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Toscan no 隙間
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toscan-sukima · 1 month ago
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Panne électrique majeure à Cannes après incendie criminel à Tanneron.
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toscan-sukima · 1 month ago
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toscan-sukima · 1 month ago
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Bleu Blanc Rouge
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La France de la révolution, personnifiée par le dictateur Robespierre, se voudrait être l'instigatrice du triptyque “Liberté, Égalité, Fraternité”. Il n'en est rien, cette maxime est un reflet du chemin et du roman historique de ce pays, 1790 n'en est pas l'instigatrice absolue et la révolution a glissé salement dessus comme sur une vague providentielle avec un belle planche d’opportunisme furieux ; cette vague qui venait de bien plus loin dans l'océan de l'histoire de France. Ça ressemble un peu à cette même mauvaise foi historique qui crache sur le moyen-àge et encense les Lumières, alors que la partie positive et avouable de cette dernière, sa substance, fut distillée siècles après siècles durant ce moyen àge tant attaqué.
Aujourd'hui, ces trois mots ont une résonance particulière, en effet, oui, la France, c’est bien “Liberté, Égalité, Fraternité”. Mais leur distribution dans la société est profondément faussée. La Liberté appartient au plus riche, il serait absurde de le nier. C’est lui qui dispose du temps, des moyens, du terrain, de l’espace et des choix. La fraternité appartient littéralement à la frange la plus pauvre ou démunie de notre société. C’est souvent son seul capital, son unique mode de survie. L’entraide, la solidarité, la débrouille, la voilà sa République.
Et l'Égalité, quant à elle, ne rentre pas dans le cadre d'une répartition puisqu'elle est une condition, elle ne se nivelle pas, ne se mesure pas, l’Égalité est la casserole bouillante de la République dans laquelle les libres et les fraternels s’ébattent et cuisent sous le doux feu des idéologies, la seule égalité qui vaille est celle de la dernière seconde, celle-ci, personne n’y échappe. Plus sérieusement, c'est “L’Égalité” qui offre au riche la liberté, qui plus est celle de SOUVENT écraser les pauvre et de DE TEMPS EN TEMPS mettre un peu de pommade sur sa conscience et les rassasier… Les exception offrent des arguments de mauvaise foi bien utiles dans les débats télévisuels sans fond. Cette état contraignant de liberté ne laisse pas d'autre choix au pauvre que de remuer dans les bas-fonds de sa fraternité.
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toscan-sukima · 3 months ago
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Le Nabe qui écarquillait les esprits embrumés d'une audience devant sa totale critique du puritanisme protestant et qui hurle son catholicisme islamique me manque.
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toscan-sukima · 4 months ago
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Cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris
Je viens de retomber sur mes notes de cet été.
La France est un pays profondément politique, à la fois passionné par la politique et rongé par elle. La France est aussi le pays où la politique mondiale s'expérimente. Alors, bien que nous soyons en retard au niveau électoral et que ce qui se passe chez nous soit globalement ce qui s'est passé aux États-Unis 5 ou 10 ans plus tôt, les actions et les images politiques qui naissent en France restent plutôt originales.
Cette cérémonie était donc profondément politique, philosophiquement hyper libérale, positionnée vraiment très à gauche, d'un type socialiste français, woke, ultra inclusif, gay pride, etc. Cette cérémonie était multi-usage. Elle est une réponse de cette gauche caviar qui dirige Paris à l'encontre des électeurs de campagne qui ont voté RN. C'est pour punir les Français qui ont voté RN, pour les faire pester dans leurs taudis de gueux, enfin, c'est l'image qui doit probablement tourner en boucle entre les deux oreilles d'Hidalgo et cie, les purs vainqueurs d'élections moisies, élus rois de rien par le néant, placés dans une assemblée par le chaos et l'opportunisme, la grosse classe quoi, bravo les nullos ! ! revenons aux gueux, le but était de reconnaître les siens et d'attirer les invectives de ses ennemis, il fallait que : "ceux qui critiquent la cérémonie" soient marqués au fer rouge "fasciste" ; et c'est tout à fait réussi, aujourd'hui, aimer ou pas cette cérémonie est un marqueur politique indélébile.
Même sur ce côté politique, bien que je ne sois pas séduit, je trouve que, en dehors de toute considération personnelle sur la triste vulgarité de ces intentions, c'était d'une certaine façon non pas agile, mais bien balancé, pertinent. C'est de bonne guerre, comme on dit, c'était justement, suffisamment vulgaire pour être de gauche, suffisamment méprisant pour être caviar.
Ensuite, si on compare avec la dernière cérémonie olympique au Japon, cette version française était flamboyante, magnifique, originale et très réussie. Maintenant, mon point de vue personnel : la mise en scène était fantastique. Déjà, moi, je n'aime pas les cérémonies d'ouverture et de fermeture des jeux olympiques, sans trop me forcer , j'ai pratiquement réussi à regarder un tiers de la diffusion télé, bon, je l'ai regardée pour ne pas passer pour un idiot lorsque les gens en parlent, mais je ne peux rien dire de négatif sur la mise en scène. C'était filmique, coloré, ça rebondissait dans tous les sens. On se serait cru dans un rêve, le rêve qu'aurait fait Louis XIV de la fête de célébration parfaite de la France. En termes de mise en scène hein, pas dans les symboles politico-culturels qui ont été déversés comme un vomi de cuite post-électorale.
Après...ce n'était pas assez excentrique pour étonner, pas assez extrême pour émouvoir, pas assez brutal pour surprendre, il n'aurait pas fallu donner le vertige ou réveiller la nausée à tous les festivus parisiens en pleine descente de 20 ans de fête mal gérée par leur état physique ramolli de cinquantenaires bouffis, Paris eu senti un peu trop les déjections de leurs dégueulis incontrôlés...
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toscan-sukima · 4 months ago
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toscan-sukima · 4 months ago
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M. d'Anjou
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toscan-sukima · 4 months ago
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Pour tous les tarés qui disent encore "c'est acté, Nantes n'est pas en Bretagne, légalement, point à la ligne." Ils sont de bons collaborateurs, encore plus collabos que les collabos, des bonspetits produits, utilisables à souhait, toujours près à sacrifier soixante quinze kilomètres de liberté pour un micron de sécurité en échange., c'est logique, mais pas pertinent, c'est vrai comme est actée la supériorité véridique de ceux qui gagnent une guerre, même sur la mémoire de l'humanité. De véritables esclaves, des esclaves de l'histoire, des servant de la tendance, des rebelles en polystyrène qui fondent instantanément devant le feu des suppositions, qui se figent comme des poupoules apeurées devant le monolite de la cohérence.
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toscan-sukima · 5 months ago
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tarako
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toscan-sukima · 6 months ago
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toscan-sukima · 6 months ago
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Albator
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toscan-sukima · 6 months ago
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toscan-sukima · 7 months ago
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Song by "Los Chestos" photography: Stephane BDC
Sur les ruines des rêves fumants Les mots atomisés du dénuement, Silence de Dieu, hurlement irascible Sous le soleil des couleurs zaudibles.
Brumes, méthylène de souvenirs mornes Spectres érythème de chevaux cruciformes Les rêves tatoués des faux Judas résonnent Vague murmure pour une raison d'homme
La courbe des sens s'est inversée Un muscadet, des idées sombres Une voix rampe et sort de l'ombres Des décibels qui grondent, Sillon d'escence controversé...
À Chaque ligne, bataille féroce Des larmes noires du rhinocéros L’encre illusoire coule de l'ambulance Le monde indigne soule la conscience
Secrets criés devant le sanctuaire, Aucune pensée, une danse sourde La voix s’élève, c'est l'écho du bougre Lumière qui fuit hors du lampadaire
Chaque lettre fouette, impitoyable flatulence, L'indémodable pouète pouète
Votre multitude est rance. Toute multitude est rance. ...telle est mon errance.
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toscan-sukima · 8 months ago
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Dieu
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toscan-sukima · 10 months ago
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Il suffit d'aller au croisement de deux routes, et d’attendre, dans ces deux pays que sont la France et le Japon pour mieux comprendre une infime portion du grand bol des différences entre ces deux sociétés et les individus qui les composent. 
Prenons en main des statistiques de comptoir, invérrifiables donc probablement pertinentes, car tirées de multiples expériences d’observation, d’une généralisation excessive mais agréable et humaine. Bref… Au Japon, à un croisement, trois ou quatre voitures vont arriver, en même temps,  et elles vont toutes s'arrêter. En France, trois ou quatre voitures vont arriver en même temps et elles vont toutes essayer de passer en force.
La première chose que l’on pourrait penser, et qui n'est pas totalement fausse mais manque de précision, manque de profondeur, c'est qu'au Japon, ils ont peur des réactions des autres, qu'ils sont polis, civilisés, qu'ils laissent passer l'autre parce qu'ils sont gentils et que c’est comme ça qu’il faut faire, et que c’est culturel, ici, on respecte les autres. Ce n'est pas exactement ça. Pour le dire un peu sèchement, au fond de leur cœur, chaque Japonais porte une part de “ la poupoule qui se fige de peur”, des ‘poules mouillées’ qui ont peur que l'une d'entre elles soit un coq ou un monstre et les attaque. Elles redoutent toutes les conséquences que cela pourrait engendrer. Elles craignent aussi, par exemple, que le coq, l’individu devenu ennemi par la faute de leur comportement non civilisé, l'ennemi en quelque sorte, ne soit pas forcément violent, franc, direct et fort, mais plutôt pervers, timide, introverti, vicelard et degeulasse, qu'il prenne leur numéro de plaque d'immatriculation, tout info potentiennement utilisable afin de les stalker, les suivre et les harceler sans trop se mettre en danger, rayer leur voiture, faire sonner le telephone, fouiller les poubelles, suivre leurs progéniture dans la rue…
En France, au contraire, on trouve trois coqs qui savent que les 'poupoules’ existent et donc, essaient de passer en force, se disant que l'autre, celui d’en face est une poupoule ayant une forte propention à se figer de frousse en face d'un coq, frondeur. Ce n'est pas non plus exactement la réalité, mais, garder cette différence en tête, c'est une bonne manière de se rendre compte des différences entre ces deux pays  et de peaufiner sa stratégie pour vivre au Japon et subtanciellement mieux comprendre les Japonais. Car au final, on ne les comprend jamais vraiment, eux-même d’ailleur ne se comprennent pas.
Après des dizaines d’années au Japon, un étranger peut commencer à interpréter ceci, que les Japonais ne s'arrêtent pas à un croisement, non pas parce qu'ils savent qu'ils sont des “poules” et qu'il existe des “coqs”. Non, ils savent qu'au fond d'eux, caché derrière plusieurs labyrinthes de miroirs fumés, existe un petit coq pervert, plein de cette énergie revancharde de cette rancoeur turbo boostée à la frustration, haineux par défaut. Ils savent que cette sale merdasse de petit coq pervert et peureux peut éclore, ils savent qu'il est mauvais, et ils ne veulent pas réveiller ce coq timide et connard chez les autres. C'est parce qu'ils ont peur d'un eux-mêmes quasi-inconnu (car caché derrière des épaisses strates de masques socio-culturels) que les Japonais sont polis. Ces masques et les conséquences de civilité qui en découlent sont aussi, accessoirement, le lubrifiant indispensable de l’expérience humaine de cette société japonaise. Comme un serpent qui se mange la queue, son repas obligatoire, la seule chose qui le garde en vie est la tragédie qui l’accable.
Quant aux Français, s’ils ont dépassé la peur d'eux-mêmes, c'est parce qu'ils ont une franche conscience de leur agressivité, et c’est finalement par peur des autres qu'ils deviennent agressifs… ou plutôt sanguins. Disons plutôt sanguins.
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toscan-sukima · 11 months ago
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Un jour, j'ai rencontré une personne qui affirmait avec un aplomb surprenant que la condition de la femme athénienne pendant la Grèce Antique était meilleure que lors du moyen âge en France. Elle affirmait cela comme un argument supplémentaire pour haïr "toutes les religions monothéistes" car elles nient quasiment la femme, alors que la situation sous le joug des religions polythéistes étaient plus respectueuse des femmes... En tant que féministe convaincu, je me dois de rappeler quelque banalités et fait avérés sur ce sujet.
Condition des femmes en Grèce antique (Athènes)
1.Statut juridique et social
- Les femmes étaient souvent considérées comme mineures légales sous la tutelle d'un homme (père, mari, ou tuteur).
- Elles n'avaient pas le droit de vote, de participer directement à la vie politique, ni de posséder de biens en leur nom propre.
- Les femmes de citoyens athéniens passaient la plupart de leur temps dans le gynécée, une partie de la maison réservée aux femmes, et leur rôle principal était de gérer le ménage et d'élever les enfants.
2.Éducation
- Les femmes recevaient peu d'éducation formelle et étaient principalement formées aux tâches domestiques.
- Cependant, les courtisanes éduquées, appelées hétaïres, pouvaient avoir une certaine influence sociale et intellectuelle.
3.Vie sociale et religieuse
- Les femmes participaient à certaines fêtes religieuses et cérémonies, mais leur interaction sociale était très limitée comparée à celle des hommes.
Condition des femmes au Moyen Âge en France
1.Statut juridique et social
- Les femmes étaient également souvent sous la tutelle de leur père ou de leur mari, mais certaines femmes, surtout dans la noblesse, pouvaient posséder des terres et exercer des droits seigneuriaux.
- Le droit de vote n'existait pas, mais certaines femmes exerçaient une influence indirecte par le biais de leur rôle dans la famille ou la cour.
2.Éducation
- Les femmes, notamment dans les classes supérieures, pouvaient recevoir une éducation religieuse et parfois même laïque.
- Les monastères et les couvents offraient aux femmes des opportunités d'apprendre et de jouer des rôles importants dans la société médiévale.
3.Vie sociale et religieuse
- Les femmes participaient activement à la vie religieuse, certaines devenant des abbesses avec une autorité considérable.
- Les femmes des classes inférieures travaillaient souvent aux côtés des hommes dans les champs, les ateliers et les marchés.
Conclusion...
-Liberté de mouvement
- Les femmes du Moyen Âge en France semblaient avoir plus de liberté de mouvement et d'interaction sociale que les femmes athéniennes, qui étaient souvent confinées à la maison, avec une quasi-interdiction de sortir du gynécée, comme une prison ou une cage, il fallait demander la permission aux hommes pour en sortir.
-Opportunités d'influence
- Les femmes au Moyen Âge pouvaient avoir des rôles importants dans les institutions religieuses et, dans certaines occasions, dans la gestion des terres et des biens, ce qui n'était généralement pas le cas en Grèce antique.
-Éducation et participation sociale
- L'éducation des femmes était limitée dans les deux contextes, mais les femmes médiévales avaient parfois des opportunités d'influence culturelle et intellectuelle, notamment par le biais de la religion.
En résumé, bien que les conditions des femmes dans les deux époques présentent des limitations et des inégalités significatives, les femmes au Moyen Âge en France semblaient avoir plus d'opportunités d'influence et de participation sociale que leurs homologues athéniennes.
Enfin, que dire de la comparaison douteuse sur la liberté des femmes dans les sociétés régies par les religions polythéistes face aux évolutions (certes discutables, imparfaites, lentes, et tout ce que vous voudrez...) de la condition des femmes dans un environnement catholique.
1. La place de la femme dans les religions polythéistes
Les religions polythéistes antiques (comme celles de la Grèce, de Rome, ou des civilisations hindoues anciennes) sont souvent perçues comme valorisant les femmes en raison de la présence de déesses puissantes. Cependant, cette vénération divine ne s'est pas toujours traduite par une meilleure condition sociale pour les femmes.
Points à noter :
Grèce Antique :
Les femmes étaient largement exclues de la vie publique, des fonctions politiques, et même des cultes religieux majeurs. Elles étaient confinées à la maison (oikos), sous l'autorité du père ou du mari.
Le mariage servait souvent à garantir des alliances politiques et économiques. Les femmes mariées étaient considérées comme des reproductrices avant tout.
À Athènes, les femmes n’avaient pas de statut juridique propre, et leur participation au culte des dieux était strictement limitée aux rituels domestiques ou spécifiques comme les Thesmophories.
Rome Antique :
La société romaine avait un système patriarcal strict. Bien que certaines femmes aient pu accéder à une relative liberté (notamment les veuves riches), la grande majorité restait sous le contrôle de leur paterfamilias.
Les vestales, prêtresses de Vesta, jouissaient d'une certaine indépendance, mais cela représentait une exception et non la norme.
Hindouisme ancien :
Le rôle de la femme variait selon les époques et les régions. Les textes anciens comme les Laws of Manu prescrivaient une soumission stricte de la femme à son père, son mari, ou son fils.
Les pratiques comme le sati (immolation des veuves) illustrent les pressions sociales exercées sur les femmes dans certaines périodes.
2. La place de la femme dans les religions monothéistes
Le christianisme (et particulièrement le catholicisme médiéval) a eu un impact complexe sur la condition des femmes. Bien qu'il ait contribué à instaurer un système patriarcal, il a aussi introduit des protections et des idéaux qui ont permis une certaine élévation de la position féminine par rapport aux systèmes polythéistes.
Points à noter :
Dans le christianisme :
Idéalisation de la maternité : L’importance de la Vierge Marie dans le christianisme a contribué à une vision valorisante de la maternité et de la femme comme éducatrice. Cela se distinguait nettement des cultures antiques où la maternité était davantage fonctionnelle que sacrée.
Éducation et monastères : Les femmes avaient accès à l’éducation dans les monastères. Des figures comme Hildegarde de Bingen ou Christine de Pizan montrent qu’il existait des opportunités intellectuelles.
Protection sociale : Les femmes chrétiennes bénéficiaient de protections juridiques accrues, notamment en matière de mariage (prohibition de la polygamie, reconnaissance du consentement dans le mariage). Ces protections n’existaient pas dans les sociétés antiques.
Dans le catholicisme médiéval :
Le mariage chrétien a codifié des règles visant à protéger la femme, par exemple en condamnant le divorce unilatéral pratiqué dans les sociétés antiques.
Les femmes veuves pouvaient jouir d'une certaine autonomie économique et sociale. Celles qui entraient dans les ordres religieux trouvaient aussi une indépendance vis-à-vis des contraintes matrimoniales.
En Islam :
Les textes islamiques, bien qu’interprétés différemment selon les périodes et les régions, accordaient certains droits aux femmes (héritage, gestion de la dot). Cependant, la soumission au mari restait une norme forte.
3. Comparaisons chiffrées et contextuelles
Polythéisme antique vs. monothéisme médiéval :
Dans les sociétés polythéistes, les femmes n’avaient généralement pas de statut juridique propre. En revanche, le droit canonique catholique reconnaissait leur consentement dans les mariages, une avancée cruciale pour l'époque.
L'accès à des rôles religieux était limité dans les polythéismes, tandis que le christianisme permettait aux femmes d'entrer dans des ordres religieux, leur conférant parfois une certaine autorité.
Sacrifice et dévotion :
Le christianisme médiéval interdit explicitement les sacrifices humains et d'autres pratiques oppressives envers les femmes (comme les mariages arrangés sans consentement).
4. Sources académiques pour approfondir
Karen Armstrong, The Gospel According to Woman (1986) Analyse de la condition féminine dans le christianisme à travers les âges.
Sarah B. Pomeroy, Goddesses, Whores, Wives, and Slaves: Women in Classical Antiquity (1975) Étudie la vie des femmes dans les sociétés grecque et romaine antiques.
Joan Kelly, Did Women Have a Renaissance? (1977) Explique comment le christianisme a affecté la condition des femmes au Moyen Âge et à la Renaissance.
Gerda Lerner, The Creation of Patriarchy (1986) Décrit l'évolution du patriarcat et le rôle des religions.
Elizabeth A. Clark, Women in the Early Church (1983) Exploration de la place des femmes dans le christianisme primitif.
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toscan-sukima · 11 months ago
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je ne haïrai jamais une âme. C'est d'ailleurs totalement impossible d'imaginer cela. Même la pire personne dispose d'une âme, si petite soit-elle. Et sans vouloir parler de justice au sens d'une justice qui compense, d'ailleurs, je n'ai jamais aimé ce symbole de justice avec une balance.
Cette idée de balance qui symboliserait la justice, je trouve que ce symbole est extrêmement mal choisi. En effet, une balance équilibrée changera de côté à cause d’un pet de mouche. Lorsque je parle du pet de mouche, je veux dire qu'il suffit d'un minuscule poids pour faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre lorsqu'elle est équilibrée. Comment voulez-vous qu'une personne ayant subi une injustice accepte qu'une cour de justice discute de la nécessité ou non d'ajouter ou de retirer un pet de mouche afin que la sentence soit juste ? L'outil lui-même, la balance, ne devrait à mon sens pas du tout symboliser l'idée de justice.
On dirait une sorte de chose qui servirait à plaire aux gens qui ont été déçus de quitter la justice de la vengeance, comme s'il fallait que la condamnation soit équivalente ou au moins pèse autant que le crime. Encore une chose totalement impossible, puisque la sensibilité de chacun et tout ce qui est à l'intérieur de nous est concrètement impossible à mesurer. Donc, il est impossible de mesurer quelque chose qui soit à la hauteur de tel ou tel crime. Dans l'univers intersidéral, le poids d'une âme est donc impossible à mesurer. Et, aussi horrible soit telle ou telle personne, il y a forcément un moment ou un lieu, ici ou ailleurs, maintenant ou avant ou après, quand cette âme a été, sera, deviendra non pas juste, ni même équilibrée, mais moins horrible ou plus adaptée à son temps, son environnement, ayant été moins traumatisée, et donc qui traumatisera (qui traumatisa) moins, qui paraîtra moins être une personne horrible. Je peux haïr l'acte d'une personne, je peux haïr les mots d'une personne, mais je ne peux pas haïr l'âme d'une personne.
Par exemple,
Je ne hais pas les utopistes, je voudrais simplement leur demander de fermer leurs grandes gueules. Je voudrais simplement leur demander de chercher en eux, de trouver une poésie qui fait de l'utopie une raison de chercher l'idéal dans une petite boîte, et non une raison d'imposer aux autres d’aller le chercher, pour eux, au fin fond de la cambrousse.
Pourquoi ? Parce que,
L'utopie est une fainéantise spirituelle, c'est une fainéantise de l'esprit. Elle est très pratique quand on n'a pas envie de réfléchir, elle est très pratique quand on veut éviter le conflit, elle est tr��s pratique, c'est un confort total, c'est un confort politique, c'est un confort qui nous garantit même le droit de tuer, c'est un confort qui nous garantit la non-nécessité de penser. Nous n'avons plus besoin de penser.
Le militantisme, c'est l'action, c'est le muscle, c'est le cri, c'est le mini-dogme qui est le propre de ceux qui veulent conserver, protéger leurs utopies, qui veulent conserver ce confort. L'imbécillité, c'est quand ces personnes, soit militantes, soit soutenant ce militantisme ou défendant cet élan utopiste, pour les plus intelligentes d'entre elles, sachant pertinemment que les actions menées vont avoir à coup sûr des conséquences néfastes, laissent faire ou agissent dans ce sens. C'est la plus pure imbécillité, à l'image d'un petit enfant qui a déjà constaté maintes fois qu'en écrabouillant une fourmi, celle-ci décède, mais qui continue car il trouve cela amusant. Il refuse de stopper sa satisfaction, ce confort que le jeu offre à l’homme pour oublier son stress et ses problèmes. L'imbécillité est un des fléaux, un des nombreux parasites qui rongent l'humanité. Sous couvert de bonne conscience, l'utopie offre un boulevard de possibilité et d'action à l'imbécillité humaine, surtout l'utopie ayant des aspirations politiques.
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