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François Boucher (French, 1703-1770) • Jardin Chinois (The Chinese Garden) • 1742 • Hermitage Museum, Saint Petersburg, Russia
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
Nous avons réussi ! La malédiction est brisée ! Rupert est libre ! Longue vie à Rupert !
En y repensant, c’est dingue que nous ayons essayé de faire plein de choses nous-mêmes. Nous aurions dû nous douter que lorsque nous réussirions enfin, ce serait avec toute l’équipe présente – en l’occurrence, Jem, Tessa, Kit et Magnus. (Mina a aidé en nous remontant le moral et aussi en dessinant partout avec sa petite stèle.)
Tout le monde est encore là, et nous pouvons nous détendre un peu dans notre nouvelle maison dé-maudite. (Elle est assez chaleureuse, maintenant que nous avons fait le ménage et que, tu sais, nous nous sommes débarrassés de son aura démoniaque.) Tout le monde sauf Magnus, qui est reparti à New York en quatrième vitesse cet après-midi.
Nouveau paragraphe à ce sujet. Parce que j’ai beaucoup de questions qui restent sans réponse et je ne peux les poser qu’à toi, Bruce. Bon, Magnus était pressé de rentrer pour assister à une réunion qu’Alec a organisée avec Luke et quelques autres Créatures Obscures au sujet des négociations avec la Cohorte. D’accord, mais je trouve que la Cohorte n’a pas grand-chose à faire peser dans la balance. La situation est bien pire pour eux que pour nous. Nous devrions pouvoir attendre qu’ils se décident à sortir… tu ne crois pas ?
Enfin, je suppose qu’ils ont un avantage symbolique. Nous sommes tous des Chasseurs d’Ombres et Idris, Alicante et le Lac Lyn nous manquent à tous. Nous sommes certainement nombreux à avoir laissé des affaires là-bas que nous ne pourrons pas récupérer et puis, c’est vrai, il y a aussi beaucoup de gens qui vivaient là-bas et qui ont dû évacuer pour aller aux quatre coins du monde et qui veulent rentrer chez eux. Je comprends ça. Mais, je veux dire… qu’est-ce que la Cohorte peut bien manger là-bas ? Il n’y a pas vraiment de cultures à Idris. Est-ce qu’ils sont tous devenus fermiers ? Pour s’occuper des récoltes ? Et battre le beurre ? C’est difficile d’imaginer Zara faire tout ça. Mais on ne sait jamais. C’est-à-dire qu’il n’y a même pas de démons à chasser. Ce qui nous rappelle que les Chasseurs d’Ombres ne sont absolument pas censés s’enterrer à Idris là où il n’y a aucun démon à chasser. Il me semble que Raziel a été très clair sur ce point-là.
Ils doivent devenir fous dans leur enclos. J’espère qu’ils ont trouvé des jeux de société ou quelque chose pour s’occuper.
Peut-être que Zara s’est déclarée Reine à Vie et qu’elle n’a pas à cultiver quoi que ce soit parce qu’elle se contente de parader en menaçant de tuer quiconque ne lui fait pas pousser une pomme de terre à l’instant.
Ou peut-être que nous n’avons pas de nouvelles parce qu’ils sont tous devenus cannibales. Ou peut-être qu’ils se sont tous retournés contre Zara et c’est quelqu’un d’autre qui menace de tuer les gens maintenant.
Bon, assez de théories sur la Cohorte. Je suis de bonne humeur, ou du moins, je l’étais avant de commencer à écrire cette page. Nous passons du temps avec Jem, Tessa et Kit et c’est vraiment génial. Nous avons commandé chinois (les livreurs ont toujours un peu peur de monter l’allée, mais nous leur donnons d’énormes pourboires alors nous avons commencé à être connus depuis notre arrivée). Nous avons allumé des bougies (pour l’ambiance et pas pour de la magie noire, qui l’eut cru ?) et avons mangé des raviolis chinois jusqu’à être trop rassasiés pour simplement nous lever, ce que je n’avais pas fait depuis le mariage de Magnus et Alec. Il faut croire que si on me propose des raviolis, j’en mangerai jusqu’à en devenir un moi-même. Moi, ce que j’en pense, c’est que je ne refuserai jamais de devenir ce que j’aime le plus.
Bref. Même Kit était moins morose ce soir par rapport à d’habitude ! Il discutait avec Round Tom et ils semblaient bien s’entendre. Ah, j’allais presque oublier ! Comment puis-je oublier ? Les entrepreneurs ont trouvé un cercueil enterré dans le jardin. Mais il n’y avait pas du tout un épouvantable cadavre à l’intérieur, mais plutôt un tas de vieux trucs ! ça m’a semblé bizarre d’utiliser un cercueil en tant que capsule temporelle, mais aux têtes qu’ont fait Tessa et Jem et à ce qu’ils ont marmonné, j’ai cru comprendre que c’était une histoire assez longue que nous leur demanderons de nous raconter plus tard.
Enfin bref, dans le cercueil se trouvait UN FOURREAU POUR CORTANA. C’est incroyable ! Tu le crois, ça ? Tessa a dit qu’il avait appartenu à Cordélia Carstairs, qui était la propriétaire de Cortana il y a plusieurs générations. Le fourreau doit être bien nettoyé (vraiment bien nettoyé) mais ensuite il pourra être réuni avec Cortana. (D’ailleurs, je crois qu’il est plus la propriété de Cortana que de quiconque ; peut-être qu’ils seront contents d’être réunis.)
Il y avait aussi une épée pour Julian : ce qui était auparavant une épée de la famille Blackthorn, mais il n’y a plus que la garde, la lame a complètement disparue, je ne sais pas du tout pourquoi. Il songe à la faire reforger. Surprise : Round Tom connait quelqu’un. Triangular Jerry. Non, je blague pour le nom, mais Round Tom connait effectivement un forgeron et lui et Julian ont commencé à planifier ça. (En fait, ce que Round Tom veut faire, c’est installer une forge à Chiswick, ce qui est sympa, mais est-ce que nous voulons rajouter un chantier à tous les autres ? Enfin, peut-être… avoir une forge à la maison serait assez cool.)
Tu te demandes peut-être ce qui est arrivé à la bague de Rupert, puisque ce n’est pas comme s’il pouvait l’emmener avec lui, et il n’est pas revenu la chercher d’une manière fantomatique. Magnus a vérifié et a dit qu’elle n’avait plus rien de magique, c’est juste une bague ordinaire que Tatiana a dû ensorceler pour retenir Rupert. Mais personne ne va la porter, bien évidemment. Alors nous l’avons posée sur le manteau de la cheminée dans le salon. Où elle va rester.
Les Gray-Carstairs-Herondale repartent à Cirenworth demain. C’était très agréable de les avoir à la maison, mais tu sais, ce sera sympa quand il n’y aura plus que Julian et moi ici, sans que ce soit effrayant tout le temps. Je pense que nous allons passer de bons moments.
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Bruce, les bons moments, on annule. Tout va de travers. Je crois que le fait que tout aille bien m’a rendu un peu trop suffisante ; il fallait que l’univers vienne tout bouleverser.
Mina a disparue.
Et par disparue, je veux dire qu’elle a été kidnappée.
Et par kidnappée, je veux dire que le kidnapper a laissé à sa place une vieille poupée en porcelaine inquiétante (avec de grands yeux vides, beurk !), avec une note.
Je venais juste de finir d’écrire ce qu’il y a avant quand j’ai entendu un horrible cri venant d’en haut et des pas très bruyants. Quand je suis arrivée, tout le monde était réuni dans la chambre de Mina, frappé d’effroi.
Je me suis tout de suite dit : « Oh non, une autre malédiction, ou la même malédiction, nous n’en avons pas fini avec la malédiction. » Et peut-être que toi aussi, mais ce n’est pas ça. Ça n’a rien à voir. Ça a à voir avec les Fées. Avec le Royaume des Fées.
Tessa a pris la note, l’a lue et l’a donnée à Jem avec un regard sinistre. Julian ouvrait déjà la fenêtre pour voir s’il y avait quelqu’un dehors, et j’ai lu par-dessus l’épaule de Jem :
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Photomontage d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/694568297733177344/emma-to-bruce
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#La Petite école : l’enfant paysage
(…) réveillant le Beau de sa torpeur ..
D'un côté, le jardin dit à la française est, en effet, une construction de ma perception, favorisant le point de vue et le panoramique. Il est d'abord à regarder : le regard souverain d'un Sujet impose son ordre propre à la nature (« Le jardin est ce plaisir superbe de forcer la nature », dit Saint-Simon de Versailles). Aussi se disjoint-il manifestement du « pays » par sa géométrie; de même qu'il se détache du paysage par sa modélisation.Le parallélisme notamment, comme loi de la figuration, l'ordonne comme une abstraction — et ce donc à l'inverse de la polarité qui met en tension.
De l'autre côté — devrions-nous dire : à l'antipode ? — est le jardin chinois, dont la fonction est d'abord de restaurer en soi l'énergie. Il ne s'établit pas en alignements et perspectives où se complait le regard admirant l'équilibre compositionnel et la symétrie; non plus qu'en vastes allées où l'on ne fait, au mieux, que « prendre l'air » et se promener. Mais il se tend processuellement, comme le corps du dragon, en alternances les plus diverses du vide et du plein, du sinueux (même les ponts) et du droit, du rocailleux et du végétal, de l'aquatique et du minéral, de l'élevé et de l'encaissé, de l'ombreux et de l'éclaire, etc.; bref, il répète et condense la grande corrélation « des montagnes et des eaux ». Le jardin chinois n'introduit pas un ordre transcendant de la raison, mais concentre du paysage, tel un « monde en petit » (selon le beau titre de R. Alfred Stein), par un maximum de polarités : en y « évoluant » à l'aise de l'une à l'autre (you if), ou plutôt entre elles, on y réactive sa tension vitale. Comme il varie le plus densément entre ces opposés, il s'organise lui-même en une respiration continue, fait sortir de l'atonie et « nourrit » la vie.
François Jullien, Vivre de paysage Entre les montagnes, Page 159 - 160
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Le coin à l'ouest du jardin des plantes? J'y suis passé une fois en sortant de la galerie de minéralogie, on avait marché pendant des plombes mais il y avait plein de restaurants et surtout un petit resto chinois qui faisait une soupe fantastique. J'ai oublié son nom. A un moment on est passé devant le ministère de l'éducation nationale, ou de l'enseignement supérieur, je sais plus. Pas sûr que ça compte encore comme étant dans le même quartier, on avait vraiment beaucoup marché. La galerie de géologie et de minéralogie du MNHN est vraiment sympa btw.
Le quartier latin genre ? La rue Mouffetard genre avec tous ses supers petits bars (l'antidote un banger), ses restaux pas chers (la grotte de Chypre ptn. Les poutines en bas de la rue. Le oishi pour les sushi à volonté sur la rue du pot de fer, et le fil téléphone avec les chaussures suspendues à côté de l'école primaire), la place Monge avec le marché le vendredi et un des meilleurs traiteurs libanais de paris (mmhh les falafels avec le caviar d'aubergine une tuerie). La rue des écoles, avec tous les magasins pour nerds au dessus avant la préfecture du cinquième. Les rues au nord du panthéon avec plus de bons petits bars (l'écurie et le st hilaire rpz) et quelques excellents restaux pas cher (bossa churrasqueira pour le poulet portugais les meilleurs). La rue de l'estrapade qui descend vers le jardin du Luxembourg avec tjr plus de petits bars, le super bon tibétain tashi dalak, et le dim sum à volonté juste à côté. L'épée de bois pour les jouets artisanaux et les discussions sur l'ornithologie. La bibliothèque musulmane. L'ancienne école polytechnique effectivement devenue bureau du mesri. Le collège de France. La Sorbonne. La maison des Mines. l'ENS. Les toutes petites rues qui descendent vers la seine en passant à côté de Shakespeare and co. Ouais je connais un peu ouais. (C'est la maison)
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Les portes de lune
Une porte de lune est une ouverture circulaire pratiquée dans un mur ou construite en tant que telle.
C’est un élément architectural traditionnel des jardins chinois, largement utilisé dans des jardins du monde entier.
La symbolique est claire le promeneur qui passe par une porte de lune pénètre dans un univers différent.
Voici une sélection de très jolies réalisations.
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24/100 days of productivity
Aujourd'hui nous sommes allées au panthéon, au jardin de Luxembourg et au quartier latin, où nous avons trouvé une librairie d'occasion et j'ai acheté deux livres (un pour apprendre le chinois et l'autre sur le féminisme) pour juste 2,50€. Nous avons aussi vu la cathédrale de Nôtre-Dame et visité Shakespeare & Company et la Conciergerie, où grâce à une tablette nous avons pu regarder comment était le lieu dans le au moyen Âge.
Après le repas du midi (falafel avec des frites et crêpe de chocolat), nous sommes allées à Montmartre, où nous avons vu Moulin Rouge, le mur des "je t'aime" et Sacre-Cœur. Finalement, on a visité la boutique de Stranger Things dans les aux Champs Elysées.
Ça a été un jour génial parce que nous avons connu rencontré des gens très intéressants : une famille argentine de l'Argentine et un homme algérien qui a aussi vécu aussi dans le au Royaume-Uni et qui nous a montré la ville de Constantine, en Algérie, où il y a beaucoup de ponts.
(Des corrections sont toujours bienvenues 😊)
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Ça y est, notre croisière de deux nuits dans la baie de Lan Ha a été âprement négociée et payée un lobe de foie et demi chacune, nous propulsant ainsi à une classe supérieure. Contraintes de nous conformer à notre nouveau rang, nous avons donc décidé de sacrifier également un rein pour nous offrir une soirée fromage dans la capitale. C'est donc dans l'attente de notre plateau de fromage, pizza 4 fromages, et pizza à la burrata que nous vous écrivons ces quelques mots.
Cette journée fut plus remplie que les précédentes (et moins humide). Nous commençons par le palais impérial, en fait détruit presque totalement et pas vraiment reconstruit : il est désormais constitué de bâtiments coloniaux et de bunkers ayant servi pendant la guerre. Il reste une porte d'époque...on est loin de la cité interdite de Pékin !
On part ensuite visiter le temple de la littérature, un ensemble de bâtiments ayant servi à former les médecins et hauts magistrats du royaume pendant des siècles. Au XVe siècle, y logeaient 300 étudiants, sélectionnés lors de 3 concours successifs (provincial,régional, puis national). Il était d'ailleurs mentionné que les étudiants récalcitrants s'exposaient à des peines diverses, allant des coups de bâtons à la décapitation. Franchement, ça vaut bien la Sorbonne (modèle réduit)! Avec plus de vert, il y a de grands jardins et des bassins, ils ont la belle vie les littéraires de l'époque.
Ceux qui réussissaient le concours étaient immortalisés pour l'éternité sur ces jolies tablettes.
A noter qu'ils aiment bien les tortues ici, puisqu'une tortue géante d'une espèce presque disparue (il reste 6 individus sur la planète) habitait dans le lac de Hanoï jusque très récemment. La légende raconte même qu'elle aurait fourni une épée magique à l'empereur pour défendre le pays contre les envahisseurs chinois. Ci dessous, la tortue du lac d'Hanoi momifiée.
On découvre également le concept de l'imprimante à l'époque : ils gravaient les décrets royaux sur des tablettes en bois, trempaient ça dans l'encre et tamponnaient sur du papier !
Ils ont même des ateliers calligraphie pour les non initiés.
A l'époque, il y avait un mélange de trois religions : bouddhisme, taoisme et confucianisme. C'est cette religion qui avait plus ou moins gagné (les trois vivaient en harmonie, ça fait du bien), le temple est donc dédié à Confucius.
Nous sommes finalement allées voir un spectacle de marionnettes sur l'eau, au grand désespoir de Dr Rathatton, qui a la sensibilité artistique d'une tortue momifiée.
Note : c'était très mignon.
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Flowers in Dream Lake Garden, Montréal.
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🇬🇧 “You thought you saw a fox? ~ 🦊”
First photos of my new Wei Wuxian cosplay "Huli Jing" version, shooting during the Aki Matsuri at Parc Borély in Marseille, in the "Japanese Garden" part (even if there are Chinese corners lol). I was treated to a lot of photos, whether from visitors or even photographers, so I still have some stock! 😅
I certainly wouldn't bring it out right away and even less during the winter but... I would put it back for sure and with the changes I want to make by then, hopefully! 😊
Ps: I didn't think this cosplay would be liked so much, so thank you to everyone I met, who chatted with me, asked questions, took pictures of me and complimented me on it... you were all lovely and you made my day great! 🥰
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🇫🇷 « Vous avec cru voir un renard? ~ 🦊»
Premières photos de mon nouveau cosplay de Wei Wuxian version "Huli Jing", shooting pendant l'Aki Matsuri au Parc Borély à Marseille, dans la partie "Jardin Japonais" (même si y a des coins chinois lol). J'ai eu droit à beaucoup de photos que ce soit de visiteurs ou même de photographes donc, j'ai encore du stock! 😅
Je ne le ressortirais sûrement pas tout de suite et encore moins pendant l'hiver mais... je le reporterais à coup sûr et avec les modifications que je veux y apporter d'ici là, espérons le! 😊
Ps: Je ne pensais pas que ce cosplay plairait autant donc, merci à tout ceux que j'ai pu croiser, qui ont discutés avec moi, ont posés des questions, qui m'ont pris en photos et complimentés dessus... vous étiez tous adorables et vous avez rendus ma journée formidable! 🥰
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Photos/Edits by : esby.photo
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7 Beaux Endroits au Kerala Pour Des Vacances
Le Kerala, souvent appelé "Le Pays de Dieu", est un état situé dans le sud de l'Inde. Réputé pour sa verdure luxuriante, ses backwaters, ses plages et son riche patrimoine culturel, le Kerala attire des touristes du monde entier. Voici sept beaux endroits du Kerala qui illustrent sa diversité naturelle et culturelle. Les Forfaits touristiques du Kerala proposent une découverte complète de ces destinations.
Alleppey (Alappuzha) : Connue sous le nom de "Venise de l'Est", Alleppey est célèbre pour ses backwaters pittoresques, ses houseboats et ses environs tranquilles. Les visiteurs peuvent profiter d'une croisière sereine le long des backwaters, en passant par des rizières luxuriantes, des cocoteraies et des villages pittoresques.
Munnar : Nichée dans les Ghats occidentaux, Munnar est une station de montagne réputée pour ses vastes plantations de thé, ses collines enveloppées de brume et sa faune et sa flore diversifiées. Les visiteurs peuvent explorer les jardins de thé, faire de la randonnée dans le parc national d'Eravikulam pour apercevoir le Nilgiri en voie de disparition
Kochi (Cochin) : En tant que l'une des principales villes du Kerala, Kochi est un mélange de modernité et d'histoire. Ses influences culturelles diverses se reflètent dans des attractions telles que le palais de Mattancherry, Fort Kochi et les célèbres filets de pêche chinois.
Wayanad : Niché dans les Ghats occidentaux, Wayanad est un paradis pour les amoureux de la nature et les amateurs d'aventure. Il possède des forêts luxuriantes, des cascades comme Meenmutty et Soochipara, et des sanctuaires de faune tels que Tholpetty et Muthanga.
Kovalam : Kovalam est une destination balnéaire renommée pour sa côte en forme de croissant et ses plages immaculées. Les plages de Lighthouse Beach, Hawa Beach et Samudra offrent des possibilités de baignade, de sports nautiques comme le surf et le parachutisme ascensionnel.
Thekkady : Accueillant le sanctuaire de vie sauvage de Periyar, Thekkady est un paradis pour les amateurs de faune. Le sanctuaire est célèbre pour ses troupeaux d'éléphants, ses tigres, ses cerfs et sa diversité d'espèces d'oiseaux.
Varkala : Varkala est une ville côtière réputée pour ses vues spectaculaires depuis les falaises, ses plages de sable doré et ses sources minérales naturelles. La plage de Papanasam, située en dessous des falaises, est réputée pour ses eaux sacrées qui purifient les péchés.
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1974, 1977, 1978,
1983
Aujourd’hui je m’en fous
Je me souviens de tout
Comme s’il avait fait beau
Toute cette époque-là
Les souvenirs c’est comme
Une fausse vie qu’on subit
Les souvenirs c’est comme les films super-huit
ça a comme sa propre vitesse
Faut pas ralentir la machine
De peur de brûler ce qui reste
Faut prendre ça comme ça vient
Je regarde et je profite
Et je revois mes amis
Et je me revois là à ce coin
Hey c’est fou ce que je suis petit
Hey c’est fou ce que je rigole
C’est fou ce que je rigole
Pour n’importe quoi
Ma mère descend l’allée
M’appelle et moi je souris
Quand elle me voit
Elle me dit peut-être qu’elle
Aime pas trop mes amis
Hey mais c’est pas grave
Plus tard on ira
Quand même ensemble
Mettre des pétards mammouths
Dans les poubelles
Marcher dans les roses rouges
Du concierge
Faire du skate-board
Dans la descente
Jusqu’au virage
Je suis surpris de pas être mort
Au moins une fois
1982
J’étais si amoureux
J’étais si content d’être malheureux
Je croyais que ça finirait pas
ça s’est fini tout seul bien sûr en
1983
Moi et elle
Moi et barbara,
On se regardait on restait là
J’aimais sa mère aussi un peu je crois
J’attendais devant sa porte
Je restais dans l’escalier
J’appuyais la minuterie
Jusqu’à ce que je parte en courant
Jusqu’à ce que de l’autre côté j’entende ta voix
Il y a d’autres filles plus tard
J’ai jamais compris ce qu’elle pouvait me voir
Que toi tu ne voyais pas
Jamais rien compris barbara
Tu sentais bon le parfum de ta mère
Je t’avais acheté des fleurs
Pour ton anniversaire
Ma mère disait qu’cétait des fleurs
Pour les cimetières
Et je te revois plus tard
Sur le chemin de l’école
Sur le trottoir d’en face la patinoire
Je te faisais signe
Je te filais mes devoirs
Je te regardais les mains, les cheveux
J’aurais voulu toucher ton bras
Et ton cou et l’endroit
Où y avait rien sur ta poitrine
J’y pensais la nuit
J’y pensais le jour
Je pensais plus jamais rien qu’à ça
Tout le monde disait que je t’aimais
Tout le monde savait que je t’aimais
J’prenais l’air malheureux
Pour te faire honte
On se défend comme on peut
Hey tu sais j’fais toujours comme ça
Et je revois la famille d’à côté
Qu’étaient nos pauvres
ça rassure dans un monde compliqué
Y a toujours plus pauvres que soi
à qui ma mère a donné
Ma collection de pif et encore
Nos vieux vêtements, nos jouets
Qu’avait un chien plus grand que je croyais
Que c’était possible
Qui dormait dans leur baignoire
Leur père faisait du cyclisme
Un peu d’alcoolisme aussi je crois
Sylvie leur fille qu’était bizzarre
On disait qu’elle était en retard
Ma mère disait qu’ils avaient pas eu de chance
Je disais qu’ils sentaient pas bon
Ma mère disait qu’elle avait honte
Que je puisse dire une chose comme ça
Ils habitaient face aux hippies
Entre eux ils s’aimaient pas
Les hippies étaient jeunes et beaux
à ce qui me semblait
C’était plus propre chez eux
Et puis plus chiant aussi un peu
Ma mère essayait de les aimer
Elle avait besoin d’amis
Elle disait qu’ils étaient sympas
Ils avaient des tentures aux murs
Indiennes des tapis incas
Ils écoutaient de la musique étrange
Buvaient du thé
Revenaient de voyage
étaient bronzés
C’était une autre vie que nous
Ma mère essayait bien d’être à l’aise
Mais il me semble bien que ça marchait pas
Et je me revois
Avec mon père distribuer
Les dimanches de porte en porte
Ll’humanité
Et je revois les voisins plus riches
Des collègues à maman qui vivaient
Dans les petits pavillons plus chics
La lutte des classes c’est un jardin
Une table de ping pong
Une chambre pour chacun
Une cheminée dans le grand salon
Un mari qui fume la pipe
Une voiture neuve un frigo plein,
Des vacances été hiver
Des chouettes habits
C’est propre et ça sent l’air
Et je revois le crépi dans notre appart
Mon père qui partait au cours du soir,
Le guernica dans l’entrée
Il y avait sur les murs
Peut-être un dessin de follon
Plus un de moi, une poupée
Qu’avait ramenée mes grands-parents
Pour leur retraite
D’un voyage à l’étranger.
Y avait l’affiche d’une ronde de petits chinois
Buster keaton qui souriait jamais
Tous les jours je le regardais
Je le fixais
Peut-être c’est lui qui savait
Je voulais comprendre pourquoi
Et je revois la télé noir et blanc
Et moi assis en tailleur
Et la chambre et le christ au dessus du lit de ma petite sœur
Qu’était toute une histoire
Dans la famille que je ne comprenais pas
Et tout ça se mélange
Et la tristesse de maman
Et le bruit des gens
Qui jouait aux boules
Dehors les soirs d’été
Quand on se couchait avant le soleil
Le soleil rouge qu’on devinait
à travers le rideau avec mon frère
Depuis les lits superposés
On rentrait à six heures pour le bain du soir
On évitait la malade du bas de la cité
Qu’avait notre âge et qui crachait
Sur tout le monde qui se promenait
Tous les soirs pareil avec son père
On disait la mongolienne
Qui me faisait peur et puis de la peine
à l’époque j’ai du tout pleurer
J’pleurais pour rien
Pour la voiture qu’on changeait
Pour un nouveau papier peint
Et puis je restais des heures
Dans la cage d’escalier
à remonter les étages
Dans le vide
De l’autre côté de la rambarde
Avec toujours la peur et l’envie
Que quelqu’un vienne et
Me surprenne en train de tomber
J’avais deux meilleurs amis
à l’époque j’aurais pas choisi
L’un sa famille était moins drôle
Son père était harki,
Que j’ai jamais vu dehors de chez lui
Sa mère me paraissait immense
Pas très facile et puis
Son frère avait la plus grande
Collection de comics que j’ai jamais vu de ma vie
Que des marvels et des stranges
Qu’on lisait dans sa chambre
Qu’on s’échangeait moi et lui
Après le soir au fond de mon lit
Je regardais le plafond
Je testais mes pouvoirs
J’avais un laser si je me concentrais
Qui me sortait par les yeux
Je pouvais tuer des gens
J’étais un dieu
Et je m’endormais comme ça content
J’étais heureux
J’écoutais le son des peupliers dans le vent
J’écoutais la respiration de mon frère
J’écoutais le bruit des amants de ma mère
Elle attendait toujours un peu mon père
Je savais moi aussi qu’il allait rentrer
Un jour sûrement
Que ça pourrait pas être autrement
Le matin à l’école on me racontait toujours
Des films incroyables avec un mec
A un moment à la fille, il lui fait tout
Ah oui tout mais quoi ?
On se montrait un peu fermé le creux de nos bras
Paraissait que les filles en dedans
Au milieu c’était comme ça
Et moi toujours je voulais que tout le monde m’aime
J’avais un tel besoin d’amour
Qu’il aurait fallu tout l’amour de la terre
Et ça faisait encore pas beaucoup
Pour que je me sente enfin à l’aise
Me faire aimer de la boulangère
Des gens qui passent dans la rue
Me faire aimer de toutes les grand mères
J’aurais demandé de l’amour à un clochard
Toutes ces histoires d’enfants perdus
Qu’on retrouve pas
Les enfants leurs problèmes
C’est qu’ils sont pas regardant
Ils prennent ce qui vient, je sais
Moi j’étais comme ça.
Et je me souviens encore
Et de mon voisin johnny
Qu’était nerveux
Je crois qu’a mal fini
Que j’ai revu plus tard
Que j’étais vendeur
Il m’a pas reconnu
Je l’ai laissé prendre en douce dans le magasin
Tout ce qu’il a pu
Il a pas compris
Il a cru qu’il était plus malin
Et moi je me souvenais de lui
Qu’était chef de bande
à le voir j’avais de la peine
Plus tard à ce qu’on m’a dit
Qu’il prenait des trucs graves
Dans les mêmes cages d’escalier
Où on mangeait nos bns
Où on se tenait contre l’chauffage
Les jours d’hivers où il neigeait
Où il y avait une bataille de neige
Géante dans tout le quartier
On se partageait les gants
On attaquait en rang serrés
Fallait prendre tout le côté droit
Des immeubles ( bis ) de la cité
Johnny c’était notre chef
On se serait fait prendre pour lui
On avait la fidélité
On mettait des cailloux
Des calots, des billes
Tout ce qu’on pouvait trouver
Dans la neige au milieu des boules
Je me rappelle quand j’ai vu mon caillou
Ouvrir la tête d’un mec d’en face
Et je revoyais le sang du mec
J’en revenais pas
Je croyais qu’on allait venir me chercher
J’attendais la police la nuit
J’entendais tous les pas
Venir dans l’escalier
Et je me souviens
La dernière nuit avant qu’on parte
J’ai senti le monde disparaître
Au dedans de moi
Je regardais les valises déjà faites
J’ai commencé tôt la nostalgie
J’étais déjà tellement doué
Pour ça tout petit
Et je me souviens encore
D’un jour la fille de la voisine
Que j’aimais pas
Elle me montrait tout ce qu’il y avait à voir
Et moi j’imaginais barbara
Je lui montrais moi aussi
Elle voulait que je lui dise que je l’aime
Elle me courrait après dans les couloirs
Je lui disais que non je ne l’aimais pas
Mais toi je t’aimais bien,
Toi je t’aimais barbara
En 1982-83,
Oh oui depuis longtemps
Je t’aimais barbara
Et jérome aussi et kacem,
Et le parrain de ma sœur
Et ses filles
Et maman, et mon petit frère
Et mon père qui revenait pas
Je les aimais tous
à l’époque tous ces gens-là
Et johnny aussi et même sylvie qu’était en retard
Je les aimais tous
Mais surtout toi
Toi je t’aimais, barbara
En 1982, en 1983
Depuis longtemps
Je t’aimais barbara
Jamais jamais su barbara
Si tu m’aimais barbara
J’ai jamais su
Jamais su si toi tu m’aimais
Barbara en 1982 en 1983
J’ai jamais su si tu m’aimais rien qu’un peu toi
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