tu es belle. On dirait qu’une main, doucement, a effacé sur ton visage toutes les crispations, toutes les angoisses du malheur. Je te regarde dormir. On me dit que tu es morte.
Je pense à toi, à moi, à nous. De quoi suis-je coupable ? On se pose cette question devant un être que l’on a aimé et que l’on aime toujours. Ce sentiment vous inonde, puis reflue et puis l’on se dit que l’on n’est pas coupable, non, mais responsable… Je le suis.
A cause de moi, c’est à Paris que ton cœur, l’autre nuit, s’est arrêté de battre. A cause de moi parce que c’était il y a vingt-cinq ans et que j’avais été choisi pour être ton partenaire dans "Christine".
Tu arrivais de Vienne et j’attendais, à Paris, avec un bouquet de fleurs dans les bras que je ne savais comment tenir. Mais les producteurs du film m’avaient dit : "Lorsqu’elle descendra de la passerelle, vous vous avancerez vers elle et lui offrirez ces fleurs."
Je t’attendais avec mes fleurs, comme un imbécile, mêlé à une horde de photographes. Tu es descendue. Je me suis avancé. Tu as dit à ta mère : "Qui est ce garçon ?" Elle t’a répondu : "Ce doit être Alain Delon, ton partenaire…" Et puis rien, pas de coup de foudre, non. Et puis je suis allé à Vienne où l’on tournait le film. Et là, je suis tombé amoureux fou de toi. Et tu es tombée amoureuse de moi.
Souvent, nous nous sommes posé l’un à l’autre cette question d’amoureux : "Qui est tombé amoureux le premier, toi ou moi ?" Nous comptions : "Un, deux, trois !" et nous répondions "Ni toi ni moi ! Ensemble !"
Mon Dieu, comme nous étions jeunes, et comme nous avons été heureux. A la fin du film, je t’ai dit : "Viens vivre avec moi, en France" et déjà tu m’avais dit "Je veux vivre près de toi, en France." Tu te souviens, alors ? Ta famille, tes parents, furieux. Et toute l’Autriche, toute l’Allemagne qui me traitaient… d’usurpateur, de kidnappeur, qui m’accusaient d’enlever l’Impératrice ! Moi, un Français, qui ne parlais pas un mot d’allemand. Et toi, Puppelé, qui ne parlais pas un mot de français. Nous nous sommes aimés sans mots, au début. Nous nous regardions et nous avions des rires.
Puppelé… Et moi j’étais Pépé. Au bout de quelques mois, je ne parlais toujours pas l’allemand mais toi tu parlais français et si bien que nous avons joué au théâtre, en France. Visconti faisait la mise en scène. Il nous disait que nous nous ressemblions et que nous avions, entre les sourcils, le même V qui se fronçait, de colère, de peur de la vie et d’angoisse.
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Il appelait ça le "V de Rembrandt" parce que, disait-il, ce peintre avait ce V sur ses auto portraits. Je te regarde dormir. Le V de Rembrandt est effacé…
Tu n’as plus peur. Tu n’es plus effrayée. Tu n’es plus aux aguets. Tu n’es plus traquée.
La chasse est finie et tu te reposes. »
Alain Delon
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Écrire comme Nathalie Sarraute
Après avoir suivi la routine d'écriture très casanière de Susan Sontag, il était temps d'écrire dans un hors de soi, de rendre son bureau d'écrivain toujours plus nomade. C'est pourquoi j'ai choisi, pendant une journée, de m'essayer à la routine d'écriture de Nathalie Sarraute.
Selon la BNF,
C’est sans doute au cours de la deuxième guerre mondiale – parce qu’à l’époque il s’agissait des rares lieux chauffés en permanence – que Sarraute conçut le rituel d’écriture qu’elle suivit presque jusqu’à sa mort, à 99 ans. Tous les matins, même le dimanche, elle se rendait à un café, « Le Marceau », avenue Marceau, à cinq minutes à pied de chez elle. Elle s’asseyait toujours à la même table et se faisait servir une tasse de café et un pot d’eau chaude. Elle se munissait de feuilles volantes, de ses cahiers de brouillon et de deux stylos feutres, au cas où l’un d’eux viendrait à lui faire défaut. Le café était tenu par des Libanais et les conversations en arabe, qu’elle ne comprenait pas, lui permettaient paradoxalement de se concentrer. Dans ce brouhaha ambiant, elle pouvait sans déranger murmurer ce qu’elle était en train d’écrire.
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Pour commencer à écrire, je me suis donc rendue dans la matinée dans un café non loin de chez moi, je me suis assise devant une fenêtre et j'ai pris un thé (évidemment). J'avais plusieurs objectifs d'écriture ce matin-là : écrire un peu dans mon journal, faire de l'écriture automatique puis me concentrer sur un appel à textes en anglais. Le tout sur papier, puisque Nathalie Sarraute écrivait sur feuilles.
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J'ai passé une dizaine de minutes sur mon journal, comme un échauffement. Puis, j'ai utilisé une autre de mes méthodes "d'inspiration" pour lancer une session d'écriture automatique : j'ai tiré au hasard une carte dans mon jeu de tarot (j'utilise Le Tarot surréaliste) et noté sa signification. Je suis tombée ce jour-là sur le 10 de bâtons, la suite des bâtons représentant la folie et le 10, selon Massimiliano Filadoro, le Blanc-Seing. J'ai pris quelques notes sur ce que ls significations données m'inspiraient, puis j'ai amorcé un récit.
Finalement, cette histoire m'a semblée parfaite pour intégrer mon recueil de nouvelles en cours d'écriture. J'en ai rédigé une page, puis j'ai échaffaudé un plan narratif assez vague pour me permettre une certaine liberté dans la rédaction. En tout, j'ai passé une heure sur ce début de nouvelle.
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J'ai terminé cette matinée d'écriture en me concentrant sur un appel à textes, celui du tout nouveau magazine littéraire & artistique Nowhere Girl Collective, fondé par Dakota Warren. Le thème de l'appel à textes de novembre est ouroboros, un symbole cyclique qui renvoie à l'auto-manducation, à l'autodestruction et au cycle de la vie. À partir de ce sujet, j'ai rédigé le premier jet d'un poème :
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Ayant rempli tous mes objectifs d'écriture pour la journée, je me suis alors rendue au cinéma pour voir Le Règne animal, réalisé par Thomas Cailley. La question du devenir-animal y rejoint celle du devenir soi et du coming of age, mêlant ainsi réflexion sur l'adolescence et, plus généralement, sur la nature humaine. J'ai beaucoup aimé ce film, très bien réalisé et qui aborde avec justesse la notion de deuil.
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Alors, plutôt Susan Sontag ou Nathalie Sarraute ?
Pour ma part, la routine de Sarraute m'a complétement séduite, et m'a qui plus est permise de trouver un café près de chez moi, parfait pour aller écrire dans un équilibré mélange de bruits ambiants et de silence, de mouvement et de tranquillité. Mes productions m'ont beaucoup plus plues que celles écrites la semaine dernière, dont je me suis très rapidement détachée ; j'ai amorcé une nouvelle qui me plaît bien plus que la précédente et je suis pour l'instant relativement satisfaite du poème écrit pour l'appel à textes.
Sur ce, l'on se retrouvera dans un prochain article.
Littérairement vôtre,
Ève
me trouver ailleurs :
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mrlafont · 1 year
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Vertige du temps. Je pense aux années 2000. Et je me demande comment cela a pu exister. Je me souviens de cette époque où la télé n’était pas aussi dégénérée. Aujourd’hui, je ne peux plus la regarder, les films de merde, les chaines d’info en continu (quelle horreur, quelle asphyxie), cette diction tout simplement insupportable qu’ont les présentateurs et journalistes. Comment les gens font-ils pour supporter cette intonation ? C’est juste incompréhensible. Tout le monde est con ou quoi ? Tout, tout est nul. Il n’y a rien à garder, rien. Tout à jeter. J’exagère pas. Je plains les enfants d’aujourd’hui qui n’ont pas connu l’époque d’avant les réseaux sociaux, qui n’ont pas connu ce que c’était qu’une vie normale, qui ne savent pas ce que c’est de vivre dans un environnement semi-clos, qui a sa particularité, son rythme, son art, ses couleurs propres, tout ce qui fait l’unicité des choses. À quoi ressemble les rêves des enfants d’aujourd’hui ? Ma ville natale, celle de mon enfance, je sais bien qu’elle ne sera jamais plus comme je l’ai connue. Je voudrais pleurer tellement c’était beau. Quand le massacre va-t-il s’arrêter ? Où est-ce que, dans ce monde, on respire actuellement ? Sur quelle terre déployer ses rêves ? Où sont l’insouciance, l’espoir, la joie ? Je regarde ces vieilles photos et je pleure, forcément, tellement ça me semble irréel. Je me souviens des soirées en famille, chez ma mère... On rêvait, à l’époque, tout le monde rêvait d’un avenir meilleur, les adultes, les plus jeunes et les vieux. Tous ensemble, le rêve. Tout le monde croyait encore à l’avenir. On était tous encore insouciants, enthousiastes, fougueux. Même dans la tristesse, même dans le désespoir, même dans la merde. Les peines de cœur, l’alcool, l’ennui. Mais toujours on avait de quoi tenir. Je me souviens... J’ai bien connu tout ça. J’étais gamin. J’avais l’œil bien ouvert. J’en ai vu des échauffourées, des verres cassés, des poings écrasés sur les murs, les pifs, des gouttes de sang partout le sol, des cuites tôt l’après-midi, des cris, des pleurs, des haleines de chacals, des nuages de fumées de gauloises bleues. Je connais très bien tout ça. Mais tout ça c’était encore la vie. Tout ça c’était encore le bonheur. Je ne vois plus ça aujourd’hui, tout le monde a fermé sa gueule. Les plus beaux sont morts, c’est bien normal, comme le veut le dicton, qui dit qu’il meurt jeune, celui qui est aimé des dieux. Mon dieu, mon dieu, mon dieu, ramenez-moi éternellement en enfance. Heureusement, bien heureusement, je la retrouve, cette mienne nostalgie, cette mienne crevure de cœur désolé, chez ceux que j’aime. Et parfois, dans leurs excès, dans leur folies, ils font encore des conneries que j’aime et qui me rappelle cette liberté et cette envie d’autrefois... Amis, parents, vous êtes ma raison de vivre. Tant que vous souffrez avec moi je n’aurais jamais peur de mourir. Je vous aime.
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kilfeur · 11 months
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La perte d'un répère ( the loss of a landmark)
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Ruby n'était pas la seule à avoir des conflits intérieures. Weiss ressent encore la perte d'Atlas et même l'appel de Klein montre que justement les réfugiés ne sont pas réceptifs à l'aide de la famille Schnee ce qui est assez compréhensible. On peut avoir aussi le ressenti de Weiss en sachant la mort de Jacques, montrant ses reproches envers lui car il les a abandonné bien avant la chute d'Atlas. Mais malgré tout, Atlas restait un repère et voir que sa chute a été provoqué par Ironwood, une personne qui avait prit sa grande soeur sous son aile et qui l'avait aidé dans le bal de charité dans le volume 4. Ça fait mal, c'est vrai ! Et elle n'a plus de maison errant en essayant de trouver une réponse. Au port, elle parle au Bruce, elle comprend comment est Gotham est pour lui. Du coup, elle lui pose à son tour la question est ce qu'on peut toujours appeler une maison si elle n'est plus là. Et qu'est ce qu'il y a après ? Qu'est ce qu'elle peut faire désormais ? On se souvient de sa tirade contre sa version jeune d'elle même. Et même si je pense que ça tient toujours, concrètement elle ne sait pas pour où commencer.
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Weiss qui n'a justement pas de pouvoir contrairement aux autres, on pourrait croire que ce serait une cible facile. Mais malgré tout, elle arrive à s'adapter en utilisant ce qui l'entoure et comprend que la queue du scorpion grimm est un indice. D'ailleurs le fait qu'elle soit celle qui sauve les innocents lors de l'attaque du pont montre justement que même en tant que Schnee, la priorité sera toujours le peuple et non les intérêts de sa famille contrairement à Jacques. Même si Batman est plus en retrait dans ce film, j'ai bien aimé leurs interactions concernant la quête de réponses. Tout comme Weiss, il a eu des attentes de la part de ses parents mais après leurs morts. Il a essayé de trouver des réponses à ses questions pour comprendre ce qu'il est et ce qu'il doit faire ainsi que pour Gotham. J'aime bien comment cette scène fait aussi parallèle avec Ruby et Clark dans la salle d'entraînement.
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Mais le fait que justement c'est Watts qui a causé tout ce bordel, mettant le désordre dans sa tête que ce soit dans le monde digital mais aussi celui de JL. Je peux comprendre qu'elle soit en rognes car Watts s'était allié à son père pour faire tomber l'un des dominos afin qu'Atlas tombe. Du coup elle soutient Ruby pour continuer sa mission mais Clark insiste sur le fait de se reposer car ils en ont besoin ! Lors de l'affrontement final, elle suit le plan bien qu'elle essaie d'atteindre Watts et malgré leur piège, elle voit sa maison bien que ce soit pas réel. On voit que ça la peine de revoir un pays fantôme or elle voit bien que sa famille sont les personnes qui l'entourent et a eu la chance de les trouver. D'ailleurs j'aime beaucoup la petite provocation lancé par Weiss envers Watts car il suit plus Salem désormais. Watts d'ailleurs parle de sa vision, disant que les Schnee n'en avait pas. Sauf qu'aucune de ses balles ne touchent ses cibles. Et le mettant à nu devant Kilgore pour qu'ils soient en conflit et ainsi les piéger dans le monde digital ce qui soulage Weiss.
Elle n'a peut être pas encore trouvé comment concrètement façonner son héritage. Mais elle continuera d'avancer car elle n'est plus seule désormais et son propre repère, son équipe, la suivra pour ce qu'elle compte entreprendre.
Ruby wasn't the only one with inner conflicts. Weiss still feels the loss of Atlas, and even Klein's call shows that the refugees are not receptive to the Schnee family's help, which is quite understandable. We can also see how Weiss feels about Jacques' death, reproaching him for abandoning them long before Atlas fell. But despite everything, Atlas was still a landmark, and to see that his downfall was brought about by Ironwood, a person who had taken his older sister under his wing and helped her with the charity ball in volume 4. It hurts, it really does! And she no longer has a home wandering around trying to find an answer. At the port, she talks to Bruce, she understands how Gotham is for him. So she in turn asks him the question: can you still call it home if it's no longer there? And what's next? What can she do now? We remember her tirade against her younger version of herself. And even if I think it still holds, she doesn't really know where to start.
Weiss has no powers of her own, unlike the others, so you'd think she'd be an easy target. But despite everything, she manages to adapt by using her surroundings and understands that the grimm scorpion's tail is a clue. Moreover, the fact that she's the one who saves the innocents during the bridge attack shows that even as Schnee, her priority will always be the people and not her family's interests, unlike Jacques. Although Batman takes a back seat in this film, I enjoyed their interactions as they searched for answers. Like Weiss, he had expectations of his parents, but after their deaths. He tried to find answers to his questions in order to understand what he is and what he must do, as well as for Gotham. I like how this scene also parallels Ruby and Clark in the training room.
But the fact that it was Watts who caused the whole mess, messing up her head in both the digital world and JL's world. I can understand why she's upset, because Watts had allied himself with her father to bring down one of the dominoes so that Atlas would fall. So she supports Ruby to continue her mission, but Clark insists they need to rest! In the final confrontation, she follows the plan even though she's trying to reach Watts, and despite their trap, she sees his house, even though it's not real. We can see that it pains her to see a ghost country again, but she can see that her family are the people around her, and she was lucky enough to find them. I also like Weiss's little provocation to Watts because he's no longer following Salem. Watts talks about his vision, saying that the Schnees didn't have any. Except that none of his bullets hit their targets. And exposing him to Kilgore so that they're in conflict and thus trapped in the digital world relieves Weiss.
She may not yet have figured out how to concretely shape her legacy. But she'll keep moving forward, because she's no longer alone, and her own landmark, her team, will follow her wherever she goes.
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etiennedaho · 1 year
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LETTRE A JANE B.
Ma Jane
Grace à ton talent, ton élégante beauté libre, ton humour piquant, macabre et britannique, tu as accompagné nos adolescences moroses. Nous voulions être toi, ou Serge, ou Françoise, ou Jacques. Des lumières dans la nuit. La vie a fait que nous nous sommes rencontrés, aimés et que je suis vite devenu un « ami de la famille ».
J’ai aimé ta voix unique, haut perchée et si singulière, ton écriture libre, poétique et culottée, tes engagements. Toujours honnête. Toujours légère. Toujours trop modeste et généreuse, attribuant tes réussites aux autres. Toujours.
Peut-être que certaines personnes, qui préfèreraient te ranger définitivement dans un rôle de muse charmante, réaliseront enfin que tu es une artiste complète à la curiosité en alerte. Qui aurait pu réaliser ton film « Boxes » ou écrire ta pièce « Oh Pardon tu dormais »? Incarner Johnny Jane dans le film « Je t’aime moi non plus » ou « La fausse suivante » dirigée par Chéreau?
Il y a trois ans, Jean-Louis Piérot, toi et moi, avons constitué une armée à 3, pour réaliser ton dernier album qui a été un moment de grâce. Bluffés que nous étions par tes textes, nous avons accompagné ce chapitre de ta vie sur disque et sur scène. Défiant toutes les lois de la médecine, guerrière devant l’éternel, tu as surmonté tes souffrances, sans une plainte et avec le sourire, pour remporter chaque soir de triomphales victoires, devant un public ému aux larmes. Une leçon. Il y a quelques jours tu me disais vouloir remonter sur scène et repartir sur les routes. Refaire cet Olympia que tu avais du reporter. Confiante en l’avenir.
Tu vas retrouver tes parents, Kate, Serge, tes amis et tes chiens. Et tu vas terriblement nous manquer. Amour. Ton Daho
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zorosnavigator · 4 months
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autres infos sur le film , - je suis un peu moins enthousiaste qu'au début, je dois l'avouer, (mais faisons quand même un post dessus)
les infos viennent de wiki donc ça a peut-être changé un peu -- j'en doute.🥲
tout d'abord, le film sera destiné à un jeune public...(10/12 ans) donc, probablement que ce jeune public n'aura pas forcément lu toutes les bd...
Le film n'est pas canon, car il reprend l’histoire du cycle 1 en la modifiant. Le film est voulu comme étant une autre vision, une adaptation libre de la série.
et pourtant
il venait juste d'écrire plus haut: [Contrairement à celui-ci - le dessin animé qui n'existe pas ahem- , l'esprit devrait être moins enfantin et plus proche de la BD. ]
'Les Légendaires sont les personnages principaux du film. On les suivra après les événements de l'Accident Jovénia et avant ceux du cycle d'Anathos. Le film introduira d'anciens personnages secondaires, aux côtés de personnages inédits.
donc. les chara design qui nous ont fait aimé la série, (je ne dis pas que tout était parfait hein), les aventures, les backstories, le déroulement de la bd, nope, on peu oublier. 🫠
( ouais. en tant que fan qui a lu cette série de mes 8 ans jusqu'à mon entrée au lycée je suis un tout petit peu dégoutée...enfin.passons. au moins, Darkhell est toujours le grand méchant j'imagine...ses fans seront contents )
concept art aquatique qui apparemment ne sera pas dans le film
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et à droite, concept art montrant des dirigeables à Oroban
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Ville de Karakis
concept art des nos héros...AHEM Shimy GRYF QU'EST-CE QU'ILS T'ONT FAIT WTF; je sais qu'ils ne sont pas définitifs mais aaah bah si Danaël c'est pas loin, l'image 3D si dessous provient du site du festival d'Annecy donc, Danaël, c'est...fini. (je ne sais pas encore pour Jadina, mais j'imagine qu'elle va ressembler à peu près à ça aussi....)
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au moins Cécile Corbel pour nous donner du baume au coeur, composera la musique du film
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lekintsugihumain · 8 months
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Les relations sont une course contre la montre / On les consommes comme un Mcdo
ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit comme ça j'espère que ce texte trouvera une "oreille"
J'ai l'impression que le "feeling" qu'on peut avoir avec des personnes peut se perdre très vite, quand tu ne vas pas à leur rythme, ou bien quand tu "casses" ce rythme. On peut parler ensemble tous les jours, ou du moins régulièrement, mais si je te réponds plus pendant un temps (chose qui arrive souvent et c'est jamais personnel, c'est juste moi et je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça et je me déteste d'être comme ça.).
Et bien ce "feeling" va se casser. Et il y a comme un engrenage que tu dois relancer, c'est pour ça que je n'aime pas les échanges virtuels en continu, tu dois toujours maintenir une sorte d'intérêt, sinon tout le potentiel de la relation part dans le néant.
Je trouve qu'il y a une réelle pression à répondre vite, pourquoi ? Parce que l'autre t'oublie ou il se lasse, encore une fois, on fonctionne de façon très consumériste. On veut tout, tout de suite, et il y a une date de péremption, il y a un temps imparti, il y a comme "tu as été trop lent, je suis passé à autre chose tu ne m'intéresse plus" ; en fait, c'est comme au McDo, tu ne supportes pas d'attendre ton repas plus de 10 minutes, et si tu attend trop de temps, tu en as même plus envie. L'analogie est drôle, on consomme les gens comme des McDo, on les veux tous, tout de suite maintenant et après on les digère mal, et s'ils mettent trop de temps à arriver, on ne prend pas de plaisir. 
Le temps, c'est de l'argent ? Oui, mais pas que.  Le temps, c'est aussi l'importance, tu es aimé si tu es le plus rapide, le premier à réagir, à être présent, à répondre.  On ne veut plus prendre le temps de connaître et d'apprécier les gens, tant on veut les consumer aussi vite qu'on les a découverts, c'est comme tout.  Pourquoi beaucoup ont la flemme de voir un très bon film 3h, mais disent oui à un film médiocre de 1h15 ? Pour les mêmes raisons.  Et c'est à l'image de nos relations d'aujourd'hui, on ne connaît même pas son propre entourage, tu ne connais même pas les passions de tes propres "ami.es" ni de ta famille. Voilà pourquoi j'y vais parfois à reculons avec les nouvelles (pas que) personne dans ma vie ou autour, ou bien que j'arrête. Parce que je sais que je ne vais pas forcément avoir l'énergie de me battre pour maintenir une forme d'intérêt qu'a la personne pour moi, forcément je suis (de)nouveau dans sa vie, et la (re)nouveauté attise la curiosité, puis quand tu connais... Tu te lasses, ou pour ce qui est de mon cas, on découvre à quel point je suis inconsistant, banal et sans intérêt voir médiocre et méprisable, mais des gens restes pour je ne sais qu'elles raisons, sûrement car on aime avoir cette personne de bon coeur sur qui on sait qu'on compter et piétiner à la fois. Tel un chien qui reviens pour des caresses malgré que tu l'es tapé avant.
Ou l'énergie d'être le seul à maintenir une relation qui probablement ne va exister que dans ma tête, car moi je m'attache, j'ai décris un comportement que j'ai observé, que ne je fais pas, du moins pas totalement, car je pense qu'on est tous un peu comme ça à cause de notre système.
Alors parfois j'abandonne, car je sais que j'ai mis trop de temps à répondre aux messages, ou que je n'ai pas pu être assez présent à tout les événements, à toutes les soirées, que je n'ai pas assez liké ou commenté.
J'abandonne aussi d'avance, car je ne serai pas à la hauteur, je ne pourrais pas te parler h24, tout simplement car je ne suis pas doué pour ça, j'admire ceux qui peuvent entretenir des conversations. ça me rend triste aussi, je vois cette amie avec qui je parle tout les jours, enfin, parlait... Plein de vocaux, elle pourrait disserter sur la pluie et le beau temps, et tu as moi... Moi qui ne peux pas parler autant, qui n'arrive pas à parler de sa journée plus de 10 min et encore parce que il y a juste rien d'intéressant à dire. En fait c'est ça, j'ai rien d'intéressant à dire, et je ne le suis déjà pas moi même, je suppose que ça s'apparente à de l'ennui. Je ne m'ennui pas des autres, je m'ennui des conversations superflues, inutiles...
Je m'ennui de beaucoup de choses, mais pas des gens.
Moi ça me va d'être chill avec toi en silence, ont est pas obligé de casser absolument ce silence, c'est là où je ressens une vrai connexion, quand on peut-être ensemble en silence sans que ça soit gênant, que ça soit même agréable, le plaisir d'être ensemble.
Alors il y a des personnes avec qui ça s'arrête, d'autres avec qui ça ne (re)commencera jamais, parce que je n'ose pas et que je sais que c'est perdu d'avance.
À toutes nos histoires mortes avant d'avoir démarré. Et à toutes nos histoires mortes dans l'oublie au fond de ce portable.
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mhouellebecq · 11 months
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L'amour, L'amour
Dans un ciné porno, des retraités poussifs Contemplaient, sans y croire Les ébats mal filmés de deux lascifs; Il n'y avait pas d'histoire.
Et voilà, me disais-je, le visage de l'amour, L'authentique visage. Certains sont séduisants; ils séduisent toujours, Et les autres surnagent.
Il n'y a pas de destin ni de fidélité Mais des corps qui s'attirent Sans nul attachement et surtout sans pitié, On joue et on déchire.
Certains sont séduisants et partant très aimés; Ils connaîtront l'orgasme. Mais tant d'autres sont las et n'ont rien à cacher, Même plus de fantasmes.
Juste une solitude aggravée par la joie Impudique des femmes; Juste une certitiude: «Cela n'est pas pour moi», Un obscur petit drame.
Ils mourront c'est certain un peu désabuses, Sans illuisions lyriques; Ils pratiqueront à fond l'art de se mépriser, Ce sera mécanique.
Je m'adresse à tous ceux qu'on n'a jamais aimés, Qui n'ont jamais su plaire; Je m'adresse aux absents de sexe libéré, Du plaisir ordinaire.
Ne craignez rien, amis, votre perte est minime: Nulle part l'amour n'esiste. C'est juste un jeu cruel dont vous êtes les victimes; Un jeu de spécialistes.
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Love, Love
In a porn cinema, sluggish retirees Contemplated, without believing it The poorly filmed antics of two lascivious people; There was no story.
And there, I said to myself, is the face of love, The authentic face. Some are attractive; they always seduce, And the others float.
There is no destiny or loyalty But bodies that attract each other Without any attachment and above all without pity, We play and we tear.
Some are attractive and therefore much loved; They will experience orgasm. But so many others are tired and have nothing to hide, Even more fantasies.
Just a loneliness made worse by joy Immodest of women; Just one certainty: "This is not for me," An obscure little drama.
They will certainly die a little disillusioned, Without lyrical illusions; They will thoroughly practice the art of despising themselves, It will be mechanical.
I speak to all those we have never loved, Who have never known how to please; I am addressing those absent from the liberated sex, Ordinary pleasure.
Fear not, friends, your loss is minimal: Nowhere does love exist. It's just a cruel game of which you are the victims; A game of specialists.
From: La Poursuite du Bonheur
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