Cinephile / Physical Movies / Video Tapes 🖤 Je cultive une véritable passion pour l'univers cinématographique, notamment pour les films classiques. J'apprécie particulièrement l'opportunité de découvrir et redécouvrir certaines œuvres qui m'ont profondément touché. C'est dans cette optique que j'ai décidé de créer ce blog, afin de partager ma collection et mes critiques. Discuter de ces sujets avec d'autres passionnés enrichit considérablement l'expérience et crée un esprit convivial.
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8) Mort ou vif, 1995


Sam Raimi exploite habilement les conventions du western dans ce film modeste, où son intention première est de mettre en œuvre une mise en scène dynamique et inventive. L'intrigue, mêlant vengeance et duels, ne sert finalement que de prétexte, bien que ce soit un prétexte séduisant auquel le spectateur adhère avec d'autant plus de plaisir que le casting réuni est de qualité. Sous la direction d'une Sharon Stone à l'apogée de sa carrière, Mort ou vif se distingue également par l'interprétation mémorable de Gene Hackman dans le rôle de l'antagoniste, ainsi que par la participation de Russell Crowe et de Leonardo DiCaprio, dont les carrières en étaient alors à leurs débuts. Le talent de Sam Raimi, qui capte chaque duel avec une approche distinctive, atteint ici son paroxysme, illustrant ainsi que l'excellence d'une mise en scène peut compenser un scénario convenu.
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7) Robin des Bois, prince des voleurs, 1991


Il s'agit sans aucun doute de la version la plus célèbre et la plus aboutie de l'histoire de Robin des Bois. Les antagonistes sont remarquables, notamment le shérif, brillamment interprété par le regretté Alan Rickman, ainsi que son cousin Guy de Gisborne, incarné par Michael Wincott. Le duo composé de Kevin Costner et Morgan Freeman offre une dynamique intéressante agrémentée d'un humour agréable. Le film se distingue par ses répliques percutantes, sa bande sonore de qualité, ainsi qu'une mise en scène soignée, des décors recherchés et des costumes admirables. L'intrigue captive le spectateur du début à la fin, permettant de découvrir des personnages aux personnalités fortes, du plus jeune au plus âgé. Une œuvre véritablement excellente !
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6) Pretty Woman, 1990


« Pretty Woman » est indéniablement la comédie emblématique des années 90 et est devenue l'une des comédies romantiques les plus cultes du cinéma. Garry Marshall réalise un film à la fois simple, intelligent et intemporel, mettant en lumière un choc des mondes évident entre un homme d'affaires influent et une prostituée qu'il croise par hasard. Rapidement séduit par cette femme fascinante, il prend la décision de l'engager comme escorte. Richard Gere interprète le rôle du businessman, renforçant ainsi son image de séducteur, tandis que la rayonnante Julia Roberts accède à la postérité grâce à sa fraîcheur et son sourire éclatant. Mentionnons également l'excellent Hector Elizondo, qui incarne un directeur d'hôtel des plus sympathiques. Des scènes emblématiques, telles que celles du shopping ou du dîner d'affaires, font de 'Pretty Woman' un film marquant dans le genre, qui continue d'inspirer des imitations aujourd'hui et sans aucun doute pour longtemps, sans jamais être égalé.
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5) Les Hommes de l'ombre, 1996


Ce film policier de qualité rend hommage aux classiques du film noir, nous plongeant dans une atmosphère captivante empreinte du charme des années 50. Le casting est véritablement réussi, avec Michael Madsen et Nick Nolte qui interprètent les hommes de main d'une brigade anti-crime. C'est un thriller particulièrement sombre, représentatif du genre. Melanie Griffith joue le rôle d'une femme interrogée par le FBI, tandis que John Malkovich incarne un général affligé par les séquelles de la bombe atomique et d'un cancer.
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4) Sudden Impact, 1983


Victime d'une agression (viol) commise dans sa jeunesse par un groupe de malfaiteurs dans la petite ville de San Paulo, l'artiste peintre Jennifer Spencer résolut de traquer et d'éliminer chacun de ses agresseurs. Face à ses méthodes inquiétantes et afin d'éviter une médiatisation excessive, la direction de la police décida d'assigner l'inspecteur Harry Callahan à un poste éloigné de San Francisco. En tant que responsable d'une enquête sur un meurtre à São Paulo, il fera la rencontre de Jennifer. Il convient tout d'abord de mettre en avant l'authenticité de ce quatrième volet de la saga L'inspecteur Harry. En effet, Le Retour de l'inspecteur Harry est réalisé par Clint Eastwood lui-même, et la richesse indéniable du film se manifeste tout au long du récit. À la différence des précédents épisodes, ce long-métrage s'érige en un polar psychologique plutôt qu'en un film policier traditionnel. La mécanique du cinéaste fonctionne de manière parfaitement fluide, et sa prestation en tant qu'acteur confère à son œuvre à la fois force et sobriété. Le scénario, mis en images par la caméra de Clint et accompagné de la bande originale troublante de Lalo Schifrin, nous offre un moment cinématographique de grande qualité. Le travail artistique du film évoque des inspirations hitchcockiennes, tant par la présence constante d'un suspense palpable que par une atmosphère tendue aux nuances surréalistes. La mise en scène, à la fois puissante et efficace, met en valeur les scènes d'action ainsi que les séquences de flash-back, percutantes, troublantes et intenses, habilement intégrées tout au long de l'œuvre. La montée de la tension et l'atmosphère suffocante laissent présager un dénouement impitoyable, où se déroule une explosion finale de violence stylisée, révélant ainsi le véritable caractère du film, celui d'une œuvre d'horreur profondément émotive.
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3) Les Incorruptibles, 1987


Considéré comme un chef-d'œuvre essentiel de la filmographie de Brian De Palma, 'Les Incorruptibles' est un film policier, s'inscrivant dans une esthétique proche du film noir, qui se révèle tout simplement exceptionnel à presque tous les égards. L'atmosphère presque parfaite du Chicago des années 30 plonge immédiatement le spectateur dans l'univers de la prohibition, où règne le célèbre mafieux Al Capone. Après une brève introduction du protagoniste, la scène qui se déroule dans le bar s'impose avec brutalité et sans aucun préambule. Elle établit immédiatement les fondements d'une époque marquée par la violence, la dureté et l'impitoyabilité. Dans une ville où la majorité des forces de l'ordre, des juges et des procureurs sont corrompus, aucun acteur ne semble disposé à s'opposer au trafic orchestré par Al Capone, qui exerce son emprise sur la ville sans être inquiété. Eliot Ness, un homme intègre du département du Trésor, se consacrera résolument à destituer le criminel de son trône, accompagné de ses trois coéquipiers au sein de l'équipe des Incorruptibles. Il convient de souligner que le genre proposé par Brian de Palma est parfaitement maîtrisé du début à la fin. Il évite habilement les excès et les maladresses, et les plans sont d'une grande beauté, notamment le travelling dans l'appartement de Malone et autour de la grande table des décideurs. Les personnages et les dialogues sont également remarquables, grâce à l'écriture de David Mamet. Le casting est remarquable, tout comme les performances des acteurs, en particulier celle de Robert De Niro. Ce dernier, fidèle à lui-même, a abordé son rôle avec un investissement considérable, offrant une interprétation excellente qui laisse néanmoins un léger regret : celle de ne pas le voir davantage à l'écran. Cependant, le film n'est pas centré sur lui, ce qui est tout à fait justifié. De plus, chacune de ses apparitions est significative, ce qui témoigne d'un choix judicieux dans la narration. Kevin Costner, Sean Connery et Andy Garcia offrent des performances irréprochables, avec une mention spéciale pour Garcia. Néanmoins, on peut regretter que le film semble conçu pour atteindre un large public, se révélant ainsi moins violent que Scarface. Cette approche atténue l'intensité du récit, et la retenue du réalisateur se fait parfois ressentir, ce qui est quelque peu dommage. En résumé, Les Incorruptibles est un film captivant et un classique indéniable, une valeur sûre à apprécier pleinement.
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2) Danse avec les loups, 1990


Ce film débute de manière peu prometteuse en raison d'un scénario peu convaincant, de scènes et de séquences mal exécutées. Il faut un certain temps, après la scène tragique du major, pour s'immerger pleinement dans l'atmosphère des grandes plaines américaines. Cependant, une fois cette phase de transition franchie, le film parvient à se stabiliser et à devenir captivant pendant au moins deux heures. Grâce à des scènes plus faciles à filmer, la mise en scène prend une belle ampleur et Kevin Costner parvient à nous transmettre ses émotions. Ces deux heures représentent un moment de vie intense, d'autant plus appréciable qu'il n'a que peu d'équivalents dans le genre western. Toutefois, cela est quelque peu terni par le choix inapproprié de l'actrice interprétant la fausse indienne. De plus, juste après la période de deuil, la situation redevient insupportable. Le retour au fort abandonné, dont les péripéties frôlent parfois la malhonnêteté (ceci étant un choix assumé par Costner), nous impose une longue séquence d'une mise en scène particulièrement décevante, difficilement digne d'un futur lauréat aux Oscars. De plus, je tiens à souligner que le vol du précieux carnet de vie de Dumbar, utilisé comme papier hygiénique par de tels personnages près d'une rivière, constitue à mes yeux une véritable atteinte à l'intelligence et au bon goût...
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1) L'Amant, 1992


Cette adaptation méticuleuse du roman de Marguerite Duras par Jean-Jacques Annaud parvient admirablement à capturer la chaleur étouffante de Saïgon, la splendeur des paysages, ainsi que l'embouchure du Mékong. L'atmosphère unique, fidèle à l'œuvre originale, est en grande partie portée par la voix off de Jeanne Moreau. L'érotisme subtil s'entrelace avec le quotidien, permettant une transition fluide d'un registre à l'autre. Tony Leung, d'une beauté saisissante, incarne une émotion constamment maîtrisée mais authentique, tandis que Jane March dégage une fragilité associée à une maturité remarquable. Il est excellent d'avoir transcrit les dernières phrases du roman de Marguerite Duras : Et puis il le lui avait dit. Il lui avait dit que c'était comme avant, qu'il l'aimait encore, qu'il ne pourrait jamais cesser de l'aimer, qu'il l'aimerait jusqu'à sa mort. La voix unique de Jeanne Moreau permet de ressentir toute l'intensité de l'amour dépeint dans le film, provoquant chez le spectateur une profonde émotion. L'écho de la valse de Chopin dans le grand salon et les sanglots de Jane résonnent comme l'ultime manifestation d'une passion amoureuse destinée à un triste dénouement.
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