Tumgik
#trois mec
tricycle-jaune · 1 year
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les mecs qui ont l'habitude d'utiliser les sites de rencontre, faut m'expliquer un truc svp.
pourquoi quand une conversation se passe genre ULTRA bien, que y'a un super bon feeling et même des promesses de "ouais j'te recontacte quand je reviens de vacances", bah soudainement y'a RIEN, le silence, et MÊME la disparition soudaine de la personne dans sa liste de contact qui fait qu'il est dorénavant impossible de recontacter ladite personne mdrrr
non vraiment, je comprends pas ce ghostage, et c'est chiant quoi. je fais quoi de si mal pour qu'on veuille m'effacer de son existence ?? je conçois que j'sois pas un modèle de beauté et qu'il est très facile de trouver mieux que moi d'un point de vue personnalité et tout cque tu veux, mais damn, quand même quoi, vous êtes ultra relou. pourtant j'prends masse des initiatives, j'suis pas une forceuse non plus, je laisse BIEN SUR le choix à la personne, mais quand JUSTEMENT y'a des échanges et des ENVIES des deux côtés de se voir, POURQUOI quelques temps plus tard (qui se résume généralement à de looong silence) bah y'a disparition ?? est-ce que j'aurai dû INSISTER encore ? malgré le fait que y'ait déjà un "acquis" d'établi, est-ce j'aurai dû relancer ? jsp wsh, j'veux pas non plus faire la meuf alors que bon, en soi si de l'autre côté la motivation n'y est plus bah je lui en voudrait pas mais juste faut me le DIRE.
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fagsex · 2 years
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il fait froid il fait chaud il fait les deux comme katy perry mais.... chaud mntnt.... je le haisssss j'ai tellement chaud frerotttt il est MARS !! et il fait quoi.... 80°f dans l'internat !? quand il fait 43°F A L'EXTERIEUR MDRRRR POURQUOIII
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olympic-paris · 5 days
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saga: Soumission & Domination 273
Espagne 1
Cela faisait 15 jours que Marc et Hervé étaient partis en voyage d'affaire et même si notre trajet s'est agrémenté d'une pause plus qu'agréable, c'est quand même nos mecs respectifs et ça c'est irremplaçable.
Ils s'en aperçoivent car c'est dès l'aéroport que nous leur prouvons notre attachement. Nous leur sautons au cou et sans se soucier des autres passagers, nous leur roulons des pelles. Comme d'habitude, nous avons droit à quelques remarques acides qui font dire à PH (qui attendait son tour pour embrasser Marc) qu'il y a des jaloux autour de nous. Heureusement, d'autres trouvent cela touchant et eux non plus ne se gène pas pour nous le faire savoir. Nous partons vers les taxis accompagnés de quelques mots d'approbation.
Dans l'appart d'Ernesto les choses sérieuses commencent. Nous les violons littéralement ! Ils semblent apprécier vu la dureté de leurs bites. Même si nous savons que, tout comme nous, ils n'ont pas été privés de sexe, les sentiments qui nous lient donnent une dimension autre à la partie de baise.
Après il nous faut raconter notre intermède Bordelais. Je préviens Marc que nous avions fait connaissance de deux motards de la gendarmerie et que je les avais invités à passer nous voir quand ils le voulaient. Cela ne l'étonne pas venant de moi.
Le lendemain, nous retrouvons Javier qui comme depuis deux ans nous a trouvé une villa avec piscine et cuisinier au dessus de Sitges. Il ne s'est pas foulé, puisque nous retrouvons et la même villa et Paco à la cuisine.
L'apéritif nous attend, tout comme les attributs de Paco qui n'ont pas diminués depuis un an. D'où effusions de part et d'autre. Il nous serre contre lui en mettant ses deux grandes mains sur nos fesses pour nous plaquer contre sa bite en pleine extension, enfin PH, Ernesto et moi. Avec Marc et Hervé, il est plus... moins démonstratif.  Nous faisons le tour de la maison. Nous retrouvons la terrasse équipé de postes de muscu, la piscine est évidement bien chaude et dans la cuisine, les frigos sont pleins.
Nous retenons Javier qui nous dit que Paco nous fait une fleur cette année car ce sont ses vacances qu'il va passer à nous servir. En effet, il a trouvé un taf de cuisinier dans un grand hôtel de Barcelone. Marc est un peu gêné et appelle Paco. Il l'engueule (gentiment) d'avoir accepté d'être notre cuisinier pendant ses 3 semaines de vacances. Paco l'assure que bosser pour nous c'est aussi des vacances car on est pas chiants et qu'il a toute liberté pour la bouffe. Hervé intervient et lui dit qu'il ne restera que s'il nous jure simplifier sa partie et qu'il profite de la piscine et des p'tits mecs qui passeront dans la maison. Je m'assois sur lui et tortillant du cul, lui dis qu'il y en a déjà trois sur place. Je me relève et son maillot est déformé par les presque 24cm de sa bite en plein essor.
C'est PH qui pense à lui demander s'il n'avait pas un petit copain. Il tergiverse mais fini par nous avouer qu'effectivement il en a un depuis quelques mois. Il nous demande s'il pourra s'absenter de temps en temps pour aller le voir. Marc décide que ce serait beaucoup plus simple s'il pouvait le faire venir à la villa. Cette dernière est suffisamment grande pour accueillir une personne de plus. Comme Paco confirme qu'il est en vacances mais qu'il est resté à Barcelone, Marc lui dit d'aller tout de suite le chercher.
Une heure et demie plus tard nous le voyons revenir avec un minet tout mimi ! Pas plus de 18ans, dans les 1m70, cheveux noir corbeau et structure fine même si ses muscles sont bien dessinés. Déjà bien bronzé, il est vraiment craquant dans son petit short plutôt court et son marcel échancré.
Paco nous présente son Juan. Malgré son air timide je vois ses yeux nous déshabiller du peu de tissus que nous avons gardé sur les fesses. Je pense que nous ne serons pas les seuls à nous amuser ici.
Marc confirme à Paco qu'il peut vivre ici comme bon lui semblait, il était invité pour la durée de notre séjour. Notre cuisto le remercie et nous assure que cela ne changera rien à sa " disponibilité ". Il ajoute même que cela nous amène déjà un p'tit mec à domicile. Quand Hervé lui dit qu'il n'était pas question de profiter de son petit ami, Paco nous assure qu'ils ne sont pas dans une relation exclusive et Juan nous confirme qu'il aime bien faire de nouvelle connaissances. Cela tombe bien c'est notre devise !
Son petit cul m'intéressant au plus haut point, je me dévoue pour lui faire visiter la maison et l'informer des conditions de vie. Nous quittons le groupe sous alors qu'Ernesto prévient Paco que je risque de ne pas me retenir avant la fin du circuit. Paco lui répond que c'est pas grave car il sait que je serais bientôt assis sur sa propre bite.
Je fais les honneurs de la villa. Juan me questionne sur le groupe que nous formons. Je lui dis qui est avec qui sentimentalement, et l'assure que sexuellement nous n'avons pas de limites. Il est content car c'est de la même façon qu'avec Paco il ont basé leur relation. Il vient tout juste de terminer son cycle scolaire et rentre à la Fac en septembre. Je suis surpris de son orientation quand il me dit qu'il veut être médecin légiste. Quand nous entrons dans la chambre de Paco, il me dit que le lit est plus grand que chez lui. Un petit coup de bassin et je le fais tomber dessus. Il se retourne et se redresse pour dénouer le lacet de mon maillot et le faire glisser à mes chevilles. Il m'embouche direct jusqu'aux couilles (il est habitué à du 23,5 si je me souviens bien !). J'adore son enthousiasme. Il ne pèse rien et sans difficulté, alors qu'il continu à me téter la queue, je le mets à 4 pattes et lui retire son minishort. Son cul est tout bronzé aussi. Ça changera Marc et Hervé de nos trois culs blancs. Pas de poils non plus hormis une mini touffe au dessus de son sexe (15/16cm x 4). Je le retourne et, en 69, je peux admirer sa rondelle légèrement boursouflée. Quand je lui dis que cette dernière semble avoir servie il y a peu de temps, il m'avoue s'être fait démonter vite fait par Paco pendant qu'il préparait son sac pour venir. Mon puis mes doigts rentrent facilement. Je lui en fais la remarque et il m'assure que se faire défoncer le cul au minimum deux fois par jour par la bite de Paco, ça formate. Je lui demande s'il fait des exercices de musculation de son sphincter, il est étonné et ne voit pas ce que je veux dire par là. Après explications, il est partant pour essayer. En attendant je prends une kpote sur la table de nuit et l'enfile. Heureusement que je suis super excité sinon la taille XL utile à Paco risquerait de glisser. Juan est super partant et il recule de lui-même pour s'emmancher sur ma bite. Je suis rassuré. Son trou est souple mais colle bien à ma queue. Quand je lui demande se serrer son trou, je me sens pris au plus près. Il apprécie mes coups de rein et laisse échapper des gémissements caractéristiques de la chose. Nous sommes tellement pris à nous faire du bien que nous n'entendons pas son mec entrer. Je ne m'en aperçois que quand son corps se colle à mon dos et que sa bite s'enfonce en moi. Juan en levrette se retourne alors que j'ai cessé tout mouvement dans son cul le temps que le mien s'habitue à ce qu'il prend facile tous les jours. Il est tout content que son mec nous ait rejoints et se redresse pour lui tendre ses lèvres. Ils le lèchent le museau. J'interromps ce moment de tendresse quand je me remets à basculer mon bassin. Juan me trouve plus gros dans son cul. Paco par-dessus mon épaule lui dit que c'est le deuxième effet Kiss Kool !
Je suis bien, la prise en sandwich est trop bonne. Ça titille mes cotés Actif comme Passif. Paco me tue littéralement et m'envoi au 7ème ciel avec son gros gland qui frotte ma prostate à chaque passage. J'ai le plaisir de sentir Juan juter sous mes derniers coups de boutoir. Paco se retire de moi, jette sa kpote et va s'enfoncer dans la gorge de son p"tit mec. Il lui lime les amygdales et se retire juste pour étaler sur la gueule quelques longs jets de sperme avant de renfoncer son gland dans sa bouche et de lui faire avaler le reste de sa production.
Quand nous retournons sur la terrasse, Marc et PH me demande alors comment j'avais trouvé le petit nouveau. Je les fais rire en leur disant qu'à 4 pattes il est encore plus bandant. Ernesto l'attrape et le jette dans l'eau. Il en sort un peu éberlué, peu habitué à ce genre de relation. Il est 15 h quand Paco nous sert le déjeuner. Nous nous mettons à l'heure Espagnole et faisons dériver les points fixes de la journée de plusieurs heures. Il nous régale de salades et de plats froids. Légers tout en étant chargés en protéines ce qu'il nous faut pour assurer notre forme.
Petite sieste réelle, la pleine chaleur n'est ni propice à la muscu ni au sexe. Au réveil, nous discutons avec Paco et Juan sur le programme des 3 semaines. Juan rit quand il m'entend énoncer baise/piscine/muscu/restauration/récupération et on remet ça.
Juan nous dit que nous pourrions aussi trainer dans les soirées organisées par certaines boites et café branchés. Nous serions assurés de trouver les nouvelles têtes. Il le sait par des copains à lui qui sont régulièrement invités. Marc lui demande si ses amis sont aussi mignons que lui. Paco qui entend ça, nous assure qu'ils sont tous aussi canons et qu'il avait eu tellement de mal à choisir qu'il ne se privait pas pour se faire, de temps en temps, des plans à 3 avec l'un d'eux. La première soirée sert à finir de se " caler ". Nous laissons Juan avec Marc et Hervé alors que nous trois profitons de la belle bite de son mec. En déplacement souvent ensemble, Marc et Hervé se sont mis à profiter ensemble des petits mecs qu'ils lèvent et nous même profitons de leur nouvelle complicité.
En attendant c'est aux 23,5 cm de Paco que nous nous attaquons. Comme quand on baise avec Pablo, ce plan à 4 va me permettre de me faire enculer par du lourd en même temps que mon PH adoré. Dans ces cas là, ce qu'on aime le plus c'est de se mettre en 69 et que chacun de nous se fasse emmancher en même temps. Je me positionne donc au dessus de lui et coince ses jambes sous mes bras pour bien lui relever le cul et avale sa bite. De son coté, PH me tête la queue alors que je reste à 4 pattes. C'est la bite d'Ernesto qui entre dans mon champ de vision et qui se met à dilater l'anneau de mon amour. Dans le même temps il doit voir ma rondelle s'ouvrir sous la pression du gland de Paco que je sens entrer en moi. Quand Ernesto tape le fond du cul de PH il m'enfonce en même temps sa bite au fond de ma gorge. Je me recule un peu et achève un peu brutalement de me faire enculer. Un petit temps pour régler le tempo de chacun et nous prenons tous les 4 du plaisir. Je fais à Paco le coup de frein inopiné alors qu'il met tous son coeur à me pénétrer. D'où un étranglement de PH que ma bite lui provoque en se bloquant tout au fond de sa gorge Ses incisives en marquent mon bas ventre ! Je relâche la pression et j'entends Paco me dire qu'il va falloir que j'enseigne ça à Juan, que c'était réel trop bon.
Je sens la bite de mon PH prise de spasme. Il va bientôt me juter dedans ! Mais il arrive à se calmer et ce n'est pas pour tout de suite. De mon coté les va et vient puissant de Paco dans mon cul et les passages répétés de son gland sur ma prostate m'excitent bien. C'est même plus agréable au retrait vu la forme de son gland à gros rebord type " champignon ". a force, il réussit à me faire décoller et j'explose dans la bouche de PH. Automatiquement mon anus pulse et ses contractions répétées ont raison de la résistance de Paco et il remplit sa kpote, fermement accroché à mes hanches. Alors qu'il me lime plus calmement, façons " récupération après l'effort ", je sens ma bouche se remplir du jus de PH. J'avale pour ne pas en gâcher une goutte mais garde ses deux dernières éjaculations pour les partager avec lui et Ernesto. Je vois ce dernier se retirer du cul de mon mec alors qu'il a déjà commencé à juter et achève de se vider sur son visage et son torse. J'avale un peu du sperme de PH que j'avais en bouche pour pouvoir aspirer un peu du sien. De son coté, PH ouvre grand la bouche pour en récupérer lui aussi. Par un roulage de pelle à trois langues, nous échangeons les spermes récupérés et Ernesto n'est pas le dernier à lécher les traces blanches qui zèbrent nos visages. Paco en reste sur le cul de nous voir aussi complices.
Après un bon 1/4 d'heure de récup, nous rejoignons les autres. Ils ont pris leur temps et Hervé et Marc sont encore dans Juan quand nous arrivons. Ils profitent de son petit format pour se le faire à la " broche ". Marc est planté dans son cul alors qu'Hervé se fait le fond de sa gorge et de temps en temps ils interrompent leurs va et vient et le tournent, une fois sur le ventre, une fois sur le dos et de temps en temps ils le boquent sur le coté. Paco rebande à la vue de son petit mec sauté comme cela. Comme on ne peut pas le laisser comme ça, PH se penche et embouche une nouvelle fois son gros gland. Je m'y mets et la tête en arrière lui mange les couilles alors qu'Ernesto s'occupe de sa rondelle. On fait si bien qu'il est tout prêt à juter quand Marc et Hervé prennent leur plaisir. On le relâche et il explose, envoyant son sperme sur le dos de son mec.
Petite récupération et après une rapide douche, plongeons dans la piscine pour se rafraichir une dernière fois avant le dodo.
Jardinier
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thebusylilbee · 5 months
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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e642 · 8 days
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Je vais dire un truc un peu triste. J'ai eu le permis dans la nuit là. J'ai vu la note. Le mec a été sévère m'a dit la monitrice. J'ai eu 21.5. Bah en fait, ça m'a enlevé toute envie d'être contente d'avoir eu le permis après trois ans de galère parce que mes parents ne seront pas réjouis et me diront qu'on me l'a donné et que je ne suis pas prête. En fait, j'ai envie de dire à personne que j'ai le permis. Et oui je ne l'ai pas fait pour faire plaisir a mes parents mais savoir que même avec le permis ils auront pas confiance en moi et ne me prêteront pas leur voiture, bah ça me pique un peu. Ça va passer. Je leur dirai dans quelque temps. Je ne les avais même pas prévenus que je le passais parce qu'ils me rabachaient que je l'aurais jamais. C'est l'échec de la réussite ça. J'ai souvent soit raté soit réussi de peu.
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raisongardee · 2 months
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"Y a des petits juifs bien sympathiques, et des Français des vaches finies, des lots écœurants. C’est pas du tout une question de race. C’est une question de classe. Tout le monde sait ça […] Les juifs responsables de la guerre ? Voilà encore une autre salade ! Une invention du Capital pour disculper les vrais coupables, les hommes de la cinquième colonne. Les vrais coupables c’est Hitler et puis Wendel, peut-être Dreyfus (et encore pour lui c’est à voir), d’accord et d’accord tous les trois (les gros ne se mangent pas), avec Churchill et Franco pour étrangler le prolétariat, lui reprendre ses conquêtes de 36, sa dignité par les week-ends, sa Simca et son bois de rose […] Tout le reste c’est que de la manigance, des embrouillaminis de fausses vaches, de mecs payés par les dudules et par conséquent par les riches pour déconfire, noyer le poisson, pour endormir le damné de la Terre."
Louis-Ferdinand Céline, Les beaux draps, 1941.
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fieriframes · 8 months
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'après ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment était ton voyage à Londres ?
C'était trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les études ?
Snow: Honnêtement, je suis fatigué. J'ai vraiment hâte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible. 
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystère qui est récemment devenu obscur et je savais que tu étais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom Trithème, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ? 
C’est lui. Je suis tombé sur une étrange maison d'édition qui réédite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: Réédite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a même été traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça. 
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-être qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliqués ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drôle. Chaque lettre qu'on veut décoder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut décoder le mot "secret", le texte décrypté devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement être une vraie prière latine, bien que peu créative. Son deuxième livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'écriture.  
Les gens ont dû penser qu'il était fou.
Snow: Oui, probablement même après son premier livre Stéganographie. 
Ah, c'est ça. Stéganographie est le livre que Mars Éditions a réédité.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. Stéganographie se compose de trois parties. La dernière partie est incroyablement compliquée et contient des tableurs de données planétaires. Quelqu'un découvrait récemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas à comprendre moi-même.
Et les deux premières parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui Trithème mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ? 
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planète. Chaque esprit a même son propre symbole, un sceau. Et, bien sûr, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais caché dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression précise. Quand Pamersiel apparaît, on peut lui donner un message à transmettre à n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit être crypté avec des règles spécifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la première lettre de chaque mot. 
Si je veux transmettre le mot "secret", j'écris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliqué. On doit prendre chaque deuxième lettre de chaque deuxième mot. Très différent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le décoder, tu dois savoir quel esprit l'a délivré.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent". 
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement Trithème-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour Trithème : le spiritisme ou la cryptographie. 
Je pense que pour lui, les deux sont liés. Évidemment même l'astronomie si tu inclus le dernier partie de Stéganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscité l'intérêt de nombreux astronomes et mathématiciens de renom et même de linguistes, c'est ainsi que je suis tombé sur son travail. Mais je ne suis jamais allé trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement là où je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide. 
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout à l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
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J'ai trois livres a lire en même temps
Une lessive à étendre (les chats a engueuler, parce que c'est du pipi de chat que j'ai senti, hein les p'tits gars)
Une série si je veux
...
Des fois je réalise, je suis une petite meuf dans un grand corps de mec. [Non en fait, pas exactement, cette description devrait être changeante, adaptée, au rythme des jours et des heures]
C'est le savoir bien être qu'il faudrait discuter
Je me suis aussi vu comme une vieille femme pleine de sagesse hébergeant un imbécile déraciné, c'était tout aussi parlant.
J'ai vu le bûcher infernal en équilibre rageur avec l'océan.
Et l'intérieur qui tentait la mort, pour se délivrer de l'emprise incomprise des gravités planétaires
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dazeofcoral · 2 months
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ça va partir dans trois milles directions là parce que j'ai les nerfs à vif et 10 000 choses à dire sur le sujet... on va se plaindre qu'il n'y a plus assez de personnages hétéros sur les forums... vous êtes sérieux....
on va pas se mentir parce que j'aime rester sincère dans mes publications, c'est vrai sur certains forums c'est limite impossible de trouver un lien love si on fait un perso hétéro, t'as même des forums ou c'est mal vu /non je plaisante pas, j'aimerais bien pourtant parce que peace and love accepter tout le monde c'est aussi les hétéro, n'en déplaise à certains être hétéro c'est pas être fermé d'esprit c'est seulement avoir une préférence, soit /
mais de là à en faire un CDG ouin ouin il y a trop de gay et à lancer des débats sur les serveurs discord ? :OO: c'est quoi qui est trop difficile, cliquer deux fois sur présentation => fiches validées => puis sur plusieurs fiches, de quoi se faire une idée? non parce que c'est ce que font les gens intelligents et si tu vois 15 fiches de présentation et pas un seul perso qui pourrait potentiellement se mettre en couple avec un perso hétéro, va voir ailleurs ou accepte de te lancer et de pas faire tourner ton personnage autour d'un lien love, à croire qu'on sait pas vivre sans ou le temps qui faut pour trouver un partenaire rp pour le jouer, sérieux en passant ; je suis pan et j'ai eu des relations avec des hétéros, on y est pas allergique leul. va falloir revoir la def de pan je pense pour certains, on doit vous passer des liens ? :/oo\:
je cite une autre connerie que j'ai lu il y dix minutes : "tout le monde joue des gay on sait plus se trouver un mec pour son personnage féminin" :/\: / =>> c'est grave qu'en plus ce soit que les personnages masculins qui sont visés. comme par hasard tiens ! ces même joueuses qui sont en train de se plaindre et qui sont les premières à faire des perso hommes pan/bi qui sont jamais mais alors j-a-m-a-i-s en couple avec une femme ? et quand il y a une ex c'est pour construire un drama de la femme outrée et qui a une dent contre le mec qui l'a laché pour un autre mec? ces mêmes joueuses qui se plaignent que leur personnage féminin trouve pas de mec loooool? et vous pensez pas faire partie du problème là ? ah non pardon, vous au moins votre perso il est pas /que/ gay. vous jouez pas /que/ des gay. sur papier, pour un peu mettre de /diversité/ et pouvoir pointer du doigts ceux qui jouent des perso 100% gay, parce qu'en pratique on vous voit jouer des perso 100% gay aussi LEUL zéro représentation pendant des décennies et maintenant ça vous plaît pas d'en voir partout, pour citer une autre belle andouille sur un serveur discord. vous inquiétez pas hein, si c'est ce que vous pensez on veut pas de vous sur nos forums trop /gay/ à votre goût.
restez loin, très loin.
et éduquez vous aussi, parce que j'ai vu de ces conneries sur un discord je me suis demandé.e d'où sont sortit ces cas du 19ème siècle je précise que j'emploie presque uniquement le terme /gay/ parce qu'à priori après avoir lu une heure des conversations à gerber là dessus sur discord je me rends compte que la commu rp ne comprends que ce terme là, à les lire les pan on couche avec tout le monde bah bah bah, les bi c'est des indécis lol lol lol et tous les autres termes ils connaissent pas vraiment, c'est mis pour faire stylé d'après certaines. chouette on se casse les bourses pour faire des perso nuancés ou s'autoriser de jouer un perso à notre image et non non on fait ça que pour se faire remarquer LEUL je vais gerber et rester loin de l'écran pendant trois jours, merci, à part ça on doit se sentir safe dans la commu rp j'aimerais bien savoir où vous voulez que les gens se sentent safe !
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perduedansmatete · 11 months
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c'est marrant parce que la dernière fois que je baisais à un moment je me suis dit ah là j'ai peur ahah !!!! et ça faisait un peu longtemps que j'avais pas eu peur surtout qu'il n'y avait aucune raison donc ça m'a soûlé de penser une phrase que j'ai trop pensé mais ça fait aussi plus d'un mois que je passe au moins trois fois par semaine pas très loin de chez un con pour aller à la fac et je pense tout le temps à lui en ce moment c'est atroce je sais que je devrais d'ailleurs le bloquer pour qu'il arrête de m'envoyer de (rares) messages inattendus et jamais voulus ou qu'il arrête de répondre à mes story des merdes comme si on était copains ce qui m'éviterait aussi de lui répondre parce que pourquoi je le fais je ne sais pas peut-être pour ne pas admettre qu'il m'a traumatisé la même raison qui me pousse à ne pas le bloquer car si je le bloque ça veut dire que ça a existé et en même temps qu'il n'existe plus et ça efface beaucoup beaucoup de choses et de temps, c'est très étrange ce qui peut se passer dans un cerveau n'empêche et des fois je me dis ahah c'est marrant ça fait plus d'un an que je suis incapable de rencontrer quelqu'un et ce n'est pas juste parce que j'adore l'ami platonique car l'envie est là et les occasion pourraient se créer mais c'est peut-être aussi parce que systématiquement quand je sors les mecs me terrifient que l'un des derniers que j'ai embrassé vite fait a fini par m'étrangler il y a donc un an déjà parce qu'il était pas content, que je passe ma vie à faire des crises d'angoisse quand je sens qu'ils vont devenir bizarres, qu'ils ont déjà dépassé les bornes ou bien quand quelqu'un me dit qu'il a envie de moi hihihihi bref sympa la vie en ce moment
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jules-and-company · 7 months
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wow ok donc je vais rant un peu
j’en ai MARRE de voir des gens sur les réseaux (tiktok je te fixe bien fort) qui font « ouin on étudie que des mecs morts racistes et homophobes alors qu’il y a george sand et madame de lafayette et colette » et bien que je respecte ces trois femmes au plus haut point, ARRÊTEZ de faire comme s’il n’y avait pas un PUTAIN de CONTEXTE HISTORIQUE. les mecs morts racistes et homophobes l’étaient 1) dans une époque qui l’était et 2) par rapport à d’autres ???? le curser raciste et homophobe était plus ou moins placé à l’extrême par rapport à la société dans laquelle ils vivaient ???? je viens de voir passer un truc qui citait À L’Ombre Des Jeunes Filles En Fleur avec une citation vaguement misogyne MAIS AS-TU LU LE BOUQUIN BORDEL. AS-TU COMPRIS LA RECHERCHE. ayez un début d’esprit critique je vous en supplie. que baudelaire ait dit des trucs dégueu sur les femmes et sur les femmes noires en particulier ? certes. nous rappelons à tous que bien que j’adore sa poésie, le charles était un gros camé dépressif avec une carte gold dans tous les bordels de paname. donc non, c’était pas exactement un parangon de vertu. je n’en PEUX PLUS de voir (et pas seulement avec la littérature française mais la littérature en général) les gens essayer d’appliquer un code moral, un set de valeurs modernes à ce qu’il ne l’est pas. de l’esprit critique et un début de connaissance historique je vous en supplie. ça sert, justement, pour pouvoir lire les mecs morts racistes et homophobes en reconnaissant quelle partie de leur discours est le reflet d’une époque et d’une société, et pouvoir apprécier ce qu’il y a de beau dans leurs œuvres, car je me plais à croire que si ça fait depuis tout ce temps qu’on les étudie, c’est peut-être pas pour rien. merde. là.
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olympic-paris · 2 days
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saga: Soumission & Domination 276
Espagne 4 les Plongeurs (2013)
Une des relations commerciales d'Ernesto l'appelle pour un plan très particulier. Il aurait besoin de 3 mecs recto verso pour " détendre " une équipe nationale de plongeon. Ernesto essaye d'en savoir plus, notamment la nationalité de l'équipe, pour qu'on puisse voir quels seraient nos clients, mais son contact refuse. Il nous dit juste que notre prix sera le leur. Il connait déjà le sérieux de notre société et compte sur notre discrétion.
Quand Ernesto nous en parle je lui dis qu'il n'a pas besoin de tergiverser. C'est bien sur, oui et qu'en plus ce sont les " patrons " qui s'y colleront en l'occurrence, lui-même, PH et moi. Pas question de laisser passer l'aubaine. Quelque soit l'équipe en question, ils sont tous plus canons les uns que les autres.
Ernesto rappelle son contact. L'accord se conclu sur une nuit à Barcelone dans le penthouse du mec, après que nous lui ayons envoyé nos tofs à PH et moi. Coté financier, la filiale espagnole va enregistrer une rentrée exceptionnelle !
Marc et Henri sont morts de rire quand nous les mettons au courant. Ils nous disent que c'est du flan et que nous allons nous retrouver avec un groupe de vieux à sucer jusqu'au matin. Juan, lui, nous accompagnerait bien.
Le jour dit, nous rejoignons l'appart d'Ernesto pour nous préparer. Epilations et rasages, séance de muscu pour bien faire ressortir nos muscles puis, douches et huilages réciproques. Pas question de passer pour du second choix.
Le client nous ayant demandé d'être ponctuels, nous débarquons chez lui à 21h30. Le mec a 50ans passé et a de beaux restes (pas de ventre et peau encore tendue). Il nous rassure en disant qu'il ne fait que nous héberger. Il nous dit de nous mettre à l'aise. Ernesto lui rappel que c'est un contrat que nous honorons. Il comprend le sous entendu et lui apporte l'enveloppe. Il ne se vexe pas que ce dernier recompte la somme. Les bons comptes font les bons amis !
Devant lui nous nous déshabillons. C'est vite fait, les tennis quittent nos pieds nus et les shorts et marcels les rejoignent au sol. Il nous arrête et nous gardons nos maillots. Nous attendons nos clients autour d'un verre de Coca. Il apprécie le fait que nous ayons refusé l'alcool qu'il nous proposait. Je lui dis qu'il a affaire à des professionnels. Il nous répond que c'est pour cela qu'il avait appelé notre société.
A 22h30 coup de sonnette, et cachés derrière un mec large d'épaule nous arrive trois beaux plongeurs en survêtements. J'en reconnais deux qui étaient parmi les plus canons du plateau de compétiteurs, le troisième n'a rien à leur envier.
Sans parler, le balaise les pousse jusqu'à la chambre et de retour nous dit d'aller les rejoindre. Quand nous arrivons, ils sont en train de quitter leurs survets. Ernesto leur dit d'arrêter et de faire leur premier choix. Cela fait nous nous chargeons de les mettre à poil. Ils sont bien musclés, épilés et bronzé sauf ce qui était protégé par leurs petits maillots. Leurs bites sont dans la normales, la " mienne " est circoncise avec un gland plutôt rond, les deux autres sont entières. Alors que nous n'avons pas encore été plus loin, ils bandent ferme ! À notre tour nous quittons nos maillots et Ernesto attire tous les regards avec ses 24cm !
D'un doigt sur la joue de mon plongeur, je tourne son visage vers moi et lui roule un patin où je mets toute ma science. J'ai le plaisir de voir que cela me détourne des autres. Il prend ma tête entre ses mains pour m'empêcher de me décoller de lui. Je le laisse mener. Il m'a l'air bien affamé et me mange la langue un bon moment. Quand il se décolle enfin je lui en fais la remarque en anglais. Il me dit qu'ils ont terminé la compétition et qu'ils n'avaient pas baisé depuis le début du championnat. Il me reprend la bouche tout en se collant à moi. Nos bites se touchent, se pressent l'une contre l'autre et mon gland pressé entre nos plaquettes d'abdos m'envoi plein de signaux sympas.
Mes mains descendent sur son dos et se posent sur ses fesses. Elles les contiennent sans mal vu leur taille modeste. Le mec est très étroit de bassin et son cul est petit et rond. Il ne réagit pas négativement quand j'écarte ses fesses et que je glisse mes doigts jusqu'à sa rondelle. J'ai même droit à un soupir de bien aise quand je passe mon index dessus. Je crois bien que c'est moi qui serai actif le premier. Je me dégage de ses mains et glisse doucement sur les genoux. Au passage je fais un arrêt tétons. Après les avoir suçotés et faits durcir, je sens que je peux y aller avec les dents. Ses gémissements me prouvent que j'avais raison et ils gonflent encore plus alors que je les mordille. Je descends plus bas et bute sur son gland plus tôt que je ne pensais. En fait s'il n'est pas très épais, il est relativement long et son gland remonte au dessus de son nombril, environ 21 bons cm. Je l'avale en entier. Il est surpris, c'est limite qu'il m'aurait direct juté si je n'avais fortement enserré ses couilles et la base de son pénis, façon cockring avec mes doigts.
Il se calme et lentement je le pipe en gorge profonde. Il me dit que c'est la première fois qu'un mec lui fait ça. Entre deux plongeons sur son intimité, je lui demande alors si une meuf le lui avait fait. Il me dit que de ce coté là il était vierge. Un vrai Pd, ça change de tous ceux qui se disent bi ! Du coup j'y mets encore plus de coeur. Quand il me dit d'arrêter sinon il allait vraiment juter, je le retourne et attaque sa rondelle. Ses deux petites fesses blanches cachaient un anneau rose vif, encore très rond et bien plissé. J'y pose ma langue et le sens frémir. Quand je lui fais la remarque que sa rondelle n'a pas l'air d'avoir beaucoup servie, il me dit entre deux halètement que seulement 3 fois jusqu'à ce soir. Avant de replonger le nez entre ses fesses, je l'assure que s'il aime ça, il va minimum doubler ce chiffre avant demain matin.
J'ai plaisir à le préparer. Je fais appel aux souvenirs des pratiques de Trader sur ma propre rondelle pour sortir le grand jeu. Il aime suffisamment ça pour me demander de l'enculer. Je le mets en levrette, me kpote, graisse ma bite et sa rondelle (pas de poppers, c'est dans le contrat (ils sont susceptible d'être contrôlés à tout moment).
Je pose mon gland sur son petit trou et lui dis de reculer à son rythme pour qu'il me fasse entrer. Il essaye mais se crispe un peu trop. Je reprends les choses en main. Je pose mes mains à sa taille et le tire un coup sec vers moi. Mon gland entre en force. Ça lui arrache un petit cri, vite réprimé. Je lui dis que maintenant il peut reculer à son rythme. Il y va doucement mais à chaque va et vient s'enfonce un bon cm de plus de ma bite dans son trou. Il est étonné quand son dernier coup de rein fait rentrer en contact ses fesses et mon bassin. Je me penche alors sur son dos et lui tourne la tête pour lui rouler une pelle. Nous nous mangeons nos langues jusqu'à ce que je sente sa rondelle se détendre un peu. Je commence alors un limage de compétition, destiné à lui faire comprendre que c'est trop bon pour ne pas recommencer plus tard. Tout en lui labourant le cul, je pense à l'effet que lui fera la bite d'Ernesto.
Je vérifie qu'il bande toujours. Dans ma main je sens la peau de son gourdin tendu sous l'afflux de sang. Il me dit de ne pas le branler, trop proche de l'explosion finale.
Nous changeons plusieurs fois de position. De face, ses chevilles sur mes épaules, il me tire vers lui pour qu'on se refasse une bataille de langues. Je m'enfonce tout au fond de lui et pousse sa tête vers mon téton libre. Il comprend et me tète le pec. Ça m'excite au plus haut point et je ne tarde pas à remplir ma kpote à grands coups de rein qui défoncent à chaque passage sa prostate. J'ai le plaisir de sentir couler entre nos abdos ses jets de sperme. Bloqué tout au fond de lui, je lui roule un patin alors qu'il continu à se vider. J'ai beau savoir que le sperme ne se stocke pas pendant des semaines, c'est pourtant l'impression qu'il me donne. Quelques minutes pour reprendre nos esprits et nous regardons autour de nous. Ernesto se fait enculer par son plongeur (le plus grand des trois). Il a l'air de bien apprécier tout comme PH qui est dans la même situation. Nous les regardons se finir. Les deux sportifs explosent dans leurs kpotes alors que mes " collègues " se retiennent.
Fin du premier round. Passage dans la salle de bain pour tout les 6 puis nous déboulons dans le salon où le balaize discutait avec l'organisateur. Il a l'air un peu gêné de nous voir tous à poils et fait la remarque à ses ouailles qu'ils auraient pu mettre un slip. Je rattrape le miens qui se tournait pour rentrer dans la chambre et, avant qu'un des trois ne réponde, je lui dis que ce n'était pas la peine puisque nous avions loin d'avoir fini. Nous venions juste nous désaltérer et grignoter un peu avant de remettre ça. J'ai le plaisir de voir le mec rougir. L'organisateur lui dis de se calmer que les rideaux sont tirés et que de plus l'appartement n'a pas de vis-à-vis, qu'il n'y a pas de risque de paparazzi. Il est déjà 2h du matin !
Nous retournons dans la chambre chargés d'un plateau recouvert de canettes et de bouffe. Nous discutons un peu et ils se lâchent. Ils sont coaché un maximum et n'ont pas beaucoup de liberté. C'est parce qu'ils avaient eu de très bons résultats qu'on leur avait accordé cette soirée. Je prends le plongeur d'Ernesto pour recommencer la baise. C'est le mieux membré et j'ai préférer ses coups de rein à celui de PH. PH s'occupe du mien et Ernesto s'occupe d'élargir le trou de celui de PH. Il vaut mieux que mon " presque vierge " passe par la sodo de PH avant de se prendre les 24 x 6 d'Ernesto ! Et puis l'apothéose c'est toujours en final.
Nos corps font connaissance. Il est aussi grand que moi et notre 69 est confortable. Quand j'enfonce son gland de l'autre coté de ma luette, il en fait de même avec le mien. Il me semble plus expérimenté que mon premier. Il est plus " mâle " dans son comportement mais il ne pourra m'empêcher de l'enculer quand même ! Coté poils, il est complètement rasé, c'est pas moche. Le premier ma langue dépasse ses couilles et va titiller sa rondelle. Il me rend la pareille et nous nous bouffons un bon moment nos rondelles. J'applique les mêmes principes que pour son pote et ça l'air d'y faire puisque, fréquemment, sa langue quitte mon cul pour soupirer de plaisir. Sous ma langue je le sens se détendre et j'arrive à la faire entrer sur le premier cm. De mon coté je le laisse pénétrer le plus loin qu'il puisse, environ 2cm d'après les sensations qui m'arrivent de ce coté là.
Je pivote, équipe ma bite de son costume en plastique et le tourne sur le dos tout en relevant ses jambes. Il m'aide en posant ses mains sous ses genoux et les tirants vers lui, relève son cul à la bonne hauteur. Je m'empresse de le pénétrer. Ma queue glisse sans grande résistance jusqu'à l'os. Je me penche alors et passant mon corps entre ses cuisses, pose mes lèvres sur les siennes. C'est notre premier baiser. Plus brute que son pote, il m'aspire/tète ma langue. Ma tête fixée à la sienne, je commence à faire bouger mon bassin. Lentement d'abord, j'accélère pour bien le chauffer. Je le baise ainsi un moment avant qu'il ne me demande de me coucher sur le dos. Je me dis que ça va être mon tour mais non, il s'assoit sur ma bite, dirigeant le rythme. Ses mains en appuis sur mes pecs, il joue des cuisses pour s'enfoncer plus ou moins vite et plus ou moins profondément mes 20cm. Sa belle bite bande sans discontinuer depuis que nous avons commencé à jouer. Il se relève complètement et me demande de me placer à genoux. Je m'exécute et cambre bien mes reins. J'entends un " bitch " qui me flatte. Aussitôt après son gland perfore mon intimité. Je le laisse pénétrer jusqu'aux couilles et là, serre mon sphincter. Alors qu'il s'apprêtait à ressortir, il se trouve bloqué. Il est impressionné et me demande comment je fais ça, que ça pourrait lui servir des fois. Je ne le questionne pas sur ce qu'il entend par là et en deux trois phrases, lui explique mes exercices de contractions anales. En attendant je l'ai " libéré " et il me lime sur la longueur totale de sa queue. J'aime effectivement sa façon d'enculer. Il sait faire profiter de son gland débordant et joue souvent sur les 10/15 premiers cm de pénétration, se retirant sèchement dès qu'il sent que ce dernier vient de dépasser ma prostate.  C'est très efficace et plusieurs fois je me serre les couilles pour ne pas partir trop vite. J'explose quand il me prend la main m'empêchant de réfréner mon éjaculation. Tout en jutant, je n'oublie pas de serrer mon anneau et j'ai le plaisir de le sentir venir aussitôt. Il remplit sa kpote alors que je n'ai pas fini de juter.
Quand nous regardons autour de nous, il ne reste que PH en train de labourer le cul de mon petit plongeur avec les conseils d'Ernesto. Je note qu'Ernesto bande encore alors que je suis sur les genoux tout comme les deux autres plongeurs. Ces derniers demandent à Ernesto d'enculer leur copain. Ils ajoutent qu'il est grand temps qu'il se fasse défoncer par du XXL. PH, bien qu'il n'ait pas encore fini cède sa place et se place devant pour se faire sucer. Sa bite bâillonne le petit mec et c'est aussi bien car quand Ernesto le pénètre, il ne peut retenir un râle puissant.
Ernesto fait attention. Il sait bien que sa queue peut être parfois délicate à recevoir. Les deux autres plongeurs encouragent leur copain et lui expliquent de bien se détendre. Ernesto ajoute du gel et il réussit enfin à s'enfoncer jusqu'au bout. PH, déjà bien excité par son passage de l'autre coté, s'achève sur la tête de l'enculé. Nous voyons ses jets de sperme s'enfoncer dans les cheveux courts du plongeur. Une fois ses couilles taries, il nous rejoint au spectacle.
Ernesto dispose maintenant seul du corps de l'athlète. Il nous gratifie d'un véritable spectacle érotique. Il joue du jeune plongeur comme un véritable musicien. Utilisant son corps comme d'un violon, sa bite lui sert archet. Sous ses coups appuyés, le sportif se tord, ondule et en réclame toujours plus. Ses collègues nous disent qu'en une soirée, il aura rattrapé son retard d'expérience. Ils nous disent qu'il n'aura plus aucune difficulté à être régulièrement sélectionné dans l'équipe nationale. Quand nous essayons d'en savoir plus, ils nous demandent d'oublier leur dernière remarque.
De voir ces deux corps prendre du plaisir, nous excite et nous bandons tous à nouveau. Echanges de main, pas question de perdre de vue nos deux baiseurs !
Ils finissent quand même par exploser tous les deux. Le plongeur sous les coups de bite répétés d'Ernesto éjacule sans avoir eu besoin de se branler. Notre ami rempli sa kpote avec de grands coups de rein qui propulsent à chaque fois le ptit mec d'un bon mètre avant qu'il ne le ramène vers lui par les hanches. Nous les rejoignons et, debout, nous jutons les uns après les autres sur leurs corps encore emmêlés. Douches pour tous. Dernières caresses sur leurs peaux douces et imberbes puis nous nous rhabillons. Dans le salon, l'organisateur et le coach nous attendaient. Il demande à ses sportifs s'ils sont contents. Nous avons le plaisir de les entendre dire qu'ils avaient passé une superbe nuit et avant de partir, ils reviennent vers nous pour nous rouler à chacun une pelle.
Nous quittons notre hôte, ravis de la superbe nuit que nous avons passés chez lui.
Jardinier
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e642 · 3 months
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J'me suis embrouillée avec mon beau père. Ce week end j'étais chez le père de mon mec. Je l'apprécie qu'à moitié, il m'a payé des vacances et beaucoup de loisirs et je lui en suis reconnaissante mais c'est tout. Ce n'est pas quelqu'un que je respecte particulièrement. Samedi on mangeait tous les trois ensemble et, les élections approchant, évidemment les débats politiques sont vite arrivés sur la table. Moi, je porte mon orientation politique sur le front. Ya pas beaucoup d'efforts à faire ni besoin de beaucoup me connaître pour savoir de quel côté je suis. Beaucoup de pères (plus que de mères je remarque) penchent à droite mais lui c'était pas écrit Marion sur son front et pourtant... Alors quand il a commencé son petit speech à base de "dehors les arabes" j'ai pété un câble. À entendre certains darons t'as l'impression qu'ils se sont fait voler leur goûter, leur job, leur femme, et leurs enfants par des étrangers. J'ai été réellement rebutée par ses propos. À la fin de son baragouinage, jlui ai demandé s'il avait des cintres. Évidemment, il n'a pas saisi la noirceur du propos. Ce à quoi j'ai ajouté que si la France devenait officiellement fasciste il faudrait retourner aux techniques traditionnelles pour avorter. Puis je lui ai dit que c'était étrange ça que, pour lui, une femme se faisant violée est l'entière responsable sauf si c'est par un étranger (double problème dans sa manière de penser). Puis je lui ai dit que ce serait compliqué de concilier zéro immigration avec zéro écologie, que visiblement c'était pas linéaire dans sa tête que les gens ne partaient pas par plaisir et que les catastrophes climatiques continueraient de s'aggraver. Puis j'lui ai demandé s'il avait bien connu ses grands parents, bizarrement non car la seconde guerre mondiale est passée par là et que si ça continuait, il serait ce grand parent pour les gosses de ses enfants. Puis je lui ai demandé de m'expliquer le principe des européennes et les différences avec municipale, législative et présidentielles, et il a pas vraiment su me répondre. Que des trucs comme ça, rien de profond, pas de chiffre, juste essayer de lui faire capter le problème. Et il m'a dit que ça ne changeait rien, ce à quoi j'ai répondu qu'il n'y avait que les abrutis qui ne changeaient pas d'avis et là, là ça a coincé dans sa tête et il m'a embrouillée. Ça me dégoûte aussi peu d'humanité, de respect et de lucidité. Ça m'a réellement fait mal au cœur cette discussion et voir comme les gens sont profondément cons/tristes/pauvres/en colère pour avoir ce genre d'idées. C'est pas une vie d'exister dans la haine et le mépris de l'Autre. C'est pas une vie de penser des choses aussi grave sans être insomniaque. C'est pas une vie de pas avoir honte. C'est pas une vie de l'assumer. Avec des parents comme ça, c'est navrant à dire, mais tu m'étonnes que les 18-34 votent à droite. Si seulement on prenait assez de recul pour comprendre que nos parents ne sont pas forcément des exemples et qu'on est bien assez grand pour réfléchir. À croire que le libre arbitre, s'intéresser, se cultiver, conscientiser, se remettre en question n'arrive jamais pour certains. Ça m'a rendue très triste. Puis mon village à fait un score de 52% pour le rn et 10 pour reconquête. Comment c'est possible ? Je ne comprends pas comment on peut adhérer à tout ça et cracher sur l'histoire et les schémas pourtant connus et étudiés en classe depuis pas mal d'année déjà.
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kelthoumrambles · 1 month
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Ptn... il m'est arrivé un de ces bails hier soir. Je viens de me réveiller, je suis tjs méga choquée. Hier, vers 19h, j'ai été prendre l'apéro dans un de mes bars préférés. J'ai pas énormément bu mais sur estomac vide, comme d'hab. Puis, j'ai un "pote" qui m'a demandé ce que je faisais. Je lui ai dit où j'étais et il a décidé de me rejoindre aux alentours de 23h00. Ce type, faut savoir, plusieurs personnes m'ont dit de m'en méfier mais comme une conne j'ai pas vu les signes... enfin, si, il est un peu spécial parfois mais c'est un artiste et je me suis tjs dit que les artistes sont un peu zarb. Bref. Je lui fait savoir que je suis fatiguée et que j'allais rentrer. Il propose de me ramener chez moi. Super, j'accepte. On est en voiture et je me rends compte au bout d'un moment qu'il ne prend pas dutout le chemin de ma maison. Je lui demande "euh.. tu vas où là ?" Et il me répond "chez moi". Lorsque je vous dit que mon instinct de survie s'est déclenché en deux temps trois mouvements. On a commencé à se disputer. Ça m'a fait péter un plomb car j'étais totalement prisonnière.... il s'est arrêté au milieu d'une grande route, je me débatais et il est sorti de sa voiture, a ouvert ma portière, il a pris mon sac et il a tout vidé par terre comme un gros dingue, ensuite, il m'a ultra violemment sorti de sa voiture, il m'a traîné sur plusieurs mètres (mon genou droit peut en témoigner) en me gueulant dessus comme un possédé. Je ne sais même plus ce qu'il me disait.. et il est parti en trombe. Je me suis retrouvée au milieu de nul part, le soir, avec mon écran de tel totalement pété suite à cette altercation et, sur une grande route sur laquelle les piétons n'ont rien à faire. J'ai marché pendant une demie heure pour rejoindre la ville et prendre un taxi.... plein de voitures me klaxonnaient. Et après tout ça, le mec m'a envoyé un message totalement lunaire en mode "désolée de t'avoir mis dehors. Je me suis senti humilié" humilié de quoi fdp t'étais sur le point de me v*****??!?? Sérieusement je suis O.O .... Vis ma vie pfff je m'en veux à fond de m'être retrouvé dans une telle situation. Marre. Mais marre.
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cestmoiquand · 11 months
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Ma vie, cette Telenovela, épisode 220:
- je dois quitter mon appartement à la fin du mois, sans les trois mois de préavis, pcq mon appart a été vendue.. mais peut être qu'il ne l'est pas et que je peux rester + longtemps dedans. Sauf que j'ai résilié tout mes contrats en lien avec cet appart...
- le mec, en couple de l'année passée, est à nouveau là. Il est celib. On est assis l'un à côté de l'autre, ça devient tactile (je suis pas une personne tactile), mais tjrs rien
- j'ai rencontré pleins de gens chouettes ces derniers temps et j'ai l'impression d'être + ouverte aux rencontres et de me faire moins d'idée
- un mec, que j'ai embrassé, il y a 6 ans, m'a proposé de dormir chez lui, dans la chambre d'amis, si je passe dans sa ville. Euh... comment dire ? C'est gênant. Surtout qu'il a tenté un move et moi, je suis tjrs pas tactile
- un mec de mon lycée me chine depuis mon anniv. Il est à fond et moi, je fuis
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norellenilia · 7 months
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TW : Relations abusives et violences domestiques Ces derniers temps je vois passer pas mal de reviews sur les livres de Colleen Hoover (que j'ai honnêtement découverte via ces reviews, je savais même pas qu'elle était autant à la mode mdrrr), et plus ça va, plus y'aurait des parallèles à faire avec la première saison d'Eldarya.
Alors disclaimer j'ai jamais lu Colleen Hoover mais après avoir vu des reviews détaillées de 3h remplies d'extraits des livres je pense pouvoir dire sans sourciller que je vois à peu près de quoi on parle lol
Et j'ai parlé d'Eldarya mais en vrai ça rentre dans la dynamique globale de relations présentées comme romantiques mais qui sont bourrées de red flags, à la Twilight ou Fifty Shades of Grey, et qui sont malheureusement très populaires, surtout auprès d'un public jeune et influençable (je dis pas ça de façon péjorative, c'est juste normal, quand on est plus jeune on est plus réceptif-ve à des trucs auxquels on prêterait même pas attention avec un peu plus d'expérience).
Et j'avais pas forcément fait le lien avec The Origins, mais quand on se rappelle que cette histoire rentre totalement dans cette mode de faire passer pour de la romance des relations pleines d'abus et de violence, finalement je m'étonne moins des réactions outrancières qu'on avait eues à l'époque. Ca veut pas dire qu'elles sont moins outrancières, ça veut juste dire que je réalise qu'elles s'inscrivent dans un phénomène de romantisation des violences domestiques à travers la fiction, dont les emblèmes ont évolué ces 15 dernières années, passant de Twilight à Fifty Shades à Hoover aujourd'hui (entre autres, mais je suis pas trop l'actu littéraire).
Concernant le fait que Colleen Hoover est passée maîtresse dans l'art de cette romantisation des relations abusives, je vous recommande du coup >cette critique< de It Ends With Us (Jamais Plus en français), où le perso masculin est censé être dépeint comme un auteur de violences domestiques, mais où au final, il n'est pas très différent des autres protagonistes de l'autrice, juste celui-là est censé être perçu comme violent, mais comme c'est un bg et que c'est le héros, l'autrice et ses personnages se donnent toutes les peines du monde à lui trouver des excuses. Bien sûr, attention, la vidéaste discute de ces sujets graves et partage son expérience sur le sujet.
Pour en revenir à Eldarya, pour les gens qui sont arrivé-e-s plus tardivement et/ou n'ayant pas joué à The Origins, peut-être n'avez vous jamais entendu parler de l'affaire de la potion, de l'épisode mauuuudit, j'ai nommé l'épisode 13 de la première saison :') Il s'agit de la potion mentionnée plusieurs fois au cours de A New Era, qui, après avoir été bue par Erika, a fait en sorte que toute personne ayant connu cette dernière sur Terre est censée l'avoir oubliée (c'était fort mal foutu mais passons). Et au cours de ce fameux épisode 13, après qu'on apprend que des mercenaires ont foutu le zbeul au temple fenghuang pour retrouver Erika et dont on n'entendra plus jamais parler après (non c'était pas des soldats de Papounet il a découvert Eldarya qu'après la prise de la potion), Miiko dit à Erika qu'ils vont lui faire boire une potion qui la rendra indétectable par les mecs qui la cherchent, quelque chose comme ça. Mais pour que ça marche, il faut qu'elle la fasse elle-même, aidée par l'un des trois chefs de garde. La romance piétinait déjà, on était à l'épisode 13 et il se passait rien, évidemment que le but était de choisir son CDC (Leiftan n'en était pas encore un). Et au moment de prendre la potion, après un indice d'Ashkore/Lance sur la véritable nature du breuvage, Erika ne veut plus la boire. Et là, après une tentative du CDC pour nous convaincre, on se retrouve face à un choix : soit on boit volontairement la potion, soit on la refuse. Si on la boit, il ne se passe rien, à part la tristesse d'Erika et l'encadré nous signifiant qu'on a raté l'illu, mais si on refuse, CDC met la potion dans sa bouche et plaque ses lèvres contre celles d'Erika, la forçant à ouvrir la bouche pour y transvaser la potion et l'obliger à la boire.
Là, si vous êtes doté-e d'un minimum d'empathie et de bon sens et que vous avez pas été trop matrixé-e par la culture du viol, vous vous rendrez très vite compte qu'il y a un problème. Seulement à l'époque, c'est parti en steak, entre les gens choqués que ce qui constitue légalement une agression sexuelle soit présenté comme un acte romantique récompensé par l'illustration de l'épisode, les gens qui chialent que "oh là là les râleuses féminiss qui gâchent tout c'est qu'un jeu/de la fiction lâchez-nous", les modos qui lâchent le mot "diffamation" quand on dit que c'est irresponsable de laisser une scène comme ça alors qu'elles savaient visiblement pas ce que "diffamation" voulait dire, et l'équipe qui a fait la sourde oreille jusqu'à ce qu'on fasse la révolution après l'épisode 14 juste pour dire "dsl que ces derniers épisodes vous plaisent pas mais on peut rien y faire c'est écrit à l'avance mais on va engager des bêta-readers et aussi arrêtez de débattre sur le forum un forum c'est pas fait pour ça lol"
(Wé j'ai toujours de grosses rancœurs sur le fonctionnement du forum mais c'est un autre débat.)
Bref, les discours habituels de "c'est de la fiction/c'est qu'un jeu" alors qu'on parle d'une situation vécue par des dizaines et des dizaines de femmes qui voient leurs sentiments et douleurs minimisés à coups d'arguments toujours bidons, non désolée ça passe pas pour moi. Parce qu'en plus, parmi les commentaires, j'en ai vus qui disaient, "moi ça me dérangerait pas de me faire embrasser de force par un beau garçon !", dits par des jeunes filles, et je trouve ça terrifiant. Parce que si ça devait leur arriver un jour en vrai (et je ne leur souhaite évidemment pas), alors ça veut dire qu'elles n'auraient pas les clés pour comprendre pourquoi en fait si, ça les dérange d'avoir subi ça, et elles culpabiliseraient, pendant que d'autres personnes leur diraient, "de quoi tu te plains, c'est un beau garçon/c'est ton copain/tu l'avais cherché" etc.
Et bien sûr le même genre de débat a ressurgi avec Leiftan après son spin-off, puis avec Lance après l'épisode 26, où le scénario a tenté le fanservice pour les gens qui voulaient le romancer depuis le début, sauf qu'entre temps il est devenu un méchant très méchant qui exerce de la violence physique et psychologique sur Erika, et à aucun moment, mais genre aucun moment, on n'en reparlera après...
Je compte plus les messages désobligeants que j'avais pu lire après le retour de Lance en saison 2 en réponses aux personnes mal à l'aise avec la possibilité de l'avoir en CDC, allant du classique "roh là là c'est qu'un jeu si vous êtes pas contentes cassez-vous" à la provocation "moi j'aime bien Lance mais j'aime surtout le dire pour emmerder celles qui l'aiment pas hihi"
Je l'ai dit et je le redis et le redirai encore, je m'en fous que des personnes adorent Lance et le romancent, je m'en fous que des personnes adorent lire Colleen Hoover, Twilight ou 50 Shades, ce que j'aimerais c'est que ce soit en connaissance de cause, en ayant conscience que ce ne sont pas des relations qui doivent être présentées comme saines, qui doivent être critiquées comme toute oeuvre peut et doit être critiquée même si on l'adore, et j'aimerais aussi qu'à défaut y'en ait qui s'achètent un minimum de décence et d'empathie pour les gens qui n'ont pas la même expérience de vie qu'eux.
Bref c'était censé être quelques réflexions comme ça au débotté après avoir vu une vidéo qui m'y a fait penser, au lieu de ça ça traîne dans mes brouillons depuis 3 semaines et ça fait encore 10 km de long dsl mdr
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