#Absalom and Achitophel

[twicedailyquotes]

Beware the fury of a patient man.

John Dryden

from Absalom and Achitophel

[oysterie]

nvm not short this is like a 20 page poem 😭😭

[confusedbyinterface]

Whether Richard III is the "Handsome Man"

Objection 1. It seems that Richard III is not particularly handsome, and has scoliosis. For Shakespeare says (Richard III Act I Scene 1) "I that am rudely stamped and want love's majesty to strut before a wanton ambling nymph" . In contemporary depictions he is mid, at best. So he cannot be considered a "Handsome Man".

On the contrary, It is written (2 Samuel 16:21-22): "Et ait Achitophel ad Absalom: Ingredere ad concubinas patris tui, quas dimisit ad custodiendam domum: ut cum audierit omnis Israel quod foedaveris patrem tuum, roborentur tecum manus eorum. Tetenderunt ergo Absalom tabernaculum in solario, ingressusque est ad concubinas patris sui coram universo Israel." And Hedwig has often dreamed of Absalom.

I answer that, It is necessary to consider the narrative voice when interpreting any text. Now Hedwig has made it clear that she is somewhat unreliable, and that in telling the story she is adding interesting descriptive elements that are not directly pertinent to the mystery. And it is not only the elaborate gothic style of narrative which includes such elements, for as Hedwig and Catherine discuss (Misericorde, Volume 1, Chapter 1) Samuel calls David, Absalom, and other men "comely". Indeed Catherine argues that this is an expression of Samuel's own attraction rather than a fully disinterested appraisal of their appearance. Now it can be seen that Hedwig is incredibly turned on by usurpers, especially ones who murder their relatives (2 Sam. 13:26-30). So therefore, Hedwig would describe Richard III as a "Handsome Man" regardless of his actual appearance.

[christophe76460]

O2Vie 350-2024/08 : Achitophel ! (Fin)

2 Samuel 16:23 : Les conseils donnés en ce temps-là par Achitophel avaient autant d’autorité que si l’on eût consulté Dieu lui-même. Il en était ainsi de tous les conseils d’Achitophel, soit pour David, soit pour Absalom.

La vengeance est le chemin de l’autodestruction ; des gens ont emprunté ce chemin et sont dans le regret aujourd’hui. Dieu nous appelle à pardonner à ceux qui nous offenses. Le pardon apporte la guérison. Le manque de pardon est un poison qui nous ruine intérieurement et nous tue à petit feu. Hébreux 12:15 dit : « Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu ; à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient infectés. » Dieu nous appelle à veiller à ce que l’amertume ne pousse pas des racines dans notre cœur. Dans ce passage, le mot grec pour amertume est PIKRIA et veut dire �� poison ». L’amertume est un poison, alors, garder l’amertume dans le cœur c’est de s’empoisonner. Il faut pardonner et évacuer l’amertume ; cela nous ouvre des portes de grâces divines. La grâce de Dieu était sur Joseph partout où il allait car il a pardonné à ses frères qui l’ont haï, trahi et vendu. La Bible nous dit à plusieurs reprises que le manque de pardon constitue un obstacle à nos prières. Matthieu 5.23-24 : « Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère ; puis, viens présenter ton offrande. » 1 Pierre 3:7 : « Maris, montrez à votre tour de la sagesse dans vos rapports avec vos femmes, comme avec un sexe plus faible ; honorez-les, comme devant aussi hériter avec vous de la grâce de la vie. Qu’il en soit ainsi, afin que rien ne vienne faire obstacle à vos prières. »

Matthieu 18.21-22 : Alors Pierre s’approcha de lui, et dit : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à septante fois sept fois.

Pardonner n’est pas facile mais c’est possible ; Dieu ne nous demande pas des choses faciles mais il nous demande des choses possibles par le Saint Esprit.

Que la grâce de Dieu soit avec vous !

Pasteur Adodo TOGBEVI & L’Equipe Eau de vie

[yes-bernie-stuff]

2 Samuel 16

Tsiba, le perfide serviteur de Mephiboscheth

1 Lorsque David eut un peu dépassé le sommet, voici, Tsiba, serviteur de Mephiboscheth, vint au-devant de lui avec deux ânes bâtés, sur lesquels il y avait deux cents pains, cent masses de raisins secs, cent de fruits d’été, et une outre de vin. 2 Le roi dit à Tsiba : Que veux-tu faire de cela ? Et Tsiba répondit : Les ânes serviront de monture à la maison du roi, le pain et les fruits d’été sont pour nourrir les jeunes gens, et le vin pour désaltérer ceux qui seront fatigués dans le désert. 3 Le roi dit : Où est le fils de ton maître ? Et Tsiba répondit au roi : Voici, il est resté à Jérusalem, car il a dit : Aujourd’hui la maison d’Israël me rendra le royaume de mon père. 4 Le roi dit à Tsiba : Voici, tout ce qui appartient à Mephiboscheth est à toi. Et Tsiba dit : Je me prosterne ! Que je trouve grâce à tes yeux, ô roi mon seigneur !

David maudit par Schimeï

5 David était arrivé jusqu’à Bachurim. Et voici, il sortit de là un homme de la famille et de la maison de Saül, nommé Schimeï, fils de Guéra. Il s’avança en prononçant des malédictions, 6 et il jeta des pierres à David et à tous les serviteurs du roi David, tandis que tout le peuple et tous les hommes vaillants étaient à la droite et à la gauche du roi. 7 Schimeï parlait ainsi en le maudissant : Va-t’en, va-t’en, homme de sang, méchant homme ! 8 L’Éternel fait retomber sur toi tout le sang de la maison de Saül, dont tu occupais le trône, et l’Éternel a livré le royaume entre les mains d’Absalom, ton fils ; et te voilà malheureux comme tu le mérites, car tu es un homme de sang ! 9 Alors Abischaï, fils de Tseruja, dit au roi : Pourquoi ce chien mort maudit-il le roi mon seigneur ? Laisse-moi, je te prie, aller lui couper la tête. 10 Mais le roi dit : Qu’ai-je affaire avec vous, fils de Tseruja ? S’il maudit, c’est que l’Éternel lui a dit : Maudis David ! Qui donc lui dira : Pourquoi agis-tu ainsi ? 11 Et David dit à Abischaï et à tous ses serviteurs : Voici, mon fils, qui est sorti de mes entrailles, en veut à ma vie ; à plus forte raison ce Benjamite ! Laissez-le, et qu’il maudisse, car l’Éternel le lui a dit. 12 Peut-être l’Éternel regardera-t-il mon affliction, et me fera-t-il du bien en retour des malédictions d’aujourd’hui. 13 David et ses gens continuèrent leur chemin. Et Schimeï marchait sur le flanc de la montagne près de David, et, en marchant, il maudissait, il jetait des pierres contre lui, il faisait voler la poussière. 14 Le roi et tout le peuple qui était avec lui arrivèrent à Ajephim, et là ils se reposèrent.

Absalom à Jérusalem

15 Absalom et tout le peuple, les hommes d’Israël, étaient entrés dans Jérusalem ; et Achitophel était avec Absalom. 16 Lorsque Huschaï, l’Arkien, ami de David, fut arrivé auprès d’Absalom, il lui dit : Vive le roi ! vive le roi ! 17 Et Absalom dit à Huschaï : Voilà donc l’attachement que tu as pour ton ami ! Pourquoi n’es-tu pas allé avec ton ami ? 18 Huschaï répondit à Absalom : C’est que je veux être à celui qu’ont choisi l’Éternel et tout ce peuple et tous les hommes d’Israël, et c’est avec lui que je veux rester. 19 D’ailleurs, qui servirai-je ? Ne sera-ce pas son fils ? Comme j’ai servi ton père, ainsi je te servirai. 20 Absalom dit à Achitophel : Consultez ensemble ; qu’avons-nous à faire ? 21 Et Achitophel dit à Absalom : Va vers les concubines que ton père a laissées pour garder la maison ; ainsi tout Israël saura que tu t’es rendu odieux à ton père, et les mains de tous ceux qui sont avec toi se fortifieront. 22 On dressa pour Absalom une tente sur le toit, et Absalom alla vers les concubines de son père, aux yeux de tout Israël. 23 Les conseils donnés en ce temps-là par Achitophel avaient autant d’autorité que si l’on avait consulté Dieu lui-même. Il en était ainsi de tous les conseils d’Achitophel, soit pour David, soit pour Absalom.

[myriamesther]

Bonjour

Achitophel n'a pas été intègre dans son service et loyal à David.

Que ton service dans les domaines spirituels et professionnels soit rendu avec intégrité et loyauté envers Dieu, tes supérieurs et collaborateurs/ Tu as du potentiel/ HELP

2 Samuel 15:31 On vint dire à David: Achitophel est avec Absalom parmi les conjurés. Et David dit: O Eternel, réduis à néant les conseils d'Achitophel! À Lire l'histoire d'Achitophel.

Point de prière

Seigneur, aide-moi à être toujours intègre et loyal dans mon service.

Au nom de Jésus.

Amen.

[ericrobertnolan]

"Must I at length the Sword of Justice draw?"

“Must I at length the Sword of Justice draw?”

Must I at length the Sword of Justice draw? Oh curst Effects of necessary Law! How ill my Fear they by my Mercy scan, Beware the Fury of a Patient Man. —  from John Dryden’s “Absalom and Achitophel” Kneller, Godfrey; John Dryden (1631-1700), Playwright, Poet Laureate and Critic; Trinity College, University of Cambridge;…

[fabulousthingsaid]

Great wits are sure to madness near allied, and thin partitions do their bounds divide.

John Dryden, Absalom and Achitophel (1678)

[harrypotterhousequotes]

HUFFLEPUFF: “Beware the fury of a patient man.” –John Dryden (Absalom and Achitophel)

[jribax]

Beware the fury of a patient man.

— Absalom and Achitophel, John Dryden, 1681

[crykea]

John Dryden - ABSOLOM AND ACHITOPHEL

[beholdingslut]

i'm sorry to bother but kings is my absolutely favorite series & i was shocked to see it on my dash as nobody speaks of it, it turned 10 years abt a week ago & we will never see more of it & it PAINS me, it never got much recognision, there’s little new content of it and i know no one who’s seen it. i lovelovelove david so much the actor was brilliant, i can’t ever stop thinking abt the director saying that he knew given the moment at which it aired jack & david wouldnt be accepted together (1)

(the interview's deleted but i'm sure i've saved it somewhere, i can find it) while in the bible, if subtle, it's quite clear that they were a couple and im so devastated. would he have let them be, otherwise? i have so many feelings abt it, & i hope this wasnt unwelcome.

not only is this not unwelcome, it is extremely welcome! going into the show, i knew it only had one season and i was content with that because i thought it  they would manage to wrap up the ends in a neat way but i see now they were anticipating another season and it was so desperately needed because they did so much groundwork. for instance, i felt that michelle’s character was messy and uncertain; they were trying to do too much with her, her agenda and relationship with david/her family seemed to change every episode. being in exile for a year could have settled her character. the opposite happened with jack, they did too little – his character had limited depth until the last couple of episodes, which is a criminal waste of that, especially considering the source material (”whatever you want me to do, i’ll do for you”). and most of all, i wanted to see david’s relationship with God grow alongside his ascension to king, while watching silas become further corrupted, politically and more importantly, spiritually. i’m devo it was cancelled, even though i’m ten years late to that party.

[le-immorte]

Great wits are to madness near allied, And thin partitions do their bounds divide.

Absalom & Achitophel, John Dryden

[yr-obedt-cicero]

What do you mean it was a possible reference to his homosexuality???? 😭😭😭

This was pointed out by john-laurens by the way, but in the letter where Henry says;

I purpose [John Laurens] shall go to Britain & there be first initiated at Winchester which I am told has greatly retrieved its character for Learning & discipline & from thence to such University as my friends who are better Judges than I am shall advise, among whom I am permitted to number Your Excellency & if nothing very cross interposes to hinder, either Jack or I or both will go to Augustine before he goes to England, but the Monkey insists upon being Major of the Clyster pipe.

(source — Henry Laurens to James Grant, [November 24, 1770])

An enema, also known as a clyster, is an injection of fluid into the lower bowel by way of the rectum. The word enema can also refer to the liquid injected, as well as to a device for administering such an injection. So, this was most likely a reference to Laurens wishing to study medicine. But another interpretation was the historical reference to homosexual acts. A “clyster pipe” or “clystering” was also used as a sexual reference, particularly in regards to sodomy. Like in The Crafting of Absalom and Achitophel;

the author continued: “and when he has rais'd his own Beastly Concupiscence, Tilts at 'em with his Nasty Clyster-Pipe”—clyster meaning enema and the medical clyster-pipe quite likely being of brass. If Dryden in fact meant a reference to Oates's sodomy, we should note two things about it: Dryden has made it briefly and wittily, through verbal ambiguity, and he has kept it very much subordinate to his undermining of Oates's credibility. Dryden's concern is not so much with the man as with the witness.

(source — The Crafting of Absalom and Achitophel: Dryden’s Pen for a Party, by Walter Keith Thomas)

Foster displays more 18th century examples of this too;

The year before “In Defence of Masonry” appeared in print, Green's popular An Entertainment for a Winter's Evening went through two editions in Boston. It emphasized anal intimacy between the men and also used the analogy of clystering to evoke sodomy. The poem also used the imagery of a banquet to link sex to Masonic initiation rules, this time with an accent on international fraternization of an illicit kind.

Where's honest Luke, that cook from London,

For without Luke the LODGE is undone.

'Twas he who oft dispell'd their Sadness,

And fill'd the brethren's hearts with gladness.

For them his ample bowls o'erflow'd,

His table groan'd beneath it's load;

For them he stretch'd his utmost art;

Their honours grateful they impart.

Here, Luke, a “cook from London,” is a sodomite upon whose “ample bowls” (read: “bowels”) the Massachusetts Freemasons lavish their “grateful” “honours.” Indeed, without him “the LODGE is undone.” His symbolic posterior fills the men's “hearts with gladness” and “oft dispell'd their Sadness.” The stanza continued with a commentary that appears to ridicule the Masons by suggesting that they pervert the principle of fraternization between manly peers.

Luke in return is made a brother,

As good and true as any other,

And still, though broke with age and wine,

Preserves the token and the sign. By cozying up to Luke, the elite membership allow themselves to be seduced by their “brother” from overseas. Their new “brother,” in turn, is debauched in the end by the excesses of the Freemasons: “broke with age and wine.” In the winter of 1777 a series of letters printed in the Boston Gazette echoed the sentiment that Freemasons, because of their homosocial secrecy and ritual, elicited concerns about same-sex behavior. In December 1777 a response to a “Lawyer who pronounced an Oration to the Free Masons” said to be written by a “Lady” expressed the following:

You said Sir on a late Occasion,

When speaking forth your fine Oration,

Ladies could never Masons be,

Alass! They fail in Secrecy.

Then with your Brothers pass your Life, Sir,

Without a Mistress or a Wife, Sir;

Lawyers with Masons ought to dwell,

For both have much unfit to tell.

The poem impressed one unidentified diarist sufficiently to prompt the chronicler to record the poem in its entirety, preceded by this explanation: “The following lines written Extempore by a Lady. To the Lawyer who pronounced an Oration to the Free Masons on Saturday the 27 Day of December 1777.” The charge of sodomy turned the image of the Freemasons as manly participants in orderly civic rituals upside down. As a marker of their deviance, it operated to define their character. And they stood as men who lacked normative desire for women and who deviated from heterosociability.

By the mid-eighteenth century, through newspaper accounts, some sermon literature, and imported fiction, Massachusetts' print culture was no stranger to discussions of a minority population of men who preferred sexual romantic contact with other men. But then an interesting thing happened. In Massachusetts the apparently proto-homosexual subject largely evaporated from broad public discussions. The enduring Puritan cultural message of general depravity that gave local significance and meaning to reports of molly houses and sodomites in Europe had waned by the Revolutionary era. That this earlier message was influenced by the Puritan cultural climate of early eighteenth-century Massachusetts is suggested by the fact that Pennsylvania newspapers, for example, did not print as many of these notices. Massachusetts printers selected these stories because they resonated there. By the Revolutionary era, stories of sodomites no longer symbolized the need for all men to guard against sinful excesses, but rather described a minority concern irrelevant to the Massachusetts social setting. For much of the eighteenth century, although official discourses of capital crime and sin viewed sodomy primarily as an act deserving punishment, popular conceptions of sodomy could view it as a feature of character. However, it would not be accurate to say that eighteenth-century Anglo-American popular culture had an understanding of sexual subjectivity that equated the sodomite with the modern medicalized and psychologized homosexual subject. Rather, the various discourses examined here joined sexual proclivity or taste to specifically religious ideas about corruption and immorality. What evidence we do have on sexual practices suggests that long-term practitioners of sodomy were characterized by their deviant sexuality; it was viewed as an aspect of their personhood, as a proclivity or taste.

(source — Sex and the eighteenth-century man, by Thomas A. Foster)

It is highly unlikely this was Henry's true intent of wording, as I'm heavily dubious to believe Henry would casually imply such considering the severity of the matter. But what is interesting, is Laurens's interest in these matters that could be deemed homosexual.

[christophe76460]

O2Vie 348-2024/08 : Achitophel ! (5)

2 Samuel 16:23 : Les conseils donnés en ce temps-là par Achitophel avaient autant d’autorité que si l’on eût consulté Dieu lui-même. Il en était ainsi de tous les conseils d’Achitophel, soit pour David, soit pour Absalom.

Le pardon n’est pas une faveur qu’on fait à notre offenseur mais un service que l’on rend à soi-même. 2 Samuel 17:23 nous parle de la fin tragique d’Achitophel comme suit : « Achitophel, voyant que son conseil n’était pas suivi, sella son âne et partit pour s’en aller chez lui dans sa ville. Il donna ses ordres à sa maison, et il s’étrangla. C’est ainsi qu’il mourut, et on l’enterra dans le sépulcre de son père. » Achitophel, le sage, est mort en se suicidant !!! Que s’est-il passé ? Qu’est ce qui a provoqué cette tragédie ? Un homme si sage ?! Un conseiller du grand roi David ?!! Achitophel avait une belle carrière, un formidable ministère mais qui va s’arrêter brusquement. Pourquoi ? Achitophel est parenté à Bath-Schéba que David a prise pour femme en faisant tuer son mari. Si nous lisons 2 Samuel 11.3 et 2 Samuel 23.34, nous y voyons qu’Achitophel était le grand-père de Bath-Schéba. Même si David a essayé de dissimuler son péché avec sa petite fille, cela ne peut pas échapper à un homme aussi sage que lui. Il refusa de pardonner à David et décida de se venger. Lors de la révolte d’Absalom contre son père David, Achitophel décida de trahir David en regagnant le camp d’Absalom. Le manque de pardon a détruit sa vie et son ministère.

Colossiens 3:13 : Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi.

Le pardon n’est ni simple ni facile à notre chair, mais il est possible par l’Esprit. Le pardon libère et guérit et il nous permet d’avancer dans la vie. Acceptons de pardonner à ceux qui nous ont offensés.

Excellente journée à vous !

Pasteur Adodo TOGBEVI & L’Equipe Eau de vie

[maranello]

Claudio Coello, Saint Michael the Archangel // John Dryden, Absalom and Achitophel