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#Col de la Sinne
doktortraktor · 2 years
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Westalpen Offroad 2021
Aussergewöhnlich lange musste ich 2021 warten bis es endlich wieder auf Motorradreise ging und dies auch bloss für 10 Tage. Die Offroad-Pisten der Westalpen waren das Ziel, dazu sollte die ganze Ausrüstung und Technik auf Praxistauglichkeit für den anstehenden Südafrika-Trip getestet werden. Zum ersten Mal wollte ich auch die Offroad Fähigkeit meiner neuen Moto Guzzi V 85TT testen, ich versprach…
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17.7.17 Wir verließen das Hotel De La Maison sehr früh, um der Nachmittagshitze zu entgehen. Da noch kein Frühstück stoppten wir kurz nach Roussillon an eine Bäckerei am Straßenrand für ein schnelles Frühstück. Dort löste sich auch unser Plan “Col de la Sinne” in Rauch auf, da zwei franzosen erklärten, dass es dort keine Route gibt. Kurzerhand die Route geändert und die D28 nach “Beuil” gefahren, was sich am Ende als lohnenswert herausstellte. 1. es gab eine Tankstelle, denn sehr viel weiter wären wir nicht gekommen. 2. die Farbe der Felsen änderte sich schlagartig in dunkles Rot. - - - die roten Felsen von Roussilion. Mittagspause verbrachten wir an einer Anhöhe mit wunderbarem Blick auf den See “Lac de Castillon”. Unser Ziel für den Tag war dann noch die Schlucht von Verdon. Irre, wie tief wir nach unten geschaut haben. Puhhh, zum Glück gabe es ein Geländer. 😊
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gourmetsandco · 6 years
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[author] [author_image timthumb=”on”]http://www.gourmetsandco.com/wp-content/uploads/2011/03/patrick2.jpg[/author_image] [author_info]
L’Agapé
Paris (XVIIème)
par Patrick Faus
[/author_info] [/author]
Une cuisine formidable, meilleure que jamais, qui vaut largement deux étoiles !
  On l’a un peu trop vite oublié, mais Laurent Lapaire, maitre des lieux, est sans doute une des figures les plus importantes de la gastronomie parisienne de ces dix dernières années.
Un simple regard en arrière permet de constater tout ce que l’homme a apporté, formé, lancé, aidé, des chefs qui sont maintenant parmi les plus en vue de la capitale. Lorsqu’il ouvre L’Agapé en 2008, il vient de passer une dizaine d’années comme maitre d’hôtel chez Alain Passard à l’Arpège. D’un extrême professionnalisme, il aime cependant la nouveauté, l’aventure bien pensée, les coups de cœur, et soutient des jeunes chefs dont il a le talent de sentir le potentiel. On y a connu les débuts de Bertrand Grébaut (aujourd’hui chef du Septime) qui donnera sa première étoile à L’Agapé dès 2009. Il y aura ensuite Guillaume Bracaval, aujourd’hui chez Michel Troisgrois comme chef exécutif, puis Yohan Lemonnier. Enfin, et peut-être surtout, l’arrivée de David Toutain à Paris dans la minuscule salle, le couloir en fait, de l’Agapé Substance où l’on se souvient encore des premiers repas chez ce surdoué.
Dix ans que l’Agapé a ouvert ses portes pour la première fois. Laurent Lapaire dirige son restaurant avec le même enthousiasme, la même volonté de réaliser une des meilleures et des plus originales cuisine de la capitale. Pour cela, il a trouvé (encore !) la perle rare. Un japonais, ça devient banal, mais Yoshitaka Tagayanagi a un talent évident et éclatant.
Après ses débuts au Japon, il arrive en France, à Lyon avec Nicolas Le Bec dans une aventure qui tourne court, un passage au Grand Véfour, puis la rencontre avec Yannick Alléno, au Meurice puis chez Ledoyen. Le voilà chef à l’Agapé où il travaille en osmose parfaite avec Laurent Lapaire sur les compositions de la carte, la sélection des produits, tout en le laissant s’exprimer dans la lignée de la philosophie du lieu.
L’Agapé a récemment fait peau neuve, conjuguant avec bonheur une certaine modernité sans la froideur inhérente à cette approche, et un goût très personnel qui a su rendre chaleureuse cette belle salle lumineuse, aux tables espacées nappées de blanc. Aux murs, des tableaux d’artistes contemporains et au centre une sculpture étonnante de Nathalie Decoster. Un environnement parfait pour découvrir la cuisine de l’Agapé, version 2018.
Cet anniversaire de la date d’ouverture, Laurent Lapaire a voulu en faire un évènement particulier en retrouvant, à travers un menu, les grands classiques de la maison et des chefs qui s’y sont succédés. Ces propositions dureront toute l’année 2018, certaines variant en fonction des saisons. Un travail éblouissant du chef qui revisite ces recettes avec respect mais en y posant la marque de son talent personnel. L’alliance des deux donne quelques chefs-d’œuvre au cours de ce repas magnifique.
Deux ou trois choses pour planter le décor et définir un style. Huile d’olive d’exception sur table (Kalamata (Grèce) pour le moment), et deux amuse-bouches en rafale qui vous laissent sinon pantois (pas encore…) du moins ravi : Tacos, avocat frais, paprika fumé, poudre de citron noir iranien, et un magnifique chou rave tranché en deux comme un melon et dans lequel le chef a travaillé un émietté de tourteau, gelée au citron et verveine, gingembre. C’est beau, frais, délicat et parfumé.
Le premier plat est une variation sur le grand classique indémodable de la maison : Asperges vertes, œuf confit dans du vinaigre de riz, anguille fumée, herbes diverses, condiment câpres. Cuisson au millimètre, perfection de la construction, saveurs marquées, parfums des herbes, fraicheur, un plat remarquable qui n’a pas pris une ride.
Homard de la Pointe de Penmarc’h, gaspacho, concombre, condiment de verjus. Belle pièce à la cuisson parfaite, élastique ma non troppo, et des parfums qui éclatent en bouche sans altérer la finesse du homard. Mariage étonnant, tout en finesse. Fraicheur, esthétique de la mise en assiette, goût.
Ail noir japonais, cuisses de grenouilles, courgettes jaunes, ciboulette. Dressage impeccable d’une beauté pure, alliance étonnante puis évidente, un plat qui montre bien toute la force de persuasion du chef et son intuition.
Turbot de pêche côtière, artichauts barigoule, purée d’olives noires, émulsion lierre terrestre. Chef-d’œuvre total, de finesse, de puissance des goûts, d’harmonie dans l’assiette, et de l’excellence des produits. Un exemple à enseigner dans les écoles pour comprendre comment travailler en finesse tout en conservant la force des saveurs.
Ris de veau poêlé, tomate des Andes, riz soufflé. A nouveau, un plat magnifique grâce à une cuisson dont le chef est un maitre hors pair, un beau produit, une simple tomate venue d’ailleurs mais d’un goût exquis, un jus réduit, et le petit croquant du riz soufflé parsemé avec soin car point trop n’en faut. Une pure merveille.
Un pré-dessert à base de fraises, sureau et yaourt, aussi discret, léger, que délicieux, avant une Pavlova à la mangue et fruit de la passion, agrémentée d’une crème glacée à la banane, jus court citron gingembre. Un vrai G7 des fruits exotiques. Ils sont tous là, aériens et savoureux avec une pavlova pour le moins exotique et d’une réussite parfaite.
Un final en feu d’artifice, d’une grande beauté, comme une feuille au vent. Une base de chocolat guanaja, Moka d’Ethiopie, vanille de Tahiti, raisins au cognac. Léger et somptueux. Harmonieux et savoureux. Un dessert de grande volée.
Dans ce concert de louanges amplement méritées, il ne faut surtout pas oublier le rôle essentiel du chef sommelier Gabriel Guinnebault, bras droit et même alter ego de Laurent Lapaire, lui-même passionné de vins depuis longtemps et qui fut un précurseur dans la mise en avant des vins « nature ». Son choix des vins est un sans faute tant dans l’alliance des plats et des vins au verre mais dans l’intelligence de comprendre les goûts des clients. Des classiques, des évidences, des découvertes, des risques et des périls, mais toujours avec élégance et talent. On se souviendra longtemps de son Riesling Wineck-Schlossberg 2011 du Domaine de la Sinne ; du champagne Métisse, car en noirs et blancs, de chez Olivier Horiot Les Riceys, et en guise de digestif la merveille de l’Or du Temps, de chez Jolly Ferriol, en Roussillon (muscat petit grains et muscat d’Alexandrie), une explosion d’orange et de fruits au miel. Il n’existe chaque année que 350 cols…
On réalise soudain que depuis dix ans, et peut-être plus encore aujourd’hui, nous sommes attablés dans une des meilleures tables de Paris. Il faut y aller pour le croire… Laurent Lapaire et son équipe sont en pleine forme !
51n, rue Jouffroy-d’Abbans 75017 Paris Tél : 01 42 27 20 18 [email protected] www.agape-paris.fr M° : Wagram Voiturier Fermé samedi et dimanche
Menu déjeuner : 52 € (3 plats) Menu Agapé : 109 € ( 5 plats) Menu Carte Blanche avec accord mets & vins : 215 (8 plats) Menu Anniversaire « Dix ans » : 149 € (carte blanche d’environ 6 plats) Carte 145 €, environ
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L’Agapé Paris L’Agapé Paris (XVIIème) par Patrick Faus Une cuisine formidable, meilleure que jamais, qui vaut largement deux étoiles !
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stag28 · 7 years
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"macht. Diese einzigartige Hassliebe, die zur DNS von Paris-Roubaix geworden ist. Denn es geht um den reinen Kern des Radsports, nämlich die Fähigkeit jedes Fahrers, die Grenzen seiner Leidensfähigkeit immer weiter hinauszuschieben. Keine andere Prüfung auf der Welt macht diese Herausforderung so greifbar wie Paris - Roubaix in seiner Mischung aus Mutprobe und Irrsinn. [..] Der Vergleich mit der Rolle von Alpe d’Huez bei der Tour de France drängt sich dabei auf. Beide sind erst relativ spät aufgetaucht, dann aber sehr schnell zum bekanntesten Punkt der Strecke geworden. Alpe d’Huez wurde erst 1952 erstmals erklommen und danach wieder für über zwanzig Jahre vergessen. Erst in den 70ern begann der Siegeszug der Popularität jener 21 Serpentinen, die seitdem zusammen mit dem Mont Ventoux, dem Col du Galibier und dem Col du Tourmalet zu den bekanntesten Anstiegen der Tour zählen. Wo immer man Fans von Paris-Roubaix bittet, ob in Frankreich oder anderswo, spontan eine Kopfsteinpflasterpassage des Rennens zu nennen, wird in fast jedem Fall der Name Arenberg fallen. Es ist fast so wie mit dem Elternsein: Man hat prima ohne Kinder gelebt - aber wenn sie einmal da sind, fragt man sich, wie man ohne sie leben konnte. [..] Es ist besonders dieser visuelle Aspekt, der einen packt. Passend dazu ist Arenberg zu einem Zeitpunkt bei Paris - Roubaix aufgenommen worden, in dem Fernsehen immer wichtiger wurde. Es sind die TV-Kameras, die den Eindruck dieses Ortes erst in vollem Ausmaß zum Tragen bringen. Die zentrale Entwicklung kommt dabei in den 80er Jahren - und sie kommt mit und durch das Fernsehen. Denn vorher hat Arenberg noch lange nicht den besonderen Klang, den dieses Wort für die Fans bald haben wird. [..] Wenn es irgendwann kurz nach 14:00 Uhr an den Fördertürmen vorbei geht, beginnt das Rennen erst so richtig. [..] Arenberg konfrontiert die Fahrer mit zwei zentralen Aspekten des Radsports: Mut und Gefahr. Es ist ein Aufbruch ins Unbekannte, wo man ganz auf sich selbst gestellt ist. [..] Worte werden dem nicht gerecht, was die Fahrer wie der Klassiker-Spezialist aus Italien dort erleben und erleiden. Dort kann man sich nicht durchschummeln. [..] Erfahrung, Kraft und Talent sind die wichtigsten Helfer, um heil aus dem Wald heraus zu kommen. Aber es gehört auch ein wenig Glück dazu. Es gibt keine Zufallssieger bei Paris-Roubaix, aber man kann sehr wohl durch Pech um den Triumph gebracht werden. "Wenn die Fahrer hier einfahren", weiß Gouvenou, "ist es für sie ein Stück weit auch ein Glücksspiel. Man muss Glück haben, um unversehrt durchzukommen." [..] Der Wald von Arenberg wird bei Nässe noch häufiger zum Theater von Dramen oder zumindest epischen Bildern. "Ich habe immer das Bild von Wilfried Peeters im Kopf, der 2001 mit schlammverkrustetem Gesicht durch den Wald von Arenberg fuhr. Man konnte das Trikot nicht mehr erkennen, man konnten den Fahrer kaum erkennen. Er war ein Mann aus Schlamm. Dieses Bild steht exemplarisch für die Schwierigkeit von Paris - Roubaix allgemein und Arenberg im Besonderen" [..] Und so wird aus großen Geschichten und kleinen Erlebnissen langsam ein kollektives Gedächtnis und dadurch ein Streckenabschnitt zum Symbol. [..] Der Radsport ist in vielerlei Hinsicht ein einzigartiger Sport. Ganz besonders deutlich wird das aber im Verhältnis zwischen den Fahrern und Fans. Es gibt keine Halle, Stadion oder abgesperrten Zugangsbereich: Jeder kann jederzeit an die Strecken kommen - und muss nichts bezahlen. So nah wie beim Radsport kommt ein Zuschauer dem Geschehen fast nirgendwo anders und ein vorbeifliegendes Peloton sieht und hört man nicht nur. Man spürt es, schmeckt es fast. Wirklich beinahe hautnah dabei zu sein, an den extremsten Prüfungen und anstrengendsten Abschnitten, sorgt für eine spezielle Verbindung zwischen denen auf dem Rad und jenen auf der Straße daneben. Das erlebt man an den großen Anstiegen in den Bergen, aber eben auch an Passagen wie der von Arenberg. [..] Dem Zustrom der Fans tun die Gitter keinen Abbruch, im Gegenteil. Mittlerweile sind es "mindestens 10.000", schätzt Doulcier, "darunter viele Familien, viele Leute mit Picknickdecken, kaum pöbelnde Fans. Die Stimmung ist sehr angenehm, fast wie bei einem Volksfest." [..] Jeder große Klassiker hat seine berühmten Passagen. Wer an Mailand - Sanremo denkt, kommt am Poggio nicht vorbei, der Flèche Wallonne ist ohne Mauer von Huy unvorstellbar, bei Lüttich-Bastogne-Lüttich kommt sofort die Côte de la Redoute in den Sinn. Und der Wald von Arenberg ist die wohl berühmteste Klassiker-Passage aller Eintagesrennen. [..] "Ganz ehrlich - als Organisator würde ich gerne manchmal einen Bogen darum machen. Aber wenn man sieht, welche Bedeutung das für das Fernsehen und die Menschen vor Ort hat… Diese Entscheidung ist nicht leicht zu fällen."
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acrotrail · 7 years
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Col de la Sinne on the South of France ....wow what an epic place to #camp . We were testing out our gear for the GR20 trip a couple of days ago. #ferrino #teamchullanka #chullanka
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